Episode Transcript
[00:00:02] Speaker A: Les Palestiniens disent la même chose.
[00:00:05] Speaker B: On est en train de jaser des Autochtones.
[00:00:07] Speaker A: T'sais, moi, mon poids, c'est juste qu'il y a une journée dans l'année...
[00:00:09] Speaker B: On dépasse encore des réserves. La loi sur les Indiens, supposément... Oui, je sais.
[00:00:13] Speaker A: Mon poids, c'est juste qu'il y a une journée dans l'année où il faut qu'on se ferme la gueule. C'est le 30 septembre.
[00:00:17] Speaker B: Ça a été bien fait, hier. Ça a été honoré... Mais... En tout cas.
T'sais, on est revenu beaucoup sur l'histoire de Joyce Echaquan. Moi, ce que j'aime pas, c'est qu'on prend des cas très particuliers pis on les étend à la grandeur du Québec. Joyce Echaquan, c'était du racisme, mais c'était des cabochons à Joliette. Moi, j'suis pas là. J'reste pas à Joliette, j'suis pas là-dedans. J'ai fait un gros volet à Ratcan, là-dessus. Joyce Echaquan, donc, les Québécois racistes, faut vraiment réfléchir là-dessus cinq ans plus tard. Non, moi, j'suis pas dans l'histoire.
Je ne suis pas là-dedans. Et c'est ce qui me bogue un peu. Ce qui me bogue un peu aussi, c'est l'hypocrisie des politicoses. Êtons surpris. Hier, ben oui, c'est une histoire de bébé Lala, là. Le PQ qui sort parce que, bon, le gouverneur général est là, tout ça. C'est autochtone, supposément. Je pense qu'il aurait pu se garder une gêne. Juste lever le pied. Juste lever le pied, puis laisser ça aller. C'est une journée. C'est une journée dans l'année. Donc... Voilà.
Il y a quelqu'un qui écrit... Watch? Watch quoi? Ah, c'est des gens qui envoient des... Ouais, Bernier. Bien ça... Maxime Bernier, ça, le chum Doom en a parlé pendant une dizaine de minutes tantôt. Vous allez réécouter ça dans cinq heures et demie et six heures. Bienvenue à Radio Wings dans Montréal Live. On est en direct de Grande Allée avec un show qui, s'il se déroule comme prévu, sera un accident de char. Je vous le dis tout de suite, vous allez entendre un bruit.
Mais c'est pas votre char, c'est l'émission qui déraille. Parce que... Dans le même bloc, oui, Dume Dumas l'a fait, mais il faut dire que ça fait mon affaire aussi, mais en même temps, on va vivre notre moment présent, on va vivre notre accident. Il y a une chef syndicale dans le même bloc que Donald Charette, donc 15 plus 15 égale 30, donc ça va être un bloc de 30 minutes. Mais on trouvera le temps de passer les commandites, mon cher Dan, parce qu'aux dernières nouvelles, on n'est pas syndiqués, quand même.
[00:02:19] Speaker A: Je suis zéro nerveux.
[00:02:21] Speaker B: On n'est pas nerveux, on vit notre moment. Alexa Lavoie, son vidéo, oui, oui, on l'a vue. Je l'ai postée. J'en ai parlé hier. Je passerai pas en revue tout ce qu'on a fait hier dans la journée. Il y a quand même 24 heures. Mais bravo à Alexa, on en parle. On va en parler tantôt. Un employé de la Défense nationale qui s'est fait pogner. Moi, la question, c'est qui est dans Antifa? C'est lui qui a lancé les bombes fumigènes dans l'église où chantait Sean Fulk.
Le Jesus Freak qui grattait de la guitare. Oh, qui était dangereux. Et Rebel News, quel bel job, ont identifié, nommé le Page. Tu sais ça?
[00:03:03] Speaker C: Gabriel.
[00:03:04] Speaker B: Gabriel Le Page. Comment ça va, Gab, ce matin? Est-il... Est-il aux commandes? Est-il aux manettes, comme dit Stéphane Bureau? Hi, hi, hi, hi! Il avait accès à du stuff. Il avait accès à des petites bombettes. Et ils l'ont trouvé.
Donc une grosse pâte mâle, si vous voulez mon avis. Antifa, c'est pas un mâle alpha, là. Tu vois, la alpha, dans l'histoire, c'est pas mal Alexa, qui court après sur le trottoir. Un obèse à bretelles. Antifa, quel minable. Quel minable. Là, il appelle des amis. « Je suis pour choisir. Ouais, là, la personne de l'autre bord, pourquoi t'es pour choisir? Ouais, mais je sais pas, là, je sais pas, j'ai rien fait. Quelle pâte molle. Moi, je veux savoir si la police s'implique là-dedans. Si le fédéral s'implique là-dedans. Pour le » suspendre. Parce qu'un fonctionnaire, habituellement, qui commet ce genre de truc-là, c'est du vandalisme et méfait, ça passe pas la rampe, habituellement.
Donc, bel job. Il avait quand même offert une récompense Rebel News. L'extrême droite! Alors, bravo! Bravo, bel bravo.
[00:04:12] Speaker A: Mais je sais pas ce que la police va faire avec ça, hein. La police doit traiter la plainte, là. La police doit traiter la plainte.
[00:04:21] Speaker B: Oui.
[00:04:22] Speaker A: C'est sûr que si vous vous attendez.
[00:04:24] Speaker B: C'Est que la police... Y'aura pas appartenait, là. Oubliez ça, y'aura pas en prison, sauf que... Ça se peut qu'il perde sa job.
[00:04:29] Speaker A: Si, mais si vous vous attendez, c'est que la police regarde la vidéo, puis qu'il décide de prendre action, ça arrivera pas là. Faut que quelqu'un appelle puis dise «Allez voir la vidéo!» Portez plainte.
[00:04:38] Speaker B: Exact. Hier, centre Vidéotron, 5-0 des clacs sur la gueule. Qu'est-ce que tu veux de plus?
[00:04:46] Speaker A: Nick Kazen, selon moi, le prochain coup qu'il va au Centre Bell, il va trouver le talent.
[00:04:50] Speaker B: Non, non, il va chercher des cousins des Estrades, puis il n'en aura pas, là. Quel crotté, hein? C'est incroyable. Donne un coup de hockey sauvage à Demidov, aux dernières nouvelles. C'est à titre préventif qu'il a été retiré du match, mais un coup de hache sur le poignet. Les gars, vous êtes syndiqués, vous avez des jobs! Vous les avez, vos jobs!
[00:05:09] Speaker A: Il l'a dardé sur le bras, là.
[00:05:10] Speaker C: Hein?
[00:05:10] Speaker A: Il l'a dardé sur le bras. Même pas... Même pas essayer de se cacher.
[00:05:16] Speaker B: Non. Un régulier dans le pro?
[00:05:19] Speaker A: Oui, lui, il va avoir sa job.
[00:05:21] Speaker B: Il est syndiqué?
[00:05:22] Speaker A: Il est sur les deux premiers trios.
[00:05:23] Speaker B: Oui! Vous faites quoi? Protégez-vous, guys. Vous avez déjà des jobs. Je peux comprendre à la limite. Il y a une grosse bataille entre deux personnes pour un poste. Même là, les coups sauvages sont à proscrire. Les gars, soyez intelligents. Visiblement c'est pas le cas, il est plein de blessures avec des coups salauds juste hier dans la NHL, entre autres dans la game de Winnipeg. Mais les gars, vous savez déjà, mais c'est quoi l'affaire? Donc Montréal qui s'est présenté sans premier trio, ça a été facile, 5-0 contre Ottawa. Tu me disais quelque chose d'entrée de jeu avant qu'on commence l'émission, je pense que t'as raison. Je pense que les sénateurs étaient fruits.
[00:06:08] Speaker A: De pas être... Oui, les sénateurs avaient une petite frustration. Hier, ils parlaient aux journalistes, puis ils avaient l'air de penser que c'était comme acquis la foule de Québec à leur endroit, parce qu'ils visitaient des écoles, parce qu'il y avait des gars qui venaient de Québec dans l'uniforme, parce que... parce qu'ils étaient... Tu sais, c'est eux autres... C'est comme un cadeau. On vous offre un cadeau, on va aller... on va vous donner deux matchs hors concours.
[00:06:32] Speaker B: On va faire boucher généreuse, donc soyez nos amis.
[00:06:34] Speaker A: C'est ça, puis t'sais, les matchs en concours, on a à tout écrire stydané. À un moment donné, ça va être correct. C'est ça. Ça nous allume même plus. Puis hier, ils ont vraiment joué comme des joueurs frustrés. Ils ont joué comme des frustrés.
[00:06:48] Speaker B: Oui, ils ont joué sauvage. Sauvage.
[00:06:51] Speaker A: Mais ce qui a fait le plus jaser, quand même, ça reste la photo du Canadien sur la terrasse du frein avec le château Frontenac en background.
[00:06:56] Speaker B: Ben, c'est une belle photo.
[00:06:58] Speaker A: Ben oui.
[00:06:59] Speaker B: Respectueuse, là. Arrêtez avec les Nordiques, je suis... Non, non, ça c'est...
[00:07:04] Speaker A: Je peux comprendre que vous ayez de la misère à prendre pour le Canadien, je suis pareil. Mais lâchez cet espoir-là des Nordiques, je veux dire, c'est...
[00:07:13] Speaker B: C'est quoi l'histoire raconte?
Dom, on a parlé brièvement, là.
[00:07:16] Speaker A: Mais c'est parce que le Canadien s'est fait...
[00:07:17] Speaker B: L'histoire de Blanchette dans le journal, on a été conquis, les conquérants.
[00:07:20] Speaker A: On est assimilés.
[00:07:20] Speaker B: J'ai de la misère à comprendre, là.
[00:07:22] Speaker A: Ça y est, l'ennemi nous a assimilés.
[00:07:24] Speaker B: Oui, il y a pas d'ennemis, là.
[00:07:25] Speaker A: Ben oui, c'était l'ennemi, ben... Non, mais.
[00:07:28] Speaker B: Il y a pas d'ennemis. Moi, mes gars, ils ont 21, 22 ans. Ils connaissent même pas c'est quoi un nordique.
[00:07:33] Speaker A: Je sais, Dom, sauf que quand t'étais jeune...
[00:07:35] Speaker B: J'ai une histoire.
[00:07:36] Speaker D: Oui.
Il y en a qui disent que.
[00:07:38] Speaker B: Les Rolling Stones sont un tel ennemi des Beatles.
[00:07:40] Speaker A: Ça, je suis entièrement d'accord. Mais moi, ce qui me fait encore plus halluciner, c'est que les gens... T'sais, demandez-vous pas pourquoi les gens ne voient pas ce qui se passe quand il vient le temps d'aller aux élections ou quoi que ce soit. Il y a encore des gens qui pensent réellement que Québec peut recevoir un.
[00:07:54] Speaker B: Club... Oui, c'est fraisé, fraisé, fraisé.
[00:07:56] Speaker A: T'sais, c'est clair que si tu demandes à ce gars-là ou à cette fille-là de... de parler de l'avenir ou quoi que ce soit, il va...
[00:08:05] Speaker B: Là, t'es dans le mille, mon Danny Boy.
[00:08:06] Speaker D: Mais écoute...
[00:08:07] Speaker B: Là, t'es dans le mille. Demandez pas un jugement politique à quelqu'un qui dit que Québec mérite mieux la LNH que Houston.
[00:08:15] Speaker A: Faut penser à autre chose. Exactement. Mais ça demeure. Québec est une trop petite ville.
[00:08:20] Speaker D: Oui.
[00:08:20] Speaker A: C'est une trop petite ville.
[00:08:22] Speaker B: Et c'est encore, oui, oui, une ville de fonctionnaires. Je sais qu'il y a un baratin qui circule. Ah non, c'est une ville de techno. Arrêtez ça. Sans n'oser, c'est une ville de techno. Silicon Valley, c'est... Un quartier de techno. Nous, on a des compagnies qui font des sites internet pour le gouvernement. Pas même ballgame.
[00:08:39] Speaker D: Puis le couple de jeux subventionné.
[00:08:41] Speaker B: Puis le couple de jeux ultra subventionné.
[00:08:43] Speaker D: C'est ça. Mais t'sais, ça demeure que moi, quand j'ai vu l'image d'hier, j'ai fait comme...
[00:08:50] Speaker B: Toi, ça s'est pincé sur ton compte, c'est ça?
[00:08:52] Speaker D: Oui, ça s'est pincé sur mon compte. Et j'avais pas vu le titre de Jean-Nicolas Blanchet, mais ce que j'ai écrit va dans le même sens. Sauf que moi, j'avais comme mis un clin d'œil à la fin, là. C'est comme... Faut rire, là. Mais j'avais écrit, c'est pas la première fois dans son histoire, mais Québec est tombée et a été conquise. C'est ça que j'ai écrit, là. Parce que c'est un peu ça que l'image me donnait comme feeling.
[00:09:11] Speaker B: Et je me suis dit, c'est de l'ironie, comme j'utilise ça.
[00:09:13] Speaker C: Mais oui, oui, ça!
[00:09:14] Speaker D: Jean-Nicolas Blanchet a eu un petit peu le même flash, on dirait.
[00:09:16] Speaker B: Mais les gens capent pas le deuxième niveau aussi, là. Ça, faut quand même le dire.
[00:09:20] Speaker D: Peut-être.
[00:09:20] Speaker B: Parce qu'il est ironique et tout ça. Moi, je peux vous en parler. Les gens ne comprennent pas.
[00:09:24] Speaker D: Mais il y en a plusieurs... Donc.
[00:09:25] Speaker B: TV, pour bien du monde, c'est un vrai pas sur le câble, là.
[00:09:28] Speaker D: Mais il y en a plusieurs qui sont partis à rire. Mais là, après ça, ça a commencé à s'obstiner entre fans des Nordiques et fans du Canadien.
[00:09:33] Speaker B: Game over.
[00:09:34] Speaker D: Là, si t'es fan du Canadien, ça veut dire que t'es de Montréal, vous avez perdu vos expos.
[00:09:38] Speaker C: Game over.
[00:09:39] Speaker D: Là, j'étais comme, wow!
[00:09:40] Speaker B: Non, non, game over. C'est fini. C'est fini.
[00:09:44] Speaker A: Tu sais, le sport, c'est supposé d'être le fun. Puis là, le hockey, c'est plus le fun depuis 30 ans. C'est pour ça que c'est cool de voir des jeunes... de jeunes espoirs arriver avec le Canadien puis dire, moi, oui, oui, je vais peut-être embarquer dans le bandouaguen.
[00:09:58] Speaker D: Exact.
[00:09:58] Speaker A: Parce que j'ai le goût de triper avec le reste du monde au mois de mai.
[00:10:01] Speaker B: Voilà.
[00:10:02] Speaker A: On choisit le plaisir.
[00:10:04] Speaker B: On a une vie à vivre.
[00:10:05] Speaker A: Exactement.
[00:10:06] Speaker B: Live your life, comme disait le chum St-Onge.
[00:10:08] Speaker A: Les Nordiques, à Québec, ça ne peut pas arriver, ça ne peut pas exister. On le disait à l'époque où vous avez construit le centre Vidéotron.
[00:10:16] Speaker B: Ça peut pas. Les Nordiques, c'est l'AMH. J'en ai parlé justement hier à la maison. «Pas, c'était quoi ça, l'AMH?» Je l'ai réexpliqué. C'est les Nordiques. Non mais c'est parce qu'on regardait la game, là, on lui a montré bannir à Copafco. Évidemment, j'ai fait un rappel historique, les Copafco, pas évident pour un kit de 20 ans.
[00:10:33] Speaker D: Non, c'est ça.
[00:10:33] Speaker B: C'est vrai. Puis même pour les kits de 40 ans, là, t'sais, c'est pas toujours... J'ai expliqué. Bon.
[00:10:38] Speaker D: Mais en même temps...
[00:10:39] Speaker B: Évidemment, Bobéol est venu ici, puis c'est les gestes de Winnipeg contre les Nordiques, etc. L'AMH, c'est l'ancienne ligue qui a fusionné.
[00:10:46] Speaker A: Oui.
[00:10:46] Speaker B: Et c'est pour ça que les Nordiques ont fait la légende.
[00:10:49] Speaker D: C'est intéressant parce que c'est un mouvement qui a existé dans quasiment tous les gros sports professionnels. La NFL, c'est AFL-NFL. La NBA, il y a eu la ABA qui était là comme compétiteur. Il n'y avait pas de monopole de ligue de sport professionnelle dans ce temps-là.
[00:11:08] Speaker B: Les Spurs faisaient partie de la ABA.
[00:11:10] Speaker D: C'est ça. Le baseball, il y en a-tu eu?
[00:11:15] Speaker B: Non, il n'y en a pas eu.
[00:11:16] Speaker D: Le baseball, il n'y en a pas eu.
[00:11:17] Speaker B: Il n'y en a pas eu. Tu as eu de l'expansion.
[00:11:19] Speaker D: C'est ça.
[00:11:20] Speaker B: Avec Jean Drapeau qui a accueilli les défunts Expo.
[00:11:24] Speaker A: Moi, au final, j'imagine qu'il y a quand même deux ligues qui sont... Peut-être.
[00:11:27] Speaker B: Au tout début, là.
[00:11:28] Speaker A: Qui sont mergés, là?
[00:11:29] Speaker B: Oui, oui, non, c'est ça. Mais t'as eu les Braves de Boston.
[00:11:33] Speaker A: Oui, je comprends ça.
[00:11:34] Speaker B: Le B, c'est Braves de Boston. Mais ça, on était bien, bien jeunes, puis c'était dans le temps de la syphilis, là.
[00:11:38] Speaker A: Mais t'sais, je veux dire...
[00:11:39] Speaker B: En 1908.
[00:11:40] Speaker A: Ligue nationale, Ligue américaine, j'imagine que ça a déjà été deux ligues qui sont mergées ensemble. Un peu comme les FC et les NFC dans les NFL.
[00:11:46] Speaker B: Il y a quelqu'un qui parle Negro League. Negro League, il n'y a jamais eu de fusion. Negro League, c'est une ligue à part. Maintenant reconnue par la MLB.
[00:11:52] Speaker D: Ils ont juste laissé les Noirs jouer avec les autres.
[00:11:54] Speaker B: C'est ça. Et maintenant reconnue, d'ailleurs, par la MLB.
[00:11:57] Speaker D: Oui, ça fait peur. Coupe Hurstown, c'est ça.
[00:11:59] Speaker B: Coupe Hurstown considère les records, maintenant, de la Negro League.
[00:12:02] Speaker D: Satchel Paige, compagnie... Qui est excellente.
[00:12:05] Speaker B: C'est vraiment ça. C'est un très beau geste, là. Oui. Au contraire, ça n'a pas été fusionné. C'était l'incarnation de la ségrégation sportive. Donc, voilà. Finalement, 5 à 1, vous allez dépenser combien?
[00:12:19] Speaker D: 5 à 0.
[00:12:19] Speaker B: Pardon, 5 à 0. Vous allez dépenser combien, les livers? Ça vous a coûté combien avec les enfants et tout? C'est le plaisir qui compte. D'après moi, une famille de 4 avec un lunch, on tape le 1000$.
Nos pensées au policier qui s'est fait foncer dedans.
[00:12:38] Speaker D: Ouais.
[00:12:39] Speaker B: Multiples fractures, mais sa vie n'est pas en danger. C'est ce qu'on aime lire.
[00:12:44] Speaker D: Au moins.
[00:12:44] Speaker B: Au moins. Mais c'est affaissé, là. Le Bézec à gaz, d'après moi, il s'en va chez... Il s'en va au métal, là. Comme on disait à Chahui, là. Il s'en va chez Métro-Lamy, là.
[00:12:54] Speaker D: Tu sais, sur le coup, c'est comme, bon, OK, il y a eu une collision. Quand j'y vais à moto, je fais OK, OK, c'est une bonne collision, là.
[00:13:00] Speaker B: As-tu eu une arrestation?
C'est parce que tu fonces carrément d'une police, là. Bad news! Bad news!
[00:13:09] Speaker D: Pas longtemps avant le game.
[00:13:10] Speaker B: Ouais.
[00:13:10] Speaker D: Le monde sont pressés.
[00:13:11] Speaker B: Je suis pressé, vite, vite, vite! Faut que je vois un match sur concours, là! Ça presse!
[00:13:16] Speaker D: C'est pire rentrer au centre Vidéotron avant un gros événement de même que d'en sortir.
[00:13:22] Speaker B: Ben, c'est bric-à-brac. C'est le parking. Puis...
[00:13:26] Speaker D: Le premier à bonne place?
[00:13:27] Speaker B: Ben non, le premier à bonne place.
[00:13:28] Speaker D: On t'avait dit dans le thème, mais oui là.
[00:13:29] Speaker B: Le parking, c'est whack. Mais d'abord, la présence du colisier, ben si, pour vrai.
[00:13:33] Speaker A: Aussi.
[00:13:34] Speaker B: T'sais, je veux dire... Faut que ça le débarrasse. Faut arrêter d'en parler. C'est encore lourd, là. Fait que ça, c'est du parking, là. Tu fais incrusté de parking étagé? Ou peu importe, des blocs appartements, tu fais de quoi avec du parking?
Là, t'es parqué entre ma tante Suzanne pis mon oncle Camille, qui viennent s'acheter des crotons artisanaux. Et des... des roses, et du pain, et des jeux. T'sais, c'est un... C'est le parking du Grand Marché, et des remports, et de Nickelback. Et tu comprends, c'est...
[00:14:11] Speaker D: C'est moi, j'ai un spot pour me...
[00:14:13] Speaker B: Ça marche pas, là.
[00:14:14] Speaker D: Pour me stationner dans la rue, pas trop loin.
[00:14:16] Speaker B: Oui, c'est correct.
[00:14:17] Speaker D: Mais je te dirais que... Il est pas toujours libre, mais il est quand même souvent libre. Mais quand un événement, où le centre Vidéotron est plein de même, là, ça se peut fortement qu'il est pas libre.
[00:14:26] Speaker B: Je m'emparque au patro. Quand il y a un gros événement, patro.
[00:14:28] Speaker D: C'est sûr.
[00:14:29] Speaker B: Je donne l'argent qui va au patro quand c'est à charge. Comme pour les remparts, entre autres. L'argent va direct au patro, ça, c'est le fun, là. Mais c'est vrai, le parking, c'est...
Comme vendredi, prenons l'exemple, les remparts reviennent. Ça va être une gamme ivoire du monde. Il va y avoir un bon 8000, là.
[00:14:46] Speaker D: Ah, facile.
[00:14:47] Speaker B: Moi, je vais me parquer au Grand Marché. C'est le parking du centre Vidéotron. À côté de ma tante Suzanne, qui s'en va magasiner ses crotons. et à côté de mon oncle Raymond, que ça va manger un shish-tahouk cher, ou les petits cupcakes de notre ami Dominique, qu'on salue.
[00:15:04] Speaker A: Moi, je m'emparque du côté d'expositer, proche du boulevard Abel, proche de la sortie. En fait, la seule chose à laquelle je pense quand je m'emparque au Centre Vidéotron, c'est ma façon de sortir.
[00:15:13] Speaker B: Je te dirais que... Moi aussi, je m'oriente vers la sortie.
[00:15:16] Speaker A: Je te dirais que c'est ma façon de me stationner dans tout événement où il y a beaucoup de monde.
[00:15:20] Speaker B: Exact.
[00:15:21] Speaker A: C'est toujours la sortie est où, quitte à marcher plus loin pour y aller. Elle me dérange pas.
[00:15:26] Speaker B: Moi aussi je fais de l'anxiété par rapport à ça.
[00:15:27] Speaker A: Mais c'est hors de question que je reste 45 minutes avec une envie de pisser dans mon char et de me faire pogner dans le trafic.
[00:15:33] Speaker B: Ça me tente pas de me faire pogner dans le trafic, effectivement.
[00:15:35] Speaker A: C'est ça.
[00:15:36] Speaker B: C'est pas ça que je pars avant la game, bien souvent. Ça c'est peut-être un problème.
[00:15:40] Speaker A: Puis les parkings gratuits, j'ai arrêté d'espérer. L'espoir est fini.
[00:15:45] Speaker B: Moi j'arrive très très tôt au grand marché. Puis j'lui ai dit que je m'en vais m'acheter des crotons. Oui, du miel bio. Fait que là, je rentre, puis je ressors par l'autre bord.
[00:15:53] Speaker D: Quand la game finit, le grand marché est fermé?
[00:15:55] Speaker B: Oui. Ça, il faisait des accroires.
[00:15:57] Speaker D: Ça, c'est pas grave, ça?
[00:15:58] Speaker B: Tu gardes ton coupon, puis tu vas payer à la sortie. Ça, c'était des accroires de grands moments. Parce qu'il n'y a plus personne dans la cabane. Quand tu sors, merci, bonsoir.
[00:16:06] Speaker A: Tu manges au Blackstone avant la game.
[00:16:08] Speaker B: Tu manges au Blackstone. C'est ça que tu dis maintenant. et j'y vais pour vrai, Blackstone. J'ai réservé, d'ailleurs, au Blackstone pour ce vendredi.
[00:16:15] Speaker D: Ça, ça fait une belle soirée.
[00:16:16] Speaker B: 5 à 7, oui. 5 à 7. Après ça, je me siffle une petite bière en haut avec le buffet du vendredi, à volonté, ouvert jusqu'à la fin de la deuxième, dans la zone Vidéotron. Je te parle pour ce qui est du match des remparts. Ça va être une belle soirée, ça. Une belle soirée, c'est le fun. Une soirée à notre mesure, hein, Dan et Dom?
[00:16:38] Speaker A: C'est qu'il y a 10 vendredis.
[00:16:39] Speaker B: C'est du hockey junior.
En attendant, le club école des sénateurs, une histoire que juste nous autres avons brassée. Mais c'était Anthony, dans le temps qu'on l'avait comme chroniqueur, qui nous avait lancé ça. Moi, je pensais que les sénateurs, en venant ici, nous faisaient la courtisane. Mettait la table pour ça, tranquillement, pas vite. Ça serait le fun que les sénateurs de Belleville déménagent.
«Oh non, Ligue américaine, c'est de la marde!» Non.
[00:17:10] Speaker D: Non.
[00:17:11] Speaker B: Non.
[00:17:12] Speaker D: Dans le temps, c'est parce que la Ligue américaine, le Canadien, là, c'est arrivé comme trop vite après Nordique.
[00:17:18] Speaker B: C'était une plaie à vif.
[00:17:19] Speaker D: Ouais, on n'était pas encore...
[00:17:21] Speaker B: On était grand brûlé.
[00:17:22] Speaker D: C'est ça. C'était pas guéri, là.
[00:17:24] Speaker B: Non, pis ça m'a pas rapporté. Jean Béliveau, Lebouc... Y'avait deux, trois mélanges, là.
C'était pas... c'était incertain.
[00:17:32] Speaker D: C'était tough d'accepter, surtout en plus que ça venait du Canadien, de dire... Ribérault.
[00:17:36] Speaker B: Le Buc, vous n'êtes... Jean-Béliveau, Badmix.
[00:17:39] Speaker A: C'était... c'était too soon.
[00:17:41] Speaker C: Oui.
[00:17:42] Speaker B: C'est ça qu'on va dire.
[00:17:42] Speaker D: Vous êtes pas dans notre ligue, voici la ligue B pour vous. Ah... non. On voulait comme pas à ce moment-là.
[00:17:48] Speaker A: Les Rafales aussi, là.
[00:17:49] Speaker B: Les Rafales, c'était... Ah oui, Raffi, il.
[00:17:51] Speaker D: Y a que Jean-Bernadaux. Mais les Rafales, c'était une autre ligue, c'était pas lié aux Canadiens.
[00:17:53] Speaker B: Ligue internationale, qui a pas fusionné.
[00:17:55] Speaker D: Non, il y avait comme plus de chances que ça marche.
[00:17:57] Speaker B: Avec les Vipers de Détroit.
[00:17:59] Speaker A: Avec Metropolit.
[00:18:00] Speaker D: Je pense qu'elle l'a fusionnée.
[00:18:01] Speaker B: Brooklyn Metropolit.
[00:18:02] Speaker A: Qui s'est rendue jusqu'à la Ligue nationale, pareil.
[00:18:04] Speaker B: Oui.
[00:18:05] Speaker D: Je pense qu'elle l'a fusionnée, la Ligue internationale, mais avec la Ligue américaine ou la Ligue East Coast. Ah, peut-être.
[00:18:11] Speaker B: Ah, ça oui. Mais pas la Ligue nationale. Mais peut-être, oui. Les Vipers, elles avaient des beaux chandails. Vipers de Détroit étant possiblement une plus beau chandail.
[00:18:18] Speaker C: Oui.
[00:18:19] Speaker D: Avec Samsonov.
[00:18:20] Speaker B: Avec Samsonov.
[00:18:21] Speaker D: Le meilleur joueur de la Ligue à ce moment-là, c'était Samsonov.
[00:18:24] Speaker B: Absolument. Je restais à Windsor dans le temps. C'est là que... Grand-papa Gordy avait signé un contrat d'un match. Juste pour être capable de dire, je jouais dans 7 décennies. 7 ou 6? Je pense que c'est 7. Quelque chose de pareil. C'est un Christy Todd, ça.
[00:18:42] Speaker C: Hé!
[00:18:42] Speaker B: Gordy!
[00:18:43] Speaker C: Wow!
[00:18:44] Speaker D: Ah non, la Ligue internationale est juste morte.
[00:18:46] Speaker B: Elle est juste morte.
La mort dans la dignité peut-être, hein? Pique-pique et collégramme votant. Chandail des Rafales, t'es très laid, là. Ils le vendent sur des sites chinois.
[00:18:58] Speaker D: Ouais, moi je veux surtout savoir.
[00:18:59] Speaker B: Des chinois qui savent pas en tout ce qu'ils font.
[00:19:01] Speaker D: Le costume de Rafi, il est où?
[00:19:03] Speaker E: Hé!
[00:19:05] Speaker A: Donc Ligue américaine, moi j'embarque là-dedans.
