THOMAS CHABOT: McDavid est le PLUS DIFFICILE À AFFRONTER.

September 16, 2025 00:16:51
THOMAS CHABOT: McDavid est le PLUS DIFFICILE À AFFRONTER.
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THOMAS CHABOT: McDavid est le PLUS DIFFICILE À AFFRONTER.

Sep 16 2025 | 00:16:51

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[00:00:00] Speaker A: Québec va vivre son moment hockey au cours des prochains jours avec une partie du camp d'entraînement des sénateurs d'Ottawa qui s'installe au centre Vidéotrump. On est content de ça. Canadiens, Ottawa s'est vendu depuis un bout. Il y a la revente, on en a parlé tantôt. Et là, bien entendu, vous avez le match en après-midi des Devils contre les sénateurs. C'est le fun. C'est le fun de voir, là, il y en a des chialeux, c'est hors concours. Non, c'est la Ligue nationale. La Ligue nationale est à Québec, il faut quand même le souligner, avec des Québécois qui débarquent, dont Thomas Chabot, de la Beauce, 28 ans, fait partie de l'élite, et on est chanceux de lui parler ce matin. Thomas, comment ça va? [00:00:42] Speaker B: Ça va très bien, vous autres aussi? [00:00:44] Speaker A: Très bien. T'es allé voir ta famille en Beauce cet été, j'imagine? [00:00:47] Speaker B: Bien oui, toujours. À chaque été, c'est sûr. [00:00:49] Speaker A: C'est bon. Salut Ladon, là. Regarde, il nous écoute. Il y a beaucoup de monde qui nous écoute de Radio X. L'antenne est très populaire en Beauce. Prends le temps d'y saluer, là. Pourquoi pas? [00:01:00] Speaker B: Oui, toujours. Non, c'est le fun de... Je sais même pas, je pense même pas. J'ai pensé à leur dire que j'étais à Radio le Bonheur demain matin, mais... Mais non, c'est le fun. C'est toujours une place d'avantage pour moi. Chaque été, de retourner, d'aller voir mes amis, ma famille. C'est tout le temps le fun. [00:01:13] Speaker A: Mais nomme-les. Let's go. Garde-toi, matin. On a du temps, là. [00:01:17] Speaker B: Mes parents, mon père, François Chabot, ma mère, Claude Breton, mon frère Félix Antoine. [00:01:22] Speaker A: Yes sir. OK, parfait. Thomas, t'es extraordinaire. À un point tel où on se dit, il va-t-il aller aux Olympiques? Thomas, vas-tu aller aux Olympiques? Tu vas-tu y aller? Est-ce que c'est ton rêve? Là, on parlera du camp par la suite et tout ça. Moi, nous autres, on est en train de retravailler le line-up du Canada. On a tellement hâte en février prochain. Puis tu fais partie, on peut-tu le dire, de la liste de réservistes? Tu fais pas partie des gros défenseurs, mais t'es pas loin pour la sélection finale, n'est-ce pas? [00:02:01] Speaker B: Oui, bien, regarde, ta question de si c'est un rêve, ce serait de mentir, te dire que ça l'est pas. Oui, je pense que tu entends les plus gros joueurs dans la Ligue, comme des gars comme Crosby, des gars comme Mick Davis, les meilleurs joueurs dans cette Ligue-là, année après année, puis ils parlent des Olympiques, puis ils veulent absolument y aller là. Fait que je pense que le rêve est là pour chacun d'entre nous, peu importe, partout dans la Ligue. Je pense que je vais y participer. Honnêtement, je n'y pense pas trop. Pas nécessairement, non. Ils ont eu du succès avec leur équipe aux quatre nations cet hiver. Mais regarde, la façon dont je le vois, je pense qu'au bout de la ligne, j'ai eu une très belle saison l'année derrière. La façon dont je le vois, c'est de recommencer l'année et avoir du succès, me concentrer sur ce qu'on a. Ici à Ottawa, on va avoir une belle année comme on l'a eu l'année