FRANK: Pas de fausse équivalence. PERSONNE À DROITE N'A FÊTÉ UN MEURTRE!

September 15, 2025 00:16:53
FRANK: Pas de fausse équivalence. PERSONNE À DROITE N'A FÊTÉ UN MEURTRE!
Maurais Live
FRANK: Pas de fausse équivalence. PERSONNE À DROITE N'A FÊTÉ UN MEURTRE!

Sep 15 2025 | 00:16:53

/

Show Notes

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Frank, le dédomiseur. Le dédomiseur. Frank, le dédomiseur. Dédomise-toi, Alcala. Frank, le dédomiseur. [00:00:14] Speaker B: Salut Frank, bon lundi. [00:00:18] Speaker A: Bon matin, messieurs. [00:00:19] Speaker B: Que dire de plus? [00:00:22] Speaker A: C'est un peu ça, c'est un peu tout ce qu'on se dit en ce moment. Que dire de plus? [00:00:27] Speaker B: Quel dérapage? [00:00:28] Speaker A: Ce sont des dérapages multipliés, surtout en plus... Moi, ce que je déplore le plus, je pense, c'est la répétition et la répétition et la répétition de trucs qui sont carrément faux. de trucs qui sont carrément faux. Je veux dire, l'histoire que Charlie Kirk appelait à lapider des gays ou je sais pas trop, tu peux trouver genre 15 vidéos de lui sur Internet où il y a des jeunes qui s'approchent à lui pis disent « ouais, je suis gay, telle affaire » pis ils disent « first of all, bienvenue, blablabla » pis... [00:01:02] Speaker B: Il est ami avec des gays. Ben pis... Ruben, il est gay. Le commentateur américain très connu. Il est gay, proche de lui. Lui et son chum, ils le recevaient à souper. Don Lemon qui fait un vox pop. L'ancien Cav de CNN qui fait des vox pop avec des Noirs. Ah oui, vous avez de l'empathie pour lui, même s'il a dit qu'il n'aimait pas un Noir. Il n'a jamais dit qu'il n'aimait pas un Noir. Il n'a jamais dit ça. Fred Berrage, là, il poste une grand gueule, mais c'est un avocat. Il est très, très hater de Trump, mais qui va raconter des conneries. Luc Laliberté, toujours un prof en passant. qui dit qu'il voulait réhabiliter Hitler, on dit beaucoup de choses. Beaucoup, beaucoup de choses. [00:01:50] Speaker A: C'est du gros, gros, gros n'importe quoi. Écoute, sur l'histoire des gays, j'ai un tweet de Charlie Kirk devant mes yeux. Il dit, je vous le fais en français, mais c'est très clair. Il dit, je pense que le mariage, c'est un homme et une femme, mais je pense aussi que les gays sont les bienvenus dans le mouvement conservateur. Comme chrétien, on doit aimer tout le monde. Je m'opposerai toujours à ceux qui veulent établir leur croyance personnelle au-dessus des autres et qui veulent exclure de notre mouvement des personnes. Et je m'excuse, mais ça peut pas être plus clair que ça. Ça peut pas être plus clair que ça que le gars disait que les gays étaient bienvenus dans le mouvement. Je veux dire, je... Je sais pas comment... Mais en fait, pour moi, tout est résumé par le texte de Luc Lavoie à Matrix. Son texte dans le journal de Montréal où il commence en nous disant, «Avant son assassinat, aviez-vous entendu parler de Shirley Kirk? Moi non plus. [00:02:55] Speaker B: Ben voilà, si t'es pas informé, c'est ton problème à toi, c'est pas le mien. [00:02:58] Speaker A: C'est très connu. Mais je pense qu'il est là qu'il est candid dans son affaire. Je pense qu'il est pas le seul de sa gang. Il est pas le seul de sa gang à s'exprimer que « j'avais vaguement entendu le nom, j'ai aucune crise d'idée c'est qui, mais voici mon opinion ». C'est ça, là. C'est ça, en ce moment. Je sais pas. Je sais si... J'ai entendu ce nom-là quelque part, puis je... Je pense que je sais un peu c'est quoi. Puis voici mon article là-dessus, ou voici mon tweet, ou voici mon opinion. [00:03:23] Speaker B: Donc il discrétise son texte en partant. [00:03:25] Speaker A: Ben... [00:03:26] Speaker B: En le qualifiant de sans-valeur, il le connaît pas. [00:03:28] Speaker A: Voici pourquoi je suis un ignorant. Voici mon opinion. C'est un peu ça. Je veux dire, si tu sais pas c'est qui, tu peux te la fermer. Je sais pas. [00:03:38] Speaker B: Oui, tu peux écrire sur autre chose. Il y a beaucoup d'autres sujets. [00:03:41] Speaker A: Il y a beaucoup de sujets en ce moment dans la société. [00:03:42] Speaker B: Ottawa, on commence à être dans la merde. 