Episode Transcript
[00:00:01] Speaker A: Let's go live now from the Tower of Doom. Mets ton béret, légionnaire. This is Moray Live. On devient un légionnaire et on reste jusqu'au la mort. From the Radio X world headquarters, here is your legendary Legion of Doom.
Écoute, je viens d'ajouter un peu sur Charlie Kirk. Vous en avez parlé tout à l'heure avec Frank, mais quelques extraits de la fin de semaine à partir de vendredi. Montage, en fait, de tout ce qu'il s'est dit, de comment on décrivait Charlie Kirk à Radio-Canada.
[00:00:50] Speaker B: De droite, d'extrême droite.
[00:00:51] Speaker C: Théorie complotiste d'extrême droite. Il était un peu l'égérie d'un mouvement, dit-on, extrémiste, raciste, complotiste, qui divise la société et qui devient aussi un danger pour la démocratie.
[00:01:01] Speaker D: Activiste d'extrême droite, allié du mouvement manga de Donald Trump. Beaucoup de propos racistes aussi.
[00:01:06] Speaker C: Un complotiste misogyne, homophobe et raciste qui souhaitait, entre autres, la disparition des personnes trans.
[00:01:13] Speaker D: Ça n'a pas de bon sens. Ça n'a pas d'allure.
Mais quel est le constat, quelle est la conclusion à laquelle on doit arriver? C'est qu'au Québec, c'est le festival du n'importe quoi. De par notre langue, de par le fait qu'on est les seuls à parler français en Amérique du Nord.
Les commentateurs, les analystes et les médias mainstream peuvent dire n'importe quoi. Sans conséquence. C'est ça, la clé. Parce que si vous dites ça en anglais, oui, au Canada anglais, ils en ont dit des conneries. Mais si vous dites ça et autre chose également... Moi, j'ai entendu plein d'affaires sur Trump, sur Melania, sur le fils de Trump, sur un tel, un tel, un tel, un tel, un tel. Si vous dites ça en anglais, Ça se peut que vous ayez du trouble, là. Ça se peut que vous ayez une mise en armeur ou une belle lettre d'avocat.
Ici, au Québec, on dit n'importe quoi avec impunité. Parce qu'on se sent à l'abri sur notre île.
[00:02:18] Speaker A: Beaucoup d'effets chambre d'écho, je te dirais, là-dedans. Eux autres, ils voient passer des affaires, ils y croient, puis il y a personne d'autre pour les questionner à ce sujet-là. À un moment donné, Alain Gravel, en fin de semaine, en ouverture de son émission, il y a une journaliste web, de ce que je comprends, qui dit un peu ce qui se passe, puis.
[00:02:35] Speaker D: Ce qui se dit sur le web, puis...
[00:02:37] Speaker A: Puis là, à un moment donné, il demande, ouais, bien ça, est-ce que... Est-ce que tu as vu ça sur le web, justement, de la haine, de la gauge des gens qui se réjouissent de la mort de Charlie Kirk?
[00:02:47] Speaker E: Certains internautes se réjouissent de la mort de Charlie Kirk.
[00:02:50] Speaker D: Est-ce que vous l'avez observé, vous aussi.
[00:02:52] Speaker A: Sur les réseaux sociaux?
[00:02:53] Speaker B: Je ne l'ai pas tant observé. Oui, je l'ai vu de plateforme en plateforme, mais ce que j'ai vu, c'est une montée du discours discriminatoire, haineux, violent, où on va chercher à retrouver ceux qui célèbrent la mort. On va vouloir les lister. On a même créé un site Internet qui s'appelle « Charlie's Murderer », où là, on va mettre le nom des personnes qui célèbrent la mort sur les médias sociaux de Charlie Kirk et on va donner leur identité. Donc, il y a toute cette chasse aux sorcières-là en ce moment.
[00:03:21] Speaker A: Donc elle a pas vu ça, excepté ceux qui dénoncent pis eux autres sont haineux, là. Donc ceux qui célèbrent la mort de Charlie Kirk, le meurtre de Charlie Kirk, eux autres sont pas haineux, là. Mais ceux qui dénoncent, eux autres sont vraiment haineux pis c'est juste eux autres que j'ai vus, moi. C'est ça que je parle de chambre d'écho, là.
[00:03:38] Speaker D: C'est terrible.