[00:19:07] Speaker B: T'as pas de commentaires à faire sur Refi, les Rafales?
[00:19:09] Speaker A: Non, je me souviens pas. Je me souviens qu'elle avait du jaune pis du bleu, là.
[00:19:12] Speaker B: Non, le chandail des Rafales est énorme.
[00:19:14] Speaker A: Je me souviens pas du chandail des Rafales.
[00:19:16] Speaker B: Tu oses même pas te déguiser en Refi pour l'Halloween.
[00:19:18] Speaker A: Je vais t'appeler là-dessus, là. Rafales de Québec.
[00:19:20] Speaker B: Hein?
[00:19:20] Speaker D: Les Roberges.
[00:19:21] Speaker B: Ah, les Roberges, oui. Les Claques à aïeul, c'est sûr. Les frères Roberges, les Claques à aïeul étaient là.
[00:19:25] Speaker A: Pis le niveau universitaire aussi, je pense que j'aimerais ça.
[00:19:29] Speaker C: Oui.
[00:19:30] Speaker B: Ça serait le fun. Rougéard. Contre Trois-Rivières.
[00:19:35] Speaker A: Ben, j'aimerais vraiment ça. Ah, wâche!
[00:19:38] Speaker B: Ben oui, c'est ça. C'est des rafales.
[00:19:40] Speaker A: Le logo!
[00:19:41] Speaker B: Tout est là.
[00:19:42] Speaker A: On dirait le logo d'un tournoi U-15 avec homo.
[00:19:49] Speaker B: Ça fait très ancien.
[00:19:49] Speaker D: On voulait aller chercher les jeunes. Le logo, c'est ça. C'est Raffi qui fait du surf des neiges sur un bateau de hockey. Ça me c'était ça.
[00:19:57] Speaker A: Oui, c'était ça.
[00:19:58] Speaker B: Le coach, c'est Jean Pronovost, ancien joueur des Pingouins. Ancien coach des Cats aussi.
Ouais, c'était sinistre. C'était un épisode sinistre.
[00:20:06] Speaker A: Je pense que je n'ai jamais allé au Rafale de Québec.
[00:20:07] Speaker D: Moi, je suis allé. Gratis plusieurs fois. Tu donnais des tickets?
[00:20:11] Speaker B: Ben oui, je donnais des tickets.
[00:20:13] Speaker D: Sérieux?
[00:20:13] Speaker B: Tu m'as remercié d'avoir mis 12 tickets.
[00:20:15] Speaker D: Même à l'âge que j'avais, la réflexion était quand même là que ce n'est pas normal qu'il y ait des billets gratis. Moi, je n'ai pas de contact.
C'est pas normal qu'il y ait des billets gratis qui se rendent à moi de cette manière-là aussi facilement. Qui qui paye pour aller voir ce match-là?
[00:20:28] Speaker B: C'est quelqu'un qui te pognait dans le parking, ouvrait ton jaquette. « Oh, regarde, prends-en 12, prends-en 12!
[00:20:32] Speaker A: » Comme les expos en 98, là.
[00:20:34] Speaker B: Oui.
[00:20:34] Speaker A: T'allais faire l'épicerie de donner l'étiquette. Mais non, les rafales, là, j'ai... Moi, je vous le dis, là, pis c'est pas la première fois que j'en parle, mais vous avez pas idée à quel point j'ai mal vécu. le départ des Nordiques. J'ai vraiment mal vécu le départ des Nordiques. Ça a été une peine, un deuil.
[00:20:51] Speaker B: Étais-tu à Manif de Jérôme Landry?
[00:20:54] Speaker A: Non, non, non. J'étais pas à Manif de Jérôme Landry.
[00:20:58] Speaker B: Est-ce qu'on ne l'a pas exprimé vraiment la peine? Je ne discrédite aucunement ce que tu ressens. Effectivement, c'est un grand sentiment partagé par bien du monde, mais les gens ne se sont pas déplacés pour manifester.
[00:21:10] Speaker A: Je sais, mais en même temps, j'avais 15 ans. 14 ans même. Tu ne peux pas... Tu ne changeras pas grand-chose à ce stage-là.
[00:21:17] Speaker B: T'habites-tu à Marseille-Aubu?
[00:21:19] Speaker A: J'en veux à toute la ville de Québec.
[00:21:20] Speaker B: En fait, tout le monde, c'est Jean-Paul Lalier et Pépé Quist.
[00:21:23] Speaker D: Au lendemain du départ des Nordiques, j'étais au secondaire, secondaire 1, secondaire 2, j'ai mis mon chandail des Nordiques à l'école, j'étais tout seul.
Puis le monde est comme, c'est ce que tu fais là, ils t'ont chargé d'un autre truc, ils sont partis. Ouais, mais justement... Non? Ça vous dit rien? OK.
[00:21:38] Speaker B: S'il y a une nouvelle amphithéâtre, l'histoire est différente. Ils auraient jamais dû laisser aller cette équipe-là, parce qu'on l'aura plus jamais.
[00:21:44] Speaker A: Ce qui m'a rendu le plus émotif, et cette journée-là, j'ai décrété que plus jamais... Je vais regarder le hockey. C'est revenu à un moment donné, mais ça a quand même été long. Ça a vraiment été long.
[00:21:56] Speaker B: Comme Steve Grohl, oui.
[00:21:58] Speaker A: Je dirais que c'est Ovechkin qui m'a intéressé à regarder le hockey après.
[00:22:03] Speaker D: Ovi Crosby.
[00:22:04] Speaker A: Quand l'Avalanche a gagné sa première Coupe Stanley.
[00:22:06] Speaker B: Oui, c'est ça. Pour beaucoup de monde, c'est ça. Steve Gros-Louis, qui est un gros fan d'un acte. C'est ça, c'est l'avalanche qu'ils ont recordé avec Patrick.
[00:22:15] Speaker A: Je me suis mis à détester ce club-là, l'avalanche du Colorado, autant que je détestais les Bruins de Boston et le Canadien de Montréal. Pour vrai, là.
[00:22:23] Speaker B: Mais le fait que le Canadien vous donne Patrick, ça a-tu aidé?
[00:22:26] Speaker A: Ben oui, c'est clair.
[00:22:28] Speaker D: Mais là tu dis vous, il me.
[00:22:30] Speaker A: L'A pas donné moi.
[00:22:30] Speaker D: Mais là tu dis vous. Dan, il est pas dans le vous.
[00:22:33] Speaker B: Non, mais quand ils ont gagné la coupe, il était content.
[00:22:36] Speaker A: Non, non, c'est ça que je viens de dire.
[00:22:37] Speaker B: Non, t'étais pas content.
[00:22:39] Speaker A: C'est ce que je viens de dire, ça m'a vraiment fait...
[00:22:41] Speaker B: C'est ça qui t'a fait mal. C'était les Nordiques, la première coupe, C'est Nordique avec Patrick. Parce qu'enlève Patrick, c'est les Nordiques qu'on avait la dernière année.
[00:22:50] Speaker A: Ah, exactement. Sandy Saussolinge puis Claude Lemieux.
[00:22:53] Speaker B: Oui, c'est ça.
[00:22:53] Speaker D: Et moi, j'ai toujours dit que cette année-là, l'équipe était tellement bonne que je pense qu'ils gagnaient pas de Patrick.
[00:23:00] Speaker B: Moi, je pense que oui.
[00:23:01] Speaker D: Fizet était très bon. Fizet était très bon. Il était dans son prime à ce moment-là. Il a eu quelques bonnes années avec les Kings après. Je pense qu'il aurait gagné même pas de Patrick.
[00:23:09] Speaker A: Mais c'était fini l'hockey. Fini, fini, fini, fini, fini.
[00:23:12] Speaker B: Et c'était Vetsch qui t'a ramené.
[00:23:13] Speaker A: À cette époque-là, je prenais l'autobus pour revenir de travailler. Je travaillais chez Yellow. Le jeudi soir, je rentrais à la maison, je prenais l'autobus, j'étais au secondaire. Puis la seule place où il y avait de la radio parlée, c'était les Games du Canadien, ils diffusaient la radio au AM à l'époque. C'est HRC, mais c'était CKAC qui diffusait. Et je préférais écouter les tunes de Mange l'ours mange à la musique francophone, au FM, plutôt que d'écouter la radio parlée qui était le Canadien de Montréal. Je trouvais ça poche. Je trouvais ça plus poche que les Nordiques. Je me souviens plus c'est qui qui le faisait à la radio dans ce temps-là, je pense que c'était Pierre Taudel, de la Nouvelle-Amérique.
Je le trouvais plus poche qu'Alain Crête. Je trouvais tout poche. Je trouvais Pierre-Rod poche. Je trouvais tout le monde poche. Tout ce qui était proche du Canadien, c'était là. J'étais vraiment un haters, un cave. J'avais 16 ans, 15 ans. T'sais, j'étais pas... Mais c'est vraiment une émotion que j'ai trouvée tough. Puis j'ai arrêté d'écouter le hockey. T'as pas idée à quel point, là. Ce qui m'a ramené au hockey, là, c'est Crosby qui venait jouer pour l'Océanique contre les Remparts.
[00:24:17] Speaker B: Puis Ovechkin.
l'aspect spectacle.
[00:24:23] Speaker A: J'avais un gars avec qui j'allais au secondaire qui jouait pour les Remparts de Québec. Je sais pas si vous le connaissez. Ils m'ont gagné son nom. On prenait de la bière avec la fin de semaine. Je ne suis jamais allé le voir jouer parce que j'étais en guerre contre le sport. Je te le dis, là, moi, le départ des Nordiques, puis j'ai complètement biseboyé ce sport-là. Il doit être rendu à peu près 6-7e dans ma liste de sports préférés, le hockey, à cause du départ des Nordiques.
[00:24:45] Speaker B: Pas ce matin, là?
[00:24:46] Speaker A: Oui, ce matin.
[00:24:48] Speaker B: Ce matin?
[00:24:48] Speaker A: Ah oui, ce matin. Ce matin encore, t'sais, j'ai... Avec Lane.
[00:24:52] Speaker B: Hudson, puis Demi Dove.
[00:24:54] Speaker A: J'ai du fun pareil, là. Mais t'sais, je préfère regarder les courses de vélo que l'hockey.
J'ai plus d'intérêt. Il y a plus de fans en dedans que moi.
[00:25:05] Speaker B: T'es un homme brisé.
[00:25:06] Speaker A: C'est ça. Le départ des Nordiques, ça m'a brisé. Puis j'en voulais à tout le monde. J'en voulais à Marcel Aubu, à Jean-Paul Lallier, à Jacques Parizeau, à Aude Hutile. J'en voulais à tout le monde. J'en voulais à tout le monde. Je voulais...
[00:25:18] Speaker B: Tu suis sûr qu'André-Arthur détestait?
[00:25:21] Speaker A: Hey, j'espérais que Manac ferme. T'sais, j'étais... j'étais complètement, là, tout provigo. Ils vendaient bien des Nordiques, les métros, peu importe, je me souviens plus c'est lequel. Je voulais qu'ils ferment. J'étais... tout ce qui touchait de près ou de loin aux Nordiques, là, c'était garde votant. Mais aujourd'hui, par contre, j'ai pris en maturité, puis je le sais, que Québec ne peut pas avoir d'équipe de la Ligue nationale de hockey. On est poigné avec ce Kei Gavané.
[00:25:47] Speaker B: Là, puis... Ah oui, le Gonta Vanay, il est là.
[00:25:50] Speaker D: Il y a beaucoup des sentiments de Dan que j'ai partagés. La seule affaire, c'est que par rapport à l'Avalanche, j'ai été un cocu content. Quand l'Avalanche a gagné la Coupe, je faisais même partie des gens à Québec qui disaient « Hey, ils vont-tu venir.
[00:26:00] Speaker C: Faire une parade ici?
[00:26:01] Speaker B: » Ben, je pense que la question a été posée.
[00:26:03] Speaker D: Ben oui, on l'a posée.
[00:26:04] Speaker B: Dans les médias.
[00:26:05] Speaker D: Ben oui.
[00:26:06] Speaker B: Oh oui, c'est à niveau... Claude Lemieux.
[00:26:08] Speaker D: C'est encore de notre équipe. Non, c'est plus votre équipe.
[00:26:10] Speaker A: Ça explique beaucoup de choses aujourd'hui, ça.
[00:26:13] Speaker B: Parlons des élections municipales.
Oui, moi j'étais Canadien, mais j'ai jamais senti de haine envers les Nordiques parce que mes meilleurs chums étaient Nordiques. Moi, ils m'offraient des billets vers la fin. Mon chum, en tout cas, il y a deux chums qui étaient amis avec, en tout cas, Thibouteau qui était dans l'organisation, puis Jean Martineau, puis mon père très connaît Jean Martineau.
qui est le seul survivant, finalement, dans l'organisation de la Balanche, le survivant des Nordiques. J'ai dit, je vais pas! T'sais, mes chums étaient à l'UQTR, grands fans des Nordiques! Ça m'intéresse pas, mais j'avais pas de haine. Mais ça ne m'intéressait pas. Tu sais, c'est tout. Fait qu'il y a quelqu'un d'autre qui prenait mes billets.
[00:27:00] Speaker A: Le grand wake-up call, c'est quand le Canadien s'est rendu en finale. Pas en finale, mais en série. Carrie Price, les Rangers, la blessure. Ça fait quoi? C'est en 2014, ça, à peu près? Je me suis retrouvé dans un party où j'étais le seul.
[00:27:15] Speaker B: À prendre les Rangers.
[00:27:16] Speaker A: Non, je prenais pas pour les Rangers. Je ne suivais plus le sport.
[00:27:19] Speaker B: Un désintérêt. Total.
[00:27:21] Speaker A: Et j'étais le seul qui avait pas de plaisir autant que les autres.
[00:27:24] Speaker B: OK.
[00:27:24] Speaker A: Puis j'ai décidé, c'est vrai que c'est cave. C'est vrai que c'est un peu niaiseux. Puis là, j'ai commencé tranquillement, mais sûrement à vouloir... Pour vrai, là, je voulais prendre pour le Canadien. Puis je suis encore dans le même état d'esprit.
[00:27:37] Speaker B: Ça te rend des joueurs attachants, franchement.
[00:27:38] Speaker A: Je veux prendre pour le Canadien, mais on dirait que j'y arrive pas parce qu'il y a toujours un petit quelque chose qui manque. Il serait temps qu'il gagne, là. Moi, s'ils font un petit bout en série cette année et qu'il y a un petit buzz le fun, ça se pourrait qu'ils me gagnent pour de vrai.
[00:27:50] Speaker D: Moi, je serais du tout peut-être... Moi, mon deuil, c'est closure qu'ils disent en anglais. Moi, le deuil, c'est fait, je l'ai toujours dit. Il y a eu un match présaison. Je pense que c'est un des premiers matchs présaison que le Canadien a organisé ici, c'était au Colisée à l'époque.
[00:28:04] Speaker B: Contre la Valanche.
[00:28:05] Speaker D: Contre la Valanche.
[00:28:05] Speaker B: Je me souviens très bien.
[00:28:06] Speaker D: Fosberg, ça kick et foot avait mis le Chardin des Nordiques.
[00:28:10] Speaker B: Le Canadien nous avait donné une équipe de marde.
[00:28:12] Speaker D: Oui, ça se peut. Moi, j'étais là pour la Valanche.
[00:28:14] Speaker B: Moi, j'étais là pour les Canadiens. Mais quel manque de respect. J'avais écrit et j'avais dit en honte, le Canadien nous a amené de la viande à varier. Il avait trouvé ça intense un peu.
[00:28:24] Speaker D: Mais pour moi, ça a été... OK, ça, c'est le au revoir au nordique. C'était terminé après ça. Mais je ne suis pas devenu fan du Canadien pour autant, parce que le Canadien n'a pas donné d'équipe qui avait de l'allure pendant des années. Moi, je suis un Ben Wagon. Donnez-moi une équipe intéressante, puis je vais vous aimer. Là, c'est rendu le Canadien qui, depuis 2-3 ans... Depuis qu'en fait... Bergervin est parti, là. Pis... Temmens et ses compagnies, là. Depuis ce temps-là, je suis comme, OK, là, il y a un processus, il y a de quoi qui est en train de se passer. J'ai confiance. Je suis pas encore un fan, mais il y a de quoi d'intéressant qui se passe.
[00:29:04] Speaker A: Trois ans après, on perdait les Olympiques, qu'on n'a jamais pensé proche à avoir, d'ailleurs. Mais la bulle médiatique était tellement forte qu'on était tous certains qu'on allait avoir Québec 2002, là.
[00:29:13] Speaker D: Oui, mais ça, c'est de la corruption. C'est de l'argent. C'est bien les Américains.
[00:29:16] Speaker A: Jamais on n'aurait été capable d'organiser ça.
[00:29:18] Speaker D: Les histoires qu'on se raconte au Québec...
[00:29:20] Speaker B: Jamais, ou si oui, il y aurait eu tellement de corruption, tellement de gaspillage, on paierait encore pour ça. Il y aurait une taxe spéciale olympique sur le litre d'essence, un matin.
[00:29:29] Speaker A: C'était quatre mois après le 11 septembre, les gars.
[00:29:31] Speaker B: Un matin.
[00:29:32] Speaker A: On n'aurait jamais été capables de gérer ça. Jamais, jamais, jamais on aurait été capables de gérer ça.
[00:29:37] Speaker B: Juste l'aspect sécuritaire.
[00:29:38] Speaker A: Juste l'aspect sécurité.
[00:29:40] Speaker B: T'sais, ça aurait coûté une maudite...
[00:29:42] Speaker A: Pis la juge russe au patinage artistique, on serait tous devenus fous.
[00:29:45] Speaker B: Oui, contre une Québécoise, donc, on est tous victimes.
[00:29:49] Speaker A: Contre un Québécois, la fille, c'était... la complotisse, elle, c'était pas une Québécoise. Salé... Jimmy Salé pis David Peltier, si je me souviens pas, qui venait de Québec. C'était un show canadien! Les Burn Naked Ladies en clôture, Céline Dion sur l'ouverture. Céline Dion d'ailleurs qui est la seule artiste de l'histoire à avoir chanté lors de quatre cérémonies de Jeux olympiques.
[00:30:13] Speaker B: Ah, ok. Ça fait intéressant. Fun fact ce matin! Fun fact!
[00:30:19] Speaker D: T'es internationale, Céline.
[00:30:20] Speaker B: Je passe partout.
[00:30:22] Speaker D: États-Unis, Canada, France.
[00:30:25] Speaker B: 6H31, tout ça pour vous dire que mes Yankees ont perdu.
[00:30:28] Speaker A: Oui, je connais.
[00:30:29] Speaker B: Capitaine Crochet. Crochet est fort. C'est comme la dernière game.
[00:30:35] Speaker D: Un point pour battre les Red Sox, c'est pas assez.
[00:30:37] Speaker B: Non, c'est ça. Mais le partenaire était bon.
Ah oui. Freed, mais Freed got fried. C'est ça, il s'est fait tosser, ils ont mis Weaver. C'est à cause de Weaver qu'on a perdu.
[00:30:49] Speaker A: On a la même journée aujourd'hui.
[00:30:50] Speaker D: Oui, exactement dans le même ordre.
[00:30:53] Speaker A: Pareil, pareil, pareil.
[00:30:53] Speaker D: Les mêmes games.
[00:30:54] Speaker B: Oui, oui, oui.
[00:30:55] Speaker A: C'est sûr que Showé, on le voit un peu moins. Nous autres, on se couche le soir.
[00:30:58] Speaker D: C'est ça.
[00:30:59] Speaker A: Mais hier, les Reds vont trouver ça long.
[00:31:02] Speaker B: Les Reds n'ont pas d'affaires. C'est pas compliqué.
[00:31:03] Speaker D: J'en reviens pas comment des prédictions. Il y a personne qui met les dangereuses gagnantes à la série mondiale.
[00:31:09] Speaker B: Oui, mais il faut les mettre. On va jaser tout à l'heure avec Griffin. C'est parce qu'on veut pas qu'ils le fassent.
[00:31:14] Speaker A: C'est pareil comme les Chiefs l'année passée. On veut pas qu'ils gagnent.
[00:31:17] Speaker D: Beaucoup de monde dit les Phillies. Les Phillies sont forts. Les Brewers, les gens y croient pas s'ils ont pas d'expérience dans la série.
[00:31:24] Speaker B: Oui, les Brewers peuvent mélanger.
[00:31:26] Speaker D: Peuvent mélanger les cartes.
[00:31:28] Speaker B: Les Jays.
[00:31:29] Speaker D: Les Jays, il y en a qui les voient à la série mondiale, mais pas la gagner.
[00:31:32] Speaker B: Je les vois à la série mondiale. Hé, Bieber, là, c'est une maudite bonne acquisition pour vrai, là. Le gars blessé. Roll of the dice.
[00:31:42] Speaker C: Oui.
[00:31:43] Speaker B: On verra. On le sait pas s'il est bon. Le gars a pas joué de l'année, là. L'ancien Cy Young. Donc, je suis un believer. Je l'aime, ce gars-là. Il est pas parent avec Bieber. Écrivez-moi pas ça. Non. On le sait.
[00:31:55] Speaker D: C'est pas un nom qui l'a éloigné, non?
[00:31:56] Speaker B: Non, pas en tout.
C'est un Américain, c'est un Californien, Bieber. Quelle belle acquisition, pour vrai. Il va lancer en série, assurément, peut-être même le partant de cette nouvelle mouture des Jayce qui attendent tranquillement. C'est le fun. Regarde, c'est notre pays. Au dernier level, oui, Canada, notre pays, oui, on sait pas trop, là.
[00:32:21] Speaker A: On va triper sur lui, Jason. On le sait de moins en moins.
[00:32:24] Speaker C: Je vais te dire.
[00:32:25] Speaker D: Sa fin de saison a pas été belle, mais cheuseux en série, je pense, ça peut faire.
[00:32:32] Speaker B: Moi, je le mettrais pas comme pote. Surtout quand t'as un problème de relève. Longue relève.
[00:32:38] Speaker D: Ouais. Peut-être.
[00:32:39] Speaker B: Je vais demander l'opinion de Griffin, qui hier a mérité son salaire. Ben oui, il a décrit la game sur la rue Papineau, oui oui, mais il est très bon Griffin, on le sait qu'il peut pas analyser et commenter les cobs et... Les Dodgers, c'est ce qu'il a fait hier. On le sait que ça se fait pas humainement, mais il l'a fait hier quand même, Griffin. Il a fini la game des Cubs puis il dit, je vous reparle à 21 h pour le match des Dodgers.
[00:33:09] Speaker A: Ils ont fait la même chose à TVA Sports.
[00:33:10] Speaker B: Ils sont très bons, ils sont très, très bons. En français, il y a pas de gêne, les amis, à regarder du base en français. Ils sont bons, ils font de l'analyse, ils connaissent le baseball. Moi, si tu connais ton sport, comme vers cheval, les Canadiennes vers cheval, j'adore ça.
Bon pédagogue, il va te rejoindre, il va rejoindre les gars qui connaissent ça. Mais moi, je suis un Joe Blow. Je le comprends. Tu comprends? C'est un bon exemple que je donne. En français, il y a de la belle job, il faut le dire aussi. Il y a de la belle job. Il n'y a pas de gêne.
[00:33:42] Speaker A: Le plus gros problème des matchs en français, c'est le fait que tu ne sois pas assis là, puis ça perd.
[00:33:48] Speaker B: C'est ça.
[00:33:48] Speaker A: C'est vraiment ça le plus gros problème, mais je te compte vraiment, oui. Il y a des matchs hier... Moi, je ne les avais pas à TV. Il y a des matchs hier qu'il fallait que j'écoute en français si je voulais avoir à TV. Je ne me souviens plus c'est lequel. Je n'ai pas sportif.
[00:34:02] Speaker B: Ben voilà. T'avais des matchs à TSN et à Sportsnet. T'avais tous les games sur le cave, hier.
[00:34:07] Speaker A: C'est TVA Sports que j'ai pogné hier, en début de journée, parce que j'avais... Moi, j'ai pas Sportsnet, c'est à la maison. Je m'en suis rendu compte hier, tu vois, comme quoi je le cherche souvent. C'est un poste que je regarde souvent. C'est un poste essentiellement pour le hockey, puis c'est un sport que je regarde un peu moins.
[00:34:22] Speaker B: C'est le poste des Jays. Tu veux suivre les Jays, d'après moi, c'est pas mal là que ça se passe. Rogers possède le club.
[00:34:28] Speaker A: Ah oui, mais à partir de la saison...
[00:34:29] Speaker B: Fait ça sur le canal.
[00:34:30] Speaker A: À partir de la saison, le tour suivant, c'est à Fox.
[00:34:35] Speaker D: Mesdames, tes Cubs ont gagné.
[00:34:36] Speaker A: Oui, mes Cubs ont gagné.
[00:34:38] Speaker B: Il y avait personne de sobre dans le stade.
[00:34:43] Speaker D: À Chicago, oui.
[00:34:45] Speaker B: Il y avait l'air sur le party et comme de fait, la game finit... Puis dans les Bleachers, ils ont fait une espèce de tour avec les verres vides, mais c'était comme un serpent avec les verres vides. Tu l'as vu? Il faut que t'es encastré, là. Non, non, il s'est bu. Il y a ça, là. Il y a pas personne qui a pris son char hier.
[00:35:04] Speaker D: Ça donne bien le métro de Passacôté.
[00:35:06] Speaker B: Le métro de Passacôté, c'est ça. T'es allé visiter le stade cet été. Ça a l'air d'être vraiment un stade extraordinaire.
[00:35:12] Speaker D: Oui, vraiment. C'est un beau, beau stade. C'est un vieux stade, il est brissoir, puis c'est beau.
[00:35:17] Speaker B: Intimidant, je vois là, hier, pour les derniers lancés, t'avais toute la gang, les fans, en arrière du marbre, debout. On dirait qu'ils respirent dans le cou du catcheur.
[00:35:27] Speaker A: Hier, une heure avant le game, il y avait des étiquettes « Solo » à 64 $.
[00:35:31] Speaker B: T'es sérieux?
[00:35:31] Speaker A: Ouais.
[00:35:32] Speaker B: C'est faux sur le toit d'un immeuble. Dans le stade.
[00:35:35] Speaker A: Dans le stade.
[00:35:35] Speaker B: Wow.
Comme les Yankees, 95 Canadiens.
[00:35:39] Speaker D: Solo.
[00:35:39] Speaker B: Solo, single, ouais. Les papiers à gauche par droite.
[00:35:42] Speaker A: C'est ça. C'est sûr qu'à partir du moment où t'étais deux, c'était un peu plus cher. Mais parce que moi, j'ai l'intention d'y aller pas mal en solo, c'est mieux que j'y aille. Fait que c'est ça que je regarde.
[00:35:50] Speaker B: C'est quoi la date encore?
[00:35:51] Speaker A: C'est le 11 octobre. Ça se peut qu'il soit à Philadelphie aussi ou à Los Angeles. Ça se peut qu'il joue à l'étranger. Mais on garde espoir. Sinon, je me rabattrai sur autre chose.
[00:36:02] Speaker B: Mon kid est down. Voyage à Baltimore. Lamar, des bonnes chances qu'il joue pas.
[00:36:07] Speaker A: Il est blessé pour trois semaines.
[00:36:08] Speaker B: Puis le shutdown du gouvernement. Si ça dure, tous les Smithsonian sont fermés.
[00:36:16] Speaker D: OK, ouais.
[00:36:18] Speaker B: Les Cabs, je joue pas. Les Weathers, je joue pas. C'est la garde nationale qui patrouille dans les rues.
[00:36:23] Speaker D: Ça va être le fun, Baltimore.
[00:36:25] Speaker B: Ça va être le fun. Washington, D.C., nous autres, on couche là, mais Baltimore... Si on veut avoir du fun, finalement, on ira dans les rues de Baltimore.
[00:36:32] Speaker C: C'est ça.
[00:36:32] Speaker B: Avec les gangs de rues. Why?
[00:36:34] Speaker A: Non, c'est... Ouais, c'est ça, l'autre.
[00:36:37] Speaker B: C'est ça. On s'en parle.
[00:36:39] Speaker A: Il a signé son contrat qui est le caprice off, hier. Ça fait de lui le joueur le mieux payé de l'histoire de la Ligue nationale de hockey.
[00:36:46] Speaker B: Il vaut pas ça.
[00:36:47] Speaker A: 136. 136. Le deuxième plus gros contrat, c'était Alex Ovechkin à 124. Léon, t'as 112. Shea Weber a signé 110 à l'époque.
[00:36:56] Speaker B: Il vaut pas ça.
[00:36:56] Speaker D: Non, il vaut pas ça.
[00:36:57] Speaker A: Signé sur un contrat de 104.
[00:36:59] Speaker D: C'est joué à Minnesota qu'il vaut ça.
[00:37:01] Speaker A: En fait, dans le top 10 de l'histoire des plus gros contrats de la Ligue nationale de hockey, il y en a trois qui sont au Minnesota.
Vous avez Kirill Kaprizov, qui est premier. Numéro 9, Ryan Sutter, qui avait signé à 98 millions. Et Zach Parizé, pensez-y. Zach Parizé a le 10e plus gros contrat de l'histoire de la Ligue nationale de hockey.
[00:37:22] Speaker B: Complètement ridicule.
[00:37:23] Speaker D: Message au sable de Buffalo, si vous voulez des bons joueurs, c'est ça qu'il faut faire, il faut les surpayer.
[00:37:28] Speaker B: C'est ridicule. Mais en tout cas...
[00:37:30] Speaker A: Mais savez-vous quoi? Ça serait comme ça à Québec aussi.
[00:37:33] Speaker D: Oui.
[00:37:34] Speaker B: Et à Québec, ça chialerait. Dans Bleachers, ça commence à 275 piastres.
[00:37:39] Speaker C: C'est ça.
[00:37:39] Speaker B: Et ça crierait. C'est sûr. Le parking à 60 piastres. La poutine à 22 piastres avec une liqueur. Wow, oui. C'est déjà ça pour les rapports. Non, non, on va exagérer.
qu'est-ce que je voulais dire donc? Mais Connor McDavid, hier, s'est ouvert une bière.
