LÉGION: L'islamisme radical? Si tu crois que c'est un problème, C'EST TOI LE PROBLÈME|

October 06, 2025 00:23:10
LÉGION: L'islamisme radical? Si tu crois que c'est un problème, C'EST TOI LE PROBLÈME|
Maurais Live
LÉGION: L'islamisme radical? Si tu crois que c'est un problème, C'EST TOI LE PROBLÈME|

Oct 06 2025 | 00:23:10

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[00:00:00] Speaker A: Allons-y en live maintenant, de la Tour du Dôme. C'est Moray Live. De Radio-X, votre légendaire région du Dôme. [00:00:28] Speaker B: Ouais, j'ai peur. Faites attention. C'est toxique. Vous critiquez encore Marchand, qui est tellement bon. [00:00:35] Speaker A: Ouais, ça va venir. Mais j'en reviens juste deux secondes. T'as annoncé le premier ministre français qui a démissionné. Ça c'est il y a... [00:00:42] Speaker B: Il y a quelques heures à peine, quand le cornu, quand j'ai quitté la maison pour me ramener à job à matin. [00:00:47] Speaker A: Ouais, pour les gens, parce que c'est très important le premier ministre français, il s'appelle le cornu maintenant. Rappelle-toi, il y a un an et demi... Oui, il s'appelait. [00:00:54] Speaker B: Il s'appelle encore, mais il va faire autre chose. [00:00:56] Speaker A: Oui. Rappelle-toi, il y a un an et demi. Ça fait juste un an et demi. Il y a un an et demi, quand on avait reçu Gabriel Attal à Québec. Les journalistes et nos politiciens en pamoison devant Gabriel Attal. Comment c'était extraordinaire. La randonnée papale. [00:01:11] Speaker B: Gang de losers. [00:01:12] Speaker A: Ça, c'était il y a trois premiers ministres. [00:01:14] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:01:15] Speaker A: Il y en a deux autres qui ont passé après lui. [00:01:17] Speaker B: C'était du pathétique, pareil. C'est comme si le curé donnait la communion. [00:01:20] Speaker A: Ça, c'était colonisé. [00:01:23] Speaker B: « Ah oui, M. Attal, je suis senti bon, M. Attal. [00:01:25] Speaker A: » Ils ont donné le même traitement qu'à le pape, là. Ils ont redonné toute la police, les flashes. [00:01:30] Speaker B: Très colonisés. [00:01:32] Speaker A: La gang de péquistes, les soldats n'avaient pas embarqué, je vais leur donner. Parce que pour eux autres, c'était un gars de droite, c'est une autre histoire. Mais la gang de péquistes, qui sont sorties la semaine dernière parce que la lieutenant-gouverneur était là, quand c'était Gabriel Attal. [00:01:49] Speaker B: Le PQ sera très colonisé en cas de victoire du oui. Excusez-moi, un oui qui passe, mettons, à 51,8. La première affaire qu'ils vont faire, c'est qu'ils vont pogner le téléphone pis ils vont aller zigonner après le grotte-jambes à Macron. S'il est là, ou s'en remplaçant, ou s'en remplaçant. Tu nous reconnais-tu là? On est une république là, tu nous reconnais-tu? [00:02:10] Speaker A: Oui oui, même si c'est Marine Le Pen, non ça peut pas être elle. En tout cas, peu importe qui de. [00:02:15] Speaker B: Son parti... Ça peut que ça soit elle. [00:02:17] Speaker A: Elle peut-tu se présenter là? [00:02:18] Speaker B: Oui. [00:02:18] Speaker A: Elle peut? Ok. Je pense qu'elle pouvait pas. [00:02:20] Speaker B: C'est Bardella, pis là je pense qu'ils vont se tourner vers une nouvelle. Jordan Bardella, c'est parce que c'est la nouvelle génération. [00:02:24] Speaker A: Mais c'est clair qu'ils vont sonner... [00:02:26] Speaker B: Mais Bardella a des maudites bonnes chances d'être élu pour vrai. Les sondages, c'est ce parti-là qui