Episode Transcript
[00:00:01] Speaker A: Salut Ray, comment ça va?
[00:00:16] Speaker B: Eh bien, merci. Tu sais que j'étais prêt, comme les releveurs des Yankees ou des Red Sox, à venir en relève à M. Proulx au Kozu, il y a de ça une vingtaine de minutes. J'étais prêt. J'étais réchauffé, j'étais là, j'attendais le signal.
[00:00:26] Speaker A: Oui, c'est le téléphone, paraît-il, qui n'embarquait pas là. C'était Gilles qui faisait un dodo. On n'en sait trop rien. Une chose est sûre, c'est que c'est présenté au Marbre.
[00:00:35] Speaker B: Et voilà. J'aime ça, mais regarder les séries éliminatoires pour ça, pour jouer au gérant d'estrade assis dans mon salon, comme on le fait tous, puis les gens dans les gradins. Mais t'as-tu pensé que, d'abord, le nombre de décisions qu'un gérant a à prendre dans un match, Puis ensuite, l'importance des décisions. Hier, tu vois Aaron Boone, il ne s'est pas trompé hier. Le gérant des Yankees sur qui il a y une tonne de pression pour rediriger cette équipe-là. Il ne s'est pas trompé. Il est venu au Monticule. Il a joué avec son partant, Rodan. Il l'a laissé là. Ça a bien tourné pour eux. Ensuite, il a amené sa relève. Puis les Yankees ont fini par gagner 4 à 3. Mais il y a une décision T'sais, à chaque fois qu'il arrive... Parce que le baseball de 2025, d'abord, il y a presque plus de matchs complets. Alors, des relevers, ils en utilisent 4, 5, 6 par match. Pis c'est toujours des décisions, lanceurs gauchers contre frappeurs gauchers, ou le moment, le timing dans le match où tu prends ta décision, pis moi, ça me fascine. Pis j'aime ça parce que, écoute, ça nous coûte rien, nous autres, on est là, on est assis dans notre salon pis on regarde ça pis on dit « Voyons donc, comment ça que je change pas son lanceur? » Mais lui, voyons donc comment ça qu'il ne change pas son lanceur. C'est parce que l'impact de sa décision n'a pas été majeur.
[00:01:49] Speaker A: J'étais bien stressé hier. J'étais bien découragé, honnêtement. J'ai dit de la marde, les Yankees sont pas clutch, je mangeais de la marde. Sauf que rendu dans le lit, j'ai ouvert le cellulaire, j'ai regardé la fin du match, c'était une fin de match incroyable. C'est Chazon qui est revenu de blessure qui était pas très grave au bout du compte, quand il a reçu la balle sur l'avant-bras. Et c'est la vitesse de Chazon, au final, avec la course vers le marbre qui a fait toute la différence. Mais là, c'est le troisième match avec un combat de recrues. Puis Schlittler, il y a quand même eu des matchs assez impressionnants. Et là, il y aura énormément de pression dans le zoo du Bronx sur les épaules de Schlittler. Puis l'autre, de l'autre bord, je ne le connais pas, une recrue.
[00:02:34] Speaker B: Une recrue aussi, ce n'est pas un lanceur connu tant que ça.
[00:02:37] Speaker A: Non, c'est ça.
[00:02:37] Speaker B: Ce soir, l'enclos au complet est disponible au Presse parce que ça passe ou ça casse.
[00:02:43] Speaker A: Ah non, même le Bad Boy peut aller lancer là. Même le Bad Boy va lancer n'importe qui, Anything Goes, quiconque est vivant là. Ça c'est clair. Ça va être très bon. Mais que dire, des autres séries aussi, qui se rendent à la limite. Très bon aussi, la série des Indians. Des Indians, oh un scandale! La plainte s'en vient, la plainte s'en vient. Il y a plein de monde. Hey, t'as-tu remarqué d'ailleurs, sur les Guardians, Ils ont fabriqué un chandail de série. T'as-tu vu ça? C'est les Windians.
[00:03:13] Speaker B: C'est-tu bon? Oui, les Windians. C'est légal. C'est très, très bon.