Concernant le racisme, j'aime ça Chad Jupiter de temps en temps. C'est un outil fun. Il est de gauche bien souvent. Et là, je lui pose la question ce matin. «Charlie Cook était-il raciste?» Il n'était pas raciste. Par contre, il avait des critiques très vives envers Black Lives Matter. Ah! Ah, mais savez-vous quoi? Je vais vous en trouver des noirs qui étaient contre Black Lives Matter. Parce que Black Lives Matter est devenu... Au début, c'était censé comme politique. Quand on regarde ça, oui, tout le monde ensemble, oui. Il y a personne qui doit se réjouir, quel que soit le groupe ethnique, quelqu'un qui se fait tuer, oui. Mais rapidement, c'est devenu excessivement polarisant.
et c'est devenu excessivement chargé et très politique et très exclusif. Black Lives Matter, c'est pas... Non, Blue Lives Matter, ça marche pas. La vie des policiers, ça ne marche pas. Dans le narratif, c'est devenu discriminatoire envers les Blancs. Le Blanc méchant...
s'attaque au noir et toute personne qui est contre ce mouvement-là est raciste. Donc on est devenu très enfermé très rapidement.
[00:04:55] Speaker A: Il était critique de Black Lives Matter, il était critique de l'affirmative action, donc la discrimination positive.
[00:05:01] Speaker D: Donc t'étais raciste! C'est ça. Affirmative action qui existe depuis...
Richard Nixon.
[00:05:08] Speaker A: Il était critique de Martin Luther King.
[00:05:10] Speaker D: C'est-à-dire, à note, pareil, t'engages un noir. Autrement dit, à candidature égale, t'engages un noir. Donc la discrimination positive, qu'on appelle.
qui a peut-être été utile pendant un bout, quand même, j'en conviens. Au début, il y avait quand même... On arrivait d'une autre époque complètement, avec ce qu'on appelle les lois de Jim Crow. Après, finalement, la fin de l'esclavage, il y avait quand même beaucoup, beaucoup d'exclusions. C'est un contexte totalement différent. Mais ils critiquaient Black Lives Matter. Mais pour eux autres, c'est d'être raciste. Pour eux autres, c'est d'établir l'équivalence. Donc, tu te réjouis de la mort de George Floyd.
Pas du tout. Tu comprends-tu? C'est des raccourcis intellectuels pour diaboliser l'autre.
[00:05:57] Speaker A: Vendredi, la femme de Charlie Kirk, sa veuve en fait, est sortie, a fait un discours genre de 15 minutes en disant que l'oeuvre de son mari, elle voulait le continuer et tout. Voici comment ça a été compris de deux personnes à Ratcan.
[00:06:11] Speaker E: Mais Yves, c'est pas ce qu'on entend parce que même la veuve de Kirk hier, ce qu'elle a dit dans une allocution à la télé, vous n'avez rien vu. Alors ça peut déraper assez rapidement.
[00:06:23] Speaker A: Malheureusement, je crois qu'on n'a rien vu. J'ai même écouté la veuve de Charlie Kirk qui dit que c'est un cri de guerre qui appelle à la guerre. On n'est pas du tout dans des gens qui apaisent.
[00:06:36] Speaker D: Elle vient de perdre son mari. Elle est dans les émotions.
[00:06:40] Speaker A: Voici ce qu'elle a dit pour vrai.
[00:06:44] Speaker F: Que la mission de mon mari était puissante auparavant. Vous n'avez aucune idée de ce que vous avez déclenché à travers tout ce pays. Vous n'avez aucune idée du feu que vous avez éteint dans cette femme. Les cris de cette vache vont écouler autour du monde comme un cri de bataille. Pour tous ceux qui écoutent ce soir à travers l'Amérique, le mouvement construit par mon mari ne mourra pas. Il ne le fera pas. Je refuse de laisser ça se passer. Personne Ça.
[00:07:27] Speaker A: A duré 15-16 minutes, je l'ai écouté au complet. Je n'ai jamais été capable de partir en guerre contre les opposants ou quoi que ce soit.
[00:07:31] Speaker D: Elle dit... Ils ont pris le mot... Ils ont pris le mot battle cry.
[00:07:36] Speaker A: C'est une expression, simplement.
[00:07:37] Speaker D: Comme! Comme Trump qui dit Bloodbath. Exactement.
[00:07:45] Speaker A: En parlant de la bourse. En parlant de la bourse, en parlant de l'industrie l'auto.
[00:07:50] Speaker D: Oui, c'est ça. Lui, il parlait de l'industrie l'auto, tu as fait raison, mais c'est utilisé entre autres à Wall Street quand il y a une débarque, en business, quand il y a une débarque boursière. Et ça, c'est démontré. Faites ça, bloodbath sur Bloomberg.
