POULIN: La CAQ totalement DÉCONNECTÉE AVEC SA CONSTITUTION!!!

October 09, 2025 00:14:25
POULIN: La CAQ totalement DÉCONNECTÉE AVEC SA CONSTITUTION!!!
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POULIN: La CAQ totalement DÉCONNECTÉE AVEC SA CONSTITUTION!!!

Oct 09 2025 | 00:14:25

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[00:00:00] Speaker A: La lave-vaisselle de Joe. [00:00:02] Speaker B: Un gros, gros lave-vaisselle. Jonathan Poulain. [00:00:08] Speaker A: Avec Joe Poulain, on lave pas la vaisselle en main. Faites sur de s'y maigrer avec La Tigreta, pas trop loin. Vous avez également La Broyard, là. Ruba Mec-Gasal qui va venir nous raconter comment est le Cabin de la peine. À force de dire des niaiseries, c'est sûr que tu baisses un sondage, fille. On va en reparler tantôt. C'est sûr et certain, avec un autre chroniqueur. Nick Payne! Feel the Payne! Et... Qu'est-ce que tu penses de ça, les épiceries, là? Les industries de la ville, sérieux! [00:00:55] Speaker B: Non, mais écoute... [00:00:56] Speaker A: Le col bleu qui s'occupe du steak... Non, le col bleu qui... Parce que là, on va converger, là! Ça va être conventionné, ils vont avoir des conventions collectives. Le gars qui fait le changement d'huile, le sasame boni, c'est lui qui va venir t'offrir tes brochettes. [00:01:10] Speaker B: Non, un grief. Il est pas le droit là, c'est. [00:01:13] Speaker A: Pas une carte de faux. Ah bon chieux. [00:01:16] Speaker B: Mais moi je pense que quand on va secourir Nima Machou, elle serait toute... pour devenir présidente du prochain conseil d'administration des épiceries de la Ville de Québec. [00:01:25] Speaker A: Oui, ça sera bon. [00:01:27] Speaker B: Ça va prendre un Top Gun. Elle est allée porter de la bouffe à Gaza. Elle doit être capable de s'occuper des épiceries de la ville de Québec. [00:01:33] Speaker A: Jackie, connaissant la gogo, c'est sûr que dans le buffet, il y a de la sauce aux grillons. Salade aux grillons. La soupe du jour, sauce aux grillons. La vinaigrette à sauterelles. Oui, mais là, j'aimerais ça, moi, avoir un sandwich. Sandwich aux araignées. Avec, oui mais là j'aimerais ça s'il vous plaît avoir un peu de protéines. C'est des protéines Morin ferme ta gueule. [00:01:59] Speaker B: C'est santé. [00:02:00] Speaker A: C'est des grillons. [00:02:02] Speaker B: C'est-tu recommandé par le directeur de la santé publique parce que moi si c'est pas... [00:02:05] Speaker A: C'est recommandé par l'OMS. [00:02:06] Speaker B: Moi tant que c'est pas recommandé par la santé publique ou ceux qui se promènent avec une froute l'eau pis si le veston moi j'embarque pas là. Le bonbon. [00:02:15] Speaker A: Ça prend le fucking bonbon sur la chemise. [00:02:18] Speaker B: Après ça, on se demande pourquoi la politique municipale ça intéresse pas le monde. Parce que les dossiers qui impliquent le municipal, ils s'en occupent pas pis t'sais, les vidanges, déneigement. Là, les épiceries. T'sais, à la limite, aider les organismes communautaires qui font de l'aide alimentaire, ils en ont des besoins. Les épiceries municipales, c'est tellement niaiseux. [00:02:38] Speaker A: Ça va être vegan à l'os. [00:02:39] Speaker B: Fallait y penser. [00:02:40] Speaker A: Regarde, il va y avoir des grillons, des sauterelles. Est-ce que je... Je sais pas, ça va être carrément un escectarium. Mais pour du manger. Donc à suivre. Regarde, on va suivre ça de très très près ici. [00:02:52] Speaker B: Oui, l'enjeu