[00:03:16] Speaker A: C'est très bon.
[00:03:17] Speaker B: Moi, je suis allé. J'ai eu la chance d'aller là, moi, le stade à Cleveland. C'est sur le bord de l'eau. Il y a des soirs, il fait pas chaud, là. Mais c'est un beau stade. C'est un très beau stade de baseball, ça, à Cleveland.
[00:03:27] Speaker A: Très beau stade. Et l'autre série, c'est la série des Cobbs aussi. Ça se rend en trois, vraiment. Regarde.
[00:03:34] Speaker B: C'est des gros marchés dans les séries. Des gros marchés pour la télévision. C'est très très bon ce qui se passe présentement. Pendant ce temps-là, l'équipe qui se frotte les mains et qui dit « Envoyez, jouez 10-12 manches ce soir, il n'y a pas de problème », c'est les Blue Jays parce que les Blue Jays vont jouer contre le gagnant de la série Boston Yankees. Ils vont sûrement avoir un personnel de lanceurs un petit peu plus fatigué pour arriver dans ce match-là. Mais parlant des équipes qui ne jouent pas, Hier, les Phillies de Philadelphie et les quatre équipes qui ne jouent pas, Milwaukee, Toronto, les Phillies et puis Seattle, pour garder la forme, évidemment, ils sont trois, quatre, cinq jours sans jouer, ce qui est rare. Au baseball, tu joues à plate à tous les jours. Ils sont habitués, ces gars-là, d'aller au terrain et de jouer au baseball à tous les jours. Au football, c'est une fois par semaine. Tu t'entraînes et tu joues une fois par semaine. Mais au baseball, tu joues tout le temps. Tu fais rien que ça, tu joues à la balle quand tu t'es inscrit dans un club de balle. Alors, il y a du temps à tuer cette semaine pour les équipes qui ne jouent pas. Hier, les FedEyes de Philadelphie ont joué un match intra-équipe au Citizens Bank Park.
[00:04:35] Speaker A: Les blancs contre les rouges.
[00:04:37] Speaker B: Oui, tu commences Kevin Monde dans le stade.
[00:04:39] Speaker A: Ah, il est en manque, 35 000.
[00:04:40] Speaker B: 33 000 personnes.
[00:04:42] Speaker A: Ouais, c'est ça.
[00:04:42] Speaker B: Hey!
[00:04:43] Speaker A: Ah, les gens sont horny.
[00:04:43] Speaker B: Les gens créent-tu sur leur équipe, tu penses?
[00:04:45] Speaker A: Ben oui.
[00:04:45] Speaker B: Ça comptait pas hier soir, là. C'était un match pour le fun entre les gars des équipes. On essaie de garder… Ben, oui. Les gens sont allés au stade. Oui. Les tripes en bataille.
[00:04:54] Speaker A: Oui, mais t'es un peu… Pratiques du Canadien Centre Vidéotron, à matin et demain. Il paraît que tu vois plein de monde. Ben oui, c'est une pratique. C'est Suzuki avec le puck.
[00:05:03] Speaker B: C'est une pratique, mais cette semaine, les gens ont critiqué le Canadien. Suzuki, Carfield, je vois pas.
[00:05:08] Speaker A: Ils étaient pas là.
[00:05:09] Speaker B: Mais là, ils vont être là. Tout ce monde-là est sur la glace, ce matin et demain, à 10h.
[00:05:13] Speaker A: J'ai une question pour toi, d'ailleurs.
[00:05:14] Speaker B: C'est intéressant.
[00:05:15] Speaker A: Ça prend-tu des billets pour rentrer? Comment ça marche? Il paraît-il que Jean-Claude a dit que ça prenait des billets. Je ne trouve pas les crucifix de billets. Il me semble que c'est des billets pour une pratique. Il n'y a pas de billets pour les sénateurs et la pratique. T'as-tu entendu parler de quelque chose?
[00:05:30] Speaker B: J'peux pas t'aider. J'peux pas t'aider. J'suis pas au courant si ça prend un billet ou pas.
[00:05:33] Speaker A: Ok.
[00:05:33] Speaker B: J'peux pas t'aider là-dessus.
