LAMBERT: Si je deviens président de poste Canada... J'ARRIVE AVEC UNE SCIE À CHAÎNE!

October 06, 2025 00:16:01
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Oct 06 2025 | 00:16:01

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[00:00:00] Speaker A: François Lambert! François Lambert! François, le modèle est mort. Comment ça va? [00:00:19] Speaker B: Ça va bien, mais c'est pas mon modèle à moi, là. On va parler d'autre chose que... [00:00:23] Speaker A: C'est pas ton modèle à toi. C'est le modèle... le modèle du... Iran-Flouron, les coffres, année après année. Et là, Postes Canada, c'est ça qui est spectaculaire. C'est que c'est 10 millions, rappelons-le, c'est pas une donnée nouvelle, mais quand même, 10 millions par jour de pertes. Sans pas d'allure. [00:00:49] Speaker B: C'est l'équivalent d'un autre vol par mois. Je ne comprends même pas qu'une seule personne en ce moment puisse supporter le modèle d'affaires actuel de Postes Canada. Il n'y a personne qui peut dire en ce moment que ce modèle-là a de l'allure. C'est parce que le problème, c'est que le syndicat, qui essaie de nous faire peur constamment, a-t-il pensé aux personnes âgées? C'est tout le temps... que les personnes âgées puis les autochtones qui vont nous garocher d'en face. Et là, on peut plus rien dire. [00:01:19] Speaker A: Oui, parce qu'on pense pour des écoeurs, hein? [00:01:22] Speaker B: Ben, quel policier va lui dire « ouais, c'est vrai, les personnes âgées »? Parce que les gens pensent que revoir le modèle congédié en masse des gens, ça veut dire arrêter de donner des services. C'est pas ça. C'est d'avoir quelqu'un d'autre qui va le donner ou un modèle revu. Parce qu'en ce moment, Dominique, c'est encore des choses que t'attendais par la poste, pis là, tu te dis « ouais ». Mon compte de Bell, Vidéotron, Hydro-Québec, je pense que je pourrais l'envoyer par e-mail. [00:01:47] Speaker A: Toi, t'es en ligne. [00:01:50] Speaker B: Si tu le fais pas en ce moment, t'as la chance de le faire. Ils vont te le dire de le faire parce qu'eux autres veulent avoir de l'argent. Quand même que Postes Canada est en grève pendant les 6 prochains mois, tu peux payer ton compte de Vidéotron ou de Bell ou peu importe avec qui que t'es. Donc, tu vas le faire quand on switch vers l'électronique et t'en reviendras plus jamais après parce que c'est là qu'on s'en va. Donc, pourquoi? Le syndicat s'obstine contre ça. Il est en train de tuer tout ce qui va rester comme employés. Mais le problème, c'est qu'on laisse le syndicat faire ce qu'il a à faire. Ça veut dire faire des grèves. Le syndicat, c'est designé pour faire des grèves quand ça fait pas leur bonheur. Ça fait qu'ils font des grèves. Y'a où le lock-out? À quel moment est-ce que le président ou le gouvernement va dire « C'est quoi, là? On vous envoie un lock-out, on va refaire le modèle » pis qu'il y a pas un mot à dire? Le syndicat, là, se cache derrière Dominique, pis tous les syndicats font ça. Ça cache derrière la Formule 1 qui a été mise en 1946, comme quoi tu dois être syndiqué. Ils cachent derrière ça. Puis là, ils se sont donné des rôles. Des rôles de définir comment la compagnie devrait fonctionner. Pas de tes affaires. Tu es clair? Pas de tes affaires. Ton rôle, c'est de protéger les employés. Les employés qui vont rester dans une restructuration, tu vas protéger ceux-là. Tu vas accepter que la compagnie a le droit d'arrêter de perdre 10 millions par année. Il n'y a aucune raison qu'on perde 10 millions par année, Dominique. Ça m'insulte, ça m'écoeure et on ne fait rien. Puis là, ils vont leur proposer une augmentation de 13,59 en enlevant