mène. Fait que là, ils vont zigonner ça après le gras de jambes. [00:02:33] Speaker A: Dites-nous qu'on est un pays, là. [00:02:35] Speaker B: Dites-le-les, là. On est bon, on est fin. [00:02:37] Speaker A: Si on est reconnu par la France, on est un vrai pays. [00:02:39] Speaker B: Ça, ça fait vraiment coloniser. [00:02:41] Speaker A: Ce qui va faire mal, c'est encore la division des votes de droite. Parce que c'est pas juste au Québec et à Québec que les gens comprennent pas. [00:02:48] Speaker B: C'est partout dans le monde. [00:02:49] Speaker A: Ouais, mais eux autres peuvent pas se diviser jusqu'à la fin parce qu'à la fin, il faut qu'il y en ait deux. Ouais, je sais. [00:02:52] Speaker B: Il y a ça. Le duel. [00:02:54] Speaker A: Donc je te parle... [00:02:55] Speaker B: La dualité, voilà. [00:02:58] Speaker A: Radio-Canada à chaque semaine a une émission, un podcast qui dure 24 minutes sur la semaine de l'élection municipale. [00:03:08] Speaker B: C'est long, là. [00:03:09] Speaker A: Oui. [00:03:10] Speaker B: Pas de pause. Pas de pause. [00:03:13] Speaker A: Ils n'ont pas trouvé une seule seconde pour parler des dépenses du maire, de ce que Renaud avait sorti la semaine dernière. Ça n'est pas arrivé. [00:03:19] Speaker C: Pouf! [00:03:19] Speaker A: Non. Mais ils ont trouvé du temps, par exemple, pour nous dire comment la ville est très bien gérée, comment Stéphane Lachance, dans le fond, il chante pour rien. [00:03:28] Speaker B: Ben oui. Mais moi, la réplique la plus intéressante, c'est celle de Claude Villeneuve. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Moi, je pense qu'il est dret dessus, comme on dit. Parce que, dans le fond, on regarde les fondamentales à la Ville de Québec. La dette baisse, autant en termes absolus qu'en proportion. Il y a eu des surplus récemment. On n'a pas de raison de croire que le feu est pris à l'hôtel de ville, mais M. Lachance, en parle comme si c'était le cas. Et il y a un public pour ça. Il y a des gens qui sentent le coût de la vie. Il y a des gens qui renouvellent l'hypothèque et qui sont étouffés par des taux qui ont augmenté depuis la pandémie, l'épicerie. Alors dans ce contexte-là, il y a des gens qui se disent, est-ce qu'on est bien géré? Est-ce que le tramway, lui, va pas coûter les yeux de la tête? Alors, il y a une brèche et M. Lachance, il rentre là-dedans. [00:04:15] Speaker A: C'est quoi ces questions-là? Demandez si on est bien gérés pis si le tramway... [00:04:19] Speaker B: Il y a un public pour ça, en voulant dire qu'eux autres sont tout à fait désincarnés. Il y a un public pour ça. [00:04:25] Speaker A: La gang de meillets qui chialent sur. [00:04:28] Speaker B: L'Épicerie pis les taxes. Nous autres, on est bien. Parce qu'on est syndiqués, patchés, Radio-Cannes, avec Carnet qui nous a rebudgétés en plus, une belle augmentation. [00:04:40] Speaker A: C'est surtout des gens qui ne comprennent pas que la ville est vraiment bien gérée, pis qu'il n'y a pas de raison de chialer du tout le moindre moment. Je rappelle que c'est Radio-Canada eux-mêmes qui avaient sorti récemment le compte de taxes moyen pour une maison estimé à 450 000 $ au Québec. [00:04:56] Speaker B: C'était très bon, parce que ça n'a pas été repris par les vrais journalistes. [00:05:00] Speaker A: C'était un genre de blogueuse qui avait. [00:05:02] Speaker B: Utilisé ça, mais personne n'en a parlé. [00:05:05] Speaker A: C'était sur le web. C'est des petites capsules sur le web de Radio-Canada. Je ne sais même pas c'est qui la fille qui faisait ça, mais elle fait un tableau. C'était sur une espèce de grand papier. [00:05:15] Speaker B: Oui, exact. [00:05:16] Speaker A: Donc, pour une maison estimée à 450 000 $, le compte de taxes à Québec, 4 494 $ par année. À Lévis, Lévis est deuxième. Lévis, on n'est pas extraordinaire. 