[00:08:03] Speaker A: Mais à aucun moment, elle dit qu'on va partir en guerre contre nos opposants ou quoi que ce soit. Elle dit juste qu'elle veut continuer l'oeuvre de son mari. Elle veut continuer Turning Point USA. Elle veut que ça devienne plus gros même qu'avant.
[00:08:13] Speaker D: Non, mais ils ont pris... C'est quand même un bon exemple qu'on donne. La Battle Cry, cri de guerre. Ils disent n'importe quoi. Ils critiquaient Black Lives Matter, donc ils racistent. Black Lives Matter, c'est des émeutes.
C'est des ameutes et c'est le cri des fontes de police.
[00:08:31] Speaker A: Des magasins en feu.
[00:08:33] Speaker D: Des magasins en feu. Oui, mais il faut les comprendre, c'est de la bonne violence. Et des fontes de police, n'oubliez pas ça, que des fontes de police, la mairesse de Montréal est tombée là-dedans. Il y a des maires au Québec. Ici, à Québec, on va lui donner un marchand qui n'est pas tombé là-dedans. Pas du tout. Pas tombé là-dedans, du tout, du tout, du tout. Ça, là-dessus, on a une police forte à Québec.
et jamais marcher en versilade. Par contre, Montréal, oui, mais c'est surtout aux États-Unis. C'est là-dessus qu'ils se sont opposés. Donc, je suis un raciste? C'est complètement fou.
[00:09:08] Speaker A: Ce samedi soir, c'était réglé. L'assassin, c'était pas quelqu'un de droite. C'était pas quelqu'un de gauche.
[00:09:13] Speaker C: J'aurais vraiment, vraiment...
[00:09:15] Speaker A: C'est pas le bon, ça, là.
[00:09:16] Speaker D: On sait maintenant que l'assassin présumé de Charlie Kirk, c'était pas un militant d'extrême-gauche, c'était pas un démocrate, c'était un jeune homme de 22 ans, élevé dans une famille républicaine, dans la culture des armes.
[00:09:27] Speaker A: Fait que c'est réglé. Fait que finalement, il a été élevé dans une famille républicaine. Fait qu'il est républicain. Donc, c'est quelqu'un de droite. Donc c'est un droite qui a tué un droite. C'est eux autres qui ont réglé ça demain. C'était Cipriani à l'émission de Marie-Louise Arsenault.
[00:09:40] Speaker D: Ah non, c'est tout des saucés. C'est des saucés.
[00:09:43] Speaker A: Ben, le plus saucé, je te le fais entendre là.
[00:09:45] Speaker C: J'aurais vraiment, vraiment préféré ne pas voir ces images-là. C'est pourtant la vidéo la plus épeurante que j'ai vue de ma vie. Je suis sous choc et j'ai beaucoup envie de pleurer. Je regarde les gens se tirailler, assis dans leur trône de bien-pensance, quatre secondes après les événements, avec une froideur princière et des textes de 800 mots qui nous expliquent en détail exactement comment on devrait réagir, parce que personne n'a le droit de se réjouir de la mort de ce gars-là, un complotiste misogyne, homophobe et raciste qui souhaitait, entre autres, la disparition des personnes trans. J'haïssais ce gars-là, je l'haïs encore, et même si j'aurais probablement mis ma main pour arrêter le sang de son cou, j'arrive à comprendre le soulagement qu'éprouvent beaucoup de gens dans l'idée que ce gars-là ne prononcera plus jamais son discours de marde. J'y arrive et d'y arriver me bouleverse. Ce monde est complètement fucké, Patrick. Ça se peut que nos réactions soient émotives, ça se peut qu'on ne dise pas toujours exactement la bonne affaire, qu'il y a des bottes qui dépassent, qu'on ait de la misère à comprendre ce qu'on ressent parce que ce dont on est témoin, ce à quoi on assiste, n'a aucune allure. On peut-tu respirer deux secondes? Les affaires commencent à aller pas mal vite, là. Le terrain est à près glissé et nos maisons se dirigent tout droit vers un grand trou où j'ai de plus en plus peur qu'on réchappe personne.
[00:11:10] Speaker D: Sur les ondes de Radio-Canada?
[00:11:14] Speaker A: Ouais, vendredi matin avec Masbourian.
[00:11:16] Speaker D: Et Masbourian a-t-il réagi?
[00:11:20] Speaker A: Oui, en disant que c'était très touchant.
[00:11:23] Speaker D: Donc, il la laisse aller, donc il approuve?
[00:11:25] Speaker A: Hum-hum.