[00:37:56] Speaker C: Oui.
[00:37:56] Speaker B: Il était content.
[00:37:57] Speaker D: Merci, Kyril.
[00:37:58] Speaker B: Merci, Kyril.
Faut que je sois au-dessus de toi, j'ai appelé mon agent, on s'est arrangé.
[00:38:03] Speaker A: Non mais les gars, les partisans, les haulers... Faut que je sois au-dessus de.
[00:38:06] Speaker B: Lui, là, mec David.
[00:38:07] Speaker A: Ben oui.
[00:38:08] Speaker D: Sérieusement, les boys, on a le choix demain matin d'habiter à Saint-Paul ou à Edmonton.
[00:38:14] Speaker B: Ben c'est Saint-Paul. À cause d'un hub aérien en partant. Ouais, ils sont seuls dans ce coin-là. La meilleure manière de sacrer ton camp, c'est d'aller à l'aéroport de Saint-Paul. À Edmonton, d'après moi, tu peux aller à Chilliwack, puis tu peux aller à Iqaluit.
Tu peux aller à Toronto aussi, je comprends.
[00:38:32] Speaker A: Moi aussi, je prendrais Saint-Paul.
[00:38:33] Speaker D: Ben oui.
[00:38:35] Speaker B: J'irais travailler pour WKRP. Non, ça c'est à Cincinnati, je me suis trompé. À Saint-Paul, je me promènerais avec un ancien chandail des North Stars, pourquoi pas.
[00:38:45] Speaker A: Ces deux villes-là, je vais en rajouter trois. Je vais rajouter Winnipeg aussi. Winnipeg, Calgary et Edmonton, c'est la même chose que Québec. S'ils perdent leur club, ils le retrouveront jamais. Jamais, jamais, jamais.
[00:38:58] Speaker B: En fait, Winnipeg, ils l'ont récupéré à cause de la famille Thompson. Ça, c'est une exception. Ça n'existe pas.
[00:39:04] Speaker D: Moi, je continue à penser que Winnipeg va leur perdre.
[00:39:07] Speaker A: Parce qu'au Canada, les trois seules villes qui sont de dimension sport professionnelle, c'est Montréal, c'est Toronto, c'est Vancouver.
[00:39:15] Speaker B: Ottawa, merci là. Ottawa, classy, classy, classy quand c'est hyper non plus.
[00:39:20] Speaker A: Exact.
[00:39:22] Speaker B: Mais Ottawa, les amis, elle est dans le marché bail. La ferme de bonheur. C'est une ville de la ligne nationale. Donc on remercie beaucoup les sous-ministres d'acheter des biens.
[00:39:34] Speaker D: Oui, oui. C'est une ville de fonctionnaires.
[00:39:36] Speaker B: C'est une ville de fonctionnaires, beaucoup. Ça se coche de bonheur.
[00:39:39] Speaker D: C'est Québec en plus gros.
[00:39:40] Speaker B: C'est ça. Exactement ça. Je restais là deux ans. Donc, je connais Toronto et ses... Ottawa, pardon, et ses charmes. C'est-à-dire la promenade du portage, Gatineau. Bien, t'sais, c'est ça. Gardez-les, votre club. C'est un beau club, en passant. C'est un beau club classique. Belle organisation, en passant. Merci. Pas ça?
[00:40:04] Speaker A: À part ça, je dirais en pause.
[00:40:05] Speaker D: Oui, je pense qu'il faudrait... Oui!
[00:40:07] Speaker B: OK, tu pauses. C'est l'heure. 6h40, les livers. Du soleil jusqu'à mardi.
C'est quelqu'un qui va se plaindre?
[00:40:15] Speaker C: Non?
[00:40:15] Speaker B: Parfait. C'est réglo.
[00:40:16] Speaker C: OK.
[00:40:17] Speaker A: Ça prenait un hoodie hier, hein?
[00:40:19] Speaker B: Oui, oui, c'était venteux. C'était comme...
[00:40:21] Speaker A: On a fini le 22.
[00:40:23] Speaker B: J'étais un peu schizophrène, mon affaire. Je suis venu travailler en T-shirt. mais manteau d'automne avec des gougounes short. On s'en avait plus trop, là.
[00:40:33] Speaker D: La matinée, la chaufferette, c'était pas juste pour mon confort, c'était pour la glace dans le windshield aussi.
[00:40:37] Speaker A: Ah oui? T'aimais ça, toi?
[00:40:39] Speaker D: Oui.
[00:40:40] Speaker B: Pas moi.
[00:40:40] Speaker A: Ah moi non plus, là.
[00:40:42] Speaker D: Ah oui? Ben, c'est pas une grosse croûte de glace, là, mais oui, oui, quand j'ai parti mes wipers, ça fait crrr, crrr, crrr, crrr.
[00:40:48] Speaker B: Yeah! Ah, mais ça, ça n'a dit plus sur le modèle de char que sur la paperature. Il y a ça aussi. 6h41, fake news! Et on s'en va à la pause dans Montréal Live.
[00:41:08] Speaker C: Ouellet, en direct. Chouette, ça fait ben quand c'est le temps de venir crier, quand c'est le temps de venir dénoncer, quand c'est le.
[00:41:14] Speaker A: Temps de sortir des affaires.
[00:41:15] Speaker C: Éric Caire, qui était chroniqueur, qui gueulait à tout vent. Régis Labeaume, qui était chroniqueur. Ah là, ça faisait ben. Quand c'est le temps de licher le cul de tout le monde, chouette, ça fait pu. Fait que moi, le PPP, la petite politique pathétique, je suis un peu tanné. Ouellet, en direct.
[00:41:33] Speaker F: Lundi au vendredi, midi.
[00:41:36] Speaker C: Radio X.
[00:41:37] Speaker F: Présenté par l'Entrepôt de la Réno. Pour vos Réno au meilleur prix, on vous attend maintenant au 9030 rue John Simons, coin Henri IV et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôtdelareno.com.
[00:41:47] Speaker B: Les Sports de Dan, présenté par Gold Wanted, qui cherche des représentants sur la route. Tu es fonceur et débrouillard?
[00:41:53] Speaker C: Parcours le pays, dépenses payées. Pas d'expérience requise, salaire de départ entre 125 et 150 000 $.
[00:41:59] Speaker B: Écris-nous au RH à commercialgoldwanted.ca.
[00:42:01] Speaker A: Le Centre de correction vertébrale de Québec est au service de votre santé depuis plus de 25 ans. C'est 25 ans qu'on s'occupe de vos maux de tête, vos migraines, vos douleurs au dos, la cristithiatrique, ça fait mal, ce tendinite bursite. Épicondiliette, allez faire un tour au centre-cvq.com. Vous allez vite retrouver qu'on a des professionnels. En fait, on a toute la gamme. On part de dos jusqu'à dorémie, fasolacido, on les a toutes. On a des physios, des chiros, des technologues, des kinésiologues. Ils travaillent tout le monde ensemble, en équipe, pour être capables de trouver vraiment la bonne solution pour votre cas à vous, qui est personnel à vous, en concentrant toutes les énergies. Ça nous permet d'aller chercher une expertise supplémentaire. Et en plus de ça, on a Vraiment la technologie à la fine pointe, la chiropratique assistée par ordinateur, la décompression discale, le laser thérapeutique. Vous trouvez chez nous une formule gagnante. Vous n'irez pas ailleurs. Vous allez rencontrer les gens au centre cvq.com. Il y a trois endroits, trois cliniques pour nous rencontrer au centre de correction vertébrale Cap Rouge-Lévis et Pont-Rouge. Centre cvq.com.
[00:43:09] Speaker B: Mais Viande Pépé Allée, c'est bien plus qu'une boucherie, c'est une équipe de passionnés qui vous conseille et vous offre viande, volaille, poisson et fruits de mer de la meilleure qualité au meilleur prix depuis 50 ans. La Viande Pépé Allée, une histoire de succès. Le légendaire chanteur-compositeur Chris Deburg célèbre son.
[00:43:32] Speaker C: 50E anniversaire de carrière avec sa nouvelle tournée solo, le 30 mars, au Grand Théâtre de Québec.
Un billet en vente ce vendredi à 10h sur grandthéâtre.uc.ca. Tous ses grands succès. Chris Deberg, live.
[00:43:51] Speaker F: Emballage LPO But avec vous depuis 80 ans. Pour vos boîtes de tout format, rubans, sacs-sélos ou cadeaux corpos, pensez LPO But. Ouvert au public au 1220 rue de l'Escarbot ou lpobut.com.
[00:44:06] Speaker C: Les petites patates, présentées par les Cliniques vivants. Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton, ultra-efficace et sans douleur. Épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. Cliniquevivant.com.
[00:44:19] Speaker A: Doom, as-tu des petites patates?
[00:44:22] Speaker B: On était en train, justement, de parler de la une. À mon avis, c'est la une des patates. C'est la grosse patate de ce matin. Mais c'est la une du Globe and Mail. La gestion de l'offre est sur la table, les amis.
des sources confidentielles à la table de négociation entre les États-Unis et le Canada qui confirme... qu'il y aura plus de lait américain sur les tablettes.
[00:44:44] Speaker C: Bouh!
[00:44:45] Speaker B: On a peur! Souvenez-vous de ce que Duclos disait. Le lait américain est très dangereux. Ça peut donner un troisième œil dans le front, etc. Donc, je sais pas pour le reste ce qui va se passer parce qu'il y a quand même peu de détails. À savoir, est-ce qu'il y aura un prix planché, etc. Est-ce que ça sera sous forme de fromage également? Parce que le fromage cabote du Vermont, il est pas cher.
Il est pas cher, ma chère. La brique à trois piastres, là. Il est très bon aussi. Bon. Parfait. On s'en met à marre. L'UPA prépare 3-4 points de presse aujourd'hui, sûrement, pour crier. Rebel News a sorti hier une histoire concernant un employé de l'armée canadienne, Gabriel Lepage. Celui qui a lancé des bombes fumigènes dans l'église. Il aurait pu arriver quelque chose, là, vraiment.
Mais c'est Chantefeu qui avait pris l'un des bâtons fumants, puis qui avait ri de ça, mais il en demeure pour moi que c'était un acte de vandalisme. Ils ont retrouvé à personne. Maintenant, est-ce que la police va s'en mêler? Est-ce qu'il y aura justice en la matière? J'en sais trop rien. François Legault hier, ses priorités? Économie, efficacité, sécurité, identité. Part à la chasse aux islamistes et aux syndicalistes, donc les barbus et les barbichettes, finalement.
Et voilà, évidemment, il y en a qui ont déchiré leur chemise. Il est en voie de soie, les gens dans l'opposition. Vous avez Magali Picard qui, elle, est bien, bien, bien énervée. « J'ai pitié pour François Legault, etc. » Elle, à lundi, il est avec le PQ. « Ils font leur progressiste, blablabla. » Donc on le sait qu'elle est le chef du Parti québécois. Ça parle, ça, c'est confirmé. Mais Legault a dit libérer le Québec de la bureaucratie. Je peux pas être en désaccord avec ça. C'est juste que c'est back to the future, comme nous disait Risky Business hier. Si on parle d'analogie de film, c'est plus back to the future que Rocky, en ce qui me concerne. Également, je fais un petit croche sur l'économie. Ça, c'est RDI Économie qui soulevait ça, puis je l'avais pas saisi dans le discours comme tel. Mais Legault veut utiliser la caisse de dépôt comme levier. Bien oui, notre argent, notre bas de laine.
Et on veut que la caisse investisse au moins 100 milliards au Québec. Rappelons que le Bas-de-Laine est 473 milliards. Actuellement, c'est 93 milliards au Québec. Et là, on vise 100 milliards. OK. Marchand. T'as pas de bonne humeur.
[00:47:10] Speaker C: Bon.
[00:47:11] Speaker B: Ça peut-tu déranger quelqu'un? La maire de Québec, hier, était à l'Assemblée nationale. Il est déçu que Legault n'ait pas parlé de logement social. On connaît la carte marchand. Le camp du bien s'est excité hier. Moi, je suis dans le bien, les autres sont dans le mal. C'est moi qui ai la vertu, vous, vous l'avez pas. Shutdown aux États-Unis. Donald Trump, qui est là et qui regarde la chicane aux congréantes, les démocrates et les républicains. Résultat, vous avez quand même plusieurs centaines de milliers de fonctionnaires qui sont en chômage technique. Des fortes perturbations sont attendues. Mais c'est des perturbations qui, à date, n'ont pas eu de secousse. À la bourse, ça peut durer quand même plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Pete Exet a présenté sa nouvelle vision virile de l'armée. Fini les gros, fini les bas de nylon et fini le cutex, si vous voulez un résumé. Fini le woke. Et ce n'est qu'un commencement, dit-il. Trump a ramené l'histoire du 51e état en parlant du bouclier antimissile. Sa maman, de révélé, a dévoilé sur la plateforme moins de fonctionnaires, moins de taxes, moins de pistes cyclables, plus de rieurs. Ça s'est fait hier. Stephen Blainey veut une escouade anti-gang. De son côté, scandale syndicat des fonctionnaires Ville de Trois-Rivières. Détournement de fonds entre 100 000 et 200 000 $. Ça entraîne la démission de la présidente du syndicat des fonctionnaires de la Ville, Patricia Larouche. Si vous avez de l'information là-dessus, ça m'intéresse. Vous avez... Comment je pourrais finir ça? Ah oui, je pourrais finir ça avec quelque chose d'un peu cocasse, surtout louche, je vous dirais.
Enquête municipale, un conseiller de municipalité des Laurentides a été comme tassé et vincé. Et on connaît la cause maintenant, c'est qu'il envoyait des cartes de Noël à des conseillers, conseillères municipales, dont une qui disait sur la carte, « Je vais m'ennuyer de ton petit cul lorsque je quitterai la politique. » Méchant jambon. Louis Dupuis, conseiller municipal de Sainte-Anne-des-Lacs. Wow, quel épais.
Au revoir.
T'as intérêt à entretenir de la neige à pousser? Le Massey Ferguson 1GC, c'est ton tracteur 4 saisons à partir de 53 $ par semaine. Zéro comptant, puis 10 ans de garantie. Compact, solide et le travail fort à l'année. Viens l'essayer chez SA Service Agricole, saserviceagricole.ca.
[00:49:47] Speaker C: Salut, c'est JC. Je vous l'ai déjà dit, la référence en porte et fenêtre au Québec, c'est Abritec. Une entreprise d'ici, des produits qui durent pis des gens vrais. Abritech, c'est la qualité, garantie et le service aussi. Abritech, une valeur sûre. Trouvez votre détaillant au abritech.ca.
[00:50:02] Speaker A: Big, big, big news, grosse nouvelle, Lévis a une pointe. Et sur cette pointe-là, il y a une école de conduite, l'école de conduite Pointe-Lévis, qui vous offre 250 heures de cours par semaine. On a du staff, 15 formateurs, une flotte de 7 véhicules. On vous garantit une grande disponibilité. Ça, ça veut dire que nos formateurs sont disponibles à travailler sur la pointe. Les soirs, les fins de semaine, lorsque vos jeunes ou lorsque vous êtes disponibles à avoir votre formation. Nos étudiants sont assurés d'avoir leur permis de conduire dans les délais minimums imposés par la SAC, soit en 12 mois et moins. En plus, quand tu vas appeler au 88 833 54 50, dis donc que t'as entendu ça à Radio X, ils vont te donner 50 % de rabais sur ton manuel de conduite. Un beau cas de promo ça. École de conduite Pointe-Lévis, Saint-Charles-de-Bellechasse et à Lévis.
[00:50:51] Speaker C: Salut! C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce que mes camarades de Dormez-vous et moi, on a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal sûr que tu mets pas le même.
[00:51:02] Speaker A: Linge que ton chum.
[00:51:04] Speaker C: Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
[00:51:13] Speaker F: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 30 % de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous.
[00:51:21] Speaker B: Centrale Pneus et Mécaniques recrute des mécaniciens qualifiés pour ses trois succursales de l'ancienne.
[00:51:25] Speaker C: Lorette et Cap Rouge. Tu cherches un meilleur salaire?
[00:51:28] Speaker B: Un nouveau défi? T'es tanné de travailler de soir? Chez Centrale Pneus et Mécaniques, on accote tes vacances, ton salaire et on t'offre un horaire adapté à tes besoins. On respecte ton expérience et ton ancienneté.
[00:51:39] Speaker C: Tu veux faire juste de l'alignement automobile.
[00:51:41] Speaker B: Ou du diagnostic électrique?
[00:51:42] Speaker C: On t'offre un poste qui correspond à tes intérêts.
[00:51:45] Speaker B: Perds pas de temps, contacte-nous au pneucentral.ca ou passe-nous voir en succursale.
[00:51:49] Speaker F: Votre conseil anti-stress, Rachel Berry. En voiture, si vous serrez un petit peu trop fort le volant, prenez une inspiration... Et passez un magasin pour découvrir des solutions naturelles pour soulager les symptômes reliés au stress. Rendez-vous dans nos épiceries Rachel Berry ou dans un espace santé chez IGA.
[00:52:04] Speaker B: Vous êtes propriétaire d'une maison et vous êtes étouffé par vos dettes? Carte de crédit, prêt personnel, deuxième hypothèque à taux élevé? Stop! Vous perdez des milliers de dollars chaque année. Chez GMOT.ca, nous avons la solution. le refinancement hypothécaire et la consolidation de dettes, économiser plus de 1300 par mois et retrouver enfin la tranquillité d'esprit. Une seule mensualité, zéro stress. Visitez GMOT.ca, c'est simple à retenir. GMOT.ca ou appelez-nous maintenant au 486-55-3686 partout au Québec.
[00:52:37] Speaker D: La circulation de Québec a facilité la fluidité.
[00:52:46] Speaker A: OK, ça a l'air de quoi la circulation de Québec ce matin? Bien, c'est un mercredi. J'ai le goût de vous dire comme les autres. Il y a du monde. Il y a du monde sur les routes. Il y a un paquet de monde qui n'a pas été travaillé hier, donc évidemment que ça va finir par paraître. La tête des ponts, c'est compliqué, peu importe où vous arrivez. Surtout pour les gens qui arrivent de Lévis-Centreville. C'est vraiment à partir de Chemin des Îles où c'est par choc à par choc, puis il n'est pas encore 7 h. Enrica, très, très lourd également, direction sud. Et Capital également. Capital direction ouest, à la hauteur de Charlebourg. Henri Bourassa. C'est par chèque à par chèque, disons, à la hauteur du photoradar. Il y a Canadian Tire qui soutient Bon Départ. Bon Départ qui aide les familles à surmonter les obstacles qui sont liés au sport et aux jeux. Les obstacles financiers, bien sûr, donnés à bondépart.canadiantire.ca.
[00:53:29] Speaker C: Le Deep Dan, présenté par Couvre-Plancher Orléans.
[00:53:34] Speaker A: Qui fête ses 50 ans d'érabais sur les flottants, vinyles, céramiques, tapis, la peinture.
[00:53:39] Speaker C: Benjamin Moore et plus, qui Couvre-Plancher Orléans.
[00:53:45] Speaker F: Avec Dominique Morel.
[00:53:47] Speaker B: Nous sommes profondément désolés.
[00:53:51] Speaker C: Radio X. Deep Dan. Putain de bordel de merde. Deep Dan. D'accord, merci.
[00:54:04] Speaker D: Dan, our favorite jock.
[00:54:08] Speaker B: Let's go deep! Peut-être, peut-être, peut-être que mon souhait sera exaucé. Un petit peu de poupées, peut-être?
[00:54:16] Speaker A: Commençons avec un des extraits que tu m'as envoyé.
[00:54:19] Speaker B: Tu vas-tu m'envoyer des poupées, moi, matin, Don?
[00:54:22] Speaker A: Le profil des gens qui achètent les bébés Reborn.
[00:54:26] Speaker D: Ah non!
[00:54:29] Speaker F: Sophie aime les répéter, dans cette chambre couleur layette, avec landeau, couffin, berceau et même une robe de baptême en dentelle. Pourtant, Sophie n'a pas de bébé. La petite fille que cette aide soignante de 44 ans aime langer et changer, c'est un poupon. Quand vous les changez, par exemple, vous avez l'impression qu'on retrouve un petit peu les gestes de quand vous jouiez à la poupée plus jeune ou c'est autre chose ? Ah non, ça se rapproche comme si on s'occupait d'un bébé. Non, quand on était petite, je pense quand même qu'on était un peu plus brutale aussi.
[00:55:09] Speaker B: Et après, on va jouer à la pétanque.
[00:55:10] Speaker F: La petite et maligne. et très exactement un riborne, un poupon ultra réaliste qui ressemble à un vrai nourrisson. Et des ribornes, Sophie en possède plusieurs. Sarah, voilà, qui est une petite métisse. Ensuite, c'est Maxence. Là-bas, nous avons Kamiko, la petite chinoise.
[00:55:43] Speaker B: Ça saisit, hein? Ça, c'est un film d'horreur. La poupée répond si on est dans l'horreur. Poupée, poupée, poupon, poupée, poupon, poupée, poupon, poupée, poupon.
[00:55:51] Speaker A: Elle a quatre poupées reborn qu'elle poudre le matin, qu'elle met une couche, qu'elle nourrit. Elle habille selon l'humeur de l'enfant.
[00:56:01] Speaker B: T'aimes-tu ça du bleu, hein?
[00:56:03] Speaker A: On va lui mettre sa petite casquette ce matin parce qu'il veut avoir sa petite casquette ce matin. C'est une poupée.
[00:56:12] Speaker D: J'ai une pensée pour la famille de cette madame-là. J'ai une pensée pour les amis, si elle en a, de cette madame-là.
[00:56:20] Speaker A: Moi, je la regardais hier puis je me disais, soit c'est un problème d'équilibre mental ou soit elle est polytraumatisée.
[00:56:26] Speaker B: Ou soit c'est un fucking troll.
Elle, elle s'arrange, le journaliste s'en vient, ok, je vais l'installer là, je le sais.
[00:56:33] Speaker A: Elle avait pas le casting d'un troll là.
[00:56:34] Speaker B: Je le sais, je le sais.
[00:56:37] Speaker D: Ça a l'air d'être pas vrai.
[00:56:38] Speaker A: Elle a le casting de la madame de 62 ans célibataire à 83-45 en première année.
[00:56:44] Speaker B: Totalement défoncé. Totalement défoncé dans le coco.
[00:56:49] Speaker A: Dom Dumas!
[00:56:51] Speaker D: Oui!
[00:56:52] Speaker A: Il m'a quand même envoyé un lien d'une histoire qui se passe à l'émission Les Justiciers à nouveau.
[00:56:57] Speaker D: Je ne l'ai pas vu, c'est un auditeur qui m'a envoyé ça hier, mais la description me semble parfaite.
[00:57:01] Speaker A: Je te présente Michel, qui s'est présenté devant Les Justiciers. Lui, il voulait poursuivre le sex-shop qui a vendu sa poupée, parce qu'il l'a débâti.
[00:57:11] Speaker C: Michael Boisvert a acheté Zoé, une poupée réaliste, pour lui tenir compagnie. Mais au bout de quelques jours à peine, des membres de Zoé se sont brisés, de telle sorte qu'elle ne peut plus accomplir certaines fonctions essentielles. Il réclame un remboursement plus des frais pour troubles et inconvénients pour un total de 3500 $. Céline Roussel, la propriétaire de la boutique qui lui a vendu la poupée, allègue que les blessures de Zoé sont dues à une chute dans les escaliers.
[00:57:43] Speaker A: Donc elle a dit, c'est une chute dans les escaliers parce que... blessé du côté gauche. Lui, il dit non, non, c'est blessé avec l'usure normale. Michel, Michel a raconté, ben il raconte sa première rencontre. avec Zoé.
[00:58:01] Speaker F: Nous voulons savoir, comment êtes-vous venu à vouloir vous procurer une poupée réaliste? Êtiez-vous expérimenté un peu avec ce genre d'objet?
[00:58:10] Speaker G: Je savais que ça existait, mais je pensais que c'était très dispendieux. Après ça, j'ai décidé de fouiller dans les sex shops. J'en ai trouvé plusieurs, mais ce n'était pas mon goût.
[00:58:17] Speaker F: Vous l'avez apporté avec vous aujourd'hui?
[00:58:19] Speaker C: Oui.
[00:58:19] Speaker B: Elle est où?
[00:58:20] Speaker G: Elle est juste là.
[00:58:20] Speaker F: Oui. Elle a un nom?
[00:58:22] Speaker G: Moi, je l'appelle Zoé.
[00:58:24] Speaker F: Alors, vous vous êtes procuré Zoé...
[00:58:26] Speaker G: Dans un sex-shop.
[00:58:27] Speaker F: Dans un sex-shop, une boutique érotique. Est-ce que vous vous étiez renseigné un petit peu avant ou vous êtes arrivé...
[00:58:32] Speaker G: Oui, j'ai fouillé sur le site internet.
[00:58:34] Speaker C: OK.
[00:58:34] Speaker F: Parce qu'il y a différents modèles, différents fabricants, j'ai compris.
[00:58:37] Speaker G: Différentes grandeurs, différentes grosseurs, il y a tous les styles là-dedans.
[00:58:39] Speaker F: Puis, est-ce que Zoé était présente en magasin?
[00:58:41] Speaker G: Oui, elle était à la Subway.
[00:58:42] Speaker B: Elle était à la Subway. C'est fait à Bulgarie, ça.
[00:58:45] Speaker D: Salutations à toutes les Zoé.
[00:58:46] Speaker B: Moi, je couche avec, moi je la nettoie. Moi, je la nettoie après. Oui, il n'y a pas de problème.
[00:58:51] Speaker D: Moi je la nettoie.
[00:58:52] Speaker B: Moi, je couche avec, moi, je la nettoie. Ça a été fait en Bulgarie, moi, je commande ça dans les Catalogues, puis je la nettoie. Boyé, boyé.
[00:59:01] Speaker A: Michel nous raconte sa lune de miel les trois premières semaines avec Zoé.
[00:59:04] Speaker F: Quand on est un vendeur professionnel, il existe une présomption qu'effectivement c'est un vice caché. La défense à ça, c'est qu'on questionne votre utilisation. Donc il faut qu'on comprenne exactement, même s'il faut qu'on rentre dans des détails, comment vous l'avez utilisé entre le 1er août et le 22 août. À quelle fréquence, dans quelle position, qu'est-ce que vous avez fait avec elle?
[00:59:25] Speaker G: Moi j'ai toujours suivi les règles de base, j'ai toujours fait les mouvements.
[00:59:28] Speaker F: À quelle fréquence l'avez-vous utilisé? Vous avez dit une fois par semaine? Donc, entre le 1er août et le 12 août, vous l'utilisez deux fois?
[00:59:34] Speaker G: Non, un peu plus. C'est un nouveau frexitaphilus, un peu plus.
[00:59:37] Speaker F: Toujours comme ça, la lune de miel.
[00:59:39] Speaker A: La lune de miel.
[00:59:41] Speaker D: Non mais vous dites, le gars il.
[00:59:43] Speaker B: Poursuit, c'est une chose. Le gars c'est familier.
[00:59:46] Speaker D: Il lui a offert à un moment donné, ça pourrait passer à la TV. Il a dit oui.
[00:59:50] Speaker B: C'est familier en public. Le gars est reconnu.
[00:59:53] Speaker A: Le gars explique qu'il écoute la TV avec. Qu'il parle.
[00:59:57] Speaker B: Qu'il la nettoie.
[00:59:58] Speaker D: Qu'elle swinge en bas des escaliers.
[01:00:00] Speaker A: Oui, elle nettoie. Là tu vois, il est peu en lune de miel, fait qu'ils couchent ensemble à peu près une fois par semaine. Puis ça arrive des fois qu'ils se chicanent, fait qu'ils font chambre à part.
La dame, Céline, celle qui lui a vendu, je veux juste vous dire, à la fin, il donne raison au gars.
[01:00:21] Speaker D: Ah oui?
[01:00:21] Speaker A: Oui, oui, à la fin, il donne raison au gars. Il dit, ça se peut pas que... Quand tu vends quatre choses, il faut que ça dure plus que trois semaines. À un moment donné, il faut que tu sois capable de faire la preuve qu'il y a eu une mauvaise utilisation. Pis ça, c'est vendu pour... c'est vendu pour... C'est vendu pour faire ce qu'il faut avec la tarte aux pommes d'American Pie, là. Fait que c'est supposé être toffé. Fait que là, ils demandent à la fille qui tient le sex shop, c'est qui qui achète ça, ces poupées-là?
[01:00:48] Speaker F: C'est quoi la clientèle cible par rapport à ce type de poupée réaliste? En fait, c'est la partie que je voulais faire. Je sais que c'est drôle au premier abord, j'entendais beaucoup ricaner dans la salle, mais c'est un sujet qui est extrêmement sérieux pour nous, puis pour nos clients. Souvent, notre clientèle va acheter ça pour avoir vraiment une compagne, quelqu'un, une présence. La compagnie.
[01:01:09] Speaker E: Une compagnie, c'est ça.
[01:01:10] Speaker F: J'ai eu un monsieur qui était veuve.
[01:01:12] Speaker E: Qui avait de la difficulté à dormir.
[01:01:13] Speaker F: Il l'a acheté pour avoir une présence.
[01:01:15] Speaker E: À côté de lui, puis ça a.
[01:01:16] Speaker F: Fonctionné, il était content. M. Boisvert, est-ce que c'était un petit peu dans le sens où Madame va, tu sais, pour avoir de la compagnie?
[01:01:22] Speaker G: Regarde la télé, coucher.
[01:01:25] Speaker B: Pour lui parler?
[01:01:26] Speaker A: Des fois.
[01:01:27] Speaker B: Des fois.
[01:01:28] Speaker A: Donc, il parle, il écoute la télé avec.
[01:01:30] Speaker B: Arrête ça, Dan! It's getting deeper!
[01:01:33] Speaker A: C'est deeper, mais c'est triste.
[01:01:35] Speaker D: Oui, c'est triste.
[01:01:36] Speaker B: Jean-Luc est en venture?
[01:01:38] Speaker A: Je ne sais pas si Jean-Luc en a.