100 milliards de déficit. Tu sais, tu peux écrire là-dessus. Tu peux écrire beaucoup de choses. [00:03:50] Speaker A: Oui, tu peux écrire là-dessus. Moi, j'ai mon browser ouvert. La liste est longue. Tu peux nous parler de Mark Carney et son histoire qui vont régler la crise du logement en bâtissant 4000 maisons préfabriquées. Tu peux nous parler de ça, si tu veux. [00:04:02] Speaker B: Des maisons en carton à longueuil. Wow! Ça va être beau, ça. [00:04:06] Speaker A: 4 000 maisons, le dernier rapport de la SCHL nous dit qu'il manque à peu près 400 000 maisons, 400 000 logements, ça compte condos, maisons, habitations de tout genre par année au Canada, il y a sûr qu'il y en annonce 4 000. Tu peux nous parler de ça, c'est un bon sujet ça. Tu peux nous parler de ça, la crise du logement au Canada. Maisons communistes. [00:04:23] Speaker B: Regarde notre catalogue, prends-toi un modèle. Le fédéral va avoir un catalogue, ça c'est pas moi qui le dit, c'est lui. Trois modèles, un peu comme les maisons, dans des quartiers, quand on se promène là, il y a des fois des quartiers à Québec c'est comme ça, à Shawmoneygan aussi, dans toutes les villes. [00:04:37] Speaker A: Ouais, des quartiers tout pareils. [00:04:39] Speaker B: Tout pareils. La rue est toute pareille. Il y avait un catalogue avec un modèle. T'sais, il y a comme des bungalows avec un carport là. [00:04:49] Speaker A: Ouais. [00:04:50] Speaker B: Là, je fais un geste, mais je suis à la radio. Mais t'sais, c'est comme un V là. [00:04:53] Speaker A: Oui. [00:04:54] Speaker B: Mon ami, ma meilleure amie, Annie Lafrenière, elle restait là sur la rue Carrier. Fallait pas que je me trompe de maison. Parce que... il était tout pareil. Sinon je rentrais chez madame Marino. [00:05:10] Speaker A: Dans les nouveaux quartiers, si tu veux être sûr de reconnaître ta maison, tu demandes à avoir les fenêtres blanches. Comme ça, t'es le seul de la gang, elles sont toutes noires. T'es sûr que tu vas retrouver ta maison au travers des autres pareils. [00:05:23] Speaker B: Où des années 90, dans le Ménil, le Malné, ils sont partis là-dessus, des bricroses. Des bricroses, moi ça me parait des bricroses. C'est-tu lettre aujourd'hui, des bricroses, excusez-moi? [00:05:31] Speaker A: Wow! [00:05:32] Speaker B: Ça a toujours été lettre. Ça a toujours été lettre, effectivement. J'ai toujours pensé que c'était moins cher, la bricrose. Ah bien, y'en a eu, hein? Avec des pignons, ça ressemble à un faux château, là. Brécrosse! Let's go! Ah non, c'est... Ça va ressembler à ça, Maison du Fédéral. [00:05:47] Speaker A: Oh, et puis c'est... Je veux dire, on est vraiment pas ceux qui pensent bâtir Maison Canada. Ceux qui pensent qu'avec ça... Quel non-communisme! Écoutez, le... T'sais, ça, c'en est un vrai sujet, dans le sens que... Ben oui! C'est quoi, t'sais, je veux dire, le fédéral qui est rendu dans les maisons, dans les dents, dans tout ce que tu veux. En plus, supposément que Luc Lavoie, c'est un conservateur, ce gars-là. En tout cas, ça en était un. Ça, c'est un vrai sujet pour un conservateur, la décentralisation du pouvoir au Canada, comment ce pays-là a été entièrement dévoyé pour le centraliser. T'sais, Ottawa est rendu dans les dents, sont rendus dans les garderies, sont rendus... Toutes des affaires qui