LUC BERTHOLD: Tarifs: Carney est un ÉCHEC!!!

September 16, 2025 00:17:04
LUC BERTHOLD: Tarifs: Carney est un ÉCHEC!!!
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LUC BERTHOLD: Tarifs: Carney est un ÉCHEC!!!

Sep 16 2025 | 00:17:04

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[00:00:00] Speaker A: Radio X. En ligne, il est le député conservateur pour Mégantic-L'Érable, Luc Berthold. Comment ça va, M. Berthold? [00:00:07] Speaker B: Ça va très bien, mais n'oubliez pas de rajouter l'Ode-Binière, parce qu'il y a des gens qui vont se sentir délaissés un petit peu. Oh, l'Ode-Binière! [00:00:13] Speaker A: Comment on les appelle, les gens de l'Ode-Binière? [00:00:16] Speaker B: C'est des résidents de l'Ode-Binière. [00:00:19] Speaker C: Ah! C'est une bonne question. [00:00:22] Speaker A: Vous êtes très doureux. [00:00:23] Speaker B: Ah, mais écoutez, il faut admettre quand on sait pas quelque chose. Le pire, c'est que j'ai posé la question cet été, puis j'ai pas eu la réponse. Donc, je vais aller vérifier. [00:00:32] Speaker A: On va demander à Dan de le voir sur un chat GPT. [00:00:35] Speaker C: Je vais trouver ça. [00:00:37] Speaker A: Entre-temps, c'est vous qui êtes le premier à avoir lâché les gants hier contre les libéraux, au-delà de votre chef, bien entendu. C'est le début des travaux. avec un déficit de fou qui s'en vient. Première question, est-ce que ce sera possible de renverser ce gouvernement-là dès que possible? [00:00:56] Speaker B: Ça, c'est une grande question. Est-ce que ce sera possible de renverser ce gouvernement-là? Je pense qu'il n'y a pas un parti qui est prêt à aller en élection tout de suite. Il faut vraiment voir ce qu'il va lui donner. C'est sûr qu'il ne faut pas lui laisser trop de temps au rythme où il dépense. Sauf que quand même, on va toujours bien attendre un premier budget. On va voir qu'est-ce qu'il nous propose, qu'est-ce qu'il propose aux Canadiens, aux Québécois. Tout ce qu'on sait, tout ce qui percole de ce budget-là, qui est en retard depuis plus d'un an maintenant, c'est qu'il va y avoir un immense déficit. Je pense qu'ils sont en train de monter la barre pour... peut-être que... Bon, finalement, c'est pas si pire que ça. C'est pas 100 milliards, c'est 80 milliards. On verra ce qu'il va arriver. [00:01:46] Speaker A: Mais c'est 100 milliards, le chiffre qui circule. Est-ce que vous y croyez? [00:01:49] Speaker B: Oui, effectivement. Mais est-ce que c'est ce qu'on appelle un genre de message pour dire... Finalement, c'est pas 100, c'est 80. On ne sait pas. Donc, on va voir des chiffres. Mais ce qu'on a appris hier, par exemple, qui est inquiétant, c'est que les libéraux ont repoussé encore. On devait avoir le budget, vous l'avez vu, là, au cours des dernières semaines. On parlait début octobre, élection de Grasse. Là, c'est rendu début novembre. Je pense qu'il y a une pénurie d'encre rouge quelque part, puis ils ne sont pas capables de trouver assez d'encre rouge pour écrire ce budget-là. Ça va être épouvantable. [00:02:19] Speaker A: Est-ce que vous réussirez à couper dans la bureaucratie? Est-ce que vous y croyez? C'est quoi concrètement les mesures qui pourraient nous laisser transparaître un peu de sérieux du côté des libéraux? [00:02:30] Speaker B: Écoutez, premièrement, tenir leurs promesses. Ça, ce serait déjà une bonne chose. Ma première question hier, c'est Carney lui-même qui avait dit lors de la fermentation de son cabinet, vous me jugerez aux coûts à l'épicerie. Écoutez, depuis qu'il est là, depuis que ce cabinet-là a été nommé, les coûts à l'épicerie n'ont pas cessé d'augmenter. C'est 70 % plus élevés, les coûts à l'épicerie, que la cible de base d'inflation. Donc on peut s'entendre que c'est un échec. Je faisais une blague hier parce que le boeuf à ragout, les oignons, les patates, tout ça a augmenté. Même la Bolduc pourrait plus s'offrir son petit ragout tout à l'été. Mais c'est pas drôle, dans le fond, parce