le bonus. On ne peut pas donner d'augmentation. Les gens qui nous écoutent, là, arrêtez de penser que si votre compagnie perd de l'argent, qu'elle peut vous donner une augmentation. Vous voulez une compagnie prospère. Et là, Parce Canada ne l'est pas. On ne peut pas donner d'augmentation. point final. Il faut qu'on règle la ressaturation avant de donner de l'argent supplémentaire. [00:03:41] Speaker A: Et en plus, François, c'est dans le devoir de ce matin. Oui, augmentation de 13,59 jusqu'à 7 semaines de vacances et une indemnité de vie chère pour se protéger contre l'inflation. Mais qu'est-ce que c'est, cette affaire-là? Qu'est-ce que c'est, cette affaire-là? [00:04:00] Speaker B: Ben, il vit dans un monde déconnecté. Si la compagnie fait beaucoup d'argent, là, beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent, tu dis OK, on peut y tirer l'élastique. Mais là, la compagnie n'en fait pas. Pantoute, pantoute, pantoute. Et le syndicat qui nous écoute en ce moment, là, je le sais ce qui va les marquer, parce qu'à chaque fois que je parle de Postes Canada, ils viennent parler de leur président, Doug, qu'ils connaissent par cœur. C'est la seule compagnie où le syndicat connaît le président, Doug, whatever. Ils vont me le garrocher dans la face parce qu'ils ont moins de washé. Les gens de Postes Canada en ce moment sont totalement brainwashed. À chaque fois que je fais un statut, que j'en parle, ils deviennent enragés. Tu connais pas Pete Dog avec ses 12 vice-présidents pis y'a rien fait. [00:04:39] Speaker A: Ben lui-ci on va le mettre dehors. [00:04:41] Speaker B: Ben mettons-le dehors lui-ci. Tout le monde devrait être mis dehors. La direction définitivement. Est-ce qu'elle gagne trop cher? Ben oui elle gagne trop cher pour la livraison, pour le service qu'ils font. Il est là depuis 2018. Qu'est-ce qu'un président fait là depuis 2018? qui ne livre pas la marchandise. C'est deux mains liées par le gouvernement, puis le gouvernement va lui dire, tu fais ça, si c'est le cas, il a fait la job. Donc c'est la faute au gouvernement, mais à un moment donné, le gouvernement, ça y prend un bouc émissaire en ce moment. Puis la meilleure façon, ça serait de le foutre à la porte et de revoir le modèle. [00:05:11] Speaker A: Bien, revoir le modèle. Là, je t'amène là. Je t'amène là. Parfait. Corneille, trip, c'est britannique. Excellent. Corneille devrait se concentrer sur l'expérience de Royal Mail. Royal Mail, fondée en 1516 par Henri VIII. Ça sentait le yaoub quand t'avais une carte de fête. Ça sentait le fumier, d'après moi. Ça a été un service essentiel pendant longtemps, géré directement par l'État, comme nous autres. Au fil du 20e siècle, Royal Mail a dû composer avec baisse de courrier, comme nous autres. Une hausse des coûts de main-d'oeuvre, comme nous autres. Une concurrence accrue dans le système de la livraison de colis, comme nous autres. DHL, UPS, FedEx, nommez-les, Puro, même Puro. Concurrence même, Postes Canada. C'est un peu fucké, alors que dans le fond, c'est la même boîte. [00:06:04] Speaker B: C'est le même président en plus. [00:06:06] Speaker A: C'est le même président. Mais ça, ça a été... réformé et sous Cameron en 2013, octobre 2013, l'État vend 60% des actions de Royal Mail via une IPO, une introduction en bourse. Je ne sais pas qui a acheté des actions de ça. [00:06:22] Speaker B: Je ne sais pas si c'est payant. C'est un bulgare je pense. L'année passée ça jaseait encore beaucoup parce que c'est quelqu'un, un étranger, un bulgare qui a acheté un bulgare ou un hongrois. le monde capote parce que... Royal Mail je parle François? Hein? Royal