LACHANCE: La machine municipale est au service de QFF!

October 09, 2025 00:23:40
LACHANCE: La machine municipale est au service de QFF!
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LACHANCE: La machine municipale est au service de QFF!

Oct 09 2025 | 00:23:40

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[00:00:00] Speaker A: Savez-vous quoi, Breaking News, on vient de tasser Rambo, on va y parler plus tard, c'est trop gros. C'est trop gros, c'est peut-être un point tournant dans la campagne. Stéphane Lachance, deux choses d'abord. Sondage, je m'y suis pas assez attardé et je vais le faire là, c'est parce que je l'ai fait en manchette, vous savez un peu le format de l'émission. Les petites patates, donc il n'y a plus de gros bulletins de nouvelles et tout. Les petites patates, donc c'est des manchettes. Revenons, avant de parler avec Stéphane Lachance, revenons au sondage. La grosse montée du sondage, c'est Stéphane Lachance, les amis. C'est Stéphane Lachance qui est quasiment nez à nez. Et il est même à l'intérieur de la marge d'erreur. Il est nez à nez avec Ahmad. Excusez-moi, c'est gros cette affaire-là. 18% Ahmad qui prend une débarque. Et il a Lachance qui monte comme une flèche. Et... Petit Claude, il est là dans le poteau saumon. Oh boy! Petit Claude, égalité avec Anne Guérette. C'est pas bon là. C'est pour ça que vous l'avez vu faire toutes sortes de sparages au débat à huis clos de la Chambre de commerce. C'est que le gars, il avait vu les sondages. Donc c'est un résultat, rappelons-le, de léger de ce matin dans le Journal de Québec. Et là, c'est peut-être un point tournant également parce qu'on se rend compte que L'organisation, qui est l'ancienne organisation de Stéphane Lachance, rappelons, qui a été candidat pour le Parti conservateur et qui a perdu aux mains de l'infâme Éric Caire, l'organisation du PCQ, à partir de ce matin, est derrière Stéphane Lachance. On n'a plus que saluer ça. On l'a en ligne. Allô Stéphane Lachance. [00:01:38] Speaker B: — Bon matin tout le monde. [00:01:39] Speaker A: — Des bonnes nouvelles? [00:01:40] Speaker B: — Des très bonnes nouvelles. Écoute, on travaille très très très fort. Tous les candidats font énormément de travail de terrain. On a plus de 400 pancartes. Je pense que Dan l'avait souligné hier ou avant-hier. On a plus de 400 pancartes de terrain qui ont été distribuées. On reçoit encore des demandes. On a dû repasser encore une nouvelle commande. Les gens veulent s'afficher. Puis pour moi, c'est important. Ça me touche parce que, premièrement, j'en livre beaucoup moi-même. Les gens, déjà, quand ils me voient arriver, ils sont très surpris de me voir livrer moi-même les pancartes avec des bénévoles. Deuxièmement, c'est un commitment que les gens prennent. Ils indiquent à leurs voisins dans leur milieu de vie. Moi, je vais voter pour eux. Et ça, je trouve que c'est... Ça, c'est un vote qui est acquis. Ça, c'est un vote qu'on sait que la journée du vote, ils vont y aller. S'ils ont mis une pancarte sur leur terrain, ils vont aller voter le 2. Alors, pour nous, c'est important. [00:02:24] Speaker A: Écoute, je... Allons-y, Stéphane, si tu permets. Je regarde le survol, si tu veux, du sondage, OK? Marchand monte de 2 points à 29. Mais ces votes-là, il va les chercher chez Villeneuve. qui a perdu trois points. Donc, il y a un genre de ventre communiquant. Tant qu'à voter pour de la gaugauge, on va voter pour une gaugauge qui va être à l'hôtel de ville. Ahmad perd deux, Tangong quatre. Première question, qui va être la chance? Tu vas récupérer des Ahmad déçus, mais est-ce que t'as réveillé peut-être des indécis