là. [00:02:53] Speaker A: T'as mort à l'âge. Il y a un enjeu d'urgence. [00:02:55] Speaker B: Oui. [00:02:56] Speaker A: OK. On met qui dans la vaisselle? D'après moi, tu t'en vas vers la CAQ toi là. [00:03:01] Speaker B: Non mais écoute, écoute, rentrée parlementaire pis ils nous avaient mis sur le qui-vive. Écoutez, ils ont repoussé de deux semaines tellement qu'ils avaient des affaires à nous présenter. Pis moi j'en reviens pas. Je pense qu'il y a deux mots qui décrivent pas mal ce gouvernement-là en fin de régime. On est dans la déconnexion totale pis on est dans l'arrogance. Puis il y a eu deux événements qui sont arrivés dans la dernière semaine que moi j'en suis pas revenu. J'ai écouté en rappel le balado que François Legault a donné à Paul Harkin. Vous avez une heure pour sacrer après. Moi je l'écoute dans mon char là. [00:03:36] Speaker A: Moi j'ai des ongles d'orteil à me couper après midi. Je peux se faire ça en même temps, moi je veux sauver du temps. Moi je veux sauver du temps. Des plans pour que je pogne un ongle incarné. [00:03:45] Speaker B: Mais c'est vraiment frustrant, parce que c'est un con. Vraiment une déconnexion totale. Premièrement, il défend son bilan mordicus dans la filière batterie, malgré les pertes, etc. [00:03:56] Speaker A: À un moment donné, il dit-tu, c'est pas le temps, là. Il dit-tu ça? [00:04:01] Speaker B: Ben, je sais pas s'il dit ça exactement, mais ça, évidemment, quand on arrive sur les débats de référendum, c'est un peu ça. Ah oui, oui, oui, oui, oui, oui. Puis vous remarquerez, moi, il y a une chose qui... Je porte attention aux mots. Il dit souvent, François Legault, quand il se fait poser des questions sur le référendum, il faudrait pas en perdre un troisième. Il dit jamais qu'il voterait non. Il dit jamais qu'il est contre la souveraineté. Il dit qu'il faudrait pas en perdre un troisième. Moi, si je déduis, si Paul St-Pierre Plamondon est élu, il en fait un. [00:04:30] Speaker A: Il va voter oui. [00:04:31] Speaker B: François Legault devrait tout faire pour pas en perdre un troisième. [00:04:34] Speaker A: Il veut pas perdre. Il va être dans l'autobus. Ça va être le comptable de l'autobus. Peut-être même le chauffeur. Je le verrai. Bon chauffeur, bon chauffeur, pèsez le gaz. C'est pas le temps de pèser sur le gaz. [00:04:48] Speaker B: De toute façon, on apprend, si tu veux être chauffeur, tu te mets sur le banc et tu vas passer un cours de 14h et let's go, tu l'as ton permis. [00:04:56] Speaker A: C'est pas le temps, c'est pas cac ink là. [00:04:58] Speaker B: Ben oui, ça l'est. Moi ça me fait rire quand ils ont des congrès, moi j'appelle ça la compagnie avenir Québec. Ah, plus de 300 militants, c'est tous des gens sur le payroll. Ils font venir les gens du bureau de comté, puis des cabinets ministériels, des vrais militaires. Sur le payroll de l'Assemblée nationale, absolument. Absolument, un employé de... [00:05:16] Speaker A: Un autre mini-scandale, ça, là. [00:05:18] Speaker B: Pis si vous me croyez pas, vous avez juste à faire une tournée de la page Facebook des élus, ils disent « Ah! J'étais présent avec mon équipe! » Ils ont tout fait venir les employés, mais y'a pas un militant, là, quelqu'un qui dit « Hé, moi, je crois à la CAQ. [00:05:29] Speaker A: » Y'a-tu quelqu'un qui va dire la vérité sur ces fameux congrès politiques-là? Ce sont de gigantesques parties de jambes en l'air. [00:05:38] Speaker B: Écoute, je... Arrêtez, s'il vous