3 842, c'est quand même une différence de 600 $. entre les deux villes. 3842$ par année. Laval arrive troisième, on est dans les grandes villes. 3684$, on est rendu à 800$ environ de différence. Montréal! Hein? Montréal? Oui, Montréal. Quatrième. 3196$. Fait que là c'est 1200... 1300$. De différence entre Montréal et Québec. Pour une maison de 450 000$. Vous allez me dire que à Montréal les maisons de 450 000$ n'ont pas tant que ça là. Mais quand même! [00:06:02] Speaker B: C'est incroyable. Mais fermez votre gueule. Fermez votre gueule. Regardez les belles idées qu'on a. Les rues partagées, le vélo, le vivre ensemble, les belles valeurs, c'est nous qui les avons. Mais que c'est condescendant de dire il y a un public pour ça. Il y a un public pour ça, les néo-nazis. Il y a un public comme ça, la radio poubelle. Mais que c'est qu'on dit, Sandan, c'est incroyable comment ces gens-là n'ont aucun respect pour vous. [00:06:33] Speaker A: Il y a des idiots qui se font avoir par Stéphane Lachance, puis par son discours qu'il faudrait couper dans les dépenses de la Ville. La Ville va très bien, les finances sont en ordre, tout est très bien géré. [00:06:44] Speaker B: Mord pisse la mairie, il y a des perroquets de la mairie. [00:06:47] Speaker A: Il n'y a pas de dépenses folles. L'émission, c'est... Louise Boisvert, c'est, voyons, celui qu'on vient d'entendre là, le mieux. Olivier Lemieux. Et t'avais un gars du devoir aussi qui était là autour de la table. [00:06:59] Speaker B: Tout du monde qui s'entendent pas. [00:07:01] Speaker A: Un ancien de Ratcan en plus. Ouais, et que ce soit réaliste ou non, je pense que ça importe assez peu aux gens. que Stéphane Lachance et son parti tentent de rejoindre. Ils ont l'impression que ça prend un remède de cheval à l'hôtel de ville, qu'il y a une orgie de dépenses et quelqu'un qui est fort en gueule, qui présente un cadre financier qui est présenté comme crédible avec des économistes diplômés, je pense que ça suffit à attirer cet électorat-là ou à tout au moins confirmer leur adhésion à la proposition de M. Lachance. Ça les impressionne, ils disent qu'il y a un économiste, ça va les impressionner et ils vont tomber dans le panneau. [00:07:36] Speaker B: Le même mépris que ceux qui votaient pour Donald Trump. Exact. Le même mépris que pour ceux qui votaient pour Duhem. Exact. Le même mépris que pour ceux qui votaient pour Poilievre. Exact. La droite, la droite dure, la droite de la radio poubelle. [00:07:57] Speaker A: Le même mépris que dans le journal du ce matin. Les déplorables. Versus les gens qui ont hué François Legault. [00:08:02] Speaker B: Exact. Et ces gens-là ne comprennent pas que le déclin des médias est, entre autres, occasionné par ce genre de mépris-là, cette déconnexion-là, ce manque de respect-là. Ça vient pas juste de Google, votre patente, là. Parce qu'il y a des médias qui sont encore consommés. Il y a des médias qui sont encore en santé. En Angleterre, je peux vous en nommer. Des médias que les gens acceptent de payer des abonnements pour lire. Entre autres le Telegraph. Vous avez des médias qui s'en