également? As-tu convaincu des indécis, Stéphane? [00:03:04] Speaker B: Je pense qu'il y a une part des deux là-dedans. Moi, ce que je considère, moi, je n'ai rien de contre M. Hamad, mais je pense que M. Hamad, il a été garroché là. Je pense que ce qu'on voit présentement, c'est l'aspect préparation. Hier, on a parlé justement de l'agrandissement du périmètre urbain. J'ai eu un téléphone d'un journaliste, c'est mon chef de campagne Marc Roussin, qui est aussi candidat dans l'Acte Saint-Charles Saint-Émile, qui a répondu aux journalistes, qui lui expliquait exactement. Ça fait dix ans que Marc est dans ça, puis la journaliste de Radio-Canada lui a dit Je ne pense pas qu'il n'y aurait personne d'autre qui aurait pu me l'expliquer comme vous me l'avez expliqué. Les gens qui sont chez nous, on est préparé. Ça fait deux ans qu'on se prépare. On a un plan de communication. On va atteindre le 2 millions de vues sur nos réseaux sociaux. On domine présentement les réseaux sociaux par rapport à tous les autres. On est préparé. Malheureusement, comme je te dis, Peut-être que M. Hamad a fait le calcul qu'il a une très grande notoriété, puis on n'y enlèvera pas ses douze années passées à l'Assemblée nationale. On le remercie pour ce qu'il a fait pour la région de Québec, mais je pense qu'il a été garroché là, puis malheureusement, ça se déroule peut-être pas aussi facilement qu'il le pensait. Puis je suis content de voir ce matin, entre autres avec... j'ai vu un post de Jim Légaré, là, le PCQ, les gens du PCQ, tu sais, je. [00:04:23] Speaker A: Disais, Mais qu'est-ce que c'est? Qui est Jim Légaré pour le commun des mortels? Et qu'est-ce qu'on est en train de voir du côté du PCQ qui ne voulait pas s'impliquer? Puis là, on n'est pas en train de dire qu'Éric Duhem va poser tes pancartes, pas ça qu'on dit, mais on dit qu'il y a quand même une communion, une communauté de pensée. Ces petits gouvernements, bon, mais ces petits gouvernements, il y a un parti qui prône le petit gouvernement au provincial. C'est le parti d'Éric Duhem. Et toi, c'est ce que tu proposes. D'ailleurs, t'en as été critiqué par Radio-Canada. Là, c'est de l'austérité. Ils ont tenté de faire peur au monde avec ça. Donc, qu'est-ce qu'on constate depuis ce matin sur les internets? [00:05:01] Speaker B: On constate que, premièrement, il y a des gens qui étaient peut-être indécis à savoir s'ils allaient voter respect citoyen ou leadership Québec, puis qu'ils voient par la clarté du message qu'on va aller avec respect citoyen. Chez nous, même Jackie Smith l'a dit en débat, Ce qu'elle aime de moi, c'est qu'il n'y a pas de flou. On sait exactement où tu comptes. Pour le troisième lien à l'Est, contre le tramway. Est-ce qu'il y a quelqu'un qui peut penser que je vais changer d'idée sur le tramway? Je pense pas. [00:05:28] Speaker A: Et à l'opposé, Stéphane? Tu respectes Jackie dans la mesure où elle, c'est de la gogoche. Tu sais, c'est ça. Il n'y a pas de Fla-Fla, il n'y a pas d'Urvenésie. Son idée ce matin, d'ouvrir cette épicerie municipale dirigée par la ville, c'est-tu de la gogoche à côté? [00:05:48] Speaker B: Je ne pense pas que c'est au municipal de gérer l'alimentation et de devenir concurrent. [00:05:52] Speaker A: Non, du steak semelle de bottes. [00:05:54] Speaker B: Mais c'est ça, mais je veux dire, c'est dans l'idéologie, puis moi je respecte ça. [00:05:58] Speaker A: Mais c'est ça, c'est ça qui est mon point. On connaît le magasin, l'annonce correspond au magasin. [00:06:03] Speaker B: Exactement, moi je respecte ça, je m'entends très bien avec Jackie, elle a ses points de vue, j'ai les miens, mais ce matin, ce qu'on