passée, puis le reste est entre mes mains. Je pense que la seule chose que je peux faire, c'est d'aller sur la glace puis jouer le mieux que je peux, puis on verra ce qui arrivera. [00:02:57] Speaker A: C'est quoi ton objectif cette année pour les sénateurs? L'an passé, rappelons-le, 45 points à 80 matchs. C'est quoi ton objectif cette année? [00:03:04] Speaker B: Je pense que c'est le même genre de saison. Je pense que la façon dont j'ai joué l'année passée dans les 200 à patinoire, j'ai pris beaucoup de fierté, je pense, d'être un joueur qui était dans le plus pour ma première saison dans l'année. Deuxièmement, avoir pratiquement quasiment joué 82 matchs. Évidemment, le dernier match, l'entraîneur m'a pas fait jouer. Puis le seul match que j'ai manqué, c'est parce que j'ai mangé une rondelle d'indents. C'est pas... Tu sais, c'est quand même de la fierté. Il y avait beaucoup de positifs l'année passée. Puis en termes d'équipe, je pense que c'est le même genre de saison. Je pense qu'on a... On a mis notre nom sur la map, on a montré à tout le monde au travers de la Ligue qu'on est une équipe qui est prête à arriver en série et avoir du succès. L'expérience qu'on a gagnée, je pense, en commençant la série en perdant 0-3, je pense que c'est beaucoup l'expérience qu'on a gagnée, mais je pense que t'as vu dans notre groupe qu'on a pratiquement remonté ça, pratiquement ramené ça au match numéro 7. Je sais que c'est plus facile de le dire en ce moment que de le faire, mais je pense qu'au bout de la ligne, il y a eu énormément de positifs en tant que groupe. puis c'est de grandir là-dessus puis de ramener ça au début de l'année, cette année. [00:04:03] Speaker A: Le corps est très intéressant chez les sénateurs. T'as le grand chef Giroux qui mène en haut, mais t'sais, t'as un gars comme Katchox tous là, très impressionnant, il est épatant. Vous n'êtes pas loin de... Êtes-vous dans la conversation des Leafs, maintenant que Marner n'a plus d'impact, Vous êtes capable de battre les livres, d'étasser, puis d'aller chercher la domination ontarienne? Qu'est-ce que t'en penses? [00:04:31] Speaker B: Honnêtement, regarde, je l'ai souvent dit, puis même les années qu'on faisait pas les séries, c'est une ligue qui est tellement serrée, c'est une ligue que... Il y a eu des années qu'on était, à Noël, 25 poids en arrière d'un spot en série. Puis on trouvait le tour de battre les meilleures équipes pareilles dans la ligue. Fait que tu sais, c'est toujours... La conversation est toujours là. Est-ce qu'en Syrie, la game change? Oui. Mais je pense qu'avec ce qu'on a passé au travail l'année passée, comme je te disais tantôt, de mal un peu, avons moins bien commencé notre impact directement en Syrie. Mais regarde, tu regardes la Syrie, on a fait quoi? Je pense que c'était trois matchs qui étaient en prolongation. Fait que tu sais, c'est comme rentrer à ce point-là, t'en gagnes un sur trois ou deux sur trois. La Syrie est complètement différente. Mais regarde, comme je l'ai dit, C'est facile, c'est en parlant en ce moment au mois de septembre, six mois plus tard, les choses sont arrivées, on a eu beaucoup de temps de réflexion, mais... [00:05:26] Speaker A: La signature d'Ulmark, moi je pense que c'est un point tournant aussi, ça donne du sérieux, ça donne plus de coffres aux sénateurs, ça donne une régularité devant le net. 44 matchs l'année passée pour Ulmark. Qu'est-ce que t'en penses? [00:05:39] Speaker B: Oui, c'est ça, c'est la constance. T'es un gardien