Mail? Royal Mail a été acheté par... le majoritaire c'est pas un britannique là. On savait pas assez, mais c'est pas grave. Ils se sont... ils essayent des choses. L'autre chose qu'ils font au Royal Mail, c'est que les petits colis, on peut les déposer en les scannant dans des boîtes postales. [00:06:56] Speaker A: J'ai la réponse, passe t'au vert là-dessus. C'est un fonds possédé par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. [00:07:03] Speaker B: C'était ça. Donc ça a fait beaucoup chaser, mais royalement, ils sont venus aussi avec des boîtes postales, où tu ouvres une boîte aux lettres normale et tu scans ton petit colis jusqu'à la grosseur d'une boîte de chaussures, qui sont la plupart des colis qui sont gros comme ça. Parce que lorsque tu vas envoyer un colis, même ici, c'est compliqué, il est au bureau de poste, il faut que tu te déplaces, on a besoin d'un dépanneur. On a installé des boîtes postales partout. Donc ce sont modernisées. [00:07:29] Speaker A: Ce que j'ai depuis 20 ans dans mon quartier, en passant. [00:07:32] Speaker B: Oui, mais on n'essaye rien du tout, du tout, depuis que la baisse des colis. Et là, les entreprises, si une entreprise qui nous écoute, n'attendait pas le 1er décembre pour dire « je ne peux pas envoyer mes colis, c'est à faute à Postes Canada ». La Fédération des entrepreneurs indépendants, l'FCEI, n'arrête pas d'aller dans les journaux en ce moment pour dire « ça l'impacte les PME ». Ils font tellement peur. Tu sais combien de fois je dois répéter par jour pour dire aux gens, je ne livre pas que Postes Canada, je ne livre pas que Postes Canada. Parce que là, il y a une campagne de peur faite par la fédération des... l'FCEI, j'ai oublié leur nom, là. [00:08:09] Speaker A: Fédération Canadiens de l'Entreprise indépendante. [00:08:11] Speaker B: Exactement, merci. Et eux, arrête pas de répéter que ça l'impacte. Si ça l'impacte, là, c'est que les entreprises n'ont pas appris de la dernière grève de l'année passée. À un moment donné, tu ne peux pas te fier à eux. Arrête de te fier à eux. [00:08:22] Speaker A: Elle peut être pas en même heure, c'est ça? [00:08:25] Speaker B: Ils ne sont pas fiables. Tu le sais, ils vont retourner en grève. Ils ont été forcés de retourner au travail jusqu'au mois de mai sous un décret. Donc, tu le sais très bien qu'ils vont retourner en grève. Pourquoi tu les reprends? Tout le monde, en ce moment, la grève devrait presque siphonner les revenus potentiels de Postes Canada. Il va en perdre encore plus. On peut pas maintenir 55 000 employés. Il y a plus d'employés qu'en 2015. [00:08:49] Speaker A: Bon, ce matin, qu'est-ce qu'on fait, François, 9h06? Toi, t'es le ministre en charge de Postes Canada. Tu fais quoi? Autour de la table, tu dis quoi à Carney? [00:08:56] Speaker B: Ils sont en grève en ce moment. J'ai dit, écoute, on doit revoir le modèle. On déclare un lock-out et bingo, on revoit le modèle. [00:09:04] Speaker A: Est-ce qu'on privatise, ce matin, le Journal du Québec? Oui, on privatise. Est-ce que la recette britannique, François? [00:09:11] Speaker B: Je prends la recette plus allemande. DHL qui nous livre ici. Imagine-toi, c'était le service de poste de l'Allemagne qui livre partout dans le monde, soit installé partout dans le monde. C'est ça. Est-ce qu'il est trop tard? Probablement qu'il est trop tard. Mais on privatise. Privatiser, ça veut dire qu'en ce moment, le bureau de poste qui est dans un dépendant, il est déjà privatisé. C'est une franchise. Il n'y a plus de raison d'avoir ton maître poste dédié dans un bureau de poste. Il peut faire autre chose. On l'a déjà, une partie de ce