[01:01:39] Speaker C: Je pense que oui.
[01:01:40] Speaker B: On en a, on en a reçu. Les vœufs au visor. Les vœufs au visor.
[01:01:46] Speaker A: Ils ont pas de bras, ils ont pas de jambes. On a pas besoin d'être ça.
[01:01:49] Speaker B: Ouais, c'est des femmes troncs. Des assembles. Avec le code promo DEEP. 15%!
[01:02:00] Speaker A: Pis des petites légètes humides, comme ça vous n'êtes même pas obligés de changer de pièce après.
[01:02:05] Speaker B: Je la nettoie, oui. Avec un peu de palmolive.
[01:02:09] Speaker A: Oui, palmolive, je sais pas si ça peut irriter.
[01:02:11] Speaker B: Oui, mais palmolive, ça enlève le gras. Tu sauras, c'est bon, c'est bon pour les mains aussi.
Mais c'est du monde qui existe. Et oui, vous avez entendu également Feux-Pollaud, qui... c'est un extrait d'archive.
[01:02:24] Speaker D: Oui, c'est un extrait d'archive.
[01:02:26] Speaker B: Parce qu'on est sur une enquête, mesdames et messieurs.
[01:02:28] Speaker A: Ben oui, là je suis pas mal fini.
[01:02:29] Speaker B: On est dans le monde de poupées.
[01:02:30] Speaker A: Je suis un peu tanné de passer une heure par après-midi à fouiller des poupées. C'est un drôle de monde. Je trouve ça très lugubre.
[01:02:39] Speaker B: It's a deep world in a dolly world. Le monde de poupées de Dan vient de se terminer.
[01:02:46] Speaker A: Sur internet hier, il y a une fille qui a mangé une volée de bois vert parce que ils ont pris la décision, elle et son autre chum, que elle allait être maman à la maison. OK. Ça, tout le monde a le droit. Mais là, elle explique qu'elle, elle est maman à la maison, mais que ses trois enfants vont à la garderie. Puis hier, elle a fait une vidéo pour le justifier.
[01:03:08] Speaker F: Parce que je trouve qu'on n'en parle pas assez de le fait que c'est correct d'envoyer ses enfants à la garderie quand on est maman à la maison à temps plein. On dirait que ça vient avec un certain préjugé. Parce qu'on est à temps plein, on devrait avoir nos enfants à temps plein avec nous. Parce qu'on est à temps plein à la maison, je veux dire, on devrait avoir nos enfants à temps plein avec nous aussi. Puis j'avais envie de partager notre réflexion que mon conjoint et moi on a eue.
[01:03:31] Speaker A: Donc la voici la réflexion.
[01:03:34] Speaker D: Est-ce qu'elle les envoie à temps plein à la gare de l'eau?
[01:03:36] Speaker A: Oui, elle les envoie à temps plein, tu l'avais dit au vendredi.
[01:03:38] Speaker F: Mais je serais pas capable de... T'sais, c'est une job à temps plein de s'occuper d'une maison, puis c'est une job à temps plein d'éduquer, puis d'apprendre des enfants. Puis les éducatrices, je pense qu'ils font un travail qui est pas assez reconnu. Puis j'ai souvent un malaise aussi avec cette question-là parce que... À cause que mes enfants sont en âge préscolaire, c'est comme si la garderie, c'est comme pas nécessaire. Si on peut les garder à la maison, gardons-les à la maison. Mais quand mes enfants vont être en âge d'aller à l'école, il y a personne qui va me poser cette question-là. Parce que c'est juste logique que mes enfants vont à l'école. Même que si je les envoyais pas à l'école, le jugement serait inversé. Genre « Oh my God, t'envoies pas tes enfants à l'école, tu leur fais l'école à la maison. » Puis je vois vraiment la garderie comme l'école. Pour moi, c'est la même chose, juste à un niveau différent.
[01:04:25] Speaker A: Maman à la maison, mais elle, elle reste pas à la maison. Elle garde pas les enfants. Puis les gens qui la cassent sur Internet, c'est les gens qui disent «ouais, mais nous autres, on travaille, on n'a pas de place à la garderie». Je voulais juste vous le faire. Je n'ai pas vraiment d'opinion sur la question en tant que telle. Moi, je pense qu'une fille qui veut être maman à la maison et qui ne veut pas garder les enfants à la maison, c'est juste une fille qui ne veut pas travailler.
[01:04:49] Speaker D: En même temps, ce n'est pas de sa faute s'il y a un manque de place en garderie.
[01:04:52] Speaker A: C'est ça.
[01:04:52] Speaker D: Mais, si tu restes à la maison, moi, je suis très chauve-chum, garde au moins les enfants à temps partiel. Je comprends qu'il y a un besoin de socialisation pour les enfants et ce n'est pas une mauvaise chose d'envoyer à la garderie. Mais à temps plein, alors que toi tu restes à la maison supposément pour t'en occuper, ouais, ça marche pas là.
[01:05:10] Speaker A: Hier, je vous faisais entendre l'extrait d'un gars qui se demandait pourquoi est-ce qu'au Québec on enlevait la clanche et les gun pour tanker.
[01:05:17] Speaker D: Oui.
[01:05:19] Speaker A: Puis en même temps, on riait de ça, puis on s'est dit c'est la même chose pour les cellulaires. Bien hier est arrivé cette vidéo-là sur les internets.
[01:05:26] Speaker F: Donc ça.
[01:05:46] Speaker A: A l'air que c'est encore vrai. Au Québec, on ne peut pas utiliser notre téléphone cellulaire en métalique.
[01:05:51] Speaker B: En tout cas, lui, il l'a vu, puis il a bloqué... Oui, il a bloqué le porte. À partir de la cabine.
[01:05:55] Speaker A: Oui, puis il a dit «Lâche-toi au sel si tu veux que je débloque la cabine». Je comprends pas.
[01:05:59] Speaker D: Moi, je serais parti. J'ai mis 14 piastres, bye-bye.
[01:06:02] Speaker B: On est très forts sur ces consignes. Ils l'ont dit, ils l'ont dit. La pancarte l'a dit. Il y a une barre sous le sel, t'as pris le sel, t'as pas le droit.
[01:06:09] Speaker A: J'ai regardé les commentaires, puis il y a un paquet de monde qui dit « Ouais, mais ça peut faire des étincelles. » Non, come on. Je comprends, sauf que dans 59 sur 60 législations en Amérique du Nord, on peut utiliser nos cellulaires en tankant, puis il y a jamais d'incendie.
[01:06:23] Speaker C: Ben oui.
[01:06:24] Speaker D: Ça, ça peut faire des étincelles. Un cellulaire peut faire des étincelles.
[01:06:28] Speaker A: La statique.
[01:06:28] Speaker B: À cause de la statique. C'est une vieille affaire.
[01:06:31] Speaker D: Come on.
[01:06:32] Speaker B: Et on est très forts sur... Ils l'ont dit, hein, le gouvernement, les consignes. Dans certaines places au Québec, à 2h30, 3h du matin, tu peux te retrouver dans une situation où t'es en arrière de quelqu'un, pas de virage à droite. Virage à droite interdit. Mais il est 2h30 du matin, il y a pas de char. Mais la personne va attendre en avant. Le jugement n'est jamais impliqué. Ils l'ont dit, ils l'ont dit.
Ouais, mais tu peux... Je sais pas, donner une swing, tu peux... Il y a personne. Deux heures et demie du matin. « Non, regarde, c'est écrit!
[01:07:09] Speaker A: » C'est hallucinant. Il y a encore du monde qui refuse de se baigner une heure après avoir mangé.
[01:07:14] Speaker D: Ouais.
[01:07:14] Speaker C: Mais tu peux te noyer.
[01:07:17] Speaker A: Ben oui, tu peux te noyer.
[01:07:18] Speaker B: Ça, c'est des histoires de grand-mère à te pécher.
[01:07:19] Speaker A: Ben oui, c'est des histoires de grand-mère, mais il y a encore du monde qui le font, là.
[01:07:22] Speaker B: Peut-être que tu vas pogner la grippe.
[01:07:24] Speaker A: Tu sais, des grand-mères au Saguenay-Lac-Saint-Jean qui disent « Non, on peut pas se baigner, c'est le 21 juin. » La baignade, c'est entre la Saint-Jean-Baptiste et la Fête du Travail.
[01:07:32] Speaker B: Oui, on dit ça de même.
[01:07:34] Speaker A: Je peux pas les autres pendants. Donc voilà, le sel, ça a l'air qu'il y a des places qui disent encore d'arrêter de jouer avec son cellulaire pendant qu'on tank.
[01:07:41] Speaker B: Les Mythbusters ont fait ça l'autre jour. On fait le truc du sel et c'est même pas vrai, c'est juste un mythe. Ben oui, c'est ça, exact. C'est comme utiliser ton sel. Ça va faire déranger le triple pontage au 6e étage de l'hôpital Sacré-Cœur. Ça va vite à matin, c'est un.
[01:08:02] Speaker A: Gros mercredi, fait que je vais tout de suite arrêter le deep down avec un sketch qui rit un peu de ce qui se passe dans le cerveau d'un woke.
[01:08:11] Speaker B: Pour devenir outré.
[01:08:14] Speaker A: Je le sais que c'est pas vrai, c'est un sketch, c'est des acteurs. C'est comme lol, je comprends tout ça. Mais je trouve ça très drôle parce que je trouve que c'est une belle caricature de ce qui se passe dans la tête des gens qui sont woke.
[01:08:29] Speaker F: Est-ce que t'as remarqué que dans les pubs, les couples sont presque toujours composés d'un homme noir avec une femme blanche? Pourquoi ils font ça, à ton avis ? Bah c'est pour montrer que la société elle est pas raciste, qu'on vit dans un monde où le racisme n'a plus sa place. Voilà, ça envoie un message en fait. Ça veut dire qu'un homme noir il est avec une femme blanche et alors il y a aucun souci.
Ouais, non. Ouais, quoi ? Ouais, non. Non, je crois pas que ce soit ça, le message. C'est quoi, le message, alors ? T'es d'accord avec moi que dans les pubs, on ne voit que des personnes issues de la classe aisées, socialement ?
[01:09:08] Speaker E: Non ?
[01:09:08] Speaker F: Je veux dire, on ne voit pas de pauvres. C'est sûr, on voit pas de pauvres. Que les hommes noirs, quand ils sont riches, ils préfèrent se mettre en couple avec des femmes blanches. C'est ça que ça envoie comme message. C'est ça que ça veut dire. Putain, mais t'as raison.
[01:09:23] Speaker A: C'est très drôle. C'est très drôle parce qu'on a l'impression que c'est toujours tiré par les cheveux de même.
[01:09:28] Speaker C: Oui.
[01:09:28] Speaker A: Tout le temps, tout le temps, tout le temps. J'ai vraiment trouvé ça drôle puis je trouvais que c'était une belle boutade pour finir le début ce matin.
[01:09:35] Speaker B: Grosse Légion.
[01:09:36] Speaker D: Oui.
[01:09:37] Speaker B: Beaucoup de ça. Mélanie Hubert, la présidente d'un syndicat qui s'appelle la Fédération autonome de l'enseignement. C'est eux autres qui prennent l'argent des membres pour aller se battre en cause suprême contre la laïcité. Wow. OK. Don Quichotte sort de ce corps. Donald Charrette s'en vient. Également beaucoup d'autres surprises. Stay tuned et vous êtes dans Morel Live.
[01:10:02] Speaker F: 886709098. Radio X.
[01:10:07] Speaker D: Le Deep Dan.
[01:10:08] Speaker C: Présenté par Couvre-Plancher Orléans, qui fête ses 50 ans d'érabais sur les flottants, vinyles.
[01:10:13] Speaker B: Céramique, tapis, la peinture Benjamin Moore et.
[01:10:15] Speaker C: Plus, du Couvre-Plancher Orléans. Good morning Québec.
[01:10:20] Speaker E: Good morning sunshine.
[01:10:22] Speaker F: Avec Doume Dumas. Lundi au vendredi.
[01:10:26] Speaker C: 5H30.
[01:10:27] Speaker F: Radio X.
[01:10:29] Speaker D: Présenté par la lunetterie Beland.
[01:10:31] Speaker A: Obtenez le meilleur prix garanti avec nos forfaits verts et montures Simple Vision à 99$ et Progressif à 249$. La lunetterie Beland, service qualité bas prix.
[01:10:41] Speaker B: Jamais trop tôt pour demander son estimé chez Nanook. Jamais trop tôt, vous appelez, laissez le message, ils vont venir. Prends les mesures pour une nouvelle toiture parce que c'est un travail majeur. C'est un travail, oui. qui occasionne quand même un certain déplacement de budget. Peut-être que vous n'avez pas le budget, peut-être que vous avez une marge de crédit hypothécaire. Très certainement qu'il faut magasiner. On n'est pas cave, on magasine, mais je vous le dirais que les meilleurs, je vais vous raccourcir la séance de magasinage, c'est l'ANUC. Pourquoi on a le staff On a la rapidité d'exécution. On a des belles promotions actuellement pour du bardeau qui va durer. Le bardeau qui va durer quoi? 20, 22, 25 ans. On en a, on installe ça de main de maître avec des équipes hors pair. Rive-Nord, Rive-Sud, on est très actifs. Oui, oui, la roulotte avec l'ours polaire, c'est nous autres. Nanook, N-A-N-U-U-Q.ca.
[01:11:42] Speaker C: De Québec pour faciliter la fluidité.
[01:11:45] Speaker A: OK, Henri-Claude Sud à la hauteur de Vers-en-Nord. Les gens qui s'en vont vers le pont, il y a une voie de bloqué dans ce secteur-là parce qu'il y a un véhicule en panne. Félicitations pour ça, donc véhicule en panne. Sur l'ordre de pointe, Henri-Claude direction Sud. Je vous dirais que si on reste sur la rue Nord et sur Henri-Claude direction Sud, ce que ça cause comme problème, c'est que la circulation va rejoindre la circulation qui arrive de Val-Belair. Donc, ça cause bien des ennuis, là, celui de Delon sur Henri-Claude direction Sud en se rendant jusqu'à Vers-en-Nord. Capital, c'est compliqué à partir de Seigneurial, en se rendant jusqu'à Robert Bourassa. C'est lourd également sur Laurentienne-Sud. Dans le secteur des travaux, surtout, ça remonte jusqu'à Rivière. Je vous dirais que c'est lourd également sur Chara à partir du Ikea, en se rendant jusqu'à la côte Saint-Sacrement et la tête des ponts. La tête des ponts, c'est pratiquement impraticable. C'est très, très compliqué ce matin. Si vous voulez accéder au pont Pierre-Laporte, peu importe, vous arrivez jusqu'au 20 décembre. Recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de 4 pneus Nokian Tire sélectionnés. Les pneus Nokian Tire disponibles chez votre détaillant Autobox.
[01:13:07] Speaker C: Contactez-nous pour une migration Windows 11 simple et rapide.
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[01:13:29] Speaker A: 800, mettons?
[01:13:30] Speaker F: Moins que ça.
[01:13:31] Speaker A: 750 $?
[01:13:32] Speaker C: Moins que ça.
[01:13:33] Speaker B: 700.
[01:13:34] Speaker A: 650.
[01:13:35] Speaker F: Qui dit moins?
[01:13:35] Speaker A: Ben là, 500.
[01:13:36] Speaker F: Exactement.
[01:13:37] Speaker A: J'achète.
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[01:15:01] Speaker C: Cette semaine, écoute Couture dans le Mid. Tu pourrais gagner à chaque jour une boîte de pizza d'aliments Ludo d'une valeur de 60 $. Pendant le show, texte au 88 670 9098 le mot Ludo en nous disant c'est quoi ta sorte de pizza préférée. Ingrédients frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. Dispo chez les marchands participants et un prix très spécial au IGA Amel. Ludo, décongelé, cuire, servir.
[01:15:29] Speaker B: Un bilan de santé, un suivi de diabète, l'hypertension, traitement contre l'obésité. Il y a tellement de stocks sur l'obésité, pour vrai. Les pubs, c'est pelule. Puis moi, je prenais le pelule. Puis l'autre, c'est piqué. Puis l'autre, ça a marché. Sur qui se fier? Fiez-vous donc à un médecin de CliniqueMédicalLacroix.com. Dr André-Anne Samson est là pour vous, pour vous accompagner.
question de prendre la bonne médication.
[01:15:59] Speaker F: Jusqu'à jeudi, chez PharmaPrix, obtenez 20 fois...
[01:16:01] Speaker B: Non, ça va être PharmaPrix, ça va être plus tard. PharmaPrix, si vous voulez aller chez PharmaPrix après, il n'y a pas d'erreur. Moi, je n'ai rien contre ça. C'est juste qu'avant, ça prend une prescription. Et c'est Dr Samson qui va vous la donner, tant qu'à y être. Clinique médicale Lacroix.com Lise a vendu sans.
[01:16:18] Speaker C: Effort et en moins de 48 heures de remaisons à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress?
[01:16:24] Speaker F: Sans aucun stress.
[01:16:25] Speaker C: Sans conditions ni garanties légales?
[01:16:27] Speaker F: Sans conditions ni garanties.
[01:16:29] Speaker C: Devant notaire?
[01:16:30] Speaker F: Devant notaire.
[01:16:31] Speaker C: Sans ménage ni plusieurs visites?
[01:16:33] Speaker F: Absolument. Vite de même.
[01:16:35] Speaker B: Vite de même.
[01:16:36] Speaker C: Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même.
[01:16:42] Speaker F: Lui, il va l'acheter ton bloc. Airfortin.com. Yes! Grande nouvelle! La Clinique Laser Epilation présente en primeur le tout nouvel appareil Clarity 2, la technologie la plus avancée, rapide, efficace et plus confortable que jamais. Clinique Laser Epilation, des résultats incomparables, la compétition même pas proche.
[01:17:01] Speaker A: Cet automne, respectez vos échéances avec les.
[01:17:03] Speaker C: Équipements de construction Kubota, bâtis pour le Québec.
[01:17:06] Speaker A: Peu importe le froid et le chantier, ils sont fiables.
[01:17:09] Speaker C: Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0 %.
[01:17:12] Speaker A: Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. Multiconfort, FP, Fred, toute sa gang sont là pour vous. Tout augmente de ce temps-ci. C'est incroyable, on n'arrête pas d'en entendre parler. Ça implique aussi que notre facture d'électricité augmente. Vous voulez économiser? Vous pouvez le faire grâce à la thermopompe Lenox. Ça vous permet de réduire vos coûts presque de moitié. La thermopompe est pensée pour votre confort. On vous tient ça chaud en hiver et on tient ça au franc en été. Et surtout, le confort le plus agréable, c'est celui de votre portefeuille parce que les montants de subvention n'ont jamais été aussi élevés qu'en ce moment. Vous voulez comprendre, vous voulez vous faire une tête, vous voulez avoir une thermopompe qui fitte dans votre budget. Fred, ça gagne, vous attendre à matin, là, sont juste en face de l'aéroport, sur la route de l'aéroport. Multiconfort FP, recommandé CA à Québec. Vous pouvez nous retrouver également à Victo. Multiconfort FP.
[01:18:04] Speaker F: Jusqu'à jeudi, chez PharmaPrix, obtenez 20 fois les points PC Optimum à l'achat de 75 $ ou plus de produits de beauté, valables en magasin et en ligne.
[01:18:12] Speaker B: Chouaa!
[01:18:13] Speaker F: Chouaa!
[01:18:14] Speaker C: Chouaa!
[01:18:17] Speaker F: Chouaa!
[01:18:21] Speaker C: Chouaa! Chouaa! Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. C'est vous.
[01:18:28] Speaker F: Fais drôle.
[01:18:29] Speaker C: Votre propre opinion. Moret. Près fier.
[01:18:34] Speaker F: Avec Dominique Moret.
[01:18:35] Speaker C: Plus que fier là, ému. Moret. Moret. Live.
[01:18:42] Speaker F: Radio X.
[01:18:50] Speaker D: Allons-y en live maintenant, de la Tour du Dôme. C'est Moray Live.
[01:18:57] Speaker C: On devient légionnaire et on reste jusqu'à la mort.
[01:19:01] Speaker D: De la radio X World Headquarters, voici votre légendaire région du Dôme.
C'était le discours de François Legault hier. J'ai fait un petit montage de bout qui, selon moi, était important, surtout sur l'économie. Puis ça va recouper un peu ce que tu avais dans tes manchettes tout à l'heure, Dom. Donc voici ce que ça a donné, entre autres.
[01:19:34] Speaker C: On a un défi encore plus grand.
[01:19:36] Speaker D: À cause des gestes posés par le président des États-Unis.
[01:19:41] Speaker C: Évidemment, à court terme, ce qu'on doit.
[01:19:43] Speaker D: Faire, c'est un peu ce qu'on a.
[01:19:44] Speaker A: Fait pendant la pandémie, c'est d'aider chaque.
[01:19:47] Speaker C: Travailleur, chaque entreprise à essayer de passer au travers. On a mis à jour la vision économique du Québec.
[01:19:57] Speaker D: 95 % des interventions d'investissement à Québec ont été faites auprès de PME québécoises. Maintenant, on a un autre outil qui s'appelle la caisse de dépôt. Je vous annonce que le gouvernement va demander à la direction de la caisse de dépôt d'augmenter la part de ses.
[01:20:19] Speaker C: Investissements dans l'économie québécoise.
[01:20:22] Speaker D: Qu'Il.
[01:20:35] Speaker B: N'Y a pas Il y a 2-3 objets là-dedans.
[01:20:41] Speaker D: Il y a beaucoup de choses. J'ai tout mis comme si c'était économie ensemble. Le grand changement, le grand virage à droite de la CAQ, oubliez ça. On va trouver une manière de vous donner de l'argent. Le d'inquiétude. investissement Québec et la caisse de dépôts qui vont dépenser de l'argent public au Québec.
[01:20:56] Speaker B: Franchement, Bovin nous a dit que tout était à droite et Ophélion aussi nous a dit ça. Que la gauche, c'est uniquement QS.
[01:21:02] Speaker D: Puis on va couper des postes, mais on touche à rien des services.
[01:21:05] Speaker B: On revoit pas ça du tout.
C'est ça.
[01:21:09] Speaker D: Les grands changements.
[01:21:10] Speaker B: On veut aller au ciel, on veut pas mourir.
[01:21:12] Speaker D: C'est ça.
[01:21:12] Speaker B: Mais à gauche toute, on va juice ça dans les veines, toi le modèle, let's go. Taïga, ça a fermé? On va en ouvrir un autre avec un autre nom!
[01:21:22] Speaker D: Mais ça, c'est une idée.
[01:21:23] Speaker B: Lyon, ça a-tu fermé?
[01:21:24] Speaker A: Oui!
[01:21:24] Speaker B: On va en ouvrir un autre avec un autre nom! Les autobus Lyon, connaissez-vous ça? Ça existe pas!
[01:21:30] Speaker A: Ou Tigre.
[01:21:30] Speaker B: Tigre, Tigresse. Ça, c'est le petit modèle, c'est Tigrou.
[01:21:34] Speaker D: Les panthères.
[01:21:35] Speaker B: Ça, c'est le gros modèle qu'on part en-dessus, c'est Tigre! Et vous avez le tic géant, mais là, il y a comme un enjeu de copyright.
[01:21:42] Speaker D: En tout cas, on revient.
[01:21:42] Speaker B: On a des avocats, nous autres, au gouvernement, là. Mec, ça me fait peur, ça. Envolez-vous les trains, moi, ils vont en avoir! Jusqu'à Stoneham! Pourquoi? Parce que c'est le tout à l'État. C'est... C'est-tu fait de chez nous, Dan? Parfait. Ça prend un train qui va à l'étape et qui revient, même s'il est vide. Il y a-tu quelqu'un de chez Alstom, là, pas Katia, qui l'a fait? Ben voilà!
[01:22:06] Speaker C: Le TGV?
[01:22:07] Speaker B: Ça a fait bib notre monde! Le TGV, oui, mais ça, c'est fédéral. Ça prend un tramway jusqu'à Stoneham.
[01:22:16] Speaker A: On est à un an de l'élection. Et jusqu'à date, ce gars-là s'en va pour laisser de la place au gars en culottes courtes, à Angus Young.
[01:22:30] Speaker D: Oui. Et il y a beaucoup de choses.
[01:22:31] Speaker A: D'Ailleurs, mais j'ai envie de vous... Would you rather?
[01:22:34] Speaker B: Oh, t'es cochon au matin. Vas-y, je suis prêt.
[01:22:37] Speaker A: La CAQ ou le PQ?
[01:22:38] Speaker B: La CAQ.
[01:22:40] Speaker D: Moi aussi.
[01:22:41] Speaker B: Oui. Mais c'est « would you rather ».
[01:22:43] Speaker A: Ah oui, c'est « would you rather ».
[01:22:43] Speaker B: Écrivez-moi pas me lancer des bêtises. « Would you rather », les règles sont les suivantes.
[01:22:46] Speaker D: « The devil you know ».
[01:22:47] Speaker B: Il n'y a pas d'esquive. C'est ça, il n'y a pas aucune esquive possible.
[01:22:50] Speaker D: On sait à quoi ça tarde au moins avec la CAQ. PQ, moi j'étrosse pas zéro.
[01:22:54] Speaker B: La CAQ, j'aime beaucoup ce qu'ils veulent faire avec les syndicats. Moi je pense qu'ils vont foirer là, ça commence tranquillement. Je pense que le frisé va s'écraser. Par contre, On va convenir ensemble que juste le fait de parler de Formule Rennes et juste le fait de parler de transparence syndicale... Ça fait du bien. Oui. Et ça fait capoter MAGA.
[01:23:14] Speaker D: Je viens dans quelques instants pour les syndicats. Avant, il a parlé des islamistes radicaux.
[01:23:20] Speaker C: Un autre phénomène qui est en montée.
[01:23:22] Speaker D: Au Québec, c'est celui des groupes politico-religieux.
[01:23:26] Speaker C: Qui s'attaquent à certaines de nos valeurs communes, comme la laïcité. Soyons honnêtes, ce sont surtout les islamistes radicaux qui s'attaquent à ces valeurs avec le plus d'intensité.
[01:23:41] Speaker D: Encore là, je vais être bien clair.
[01:23:43] Speaker C: Je ne vise pas les Québécois de confession musulmane, de pays musulmans. Je parle des islamistes radicaux, un groupe de personnes qui tentent par tous les moyens d'imposer leur valeur.
[01:24:05] Speaker D: C'est nuancé, justement, là.
[01:24:07] Speaker B: Parce qu'il y a beaucoup de musulmans qui sont poignés, justement, dans cette camisole de force-là. Ils ne peuvent pas dénoncer le Hamas, peuvent pas dénoncer les frères musulmans, peuvent pas dénoncer les prières de rue, peuvent pas dénoncer le prosélytisme dans les écoles. Parce que s'ils le font, évidemment, c'est une communauté qui est d'ici serrée, mais c'est surtout le fait qu'il y a énormément d'intimidation de cette part de cette gang-là qui est de moins en moins minoritaire, mais qui est minoritaire, c'est encore le temps d'intervenir. Il y a eu le rapport sur les islamistes dans les écoles, entre autres, des écoles de Montréal. Autre chose, le voile chez les enfants, ça, c'est PSPP qui est arrivé avec ça. Moi, ça fait des années que je le dis ici.
Vous voulez combattre l'islam radical, mais vous donnez des autorisations à des écoles publiques d'imposer le voile à des fillettes avec. Dans le matériel acheté avant l'école, t'as le voile. Il faut que t'achètes un voile à ta fille. Pas le p'tit gars. Le petit gars, bon, les cahiers de mathématiques, puis le ci, puis le ça, puis la petite fille aussi. Mais la petite fille, dans le matériel à acheter, à procurer, mais t'as le voile. Mais ça, il est drôlement temps qu'on intervienne. Je sais pas jusqu'à quel point on est capables d'intervenir, à quel niveau, parce que là, on commence à mettre l'âge des écoles religieuses, le financement des écoles religieuses, bravo! Quelle que soit la religion en passant, bravo. Donner des passe-droits fiscaux aux religions aussi, bravo. Si on va jusque-là, j'en doute toutefois, parce qu'il y a des codes de jurisprudence qui font en sorte que les religions ont des droits particuliers.
[01:25:52] Speaker D: PSPP, ça va un peu plus loin, par exemple.
[01:25:54] Speaker B: Des oeuvres de bienfaisance, etc. Oui, PSPP va bien, mais... Parce que tout se.
[01:25:56] Speaker D: Parle des écoles qui obligent. Lui, il sera... Je sais que c'est freak, mais il y a des parents qui voient leur petite fille.
[01:26:04] Speaker B: Je viens de le dire, ça fait des années que je dénonce ça aussi.
[01:26:07] Speaker C: Dans ma vraie life.
[01:26:07] Speaker D: Non, non, mais moi je parle pas d'école. Toi tu parles d'école qui l'oublie.
[01:26:09] Speaker B: Mais les petites filles vont à l'école. Les petites filles vont à l'école, elles sont voilées.
[01:26:12] Speaker D: Mais moi je parle d'écoles qui sont pas nécessairement coraniques comme ça, ou peu importe. Des écoles publiques.
[01:26:18] Speaker B: Des petites filles sont voilées dans le public normal.
[01:26:20] Speaker D: C'est ça. Il y a des petites filles pas voilées, puis il va y avoir des petites filles voilées. Absolument. Je sais que c'est freak de voiler une petite fille, mais la question est toujours, Le droit du parent à élever son enfant comme lui il veut, il commence puis arrête où? C'est toujours ça la question?
[01:26:38] Speaker A: C'est exactement ça. Là, tout le monde veut se mêler de ce qui...
[01:26:42] Speaker B: Mais par contre, l'argument légal...
[01:26:45] Speaker D: Mais l'école qui l'oblige, ça t'empêche ça, je suis d'accord.
[01:26:47] Speaker B: Mais l'argument légal, toutefois, child abuse, c'est de l'abus.
[01:26:54] Speaker D: Ben si c'est ça, mettez ADPG là-dedans.