de but à toutes les soirs que tu rentres à chaque match, sachant que ton gardien peut voler la game à tous les soirs, puis de l'avoir là, de l'avoir dans la chambre, c'est un gars qui a quand même beaucoup de bagage. Avoir été à Boston avec leur saison extraordinaire qu'ils ont eue, qui arrive avec nous, avec tous les vétérans, qui a joué à Boston comme un gars de Québec, justement, comme Pat Bergeron, c'est de l'expérience qu'on a menée à notre groupe, encore une fois, qui entoure notre groupe de plutôt appelés jeunes, comme on dit souvent. Je pense que c'est juste gagner en tant que groupe, ça nous a aidés l'année passée tout au long de la saison. [00:06:18] Speaker A: Le joueur de la Ligue nationale, contre qui c'est le plus difficile de jouer? Quand tu le vois avancer dans le territoire, toi tu recules, c'est qui qui est le plus tough à checker? [00:06:29] Speaker B: C'est ça, c'est Big David, on s'entend. On le voit souvent dans tous ses highlights qu'il y a. Mais honnêtement, je l'ai toujours dit au travail de ma carrière, le défi est différent, le défi est difficile de soir après soir, peu importe. Chaque équipe ont ces joueurs-là, chaque équipe ont des joueurs qui ont de l'impact, qui sont extrêmement talentueux. Ça fait que c'est tout le temps le fun, je pense que c'est ça qui rend ça aussi le fun, soir après soir, de se présenter à l'aréna. C'est un défi différent, t'affrontes un joueur différent, que ce soit, oui, le joueur le plus talentueux au monde ou que ce soit le joueur le plus rapide ou le plus physique, peu importe. Tu sais, c'est ce qui rend ça le fun, match après match, de faire face à des gars différents comme ça. [00:07:11] Speaker A: C'est quoi jouer avec un Ketchup? Les gars sont spéciaux, là. Les deux frères, c'est... Tu sais, vous avez Brady, mais l'autre, évidemment, là, qui a été blessé, on verra bien la suite des choses en Floride, mais c'est des gars... C'est des gars qui ont mangé de la bonne viande, comme on dit. C'est des gars qui ont du caractère, c'est des gars extraordinaires. C'est quoi jouer avec un Ketchup? [00:07:31] Speaker B: C'est le fun de l'avoir de ton bord, on s'en tirera pas. Mais non, c'est un gars extraordinaire. À tous les jours, c'est l'identité de notre équipe. Tous les jours, de se présenter et de travailler le plus fort qu'on peut. Je pense que vous regardez nos matchs à la télévision et tu le vois. très rarement que tu vas voir ce gars-là pas donner tout ce qu'il y a sur la glace. Puis tu sais, tu parles des Ketchup, mais je pense qu'on a un gars comme Claude Giroux qui est un peu la même mentalité, le même genre de joueur que... Tous les coups qui sont sur la glace, les gars, ils laissent tout ce qu'ils peuvent. Puis oui, c'est certain qu'en étant des athlètes professionnels, c'est pas tous les soirs que ça fonctionne, mais je pense qu'un identité comme ça, je pense que ça l'aide parce que quand t'as un gars comme Brady ou t'as un gars comme Giroux qui est au top du line-up, qui font ça tous les soirs, bien je pense que c'est... Ça nous pousse nous-mêmes, le reste du line-up, à juste être comme, OK, si les gars le font, tout le monde embarque sur le même bateau, puis ça nous pousse vers l'avant. [00:08:25] Speaker A: En parlez-vous d'un éventuel nouvel amphithéâtre où vous tassez ça de côté? Ça fait parler. Évidemment, bon, ils ont acheté les Plaines-le-Breton, c'est bien du taponnage avec le gouvernement fédéral. Éventuellement, c'est sûr qu'un immeuble sur ce terrain-là, ça