[00:05:34] Speaker A: J'vais t'amener sur quelque chose que t'as pas écrit dans ton line-up, mais c'est quand même important. Heart, le goaleur, là, qui est impliqué dans l'histoire de Team Canada.
[00:05:44] Speaker B: Oui.
[00:05:44] Speaker A: Je l'ai écrit. Ah, tu l'avais écrit?
[00:05:47] Speaker B: Oui.
[00:05:48] Speaker A: Non.
[00:05:48] Speaker B: Avec les Golden Knights, probablement.
[00:05:50] Speaker A: Non, non, mais toi, matin, tu me dis, on va parler de baseball, des franchises, la Ligue nationale, le Canadien qui s'entraîne et la NFL.
[00:05:57] Speaker B: J'ai pas écrit dans mon line-up à toi, non. Effectivement.
[00:06:01] Speaker A: Mais oui, c'est gros quand même.
[00:06:05] Speaker B: C'est gros, c'est gros. Moi, je suis d'accord à ce que les joueurs reviennent jouer dans la Ligue nationale de hockey, mais la réalité est que ça ne fait pas l'unanimité. Et puis les joueurs devront vivre avec les conséquences. Je pense qu'ils le savent très bien. Non seulement des amateurs, mais de certains coéquipiers, je pense. Il y a des pères de famille dans les équipes de la Ligue nationale de hockey. On ne reçoit pas tous ça de la même façon, ce qui est arrivé avec l'équipe Canada Junior. C'est juste normal que ça va peut-être accrocher avec certains. Maintenant, tu peux refaire les ponts. Écoute, à se parler, on se comprend très souvent. Puis, des coéquipiers, tu sais, la vérité vraie, dans une équipe de 23, 24, 25 joueurs, c'est pas tout le monde qui s'aime la face. Écoute, dans une station de radio, on est dix pis on s'aime pas tous la face, soyons frais. Alors, dans un club de hockey, à 23, 24, 25 joueurs, c'est certain qu'il y a des coéquipiers que tu t'entends moins avec. Le but commun demeure le même pour tout le monde. Ça va aller. Sauf que ce n'est pas reçu de la même façon par tout le monde. Alors j'ai hâte de voir comment ça va se passer pour Carter Hart avec les Golden Knights.
[00:07:18] Speaker A: En même temps, ce qui se passe à Vegas reste à Vegas. C'est un vicieux, mais il est dans la ville du vice. C'est le plus talentueux des anciens accusés.
[00:07:35] Speaker B: Par sa position, je pense que c'est plus facile de l'intégrer. Il y a un élier gauche, un défenseur, Ça prend plus de cohésion. Un gardien de but, on le dit souvent, c'est déjà un petit peu à part. Même s'ils font partie de l'équipe, c'est un monde à part, le monde des gardiens de but. À cause de ça, c'est peut-être plus facile de réintégrer un gars dans cette circonstance-là. Mais c'est particulier, alors j'ai bien hâte de voir.
[00:08:00] Speaker A: Maintenant, je veux t'entendre sur les coups de cochon. Tu sais, les bagarres, c'est une chose. Évidemment, Isabelle Charest, pas beau la chicane, elle a un discours... Oui, c'est la ministre des Sports, mais c'est un discours, à mon avis, impertinent. Les bagarres, on le sait, dans le junior. C'est pas que c'est interdit, mais c'est sévèrement puni. Tu te bats, t'es suspendu pour un match.
[00:08:20] Speaker B: La seule ligue junior au Canada, il faut le répéter.
[00:08:23] Speaker A: Je le sais.
[00:08:24] Speaker B: La seule ligue junior au Canada.
[00:08:25] Speaker A: On a fait ça pour lui faire plaisir. Je souhaite une sortie contre Courteau, on s'en souvient.
[00:08:29] Speaker B: Et voilà.
[00:08:30] Speaker A: Maintenant, moi, c'est les coups vicieux. Ça, là-dessus, on va s'entendre. Le freak à Cousins qui a... Il a son poste, mais le slashing à l'endroit de Demidov, les gars protègent les sacrifices. C'était gratuit.