plaît. [00:05:42] Speaker A: Arrêtez, là. [00:05:43] Speaker B: Très rares sont les parties où y'a des vrais débats. [00:05:46] Speaker A: OK, si tu le dis. Donc la CAQ, mais regarde, tout est réglé. Depuis qu'ils ont parlé de Constitution, j'en ai plus de problème. [00:05:55] Speaker B: Ben oui, ils vont nous présenter ça ce matin, un gros projet de... Ça fait plus mal. [00:05:59] Speaker A: Y'a rien qui fait mal. [00:06:00] Speaker B: Non, mais moi je me suis... Hein. [00:06:01] Speaker A: C'Est écrit Constitution sur le tube. C'est un petit peu de crème, regarde. [00:06:04] Speaker B: C'est miracle. [00:06:05] Speaker A: Ça fait mal. Avant, ça faisait mal. Mais maintenant, regarde, je souris, je suis content. Ah oui, il pousse un peu plus. [00:06:11] Speaker B: Y'a deux affaires là-dedans. Premièrement, Moi, je trouve qu'à première vue, c'est une maudite perte de temps. Je veux dire, il y a plein de lois au Québec, on a une charte québécoise. Dites-moi qu'est-ce qu'ils vont mettre là-dedans qui ne pourrait pas être protégé ou qui n'est pas actuellement couvert par les lois actuelles sans faire un séparage au niveau de la concession. Moi, je me souviens de François Legault dans la rédaction qui disait « Ça se bat pas des autobus pour parler de concession. [00:06:37] Speaker A: » Là, il en parle à maudit avec PSPP. [00:06:39] Speaker B: Oui, mais je n'ai pas vu du monde se battre non plus dans les autobus ce sujet. [00:06:43] Speaker A: Did not happen, won't happen. [00:06:45] Speaker B: Parce que tu sais, tu regardes ça et ça fait partie de la déconnexion. Il y a des études d'opinion qui ont sorti, les gens sont extrêmement préoccupés par le coût de la vie. Si vous avez le temps d'aller voir cette semaine, il y avait un super bel écrit dans le Globe and Mail sur pourquoi le prix des maisons a tant augmenté au Canada. Il compare avec toutes les villes nord-américaines. Puis moi, ce que j'ai aimé dans cette couverture-là, c'est qu'ils viennent un peu démasquer, parce que les politiciens vont nous dire « Ouais, mais là, au Canada, il est rentré plein d'immigration. » Puis c'est vrai que ça a eu un facteur, mais l'étude démontre vraiment que le plus gros impact, c'est les contraintes gouvernementales. Les règles, puis j'inclus les paliers municipaux. [00:07:25] Speaker A: Des règles à la construction, des normes. [00:07:27] Speaker B: Oui, toutes les espèces de normes, les entraves, les permis, les ci, les ça. [00:07:32] Speaker A: Intéressant, ça. [00:07:33] Speaker B: Très beaux papiers. [00:07:34] Speaker A: Écoute, on compare... Tous ces immigrants, c'est court. En effet, c'est très court. C'est facile, c'est court, puis c'est même dangereux aussi d'en faire des boucs émissaires. Faut raffiner un peu l'analyse. Et ce que tu rapportes, c'est que justement, on raffine l'analyse avec le coût du red tape. [00:07:53] Speaker B: Absolument. Puis il nous compare beaucoup avec les villes nord-américaines, New York, Boston. Puis je vous le dis, c'est effarant de voir ça, l'augmentation en 10 ans. [00:08:03] Speaker A: Ça augmente plus ici que là-bas? [00:08:05] Speaker B: Quasi du simple au double. En 10 ans, je vais prendre Montréal, c'était 165 % d'augmentation. alors que du côté de New York, on était dans le coin de 85% d'augmentation. C'est fou raide. C'est fou raide. Une maison aujourd'hui moyenne à Montréal équivaut à peu près à une maison moyenne à New York. Alors c'est vraiment fou. J'ai trouvé le papier