que c'est ça. Il avait promis, je me souviens, de lever le coude. Elbows up. face aux États-Unis, mais ça ressemble plus à la danse des canards. Les coudes, ils lèvent, ils baissent, ils lèvent, ils baissent... [00:03:23] Speaker A: Comment vous trouvez ça, dans votre comté, la S.E.Q. qui a retiré les 20 spirituels américains, comment vous trouvez ça? [00:03:32] Speaker B: Je pense que tout le monde, quand c'est arrivé, quand Trump est arrivé, tout le monde a un peu voulu improviser. M. Carney, lui, a voulu se montrer un économiste de haut niveau. Il a dit, moi, je vais me tenir debout. Un peu partout, on a pris des décisions qui ont eu un impact sur les Canadiens particulièrement. Moi, j'ai rencontré beaucoup d'usines actuellement qui sont dans des situations plus difficiles. Étonnamment, c'est pas juste les tarifs américains, c'est les tarifs sur l'Inde, sur la Chine, qui font en sorte que sur les produits bruts, il y a des tarifs, il n'y en a pas sur les produits transformés. Donc, il y a des produits transformés qui vont arriver ici, faire compétition, à nos entreprises qui doivent payer un tarif sur l'acier. Bref, il y a beaucoup... C'est difficile à prévoir actuellement, puis c'est pas facile d'analyser ce qui se passe avec les États-Unis. C'est pour ça que quand on a eu un premier ministre qui nous a promis, écoutez, moi, je vais régler ça pour le mois de juillet, je vais avoir une victoire avec les États-Unis, puis se rendre compte que depuis ce temps-là, les tarifs ont doublé. Ça, là-dessus, c'est pas... [00:04:40] Speaker A: C'est un échec. Carney, c'est un échec. [00:04:42] Speaker B: Bien, c'est un échec pour ça, puis c'est un échec pour cette promesse-là, puis c'est un échec pour la plupart... [00:04:47] Speaker A: Les maisons, Maisons Canada, j'ai lu dans le site Internet hier que ça va être bâti avec, entre autres, des matériaux recyclés. Wow! Ça me tente pas d'avoir des restants de tire, moi, dans mes murs. [00:04:59] Speaker B: On parle de construction de 4 000 logements pour un budget de 13 milliards de dollars. Ça ne devrait pas s'appeler bâtir Maison Canada, ça devrait s'appeler bâtir Bureaucratie Canada. Parce qu'on a créé un nouveau bureau, encore une autre bebelle. [00:05:15] Speaker A: Avec des nouveaux fonctionnaires ou on a déplacé des fonctionnaires dans la chaîne? [00:05:19] Speaker B: D'après moi, c'est des nouveaux fonctionnaires. Je n'ai pas tous les détails de comment ça va évoluer. [00:05:23] Speaker A: Allez-vous fouiller ça comme il faut? Parce que ça sent très mauvais. [00:05:27] Speaker B: Bien sûr, parce qu'on a dit qu'on serait une opposition constructive, mais très critique. Puis on va juger le gouvernement Carney à la réalisation de ses promesses, pas selon les critères conservateurs, selon ce que lui-même a dit. Parce que ses paroles, il nous a dit qu'il ferait telle chose, telle chose, qu'il allait doubler le nombre de logements. À 4 000, on ne double pas du tout le nombre de logements en construction au pays. Donc, il y a beaucoup de promesses qui ont été faites. Puis ce qu'on va démontrer, c'est que malheureusement, M. Carney, c'est un libéral comme les autres. C'est un libéral qui est dans la même lignée que les 10 années de gouvernement libéral. Mais c'est plus ça aussi. [00:06:08] Speaker A: C'est 13 milliards pour 4 000 maisons. [00:06:12] Speaker B: Exactement. Ça n'a aucun bon sens. [00:06:14] Speaker A: Ça revient à 3 millions de l'unité. [00:06:17] Speaker B: Quand on fait le calcul, on voit que ça n'a pas de bon sens. Il avait promis de dépenser moins, vous vous en souvenez. Mais même sans budget, il a augmenté les dépenses de 10 %. [00:06:24] Speaker A: Mais qu'est-ce qui explique ça? Dans votre service de recherche, vous avez sûrement fouillé ça. Qu'est-ce qui explique ça? [00:06:33] Speaker B: Notre service de recherche est limité parce qu'on n'a pas accès aux chiffres actuellement du gouvernement parce que le gouvernement