s'aperçoit, c'est que les gens du PCQ, et c'est un message que je lance ce matin sur Tézondre, les gens du PCQ, je vous demande de vous rallier derrière Espaces citoyens ainsi que moi-même, parce que les valeurs sont là, regardez le logo, quand vous regardez le logo, si vous ne voyez pas une certaine appartenance, au niveau. On a pendant plusieurs... Dans la dernière année, je veux dire, depuis environ une dizaine d'années, on a vu tout l'aspect de gauche prendre le contrôle du municipal. C'est un retour, je pense, du balancier. Les gens veulent revenir. Puis moi, mes objectifs sont clairs, puis mes objectifs sont simples. C'est de remettre de l'argent dans les poches du monde, d'aider nos commerçants, puis de m'occuper des choses de base, de l'aqueduc, des égouts, de la sécurité, les loisirs, le déneigement, puis d'avoir des citoyens. Je vois sur le terrain, puis les gens me disent, Qu'est-ce que vous allez faire pour moi? Les gens me parlent de réalité, de bouts de rue qui ne sont pas terminés de pavé ou quoi que ce soit. C'est ça qu'on va faire. On ne commencera pas à se tirer à Bordeaux et à Bruges pour aller faire de l'unicycle. Moi, je n'ai pas le temps d'aller là et je n'aurai pas le temps non plus d'aller faire des shows de showbiz à Montréal. Moi d'ailleurs, je l'ai dit et je le redis sur tes ondes. Moi, je vais rester à Québec. Je vais travailler avec les artisans de Québec. Je vais être disponible pour les journalistes. et les communicateurs de Québec. S'il y a du monde de Montréal qui vient venir faire des entrevues, ils viendront prendre une chambre à Québec, ils viendront m'interviewer ici, mais je n'irai pas perdre mon temps à Montréal. Moi, c'est Québec. Québec, ce n'est pas Montréal, puis on va rester qu'est-ce qu'on est dans notre image. On est des gens fiers, on est des gens différents, puis Québec, c'est comme ça qu'on l'aime. [00:07:38] Speaker A: Je sais que, Doom, t'avais sorti des extraits de Renault d'hier. Il y a deux aspects dans la chronique de Renault d'hier. L'alcool et également les voyages. On en a fait des montages aussi. On s'est amusé un peu avec ça tellement que c'est gros, tellement que c'est... Puis tellement que c'est pas couvert par les médias. Puis avant de les faire entendre, je veux que tu les commentes. Je trouve ça pathétique, je trouve ça triste et je trouve que c'est de la désinformation. Au maître de rapporter une histoire qui est vraie, qui est vérifiée, qui est d'intérêt public à 100%, que celle des nombreux voyages, pas juste de marchand, mais de l'administration de la Ville de Québec, et également, L'histoire de l'alcool, quand un marchand dit que ce n'est pas correct, qu'on ne devrait pas charger l'alcool aux citoyens, et vous avez Renaud Labrecq qui divulgue sur nos zones un compte de dépenses-factures à la main de consommation d'alcool de marchands qui est chargé aux citoyens, Moi, je trouve ça excessivement grave. Je sais pas, là, je fais appel à Doum. Tu l'as-tu sorti, Doum? Ça s'en vient. Il me fait dire, « Regarde, tu l'as entendu, la chronique, on l'a... » Je vais te le faire entendre à l'instant. Stéphane, je vais te le faire entendre avant. On écoute ça. [00:08:59] Speaker C: On a reçu un courriel de la Ville de Québec au lendemain de notre chronique qui est sortie dans les médias chez TVA. Et la demande d'accès à l'information, la 250902-2045, a été modifiée. Donc, la Ville a modifié les informations qui nous ont transmis. La Ville vient de nous retourner, il y a à peine quelques jours, après avoir modifié la demande d'accès à l'information, un nouveau document qui présente plus ou moins 11 000 $ de dépenses, ce qui est loin