[00:11:26] Speaker D: La même antenne qu'a suspendue Bureau? et qu'il l'a réprimandé via son Ombudsman. Parce qu'il a fait une entrevue avec le docteur aux cheveux longs de Marseille, qui n'était pas pro-vax. C'est dégueulasse. C'est vraiment dégueulasse. C'est l'apologie détournée d'un meurtre, carrément. Mais dit de manière lyrique, puis de manière affronteuse, ouais, à du coffre, elle. C'est de la haine pure.
Mais vous avez payé pour ça parce que l'antenne de Radio-Canada est financée uniquement par des fonds publics. Vous avez payé cette personne-là. Mettez-vous ça dans le coco, gang. Elle a un cachet et c'est vous qui l'avez payé. Comment c'est tanné, moi, de payer pour des affaires que je veux pas. Je peux en faire une liste jusqu'à demain matin. Il y a plein de trucs que je veux pas entendre, que je veux pas vivre, que je veux pas traverser. Plein de trucs que j'endure et que nos enfants vont endurer qu'on paye.
[00:12:26] Speaker A: Là, c'est que c'est de la promotion de la haine.
[00:12:27] Speaker D: Et ça, c'est du détournement de fonds. Radio-Canada verse dans le détournement de fonds...
[00:12:34] Speaker A: Pour promouvoir la haine.
[00:12:35] Speaker D: ...En prenant mon argent et en en faisant la promotion de la haine. Bien ça, il va falloir à un moment donné que les conservateurs restent debout. Et pas juste les conservateurs, il va falloir que les gens censés dans les médias également, parce qu'il y en a, se lèvent debout. Même à Radio-Canada, il y en a, des gens censés. Évidemment. Ils se lèvent debout pour dénoncer cette dérive-là.
[00:12:56] Speaker A: Mais ça leur sert politiquement toujours parce que la diabolisation de Trump et tout ce qu'il y a autour sert après ça pour dire « Poilievre égale Trump » et tout ce qu'on n'aime pas égale Trump.
[00:13:05] Speaker D: Tout est un château de cartes, tout est bâti en fonction de diaboliser, pas juste. Poilievre.
[00:13:13] Speaker A: Tout ce qu'il n'aime pas.
[00:13:14] Speaker D: Duhem, en fin de semaine dans le Journal de Québec.
[00:13:16] Speaker A: Tout ce qu'il n'aime pas. La semaine dernière, François Legault fait son discours, supposément un tournant à droite. Voici Josée Boileau en fin de semaine.
[00:13:27] Speaker G: Tout ce discours, traitement de choc, camisole de force et Cruella qui sera aux commandes de faire des coupures. Mais je me dis, dans le contexte actuel, est-ce que vraiment on a besoin de ça? N'avons-nous pas assez des traitements de choc et des camisoles de tout ce qui se passe au Sud? Est-ce qu'on a besoin de plonger le Québec dans un scénario de guerre avec les syndicats? Et moi, il me semble qu'on a plutôt besoin d'apaisement.
[00:13:53] Speaker A: Elle fait mention de ce qui se passe au Sud, donc on est sur le bord. On s'enligne vers dire « le go égale Trump ».
[00:14:00] Speaker D: Parce que là, il a dit qu'il.
[00:14:01] Speaker A: Faut brasser le syndicat, il faut changer le modèle québécois. C'était un peu ça le discours, mais c'est pas sûr qu'il va arriver.
[00:14:07] Speaker D: C'était un beau signe de peace en cadeau de la part.
[00:14:09] Speaker A: Oui, j'ai vu.
[00:14:10] Speaker D: De la part de notre bully en chef. C'est un bully aimable, c'est un bully qui est là pour nous défendre, bien sûr. C'est la ligne offensive qui protège le camp arrière. Moi, j'ai besoin de ma ligne. Si j'ai pas ma ligne, je me fais défoncer. C'est pas compliqué, là. Reste là, Dan.
[00:14:24] Speaker A: Le fond de son message, c'est il faut rien changer. Brassez rien au Québec, parce que sinon, ça va être comme Trump. Donc, il faut garder le modèle comme il est là. Tout va bien.
[00:14:33] Speaker D: Tout va bien.
[00:14:34] Speaker A: Oh, oui. Touchons à rien. Taxi carbone, maintenant. Ça aussi, ça les a fait réagir.
[00:14:39] Speaker E: On sait qu'en environnement, le Québec est le premier état sur 60 états et provinces en Amérique du Nord pour les GES, donc c'est nous autres qui en avons le moins. Est-ce qu'on est capable d'utiliser une partie de cet argent-là pour aider le portefeuille des Québécois? Mais là, utiliser une partie de l'argent collecté pour le fonds d'électrification et tout.
