La taxe sera de 75 M$ par année en 2028!!!!!!

September 12, 2024 00:15:08
La taxe sera de 75 M$ par année en 2028!!!!!!
Maurais Live
La taxe sera de 75 M$ par année en 2028!!!!!!

Sep 12 2024 | 00:15:08

/

Show Notes

Entrevue avec Patrick Paquet dans le grand journal de Maurais Live

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: 7H27, tantôt on va jaser avec Donald Charrette de la situation concernant Yuri Chassin. Il va démissionner sa brasse actuellement, il va devenir indépendant. Donc, c'est carrément le chemin de Claire Samson. C'est à 9h, point de presse, oui, oui, ce qui a circulé, c'est il va réfléchir, il va annoncer son avenir politique. Moi, ce que j'ai su, c'est qu'il va devenir carrément indépendant. Il va quitter la CAQ, carrément. Suite, bien sûr, à son texte ravageur publié ce matin. C'est carrément... Spills the beans, comme on dit en anglais. Donc, il let's go, il crache le morceau. Il est tanné. Le modèle québécois est fini. Il est arrivé à sa fin utile et la CAQ ne fait rien pour non seulement le réaliser, mais ne fait rien pour le corriger. C'est un texte d'un gars qui veut se faire mettre dehors. Donc on comprend qu'au lieu de se faire mettre dehors, il va s'en aller. Ça va se passer en 9 heures. Et la suite des choses, Éric Duhem. Tous les regards sont tournés vers Éric. Je sais que ça brasse énormément. et Éric va sûrement l'inviter. Il faut quand même le répéter. C'est le scénario clair qui se répète. Donc on va conclure le dossier des taxes à l'hôtel de ville, puis ensuite on va parler de ça. On va aller rejoindre Patrick Paquette à l'instant. Salut Patrick. [00:01:24] Speaker B: – Bon matin. [00:01:26] Speaker A: – Bon matin. Ça brasse. Donne-moi l'heure juste concernant T'as-tu l'heure juste concernant le RTC d'abord? Qui a coupé quoi, quand, comment? Moi j'ai donné des salaires horrifiants ce matin en honte des personnes qui sont encore là. J'ai donné des appels d'offres complètement folles qui sont toujours en vigueur, des salaires à 110, 120, 130 000$. On sait pas trop ce que ces gens-là vont faire. J'ai lu la description de tâche avec le régime à prestations déterminées. Je veux dire, la maison est en feu pour continuer de faire la fête. Ça marche pas cette affaire-là. [00:02:04] Speaker B: La maison, Dominique, est vraiment en feu. Elle t'a donné même des salaires. Je pense qu'elle t'a donné 5 salaires au-dessus de 200 000. En tout cas, ils sont au-dessus de 200 000. Les directeurs, on parle de tout près de 350-360 000 $. C'est vraiment beaucoup, beaucoup de sous. Les contribuables, ils doivent payer ça, mais on n'a pas leur juste au sujet du RTC. C'est pour ça qu'hier, j'ai hésité un moment. J'ai dit, est-ce que je demande la démission de Nicolas Girard avec la démission comme président du RTC de M. LaRouche? J'ai dit, au plus tôt, je vais demander une réunion. De toute façon, je ne m'attends pas à me faire accorder cette réunion-là, mais j'ai dit, moi, mon collègue Stéphane Smélençon, quelques membres de mon équipe, ça, de ma chef de cabinet, Éric, on pourrait les rencontrer tout simplement, puis on a des questions qui sont extrêmement pertinentes. Le marché de la rouge, hier, a se pèté les bretelles. Elle a coupé 11 millions en 2023, puis en 2024. C'est à 5,5 millions par année. La dépense, on avait tout près de... Là, nous allons faire un déficit de 30 millions cette année, Dominique, pour le RTC. On sait que dans les dernières années, on a fait des surplus au RTC. Malgré la mauvaise gestion, malgré le 16 %, qu'on prend année après année justement pour pouvoir payer nos dirigeants. On ne parle pas de mécaniciens ou de chauffeurs, de chauffeuses d'autobus, des gens qui rendent un service à la population tous les jours. On parle de dirigeants, de haut placés. qui prennent 16 % du budget. On attend les audits. On nous taxe hier à 60 $ supplémentaires. 