[00:08:45] Speaker B: C'était gratuit. Comme Strobel en plein visage d'un joueur des sénateurs aussi. Il y en a quand même des deux côtés. C'est des coups qui n'ont pas à faire dans le monde du hockey. Une amende, est-ce que c'est assez sévère pour faire réfléchir le joueur à la réponse? C'est non, effectivement. Il y avait une belle occasion pour la Ligue étant donné qu'on est en match hors concours. C'est le début d'une nouvelle saison. C'est souvent ça les problèmes. Tantôt je te parlais de décision pour les gérants au baseball. Les dirigeants de la Ligue nationale de hockey en début de saison, tu as intérêt à être plus sévère que moins. pour placer les balises le plus haut possible pour la suite. Parce qu'après ça, c'est du comparatif. Le directeur général d'un joueur qui va poser un geste, parce que c'est comme ça que ça fonctionne, pour avoir ou non une suspension, le préfet de discipline va jaser avec l'arbitre. Ensuite, il va jaser avec les entraîneurs, il va jaser avec les joueurs impliqués dans la situation. Et très souvent, il va jaser avec le directeur général. Il y a beaucoup de jeux de coulisses après ça pour déterminer une suspension ou pas. Le préfet de discipline, je ne me souviens même plus c'est qui dans l'Union nationale de hockey d'ailleurs. Est-ce que c'est encore George Paras? Je ne le sais pas, mais il ne se fait rien. Le préfet de discipline, il regarde ça, il regarde la situation. Puis avant de prendre sa décision, lui, il a des adjoints. Puis ensuite, il parle à tout le monde impliqué. Tu comprends qu'il y a un petit jeu de bras de fer qui se joue à l'interne pour déterminer ou non une sanction. Et l'autre chose, C'est qu'une suspension, ça fait perdre de l'argent à un joueur. Mais ça, en tant qu'amateur, pour l'intégrité de la Ligue, on s'en fout comme dans l'an 40. Parce qu'il faut que tu fasses respecter les joueurs sur la glace, si eux ne sont pas capables de se respecter.
[00:10:27] Speaker A: Si Demidov est blessé, la game est différente.
[00:10:29] Speaker B: C'est ça. Oui, certainement. Il n'y a aucun doute. Ce sont des êtres humains. C'est comme ça que ça fonctionne. S'il y a une blessure grave soumette à un geste, la suspension est beaucoup plus probable que s'il n'y a pas de blessure grave. Hier, on a vu des photos. Le Canadien a joué au club de golf La Faune. Demidov était là. Il n'a pas l'air d'avoir trop mal. C'est pour ça qu'il n'a pas eu de suspension.
Il n'y a personne, je pense, qui aurait pu chialer, même le coach et le DG des sénateurs, si on avait donné un match de suspension à Kozun. Juste pour mettre la barre un peu plus haute en partant la saison.
[00:11:04] Speaker A: Tout à fait. Je vais parler de l'NFL en finissant. Demain, c'est notre bloc NFL. J'ai soumis quatre questions au groupe. C'est un genre de bilan de premier mois. Toi, tu n'es pas avec nous autres demain, mais je te pose la première question. L'équipe avec la fiche gagnante la plus fraude du LOU, c'est laquelle? Quand je dis frauduleuse, c'est dépendant du calendrier, etc. Le type de victoire aussi, ça serait qui?
[00:11:25] Speaker B: Bon, il reste deux équipes à 4-0, c'est pas ceux-là, parce que Buffalo et Philadelphie sont là pour vrai, c'est pas du hasard, c'est de très bonnes équipes. Mais c'est pas dit pour un fiche.
[00:11:34] Speaker A: Parfait, j'ai dit fiche gagnante, t'as plus de 5 ans.
[00:11:36] Speaker B: Non, c'est sûr, je sais. Je réfléchis dans ma tête, je me pose la question, je fais mon cheminement, moi-même, je pars d'en haut, m'en vais jusqu'en bas. Ce serait Indianapolis, la réponse à ta question, parce que je crois encore plus ou moins au quart arrière des Colts, qui est Daniel Jones. Ils ont une fiche de 3-1. Ils ont bien joué jusqu'à date. La semaine dernière, ça a été plus compliqué contre une bonne équipe comme les Rams. Alors, ce serait Indianapolis, la réponse à ta question.