[01:26:58] Speaker B: Ou est allant devant un tribunal pour débattre de ça. Moi, j'estime que c'est de l'abus d'enfant, de voiler de force une mineure. Allons débattre. Les islamistes auront leurs avocats, puis nous, les gens de la société civile et le gouvernement du Québec auront leurs avocats et débattons-en. Mais moi, je pense que... C'est le temps de parler des vraies choses. Et hier, Legault... Autant on peut le détester, Legault, puis je suis pas en train de dire que Legault, c'est le champion du monde, puis regarde... Faut être mesuré quand même d'un dédain. Ah oui, j'ai l'aïe, tout ce qu'il dit. Ça, vous faites comme aux États-Unis, là. Tout ce qu'a dit Trump, c'est mauvais. Même s'il est contre le cancer, vous allez virer en faveur du cancer. Faites pas ça, là. Parce que vous le dénoncez pour les États-Unis. Faites pas ça pour Legault. Legault, ce qu'il dit, lui, il est conseillé par...
Puis moi, je me souviens d'un podcast, d'ailleurs, qu'il avait fait avec... Je sais pas si c'était Géraldine ou... C'était-tu avec Lucien Bouchard, Géraldine? Il y a quelqu'un qui a fait un podcast, à un moment donné, avec Legault, et Legault a refusé de dire ce qu'il avait comme informations concernant les islamistes de Montréal. Il a dit, je refuse de vous révéler ce que je sais. Les amis, les livers, peut-être que vous vous en souvenez, mais c'est un podcast qui a été fait récemment, peut-être l'année passée ou cette année, et il y a eu de l'information du côté, entre autres, de la SQ puis de la police de Montréal. concernant les bons discours dans les mosquées et les discours parmi les plus radicaux et les plus malades que vous entendez dans les rues de Montréal. Il y a quelque chose qui se passe, OK? Il faut juste mettre notre pied à terre pendant que c'est encore temps. Maintenant, tout est dans le commun. Son discours, je l'aime, mais tout est dans le commun faire, tu sais, interdire les prières. Oui, mais c'est ça, là, ça fait... C'est avec Stéphane Bureau, merci, les auditeurs. Avec Bureau, il a dit, je veux pas vous dire ce que je sais. Ça, c'est inquiétant. Moi, je pense qu'ils savent des choses qu'on ne sait pas. Et s'ils nous disaient tout ce qu'ils savent, je pense qu'on capoterait là.
[01:28:58] Speaker D: Mais là, il y en a que juste en tant qu'islamistes qui n'ont pas aimé ça, puis ils ont comme essayé de faire des fausses équivalences. Je ne sais pas pourquoi c'est maillé, ce dossier-là. Mme Senneville, de la CSN.
[01:29:09] Speaker E: Puis j'aimerais rajouter un petit quelque chose parce que, oui, il a glissé un peu, je pense, sur les islamistes radicaux. Puis il a parlé du sud de la frontière. Mais les attaques du droit d'avortement aux États-Unis, ce n'est pas les islamistes. C'est les chrétiens fondamentalistes qui ont fait.
[01:29:24] Speaker F: Que le droit d'avortement n'existe plus ou n'existe pas aux États-Unis.
[01:29:28] Speaker E: Il faut peut-être se le rappeler.
[01:29:30] Speaker B: Ça, c'est dans l'émission de Gérald Hufillon.
[01:29:35] Speaker D: Puis après ça, il y a ses panélistes, puis Émilie Fosseux, l'ancienne de la CAQ, qui embarque là-dedans. Merci, Mme Iaccarini, d'avoir ramené un peu de bon sens.
[01:29:44] Speaker F: C'est l'intégrisme religieux en général qui menace le droit des femmes, peu importe les confessions. Et d'ailleurs, effectivement, la présidente du syndicat l'a bien rappelé, Mme Senneville l'a bien rappelé.
[01:29:56] Speaker E: Elle a décidé de nommer certaines choses, islamisme radical. Je pense pas que les fondamentalistes chrétiens, en ce moment, en tout cas, si on donne des exemples concrets de situations dans lesquelles les droits des femmes entrent en contradiction avec les droits de religion de certaines personnes, On n'a pas ça ici, là.
[01:30:16] Speaker B: Non, non, c'est ça. Faut recadrer la discussion, là. Regardez des images de la ville de Dearborn au Michigan. Regardez ça sur YouTube. C'est la réalité, là. Le maire est un islamiste. Le maire est un anti-juif. Le maire est un dangereux. Mais c'est surtout la ville. Oubliez ça. La ville de Dearborn n'existe plus. La ville de D-Bourne est une ville afghane, est une ville du Moyen-Orient, est une ville... une ville halal, une ville radicale, une ville avec... c'est juste dévoilé. C'est fou! C'est complètement fou. Tu veux pas ça avec Montréal. Et là, il y a des gens qui disent arrêtez de parler de Montréal. Non, non, c'est Montréal, le centre. C'est pas à Pointe-aux-Piques, le problème, c'est Montréal.
[01:30:56] Speaker A: Le gré est à Brossard.
[01:30:57] Speaker B: Brossard, Montréal. Moi, c'est le gré à Montréal.
[01:30:59] Speaker A: C'est ça. À Montréal, là, nous autres, on est à Québec.
[01:31:03] Speaker B: Quand on dit Montréal, les amis, c'est le 450, c'est le gré à Montréal.
[01:31:04] Speaker A: Ça va jusqu'à Saint-Hyacinthe, nous autres, Montréal.
[01:31:06] Speaker B: C'est ça. Arrêtez de dire, on traverse le pont, on n'est plus à Montréal. Longueuil, c'est Montréal.
[01:31:10] Speaker D: Ben oui.
[01:31:12] Speaker B: Donc, regardez, c'est plate. Je veux dire, tu sais qu'il y a discrédité Legault, puis tout ce qu'il dit, il faut le watcher. Évidemment! À votre soin! Mais je vous parle de la phrase. Moi, quand je lis la phrase que Legault dit, c'est une phrase qui est vraie. Maintenant... Dans son équipe, t'es un gars ridicule comme Eddie Van Roberge. Y'a du monde là-dedans qui sont pas fiables. Girard, c'est un pas fiable. Bernie, c'est au gré du vent. Mme Lebel, je l'haïs pas pantoute. Gigi est discrédité because le troisième lien. Y'a pas un line-up d'excellence pour accomplir la liste de Thomas Tam. Parce que t'as toute une liste, honnêtement. Mario Dumont l'a écrit ce matin, c'est quatre ans en un an.
C'est 4 ans de 1 an. Il veut rebâtir Rome, Paris, New York. Il veut repaver... Non, non, il suffit.
[01:32:02] Speaker A: La cathédrale, tout.
[01:32:04] Speaker B: La cathédrale, tout, c'est assez. C'est pas réaliste. On voit qu'ils sont en panique. Ils vont perdre le pouvoir.
[01:32:10] Speaker D: Les syndicats réagissent. Tu as parlé des cotisations. Ça, je ne jouerai pas nécessairement, mais entre autres, les tourneaux, l'ancien de la CSN. Trump sert à toutes les sauces.
[01:32:19] Speaker C: Juste rappeler qu'aux États-Unis, depuis 30 ans, c'est le genre de politique qu'on a mis de l'avant qui a fait en sorte qu'aujourd'hui, le mouvement syndical est devenu à peu près inexistant dans le secteur privé et très, très ferme dans le secteur public.
[01:32:32] Speaker H: Ça viendrait affaiblir le syndicalisme au Québec.
[01:32:35] Speaker C: Et après, on s'étonne que la société civile ne soit pas mobilisée aux États-Unis contre Donald Trump.
[01:32:39] Speaker D: Donc comprenez ici, là, si on enlève... si on demande aux syndicats d'être plus transparents puis de ne pas faire de la politique, bien, ça va amener un Trump. C'est un peu ça, le message.
[01:32:50] Speaker B: By the way, la société civile n'est pas mobilisée contre Trump, moi, je te le dis. Je ne sais pas si tu regardes les nouvelles, mais la plupart des quotidiens américains, des médias américains enlèvent Fox puis enlèvent Newsmax. C'est tout anti-Trump. Donc, je sais pas où est-ce qu'il s'en va. Je sais pas s'il suit l'actualité. Mais il y a beaucoup d'anti-Trump aux États-Unis. De lui en déplaise.
[01:33:10] Speaker A: En fait, il y a beaucoup d'anti-Trump, il y a beaucoup de pro-Trump aussi. Mais la majorité s'en sacre.
[01:33:19] Speaker B: La majorité veulent payer moins cher à l'épicerie. Ils trouvent qu'au public, c'est cher.
[01:33:24] Speaker D: Si vous voulez comprendre comment QS est déconnecté.
[01:33:26] Speaker C: Vous savez quoi?
[01:33:27] Speaker F: Nous sommes les seuls dans ce Parlement aujourd'hui à être ceux qui défendons les travailleurs et travailleuses. Quand on regarde ce que le gouvernement fait, la guerre qu'il mène au syndicat, quand on voit le Parti libéral qui est le parti des patrons, quand on voit le Parti québécois qui dit que ce que François Legault est en train de faire a de charcuter une vraie boucherie dans les services publics et dans.
[01:33:52] Speaker E: Les services de l'État.
[01:33:53] Speaker F: Oui, nous sommes les seuls à défendre les travailleurs et travailleuses, et c'est notre étoile polaire.
[01:33:58] Speaker B: C'est une boucherie! Le temps que ça soit pas une boucherie halal, là. Pour le reste, j'en sais trop rien.
[01:34:04] Speaker A: Jusqu'à date, tout ce qu'elle a accompli comme chef de Québec solidaire, Ruba Gazal, c'est de se faire dépasser par Éric Duhaime.
[01:34:11] Speaker B: Oui, bravo! Et de faire moins bien que GND.
[01:34:16] Speaker D: Restons dans la boucherie et parlons de Rocky avec Mme Risky.
[01:34:20] Speaker B: Et quand j'entends François Legault dire qu'il.
[01:34:22] Speaker E: Se compare à Rocky Balboa, je ne.
[01:34:25] Speaker B: Sais pas s'il le sait, mais la.
[01:34:26] Speaker E: Cinquième saison de Rocky s'appelait Rocky Goes Broke. Pourquoi?
[01:34:29] Speaker B: Parce que Rocky a décidé de confier à son oncle Paulie la gestion de son portefeuille. Et tant Rocky que son oncle Paulie.
[01:34:37] Speaker E: N'Ont pas lu un document et ont signé un chèque en blanc.
[01:34:41] Speaker B: Résultat, ils ont perdu des millions de dollars. Alors je ne sais pas si dans la saison 5 de François Rocky Balboa.
[01:34:48] Speaker E: Le gros, est-ce qu'il est Rocky ou.
[01:34:50] Speaker B: Est-Ce qu'il est oncle pour lui, mais dans tous les cas, je pense que le réalisateur a l'embarras du choix. Elle s'amuse. Elle était bonne hier pour vrai. Ça m'a fait mal par exemple, je me disais, maudit qu'elle serait bonne chef, pas mal meilleure que Pablo. Pablo, pas mal moins bon. Pas mal moins percutant, moins bon, moins de contenu.
[01:35:10] Speaker D: Faudrait l'indiquer un peu sur Rocky, là.
[01:35:12] Speaker B: Mais... Non, non, on va lui donner, là. On va... Regarde, il a une passe gratuite.
[01:35:16] Speaker D: C'est le beau frère, c'est pas son oncle. Mais le pire, c'est que c'est vrai, dans le cinquième film...
[01:35:20] Speaker B: Il se fait laver.
[01:35:21] Speaker D: Rocky fait faillite à cause de Pauly.
[01:35:23] Speaker B: Il se fait laver.
[01:35:24] Speaker D: C'est vraiment ça.
[01:35:25] Speaker A: Il en sort son vieux chapeau.
[01:35:27] Speaker D: Oui, oui, oui!
[01:35:27] Speaker B: Est-ce qu'il a la belle de tennis? Je me souviens pas de ce film-là.
[01:35:31] Speaker A: Il en sort son vieux chapeau, puis c'est là qu'il sort Tommy Gun.
[01:35:34] Speaker D: Tommy Gun. Il se bat dans la rue. Le cinquième, il faut l'oublier, là, mais... Justement. Ça donne même. Rapidement, faut que je te parle de Gilles Laulier.
[01:35:43] Speaker A: Donc le gérant, je m'excuse, le gérant de Tommy Gunn s'appelait quand même George Washington. C'est important de s'en souvenir.
[01:35:50] Speaker B: Oui, je me souviens pas de ça.
[01:35:52] Speaker D: Ah pis c'est Don King à fond là. C'est une copie de Don King avec les cheveux tout là.
[01:35:57] Speaker B: Les cheveux électrifiés.
[01:35:57] Speaker A: Avec 5, c'est pas un bon.
[01:36:00] Speaker D: Le 5 n'existe pas. Moi, je veux l'oublier. Rapidement, je te fais entendre. Gilles Laulier hier avec D.H. C'était deux révélations pas pires.
[01:36:09] Speaker C: Est-ce que vous revenez en force au Provincial?
[01:36:12] Speaker B: Parce que moi, il y a un dossier sur lequel je veux continuer à me battre, le lien auto-haussier. Parce que si vous voulez du pouvoir, c'est au Provincial. Oui, exactement, mais j'ai pas du tout effleuré cette affaire-là.
[01:36:22] Speaker C: Mais c'est pas un nom définitif que.
[01:36:25] Speaker B: C'Est terminé de la politique. Moi, c'est sûr qu'au niveau du Parti libéral, j'ai un peu moins d'espoir avec le chef actuel.
[01:36:33] Speaker C: Si vous revenez au provincial, ce ne.
[01:36:34] Speaker B: Sera pas avec la carte. Non, certainement pas.
[01:36:36] Speaker C: Il reste une option, c'est Éric Duhem.
[01:36:38] Speaker B: Il reste l'option Éric Duhem, vous avez raison. Savez-vous quoi?
[01:36:42] Speaker C: Vous vous présentez avec l'équipe Éric Duhem, vous rentrez à 70% des votes.
[01:36:47] Speaker B: Ben écoutez, on va y réfléchir. Pour le moment, j'en suis pas là. Pas dans Lévis, ça c'est faux.
[01:36:53] Speaker D: Hein? Ben non, pas en 70.
[01:36:55] Speaker B: Non.
[01:36:56] Speaker D: Mais je pense que s'il se présente à Lévis, il y a des chances de passer. C'est pas automatique.
[01:37:02] Speaker B: Oui, mais là, 70... Non, 70 ça n'y va pas.
[01:37:06] Speaker A: Bernie.
[01:37:06] Speaker B: 8% de Greenville.
[01:37:08] Speaker D: Il y a le PQ qui va aller en chercher. Peu importe qui se présente.
[01:37:10] Speaker B: Le Parti libéral veut pas une coupe de grenade. On sait quand même un peu. Non, c'était intéressant en maudit, ça.
[01:37:17] Speaker A: Surtout qu'il y a déjà des députés de Lévis, Gilles Laulier, pour le Parti libéral.
[01:37:20] Speaker D: C'est vrai.
[01:37:20] Speaker B: Colic! À voir si j'aurais posé la question à Éric hier, il m'aurait pas répondu, remarque. Mais Éric, est-ce que tu as été mangé dernièrement au restaurant avec Gilles et de quoi avez-vous parlé?
C'est sûr, là. Souvenons-nous, juste pour clore là-dessus, que l'aouillé a déjà vanté Éric Duhem, ce qui avait mis en rong la gang la CAQ. C'était un sacrilège de dire ça publiquement. Madame Mélanie Hubert est la présidente de la FE, la Fédération autonome de l'enseignement. Bonjour, comment ça va?
[01:37:52] Speaker E: Bonjour. Ça va bien. On a des petites bonnes nouvelles ce matin. Donc on s'accroche à ce qui avance.
[01:37:58] Speaker B: C'est quoi les bonnes nouvelles?
[01:37:59] Speaker E: Madame Lebel annonçait ce matin par Radio-Canada qu'on allait pouvoir lever les heures limites. Ça sera déjà un pas dans la bonne direction. On a une ministre de l'Éducation qui a l'air de vouloir réparer les pots cassés de l'ancien ministre Drainville. On va voir ce que ça donne. C'est sûr que tout n'est pas réglé. L'école est déjà commencée depuis un mois.
Minimalement, ça avance dans la bonne direction ce matin.
[01:38:24] Speaker B: OK. La loi sur les syndicats. Là, vous vous mettez ensemble avec la CSQ, la CSN, la FTQ pour combattre Jean Boulay. Qu'est-ce que vous reprochez exactement à la CAQ lorsqu'il est question de transparence syndicale?
[01:38:40] Speaker E: D'abord, on n'est pas contre la transparence syndicale, bien au contraire, je pense que nos membres méritent de savoir ce qu'on fait avec les cotisations qu'ils font, puis ça c'est important, puis on rend des comptes à nos membres. Là où on en a, c'est que le gouvernement, pendant qu'il nous pointe du doigt comme les grands responsables de beaucoup de mots, dans les services publics. On n'est pas en train de regarder le bilan de la CAQ en ce moment, puis c'est une fabuleuse diversification.
[01:39:03] Speaker B: C'est pas ça le sujet. Le sujet, c'est la loi. Qu'est-ce que vous reprochez à Jean Boulay et à sa loi qui n'est pas passée encore? En fait, c'est un projet de loi, même déjà, il n'est pas voté puis il est prêt à mettre de l'eau dans son vin, mais peu importe. Ce qu'on appelle la modernisation du régime syndical, qu'est-ce qui vous tessille là-dedans?
[01:39:21] Speaker E: D'abord, l'idée de dire qu'on ne veut pas que les syndicats puissent faire des recours devant les tribunaux. Ils nous citent, c'est souvent la FAE qui est citée pour les recours. Moi, depuis que je suis présidente, mais même avant ça, tous les recours qu'on a intentés devant les tribunaux contre le gouvernement, c'est toujours des recours qui ont visé les membres pendant la pandémie. On a essayé de mettre au jeu la qualité de l'air dans les écoles. On était devant le tribunal en cours supérieur à faire témoigner des experts, les échangeurs d'air, les détecteurs de CO2 dans les classes. C'est notamment par les pressions qu'on faisait en intervenant devant les tribunaux. On défendait notre monde quand on faisait ça et on contribuait. à qualité des services. Là, on nous pointe du doigt pour la laïcité, mais là aussi, on a des profs qu'on est en train de défendre parce qu'il y a des femmes en ce moment qui n'ont plus de possibilité d'avancement de carrière parce que...
[01:40:11] Speaker B: Alors qu'il y a un close grand-père dans la loi sur la laïcité qui permet à ces femmes-là de continuer de travailler?
[01:40:15] Speaker E: Bien, la clause grand-père, elle n'est pas complète parce que ces femmes-là ne peuvent pas devenir directrices d'école, ne peuvent pas devenir conseillères pédagogiques, ne peuvent pas déménager.
[01:40:23] Speaker B: Vous allez dépenser combien en Cour suprême pour les défendre, les madames qui veulent absolument être directeurs d'école, alors qu'on le disait en fin de semaine que c'était l'une des pires jobs au monde d'être directeur d'école, mais peu importe?
[01:40:35] Speaker E: Bien, c'est sûr que c'est un travail qui peut être difficile, qu'on peut se demander si on le ferait, mais peu importe. Les gens...
[01:40:40] Speaker B: Il y a combien de femmes voilées qui veulent être directrices d'école puis qui ne peuvent pas l'être, supposément, selon vous?
[01:40:45] Speaker E: On n'a pas de chiffres à ce niveau-là parce qu'on n'a pas fait de statistiques pour essayer de voir. D'ailleurs, on l'a reproché au gouvernement qui a essayé de faire ça.
[01:40:54] Speaker B: Mais vous vous battez en cause suprême pareil, même si vous savez pas qui vous défendez.
[01:40:58] Speaker E: Il y a des femmes qui sont venues témoigner dans nos audiences en cours supérieur. Il y a des femmes qui ont rempli des affilavits. Il y a des femmes qui se sont sanctifisées. Il y a du monde qui se font regarder de travers dans nos écoles.
[01:41:10] Speaker B: Même moi, je me fais regarder de travers. On n'est pas allé en cours suprême pour des gens qui se font regarder de travers. On n'a pas fini, Mme Baird.
[01:41:18] Speaker E: Écoutez, il y a une charte des droits et libertés au Québec. En ce moment, on déroge aux droits. Puis nous, ce qu'on questionne, je pense que peu importe la position qu'on peut penser, ce qu'on peut penser de la cause en tant que telle, je pense qu'on peut tous convenir que c'est un droit dans notre société de s'adresser aux tribunaux quand on se pose des questions sur la validité d'une loi. Puis c'est ce que la FA a fait. Et je pense que c'est important en démocratie qu'on puisse préserver ça. Puis les syndicats font partie des gens parce qu'ils ont les moyens, effectivement. C'est des groupes qui sont capables de questionner ces éléments-là. Puis c'est important que, dans notre société, si on veut protéger la démocratie, qu'on puisse continuer de le faire.
[01:41:56] Speaker B: Vous avez combien de potes, le budget? Côte suprême, il y a de combien? Étant donné que c'est quand même toute une aventure, aller en Côte suprême. Vous avez combien de budget?
[01:42:05] Speaker E: C'est sûr qu'on est en train de chiffrer pour cette année. Ça fait partie des choses. On est en train de le chiffrer. C'est nos instances qui vont avoir l'exclusivité de ça. Vous comprendrez, ce n'est pas ici qu'on va le faire. On ne s'en est jamais caché l'année dernière.
[01:42:16] Speaker B: Environ entre 0 et 5 millions?
[01:42:19] Speaker E: Je vous expliquais que l'année dernière, j'allais dire, on était à 1,2, 1,5 millions l'année dernière. C'est sûr que la cause a continué à suivre son chemin. Il y a énormément d'imprévus dans cette cause-là. Une quarantaine d'intervenants, ça amène énormément de débat juridique.
[01:42:36] Speaker B: 1,5 millions donnés à des avocats, des avocats maison ou des avocats de firme privée?
[01:42:45] Speaker E: On n'a pas d'avocat spécialisé en droits constitutionnels à la FAE, ça fait qu'il a bien fallu se tourner vers le ministère de l'Intérieur.
[01:42:51] Speaker B: Étant donné que vous êtes en faveur de la transparence syndicale, on parle de quel cabinet d'avocats?
[01:42:56] Speaker E: Je pense que ce n'est pas un secret pour personne. On avait commencé avec un cabinet qui s'appelait Gatugeau.
Et la firme nous avait envoyé un avocat qui a quitté le navire en cours de route. Et la firme Gatuzo nous avait envoyé l'avocat Frédéric Bérard, puis c'est lui qui suit la cause depuis ce temps-là. Il n'y a aucun secret là-dedans. C'est M. Bérard qui a plaidé en Cour supérieure, qui a plaidé en Cour d'appel et qui plaidera en Cour suprême aussi. Ce n'est pas un secret, on ne s'est jamais caché de ça.
[01:43:25] Speaker B: Donc, vous respectez le membership et vous allez de l'avant contre la laïcité. Avez-vous le score du vote de vos membres? Vous contestez la loi sur la laïcité.
[01:43:36] Speaker E: On conteste l'aspect discriminatoire de la loi et ça c'est important parce que nos membres sont en faveur qu'on donne des services à visage découvert, sont en faveur qu'on respecte les programmes d'études et qu'il n'y ait pas d'exception au nom des motifs religieux. Nos membres sont contre les locaux de prière dans les écoles et tout ça, c'est clair et on ne conteste pas ça dans la loi. Ça, je veux que ça soit clair parce qu'on nous pointe beaucoup sur la place publique, mais ce n'est pas de ça qu'on parle. On parle de l'aspect discrimination en emploi pour la partie de nos membres qui sont visés. Pour le reste, on ne s'est pas prononcés sur plein d'aspects de la loi, puis il y en a d'autres avec lesquels on est d'accord.
[01:44:13] Speaker B: Discrimination parce que quelqu'un qui continue de faire son travail et qui est voilé et qui garde sa job ne peut pas devenir supposément directeur ou directrice d'école.
[01:44:25] Speaker E: Cette personne-là n'a pas les mêmes possibilités d'avancement de carrière que les autres pour un motif qui est protégé par nos chartes.
[01:44:33] Speaker B: C'est un bon débat, c'est un bon débat de droit et je le nie pas. Mais ce que je trouve particulier, par contre, c'est que vous n'avez pas fait soumettre ça au vote de vos membres.
[01:44:43] Speaker E: Depuis 2013, on a une position de congrès qui n'a pas été revue par aucun congrès depuis, qui dit nous allons nous battre et nous allons défendre les droits acquis des membres et c'est ce qu'on fait depuis 2013. Et on a rediscuté de ce dossier-là. au fur et à mesure, en 2018-19, à l'époque, le président de l'époque nous présentait le dossier, nous a parlé des recours possibles, les prises qu'on pourrait avoir, cause supérieure, cour d'appel, on a fait les suivis tout le temps. Et jusqu'en janvier cette année, quand la cause suprême nous a dit on va vous entendre, on est revenu devant notre instance et on a demandé à notre conseil fédératif, où il y a des représentants de l'ensemble des syndicats affiliés. On leur a demandé votre avis là-dessus. Est-ce que le comité exécutif devrait continuer ou pas les recours?
[01:45:26] Speaker B: Ils ont dit oui.
[01:45:27] Speaker E: Puis ils nous ont dit, on continue.
[01:45:28] Speaker B: OK. Moi, j'ai des membres de la FAE qui m'écrivent, qui disent, je suis membre de la FAE ici, nommé... bon, son prénom, mais en tout cas, peu importe, c'est vraiment important.
[01:45:37] Speaker E: Non, ce n'est pas important.
[01:45:38] Speaker B: Je suis membre et totalement contre le gaspillage de fonds pour aller en cours contre la loi 21. Et c'est aussi impossible de savoir à quoi servent les cotisations. J'ai déjà voulu savoir et c'est très difficile d'obtenir une réponse. Avez-vous des réponses pour cette personne-là?
[01:45:52] Speaker E: Bien, c'est sûr qu'il y a des gens, de nos membres, on ne fera pas semblant, il y a de nos membres qui sont en désaccord avec le RECO et son lycée. Je vais vous donner un autre exemple. En fin de semaine, au congrès de la CAQ, ils ont voté contre les signes religieux dans les espaces publics et contre le visage couvert dans les espaces publics. 152 contre 150. La motion est passée. Mais on s'entend-tu qu'il y a 50 personnes, la moitié du congrès, qui pourra dire « je n'étais pas d'accord ».
Mais la motion est passée parce que notre démocratie, la démocratie syndicale et la démocratie au Parlement, elle n'est pas parfaite. Elle est ce qu'elle est. Et des fois, oui, les majorités font basculer les votes d'un bord et de l'autre, puis ça ne fait pas l'affaire de l'autre moitié. Puis je vous dirais, si on n'était pas allés, pour avoir été moi-même à la fédération en 2018-2019, J'avais des membres qui nous... qui pressaient la FAE d'aller plus vite, puis qui disaient, vous êtes mieux de nous défendre, parce que si on n'est pas défendu, à quoi ça sert un syndicat? Puis on nous pressait d'accélérer le pas, parce que c'était important de défendre nos membres.
Dans ce dossier-là particulièrement, effectivement, il y a des membres qui ne sont pas d'accord, puis il y en a beaucoup parce que c'est un sujet qui divise.
[01:47:00] Speaker B: Ben, c'est le sujet de l'hitartine, là. C'est plus d'1,5 million. Je reprends, grosso modo, ma question du début. Avez-vous une barrure à un moment donné? Il y a-tu une facture que vous allez recevoir, vous allez dire « Wow, OK, on débarque ».
[01:47:12] Speaker E: Bien, vous savez, des recours comme celui-là, ça pourrait être aussi très farfelu pour une organisation d'abandonner au moment où on est, quand il y a eu plein de monde mobilisé.
[01:47:21] Speaker B: Donc on a la main dans le moulin à viande, mais on continue, c'est « there's no going back ».
[01:47:24] Speaker E: Savez-vous que sortirait d'un recours, on pourrait aussi s'exposer à payer les frais de tous les groupes qui sont dans le recours actuellement, et le tribunal pourrait nous condamner à ça, et ça pourrait être tout aussi dispendieux.
[01:47:36] Speaker B: Donc vous convenez que vous en êtes dans un joli piège?
[01:47:38] Speaker E: C'est sûr qu'il y a des démarches juridiques, c'est toujours des procédures, on sait quand ça commence, on sait moins quand ça finit.
[01:47:43] Speaker B: Avec l'argent des membres, rappelons-le, pareil, là, pour vrai.
[01:47:46] Speaker E: Mais des membres qu'on défend, je le rappelle, c'est des membres qu'on défend. Puis on peut être d'accord ou pas, mais il reste qu'à la base de tout ça...
[01:47:52] Speaker B: Mais qu'on défend ! La madame Toussignais à Saguenay... En quoi vous la défendez, à Matin, avec ça, ce recours-là? Ça, j'ai de la misère à comprendre, là.
[01:48:02] Speaker E: Mais un syndicat, ça défend pas juste le groupe au nom du groupe. Quand on fait des griefs, là, pour M. untel, qui a été suspendu pour avoir fait telle ou telle faute, puis pour Mme untel, qui a pas eu droit à tel ou tel congé, On met des sommes du syndicat pour défendre individuellement des membres. Puis il y a certains membres là-dedans qui coûtent plusieurs dizaines de milliers de dollars, même des centaines de milliers de dollars, des fois, des syndicats. Et on ne va pas, en assemblée générale, dire voilà le dossier de M. Huttel. Est-ce que vous êtes d'accord qu'on le défend ou pas? C'est notre travail de représenter tout le monde.
[01:48:36] Speaker B: Au moins, dans ce cas-là, rassurez-nous, ce matin, vous partagez un facture avec des associations musulmanes.
[01:48:45] Speaker E: Bien, en fait, il n'y a aucun groupe musulman qui est dans notre affaire.
[01:48:49] Speaker B: C'est vous qui avez parlé de femmes voilées.