vraiment bien fait, vraiment intéressant, parce que ça démasque le fait qu'on a des leviers pour agir. On a vraiment des leviers pour agir direct. Enlever de la paperasse fait que comme Pierre-Olive traitait certains maires de pas bons à cause du logement, ben il devrait peut-être se regarder. On est en pleine campagne électorale. Fait que t'sais, moi je comprends les gens un peu d'être désabusés de la politique. Ceux qui suivent ça, ils disent voyons! C'est quoi, là, mes préoccupations là-dedans? Moi, j'ai de la difficulté. On voyait qu'il y a des gens qui sont à 200$ d'une faillite sur papier cette semaine. Pis écoute, ça s'invente pas, là. Hier, Québec solidaire, qui sont censés être le gouvernement en attente, là, dans l'opposition... [00:09:03] Speaker A: Ouais, ils vont attendre longtemps, là. À 6%. [00:09:06] Speaker B: Ouais, pis ils vont baisser à 3-2. Hier, là, écoute, on est en rentrée parlementaire, les sujets en veux-tu en veux-là, là. Ils ont déposé un projet de loi hier, OK? Loi sur la mise en place en milieu de travail de comités paritaires de transition juste vers une économie écologiquement durable. [00:09:24] Speaker A: Ah ça j'adore ce que tu fais là. [00:09:26] Speaker B: Ça c'est la priorité de la bande de gazales là. [00:09:29] Speaker A: Ça c'est malade. C'est ce qu'ils ont fait? Ils viennent de déposer ça? [00:09:32] Speaker B: Ils ont déposé ça hier matin. Projet de loi 190. Des comités en milieu de travail qui vont se pencher sur une transition écologiquement durable. Non mais c'est-tu du cross-royal gauche? [00:09:44] Speaker A: Ça n'a pas d'allure. Tu attends ta maison, tes bras croisés. Finissez-vous le toit. Le comité est en train de vérifier, voir si c'est genré, non genré, bien équilibré. [00:09:56] Speaker B: Quand je regarde ça, parce qu'hier, évidemment, pour présenter ce projet de loi révolutionnaire, dans les tribunes, il y avait les quatre représentants des plus grandes centrales syndicales du Québec. [00:10:10] Speaker A: Les vrais boss du Québec. [00:10:11] Speaker B: Alors moi je me suis dit, oh, on va avoir une guerre à gauche pour qui, on le sait, PSPP, avec Megali Dubaï, ça s'entend bien. [00:10:20] Speaker A: Megali en haut. T'es excité-tu à PSPP en bas? Regarde-moi, j'ai mis ma blouse rouge, regarde. On aurait dû y aller dans le bleu. [00:10:28] Speaker B: On ne voit pas sur la caméra, mais tout ça pour dire que Québec solidaire prend sabre à le corps, dit « Wow, je ne me ferais pas voler ma relation avec les syndicats. » Ça, c'était intéressant aussi. [00:10:41] Speaker A: Je n'étais pas au courant de ça. [00:10:42] Speaker B: On va parler de concision, on va parler de... Alors que moi, il y a une chose qui m'a frappé dans les réponses du premier ministre, non seulement que je trouve très arrogant, mais je trouve que ça caractérise un peu ce qui a coulé un peu le gouvernement Couillard, puis ce qui a marqué à la fin, c'est le manque d'empathie dans leurs réponses, dans leur façon de gérer tout ça. Hier, il y avait... [00:11:01] Speaker A: C'était un docteur froid. [00:11:02] Speaker B: Oui, mais là on a un comptable froid. Je donne deux exemples hier qui sont tombés. Il est sorti un papier hier disant que la moitié des étudiants de niveau collégial vont dans des aides alimentaires pour être capables de se nourrir. Puis François Legault a répondu en disant qu'on ne remettra pas plus de budget. Puis il lise le fiche. On a augmenté l'aide sociale. Qu'est-ce que