n'ont pas rapport là-dedans. Mais non, on parlera pas de ça parce que j'ai mon opinion à donner sur un sujet que je connais pas. [00:06:30] Speaker B: Mon cher Paul, si tu m'invites, je dois dire que mon gag de carabine ne passe plus. Tu te souviens de mon gag de carabine avec des péquisses, là? Ça passe plus. Effectivement, Luc, ça passe plus du tout. Ce gag-là passe pas dans le contexte actuel. T'en souviens? Tu te souviens de ça, le gag du gars? Il est revenu pareil. Il a plusieurs vies, Luc. [00:06:56] Speaker A: C'est drôle pareil qu'il y ait des gens comme ça qui aient plusieurs vies. On a l'air d'avoir aucune pitié pour les autres. [00:07:04] Speaker B: Très bon point. 1-0. Très bon point. [00:07:08] Speaker A: Effectivement, très bon point. Moi, en tout cas, il me semble que je me garderais une gêne. [00:07:13] Speaker B: Oui, oui. [00:07:15] Speaker A: En tout cas, j'en dirai pas plus, on aura compris. [00:07:19] Speaker B: Oui, oui. [00:07:20] Speaker A: Il me semble que c'est ça. Je me garderais une gêne de juger des paroles de gens dont j'avoue que je connais pas, considérant ce que j'ai moi-même déjà dit ou moi-même déjà fait. Il me semble que c'est comme le minimum de la décence à avoir. [00:07:35] Speaker B: Je sais pas si Hitler en enfer, vous engagez un avocat pour envoyer des mises en demeure, en disant « Heyo, c'est moi l'extrême droite, c'est parce que là, votre m'attente est quasiment d'extrême droite, là. Elle fait une tarte au citron, vous aimez pas la tarte au citron, vous la qualifiez d'extrême droite. C'est parce que c'est moi, là. C'est mon brand. » J'ai l'impression qu'être là en haut est en train de se magasiner un avocat. Des avocats en enfer, je sais pas s'il y en a. On me glisse à l'oreille que oui. Je sais pas, tout le monde est d'extrême droite. En fin de semaine, Manif. en Angleterre, et le commentateur d'extrême droite Ezra Levent était sur place. Ezra, c'est un juif. [00:08:23] Speaker A: C'est un juif. Sacrifice. Ouais, mais là, on est rendu là-dedans. Les juifs, maintenant, peuvent être nazis. [00:08:29] Speaker B: Tout est mélangé, hein, mon cher Frank. [00:08:32] Speaker A: Ben moi, d'ailleurs, concernant Charlie Kirk, j'ai vu plusieurs messages de gens qui disaient « le gars, c'est un antisémite malade ». Un des premiers qui a rendu hommage, c'est Benjamin Netanyahou. Ben oui. Là, on est rendu avec des gens d'extrême droite, mais pro-juifs. C'est débile. Les mots veulent plus rien dire. Les gens disent n'importe quoi. Il y a des gens qui ont la candeur. Stephen King l'a échappé avec cette affaire-là. Il s'est excusé. Il a dit « J'avais vu ça, puis j'avoue que je me suis fié à des liens, puis tout ça j'avais pas vérifié. C'est pas vrai. Il a jamais dit ça. » Au moins, il y a des gens qui se comportent qui avouent eux-mêmes qu'ils l'ont échappé, qu'ils savaient pas de quoi ils parlaient. La question c'est pas de dire qu'un tel est parfait pis tout ça, c'est pas ça le point. C'est qu'à un moment donné, y'a du monde qui disent juste n'importe quoi. [00:09:18] Speaker B: N'importe quoi! C'est... [00:09:21] Speaker A: Je pense qu'à un moment donné, on peut manifester son désaccord. Quoique, quand quelqu'un meurt, t'es pas obligé de te dépêcher de dire que t'es pas d'accord. C'est ça, je comprends pas. Est-ce que les gens disent... Si, mettons, tu parles de Martin Luther King ou de n'importe qui, est-ce que quand tu parles de ça, tu te dépêches de dire « Oh, mais j'étais pas d'accord avec tout le gars disait », mais quand même. Pourquoi les gens sentent le besoin de préciser ces choses-là? On n'a pas besoin d'être d'accord ou pas d'accord pour dénoncer des assassinats. Ça n'a pas rapport. Je ne comprends pas pourquoi... Je