[01:48:51] Speaker E: Oui, parce qu'on va s'entendre, la loi vise principalement des femmes voilées.
[01:48:56] Speaker B: OK, donc il y a sûrement des associations. pour protéger ces femmes-là des associations musulmanes qui co-financent avec vous, hein? C'est pas juste les membres qui financent ça, là, hein?
[01:49:08] Speaker E: Moi, je pense que nos membres auraient pas été d'accord à ce qu'on commence à faire de la politique avec des groupes musulmans. Nous, on défend nos membres puis on est sur nos propres barres.
[01:49:15] Speaker B: Mais vous les défendez, vous défendez ces femmes-là avec l'argent des membres.
[01:49:20] Speaker E: Parce que ce sont des membres syndiqués qui cotisent au même titre que tout le monde. Puis c'est comme ça qu'on défend notre monde dans tous les cas. Puis souvent, c'est des cas d'espèce.
[01:49:28] Speaker B: Puis c'est pour... Madame Hubert, notre monde, vous n'êtes même pas capable de m'échiffrer un matin. 200, sont-tu 2, 7, 8, 10?
[01:49:35] Speaker E: Ah, c'est sûr qu'ils ne sont pas 2, 7 ou 8 ou 10. On a tout le territoire de l'île de Montréal sur notre territoire. C'est les écoles, de la CSDM, entre autres, où il y en a beaucoup des femmes voilées. On se promène... Moi, je me suis promenée dans des colloques, puis il y en a plusieurs qu'on croise. On n'est pas dans une idée, on en défend 2, 3, 4. Et il y a aussi l'idée, puis ça, c'est important... On fait souvent de la jurisprudence avec nos cas. Des fois, cette cause-là ouvre la porte à d'autres droits. Et là, la question qu'on se pose...
Puis pour être franche, là, en ce moment, quand on a commencé, on était vraiment sur le droit de ces femmes-là. Puis là, on regarde comment plein de droits protégés par les chartes, dont le droit d'association des syndicats, qui est protégé par la charte aussi, on suspend ces droits-là en ce moment dans certaines lois. Puis on l'a vu en Ontario, entre autres, on a voulu forcer le retour au travail en utilisant la clause dérogatoire, en disant on va aller rentrer au travail de force même si le droit est protégé. Donc, nous, on se dit, ce qu'on est en train de faire là va aussi, à terme, peut-être protéger les droits de l'ensemble des syndiqués pour protéger le droit d'association. Puis, est-ce qu'on va aussi protéger d'autres cas de discrimination pour d'autres motifs? Nous, on pense que les décisions du tribunal pourraient aussi améliorer le sort des autres, parce que quand on fait de la jurisprudence, c'est ça qui arrive. Donc, on verra. Et dans le pire des cas, la Cour ne nous donnera pas raison. Puis on pourra dire aux gens, on est allé jusqu'au bout, on en a le carnet, puis l'histoire est réglée. Puis après ça, on pourra dire, bien, la loi s'applique, puis il n'y a plus rien à faire.
[01:51:15] Speaker C: Puis on va permettre...
[01:51:20] Speaker B: Avec Jean Boulay, puis je pense que l'ensemble des Québécois, on est d'accord avec ça, à l'effet qu'un syndicat, après ma part, est là pour défendre ses membres, les relations de travail, négocier des conventions collectives et faire des congrès à gauche puis à droite partout dans le monde, puis parler de féminisme puis d'écologisme. C'est pas ça, à la base, un syndicat, non? C'est pas ça, là. Un syndicat est là pour défendre ses membres dans un endroit donné, contre le patron, OK? Dans des conditions qui peuvent être abusives, C'est là que le syndicat, ça compte. Et j'adhère à ça, là. Un syndicat peut être important. Je suis pas anti-syndicaliste. Je dis juste qu'au final, on s'est un peu éparpillés au Québec, pareil, hein. Les congrès à Dubaï, puis je sais que c'est pas vous, là. Mais je n'ai vu des histoires syndicales. En tout cas, le syndicat des postes, Postes Canada, dans le temps qu'il y a là des congrès, dans le temps que comment ça fait frette ici, il se trouve toujours une belle place pour défendre les membres à quelque part. C'est toujours défendre les membres aussi, là, ça a le dos large.
[01:52:18] Speaker E: Moi, je peux vous certifier qu'on n'est jamais allés à l'extérieur du Québec pour...
[01:52:21] Speaker B: Non, mais en général, c'est parce que vous êtes tous ensemble sur le même stage, c'est sûr que je dis.
[01:52:25] Speaker E: Oui, mais ce que je peux vous dire, c'est que les syndicats, c'est sûr que le coeur de nos interventions sont autour des relations du travail, la négociation des conditions, mais tout ça, c'est pas désincarné, puis c'est particulièrement vrai en éducation. Les profs, ils vivent dans une société, la société, elle est dans notre classe. Ça fait que quand on travaille à des causes qui ont l'air loin de la classe, mais elles sont souvent proches parce que, par exemple, le salaire minimum, on peut dire que ça ne nous concerne pas, on n'est pas payé au salaire minimum. Mais les familles dans nos classes qui ont de la misère à se loger, c'est des enfants qui sont en grande difficulté, c'est des parents qui sont dans les banques alimentaires, c'est des jeunes qui ne mangent pas de la nourriture.
[01:53:00] Speaker B: Donc vous allez dans des congrès, On.
[01:53:02] Speaker E: Va pas nécessairement dans des congrès, mais c'est normal que les syndicats s'allient à d'autres causes de type social. Et c'est ça qui a fait beaucoup avancer la société depuis les années 50. On a travaillé à des luttes sociales qui servent aujourd'hui à tout le Québec.
[01:53:17] Speaker B: Je sais, c'est la mentalité, l'international-socialisme. Les grands progressistes de la Terre ont sumi.
[01:53:24] Speaker E: Je vous donne un exemple très concret pour la FAE. On avait un souci pour les tout-petits, nos enfants de 4 ans qui arrivaient à la maternelle, qui n'avaient jamais tenu de crayon dans leurs mains, qui n'avaient jamais découpé, qui n'avaient pas été stimulés à la lecture. On s'est dit qu'il faudrait faire des maternelles 4 ans dans les milieux défavorisés pour faire de l'intervention précoce, pour aider ces enfants-là, pour que l'égalité des chances, ça fasse la différence. On a revendiqué ça dans une convention collective. Aujourd'hui, les maternelles 4 ans, la CAQ les a étendues à la grandeur du Québec. Puis dans l'objectif qu'on avait au départ... Mais ça a été une lutte syndicale pour des enfants défavorisés, puis aujourd'hui, on remet plus ça en question à travers le Québec. C'est ça aussi le rôle d'un syndicat.
[01:54:05] Speaker B: Oui, mais je dis pas que vous avez rien fait de bon. Vous vous êtes occupés de votre monde ici, localement. Moi, ce que je déplace, c'est que vous faites des leçons partout dans le monde et vous épivardez à parler... Lorsque je regarde, par exemple, puis je sais que c'est pas de votre syndicat, mais la CSN, c'est All Over The Place, l'écologie, puis le changement climatique, puis l'urgence climatique. Mais voyons donc!
Il y a du monde dans les shops qui travaillent qui veulent être défendus. Vous êtes partout et vous ne vous mêlez pas de vos affaires. C'est juste ça que j'ai le goût de vous dire ce matin. Pas vous personnellement, mais les syndicats. C'est ça que je veux recadrer, il me semble. C'est une loi qui n'est pas tellement potentiellement viable et pertinente, la loi de Boulay, à ce niveau-là.
On s'était piverdés au fil du temps. Êtes-vous capables de nous donner ça un peu un matin, là?
[01:54:50] Speaker E: Moi, ce que je vous dis, c'est que si nos membres trouvent qu'on va trop loin ou s'ils sont pas d'accord.
[01:54:55] Speaker B: Avec certaines choses... Bien, vous les faites pour voter. Vous décidez. Puis là, c'est les instances. Puis c'est les instances qui mergent.
[01:55:02] Speaker E: Les gens viennent dans nos... Justement, il y a des assemblées, il y a des délégués, il y a des assemblées générales. On délègue des gens au congrès et tout ça. C'est comme ça dans toutes les organisations syndicales. Les membres ont de l'espoir...
[01:55:14] Speaker B: C'est ça, le problème.
[01:55:15] Speaker E: Puis honnêtement, on est aussi des gens qui sont sur des postes élus. Ça fait que si ça ne fait pas l'affaire...
[01:55:21] Speaker B: Ils vont les faire dégommer. Comme nos députés, on les dégomme.
[01:55:24] Speaker E: Les gens ont ce pouvoir-là. Ce qu'on disait en fait à M. Boulay, c'est que ce n'est peut-être pas à travers le Québec, avec une loi mur à mur, qu'on a besoin de faire ça. Je pense que les syndicats sont capables de se regarder de nombril aussi. Au lendemain de l'année gauche chez nous, on s'est regardé le nombril, on se demande comment on peut faire mieux. On est en réflexion sur certains éléments de la dernière ronde pour se demander...
[01:55:44] Speaker B: Avez-vous des regrets par rapport à la dernière convention, by the way? Vos moyens de pression et tout. Avez-vous des regrets par rapport à tout ça?
[01:55:51] Speaker E: Bien, je peux pas avoir de regrets d'avoir suivi les mandats qui ont été votés par les membres parce que...
[01:55:55] Speaker B: Mais faites-vous une introspection de temps en temps?
[01:55:58] Speaker E: Assurément, on s'est posé des questions, mais je peux vous dire...
[01:56:01] Speaker B: C'est quoi les questions? C'est quoi les questions?
[01:56:03] Speaker E: On s'est demandé si on aurait pu faire... Par exemple, on est sortis en grève, on s'est sûrs qu'on s'en demande, est-ce que c'était le bon moyen...
[01:56:11] Speaker B: C'était Cowboy anti-péché, là.
[01:56:12] Speaker E: Pardon?
[01:56:13] Speaker B: C'était Cowboy...
[01:56:15] Speaker E: C'est sûr, mais c'était une décision de nos membres, donc on les suit, nos instances. Après ça, on se demande comment on aurait pu mieux communiquer avec eux. Est-ce qu'on aurait pu, quand les votes sont passés dans l'entente de principe, les assemblées, il y a eu des difficultés autour de ça. Nos syndicats affiliés se posent des questions là-dessus. On se demande comment on va pouvoir faire mieux la prochaine fois. Mais une chose est certaine, on ne regrette pas de s'être battu pour l'école publique parce qu'encore cette année, la rentrée a été pas difficile.
[01:56:40] Speaker B: Ça va bien, l'école publique. Ça va bien.
[01:56:42] Speaker E: Bien, c'est ça. Ça prend quand même du monde qui prennent la rue et qui prennent la défense pour des services publics de qualité, notamment en éducation. Puis les profs de la FAE ont été au rendez-vous en 2023 pour ça, même si tout n'a pas été parfait, puis même si on a encore plein de questions à se poser.
[01:56:55] Speaker B: Mme Hubert, savez-vous quoi? Vous avez tout mon respect ce matin parce que je n'ai pas dû me jaser. On s'est pas crié de bêtises et tout ça, mais on a jasé, mais... Merci beaucoup d'être venu, c'est le fun. On n'est pas d'accord, on est capable de se parler intelligemment, avec respect. Merci, puis vous serez toujours la bienvenue. Passez le message, entre autres, à Magalie. Entre autres.
[01:57:15] Speaker C: Ah!
[01:57:15] Speaker E: Je vais vous laisser faire vos messages.
[01:57:16] Speaker B: Vous-Même, si vous me permettez. Mme Hubert, salutations avec respect, merci. Passez une belle journée.
[01:57:21] Speaker E: C'est un plaisir. Bonne journée, M. Morgan.
[01:57:23] Speaker B: Salut, bye-bye. Good! C'est le fun!
[01:57:26] Speaker C: Oui.
[01:57:27] Speaker D: La démocratie est un peu malade au Québec, c'est vrai, pour l'Assemblée nationale.
[01:57:31] Speaker B: Oui!
[01:57:31] Speaker D: Mais dans les syndicats aussi. Tu sais, quand elle dit que le vote par rapport à la loi 21 puis leur contestation, 152 contre 150, quelque chose comme ça...
[01:57:40] Speaker B: C'est réchiré.
[01:57:41] Speaker D: Il y a 65 000 membres, l'FA. C'est des délégués qui sont supposés représenter leurs membres. Je sais, puis ça marche dans même tous les syndicats.
[01:57:49] Speaker B: Je le sais.
[01:57:50] Speaker D: Mais ça, je pense que c'est un problème.
[01:57:52] Speaker B: Je sais que c'est un problème. Bien oui, je le sais, mais elle n'est pas d'accord avec moi.
[01:57:55] Speaker A: Il reste que c'est un boulard à fond de l'État.
[01:57:57] Speaker B: Comment? C'est un boulet à l'âge... mal compris.
[01:58:00] Speaker A: À la refonte de l'État.
[01:58:01] Speaker B: À la refonte de l'État. Absolument.
[01:58:03] Speaker D: Oui.
[01:58:04] Speaker B: On verra jamais ça, la refonte de l'État, Dan. Ça, c'est... Oui, mais c'est correct.
[01:58:08] Speaker A: Je suis allé me tirer d'un viaduc tout de suite.
[01:58:10] Speaker B: Moi aussi, j'ai déjà eu le goût, mais bad idea. Non, mais on se parle franchement, à la gang...
On se parle franchement à la gang, ça n'arrivera pas. On aime ça, on veut ça, on y croit. Ce que raconte Dieu aime... On veut y croire, c'est plus ça le terme que je devrais utiliser. On veut y croire. Moi, je pense que c'est un idéal. Mais je pense qu'on va être contraints d'abandonner certains services par l'extérieur. Des cotes, ce genre de truc-là, des contraintes des marchés extérieurs. Mais à l'intérieur, Dan, on en convient tous que... à l'intérieur, le modèle comme tel. Regarde, c'est le PQ qui mène.
[01:58:49] Speaker D: Mais plus j'écoute la caisse...
[01:58:50] Speaker A: Le PQ, c'est le meilleur ami des syndicats.
[01:58:52] Speaker B: Ben oui.
[01:58:52] Speaker A: J'en reviens pas que le PQ mène dans les sondages. Je deviens... Je sais pas quoi dire. Je sais pas quoi dire.
[01:59:00] Speaker B: Un PQ pas d'équipe en passant. Parce qu'on connaît aucun candidat. Les candidats sont pas nommés. Ah non, je le sais pas! Je sais pas qui qu'il y a dans mon comté, ça c'est capoté. Je sais pas qui qu'il y a, mais je vote PQ.
[01:59:10] Speaker A: Dans les 5-6 qu'ils ont actuellement au Parlement, il y a personne qui sait compter.
[01:59:13] Speaker D: C'est ça ce qu'on reproche souvent aux autres parties. Ça va être qui le ministre des Finances du PQ?
[01:59:19] Speaker B: Ça je le sais pas.
[01:59:19] Speaker D: On le sait pas.
[01:59:20] Speaker B: On donnera pas ça à Arcelot?
[01:59:21] Speaker D: Non. Ça arrivera pas.
[01:59:23] Speaker B: C'est considérant...
[01:59:24] Speaker D: Il est quand même de centre droit.
[01:59:26] Speaker B: Arrêtez ça, s'il vous plaît. OK, on va à la pause. On va-tu à la pause?
[01:59:30] Speaker D: Oui, faudrait.
[01:59:31] Speaker B: Donnant la temps, moi, que tu veuilles intervenir avec un mot d'esprit.
[01:59:35] Speaker A: Ça fait trois minutes qu'on devrait être à pause.
[01:59:36] Speaker B: Bon, bien là, on est à pause vraiment. On vit notre moment pause et on revient.
[01:59:40] Speaker C: Morée.
[01:59:42] Speaker F: Petite pause. De retour dans un instant. Radio X.
[01:59:48] Speaker C: Élève! He's back. Ray the Sports.
C'est.
[02:00:17] Speaker B: Ça que je suis en train de dire. C'est des discussions civilisées. C'est ça qu'on veut avec Marchand, puis avec Jackie, puis avec Magalie, puis...
Ça finit pas en criant avec des coups dans les murs. C'est ça. Donc, bravo Mme Hubert, c'est le fun. C'est un couple impossible. On fait un couple impossible. C'est une obstination qui peut durer des semaines. Savoir échanger, tenter de comprendre l'autre. Mais regardez, c'est des modèles qui sont très, très rigides. et qui sont un peu, oui, des sabots de Danverble au Québec. C'est un peu ce que tu dis, Dan. Ça va nous empêcher d'avancer, de réformer. On voit la situation au Québec. C'est à vous de juger. Calinette, mesdames, messieurs, c'est tout un dégât que vous avez sur les bras, absolument. Dans la maison, dans le condo, rien à faire ou presque. Oui, vous avez tenté de réparer le tout, mais je pense que ça déborde. Ayez le réflexe de Calinette, bien entendu. Calinette 24-7 partout au Québec. On s'arrange également avec les réclamations, la maudite paperasse. Donne-nous le nom de ton assureur, quelle que soit la compagnie, on va appeler. On va régler ça, ça va se passer en douceur. C'est ça, le confort. de regarder quelqu'un qui connaît ça avec le bon équipement, oui, avec les déshumidificateurs, les pompes, tout ce que tu veux. Absolument. À 8h02, ce que j'ai à vous dire, c'est que c'est... C'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est.
[02:01:37] Speaker C: C'Est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est, Oh c'est j'entends, vous sonnez.
[02:01:56] Speaker E: Votre... Ah ça c'est mes horloges, j'en ai juste 14.
[02:01:59] Speaker A: Ils sonnent tous ensemble hein?
[02:02:00] Speaker E: Non non, une en arrière.
[02:02:01] Speaker C: Une en arrière au son bain d'onté?
[02:02:03] Speaker E: Non non, le coco moi il prend son bain.
[02:02:07] Speaker C: Ah il se trouve à prendre son bain?
[02:02:08] Speaker E: Je l'ai pas changé d'heure moi, j'ai laissé votre fille hier 11h.
[02:02:12] Speaker B: T'avais pas besoin de le changer d'heure, changez-le d'eau.
[02:02:15] Speaker A: Cet automne, Réal sera au Cégep de Lévis, à Saint-Georges-de-Beauce, à Montmagny et après les fêtes à la salle Albert-Rousseau. Tous les détails au realvélon.com André vient.
[02:02:25] Speaker C: De vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire.
[02:02:33] Speaker A: Oui, oui, devant notaire.
[02:02:35] Speaker C: Sans aucune complication.
[02:02:37] Speaker A: Et sans commission ni rénovation.
[02:02:39] Speaker B: Vite de même.
[02:02:40] Speaker A: Vite de même.
[02:02:41] Speaker C: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. Et vous allez vendre vous aussi vite de même. Lui qui va l'acheter ton bloc.
[02:02:51] Speaker F: Airfortin.com. Yes!
[02:02:54] Speaker B: Chapeau Ben, oui, c'est le live du mercredi 31 septembre. On est le 31 septembre. Donc, parole de Vincent, le représentant. Ça te fait rire?
Et peut-être que je vais faire le même live le 30 février également. Je vais le garder sur le side. On rigole, on se tire la pipe. Sachant très bien qu'on est le 1er octobre, gang! Octoberfest! Et où la bière? C'est un autre sujet. OK, on est le 31 septembre et c'est le temps d'allumer du côté de Chapo Ben avec des deals incroyables. Moi j'ai des deals ici de yogourt. Bon, des yogourts Riviera très bons, 2$. J'ai des yogourts également à la vanille et aux framboises également. Des pots de 650 grammes, 2,99$. Quantité limitée, dépêche-toi, Québec, Libye, Saint-Georges. Chapeau Ben, il y a pas juste des yogourts. Oui, il y a des machins à café. Il y a toutes sortes d'affaires. Il y a des électros également. Moi, j'en ai vu à Lévis. Il y a des ensembles de cuisine, des vêtements, des jouets pour les enfants. Il y a de tout, tout, tout pour vous rendre heureux chez Chapeau Ben.
[02:04:01] Speaker D: Circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[02:04:09] Speaker A: OK, 8870909 pour nous dire ce que vous voyez sur les routes. C'est un mercredi qui ne passera pas à l'histoire, je vous dirais. Le véhicule en panne, c'est toujours d'actualité, un véhicule en panne sur Henriette-Sud à la hauteur de Versailles-en-Or. Ça crée des ennuis sur Henriette direction Sud. C'est surtout dans Belle-Bellaire, à cette heure-ci, où c'est problématique à la hauteur de l'Anseignerette et de Neuchâtel également. Capital dans les deux directions, c'est compliqué. Compliqué également sur Laurentienne, dans le secteur des travaux. Robert Bourassa, entre Chauveau et le boulevard Le Bourneuf, c'est un stationnement, c'est complètement jamé. Même chose sur Capital dans les deux directions. Et pour les gens qui sont sur Charest, c'est à la hauteur de la sortie Chemin-du-Lac, où c'est barchoc à barchoc. Et ça reste ainsi jusqu'au centre-ville. Oh boy, du frein Montmorency. Si vous êtes capables de léviter du frein Montmorency ce matin, Ça pourrait être une bonne solution également parce que c'est très, très compliqué. Canadian Tire soutient Bon Départ Bon Départ, qui aide les familles à surmonter les obstacles financiers liés au sport et aux jeux. Donnez donc à bondepart.canadiantire.ca.
Salut, c'est Carbeau. C'est le moment de faire traiter ta voiture à l'Antiroi Crowd, une entreprise bien de chez nous. Et pour un temps limité, tu épargnes 10 $ sur ton traitement à l'Antiroi canadien numéro 1 au pays. Rendez-vous rapide. Trouve le centre le plus près au crown.com.
[02:05:28] Speaker F: Chez Club Piscine, on sait qu'une fois l'été terminé, c'est pas facile de continuer de s'entraîner. Je confirme. Alors, pour t'aider à donner ton 110 %, on te donne jusqu'à 30 % de rabais sur une grande sélection d'appareils d'entraînement pour la maison. Tapis roulant, cardio vélo, elliptique, rameur, à partir de seulement 549 $. Parce qu'il y a déjà mille excuses pour pas s'entraîner. Le prix devrait pas en être une. Chez Club Piscine Québec, 5 fois et l'évier.
[02:05:55] Speaker C: Ouh!
[02:05:56] Speaker F: Donnez-moi de l'eau, quelqu'un.
[02:05:58] Speaker D: Mercredi, c'est tartare au restaurant Le Galopin. Un choix savoureux de tartare pour seulement 21,95. Restaurant Le Galopin. Pour bien boire et bien manger dans une ambiance décontractée. Parlez-en à vos amis. Ça se passe au 3135 Chemin Saint-Louis.
[02:06:13] Speaker A: Ici Stéphane Slogard, propriétaire et fondateur de Slogard Jury Conseil. Depuis 20 ans, l'équipe Slogard a récupéré plus de 71 millions de dollars à plus de 3500 clients en indemnisation, CUNSST, SAAQ et assurance invalidité. Un accident de travail, c'est vite arrivé. Exigez les pros de l'indemnisation, l'équipe Slogar. Avec nous, vous serez bien informés, bien.
[02:06:35] Speaker B: Accompagnés et surtout bien représentés. Slogar.ca.
[02:06:40] Speaker A: Première rencontre sans frais.
[02:06:42] Speaker D: La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail.
[02:07:10] Speaker B: Le Massey Ferguson 1GC, c'est le tracteur compact qu'il vous faut. Robuste, hyper confortable, il fait tout. Chargé, creusé, déneigé à partir de 53 $ par semaine, zéro comptant et 10 ans de garantie. Venez l'essayer chez SA Service Agricole, saserviceagricole.ca.
[02:07:27] Speaker F: Ta situation a changé et tu veux vendre ton véhicule? Va sur VendTonChar.com et rapidement reçois une offre en ligne. On paie le meilleur prix du marché. Tous les détails sur VendTonChar.com.
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[02:08:01] Speaker C: Radio X à Québec. C'est Radio X.
[02:08:06] Speaker F: Radio X.
[02:08:09] Speaker C: C'est vous. Votre propre opinion. Moray. Live.
[02:08:15] Speaker F: Avec Dominique Moray.
[02:08:17] Speaker C: Pourquoi pas? Dan Gravel.
[02:08:18] Speaker F: Et Doom Dima.
[02:08:21] Speaker D: Radio X. Donald Charrette.
[02:08:25] Speaker C: Qu'est-ce qui se passe en ville? Avec Donald Charrette.
[02:08:34] Speaker B: Salut Antonale, comment ça va?
[02:08:35] Speaker I: Très bien, vous autres?
[02:08:36] Speaker B: Ça va brasser dans les chaumières. Je viens de voir ça à RDI, le sujet que j'ai abordé brièvement ce matin. En fait, c'est la Une du Globe, breche dans la gestion de l'offre. À suivre, on ne sait pas beaucoup de choses, mais déjà que ça fait jaser, donc là, il y a des petits panels qui sont intéressés à ça. Donc aujourd'hui, vous allez avoir une succession d'appareils chic de l'UPA qui vont venir pleurnicher sur toutes les tribunes. Stay tuned. Alors qu'on sait pas partout de quoi on parle. C'est-tu le fromage? C'est américain? C'est-tu... On dit que le lait américain aura une plus grande part sur les étagères. C'est ce que Carney est en train de négocier. C'est la une du globe? On n'en sait pas plus. Mais quoi de mieux que de pleurnicher dans le milieu syndical? Et là, on parle de l'UPA à suivre. On n'aura pas le choix de négocier avec Donald. Donald? On n'aura pas le choix?
[02:09:26] Speaker I: C'est évident que la gestion de l'offre est dans la mire des Américains depuis longtemps. C'est un modèle qui ne pourra pas survivre éternellement. Mais ceci dit, ça peut menacer la survie de beaucoup de petites fermes au Québec. C'est ça qui est l'enjeu.
[02:09:40] Speaker B: C'est ça. Mais attendons, c'est-tu partiel? On ne parle pas d'un ouragan à date, on parle d'une béreche.
[02:09:46] Speaker I: Mais c'est clair qu'on paye très cher ici les produits dérivés du lait. Les produits dérivés du lait, les fromages, c'est hors de prix. Mais ceci dit, c'est une balance entre maintenir un certain système de petites fermes et de payer cher quand tu vas faire de l'offre.
[02:10:05] Speaker B: Le respect des fermiers versus le respect des consommateurs.
[02:10:07] Speaker I: Exactement, c'est ça.
[02:10:08] Speaker B: OK, parlons Rocky.
On parle Rocky. T'es-tu un amateur de Rocky? C'est quoi ton préféré? C'est-tu Rocky 1, Rocky 2?
[02:10:16] Speaker I: Moi, c'est Rocky 1 que je me rappelle encore. Quand j'ai vu le film, je me rappelle encore. C'était en hiver, il faisait moins 32. Je pense que je travaillais à Ottawa à l'époque. Puis il y avait une line-up qui faisait le tour du bloc. pour aller voir le film, t'sais.
[02:10:28] Speaker B: On oubliait ça, là, puis... -"Adrienne", le Pet Shop.
[02:10:32] Speaker I: Puis c'était nouveau, là, comme discours. C'était extraordinaire. J'ai beaucoup aimé, moins les autres, mais Rocky I était extraordinaire. Ceci dit, nous avons maintenant un nouveau Rocky dans la politique québécoise. J'ai l'impression que notre Rocky est dans les câbles, puis sa grande crainte, c'est que dans son coin, on lance sa serviette.
[02:10:47] Speaker B: Oh! J'aime ça!
J'aime ça!
[02:10:51] Speaker I: Parce que, t'sais, moi j'ai écouté le discours hier, t'sais, c'est sûr qu'il s'adressait aux Québécois, mais je pense qu'il s'adressait beaucoup aussi aux caquistes, t'sais. Les caquistes avaient plus de raison de gouverner, t'sais, ils étaient comme déboussolés, là. Alors il avait besoin d'un ordre de marche, alors il leur a donné un ordre de marche avec ses quatre grandes priorités, là. Ceci dit, bon, écoute, je pense qu'il s'est donné du temps, là, en fait, il s'est donné du temps pour se rendre jusqu'à Noël.
[02:11:15] Speaker B: Ah oui?
[02:11:16] Speaker I: On regarde en fin de semaine.
[02:11:18] Speaker B: Plus que ça. Parce que là, Dumont au matin, effectivement, il dit que c'est 4 ans en 1. C'est un 4 pour 1. C'est du Tomastam. T'as des eggrolls, saucisses cocktail, t'as de la lasagne, t'as de la soupe aux nouilles.
[02:11:30] Speaker I: On a là un programme politique compressé. On a compressé 4 ans en quelques mois parce qu'il reste quoi, 10 semaines grosso modo jusqu'à Noël pour la session d'automne. Alors après ça, ça va vite, t'sais, on est en période préélectorale. Il y a pas grand temps, t'sais. Puis on a vu, en fait, cette semaine, qu'il y a des jours où M. Legault est contesté, là, il y a de l'intérieur, t'sais, dans le Congrès, il y a des gens qui ont osé lever la main en disant, regardez, là... Alors lui, il fallait qu'il rassure ses troupes et qu'il dise, regarde, je t'en contrôle, la situation. Alors je pense qu'il s'est donné, là... Il s'est donné une extension. En tout cas, la marge de manoeuvre, au moins, il faut se rendre jusqu'à Noël. Après là, ça sert à lui à prendre des décisions. Si on voit que ça monte dans les sondages, qu'il remonte un peu... Ça peut être bon.
[02:12:06] Speaker B: Est-ce que tu y crois comme analyste?
[02:12:08] Speaker I: Ben moi, ça fait longtemps que je dis que je pense que M. Legault sera pas là la prochaine fois, puis qu'il va décider. Beaucoup ont fait la comparaison avec René Lévesque, par exemple, etc., à l'époque. Alors c'est à un moment donné, après 7-8 ans, c'est difficile de remonter quand t'as commis beaucoup d'erreurs, puis que t'as pas livré ce que tu devais livrer.