tirent mieux que d'autres également en France. Des médias plus équilibrés. Des médias qui ouvrent la porte à CNews. En France d'ailleurs, des médias qui provoquent des clashes d'opinion. Qui amènent sur des tribunes des gens qui ont des opinions différentes. pas des médias qui sont des perroquets et quasiment des firmes de marketing établies pour les médias, pour les pouvoirs en place. [00:09:00] Speaker A: La nature horreur du vide, c'est ça. [00:09:02] Speaker B: Ils sont vides les médias à l'heure actuelle. C'est ça. [00:09:04] Speaker A: Et le pire, c'est ça, c'est que les trois personnes que je viens de passer là, c'est supposément des journalistes. Oui, là, ils font du commentaire, mais c'est des journalistes. [00:09:12] Speaker B: Vous ne faites pas le travail de vérifier et d'agir comme contre-pouvoir de vérifier. [00:09:20] Speaker A: Renaud, lui, il a fait le travail pendant ce temps-là. Vendredi, il est revenu dans le show à JC avec des nouvelles trouvailles que des journalistes faisaient il y a quelque années. [00:09:28] Speaker B: Je refouillais là. Tu l'as démontré, d'ailleurs. Ils l'ont fait pour la bombe. [00:09:31] Speaker A: C'est ça. Il est revenu. Il a fait une comparaison, d'ailleurs. Les dépenses de voyage de l'administration à la bombe. Pas juste Régis. L'administration à la bombe, comment on dépensait? [00:09:42] Speaker D: Sous l'administration La Voyage. Donc, les élus plus les fonctionnaires, dans son dernier mandat, ont effectué 54 voyages pour 219 337 $. Ça, c'est à part des allocations et c'est à part des comptes de dépense. [00:09:58] Speaker A: Donc 219 000 marchands maintenant. [00:10:02] Speaker D: Et sous l'administration marchand, en trois ans et demi, l'administration marchand, donc c'est les élus de l'équipe marchand et l'opposition, mais l'opposition, il n'y en a pas eu, je vous le dis tout de suite, plus tous ses fonctionnaires sur des partis très idéologiques ont voyagé 152 fois pour 1 227 168 050 sous. Ça, c'est ce qui s'est passé. Ils sont tous disponibles en ligne. C'est des pages et des pages de voyages. [00:10:28] Speaker A: 1,227,000. Ça, c'est par-dessus ce qu'on vous a dit les autres comptes de dépenses de marchands la semaine dernière. Par-dessus ça. Parce que là, il y a des gens qui mélangeaient. C'est pour ça que Renaud a sorti ça vendredi. Les gens qui ont sorti ça ont dit « Ouais, mais Régis dépensait bien plus. Regarde, telle facture de voyage. » Non, non, ça, c'était à part. Pis là y'a des gens qui vont dire « Ah mais là c'était le dernier mandat pis y'avait la COVID » OK, mais faites x3, x4, x5. Mais y'a la moitié du mandat où y'avait pas de COVID là, pis où justement ça voyageait là. Mais même si vous faites x2, vous êtes même pas proches de la... C'est bon ou vert? de ce qu'on comprend, là, les voyages. Puis je vais vous en donner un exemple. C'est infiniment géré, ce ville-là, je vous le dis. Oui! Non, non, il n'y en a pas de dépenses folles, le moindrement, là. Voyage au Brésil. [00:11:13] Speaker D: Du 26 avril au 2 mai 2023. Une mission de recrutement pour de la main-d'oeuvre spécialisée à Sao Paulo, au Brésil. Le sommaire décisionnel, le CE 2023, 0306. Paulina Avares, Tatiana Tinoco, Sandra Leboeuf et Clinton Carnel ont fait ce voyage-là. Donc, des fonctionnaires, ça l'a coûté 25 089 euros. [00:11:34] Speaker B: Et où est cette grande cohorte de travailleurs brésiliens? [00:11:38] Speaker D: Je te laisse la trouver dans Saint-Roch, je sais