comprends, c'est du signalement de vertu. Tu veux montrer à ta tribu... Il ne faudrait quand même pas que mes amis pensent que je l'aimais. Je vais dire la phrase suivante. Personne mérite de mourir pour ses idées, mais avec un mais caractère gros, souligné, en italique, avec des gros guillemets. Mais quand même, c'était ceci, c'était cela, je suis dans désaccord avec tout ce qui... Ça, c'est pareil comme moi, j'ai eu mes deux vaccins, mais je n'étais pas d'accord avec telle affaire. Il faut que tu signales que quand même, tu étais une bonne personne. Ce genre de truc-là, je trouve ça insupportable. On n'est pas obligé dans la vie d'être d'accord avec les gens. Pour dénoncer des affaires, ça s'appelle de l'humanité. Ça devrait être juste la base. Un de ceux que je trouve qui se coexistait bien, qu'on portait là-dedans, c'est Dimitri Soudaz. Je suivais ses pauses et ses interventions. Je trouve qu'il a eu la bonne position, c'est-à-dire que c'est inacceptable. C'est l'acceptable point barre. [00:10:54] Speaker B: C'est juste de l'étiquette. C'est du savoir-vivre et on constate une grande érosion de ça. L'étiquette, le savoir-vivre. Comment se comporter au salon funéraire? Comment se comporter Donnez un exemple, comment se comporter face à un cahier de condoléances. Notre chum, Guy, qui a été collègue ici, Guy Massé, on va donner cet exemple-là. Je fais un post, en fait, c'est son message à sa conjointe peut-être, en fait, c'est sur son post Facebook. Bon, je vous annonce que Guy est décédé, etc. Moi, je l'ai mis sur la page de Montréal Live pour que les gens commandent. Puis oui, Guy, je m'en souviens, on a eu tellement de plaisir à t'écouter le week-end. Mais il y a toujours bien 2-3 crétins qui sont allés dire « Ah ah, t'as fait vacciner, hein, monsieur, tu payes le prix, hein, le vaccin. [00:11:44] Speaker A: » Bon, ça, je suis plus capable. [00:11:45] Speaker B: Non, mais... ça, moi non plus, je suis plus capable. Mais c'est le manque d'étiquette, le manque de politesse, le manque de respect. T'sais, au miroir est décédé, faut le saluer. Moi, je pense être un grand de la radio. Il y en a-tu-tu un dans la gang qui va dire « Ah si, il a calé mon livre » parce qu'il donnait des coups de coude de René Aumiroy. « Il a calé mon disque » mais il critiquait plus ou moins les disques, c'est plus les films avec Jolie à TQS. Ils ont eu un show à TQS, à un moment donné, ça brassait. Il faut que tu lèves le pied, à un moment donné, il faut que tu rendes hommage, la contribution. Il a abîmé sa contribution sur la terre. René Aumiroy, pour parler de lui parce qu'il vient de décéder. C'est quelqu'un qui n'avait pas la langue dans sa poche. C'était un homme libre. Moi, j'aime les hommes libres. Hommes avec un grand H. C'est quelqu'un qui n'était pas « corrompu » moralement. Il ne se sentait pas obligé de licher le cul d'un tel parce que c'est son ami. Moi, j'ai beaucoup d'admiration pour des gens comme René Aumiroy. Il en manque au Québec. Mais ça, il faut, à un moment donné, c'est le savoir-vivre, Frank. Quand on va au salon funéraire, Manon Carman, Manon Carman, peut-être qu'il était alcoolique pendant 35 ans, puis il envoyait chier du monde et tout, mais tu lèves le pied. Même chose avec Kirk. Tu lèves le pied. C'est un homme qui s'est fait assassiner froidement. Mais merde, le manque de jugement. Il y a une prof, ça je viens de retweeter ça, au Canada anglais, beaucoup de Canadiennes anglaises l'ont échappé. Il y a une prof qui a diffusé, tu l'as vu ça, c'est en Ontario, elle a forcé ses élèves en classe à visionner l'assassinat de Charlie Kirk. L'assassinat de lui, proche, qui reçoit la balle, on le voit, ça, ce vidéo-là, il circule. Elle, elle a dit, vous