hésite, comme je l'ai mentionné tantôt, à déposer un budget. Il n'a pas présenté ce printemps, il n'a pas présenté cet automne. [00:06:46] Speaker A: Donc vous n'avez pas les détails exacts de Maison Canada. [00:06:50] Speaker B: Comment est-ce qu'on fait pour dépenser 8 % de plus sans même avoir présenté un budget? Ça, c'est la première question qu'on se pose. Et ça, ça nous inquiète beaucoup. Monsieur Carnet a beaucoup, beaucoup de mots. Il a promis dans l'élection d'avoir l'économie la plus dynamique du G7. Depuis qu'il est là, on est dans le pays du G7, l'économie qui est le plus en déclin. Juste pour vous dire, les investissements canadiens qui ont fui le pays depuis l'élection de M. Carnet, c'est 60 milliards de dollars. Donc, il se passe quelque chose. Les gens ont choisi d'investir ailleurs qu'au Canada. [00:07:25] Speaker A: Pas de pipeline. [00:07:26] Speaker B: Il n'y a pas de pipeline. Les projets qu'il a annoncés dans sa liste de grands projets, il y en a trois qui étaient déjà en cours là-dedans. Aucune surprise dans ces projets-là. Bref, beaucoup, beaucoup de vent. C'est du pareil au même. [00:07:44] Speaker A: Et là, votre chef va se faire challenger en janvier. Êtes-vous à l'aise avec ça? Appuyez ouvertement. Évidemment, vous allez le faire et vous le faites et vous le ferez toujours. Appuyez Pierre-Paul Lievre, c'est votre chef. Mais est-ce qu'il est en danger, Pierre-Paul Lievre, ou il va passer comme une balle? [00:07:57] Speaker B: Pierre Polièvre est bien en selle. Le caucus est derrière lui. Puis je pense qu'il va effectivement avoir un bon résultat au vote de confiance. Faut jamais présumer du résultat. C'est les membres qui vont décider. Sauf que M. Polièvre a livré la marchandise. À la dernière élection, on n'a pas perdu aucun vote, là. C'est l'effondrement du TD. C'est l'effondrement du Bloc québécois qui a fait en sorte que M. Carney a passé. [00:08:22] Speaker A: Un peu pour Éric Duhem, Andar Tabaska. Le fondrement des autres parties a fait qu'Éric a perdu. D'ailleurs, vous avez appuyé Éric Duhem. Comment vous avez réagi face à cette défaite? [00:08:34] Speaker B: C'est drôle, j'ai appuyé les propositions d'Éric Duhem. Aujourd'hui, on se rend compte que la proposition, particulièrement quand on s'est rencontrés, moi et Éric, je lui ai dit qu'effectivement, on était pour l'abolition de la bourse carbone pour faire en sorte que ça coûte moins cher pour les Québécois à la pompe. Puis on se rend compte aujourd'hui que c'est une proposition qui est retenue probablement par le gouvernement Legault pour donner plus d'argent dans les poches des Québécois. Donc, c'est un peu comme... Non, non, ils n'ont pas aboli. Puis est-ce que ça s'abolit aussi facilement que ça? J'ai aucune idée. Sauf qu'une chose, c'est sûr, c'est qu'on est tanné de voir que c'est toujours les gens qui travaillent, les travailleurs, qui doivent payer la facture à chaque fois que quelqu'un de la gauche a une bonne idée. Donc, il faut mettre plus d'argent dans les poches des gens. Et ça, c'est le plan principal de Pierre-Paul Lievre. Et c'est ce qu'on va faire. On va proposer des solutions lors de ce nouveau mandat-là. On va proposer des solutions concrètes, effectivement, pour mettre plus d'argent dans les poches, effectivement, pour construire plus de maisons. Parce que là, à ce moment, on parle beaucoup de construction, de logement, de logement, de logement. Mais quand on était jeune, nous, on pouvait aspirer à avoir une maison. S'acheter une maison, c'était possible. Et au Canada, c'était un peu ce qui faisait notre marque. On a le deuxième plus grand pays au monde. Et les gens qui venaient ici, ils pouvaient dire, hey, on va pouvoir avoir notre maison. Je sais pas si vous voyagez un peu, là. Mais ailleurs, c'est pas comme ça. Le Canada avait ce côté-là unique. Et maintenant, ce rêve-là est comme disparu. Il faut revenir. Ça n'a aucun bon sens. [00:10:13] Speaker A: C'est pas le gouvernement