modèle-là, mais pas gérée. Pétro-Canada, là, a été privatisé. Air Canada a été privatisé. Et malgré qu'ils ont été privatisés, Dominique, regarde les règles qui restent encore. Le président d'Air Canada doit être bilingue. Il n'y a aucune entreprise... — Doit être bilingue. [00:09:56] Speaker A: Ben oui, quand il va Viesta, bureau de poste au Yukon. [00:10:01] Speaker B: Non, mais regarde, il doit... C'est-tu niaiseux ça, entre toi et moi? C'est mal compris. [00:10:06] Speaker A: Non, non, non, mais François, il veut être bilingue. Ça, c'est de la folie. Ça, l'histoire du bilinguisme intégral, il faut qu'il parle français quand il va au Yukon, dans le bureau de poste, voyons donc. Prendre un compétent, prendre un vrai... Je reviens sur dire, tu as trouvé quelque chose d'intéressant. Concrètement, toi, tu adoptes le modèle allemand, j'adore. Je suis en train de lire là-dessus. Et humblement, je ne savais pas que DHL c'était Deutsch Post. Je ne le savais pas. [00:10:29] Speaker B: Oui. [00:10:30] Speaker A: Mais les DHL, autrement dit les camions rouges et jaunes que vous voyez, ça c'est le système allemand qui a été privatisé par Helmut Kohl dans les années 90. [00:10:43] Speaker B: Oui. [00:10:43] Speaker A: C'est complètement capoté ça, cette affaire-là. Et c'est devenu un modèle, une puissance mondiale. [00:10:52] Speaker B: Exact. [00:10:52] Speaker A: Mais ça se fait par des humains. qui ont du courage. [00:10:56] Speaker B: Ils ont encore des conditions. Ils ont été en grève dernièrement, eux aussi. [00:11:00] Speaker A: Mais Helmut, il se tenait-tu le cadrette, lui, hein? C'était pas un p'tit monsieur gris comme Carney? [00:11:05] Speaker B: Héhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhéhé R-Canada qui a été privatisé, bon il y a encore des vestiges quand on dit que le PDG doit parler... [00:11:29] Speaker A: Ben oui, puis Québécois n'arrête pas de l'écoeurerie. [00:11:32] Speaker B: Ben c'est par rapport à ce que c'est une société d'État parce qu'on s'en fout qu'il présente... Le PDG qui parle français... Donne-moi des. [00:11:39] Speaker A: Sièges au prix logique. [00:11:41] Speaker B: C'est la seule chose qui m'intéresse. Ce n'est pas important du tout. Le gouverneur général ne parle pas français. Bon, il paye 50 000$ de cours de français. [00:11:53] Speaker A: Ah, les cours de français! Ah oui, mais oui! [00:11:56] Speaker B: Bon, le reste, revenant à Postes Canada, le modèle ne peut pas continuer. À chaque jour, en ce moment, ils perdent des revenus qui ne reviendront pas. Ces revenus-là qu'ils perdent en ce moment ne reviendront pas. Les petits timbres, ils vont en avoir de moins en moins des lettres, donc ils vont vouloir livrer encore plus des pamphlets de courtiers immobiliers, parce que c'est ça que j'ai moi dedans. Puis quand je regarde quelque chose, je me dis, ah, OK, c'est un oubli que j'ai fait. Les affaires du gouvernement, la plupart du temps, ne sont pas tout à fait automatisées. Puis regarde, Dominique, les passeports. Les passeports qui sont en attente en ce moment. [00:12:30] Speaker A: Si vous allez en voyage dans deux ans, réveillez-vous. C'est là qu'il faut que tu demandes ta demande, ton renouvellement. [00:12:36] Speaker B: Comment ça se fait que tous les services gouvernementaux, n'ont pas trouvé dans la première grève, ils ne sont pas capables de se tourner le bord avec UPS, FedEx, Saint-Élicomme, Obox. Il y en a des tonnes de services de livraison qui peuvent prendre le relais et leurs craintes ne sont pas assez sécures. Voyons donc toi. C'est pas assez sécure. Penses-tu qu'UPS... UPS est capable de livrer un iPhone