du 1 000 $ qu'ils nous ont envoyés. Mais dans le 11 000 $ qu'ils nous ont ventilé via un fichier Excel, la demande était les frais de restaurant, hôtel, alcool, hébergement dans son dernier mandat. [00:09:36] Speaker A: Non, mais là, c'est pas la même affaire. [00:09:37] Speaker C: Ben oui, c'est la même question. La question était la même que Bruno Marchand et la même pour M. Labeaume. Mais là, la Ville nous transmet un nouveau fichier qui représente plus ou moins 11 000 de dépenses et on inclut dans ce fichier-là Excel des dépenses avant le 5 novembre 2017, donc dans son deuxième mandat et non dans le dernier. On inclut des dépenses comme les suivantes. Remboursement pour la bonne mal-soleil, remboursement journaux, remboursement pour la campagne de novembre, pour des campagnes de photos. [00:10:01] Speaker A: C'est parce que si à même les fonctionnaires de la ville, on commence à taponner puis à faire de la malhonnêteté, puis à te donner des chiffres qu'on change deux semaines après une fois que ta chronique est faite, je veux dire, là, on fait confiance à qui, là? Moi, le deuxième extrait, je le trouve plus important. Le premier, bon, Marchand a menti, ça, c'est business as usual, là. Le deuxième, c'est que la machine, la machine municipale, commence à travailler pour Bruno Marchand, au lieu de citoyen, pour essayer. [00:10:29] Speaker D: De le mieux le faire paraître. [00:10:31] Speaker A: Alors ça, Stéphane, ta réaction, c'est quoi? [00:10:34] Speaker B: Ben oui, effectivement, c'est exactement ça. Je trouve qu'on est en train d'instrumentaliser tout le service municipal au profit de Québec Fort-et-Fier. Et ça, ça ne devrait pas. Comme d'ailleurs, je trouve ça déplorable que depuis trois semaines, les millions apparaissent partout, les kilomètres de pavage. On sert de la ville pour faire la promotion du parti du maire. Il devrait y avoir un moratoire, ça devrait exister six mois avant les élections. On ne peut pas faire d'annonce comme celle-là parce qu'on se sert de l'argent. C'est un peu comme le gouvernement du Québec, même chose. On se sert de l'argent de l'administration pour faire la promotion de l'administration en place. Est-ce que c'est un retour d'ascenseur? Parce que tu as souvent parlé de Bruno Marchand de 2021. qui disait qu'il était prêt à écouter, puis l'acceptabilité sociale... [00:11:21] Speaker A: Même si vous me critiquez, je vais revenir à choix. [00:11:23] Speaker B: Oui, mais à choix, c'est pas compliqué. Je vous disais, souvent, Renaud, malheureusement, pour certains journalistes, il est pas pris au sérieux parce que c'est un chroniqueur de choix. Il faut pas se le cacher, là. C'est ça. [00:11:34] Speaker A: Mais... Qu'est-ce que tu penses de la couverture médiatique? [00:11:38] Speaker B: Ben, ça dépend. Elle est variable, ça dépend des postes. [00:11:42] Speaker A: Qui fait la meilleure job? Là, on parle des médias mainstream. Mettez pas Radio-X là-dedans. Nous autres, on fait du commentaire, pis Gary, il se présente au point de presse. Moi, je parle des médias avec des salles de nouvelles, OK? Donc, vous avez là-dedans TVA, Journal de Québec, Radio-Canada, Nouveau et Le Soleil. C'est qui qui fait la meilleure job et pourquoi, selon toi? [00:12:04] Speaker B: Le soleil, on a toujours eu une bonne couverture, puis je le dis malgré que cette semaine, c'est Carmichael qui a sorti mon histoire. Ymélie Pelletier, j'ai eu une très bonne collaboration avec elle. Zoé Couture à TVA, honnêtement, c'est elle qui a parlé la première... qui est venue m'interviewer sur les allégations de Renaud. Donc Zoé Couture, moi, je trouve que ça va très, très bien aussi. Puis