qui va brasser des maisons. Un gouvernement qui bosse sur une maison, là. C'est pas des bonnes nouvelles. [00:10:19] Speaker B: Ça coûte très cher quand même. [00:10:21] Speaker A: Ben là, ça revient à 3 millions à la porte. Il faut la fouiller, ça, là. C'est un scandale, cette affaire-là. Je vais vous laisser. Très respectueusement, je vous pose la question. Comment va la santé? [00:10:32] Speaker B: La santé va bien. Je pense que le cancer est parti avec la prostate. Je suppose que c'est des rendus, mais ça me dérange pas maintenant. Je suis content que tout soit pas... [00:10:41] Speaker A: La prostate est partie, le cancer est parti? [00:10:43] Speaker B: C'est ça, exactement. Les tests vont bien. Vous savez que j'ai vécu en même temps un autre drame, c'est que deux jours avant de me faire opérer, mon fils s'est suicidé. Et hier, j'ai fait une déclaration à la Chambre des communes, justement pour... j'ai appelé ça un message aux amis de David. Il y a toujours quelqu'un pour écouter. Il y a toujours quelqu'un qui est là, même si les gens sont sans espoir, sont désespérés. Il voit plus à un moment donné qu'il y a quelqu'un autour d'eux qui est prêt à les écouter et prêt à les aider. J'ai un peu envoyé un message à David et à tous ses amis qui traversent des moments difficiles. Prenez le temps, regardez autour de vous, il y a quelqu'un qui peut vous aider. N'allez pas jusque-là. Ce n'est pas une solution. J'ai livré ce message-là. Ça a été assez difficile hier. C'est pour ça que quand on me demande comment je vais, c'est difficile à répondre. [00:11:38] Speaker A: Vous avez quitté, je présume, un état que tout parent aurait, un état de culpabilité. Qu'est-ce que j'aurais pu faire? Qu'est-ce que j'aurais pu faire? Vous semblez vraiment serein et vous semblez très solide mentalement. Et vous êtes sûrement très bien entouré, Luc Berthold, aussi. [00:11:54] Speaker B: Bien, je suis solide, je le sais pas. Résilient, probablement, sûrement. Avec mon épouse Caro, je peux vous dire qu'on réussit à passer au travers. On veut surtout faire en sorte que d'autres jeunes évitent de prendre cette solution drastique et sans issue. [00:12:14] Speaker A: Et est-ce vrai, il y a un auditeur qui m'en demande, est-ce vrai que les libéraux ont refusé une minute de silence pour Charlie Kirk, tel que vous l'auriez, en tant que parti, proposé? [00:12:24] Speaker B: Honnêtement, je ne suis pas au courant. Honnêtement, je ne suis pas au courant. Je sais qu'hier, on a fait une déclaration. Rachel Thomas, notre députée conservatrice, a fait une déclaration sur Charlie Kirk, une déclaration qui a été applaudie par les gens de tous les partis. Donc c'était une déclaration qui dénonçait la violence en termes politiques. Quand on fait des discours, quand on a des opinions, on devrait avoir le droit de les exprimer sans crainte pour sa vie, sans crainte pour sa sécurité. Donc c'était un excellent message de Mme Thomas et tous les partis, tous les parlementaires se sont levés pour applaudir ce message. [00:13:02] Speaker A: On est de tout coeur avec vous, M. Berthold. Vous êtes un député de coeur. Ça paraît. Vous êtes très aimé. C'est naturel. On le sent. Vous êtes impliqué. Et on tient à vous saluer ce matin. 2025 n'a pas été une année facile en espérant qu'elle se déroulera bien pour le reste de l'année. Et on vous appuie dans votre travail de député aussi. Merci encore, Luc. [00:13:24] Speaker B: Merci, au plaisir. [00:13:26] Speaker A: C'est un solide. Très solide. [00:13:29] Speaker C: Absolument. [00:13:30] Speaker A: Très solide. [00:13:30] Speaker C: Absolument. [00:13:31] Speaker B: Absolument. [00:13:31] Speaker A: À fond de coeur, je ne m'attendais pas à ça, ce message-là. Je n'étais pas au courant du message qu'il avait livré concernant son fils. C'est un sujet que je ne voulais pas aborder avec lui. Vous comprenez que c'est lui-même qui l'a abordé. Je parlais de sa santé, mais je ne voulais pas