serait extraordinaire. En parlez-vous parmi les joueurs ou au contraire, vous laissez le management s'en occuper et vous gérez la glace, comme on dit? [00:08:50] Speaker B: Bien, c'est un peu un mix des deux. On s'entend, regarde, au bout de la ligne, c'est pas souvent entre nos mains, c'est pas nous autres qui avons le contrôle là-dessus, mais quand on voit la nouvelle qui sort de l'Afghanistan au centre-ville, c'est certain que c'est excitant pour nous en tant que joueurs. Tu sais, quand tu regardes plusieurs grands autres marchés au travers de la Ligue, quand tu t'en vas à Sarajevo et puis le match est en ville, tu vois l'atmosphère qu'il y a avant la game, tu vois tout ce que ça entoure, l'événement que j'appelle souvent, c'est excitant, c'est sûr, puis je pense pour la ville d'Ottawa, Ça serait quelque chose qui serait très bon dans le sens que ça amènerait beaucoup de vie au centre-ville. Soir après soir, ça ferait des bels événements pour la ville au complet, mais je l'ai dit, regarde, nous, notre job, on est payé pour jouer au hockey, puis on se concentre là-dessus. Le reste, c'est pas à nos mains, mais c'est certain que quand on a vu ça cet été, au courant des derniers mois, je pense que c'était excitant pour la ville au complet. [00:09:40] Speaker A: Ça présente quoi pour toi, dernière question, à Québec, le camp d'entraînement ou une partie du camp d'entraînement des sénateurs avec deux matchs? [00:09:47] Speaker B: Ben, c'est un peu un rêve qui devient réalité. Je pensais jamais un jour avoir la chance de jouer dans la Ligue nationale à Québec, pas loin de la ville. Ben, en fait, l'endroit où je suis né, on s'entend, c'est excitant. Je pense que tous les joueurs de l'équipe ici sont extrêmement excités aussi d'aller à Québec. Je pense que ça fait... Tu sais, ça fait plusieurs années qu'on est en Ligue nationale, puis les camps d'entraînement sont pas nécessairement aussi excitants au fil des années. Puis quand t'as la chance d'aller à Québec, d'aller visiter la communauté, d'aller rencontrer des gens, d'aller jouer au Centre Vidéotron, qui est un amphithéâtre extraordinaire. Ça rend tout ça encore plus excitant. Puis je pense, en tant qu'équipe, les gars, on en parle depuis... Ça fait quoi? Deux semaines qu'on est tous ici, puis on en parle qu'on a tout hâte d'aller jouer deux matchs. C'est certain que le match contre le Canadien puis New Jersey, ça va être deux games qui vont être très excitants pour un camp d'entraînement pour nous en tant que joueurs. Puis pour moi, en plus, d'avoir toute ma famille, tous mes amis, tout mon monde qui est là, qui va être là pour les games, ça va être... [00:10:43] Speaker A: T'as-tu fait demander Ben l'étiquette? [00:10:45] Speaker B: Oui, quand même, beaucoup. Mais tu sais, c'est le fun. Je voudrais le faire. Jamais je n'aurais pensé, comme je te l'ai dit, dans ma vie, d'avoir la chance d'être avec les sénateurs d'Ottawa et d'être devant ma famille, mes proches. Ils viennent au fil des années ici à Ottawa, mais quand tu es dans ta ville où tu es né, C'est un événement différent. Fait que non, toute l'organisation, tous les joueurs, on est vraiment, vraiment excités d'aller jouer là à Québec. [00:11:08] Speaker A: Vraiment cool. Avez-vous un programme, t'sais, les Kings sont venus, pis c'est totalement différent là, pis ils sont venus sur une courte période, pis tout ça, pis ça me tente pas de recesser ça parce qu'il y a eu des mauvaises histoires reliées à ça, l'argent public, blablabla. Mais