on est plus présents, là. Hier, je dis juste hier, j'ai passé deux fois à Radio-Canada, une fois à TVA puis une fois à Nouveau. On n'avait pas ça il y a trois semaines. Donc là, on est en train de s'ouvrir les yeux. Je pense qu'on est en train de considérer que c'était faire de la chance et rester citoyen. C'est un joueur qui fait partie de l'équation. Autant on n'avait pas de couverture au début, là maintenant, ça répond. Les personnes que je t'ai nommées, Le Soleil, Émilie Pellissier, moi j'ai eu une bonne collaboration avec elle. Zoé Couture à TVA, ça va bien. Mathieu Boivin aussi à nouveau, ça va très bien. [00:12:53] Speaker A: Et les P, on les connaît, pas besoin de les nommer. On connaît le sac, là. Ce qui reste. Ce qui reste, exactement. D'ailleurs, ce qui reste, qu'est-ce qui reste comme débat? Est-ce qu'il y a une stratégie de votre côté afin de faire tourner le vent, de faire augmenter encore plus la cadence, Stéphane Lachance? [00:13:11] Speaker B: Absolument. On a une stratégie de communication. Écoutez, je veux dire, M. Armand et M. Marchand sont partis topper. Nous autres, on est partis bas, puis on est toujours en augmentation. Puis on a vu ce que ça a donné en tant que telle partie topée. Puis M. Polière, malheureusement, est partie topée. Puis qu'est-ce qui est arrivé au final? Il s'est fait coiffer au poteau. Bien, c'est ça. Nous, c'est d'avoir une gradation. On est dans notre plan de com'. Au niveau des médias sociaux, bien, on est présent. Les gens nous voient énormément. On est sur le terrain aussi. On se fait voir. On n'a pas gagné la campagne des pancartes électorales au niveau des poteaux, mais par contre, notre campagne des 4x8 avec des engagements clairs, on est les seuls, mais le leadership Québec vient de s'adapter il y a quelques jours avec des messages, mais au lieu de mettre juste des photos, nous, depuis longtemps, ma photo avec les engagements clairs, les gens veulent que ça soit clair. Il faut que ce soit clair, il faut que ce soit dans un langage que tout le monde comprenne. On n'est pas là pour faire... Il ne faut pas qu'il y ait de brouillard dans les engagements. Moi, j'essaie d'être le plus clair possible. Mon travail, c'est de m'occuper des citoyens, de remettre de l'argent dans leur poche. Les gens sont étouffés financièrement. Les gens qui disent que je ne fais que parler du tramway, ce n'est pas vrai. Je parle du fait que les gens, on les considère comme des guichets automatiques. Ça, c'est terminé. Faut s'occuper de les autres. [00:14:20] Speaker A: La question, le débat, encore là, je demande aux boys de trouver, on a tellement d'extraits, là, j'abrule pour point. Je sais pas, je te la demande, Dom, l'extrait, la question de Stéphane Lachance au débat sur les nouvelles taxes. Je sais pas si ce serait grave de me trouver ça, Dom qui est retourné dans la tour. Ça, c'était très drôle, Stéphane, parce que tu y poses la question, Les nouvelles taxes. Lui, il dit qu'il n'y a pas de nouvelle taxe, mais il parle d'une nouvelle taxe. Ah, Dan Gravel vient de l'avoir. [00:14:48] Speaker D: OK. Mais vous nous dites en tant que. [00:14:49] Speaker B: Tel que tout va bien, mais malgré tout ça, vous êtes toujours à la recherche de nouvelles taxes. Comment vous expliquez ça? [00:14:54] Speaker A: On n'est pas à la recherche de nouvelles taxes, c'est pas vrai? [00:14:55] Speaker D: Non. [00:14:56] Speaker A: Cette nouvelle taxe-là... [00:14:57] Speaker D: Il n'y a pas une nouvelle taxe. [00:14:58] Speaker A: Celle-ci dont vous parlez nous permet de. [00:15:00] Speaker B: Développer la mobilité pour faire quoi? [00:15:02] Speaker A: Pour faire en sorte