90 $, ça nous donne minimum 180 par ménage. Parfois 270 par ménage quand t'as un ado qui a une voiture. Sans pas de mots durs. Bon sang, c'est pas la façon de faire. Là, c'est pour ça que je demande une ruillon. Parce que je vais coïncer. Vous voulez qu'on parle de chiffres? Montrez-moi votre budget. Montre Mercier. Tu dis que t'as coupé 11 000 000. Montre-moi ce que tu coupes. [00:03:55] Speaker A: Exactement. Ah, il s'en va au slow, cette affaire-là. [00:03:58] Speaker B: Puis dis-moi qu'il va y avoir un déficit de 30 millions. Tantôt, Dominique parlait de la fameuse réserve climatique. Je veux mettre ça au clair parce que je vous dis, je pense que j'ai peur de gâcher votre journée, les boys. Je vous dis, ça ne va vraiment pas bien. La réserve climatique, sur 6 ans, ce n'est pas 15 millions cumulatives par année. Sur six ans, c'est 300 millions. [00:04:22] Speaker A: Pourquoi? C'est 15, 15, 15, 15, 15. En fait, c'est ce que j'ai lu. [00:04:25] Speaker B: Non, c'est 15 la première année. L'année passée, on a mis 30. Cette année, il faut mettre 45. [00:04:31] Speaker A: Es-tu sûr de ce que t'avances? [00:04:33] Speaker B: Je suis certain de ce que j'avance. Dominique, tu peux me faire confiance à 500%. [00:04:37] Speaker A: OK, mais c'est pas comme ça que j'avais lu l'explicatif. [00:04:40] Speaker B: Les chiffres que je vous donne sur 6 ans, c'est une réserve climatique de 300 millions sur une maison moyenne, avant le dernier rôle qu'ils nous ont déposé, sur une maison moyenne d'à peu près 314 000 $, même si la bille disait 283. On parle de 22% d'augmentation de taxes, c'est-à-dire que le maire va vous taxer de 22% seulement sur sa réserve climatique sur six ans. C'est 300 millions au total. C'est de l'argent. Quand on dit « le marchand de taxes », moi je l'appelle « Monsieur Tax », mais... On peut le surnommer ce matin marchand de taxes, mais en plus, il a osé mentir hier, parce que nous, je faisais plusieurs fois qu'on le disait, on disait, là, c'est la première étape. Les taxes sur la matriculation, mais je vous le dis, je vous le dis, si on a le malheur de réélire cette personne-là pour un prochain mandat, ça va être une taxe sur l'essence. Puis on apprend hier qu'il y a eu une demande de la part de la communauté metropolitan de Québec, la CMQ. [00:05:31] Speaker A: La CAQ a dit non hier. [00:05:33] Speaker B: Il y a une chance qu'on dit non. Mais la CAQ, là, quand on... Quand on disait à la CAQ que ça n'avait pas le mot du bon sens, quand ils ont passé leur projet de loi, de permettre aux maires de taxer sur les matriculations, 100 mètres de plafond, ça n'avait pas le mot du bon sens de faire ça. C'est un maire qui est zélé sur le transport en commun, sur les pistes cyclables, sur les bolors, puis de vouloir déneiger ça sur le cuir l'hiver. C'est dangereux. C'est extrêmement dangereux. Il n'y a rien qui lui empêche de pouvoir. Il a dit que ça serait que l'on a le premier jet, c'est-à-dire 60 $ supplémentaires, ça veut dire qu'on a 90 $ au total, puis qu'elle aime l'indexer à chaque année. Mais l'année prochaine, non? Si jamais cette personne-là est réélue, la meilleure marchand, il n'y a rien qui lui empêche. Vous avez dit qu'en fin de compte, ça serait indexé chaque année, mais là, on va avoir encore un déficit ORTC, ça nous coûte plus cher que prévu, puis en fin de compte, en plus de l'indexer, je vais augmenter encore de 20 $. Peux-tu répéter. [00:06:30] Speaker A: L'histoire de la réserve climatique. J'ai de la misère à croire ça pour vrai là. Parce que moi j'ai lu que... Ah mais c'est ça qu'on me dit aussi là, c'est exponentiel. C'est 15, après ça 30, après ça plus 45, après ça plus 60. Ça n'a ni queue ni tête cette affaire-là. Jusqu'à temps qu'on arrive à 300. J'ai de la misère à croire ça. Pour vrai là. Ça n'a pas de bon sens. Vas-y Patrick, explique-nous calmement c'est quoi. Patrick? Il a décroché. Il est parti. Ben, coudonc. On l'a perdu? Il le rappelle. Ça n'a pas d'allure. C'est pas ça que j'ai lu dans l'explication. Mais peut-être que ce que j'ai lu, c'était... Il y a une autre source qui me disait exactement la même chose. Patrick, t'as de retour. [00:07:16] Speaker B: Hey, excusez-moi. [00:07:18] Speaker A: Bon, il s'est retombé. C'est pas grave. C'est pas grave. Patrick, explique-nous quel moment l'histoire de la réserve climatique. Parce que lui a dit, quand il l'a instaurée en 2022, que Québec doit se préparer pour un tremblement climatique. C'est complètement fou. Je le sais que c'est un langage débile, mais ça fut sorti de la bouche du maire et c'était