ils sont allés quand même dans le public. Ils sont allés donner, entre autres, des repas à la Boucher Généreuse, etc. Allez-vous avoir un programme communautaire pour vous impliquer, aller voir des jeunes dans les écoles, ce genre de trucs-là? Êtes-vous au courant des activités que vous allez faire? [00:11:36] Speaker B: Oui, je suis au courant. Je sais pas si c'est à moi de tout divulguer ça, mais... Donne-nous un peu. [00:11:43] Speaker A: C'est juste du positif, dans le fond. [00:11:45] Speaker B: Mais non, c'est une de nos priorités. Je pense que, comme tu as parlé, oui, il y a eu des flashbacks un peu des Kings quand ils sont passés. Mais pour moi, c'est une de nos priorités. Je pense, oui, c'est le fun de jouer des matchs de hockey, mais je pense qu'au bout de la ligne, on veut laisser un impact sur la Ville de Québec. C'est comme je t'ai dit tout à l'heure. Très bon. C'est l'endroit où je suis né. Je suis fier d'où je suis né. Je veux montrer aux gars comment c'est, puis d'avoir la chance d'aller se promener, d'aller rencontrer la communauté, que ce soit dans la ville de Québec ou dans les endroits autour. On veut laisser notre impact. Si on est capable de ressortir de là, d'avoir fait sourire des milliers ou un jeune, peu importe, c'est notre but. Regarde, on veut rendre ça un moment que les gens vont se rappeler, que les gens vont être heureux d'avoir eu la chance de rencontrer le Ketchup, le gyro, les studios, peu importe c'est qui. Si on est capable de faire sourire du monde, faire penser à du monde que c'est extraordinaire qu'on ait été en ville pour un cinq jours, bien, c'est notre but. Ça a été la priorité avant même que les matchs commencent. Les matchs, c'est tel que tel, mais pour nous, c'était d'aller là puis de rencontrer le monde, rencontrer la communauté, puis faire comme si on était à Ottawa. On en fait plusieurs choses ici, mais on veut faire la même affaire avec la Ville de Québec. [00:13:00] Speaker A: Très bon. Bon, on a bien hâte. Vous arrivez quand? [00:13:03] Speaker B: On arrive le 25 septembre. [00:13:05] Speaker A: OK. Bon, on va être là, puis c'est ouvert, j'imagine, les pratiques. Puis on aura la chance de donner la bonne information au moment venu, mais je présume qu'au-delà des matchs qui sont à vendre, il y aura des moments gratuits où les gens pourront voir des pratiques des sénateurs gratuitement, j'imagine. [00:13:23] Speaker B: Oui, je suis pas mal sûr que oui. Je te confirmerai pas à 100 %, mais je suis pas mal sûr que oui, c'est ça. Comme je t'ai dit, c'est notre but. On veut rendre ça un événement extraordinaire pour tout le monde, puis d'avoir la chance de rencontrer le monde de la Ville de Québec. [00:13:35] Speaker A: Là, il y a la chum Pat, qui travaille pour le Midi, qui me demande... Gibril Touré fera ses débuts le 28 septembre avec les sénateurs un gars de Montréal. Tu connais-tu? As-tu de l'information là-dessus? J'ai aucune idée, là. [00:13:48] Speaker B: J'ai aucune idée, honnêtement, mais oui, je le connais. Ça fait une couple d'années qu'on se croise au camp d'entraînement. [00:13:55] Speaker A: 6 pieds et 7 à l'eau. [00:13:57] Speaker B: Oui, c'est longtemps. [00:13:59] Speaker A: Quelle position! [00:14:02] Speaker B: Il est défenseur. [00:14:03] Speaker A: Ah oui? [00:14:04] Speaker B: Oui. [00:14:04] Speaker A: OK. Puis là, il est dans le club d'école, fait qu'on verra, là, s'il a la chance de... Il y a-tu des trous à la ligne bleue? Sans tomber dans le détail, il y a-tu de