pas. [00:11:41] Speaker A: Sao Paulo. [00:11:42] Speaker D: Sao Paulo. [00:11:44] Speaker A: Oui. Ça c'est juste un exemple. [00:11:47] Speaker B: Regardez la température, vous allez tout comprendre. Faites la date, faites la météo. [00:11:52] Speaker A: En avril. [00:11:53] Speaker B: En avril, le nettoy est queuré. [00:11:55] Speaker A: La neige finit pas de fondre. [00:11:57] Speaker B: Les rues sont sales. C'est gris. Le baseball est commencé, mais pas de notre baseball. Le baseball en Floride, le baseball majeur, mais il joue sur du terrain quasiment glacé encore. Sao Paulo. C'est à ton tour aussi, Clinton machin pis l'autre aussi. Vous regarderez, hein, des noms inconnus, des Pierre-Jean-Jacques inconnus de l'organigramme. C'est à ton tour, fais tes valises, tu vas à Sao Paulo. Le prochain, c'est en Argentine. [00:12:27] Speaker A: Oui, ceux qui n'ont pas voyagé, vos noms sont encore dans le baril. [00:12:29] Speaker B: Exact. [00:12:30] Speaker A: Une des différences, d'ailleurs, que j'ai vues, entre les voyages de la bombe et les voyages de marchands, c'est que marchands, il va y avoir beaucoup plus de monde. La baume dans le temps, généralement, il y allait avec Paul-Christian Nolin et that's it. Marchand s'entoure plus, là. Il amène une couple d'élus. [00:12:49] Speaker B: Il aime ça se faire dire qu'il est beau. [00:12:51] Speaker A: Donc, M. Weiser, le dernier voyage qu'il a fait, je pense que c'était celui à San Antonio, si je me trompe pas, là, M. Weiser était là. Là, il fait plus partie de l'équipe. [00:12:57] Speaker B: He was not so wise. [00:12:58] Speaker A: He was not so wise! Parlons du PQ, parlons de PSPP. J'ai essayé de mettre la table. [00:13:09] Speaker B: Renaud Lavrec a écrit le mieux pour le recadrer. Pas sûr qu'il va donner la réplique. Quand il lui a écrit concernant la dette, il explique un peu. Il fait un genre de tutoriel, c'est le fun. Mais ça c'est insultant bleu journaliste, quelqu'un qui reçoit ça. Autrement dit, un journaliste qui se fait dire qu'il ne fait pas sa job. [00:13:27] Speaker A: Oui, c'est vrai. Parce que j'oubliais ça, il dit la dette n'a pas augmenté, autant en proportion. En proportion, je pense qu'il a raison parce qu'il y a une manière de jouer avec le chiffre. Mais pour ce qui est du vrai chiffre, non, non, c'est augmenté. [00:13:38] Speaker B: Selon marchand marketing, tout est correct. [00:13:41] Speaker A: OK. Parlons du PQ maintenant. La source. Il y a ça deux semaines environ, PSPP avait fait un référendum dans ses membres, il faisait une sortie. Voici ce qu'il avait dit à Patrice Roy. [00:13:54] Speaker E: On a tracé la ligne là parce. [00:13:56] Speaker B: Que des enfants aux primaires, on trouve. [00:14:00] Speaker E: Que la socialisation devrait se faire avec le moins de différenciation possible. [00:14:07] Speaker A: Ça, ça a fait réagir, donc, surtout du côté de Radio-Canada. Et à l'émission de Marie-Louise Arsenault, pas celle d'en fin de semaine, celle de la fin de semaine précédente, voici ce qu'on a pu entendre. [00:14:16] Speaker F: Bon, premièrement, est-ce que c'était un vrai problème? Est-ce qu'on a des milliers de jeunes enfants dans les écoles qui arrivent en portant des signes ostensibles, parce que là, on n'utilise plus ostentatoire, ce n'est plus à la mode, et que ça pose problème? Bon, ça, c'est la première chose. Est-ce que, deuxièmement, de mettre nos enfants en contact avec la différence, est-ce que c'est si terrible