que nos biens et marchandises ne soient pas pris dans la congestion. Ça, c'est extraordinaire. [00:15:08] Speaker B: Il n'y a pas de nouvelle taxe. [00:15:10] Speaker A: Mais il y a une nouvelle taxe. [00:15:11] Speaker B: Mais le maire Marchand nous a quasiment dit aussi qu'on allait transporter des marchandises à l'intérieur des autobus du RTC, ça c'est une nouvelle pour moi aussi. Ça c'est très bon aussi. Mais en plus, les 60$ d'augmentation sur les taxes, ils n'ont même pas pris l'interdit du montant pour l'appliquer sur la dette du RTC, ils n'en ont pris seulement qu'une partie. [00:15:29] Speaker A: La moitié. [00:15:30] Speaker B: Ils s'en sont servis, entre autres, pour payer à vélo. Là, on parle aujourd'hui de Jackie avec ses marchés qu'elle veut faire. Je pense qu'il n'y a pas de corrélation à impliquer le municipal dans le commerce de la nourriture. Il n'y a pas plus, à mon sens, de raisons que la ville s'occupe des vélos. Toutes les grandes villes américaines ont des services avec Uber, avec Lyft. En plus, ils se font donner de l'argent. [00:15:54] Speaker A: T'as des commandités de ces vélos. [00:15:57] Speaker B: Exactement. Puis en plus, si tu vois, Hubert et Liff, quand tu rentres le vélo dans le rack, il se charge automatiquement. Tu n'as pas besoin d'un camion comme actuellement où ils se promènent et ils font des rondes pour aller chercher les vélos et les faire charger dans un autre endroit. Le vélo se charge directement sur place. [00:16:12] Speaker A: Oui. Exact. Qu'est-ce que tu as pensé de la sortie de Marchand sur les 80 000 jobs? Pouf! 80 000 jobs, le tramway. [00:16:22] Speaker B: Ben, je l'ai dit en débat, tout le monde a le droit de rêver dans la vie. C'est n'importe quoi. Actuellement, il y a deux personnes. Puis le fait là-dessus, je vais donner, c'est M. Hamad qui l'a dit dans le débat. Il y a deux personnes. C'est Dr. Jekyll et Mr. Hyde. Il y a Dr. Jekyll pendant quatre ans qui administre et qui n'écoute pas le monde. Puis là, il arrive en campagne électorale. Puis là, on fait 400 kilomètres d'habitude. On règle les problèmes. On met des polices. Tout ce qu'on lui rapproche en trois semaines, on va tout régler ça. Pourquoi tu n'as pas fait ça avant? Pourquoi ça a pris quatre ans? T'sais, c'est le moment donné que j'espère que les gens sont assez intelligents, là. Arrêtez de vous faire de vraies pilules. Vous avez une personne, là, qui veut vous promettre mère aimante, mais tout ce qui l'importe, c'est d'avoir encore les clés de son bureau le 3 novembre au matin. Faut que ça fasse. Puis les gens, je l'ai dit au débat, le 2 novembre prochain, les gens ont un rendez-vous avec l'histoire. Ça fait 87 ans que c'est pas arrivé qu'un maire en fonction perde son poste. Et le 2 novembre prochain, ça doit arriver pour un vrai changement pour la Ville de Québec. [00:17:20] Speaker A: C'est un débat. [00:17:41] Speaker B: Qui va être très rapide, qui va durer 25 minutes. Donc c'est des échanges très, très, très, très, très rapides entre les... entre les... entre les... entre les adversaires, entre mais les... entre les... entre les... entre les... les... c'est mort du entre prochain. [00:17:50] Speaker A: Les... entre les... Moi, je pense que ça te fouette, ce sondage-là. Il y a quelqu'un qui dit, tu devrais dire à Stéphane ce que t'as dit hier à D.A. Je vais le répéter, je trouve qu'il y a un manque de talent dans la campagne en général. Je trouve que c'est une campagne qui ne lève pas. C'est une campagne qui est excessivement mal couverte à la base. Pour qu'une campagne lève, ça prend une couverture honnête. Ce qu'on n'a pas, on n'a pas de couverture honnête