devez voir ça, parce que ça, c'est la marque d'un fasciste qui mérite de mourir, blablabla. Puis elle a fait un gros discours sur l'antifascisme. C'est dégueulasse. Donc, on transgresse vraiment. Il y a plus de limites, Frank. Il y a plus de limites. C'est de la sauvagerie. [00:14:04] Speaker A: Il n'y a plus de limite parce que plusieurs personnes déshumanisent les autres. [00:14:10] Speaker B: Oui. [00:14:10] Speaker A: Dans le processus de déshumanisation, des fois, on se demande comment ça se fait que des saloperies sont arrivées dans l'histoire. On se dit, voyons, les gens, il n'y avait pas de morale, ça. C'est le processus de déshumanisation. Ça a été décrit par plusieurs auteurs. Mais c'est un processus à travers lequel tu ne penses plus aux humains, mais tu penses à ce qu'ils représentent. Parce qu'on ne se le cachera pas. Les gens qui fessent toit là-dedans, dans leur esprit, ils voient pas un homme, ils voient l'ombre de Donald Trump. [00:14:41] Speaker B: Voilà! C'est le fantasme transposé du meurtre de Donald Trump. J'ai entendu ça d'un analyste en fin de semaine. [00:14:51] Speaker A: C'est sûr que c'est ça. [00:14:52] Speaker B: Ces gens-là fantasment. sur un meurtre qui n'est pas arrivé finalement que celui de Butler. Donc pour vous, Butler c'est un échec. Et il fantasme parce que c'est l'un des plus proches de Donald Trump. Il a contribué à sa victoire, on va dire même, de Donald Trump. C'est carrément ça l'histoire. [00:15:11] Speaker A: C'est inquiétant de vivre dans ce monde. [00:15:15] Speaker B: Très inquiétant. [00:15:16] Speaker A: Moi j'ai vu des réactions et je me disais mais ok c'est parce que ça va les amis. Ça pourrait être des gens que vous connaissez. Le pire c'est que des kidams disent des choses comme ça. Des fois on manque de jugement. de distance par rapport à un événement, puis ça, à la limite, je peux, d'une certaine manière, pas l'excuser, mais le comprendre. Mais que des gens connus, par exemple, ou dans des médias, réagissent de même. Je me disais, ben oui, mais tu n'es une personne qui s'exprime, tu n'es une personne qui donne ton opinion, tu n'es une personne qui fait des chroniques dans le journal ou à la télé ou à la radio. Je disais, t'aimerais ça manger une balle dans le cou pour ce que tu dis? Je veux dire, ça n'a pas de bon sens. Si tu vois bien que ça n'a aucun sens, pensez de même. [00:15:59] Speaker B: Il y a quelqu'un qui dit sur un texto, il n'y a plus de limite, les deux bords, les amis, à gauche comme à droite. Non, non, arrêtez ça là, vos autres aides. On va juste arrêter ça. Jamais vous n'avez entendu sur les antennes que vous privilégiez, les antennes supposément de droite au Québec, jamais quelqu'un ne s'est réjoui de la mort de quelqu'un. Jamais. Si vous prétendez ça, vous mentez. C'est un mensonge. Jamais vous êtes capable de me trouver un audio de quelqu'un qui part à rire parce qu'il y a quelqu'un de gauche qui est mort. Ça n'est pas arrivé. Désolé, là. Ça, c'est wrong, wrong, wrong. Ça n'est pas arrivé, là. Allez pas jouer là-dedans, les amis, là. C'est wrong. Vous avez pas de stats à livrer. Vous avez pas de faits à donner. Vous avez pas d'audio à nous faire entendre. Ça n'existe pas. C'est une lubie, c'est une invention. Elle est pas là. Elle est pas là. Frank, t'es salué. Salutations à ton autre chum, Yann, également. Salut, bye.

Other Episodes

Episode 0

October 06, 2025 00:16:01
Episode Cover

LAMBERT: Si je deviens président de poste Canada... J'ARRIVE AVEC UNE SCIE À CHAÎNE!

Listen

Episode

September 30, 2025 00:14:53
Episode Cover

CARON: Des "journalistes" activistes EXPOSÉS EN FRANCE!

Listen

Episode 0

September 22, 2025 00:16:33
Episode Cover

OPEN: RIFIFI à Radio X.

Listen