[02:12:25] Speaker B: Je t'envoie que des documents, des CDs, ça. Je me suis dit, Donald, il est prêt à la guerre. Je me recule, je te laisse aller. Donald, tu parles de quoi? Me semble, mon petit doigt me dit que tu as le goût de parler de Weiser.
[02:12:36] Speaker I: Oui, écoutez, la semaine passée, c'est passé rapidement sous la couverture, l'expulsion de M. David Weiser du conseil municipal. Moi, j'ai trouvé que c'est quand même gros comme histoire. C'est pas anodin, là. T'as un conseiller municipal qui a été élu dans l'opposition, que M. Marchand a accueilli dans son groupe, qui a nommé à l'exécutif et lui a donné le mandat de s'occuper des entrepreneurs. Alors, tu sais, c'est quand même gros. Il y a quand même une enveloppe de 20 millions là-dedans qui vient du Québec, là, à distribuer, etc. Alors, ce gars-là, il avait un poste de responsabilité et du jour au lendemain, on le fout dehors. Et pourquoi? Parce qu'il aurait menti, il a déjà fait une faillite, puis il l'a pas déclarée. Et moi, je trouve ça assez étonnant parce que les conseillers municipaux doivent chaque année remplir une déclaration d'intérêt, dans laquelle ils indiquent leurs actifs, leurs passifs, les dettes qu'ils ont, etc. Alors c'est un document qui est fait chaque année. Alors dans le cas de M. Waser, je serais curieux de savoir qu'a-t-il déclaré dans sa déclaration d'intérêt, qu'a-t-il révélé?
[02:13:32] Speaker B: Ben ça, le marchand avait pas l'air impressionné. Il avait l'air fâché, à moins que ce soit une pièce de théâtre, encore une fois, du grand Bruno.
[02:13:40] Speaker I: Je trouve qu'il s'en est débarrassé assez vite. Il a juste dit, écoutez, le lien de confiance est rompu, etc. Mais j'aimerais bien ça qu'il s'explique comment t'es pu faire confiance à ce gars-là. Puis ici, je trouve qu'il y a comme un déséquilibre. On a parlé des déclarations de M. Wu, par exemple, pendant 3-4 jours, alors que c'est un simple candidat, alors qu'un conseiller municipal qui est là depuis 4 ans, qui vote un paquet de résolutions, il a peut-être siégé de façon illégale, illégitime.
C'est pas clair. Je trouve que c'est pas mal plus lourd de conséquences et on aurait pu rapidement bailler ça en dessous du tapis. Je pense qu'il y a un conseil municipal cet après-midi. J'aimerais bien ça que ça revienne dans la discussion.
[02:14:17] Speaker B: Qui pourrait le ramener dans la discussion et de quelle manière?
[02:14:20] Speaker I: Je pense que c'est à l'opposition de poser des questions là-dessus et de demander au maire ce que vous saviez et de demander par exemple C'est quoi les déclarations? Est-ce qu'il avait déclaré sa faillite? Est-ce qu'il l'avait évoquée ou pas du tout? Est-ce qu'il vous a menti? Je pense qu'il pourrait avoir des questions très légitimes, soit durant le conseil, soit en conférence de presse. Mais je trouve que cette histoire-là devrait être un peu plus suivie. Et j'espère qu'il y a des journalistes qui ont demandé d'avoir accès aux déclarations d'intérêt de M. Weiser.
[02:14:50] Speaker B: Hier, les journalistes laissaient sur le dos de, entre autres, la chance. Peut-être qu'on avait ça dans les Légions. Peut-être raccourci de la Légion, peut-être un peu. En tout cas, le loup boivert, hein? Ah oui, il veut priver la ville de revenus!
[02:15:02] Speaker A: L'austérité!
[02:15:03] Speaker B: C'est l'austérité! Donc, ça, c'est un code word. Pour les doux miens, l'austérité, c'est très, très mauvais. Alors que l'austérité, vous lisez la définition, le synonyme, c'est rigueur. Donc, ça prend pas de rigueur. Faut dépenser au yabel vert. Et... Il va priver la ville de revenus. On l'enroule, je pense, nous dit Dominique. J'aimerais ça t'interpeller là-dessus, mon cher Donald. C'était à Radio-Canada hier, donc, c'était la sortie et d'Ahmad et de sa plateforme, et vous avez au même moment Lachance qui dévoile son cadre financier. Est-ce qu'on est en même temps?
[02:15:38] Speaker F: Et c'est un sérieux coup de barre que propose Stéphane Lachance et son équipe, et ça frôle, j'ai envie de dire, même l'austérité.
[02:15:43] Speaker C: Respect citoyen maintenant, c'était le cadre financier, c'était les chiffres. Pour avoir parlé avec M. Lachance la semaine passée, ça ressemble à de l'austérité.
[02:15:50] Speaker F: Oui, oui, ça frôle l'austérité. Il veut priver la Ville d'abord de 100 millions $ de revenus. M. Lachance veut priver d'abord la Ville de 100 millions $ de revenus.
[02:15:58] Speaker A: En fait, M. Lachance veut remettre dans vos poches 100 millions de dollars.
[02:16:02] Speaker B: C'est ça, l'histoire! Quel twist incroyable! T'en penses quoi, Donald?
[02:16:07] Speaker I: Bien, hier, ERSP Citoyens et Leadership Québec ont publié leur plateforme politique. Je vous invite à aller lire sur leur site, etc. Moi, j'ai regardé et tout ça. Effectivement, dans les deux cas, ils proposent de couper beaucoup les dépenses de la Ville. Dans le cas de M. Lachance, il parle de 100 millions. Je pense que M. Hamad parle de 96 millions sur quelques années quand même.
[02:16:25] Speaker B: On semblait rigoler aussi. Ils veulent couper la taxe Minou. Comme eux autres, comme eux autres, ils veulent couper. La taxe Minou, c'est une taxe de trop. Et la taxe immatriculation, c'est une taxe de trop qui ne va même pas à l'endroit, d'ailleurs, où ils avaient dit que ça irait. À l'amélioration de la desserte. Ça va dans le pot, dans le trou noir, dans le fond noir du RTC.
[02:16:49] Speaker I: C'est exactement. Puis dans le taxe minou, ça ne rapporte à peu près rien. Puis il y a 60 $ effectivement. Alors tu sais, on reproche en fait à des parties qui se présentent au municipal de défendre le citoyen. Dans le fond, c'est ça qu'on fait là.
[02:16:59] Speaker B: C'est ça!
[02:16:59] Speaker I: Qu'est-ce que veut le citoyen? Le citoyen, il veut payer moins de taxes. Il se trouve qu'il paye beaucoup de taxes. Puis il faut dire que l'administration marchande était extrêmement dépensière. Il y a des chiffres que les partis d'opposition ont commencé à mettre sur la place publique. Ils ont beaucoup dépensé et il est peut-être temps de resserrer les dépenses parce qu'à Québec, le niveau de taxation est trop élevé.
[02:17:20] Speaker B: C'est démontré, ça.
C'est démontré. M. Radcan, hein, Dom Radcan, avait fait une vidéo, je crois que c'est sur RAD, en tout cas, c'est le canal alternatif de Radio-Canada, là, où, dans les villes québécoises, vous avez, per capita, la taxation et c'est Québec qui arrive en haut. Et c'est un tableau que la journaliste a fait. Mais ça, on n'en parle pas, hein. Regarde, saluons sa mamade qui a l'air à vouloir partir de sa campagne, au moins. Non, non, on va y donner. Il part en retard, là, Sam, Ahmad. Je sais pas si t'as des sources à cet effet-là, là. Mais il y a quand même un retard, là. Ça prend des annonces.
[02:17:59] Speaker I: Ouais, écoute, Benci.
[02:17:59] Speaker B: Parce que Marchand occupe le plancher avec du blabla, tu me diras, mais traverse pour les aînés, veut aider les restaurateurs avec des terrasses gratices. Ouais, mais il a juste annoncé des terrasses gratices, lui-ci, Ahmad.
Il faut qu'ils se dégourdissent un peu plus, là. T'en dis quoi?
[02:18:19] Speaker I: Écoute, là-dessus, c'est parce qu'on peut pas avoir le même traitement pour le parti qui est déjà là, puis le maire qui est agissant, et des partis d'opposition qui se sont constitués, t'sais. Je regarde, moi, le travail qu'ils ont fait. Ils respectent l'histoire, le leadership. C'est difficile de partir de zéro, ramasser du monde, trouver des volontaires.
[02:18:36] Speaker B: C'est son choix qu'il dit de lancer.
[02:18:38] Speaker I: Il faut voir comment ça demande d'investissement, de temps, etc., bâtir un programme.
[02:18:43] Speaker B: C'est énorme.
[02:18:44] Speaker I: C'est gros, tu sais. Alors que M. Marchand, qu'est-ce que tu veux, il est là, il a déjà ses conseillers, bon, il a toutes les... Puis il peut, lui aussi, il peut aller à Saint-Émile puis dire, écoutez, je vais asphalter ou je vais mettre des dos d'âne, parce que lui...
[02:18:55] Speaker B: Il utilise les leviers de la Ville pour se promouvoir.
[02:18:58] Speaker I: Parce qu'il a déjà les données, tu sais, puis il a déjà ses conseillers, puis il a les fonctionnaires, puis il peut arriver puis dire, regarde, je vais annoncer plus de dos d'âne, puis je vais faire des traverses pour les personnes âgées, tu sais, comme si on était du bétail. Ça te concerne, d'ailleurs?
[02:19:10] Speaker B: En fin, tu vas pouvoir traverser la rue.
[02:19:12] Speaker I: Ça, ça m'insulte un peu.
[02:19:14] Speaker B: Ça, c'est vrai que c'est insultant.
[02:19:15] Speaker I: C'est un peu bête, là. Alors, tu sais, il jouit d'un avantage, puis c'est ça quand quelqu'un... Ça, je te l'accorde.
[02:19:23] Speaker B: Ça a toujours été ça.
[02:19:24] Speaker I: Ça a toujours été ça. Alors ça, ce sont les règles du jeu. Alors on peut pas demander aux autres parties d'être aussi présents et actifs avec les mêmes données, tu sais. Alors c'est ça qu'ils vont tenir en compte. Ceci dit, oui, t'as raison, je pense que M. Hamad pourrait être plus présent, plus actif, mais la question est-ce qu'il doit chaque jour répondre... Non, pas chaque jour. Mais tu sais, c'est ça, alors...
[02:19:42] Speaker B: Mais être présent, entre autres, avec les documents de Renaud Labrecq. D'ailleurs, je l'annonce, Renaud, dans le midi aujourd'hui, manquez pas ça, les comptes de dépenses en marchant, On va tous être aux aguets de ça, manquez pas ça le show de Jean-Claude. Et il y aura en réaction Amad, Lachance et Claude Villeneuve demain dans Montréal Live là-dessus, et lignes ouvertes. J'ai hâte d'entendre ça. Parait-il que c'est de la bombe?
[02:20:04] Speaker I: Bon, c'est de la bombe. Écoutez, pour faire le lien sur le municipal, écoutez, je vous rappelle qu'aujourd'hui, c'est le dernier conseiller municipal de cette administration.
[02:20:13] Speaker B: Oui, Donne va être aux aguets. Ça va-tu être bon?
[02:20:16] Speaker I: Moi, je pense que ça va être bon parce que là, je pense qu'il va y avoir des gens quand même un peu émotifs parce que, tu sais, il y a des gens... Tu sais, c'est quand même assez étonnant. Je faisais le décompte. Il y a au moins sept élus actuellement qui ne se représentent pas. Ça veut dire que t'as le tiers des conseillers qui ne se représentent pas, à part les autres changements, etc., les gens qui ont changé de statut.
[02:20:34] Speaker A: Parce qu'il se présente pas.
[02:20:35] Speaker C: Non.
[02:20:36] Speaker A: Mais Pierre-Luc Lachance...
[02:20:37] Speaker B: Ils font partie de quasiment ton quotidien.
[02:20:39] Speaker A: Pierre-Luc Lachance, à qui je dois dire félicitations, il s'est marié samedi dernier. Pierre-Luc Lachance, lui, il va me manquer, c'est sûr. On avait un thème, tout. Il nous faisait faire de la bonne radio.
[02:20:49] Speaker B: Capitaine Bretelle, quand même. Avait-il des bretelles au mariage? On a mis quelqu'un là-dessus.
[02:20:53] Speaker A: On a mis quelqu'un là-dessus, on va voir l'info.
[02:20:55] Speaker B: Mais c'est ton dernier conseil, Dan.
[02:20:58] Speaker A: Avant le troisième mardi de novembre.
[02:21:00] Speaker B: OK.
[02:21:01] Speaker I: Alors, je pense que c'est intéressant. Les gens devraient commencer à suivre ça. Puis je convainc que tout le monde va y aller avec son petit message de départ, là, tu sais. Alors je pense que ça va être un conseil à surveiller. Puis je vous signale, entre autres, qu'on va voter des choses. On va voter, entre autres, un 22 millions pour le tramway, encore une fois. Là, on a acheté un nouveau terrain, cette semaine, pour... en arrière du Canadien de Terre à Sainte-Foy. On avait déjà acheté, la semaine passée, sur le terrain du Rochebel. On est à 50 millions, grosso modo, de dépenses actuellement pour un projet dont on ignore qui va payer quoi. Puis combien la Ville de Québec va payer dans ce projet-là. Puis le financement n'est pas attaché. Alors on dépense allègrement. Et je pense que la Ville aura dû se garder une petite gêne puis d'attendre le résultat des élections avant d'investir massivement dans un projet qui est rejeté par la population.
[02:21:46] Speaker B: Le mot de la fin.
[02:21:48] Speaker I: Écoute, dernière chose dont je voudrais vous parler, c'est peut-être du centre Vidéotron.
[02:21:51] Speaker A: Oui.
[02:21:52] Speaker I: Il y a eu des textes publiés dans la presse en fin de semaine où on faisait un peu le bilan du centre Vidéotron après 10 ans de...
[02:21:59] Speaker B: On a-tu appris de quoi, ou c'était du blabla de Montréal?
[02:22:02] Speaker I: Bien, c'est pas du blabla, parce que t'as des chiffres entre autres. Puis ce qu'ils disent, c'est que, dans le fond, cet investissement-là ne sera jamais rentable, tant qu'il y aura pas une équipe de hockey professionnelle. C'est impossible de rentabiliser ça. Puis ils évaluent, eux autres, que le manque à gagner, les fonds qui ont sorti de la Ville de Québec depuis 10 ans, ça a atteint à peu près 53 millions $. Et la Ville de Québec a déjà remboursé 24 millions québécois pour, t'sais, les déficits d'exploitation. Alors, t'sais, le 30 millions qu'on avait eu de naming rights au début, là, il est à peu près effacé parce qu'on rembourse chaque année la moitié des pertes d'exploitation du centre de l'IATRON. Alors c'est des données intéressantes pis je pense pas que vous allez lire ça dans le journal des Québecs un jour. Alors tu sais, c'est... Pis l'autre en fait qui souligne, je pense que c'est important, ils disent que c'est un équipement qu'il y a maintenant 10 ans, ça va prendre des investissements majeurs dans pas grand temps pour renouveler. Alors il va falloir penser là, pis ils donnent l'exemple...
[02:23:01] Speaker B: À quel endroit?
[02:23:02] Speaker I: Bien, tout le centre, parce que tu sais, on parle de la ventilation, des bains, du système informatique, tout, là. Alors, je lui donne l'exemple du centre à Laval, le centre Bell à Laval, qui a nécessité plusieurs dizaines de millions, même plus, pour les... Qui va payer? Bien, c'est une bonne question, puis je pense qu'il va falloir commencer à s'y intéresser, parce que...
[02:23:20] Speaker B: Très intéressant.
[02:23:21] Speaker A: C'est la ville.
[02:23:23] Speaker B: Oui.
[02:23:24] Speaker A: Ça appartient à mille.
[02:23:25] Speaker I: Je pense que c'est done.
[02:23:26] Speaker B: Je voulais juste que Donald me le dise. Parce que je suis très bête à crier.
[02:23:29] Speaker I: Merci Daniel.
[02:23:31] Speaker B: C'est une pièce de théâtre. Ça va coûter combien? Les appels d'offres à marchands, on le sait comment ça marche.
[02:23:38] Speaker I: C'est toujours explosif. Qu'est-ce qu'on fait avec le vieux colisée?
[02:23:43] Speaker B: Tu le sais.
[02:23:43] Speaker I: Je pense que c'est intéressant de le surveiller.
[02:23:45] Speaker B: Un vieux colisée, tu mets le boule dedans. C'est facile. Dernière question, Lehouillier s'en va-t-il ici avec Duhem?
[02:23:50] Speaker I: Oui, j'ai entendu ça ce matin. Je pensais que M. Lehouillier avait fait une croix sur sa carrière politique. Il semble que non.
[02:23:57] Speaker B: C'est un vieux 2 frimé, un vieux 2 piastres, évidemment à métal maintenant. On disait un vieux 2 rouge dans le temps. Tu le mets-tu ici sur Lehouillier qui fait campagne avec Duhem?
[02:24:08] Speaker I: Écoute, à la lumière de ce qu'il a dit ce matin, ce que j'ai entendu, oui, je pense qu'il est très intéressant. Il a levé la main, puis écoute, je pense qu'il aurait des bonnes chances d'être élu en plus.
[02:24:17] Speaker B: OK, merci beaucoup. On dit que la 40 à la hauteur de la halte routière avant Saint-Augustin, celle de Dawa, Dan va nous...
[02:24:23] Speaker A: On va parler de tout ça.
[02:24:24] Speaker B: Dan va vous en parler dans quelques secondes à peine dans Montréal Live.
[02:24:30] Speaker F: Restez là, on revient dans pas longtemps.
[02:24:34] Speaker C: Cette semaine, écoute Moray Live.
[02:24:37] Speaker A: Et tu pourrais gagner un forfait en occupation quadruple d'une valeur de 2400$ pour... La première édition du Tailgate légendaire du PP Tour. Une présentation de G-Stock. Tu veux partir à New York voir les Packers de Green Bay affronter les Giants? PP A L'Échoir Radio X rêve sportif et Linux t'envoie vivre le PP Tour 2025, un voyage de 4 jours pour 4 personnes, présenté par G-Stock. Le trip sportif sera du 14 au 17 novembre. Participe au concours ou achète tes forfaits au radiox.com.
[02:25:14] Speaker C: Radio X. OK!
[02:25:16] Speaker A: Je vous parle de Numbers Game Numbers Game qui est un casino en ligne. Je me suis perdu là-dedans hier. C'est vraiment cool. C'est le seul casino en ligne qui vous donne des cadeaux gratuits à chaque jour. 100% sécuritaire. C'est fait pour les joueurs d'ici. Le sport, il parle en français. Ces Québécois comme vous, c'est mieux que l'Auto-Québec. L'Auto-Québec, on le sait, ils ont une dérogation aux autres pour pas que ça se fasse en français. Mais sur Numbers Games, on le fait en français. Allez vous inscrire au concours png.com, concours png.com, parce qu'on a décidé de vous gâter. Vous allez vous inscrire gratuitement et vous aurez la chance de gagner une paire de billets en section loge pour le match d'ouverture Montréal contre Seattle. C'est au Centre Bell le 14 octobre prochain. En plus de ça, si vous gagnez, on met dans vos poches 2000$ cash pour bien profiter de la soirée. On s'entend pour dire une soirée à Montréal, une partie de hockey avec 2000$ cash dans nos poches avec un chum. Il y a de quoi s'amuser, il y a de quoi s'amuser pour vrai. Le casino qui vous garde tous les jours vous envoie aussi au Centre Bell pour le match d'ouverture de la saison de hockey. Concourspng.com pour aller vous inscrire. C'est gratuit et c'est rapide. Et allez faire un tour. Numbers Games, c'est vraiment un casino qui est cool, qui est sympathique, qui est intéressant. Et si vous voulez assister au match d'ouverture de la saison, c'est là que ça se passe. Concourspng.com. Concourspng.com.
[02:26:37] Speaker C: Cet automne, la Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartares, cocktails signature, ambiance festive, on s'occupe de tout, même de ta voiture, avec notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. Prochaine sortie, Grande Allée. Réserve dès maintenant sur bistrolatelier.com.
Salut tout le monde! Aujourd'hui, on a Sylvain qui nous demande...
[02:27:10] Speaker J: Ouais, t'es quoi le meilleur tissu pour.
[02:27:13] Speaker C: Un fauteuil quand t'as trois enfants?
[02:27:14] Speaker D: Oh, bonne question!
[02:27:16] Speaker B: Trois enfants, man!
[02:27:18] Speaker C: Meilleur conseil, fais juste pas payer les taxes. Excellent, Carl. Jusqu'à dimanche, on paie les deux taxes sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser.
[02:27:35] Speaker A: Je veux vous parler du PP Tour. Vous le savez, légendaire PP Tour. D'ailleurs, Max sera ici avec nous autres au courant d'ici la fin du show. Le PP Tour, on vous amène avec nous autres voir un match de football à New York. Les Giants qui vont recevoir les Packers. Ça se passe mi-novembre, on part du 14 au 17 novembre. Le match, c'est le dimanche évidemment, c'est le 16. Les forfaits sont en vente. s'il y en reste, au RadioX.com ou encore sur Rêves Sportifs. Allez faire un tour, je ne sais pas s'il y en reste, je vais aller aux informations aujourd'hui. Vous pouvez également gagner vos billets grâce à Morelive, grâce à RadioX. Allez faire un tour, on a différentes vidéos qui ont été postées depuis trois semaines avec les différents partenaires de l'événement, soit PPAL, RadioX, Rêves Sportifs, Linux et G-Stock. Ce matin, c'est G-Stock qui est là. Allez regarder la vidéo et ensuite aller au radiox.com pour répondre à la question suivante. Quel est le nom de la mascotte du Miller Zoo? Quel est le nom de la mascotte? Je l'ai dans mes mains à peu près tout le long du vidéo. On veut savoir son nom. Allez au radiox.com pour répondre à ça. Rêve sportif pour acheter des billets ou encore on a également un lien au radiox.com. Le pépé tour, ça va être complètement malade. Ça se passe du 14 au 17 novembre prochain. La quincaillerie Canac était là 17 ans.
[02:28:50] Speaker C: Avant le château Frontenac. On était là 44 ans avant le pont de Québec. On était là 101 ans avant le stade. On était là 10 ans avant l'automobile. On était là 65 ans avant l'autre plus vieille quincaillerie.
[02:29:05] Speaker A: On était même là hier pour conseiller.
[02:29:07] Speaker C: Phil de Lévis avant qu'il construise son deck. Ça s'en allait sacré le camp sur.
[02:29:11] Speaker A: Sa piscine, son affaire.
[02:29:13] Speaker C: Canuck.
[02:29:14] Speaker A: On aide pauvres depuis 150 ans.
[02:29:16] Speaker F: J'ai une question qui me travaille. À combien de semaines de vacances payées ai-je droit par année?
[02:29:20] Speaker B: Tout dépend depuis combien de temps vous.
[02:29:22] Speaker J: Travaillez pour le même employeur.
[02:29:23] Speaker C: Exemple, si ça fait 3 ans, vous avez droit à 3 semaines de vacances payées par année. Les normes du travail pour les questions qui vous travaillent. Un message de la CNESST.
[02:29:31] Speaker A: Cet automne, respectez vos échéances avec les.
[02:29:34] Speaker C: Équipements de construction Kubota, bâtis pour le Québec.
[02:29:37] Speaker A: Peu importe le froid et le chantier, ils sont fiables.
[02:29:40] Speaker C: Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0 %.
[02:29:43] Speaker A: Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. Salut, c'est Carbeau. Pour le traitement de ma voiture, je fais confiance à Crown, une entreprise familiale.
[02:29:50] Speaker C: Canadienne qui connaît les conditions d'ici.
[02:29:53] Speaker A: Vous aussi faites traiter votre voiture à l'anti-rouille Crown et économisez 10 $. Visitez le crown.com pour trouver nos six centres de la grande région de Québec. Cet été, David a fait 5000 kilomètres de vélo, 750 kilomètres de course à.
[02:30:04] Speaker C: Pied, puis 300 kilomètres de natation. Puis en plus, David a joué plus de 200 heures au tennis, puis il s'est même fait initier à l'escalade.
[02:30:11] Speaker D: Oui, mais David y est magané.
[02:30:13] Speaker A: La solution, le centre de correction vertébrale. Une équipe expérimentée qui regroupe l'ensemble des professionnels sous un même toit, vous offrant le meilleur désencadrement pour une rentrée active réussie. Le Centre de correction vertébrale, la clé pour votre santé. À Sainte-Foy, Lévis, Pont-Rouge et CentreCBQ.com.
[02:30:32] Speaker C: Chez Soucis Industriel, on embauche. Soudeur, mécanicien, industriel, c'est le moment de vivre l'expérience chantier. Des projets plus grande nature t'attendent aux quatre coins du Québec. Minier, naval et toute industrie lourde où ton savoir-faire fera la différence. Des horaires flexibles, des mandats variés et un potentiel de revenus élevé selon ta disponibilité. Découvre nos opportunités de carrière sur emploi.soucisindustriel.com et postule en ligne dès maintenant pour donner une nouvelle dimension à ta carrière. Couvre-plancher Orléans, fête ses 50 ans.
[02:31:04] Speaker A: Épargner 25 % sur les flottants, vinyles.
[02:31:06] Speaker C: Céramiques, tapis et plus.
[02:31:08] Speaker A: Rabais-surprise jusqu'à 50 % sur la peinture Benjamin Moix. Épargner aussi sur le vinyle flottant Torlis. Service de déco et d'installation offert chez Couvre-plancher Orléans.
[02:31:18] Speaker F: Vous connaissez Osburn? Posez Osburn! Les poêles et foyers Osburn, ils sont fabriqués à Saint-Augustin et ils sont arabais chez Norea Foyer Naper. Par exemple, le Osburn 3300 qui chauffe, 2300 pieds carrés, normalement vendu 4000 $, est réduit à 2899 $. Il y a aussi le Osborne Inveris qui chauffe 2500 pieds carrés, normalement vendu 6 000 $, réduit à 3 999 $. Détails chez Norea Foyer-Napert à Sainte-Marie et Norea Foyer-Napert, signature sur Pierre-Bertrand à Québec.
[02:31:49] Speaker C: Dominique Moret.
[02:31:50] Speaker F: Moret.
[02:31:56] Speaker C: Live.
[02:32:01] Speaker F: Avec Dominique Moret, Dan Gravel, Radio-X.
[02:32:25] Speaker A: Qui arrivent de belle chasse et des alentours. Tous ceux qui partent de Rimouski pour venir à Québec ce matin, ce ne sera pas facile. Charest, très costaud, Charest, la circulation ce matin. Je n'ai pas d'événement en tant que tel en particulier, mais ils apportent beaucoup de monde sur les routes. C'est à partir du Ikea où c'est par choc à par choc, puis ça reste d'un moment jusqu'au centre-ville. Inquiétez-vous pas, il n'y aura pas de break. Même chose pour les gens qui partent de Dufresne-Montmorency. C'est avant de traverser la rivière, donc on était à la hauteur de Descapucins pour rentrer au centre-ville. Et puis je vous dirais, capitale dans les deux directions, c'est très lourd pour Laurentienne et Henri-Cath également. Très, très costaud ce matin. Et le petit plus qu'on n'a pas d'habitude, c'est un accrochage qu'il y a à la hauteur... Bien, c'est un peu d'arriver avant d'arriver à la hauteur de Saint-Augustin-Village. Il y a un accrochage dans ce secteur-là. Il y a des travaux en plus, donc ça cause beaucoup d'ennui si vous sortez de Neuville et que vous êtes pogné dans le... dans le trafic, c'est à cause de ça, c'est à cause de cet accrochage-là. Inquiétez-vous pas, c'est pas si long que ça. What I do.
[02:33:25] Speaker B: Je vais revenir sur ce qui a été décidé il y a quelques jours concernant les véhicules. La CAQ qui a abaissé le seuil d'exigence de vente de véhicules électriques. Les véhicules à essence auront plus de... d'espace finalement. Oui, c'est sûr qu'on avait cru Charrette, quand Benoît Charrette, l'ancien ministre de l'Environnement, en avait fait la une, Journal de Montréal, Journal de Québec, en disant les stations-services vont fermer, il va manquer d'essence. La panique, quelque chose qui est... Évidemment, il y avait Pour être honnête, c'est un scénario catastrophique. Tout ça pour mousser la norme qui, finalement, la norme de 2035 qui a été modifiée de manière plus raisonnable. Moi, je veux savoir si les concessionnaires sont contents. Je veux savoir si l'industrie est satisfaite. M. Ian Samucci est le PDG de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec. Bonjour, comment ça va ce matin?
La norme, quelle est-elle d'abord, la nouvelle norme? Expliquez-nous ça de manière intelligible.
[02:34:32] Speaker J: Là, je vais essayer de faire ça simple, mais la réponse...
[02:34:34] Speaker B: Si vous êtes meilleur que moi, vous allez gagner parce que j'ai de la misère à comprendre avec hybride, hybride à essence, hybride branchable, non branchable. Mais allez-y, là, on vous écoute.
[02:34:44] Speaker J: Bon, là, ce qu'on sait, là, dans le fond, l'annonce de vendredi dernier, M. Drenville a annoncé qu'en 2035, on est passé à, je vais dire comme ça, plus de ventes de véhicules à essence, ni de vendre des véhicules hébrides branchables, là, on visait 100 % électrique, à 90 % des ventes électrifiées en incluant les hébrides branchables.
[02:35:06] Speaker C: Donc, ça laisse la place à ce.
[02:35:08] Speaker J: Que, en 2035 et les années suivantes, qu'on puisse encore distribuer des véhicules à essence et des hébrides branchables. Donc, ça, c'est l'annonce de vendredi. 2035, c'est demain, mais c'est loin en même temps.