aborder le sujet du suicide. Ce n'est pas que je ne voulais pas, je n'osais pas. C'est très personnel et c'est lui-même qui l'a abordé à juste titre, ayant souligné le décès de son fils en s'adressant aux amis de son fils qui s'est enlevé la vie. Quelle histoire. Parlons décès. Une grosse nouvelle qui est tombée, Dan. Dans le showbiz. [00:14:13] Speaker C: On est dans le décès, là. Robert Redford est décédé ce matin. [00:14:17] Speaker A: Quelle icône. [00:14:18] Speaker C: Oui. Quelle icône certaine. On parle de plus de 100 films, quand même. Il a commencé dans les années 60, au milieu des années 60. C'est sûr que moi, le petit gars, c'est The Natural, le film de baseball, j'ai toujours adoré ça. On l'a vu dans un paquet de films, que ce soit Spy Game, un paquet de films qui ont eu beaucoup de succès. Beaucoup dans les années 2000, il y a quand même eu une... À l'époque où il était vieillissant, au début des années 2000, aller jusqu'à sa mort, il a quand même eu beaucoup, beaucoup de rôle. Il a jamais vraiment arrêté de travailler. Oscarisé une fois comme un réalisateur, c'était pour Ordinary People, un film que j'ai vu au cégep. Évidemment, j'étais beaucoup trop jeune pour voir un film aussi lourd. [00:14:57] Speaker A: Out of Africa, je ne sais pas. Oscar du meilleur film, lui, n'a pas eu le trophée. Ça fait tellement parler, à un moment donné, je l'ai regardé. [00:15:05] Speaker C: Non, c'est clair, c'est clair, c'est clair. [00:15:07] Speaker A: Tu sais, c'était pas mon genre de film, mais c'était un film avec une grande actrice, Meryl Streep. Un film qu'il a fait, il me semble, avec Brad Pitt. [00:15:14] Speaker C: Oui. [00:15:15] Speaker A: Il y avait une histoire de pêche là-dedans, c'est quoi donc? [00:15:18] Speaker C: C'est un film de soi, la fraternité, il était... C'était, je me souviens de ça aussi, c'est à peu près en même temps où Brad Pitt a tourné Légende d'automne. Le film, ça s'appelait... Au début de. [00:15:30] Speaker A: La carrière de film. [00:15:31] Speaker C: Il y avait une histoire de rivière dans le titre. Oui, oui, oui. [00:15:34] Speaker A: Rivière du sixième jour. Quel film extraordinaire. Je pense que c'est ça, Martin. [00:15:38] Speaker C: Oui, ça se peut fort bien. En français, je... «A River Torn Trope», c'est ça le titre du film. C'est quoi? C'est un film, c'est lui qui l'avait réalisé en plus. [00:15:49] Speaker A: Quel beau film. [00:15:49] Speaker C: C'est plus Brad Pitt qui est l'acteur principal du film. [00:15:53] Speaker A: Voilà, un autre décès. Moi, je me souviens de All the Prisoners Men. C'est dans le rôle de Bob Woodward sur Watergate. 76. [00:16:02] Speaker C: C'est un film notable qui a été fait également. Donc, c'est fait. Il est malheureusement décédé. Puis, tu parlais de Charlie Kirk tantôt. Je n'ai pas eu le temps de t'en parler dans le Deep Dan. As-tu vu ce qui s'est passé à Kansas City dimanche pendant la partie? [00:16:17] Speaker B: Non. [00:16:17] Speaker C: Taylor Swift était là. Là, tu vas me dire pourquoi il parle encore de Taylor Swift un matin. Pour la première fois, depuis qu'elle va voir les parties de son chum, de Travis Keersey à Kansas City, elle ne s'est pas promenée en public dans le stade. Dans le sens qu'ils ont mis des paravents partout où elle passait. Il y a du monde qui se promenait partout avec des paravents et des places où on ne pouvait pas en mettre de paravents. [00:16:42] Speaker A: Elle voulait se cacher, quoi. Elle voulait... [00:16:44] Speaker C: Il avait mis un sur roue qui était poussé par du monde qui l'accompagnait. Sa sœur, sa mère, entre autres. Qui ont poussé les paravents. On savait que t'es le swift en arrière. Et la raison pour laquelle elle fait ça, c'est que depuis l'assassinat de Charlie Kirk, elle reçoit des menaces de mort. [00:16:57] Speaker A: Aïe, aïe, aïe, aïe... [00:17:00] Speaker C: C'est tout. [00:17:02] Speaker A: Ok.

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