ici, pis il te le livre avec la signature pour pas que tu te le fasses voler, là. Arrêtez de penser que c'est pas sécure les autres, là. Postes Canada n'est pas plus sécure et moins sécure que les autres services de livraison. C'est inacceptable que les passeports ne sortent pas en ce moment. C'est comme s'il y a une solidarité envers les différents paliers de gouvernement pour dire, OK, bon, t'es en Grèce, donc je vais pas aller voir quelque chose parce que je vais me faire passer pour un SCAB. C'est inacceptable, Dominique. On peut les sortir les passeports sans problème. Tous les autres, les autres chèques en ce moment, on peut les livrer. Je suis persuadé qu'il y a des compagnies qui nous écoutent en ce moment. Ils pourraient dire, moi, je te prends le courrier demain matin pour la ville de Québec, je prends le reste. Intellicom qui passe partout dans tout, puis je veux pas les vanter, je m'en fous, je les connais pas là. Mais Intellicom passe dans le fond de mon rang, moi, me livrer du Amazon de chez nous. Ils sont capables de prendre le courrier puis le livrer en ce moment. Il faut avoir le modèle, mais qui a le courage de faire ça? Qui a le courage si on va sortir les personnes âgées? Encore qu'on ne prend pas soin des personnes âgées. Le gouvernement est minoritaire, il n'y a pas qu'à attraper son directeur. Donc on est poigné encore parce qu'on va utiliser les émotions au lieu d'utiliser la logique. C'est juste ça. La logique fait qu'on ne peut pas perdre des millions. La logique fait qu'on ne peut pas leur donner une augmentation de 13,59. La logique veut qu'on jumelle ça avec pas un puroletter, mais privatiser. Faut qu'on arrête cette folie-là. Mais qui a le courage de faire ça, Dominique? [00:14:33] Speaker A: « Postes Canada doit subir une thérapie allemande. [00:14:37] Speaker B: » J'aurais dû accepter quand on m'a proposé de faire mon CV à jour en 2016. [00:14:41] Speaker A: Ça, c'est tu vrai que t'étais crousé pour être chef de Postes Canada? [00:14:46] Speaker B: Dans ce temps-là, j'étais flirté par le Parti libéral, le Parti conservateur. J'ai été faire des conférences pour le Parti conservateur. J'avais rencontré Justin. J'avais cheveux courts dans ce temps-là, donc j'étais présentable. [00:14:56] Speaker A: Ouais, c'est ça. À ce temps-là, t'es plus alléolé, quoi. C'est sûr que si t'arrives à Postes Canada, ça va pleurer, là. [00:15:03] Speaker B: Bien, on me l'avait proposé, François, mettons, c'est Vajo, le poste est disponible. Puis j'ai fait, ah non, moi... T'aurais dû accepter. [00:15:10] Speaker A: Regrettes-tu? Tu regardes-tu? [00:15:11] Speaker B: Bien, quand je regarde ça, et surtout, j'étais pendant l'affaire dans ce temps-là, j'avais pas rencontré Marie-Lyne, qui est ma conjointe actuelle, donc j'étais un agent libre. [00:15:19] Speaker A: Oui, je comprends. [00:15:20] Speaker B: Donc j'aurais pu me déplacer, aller vivre à Ottawa. Est-ce que je regrette? Bien, le fait, c'est que personne ne va m'avoir au pouvoir d'une société comme ça parce que je m'en hache. Moi, je ne me promène à quelque chose comme ça qu'une hache. C'est très bon. [00:15:33] Speaker A: Merci beaucoup. Merci beaucoup François. Très bon ce matin. Merci encore. [00:15:37] Speaker B: Merci, salut. [00:15:38] Speaker A: Salut, bye. Très très bon. 9h13. Ouais. 50 000$ par année. Pour qu'elle apprenne le français. Oui, oui, oui, il en a parlé, François. On se laisse là-dessus à la pause. Hey, ça donne des résultats anti-péché, hein? Je prétends au sérieux mon rôle de défenseur de la diversité culturelle et linguistique.

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