[00:12:00] Speaker A: La déception jusqu'à maintenant?
[00:12:03] Speaker B: La déception, moi, c'est...
[00:12:04] Speaker A: La déception comme joueur et comme équipe?
[00:12:06] Speaker B: OK. Comme équipe, je dirais les Dolphins, même s'ils ont gagné la semaine dernière. Je m'attends beaucoup plus des Dolphins de Miami. Comme joueur maintenant, je vais dire Russell Wilson avec les Giants de New York, mais à quoi on pouvait s'attendre vraiment de Russell Wilson?
[00:12:26] Speaker A: Moi je dirais Lamar Jackson. Lamar Jackson, les Ravens et Lamar, c'est la déception. C'est une catastrophe pour vrai.
[00:12:35] Speaker B: Je suis d'accord avec toi. Je suis d'accord avec toi avec les Ravens à 1-3, mais ils ont affronté des bonnes équipes.
[00:12:40] Speaker A: Tout le monde affronte des bonnes équipes. Tu connais pas une équipe de l'NFL qui joue contre une équipe du niveau secondaire. Je veux dire, oui, il affronte des bonnes équipes. Non, non, mais il affronte des bonnes équipes. Tu peux pas dire... Tu peux pas donner ça juste comme justification, là. C'est à un moment donné... Non, parce que les Ravens ont une équipe pour.
[00:12:59] Speaker B: Aspirer aux bonnes honneurs. Exactement. Exactement.
[00:13:03] Speaker A: Est-ce que tu es capable d'y débattre à un moment donné?
[00:13:05] Speaker B: Je suis d'accord. Je suis d'accord avec toi que les Ravens, de par leur fiche, c'est décevant. Mais à cause des adversaires qu'il y avait devant eux, je mets un bémol un petit peu.
[00:13:14] Speaker A: Ton MVP c'est qui? J'ai demandé à Dan avant la pause.
[00:13:19] Speaker B: C'est encore toi Sheldon.
[00:13:20] Speaker A: C'est Sheldon à deux choix, ton deuxième choix. T'as pas piqué des verres Dan? C'est parce que faut regarder ce qu'il se passe avec Jalen Hurts du côté de Philadelphie aussi. Les deux clubs sont invécus.
[00:13:31] Speaker B: Ray Eagles de Philadelphie, c'est le seul club de tout sport professionnel à ne pas avoir perdu une seule game en 2025.
[00:13:38] Speaker A: Capoté.
[00:13:39] Speaker B: Très très bon.
[00:13:40] Speaker A: C'est une manière de le tourner, c'est intéressant.
[00:13:43] Speaker B: Jalen Urch, je pense qu'il est encore sous-estimé. Je sais qu'on en parle un petit peu plus. On lui donne du crédit, MVP du Super Bowl. Mais quand on fait des discussions entre chums, c'est rare qu'on va le nommer dans les meilleurs carrières. Il n'est peut-être pas le plus élégant sur le terrain. Il peut te battre avec son bras, il peut te battre avec ses jambes, mais il y a une chose que Jalen Hurts fait, il gagne. Il faut respecter ça. Même s'il y a des bons joueurs avec lui, Jalen Hurts est un winner. Il serait dans la discussion pour le titre de joueur le plus utile avec Josh Allen. Josh Allen est incroyable, les amis. Josh Allen, c'est la raison pourquoi les Bills sont considérés pour gagner ou aller au Super Bowl cette année. Il y a un bon club autour de lui, mais Josh Allen, il rend tout le monde meilleur. Il était MVP l'an dernier. Ce n'est pas pour rien. Là, il est au maximum de ce que ce gars-là peut donner dans la NFL. Il est vraiment incroyable, Josh Allen.
[00:14:38] Speaker A: On se voit demain au rempart contre l'Océanique, assurément.
[00:14:42] Speaker B: C'est bon.
[00:14:43] Speaker A: Take care. À demain. Bye.