avec le matériel, ici sorti à Radio X, qui n'est pas reflété dans la couverture sur le terrain. Donc il y a beaucoup de pas de patins, pas de mains. Il y a beaucoup de... La couverture est pas là, mais la campagne elle lève pas. Peut-être que là, ça va mettre le feu. [00:18:26] Speaker B: Peut-être. Peut-être. Mais je tiens quand même à rappeler, puis tu l'avais dit, là, mais je veux quand même le dire, la semaine dernière, quand Renaud avait sorti, 45 minutes plus tard, j'ai fait un live... Ah, tout à fait. Oui, oui. Et je suis le seul à l'avoir fait. [00:18:37] Speaker A: Oui. Mais ça, c'est la couverture. Ça ne fait pas partie du discours de la société civile. Honnêtement, ça, c'est un front page. L'histoire des voyages, l'histoire d'alcool, là, ça. [00:18:46] Speaker B: C'Est un front page. Non, c'est inacceptable. Il y a quelqu'un qui l'avait déjà dit que l'alcool, ça ne devait pas figurer. Et moi, je le répète, moi, ce qui me concerne, c'est sûr et certain qui va avoir une réglementation qui va interdire l'alcool, ça t'appartient personnellement, si tu veux en prendre, c'est toi qui payes, c'est pas aux citoyens de payer ça, ça c'est sûr et certain. [00:19:04] Speaker A: Message à toi, message à Ahmad, y'a pas une journée à perdre là, ok? Parce que si vous faites pas les séries, ça va être à cause d'une game perdue contre Buffalo. au mois de novembre. C'est ça, l'histoire. Il n'y a pas une journée à perdre d'ici le vote. Là, on est le 9 octobre. Bonne campagne pour le reste. Stéphane Lachance, merci beaucoup. [00:19:27] Speaker B: Bon, bonne journée à tous. [00:19:28] Speaker A: Bye-bye. [00:19:29] Speaker D: Bye-bye. [00:19:30] Speaker A: 7H47. [00:19:31] Speaker D: L'art de rien, moi, j'ai hâte de voir aussi la composition des 21 conseillers municipaux parce que là, tu sais, le sondage de matin est parlant sur ben des affaires. D'abord, marquez pas le débat la semaine prochaine dans le show de Jean-Claude sur l'heure du midi, c'est jeudi prochain, le 16 octobre, ok? [00:19:45] Speaker A: Tout le monde, sauf marchands. [00:19:47] Speaker D: Ben, c'est tout le monde, c'est la chance amale des Claude Villeneuve. [00:19:51] Speaker A: Ben, tout le monde. Remarquez que ce matin... Finalement, c'est pas tout le monde. C'est ceux qui veulent venir à Radio X. [00:19:56] Speaker D: Ce matin, cependant, c'est difficile de justifier qu'Anne Guérette soit pas là étant donné qu'elle a autant d'appui que Claude Villeneuve. [00:20:02] Speaker A: Ça, ça change. Ça prend une invitation, là. En tout cas, selon les chiffres. [00:20:05] Speaker D: Parce qu'on peut pas, c'est soit on exclut Claude ou soit on rajoute Anne, on peut pas... [00:20:09] Speaker A: C'est du nez à nez. [00:20:10] Speaker D: C'est du nez à nez. [00:20:11] Speaker A: C'est du nez à nez. [00:20:12] Speaker D: Et l'autre chose, c'est que j'ai hâte de voir la composition parce que c'est 21... 21 districts, on va le dire de même, j'allais dire circonscriptions, c'est pas le bon mot. Mais c'est 21 districts dans lesquels c'est ce qui pourrait donner une majorité ou non au maire qui va gagner. [00:20:28] Speaker A: Avec la division du monde, moi je crains beaucoup la division du monde. [00:20:32] Speaker D: Moi aussi je crée la division du vote, mais il y a aussi une division du vote qui existe. À gauche, Transition Québec, l'équipe à Jackie Smith. [00:20:40] Speaker A: Mais c'est pas assez, Dan. [00:20:41] Speaker D: Ben, t'as peu. Parce que tu vois juste 2% là. Je comprends, le 2% il est pas élevé. Sauf que c'est très... Elle présente même pas du bon dans toutes les circonscriptions. [00:20:49] Speaker A: Ouais, c'est