que ça? Est-ce que c'est si épouvantable qu'un petit enfant québécois soit confronté à la réalité d'un enfant qui a un autre vécu que le vécu catholique? Est-ce que c'est si troublant et si épouvantable qu'on doit s'assurer que tous les enfants sont pareils, qu'ils sont tous dans le même moule et pourquoi pas tous blonds yeux bleus, tant qu'à faire? Bon, oui, j'avoue, ça me hésite profondément. Pourquoi pas, t'sais? Mais je pense qu'à un moment donné, à tout vouloir lisser, on finit par ne plus avoir de couleur, on finit par ne plus avoir de saveur. [00:15:05] Speaker B: Ça, c'est très salaud comme commentaire. [00:15:08] Speaker A: À part ça, je veux juste dire, parce que là, j'ai vu... [00:15:10] Speaker B: Très salaud. [00:15:11] Speaker A: J'ai vu le vidéo en fin de semaine, des gens autour de la table qui a dit ça. Tout le monde fait les gros yeux, fait comme... « Tu as vraiment dit ça? [00:15:16] Speaker B: » Bérubé a raison de porter plainte à Radcan. On ne porte pas assez plainte à Radcan, à Lombo-Dumane de Radio-Canada. Il a raison. Il a raison. Comme nous autres, on aurait raison à différents égards. À un moment donné, les gens sans talent ne méritent pas qu'on s'encharme. Dans ce qu'on cas à elle, étant donné que c'est un parti établi, c'est un parti qui vise le pouvoir et c'est un parti qui pourrait accéder au pouvoir, je pense qu'il faut s'étasser, s'étasser. Laisser entendre que c'est des nazis, mais c'est par en arrière. Les yeux bleus, gang, les cheveux blonds, blanc, blanc, la race aryenne, mais je l'ai pas dit, mais je l'ai dit, mais je l'ai pas dit. Non, non, regarde. C'est très, très, très cochon. Mais c'est du grand Radio-Canada. C'est du vicieux, c'est du mal propre, c'est de la diffamation. Mais au final, quand Pascal Berubé va avoir sa réponse, ça va dire... Elle recommencera pas. On lui a dit que c'était pas fin, mais elle recommencera pas. [00:16:15] Speaker A: Parce que c'est une... Ça changera rien. C'est une invitée, là. C'est une fée de... C'est Madame de Lucam. [00:16:19] Speaker B: C'est une pigiste, ça? Ah non, c'est une ukamienne! [00:16:21] Speaker A: C'est... [00:16:22] Speaker B: C'est une ukamienne! [00:16:24] Speaker A: Je me demande si c'est pas une directrice de programme même à Lucam, là. C'est pas juste une prof à Lucam, là. Je pense que c'est une directrice de programme. [00:16:31] Speaker B: C'est une deep ukam. [00:16:32] Speaker A: Madame Rachel Gagnon. [00:16:33] Speaker B: On est vraiment dans la galaxie ukamienne à fond, là. [00:16:36] Speaker A: Son titre exact à l'UQAM là. [00:16:37] Speaker B: C'est le Réchel. [00:16:38] Speaker A: Ouais. Mais elle est infréquemment invitée. En fait, elle est là quasiment aux deux semaines. [00:16:41] Speaker B: Chroniqueuse. [00:16:42] Speaker A: Ouais, rendu là c'est chroniqueuse. Il invite comme ça deux personnes pour revenir sur l'actualité. [00:16:46] Speaker B: Chroniqueuse amie. [00:16:47] Speaker A: En même temps, je suis obligé de dire que PSPP qui dit qu'on veut le moins de différence possible à l'école primaire entre les élèves, il y a de quoi là. Il l'a échappé aussi. [00:16:55] Speaker B: Ouais mais c'est pas une mort d'aciale. [00:16:57] Speaker A: Non, non, non. Je commence pas à dire que c'est des nazis là. [00:17:01] Speaker B: C'est très touché. [00:17:02] Speaker A: Oh oui. [00:17:03] Speaker B: Mais eux autres ils sont des gauchistes, ils veulent l'égalité, ils veulent combattre l'école privée, si