la place chez Sénégal? [00:14:13] Speaker B: On est pas mal... On est pas mal... Oui, on a pas mal plusieurs défenseurs, mais comme je te l'ai dit, je pense... Je sais pas. Je suis pas l'entraîneur chaud. [00:14:22] Speaker A: Ça se joue au camp? C'est ça, c'est le coach qui calle? [00:14:25] Speaker B: C'est souvent au camp. [00:14:25] Speaker A: C'est ça. Exactement. [00:14:26] Speaker B: Exact. [00:14:27] Speaker A: Hé, merci encore. [00:14:28] Speaker B: Hé, merci à vous autres pour a été cette un belle journée. [00:14:29] Speaker A: Ça plaisir de te parler. Salut, bye. [00:14:31] Speaker B: Salut. [00:14:32] Speaker A: Go Sands, go! Bien oui! [00:14:34] Speaker C: On va aller voir ça. [00:14:34] Speaker A: Une belle équipe, les Sénateurs, pour vrai. [00:14:36] Speaker C: On va aller voir ça. C'est une équipe qui va concurrencer le Canadien. [00:14:40] Speaker A: Canadiens, Sénateurs, c'est des bonnes games, excusez-moi. Oui, oui, ça va être des maudites bonnes games. [00:14:45] Speaker C: Ça va vraiment être trippant, ça va être le fun, ça, cette année. Puis la game contre les Canadiens, c'est le mardi soir, dimanche après-midi, c'est la game contre les Devils du New Jersey. C'est la fin de semaine prochaine, pas celle qui s'en vient l'autre d'après. [00:14:57] Speaker A: C'est un tcharaille ou quelqu'un qui nous dit ça. C'est un Zé de nos tchara. Tchara, c'était ça, C-C-7. C'est long, longtemps, là. Dans le coin, c'est pas commandant. [00:15:04] Speaker C: Effectivement. [00:15:05] Speaker A: Très bon. Good. [00:15:07] Speaker C: Il y avait du football hier, on n'a pas parlé de sport. Je te résume ça en 30 secondes. Victoire des Bucks, victoire des Chargers, ça, c'est réglé. Mais surtout, ce qui a retiré... T'en parles vite. [00:15:16] Speaker A: As-tu bon? [00:15:17] Speaker C: Oui. La game entre les Bucks pis les Texans a fini 20-19. On parle quand même d'une bonne game. Ça a été un peu plus juste 9 points pour Vegas hier contre les Chargers. Par contre, c'est Tom Brady qui a fait le chargé hier parce que Tom Brady a annoncé qu'il ferait partie d'une des trois équipes qui va se présenter au tournoi de flag football en Arabie Saoudite au mois de mars. [00:15:41] Speaker A: Tournoi de flag football en Arabie Saoudite. [00:15:44] Speaker C: Présenté par Fox Sports. [00:15:46] Speaker A: OK. [00:15:47] Speaker C: C'est à Riyad. Tom Brady va être un des carrières. Les coachs, c'est pas de la merde. Les coachs, c'est Sean Payton, le coach actuellement des Broncos de Denver, Carl Shannon qui coach les Niners, puis Pete Carroll qui coach les Raiders. Tu as Shaquan Barkley qui est déjà là, C.D. Lamb, Christian McCaffrey, Sos Gardner, Miles Garrett. Brooke Bowers, le Tide End, et Max Crosby, les deux des Raiders. Tyra Kill est là, Odell Beckham, Rob, Rob Grogg qui va être là. Donc ça va attirer bien du monde, bien des regards. Je trouve certaines, c'est les Émirats, en fait, c'est les princes saoudiens qui ont décidé de se payer un gros show à rien. [00:16:31] Speaker A: C'est pas une première. Les princes saoudiens qui s'échattent des stades en Angleterre. Des clubs de foot à gauche et à droite. [00:16:39] Speaker C: Fait qu'ils se sont payés Tom Brady pour jouer au flag football. [00:16:42] Speaker A: Ils veulent-tu nous acheter eux-autres aussi, Moral Life? [00:16:44] Speaker C: Je sais pas. Peut-être. [00:16:47] Speaker A: À suivre. N'importe quoi. À suivre dans le show de Pierre.

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