surtout les moelloux. Saint-Roch, c'est les moelloux. [00:20:51] Speaker D: Et elle a des stars, Jackie Smith. Elle présente des stars. [00:20:55] Speaker A: OK. [00:20:56] Speaker D: T'sais, Marjorie Champagne, qui est l'ancienne Morning Woman de ses cas ailleurs, c'était vraiment le rassemblement de la gauche. Mircha, c'est quoi son nom? Mircha Arswell, je pense, qui est une historienne. Dans la région de Québec, c'est un des comptes TikTok les plus suivis. Donc tu comprends qu'elle, même si vous autres vous ne les connaissez pas, les jeunes qui votent à gauche sont mobilisés. Donc elle aussi, elle pourrait venir pitcher une grosse poignée de sable dans Vaseline de Bruno Marchand. Si le respect citoyen... Jackie devrait venir. [00:21:27] Speaker A: Au débat, pour vrai. Jackie doit profiter de toutes les occasions pour se faire entendre, pour vrai, sérieusement. [00:21:32] Speaker D: Je pense que oui, parce qu'elle n'a pas de mauvaise campagne, Jackie. [00:21:35] Speaker A: Jackie, dans son style, ça fête pas avec moi, mais je vais y parler. Elle est allée à Yann et Frank. Yann et Frank, ils sont pas de la gauche. Prendre le temps de jaser, c'est ça le point. Prendre le temps d'échanger, de jaser. On s'entend pas, on tourne la page, on se serre la main. Pas pires amis, merci, bonsoir, agree to disagree. Bonne campagne. T'sais, l'histoire des épiceries, à matin, ça nique une tête. C'est sûr que c'était caché du gouvernement. C'est sûr qu'il est moins bon que chez Pépé Hallé. [00:22:04] Speaker D: C'est sûr qu'elle nous parle pas à nous autres. [00:22:06] Speaker A: T'sais, le steak haché de la ville de Québec. Avec un col bleu, hein, qui est là. J'exagère. Viens te faire le changement d'huile à Zamboni. T'es un peu, j'arrive! Je vais te prendre quatre boulettes. On déconne, là. Mais, t'sais, c'est ça pareil qu'elle veut, là. T'sais, elle veut quand même une épicerie gérée par le gouvernement. [00:22:25] Speaker D: Oui. [00:22:25] Speaker A: Les cols bleus à la viande, les cols blancs dans le coin quoi des produits laitiers, Dan? Qui gère le congelé? [00:22:32] Speaker D: Le congelat, on va donner ça aux conseillers. [00:22:34] Speaker A: Les conseillers, ils ont un chiffre, ils ont 10 heures à faire. [00:22:37] Speaker D: Ils connaissent ça, de toute façon. [00:22:39] Speaker A: C'est communiste, en fond, cette affaire-là. Ça me fait penser à Cervantes et Carlatte, les épiceries du gouvernement. Il n'y a pas de sticker. [00:22:48] Speaker D: Non. [00:22:48] Speaker A: Il n'y a pas de publicité. [00:22:49] Speaker D: C'est beige. [00:22:50] Speaker A: Il faut que tu refasses le label. Les poids l'ossieur, c'est pas des poids l'ossieur. C'est des poids. [00:22:56] Speaker D: C'est la marque sans nom, sans le jaune. [00:23:00] Speaker A: Qui va s'occuper du lait bon? Les poêles haussières arrivent dans... Non, tu vas me... Ça prend un sticker qui dit... POIS! [00:23:07] Speaker D: Ouais. Parait comme d'une série télé, là. [00:23:10] Speaker A: Pois! Comme chips! Oh! Les laits arrivent! Non, non, c'est pas ça, là. C'est croustilles. Tu vas me refaire un autre sac, là. [00:23:16] Speaker D: Croustilles. [00:23:17] Speaker A: Croustilles! Chips! Ouais. Les sacs jaunes! Non! [00:23:23] Speaker D: Les sacs pour les ordinaires! Jaunes, c'est trop de couleurs. [00:23:26] Speaker A: Les rouges c'est le ketchup, les jaunes oranges c'est le barbecue. [00:23:29] Speaker D: Tout va être en foil. Ça va être marqué. Ketchup, rouge, ça veut dire qu'ils sont au ketchup. [00:23:36] Speaker A: Ça, ça va être assez communiste, merci là. OK, parfait.

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