on l'a dit. C'est tout à fait déplorable et on aura l'occasion d'y revenir rassurément. Mais quand tu joues sur la race, un terme que j'aime pas beaucoup, mais qu'elle aborde d'emblée, il faut que tu répliques. [00:17:19] Speaker A: Là on était aussi, là j'y vais en fin de semaine et je vais rester dans la même émission, l'émission de Marie-Louise. On était sur le discours de François Legault et eux autres, La majorité de la population, en fait, c'est comme ça, le gars, parle tant que tu veux, anyway, on ne te croit plus. En gros, c'est ça. Mais pour eux autres, ils l'ont vraiment analysé et il y a des choses qui les ont choqués. [00:17:39] Speaker E: Mais surtout la menace qui plane sur le Québec, selon lui. [00:17:42] Speaker A: Je parle des islamistes radicaux qui tentent par tous les moyens d'imposer leur valeur. [00:17:49] Speaker E: Ouais, c'est reparti les islamistes radicaux qui sont partout, comme les prières de rue. Je me suis même enfargé dans une qui traînait tantôt parce que je ne regardais pas où je marchais. Il faut que j'arrête de regarder mon téléphone. Mais qui sont ces islamistes radicaux? Parce que cette semaine c'était plus les Grecs de Laval qui se font tirer dessus au Starbucks. De qui parle-t-il? Des manifestants contre le génocide en Palestine? Des nobody à la charcao qui retontissent dans les nouvelles aux trois ans parce qu'ils disent une niaiserie devant leurs trois adeptes et demi? [00:18:13] Speaker A: Juste trois adeptes. Fait que c'est rien, on minimise, ça n'existe pas, c'est pas un problème. Mais là on commence à faire... Ça. [00:18:21] Speaker B: Là, c'est très très très malhonnête. Je vais revirer ça de manière tout à fait ironique, avant qu'il y ait des timbrés qui m'écoutent et qui prennent ça au pied de la lettre. Féminicide, les batteurs de femmes. Moi je suis arrivé à la job à matin, métaphargique dans trois batteurs de femmes. Ça va faire ça les féminicides? Les pédophiles, ouais c'est ça, je n'ai pas nié un dans l'entrée, dans le garage, je les buve trois, ça va faire le combat contre la pédophilie? C'est aussi timbré que ça. [00:18:48] Speaker E: Pendant qu'on se crêpe le chignon là-dessus, il y a jusqu'ici 14 meurtres de femmes cette année, des gars qui se trouvent un peu trop rockés avec leurs poings ou soldats avec leurs guns, mais suffisamment larges pour tuer leur ex et là-dessus il y a beaucoup moins de salive qui se dépense. [00:19:02] Speaker A: Donc là on fait une fausse équivalence, un c'est grave, l'autre pas grave. Ça c'est nos priorités. Vos priorités sont pas bonnes. [00:19:09] Speaker B: Alors que je peux revirer ça à l'envers de manière tout à fait ironique pour soulever l'incongruité du propos en disant... Ben c'est ça, les batteurs de femmes, moi je suis allé à l'épicerie hier, j'ai début 16. C'était ça l'histoire. Tant qu'à exagérer. Alors que dans le fond, c'est un problème qui est très grave, les barrières de femme et la violence conjugale, comme c'est un problème grandissant que celui de l'islamisme. Ces gens-là sont des woke, ces gens-là sont... Des antisémites démontrés par des décisions de l'Ombudsman et des plaintes déposées à l'Ombudsman. Ce sont des anti-Israëls, ce sont des anti-juifs, pas nécessairement eux dans l'extrait, mais la boîte comme telle. C'est démontré qu'ils ont un penchant pro-Hamas et donc pro-terroriste. [00:19:57] Speaker A: C'est un mépris pour le Québec francophone. C'est un mépris pour... [00:20:02] Speaker B: C'est encore une fois, Dan. Vous pensez qu'il y a un problème, c'est vous qui avez un problème. On appelle ça du gaslighting, de la manipulation mentale. Exactement. [00:20:11] Speaker A: C'est beaucoup de mépris. La raison pour laquelle François Legault a ramené ça dans son discours en priorité. [00:20:18] Speaker B: C'Est parce que ça parle au monde. C'est un populiste. Comme il a dit dans son podcast avec Bureau, c'est des choses qu'on ne sait pas, que la police l'a informée. La SQ. Ils font eux autres. La GRC aussi. Ils font de la filature. Ils savent ce qui se dit dans les mosquées à Montréal. Il y a des gens qui appellent aux meurtres de juifs. Il y a des gens qui appellent à la destruction de synagogues à Montréal. L'autre qui ricane. [00:20:48] Speaker A: Quelle bête. [00:20:50] Speaker B: Faut-tu être bête? Avoir un micro public puis avoir des réactions comme ça. [00:20:55] Speaker A: On était beaucoup dans les fausses équivalences là aussi au cours des derniers jours à Ratcan. [00:20:58] Speaker C: Et moi, le danger que je vois en ciblant les islamismes radicaux seulement, c'est qu'à trop se concentrer sur l'arbre, on oublie la forêt. Parce que vous savez, aux États-Unis, ceux qui ont fait reculer le droit à l'avortement pour les femmes, ce sont des chrétiens fondamentalistes. [00:21:18] Speaker A: Ça c'est Mme Foster. Des minutes. Elle est plus loin là après. [00:21:22] Speaker C: Là je pense également à bien d'autres choses. Notamment les mâles alpha, les masculinistes, les tradwives, etc. Il y a une vague de fonds dans nos sociétés actuellement qui est à la polarisation. C'est un terreau fertile. pour les extrêmes. Et au cœur de cette équation-là, il y a les réseaux sociaux, les points de vue sont légitimés, sans filtre. Ça permet aux idéologies extrêmes de proliférer. Et moi, je vous le dis, la droite masculiniste aussi, c'est un danger pour l'égalité homme-femme. C'est une idéologie. Bien sûr, il y a là-dedans notamment des fondamentalistes religieux, mais pas seulement, il y a des athées aussi. Et là, ça prolifère. c'est bombé sur les réseaux sociaux, on entend ça tout le temps. Donc à un moment donné, même chez les jeunes, cette idéologie-là commence à avoir des prises. [00:22:07] Speaker B: On est rendu à la gare. On est rendu complètement. [00:22:09] Speaker A: Elle a noyé le poisson. [00:22:11] Speaker B: C'est parce qu'on a un sujet de conversation. Il y a un sujet de conversation qui est ce sujet-là. Restons sur la traque de ce sujet-là. On parlera de «tride wave» demain ou après-demain. Mais là, il y a un sujet. Restons sur le sujet. [00:22:27] Speaker A: J'en repasse un dernier. [00:22:28] Speaker B: Un dernier avant Pierre Paulus. [00:22:29] Speaker A: Le discours de Legault, comment il est analysé? [00:22:33] Speaker C: La mode, elle est à la polarisation. [00:22:35] Speaker A: On le dit, il y a de la polarisation partout. [00:22:38] Speaker B: Il me semble que ce serait le rôle du premier magistrat du Québec de justement pour nourrir cette tendance-là qui est bien ancrée. [00:22:46] Speaker A: Discours assez agressif. Discours très sombre. Donc c'est ça, discours sombre, agressif, il divise. C'était ça le twist. [00:22:57] Speaker B: Si vous n'acceptez pas la doxa actuelle, écologiste, gauchiste, c'est que vous êtes un violent, un dangereux. Quelqu'un qui fait partie des voix divergentes et qui doit être annihilé. Merci.

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