en manchette dans l'autre devoir. C'est pas moi qui ai inventé ça. Explique-nous calmement ce qu'il prend dans nos poches et prendra dans nos poches. [00:07:52] Speaker B: Oui, effectivement, C'est un excellent point. Il va prendre dans vos poches sur une période de 6 ans. Ça veut dire que lui, il est en poche pendant 4 ans. Ça veut dire que sur 6 ans, ça veut dire qu'on oublie la première année parce qu'il n'a pas eu le temps de l'instaurer. Il l'a instauré, dans le fond, à partir du budget 2023. En 2023, il vous a pris 15 millions dans vos poches. Ça, c'est 1,5 % de taxe. Lors du budget, décembre 23, le budget 24, on vous a pris 30 millions dans vos poches. Cette année, lors du budget 2025, il va prendre 45 millions dans vos poches. Après ça, c'est 60-60, puis 75-75. Ça fait six ans, le cumulatif. 75, là, ça ferait pour 75 en quelle année? [00:08:30] Speaker A: 2026? Cette année, on tombe 45-25. Après ça, 26-27. [00:08:32] Speaker B: Ça fait 75, on est rendu en 28. [00:08:43] Speaker A: Par année? Bing, bing, bing, ça baisse pas, là. [00:08:45] Speaker B: Par année, par année, mais ça baisse pas. 75 millions en 2028, seulement pour une année. Ça veut dire que là, on tombe à... C'est 30 millions pour 1 % de taxes commerciales résidentielles. Ça veut dire qu'on tombe à 2,5 %. Seulement sur une année. Nous, on a calculé que cette réserve climatique-là... Parce qu'il a dit qu'après, il allait arrêter de taxer. Ça veut dire que là, il veut un cumulatif de 300 millions. Après ça, ils servent leur champleur, mais tout le temps ça, mais ils ne tiennent jamais parole. C'est ça le problème. Là, ça, c'est 22 % de taxe. Ça veut dire que je suis sur 6 ans. En plus de vous taxer de 2, 3, 4 % par année, l'année passée, la taxe sur l'utensile, vous vous en souvenez, c'était 3,9 %. Les commerçants, ça a été 4,7 %. En plus de ça, il faut rajouter le 22 % qui va vous taxer de 300 millions. [00:09:34] Speaker A: Maintenant, d'autres sujets. L'histoire du voyage. Ça passe après bon sang, là. Quel mauvais timing. Il y a une annonce qui triple la taxe, mais confirme et reconfirme qu'il va en Espagne, en Suisse et en France. C'est pas sérieux, là. [00:09:50] Speaker B: 14 jours, puis il dit ça ne sera peut-être pas 14 jours. On va peut-être vous apprendre une fois qu'on va avoir tout fait la cédule, selon où est-ce que je vais, où est-ce que je débarque, qui est-ce que je rencontre, qui est-ce que je ne rencontre pas, Ça va peut-être être 13 ou 12 jours. 14 jours, on sait que sa mission a dû durer normalement trois jours la première fois en Espagne, puis après, un autre deux jours, deux jours et demi. Puis là, il aurait pu revenir entre les deux. Là, il va remarquer le conseil municipal du 1er octobre parce qu'il est revenu sur sa décision, pour ne pas oublier qu'il a essayé de déplacer les séances du conseil. Je vais en parler parce qu'il a essayé de déplacer les séances du conseil du 1er puis du 15 octobre au 8, au 22 octobre. Mais la réalité, nous, on le savait très bien, Là, on sait pas c'est qui qui a perdu son voyage, mais selon nous, il amenait deux personnes de son comité d'exécutif avec lui. Savez-vous ce que ça faisait, ça? Ça faisait tout simplement qu'il était rendu minoritaire au conseil d'Évide. [00:10:46] Speaker A: T'es pas sérieux, toi? [00:10:48] Speaker B: Ben oui, ben oui, c'est ça. Mais personne n'a parlé de ça. [00:10:56] Speaker A: J'ai vu les dépenses qui ont été autorisées au comité exécutif. Des personnes qui doivent aller en voyage. J'ai vu les budgets. Elles ont vu tomber les budgets un peu. Je vais y aller. J'ai Sarah Evuhot. C'est qui elle? [00:11:14] Speaker B: Je pense qu'elle est chez Québec International. [00:11:18] Speaker A: Sarah a vu un budget qui était autorisé pour elle pour faire la tournée au complet. Espagne, Suisse et France. Un montant de 7500$ pour payer l'avion et les frais de séjour pour aller à l'ONU, entre autres. [00:11:32] Speaker B: OK? [00:11:33] Speaker A: Oui. J'ai également Catherine Valian-Roland. La mairesse suppléante qui doit y aller, est-ce qu'elle s'y sera? [00:11:46] Speaker B: Je pense qu'il y avait au début, lui, Catherine et Marie-Josée Horselin. Je pense que là, c'est avec Marie-Josée Horselin