[00:15:01] Speaker A: Vous allez pas baisser la taxe sur.
[00:15:02] Speaker E: L'Essence avec l'argent de l'environnement.
[00:15:04] Speaker A: Il me semble que c'est contre-productif d'encourager.
[00:15:06] Speaker E: Les gens à utiliser leur voiture à essence.
Écoutez, on n'a rien décidé jusqu'à présent. Je pense qu'il faut trouver un équilibre. Je pense qu'il faut trouver un équilibre. On peut pas être le seul État en Amérique du Nord à faire des efforts puis à ramer dans la bonne direction.
[00:15:23] Speaker D: Le discours d'Éric Duhem, ça peut ouvrir.
[00:15:25] Speaker A: C'est copié-collé, le discours d'Éric Duhem.
[00:15:27] Speaker D: Tout ce qu'il a dit là, c'est copié-collé. Le gaz est cher en passant, parenthèse de même.
[00:15:33] Speaker A: Oui, il est monté. Un bon 10 cents dans la dernière semaine.
[00:15:35] Speaker D: Oui, oui. Ding dong, je voulais tanker, mais j'aurais pas le choix de tanker.
[00:15:40] Speaker A: Moi j'ai attendu, faut que je gagne un matin.
[00:15:41] Speaker D: Faut que j'y aille le soir des 3 matin sur Amel.
[00:15:44] Speaker A: Faut que j'y aille tantôt.
[00:15:45] Speaker D: Faites le saut là. Faites le saut.
[00:15:46] Speaker H: J'ai pas de tanker en fin de semaine, j'ai pas utilisé mon char en matin. Faites un saut.
[00:15:49] Speaker D: Oui.
[00:15:50] Speaker A: Mais ça, ça fait capoter.
[00:15:51] Speaker D: On va prendre le transport en commun, Dan. On viendra pas travailler finalement.
[00:15:54] Speaker A: Non, c'est ça. Et là, l'alarmisme en bas, je terminais avec ça.
[00:15:57] Speaker G: Alors si les politiciens décident que c'est pas important l'environnement... Qu'il va perdre. Ben oui, il va perdre parce que la planète se dit, mais mon dieu, soyez malade, ça va vous coûter cher en assurance, tout va brûler, puis vous mourrez, puis la terre va rester là. Je trouve ça tellement inconséquent, que c'est comme peut-être que les citoyens veulent perdre en temps de parler, mais le problème est là quand même.
[00:16:18] Speaker E: Oui, on va en parler avec...
avec.
[00:16:20] Speaker A: Étienne Leblanc qui en a parlé plus tard.
[00:16:22] Speaker D: Ah seigneur!
[00:16:23] Speaker A: Ça c'est un autre beau là. Oui c'est un autre beau. Lui il nous disait que la taxière bonne c'était un extraordinaire modèle.
[00:16:29] Speaker D: Un autre beau, la fin du mondiste.
[00:16:31] Speaker A: Oui.
[00:16:32] Speaker D: La fin du monde s'en vient Dan, convertis-toi.
[00:16:34] Speaker A: Juste rappeler que François Legault a été élu la première fois, la première élection de la CAQ, il n'avait aucun plan environnemental. Zéro pinball. Les citoyens s'en foutaient.
[00:16:44] Speaker H: Aujourd'hui, il n'y a pas de fête du monde possible, c'est le tournoi de golf du Canadien. Fait que tout le monde ne parle que de ça. Si tu te revires, tu vas voir que c'est ça partout à la TV. le tournoi de golf du Canadien. Si je te pose la question, quel joueur est arrivé en premier, selon toi?
[00:16:56] Speaker D: Ben là, je suis de dos, là. J'ai rien vu. Le joueur youpi, là.
[00:16:59] Speaker H: C'est Patrick Lainey qui est arrivé en premier.
[00:17:01] Speaker D: Hein? Avec un manteau de fourreux?
[00:17:03] Speaker A: Non, non.
[00:17:03] Speaker H: Il était habillé pour jouer au golf, là.
[00:17:05] Speaker A: Il était habillé comme peintre, le golfeur dans le temps, là.
[00:17:12] Speaker D: Ouais.
[00:17:13] Speaker A: En tout cas, avec le vieux style golf.
[00:17:14] Speaker D: Le vieux style, les carottés, là. Avec des pantalons de Tintin, là.
[00:17:18] Speaker H: Ah, peinture work.
[00:17:19] Speaker A: Peinture work, c'est ça.
[00:17:20] Speaker D: Ok. Pain! Merci beaucoup. Très bonne Légion.