ça change pour l'étudiant qui est obligé d'aller dans les banques alimentaires? Hier, on apprenait qu'il y a plus de 5500 personnes qui attendent une place dans les ressources intermédiaires. Ça aide ces ressources-là à faire en sorte qu'on désengorge un peu le système de santé, les CHSLD et tout ça. Ils répondent, on a fait des maisons des aînés. Ok, mais ça change probablement un million de cas que la porte de vos maisons des années. Ça change quoi à ceux qui sont sur les listes d'attente? Alors je trouve qu'ils sont vraiment déconnectés. [00:11:55] Speaker A: Ils jouent sur la défensive. Ils veulent plus être attaqués. Réplique, réplique avec des réponses formatées. Ils sont vraiment à des avantages numériques. Tu vois, t'as égalité avec Duhem. Les autres, ils coulent, mais Duhem est en montée. Fait que là, s'ils se croisent sur. [00:12:09] Speaker B: La route, Mais c'est là que j'ai de la difficulté à comprendre parce que sur les politiques de fond, ils n'ont jamais été bons. C'est une vraie toupie. Même lui, il disait que j'avais besoin d'une boussole à un moment donné avant de partir pour le congé des fêtes. Mais habituellement, c'est un gouvernement communiqueux. Habituellement, au niveau des communications... Écoute, cette semaine, ça ne s'invente pas. L'autre semaine, on apprenait. Il rit vraiment, nous autres. Ils ont nommé Éric Kerr adjoint parlementaire à la sécurité et au numéré. [00:12:36] Speaker A: Un petit extra-sauce à la paie. [00:12:37] Speaker B: On se disait ça, je veux dire, bas. récompense. Mais non, cette semaine, il l'a envoyé au bat. Cette semaine, c'est lui qui se levait en chambre pour répondre aux questions sur les dépensements de coûts. Parce que ceux qui ont suivi cette semaine, Santé Québec a tiré la plogue sur deux projets, dont Dossier Santé Québec, qui était rendu à 700 millions, plus du double autorisé par le Conseil du Trésor. Et il se levait, puis vraiment comme un goule, puis il attaquait le parti. libéral sur le dossier. Ça suffit. Pour ça je dis, au niveau de la communication, tu peux pas envoyer... Ça peut pas être Éric Caire-Tongoun qui est devenu le symbole de l'échec gouvernemental. [00:13:17] Speaker A: Il est sur le sixième trio. [00:13:19] Speaker B: Alors, je suis vraiment, vraiment surpris de tout ça. Mais que voulez-vous, cette semaine, la priorité sera donnée à la Constitution du Québec. Moi, au-delà du fait que pour moi c'est un débat qui est un peu inutile, ça m'inquiète un peu quand même, parce que ça pourrait devenir un fourre-tout idéologique, puis si ça devient un texte quasi-constitutionnel après ça, ça peut nous être d'impact longtemps. [00:13:43] Speaker A: L'avortement, la laïcité, on a vu ça, le satire d'un bord puis de l'autre. [00:13:47] Speaker B: Puis la laïcité sur le principe, ça va, mais on voit que quand on descend dans les détails des toits, des fois, il peut y avoir des discordances d'opinion. Autant que je trouve ça embarrassant qu'on se soit fait imposer, par exemple, le multiculturalisme dans la constitution canadienne. Bien, je trouverais ça aussi problématique qu'on vienne nous imposer d'autres concepts dans une concession québécoise. Je pense que veux, veux pas, ce type de projet de loi-là va nécessiter des consultations. Alors, à suivre ce matin au Parlement du Québec. [00:14:19] Speaker A: Merci beaucoup, Jonathan, de ton analyse. Merci beaucoup. Passe un beau week-end.

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