qu'il manque et que Catherine ne va plus. Mais il ne peut plus monter deux personnes de son comité exécutif avec lui, tout simplement, parce qu'il tombe minoritaire au conseil. Puis là, vu qu'il est robuste sur sa décision, que le conseil va toujours envoler le 1er octobre, bien c'est lui. Il ne veut pas se permettre justement de perdre un vote. C'est-à-dire que s'il y a un sommaire décisionnel qui pourrait être chaud lors de cette séance-là, si on décidait tout simplement de voter contre, là, il perdrait sa majorité lors de ce conseil municipal. [00:12:19] Speaker A: Fais-nous un update vite sur le tramway. Ils prêchent dans le désert, là. Le tramway, c'est pas très compliqué, là. Grands bancs de sang vont être élus, il y aura pas une scène. Le gouvernement du Québec a pas une scène, ils ont annulé les rénovations et réparations de toiture. Dans les cégeps, sacrifices, on est rendus à la dernière dernière scène. Ça, c'est comme un gars qui va vérifier, voir s'il y a pas des rouleaux de 25 scènes qu'il avait cachés dans son tiroir à bas. pour faire sa fin de mois. Je veux dire, on est rendu là, au gouvernement du Québec. Mais lui, il continue de flotter, flyer avec un petit cocon, un petit groupe de journalistes, cheerleaders. Il pense vraiment que ça va marcher, le tramway? Il pense vraiment ça, lui-là? [00:13:03] Speaker B: J'adore, j'adore. J'adore les paroles que tu viens de prononcer parce qu'avec son groupe de journalistes qui flotte sur un nuage, nous, On n'arrête pas de le répéter comme deuxième opposition à la ville de Québec. J'arrête pas de leur dire aux journalistes qu'il n'y aura pas de plan financier. Arrêtez de nous faire croire qu'ils tramouillent sur les rails. Il n'y aura rien d'attaché à l'automne. Je n'y crois même pas avant l'hiver. On va faire une élection sans problème là-dessus. On va essayer de nous faire croire qu'on est rendu trop avancé, qu'on a trop dépensé, qu'on a trop immobilisé. C'est complètement faux. On est complètement dans le nerf, on est complètement dans le vide, on sait même pas comment ils vont attacher ça au gouvernement fédéral. Et on a le risque d'aller justement en élection cet automne. [00:13:44] Speaker A: Le fédéral n'a pas donné une scène, confirme-moi ça. Les libéraux n'ont pas donné une scène à date. C'est juste du maudit blabla du clou. [00:13:52] Speaker B: La seule chose qui est signée, nous on a une lettre de Dominique Leblanc, le ministre de Dominique Leblanc qui est en charge justement... Oui, mais il n'y. [00:13:58] Speaker A: A pas de chèque Patrick. [00:13:59] Speaker B: Non, non, il n'y a pas de chèque, mais il y a 1 million. La somme qui est autorisée du gouvernement fédéral, dans le programme EBI, on va mettre ça au clair ce matin pour tous les auditeurs, c'est 1,112,000,000. Ce n'est même pas 1,200,000,000, la somme qu'ils veulent mettre. On n'est même pas... Là, la somme qui est autorisée, c'est sur un plan financier de 3,3 milliards. Le premier plan financier. On n'a même pas la somme supplémentaire pour attacher le plan financier de 4 milliards. Puis là, on repart à zéro. Ce que les gens doivent savoir, c'est qu'on repart à zéro. On va devoir retourner en appel d'offres pour l'infra, c'est-à-dire pour le promoteur ou celui qui va décider justement de couler la fameuse dalle de béton ou de mettre les rafles. Et ça, c'est 14 à 18 mois. C'est 14 à 18 mois. Ça veut dire quoi? On est très loin de débuter les travaux du tramway, mais eux, ils vont essayer de faire croire à la population. que le travail est bien sur les rails, puis qu'on peut plus reculer dans le projet de tramway en faisant quelques travaux préparatoires. [00:14:58] Speaker A: — La panique, les bras dans les airs. C'est incroyable. Hé, Patrick, il faut que je te laisse, Patrick, pas inquiète. Merci encore. — Merci. — Merci. Bye-bye. 7h42 sur les taxes.

Other Episodes

Episode

August 21, 2024 00:15:55
Episode Cover

CAQ: Legault a RATÉ SA RENTRÉE!

Listen

Episode

September 03, 2024 00:12:39
Episode Cover

J’ai déjà eu des bougonneux à T-R… JE LEUR AI DIT DE DÉMÉNAGER!

Listen

Episode

August 27, 2024 03:59:56
Episode Cover

Maurais Live - Intégral du 27-08-2024

Maurais Live - Intégral du 27-08-2024

Listen