La norme qui oblige les manufacturiers à distribuer un certain nombre de véhicules électrifiés au Québec est en vigueur depuis 7 ans aujourd'hui et elle a déjà changé deux fois. Alors là, dans 10 ans, c'est une chose, c'est bien, c'est un bon début, mais nous, ce qui nous préoccupe comme industrie, c'est ici, aujourd'hui, maintenant. Pour l'année modèle qu'on commence à distribuer dans nos concessions aujourd'hui, l'année modèle 2026, les exigences de la norme, c'est 32,5 % des ventes qui doivent être électrifiées. Et quand on regarde les chiffres de vente depuis le début de l'année 2025, on a fait comme industrie au Québec 14,7 %, c'est-à-dire que c'est la moitié de l'exigence de la norme. Le marché a littéralement, en bon français, «crashé» depuis le début de l'année avec toutes sortes de raisons qu'on connaît. La fin des incitatifs fédéraux, l'annonce d'un potentiel retour, la réduction au niveau provincial, des messages gouvernementaux contradictoires, ce qui se passe évidemment au sud de la frontière, la situation des tarifs, la disponibilité des véhicules globalement, la redistribution des véhicules via d'autres marchés étant donné les tarifs de Kearney.
[02:36:28] Speaker C: Ça rend la chose complexe.
[02:36:30] Speaker J: Tout ça pour vous dire, si la tendance se maintient, les manufacturés globalement Pour l'année modèle 2026, on aurait un manque à gagner de 80 000 crédits véhicules électriques. Ça veut dire quoi concrètement? C'est une pénalité potentielle d'1,6 milliard à payer au gouvernement ici au Québec, pas à l'échelle nord-américaine, juste pour le marché du Québec. C'est insoutenable. Les manufacturiers auront des choix à faire. L'impact, c'est que ça va augmenter le prix des véhicules parce qu'au final, vous aurez compris que les manufacturiers ne gardent pas ces coûts-là dans leurs livres.
Vous savez où ça se retrouve. Ça se retrouve sur le prix payé sur les véhicules par les Québécois.
[02:37:10] Speaker B: Il y a déjà beaucoup augmenté depuis cinq ans, on va se le dire, ça a ballonné.
[02:37:14] Speaker J: Disons-le, absolument. Vous avez raison.
[02:37:16] Speaker C: Les prix payés ont augmenté.
[02:37:16] Speaker B: Avez-vous des représentations maintenant? Puis là, je comprends que vous vous adressez par moi et par notre antenne au ministre de l'Environnement.
[02:37:24] Speaker J: Qu'Il y a une ouverture. Moi, ce que je comprends, c'est que M. Drinville a dit, voici ma première annonce. Comme ministre, il prend en charge le portefeuille. Ça fait deux semaines qu'il est arrivé. On peut très bien comprendre qu'il y a une approche étapiste. Maintenant, 2026, c'est aujourd'hui. Donc, nous, on appelle au gouvernement de prendre sa décision quant à la nouvelle norme à compter de 2026. Et surtout, jusqu'à 2030, les cinq prochaines années sont cruciales. Est-ce qu'on va donner suffisamment d'oxygène à l'industrie?
[02:37:51] Speaker C: Et je dirais aussi aux Québécois qui.
[02:37:53] Speaker J: Au final, décident quel véhicule ils veulent acheter. Ce sera toujours le consommateur qui va décider au final. Et si, dans nos concessions, on n'a que des véhicules électriques à présenter, ça risque d'être un problème.
[02:38:04] Speaker B: Comment c'est les inventaires actuellement? Pouvez-vous nous décrire la situation?
[02:38:08] Speaker J: C'est une très bonne question parce que la norme BZE, ça vise l'offre de véhicules.
Alors entre vous et moi, il n'y a jamais eu autant de modèles diversifiés dans tous les segments électrifiés. On a de l'inventaire en concession comme jamais, parce qu'évidemment qu'on avait anticipé un peu plus de ventes électriques que ce qu'on a présentement en termes de réels, parce que l'année passée, vous vous souvenez qu'on a fait une année assez exceptionnelle en termes de ventes de véhicules électrifiés. On a fait 31 %.
[02:38:36] Speaker B: À cause du boost de la fin des subventions.
[02:38:40] Speaker C: Exact.
[02:38:41] Speaker J: Les gouvernements ont les deux mains dans les...
[02:38:42] Speaker B: Il y a des gens qui ont même devancé leurs achats. Peut-être que les gens pensaient, oui, dans un an, dans deux ans, ah non, on y va avec le boost. On prend une chance et on y va pour profiter de la subvention qui vient à échéance.
[02:38:53] Speaker J: Vous avez tout à fait raison. Puis t'sais, je tiens à dire une chose, là. On peut lancer des chiffres. 32,5 %, c'est un chiffre qui a été avancé par un universitaire dans son bureau, un scientifique super ferré en le domaine, mais reste que c'est prospectif. 32,5 %, ça vient d'où? Ça vient d'une analyse qui a été faite. Maintenant, nous, on dit à M. Drenville, regardez-là, on est à 14,7 % année à date. Ça, c'est la réalité. Alors, à quel niveau on va placer la nombre BZE cette année? Moi, j'ai envie de dire, considérons les vrais chiffres. Arrêtons de jouer au poker. Arrêtons de se mettre all-in parce qu'au final, c'est les consommateurs québécois qui subissent. C'est les consommateurs québécois qui vont avoir moins de modèles, moins de diversification de modèles. C'est les consommateurs québécois qui vont payer plus cher pour leurs véhicules parce que ça devient un coût insupportable pour les manufacturiers. Donc, essentiellement, ça va bien. Je veux dire, d'ici la fin de l'année, on va avoir 500 000 véhicules électrifiés sur les routes du Québec. C'est exceptionnel dans le contexte nord-américain. L'émission, les émissions de GES dans le parc automobile québécois sont au même niveau.
[02:40:02] Speaker C: Qu'Il y a 20 ans.
[02:40:04] Speaker J: Disons-le, c'est un très grand succès.
[02:40:05] Speaker B: Avec le nombre de véhicules qui a explosé.
[02:40:07] Speaker J: Absolument. Avec l'augmentation de la population aussi afférente. Alors, on a déjà entre les mains un grand succès. Je peux comprendre qu'on voudrait plus. Même nous, comme industrie, on aurait aimé ça présenter des chiffres plus probants que 14,7 %. Mais la vérité, c'est que c'est là qu'on est rendus. C'est ce que le public québécois est capable d'absorber présentement. Donc, encore une fois, les chiffres dans la réalité, ça va bien aller. Parce que l'idée, c'est de faire en sorte que l'ensemble de nos joueurs... Je veux dire, on a quand même plusieurs marques qui représentent au Québec. Moi, je représente 890 concessionnaires de toutes les marques au Québec. avec qui on va être capable de traverser cette transition-là? Est-ce qu'on veut perdre les joueurs en route ou on veut prendre notre gang, dire OK, on vous accompagne là-dedans, on vous aide à faire la transition au lieu de vous écraser? À 32,5 %, je vous le dis, M. Morel, on est en train d'écraser l'industrie.
[02:40:56] Speaker B: Qu'On doit considérer, bon, la crise du canot, ça ne vous touche pas, vous, personnellement, mais il y a des tensions avec la Chine. Et là, sur le bureau de Carney et de ses ministres, qu'il y aura des choix à faire. La Chine exige que le Canada laisse entrer des charges chinoises pour pouvoir par la suite alléger les tarifs sur le canola, entre autres. Mais oui, les politiciens, eux autres, considèrent que dans l'Ouest, il y a une crise. Ils ont raison. Les charges chinoises, ils vont regarder ça. À la lumière également de ce que les États-Unis vont décider pour Trump, il n'est pas question d'intégrer BYD et compagnie aux États-Unis. Mais un jour, moi, je pense qu'il faudra réfléchir à ça. Je suis pas en train de vous dire où je suis pour ou contre, mais c'est sur la table. Vous, votre opinion par rapport à ça, c'est quoi? À la lumière également de ce que les prix que les Québécois payent. Les prix sont très élevés. Demandez aux Québécois, êtes-vous en faveur de l'arrivée des chars chinois à 14 000 $? Beaucoup de Québécois vont vous dire oui. Votre analyse là-dessus, c'est quoi?
[02:42:03] Speaker J: Vous avez raison de poser la question. Je pense qu'elle mérite d'être posée. C'est une question complexe pour une raison fort simple, c'est qu'on se retrouve dans une situation qui pourrait être une situation que je qualifierais de temporaire, bien que je pense que l'échec mondial est en train de changer sur le long terme. Alors là, le danger, c'est que nos gouvernements prennent une décision, je dirais, un peu trop baude, en bon français, à court terme. Ce qui pourrait provoquer notre voisin du Sud, là, c'est assez clair dans l'immédiat.
[02:42:35] Speaker B: Oui, le Canada ne fera pas camélier seul, c'est ce que vous dites.
[02:42:37] Speaker J: Exactement. D'une part. Et d'autre part, bien, on est quand même dans un... on est un marché de fabricants de véhicules au Canada. Il ne faut pas l'oublier. Oui. Les marques nord-américaines que sont Celensis, Ford, GM construisent chez nous. On a des marques japonaises comme Toyota et Honda qui construisent chez nous.
[02:42:53] Speaker B: En Ontario.
[02:42:53] Speaker J: En Ontario, bien sûr. Et il y a tout un écosystème de fabricants de pièces qui vire autour de tout ça. Donc, si on fait rentrer un véhicule chinois qui n'investit pas sur le marché, une marque qui n'investit pas sur le marché ici, il y aura des impacts aussi sur le PIB au pays. Donc, il faut prendre tout ça en considération, mais je pense que la question mérite d'être posé, très certainement. Après ça, je veux simplement vous dire que c'est pas le plan de banque. Ce qu'on remarque, c'est que les Chinois, lorsqu'ils entrent sur un marché, puis là, sont très présents en Europe, oui, ils ont un impact sur les prix, mais c'est pas au niveau que vous pensez. T'sais, les prix de détail qu'on annonce...
[02:43:33] Speaker B: C'est pas 50 % du model. C'est peut-être un 5-10.
[02:43:36] Speaker C: Exact.
[02:43:36] Speaker J: Puis ils s'ajustent sur les marchés dans lesquels ils entrent.
[02:43:39] Speaker C: Ils ne sont pas plus fous que d'autres.
[02:43:40] Speaker J: À un moment donné, on analyse le marché.
[02:43:42] Speaker B: On voit c'est quoi la qualité. Ils protègent leur marge bénéficiaire.
[02:43:43] Speaker C: Bien, c'est ça.
[02:43:45] Speaker J: Puis je les comprends. Je veux dire, tout le monde est en affaires.
[02:43:47] Speaker B: C'est bien correct. S'il y a un Skoda ou aussi une Renault, en parlant de la France électrique, ce 20 ans, eux autres, ils vont se rapprocher de ce prix-là. Ils voudront pas... Tu sais, il y a un équilibre. Ils vont vouloir pas briser le marché, mais ils vont vouloir rentrer sur le marché sans nécessairement vendre à perte, puis ils vont protéger leur marge bénéficiaire.
[02:44:03] Speaker C: Exactement.
[02:44:04] Speaker J: Je pense que si M. Kearney prend une décision là-dessus, puis je le comprends, tu vas se poser la question, il doit tout considérer, puis il doit s'assurer de signaler l'ensemble de l'oeuvre. Il ne peut pas y aller sur une décision simple de « let's go, on enlève les tarifs, puis ils rentrent comme ils veulent ». Ça ne marchera pas. Puis il faut aussi qu'il y ait des, je vais le dire comme ça, des obligations parce que Je vais le dire comme ça, fabriquer un véhicule chinois, ce n'est pas comme fabriquer d'autres types de véhicules. Les exigences locales de fabrication en Chine ne sont pas les mêmes. Je ne dis pas que la qualité n'est pas là.
[02:44:30] Speaker B: Mais il y en a au Mexique aussi, en Amérique du Nord.
[02:44:33] Speaker J: Mais les conditions de travail en Chine ne sont pas les mêmes qu'ici, pour faire attention. Maintenant, ils fabriquent en Chine, vous l'avez dit, ça commence à être intéressant. Alors, quelles seront les conditions d'entrée au Canada? Alors qu'il y a d'autres constructeurs également.
[02:44:45] Speaker B: Qui fabriquent en Chine. Entre autres, il y a des Buick que vous voyez sur nos routes, qui sont assemblés en Chine. Il y a des Tesla que vous voyez sur nos routes, qui sont assemblés en Chine aussi. Effectivement, c'était surveillé. Dernière question. Les Québécois achètent quoi ces temps-ci? Qu'est-ce qui est en vogue? Là, je vous parle pas... t'sais, je vous demande pas de nouvelles Kia. Je sais que vous parlez pour la grande famille, mais des types de véhicules. Qu'est-ce qui se vend actuellement?
[02:45:10] Speaker J: Ils vendent 85 % de véhicules à essence et 15 % de véhicules électrifiés. Il y a tous les modèles.
[02:45:16] Speaker B: Et dans l'essence, on est-tu dans le multisegment? Est-ce qu'on est dans quel type?
[02:45:20] Speaker J: On est encore beaucoup dans le multi-segment, assurément. Je pense que c'est des modèles qui... dont les Québécois sont très friands. Les petits véhicules, j'en entends beaucoup parler. Comme ça, il y a un segment de la population qui aimerait rapetisser leurs véhicules. Et c'est vrai qu'il n'y en a pas beaucoup disponibles sur le marché, mais c'est justement, à mon avis, une conséquence de la norme VZE. Autrement dit, quand les manufacturiers, on leur exige de mettre sur le marché 32 % de véhicules électrifiés, moins profitables que le reste de leur gamme, il faut qu'ils compensent la profitabilité ailleurs. Alors ça fait en sorte qu'on n'a pas de petits véhicules à essence ici, au Québec, présentement, à mon avis.
[02:45:58] Speaker B: Remarque-t-on que le portefeuille est très serré, plus serré qu'il y a cinq ans? Moi, je vois des annonces puis je vois pas cibler le constructeur comme tel. Mais tu sais, je regarde, je lis le fine print, il faut toujours lire le fine print dans les annonces de Charles. Sacrifice, on vend des mensualités sur neuf ans.
Puis on comprend que c'est un combat, c'est la perception, c'est de la publicité. Mais êtes-vous convenons ensemble que quand même, les Québécois en arrachent et qu'on est en train de le faire miroiter des paiements qui, au final, sont des montants quand même assez élevés?
[02:46:33] Speaker J: C'est un problème, vous avez raison. Les Québécois ont moins d'argent dans leur portefeuille qu'ils en avaient il y a trois à cinq ans. Et il y a une chose qui est importante, là. Nous, on veut avoir le bon modèle pour la bonne personne. C'est notre fer de lance comme concessionnaire. On est détaillant, on ne les fabrique pas et on n'a pas de contrôle sur ce qui rentre non plus. Donc, il va falloir faire attention aux Québécois, il va falloir que les décisions gouvernementales tiennent compte de ça pour éviter d'ajouter des coûts aussi au milieu économique au sens large parce que l'industrie que je représente... Évidemment qu'on a des coûts assez importants à faire des affaires ici, mais je pense à d'autres secteurs aussi qui vont avoir besoin d'oxygène un peu. Puis ça va se répercuter finalement sur les prix des produits que vont acquérir les Québécois dans la prochaine année. Donc c'est très important. Absolument, vous avez raison.
[02:47:20] Speaker B: Et je finis avec 85 % de chars à gaz, je l'avais dit. Donc out la bourse du carbone?
[02:47:28] Speaker C: Est-ce qu'on veut prononcer là-dessus?
[02:47:30] Speaker J: C'est pas mon secteur. Je peux vous dire une chose, c'est que la norme BZE prévoit quand même un système d'échange de crédit qui, si les exigences sont trop importantes, font en sorte qu'il y a seulement quelques joueurs manufacturés qui peuvent traverser la transition. Donc, nous, on essaie d'aménuser cet impact-là aussi pour l'ensemble des concessionnaires québécois, puis au final pour servir les Québécois. Beaucoup de marques, même si les prix des véhicules sont dispendieux, on a la chance, au Québec, d'avoir une multitude de marches. C'est pas dans tous les marchés que c'est comme ça. Il y a de la compétition. Ça fait que, bref, il faudrait regarder les choses telles quelles.
[02:48:03] Speaker B: Merci beaucoup. Ça a été un plaisir. Salut, bye-bye. Marc Bouchard s'en vient. Avez-vous des questions de char, justement, sur les chars électriques, branchables, pas branchables, bagages, les camions, les multisegments, les petits chars? As-tu des questions, toi, Dan? Envoyez vos questions à Dan, Dan Volili, de manière élégante.
[02:48:23] Speaker A: Oui, j'en ai des questions.
[02:48:25] Speaker B: Oui, parfait. Marc s'en vient, on va faire la pause. Marc Bouchard s'en vient, il va nous parler de 2035, ce dont on vient de parler, et de l'électrique, l'état des inventaires, etc. Marc Bouchard et vos questions au retour.
[02:48:40] Speaker F: On revient dans pas long.
[02:48:41] Speaker C: Désolé.
[02:48:42] Speaker F: Radio X. Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[02:48:59] Speaker D: Traffic, transit and weather.
[02:49:02] Speaker C: La première! La circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[02:49:07] Speaker A: Ça va bien sur les routes, oui et non. Je vous dirais que si vous êtes pognés dans le coin de Neuville, c'est parce qu'il y a un accrochage. En fait, il y a des travaux. Il y a deux accrochages d'ailleurs parce que ça s'est repogné encore dans la série. Donc, c'est assez compliqué. Si vous arrivez d'Anacona ou de Trois-Rivières, vous allez trouver ça long, peut-être dévié par la 138. Ça pourrait être aidant pour vous ce matin. C'est encore Jamais à la tête des ponts, surtout pour les gens qui sont sur la 20 direction ouest et la 73. Je vous dirais qu'au centre-ville, c'est surtout Capitale, mais Capitale, c'est tout le temps Jamais. Vous passez là, il est 3h du matin, un jour férié, Noël, c'est Jamais. Tout le temps Jamais. Même chose pour Charest, entre Duplessis et Robert Bourassa, c'est par choc à par choc, même au centre-ville également. Et du Frémont-Maurinci, c'est un peu moins pire que tantôt, mais c'est quand même très, très compliqué d'accéder à la colline par le... parlementaire, par Dufresne. Continuez de nous écrire. Connaissez-vous Paxlovid, un médicament oral de Pfizer? Pour en savoir plus, CSM demande à votre pharmacien ou à votre médecin s'il pourrait vous convenir. Paxlovid! Découvrez-le!
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[02:53:13] Speaker C: Devant notaire?
[02:53:14] Speaker F: Devant notaire.
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[02:53:17] Speaker F: Absolument. Vite de même.
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[02:54:30] Speaker A: La chronique auto de Marc Bouchard, présentée par les Silencieux Proto.
[02:54:34] Speaker C: Votre voiture fait du bruit? Silencieux Proto évalue votre véhicule sans frais, répare et fabrique vos systèmes d'échappement sans rendez-vous. Silencieux Proto, à Québec et Lévis.
[02:55:05] Speaker G: Ça va très bien, vous autres.
[02:55:06] Speaker B: Conduis-tu un char électrique? Moi, je suis venu avec mon 4XE ce matin. Il me reste 30 % de batterie.
[02:55:12] Speaker G: XC90 hybride branchable de Volvo, mon cher.
[02:55:15] Speaker B: Répète.
[02:55:16] Speaker G: Le Volvo XC90.
[02:55:18] Speaker B: Oui, mon ancienne voiture. Hybride branchable. Hybride branchable.
[02:55:21] Speaker A: Oui.
[02:55:21] Speaker B: T'es-tu satisfait? Oui, beaucoup. Cher! C'est un char qui est de luxe, ça!
[02:55:25] Speaker G: Oui, ça vaut près de 100 $.
[02:55:26] Speaker B: Mais ça va avec le Bowers & Wilkins dedans, tant qu'à être parti?
[02:55:29] Speaker G: Oui, oui, non, c'est la totale.
[02:55:30] Speaker B: Ma chère, ma chère. C'est du vrai cuir, c'est pas de la cuirette.
[02:55:34] Speaker G: C'est du vrai cuir, c'est pas de la cuirette. C'est du vrai cuir, c'est pas de la cuirette. C'est du vrai du vrai cuir, c'est pas de la cuirette.
[02:55:38] Speaker B: C'est du vrai cuir, Oui, oui, oui, oui. Mais tu peux manger un burger V. c Un veggie burger de McDo à l'intérieur également.
[02:55:46] Speaker G: Ils sont en cuire vegan.
[02:55:47] Speaker B: Ah, seigneur!
[02:55:48] Speaker G: C'est du cuir de pomme.
[02:55:50] Speaker B: Et les vaches en sont fort satisfaites, nous disons, sur le texto.
[02:55:53] Speaker G: Ceci étant dit, 57 km d'autonomie pour le Volvo, ce qui est quand même correct pour un véhicule comme ça.
[02:55:58] Speaker B: C'est le confort, c'est du Volvo.
[02:56:00] Speaker G: Et je te rappelle que quand je suis parti de la maison ce matin, il faisait 2 degrés quand même, malgré tout. Donc, il s'en est quand même bien tiré avec la température. Écoute, le grand confort, j'ai fait 210 km ce matin, j'ai fait brasser mon petit dos. Tu peux choisir le type de massage que tu veux, la musique que tu veux.
[02:56:17] Speaker B: T'écoutes quoi comme musique en temps venant?
[02:56:19] Speaker G: Je suis un gars de podcast en fait. Beaucoup de podcasts de tous les genres, true crimes ou des affaires.
[02:56:30] Speaker B: T'écoutes-tu des podcasts de char ?
[02:56:32] Speaker C: Rarement.
[02:56:33] Speaker G: Parce que je ne vais pas me laisser influencer parce que mes collègues pensent. Fait que j'essaye de pas écouter ce qu'ils disent. À moins que j'aie moi-même publié quelque chose sur cette voiture-là, là, je vais peut-être aller écouter ce qu'ils ont à dire. Mais souvent, souvent, j'aime mieux ne pas le faire, justement pour pas que... T'sais, à un moment donné, t'es écrit pis t'es comme influencé par ce que t'as entendu ailleurs. J'aime mieux me faire mon idée pis après, on écoutera.
[02:56:55] Speaker B: Écoutez, écoutez, écoutez Marc, et surtout, écrivez à Marc pour Dan vos questions, le jeu de questions concernant des Porsche Macan. Dan va lire ça, hein, Dan? T'en as-tu pas pris?
[02:57:06] Speaker A: Oui, oui, j'en ai tout le temps.
[02:57:07] Speaker G: Excusez, messieurs, avant, je peux-tu juste réagir.
[02:57:09] Speaker B: À ce que le PDG... Bien oui, non, mais la parole est à toi.
[02:57:11] Speaker G: M. le PDG, Yann Samiucci, vient de vous dire, c'est vrai ce qu'il a dit en partie, il a oublié de dire cependant que la nouvelle norme annoncée par le gouvernement du Québec incluait maintenant les hybrides traditionnels. Donc ça, c'est pas les hybrides branchables, c'est comme des Prius, c'est comme d'autres voitures qui vont être considérées comme zéro émission à 25%. Donc ils vont valoir un quart de crédit.
[02:57:34] Speaker B: Est-ce bon ou mauvais?
[02:57:35] Speaker G: Moi, je pense que c'est mauvais dans le sens où c'est comme... Ça devrait.
[02:57:38] Speaker B: Compter pour un crédit plein. Il me semble que ça pollue pas beaucoup.
[02:57:41] Speaker G: En fait, pas du tout. Ça devrait même pas être calculé d'un crédit parce que, objectivement, selon les statistiques, ça pollue. Ça émet 300 fois plus de gaz à effet de serre qu'un char électrique. L'idée, c'est juste que moi, je trouve que la CAQ a fait un bon coup marketing.
[02:57:56] Speaker B: Ça, c'est du politique, eux autres, ce qu'ils vendent. Pas de l'écologie.
[02:57:59] Speaker G: Alors là, ils ont dit on baisse à 90 %, ça fait plaisir à tout le monde, M. le Président vient de vous le dire, ça lui fait plaisir. Ça fait plaisir aux gens qui n'étaient pas convaincus parce qu'ils disaient, regardez, on l'avait dit qu'il baisserait. Puis ça fait plaisir à ceux qui ont une hybride ordinaire en disant, regarde, maintenant, je suis là. Quand M. Samucci nous dit, bien, il va falloir payer 101,5 milliards en crédit, C'est vrai, mais si tu vends une hybride, bien, t'as un quart de crédit de moins à payer et ainsi de suite. Je vous rappelle que c'est comme ça que Tesla s'est gardé en vie pendant cinq ans parce qu'il recevait jusqu'à 300 millions par année US en crédit carbone qu'il vendait à d'autres compagnies par la cause de la loi en Californie.
[02:58:35] Speaker B: Est-ce que c'était légal?
[02:58:37] Speaker G: C'est absolument légal. C'est-à-dire que quand tu payes, ce que M. le Président disait, c'est qu'il va payer 1,5 milliard au gouvernement, sauf que les manufacturiers peuvent l'acheter de d'autres manufacturiers qui en ont trop. Fait que mettons qu'il faut que tu produises 100 chars électriques. pour atteindre ton objectif. Si t'en produis 150, les 50 supplémentaires, tu peux vendre ces crédits-là à ton concurrent. L'overflow.
[02:58:57] Speaker B: Parce que toi, tu réponds à la commande.
[02:58:59] Speaker G: Exactement. Donc, il y a des compagnies qui ont réussi à survivre. Cette année, c'est GM qui est en tête avec ça. Mais pendant 5-6 ans, ça a été Tesla avec plus de 300 millions. Quand la compagnie faisait 372 millions de profits, elle en faisait 357 millions de ventes de crédits. Ça veut dire qu'elle faisait 20 millions de profits avec la vente de chars.
[02:59:17] Speaker B: Dan, les questions du public.
[02:59:19] Speaker A: Oui, j'ai ça. Il y a plusieurs questions qui rentrent au travers. Au Mexique, c'est rempli de voitures. Les gens ont des réactions plus que des questions. OK, Porsche Macan 2021, 100 000 km, fiable à acheter ou on touche pas à ça?
[02:59:34] Speaker G: Oui, le Porsche, c'est un véhicule très, très, très, très fiable. Il n'y a pas de problème. Le problème, c'est que vous le payez cher, mais vous payez pour le nom. Ça fait que quand vous le revendez, il y a aussi une bonne valeur de revente. Mais au niveau de la fiabilité, il.
[02:59:45] Speaker C: N'Y a pas de problème.
[02:59:45] Speaker A: Pourquoi le CR-V hybride branchable n'est pas disponible au Canada?
[02:59:48] Speaker G: Ça, c'est une décision de Honda. Et si j'étais capable de répondre à cette question-là, je le ferais avec beaucoup d'autres compagnies, notamment les électriques de Volkswagen et de nombreux autres. Alors, je ne le sais pas. La réponse, c'est j'ai aucune idée. C'est un véhicule qu'on devrait avoir, qui est tout à fait conforme aux exigences québécoises.
[03:00:05] Speaker B: En plus!
[03:00:05] Speaker G: Ah oui! Puis le pire, regardez-le, il est beau, il va bien, il a des bons commentaires.
[03:00:10] Speaker B: Fabriqué à quelle place? Aux States?
[03:00:12] Speaker G: Oui, au States, puis on l'a pas. Il est pas chez nous.
[03:00:14] Speaker B: On a un catalogue restreint au Canada, il faut le dire.
[03:00:17] Speaker G: Absolument.
[03:00:17] Speaker B: T'as parlé de Vaux. Regarde tout ce qui se vend en Europe. La Polo, entre autres. Tu sais, des petits chars que certaines personnes achèteraient ici.
[03:00:25] Speaker G: Vaux, c'est le plus bel exemple. Ils ont une gamme complète de véhicules électriques. Imaginez-vous, ils ramènent le Touareg en version électrique, puis il viendra pas en Amérique du Nord.
[03:00:34] Speaker B: Touareg. C'est écoeurant, ça. La plateforme de Cayenne.
[03:00:37] Speaker G: Mais ils ramènent en électrique, mais ils l'amènent pas au Canada.
[03:00:41] Speaker B: Je comprends pas cette stratégie. Il y a plein d'idées comme ça.
[03:00:46] Speaker G: Il y a beaucoup de gens qui commencent à faire des pressions aussi auprès du gouvernement fédéral pour dire, insister auprès des manufacturiers européens qui nous amènent du stock, mais pour le moment, on n'en a pas.
[03:00:55] Speaker A: Toyota Camry, est-ce qu'il y a un changement de modèle à prévoir en 2026?
[03:01:00] Speaker G: Non, ça vient d'être fait il y a à peu près deux ans. C'est un véhicule qui a même fait un an et demi. C'est un véhicule qui est super efficace, qui est super joli dans sa nouvelle mouture. Si vous aimez le genre Toyota, puis c'est toujours aussi fiable, alors non, ça ne changera pas tout de suite.
[03:01:13] Speaker A: J'ai une Toyota IM Corolla 2017. Je me demande s'il faut que je change l'huile à transmission.
[03:01:18] Speaker G: Écoutez, ça, je ne pourrais pas vous répondre. Faites-le inspecter. Je pense que quand vous allez faire changer vos pneus, d'ailleurs, je suppose que vous avez tous pris vos rendez-vous pour vos pneus, faites-les inspecter. À ce moment-là, ils vont vous le dire. Ça devrait. Vous devriez le faire. Mais regardez aussi le manuel de l'utilisateur. Il y a des normes très précises au niveau du kilométrage et de la distance parcourue, ce genre d'éléments-là.
[03:01:38] Speaker A: Je fais 32 kilomètres... ça se peut presque pas, là. Je vais dire par année. 32 000 kilomètres par année, parce qu'il me dit 32 000 kilos par mois. 32 000 kilos par mois, c'est... Faut.
[03:01:50] Speaker B: Que t'ailles en Arkansas, faut que tu reviennes plusieurs fois, alors.
[03:01:52] Speaker G: C'est 350 000 kilomètres par année.
[03:01:54] Speaker B: Non, c'est sûr.
[03:01:54] Speaker A: Ça commence à être loin. J'ai 1300 piastres de per diem pour mettre sur une location. De par ma business, je recherche un gros VUS à 32 000 kilos par année.
[03:02:03] Speaker G: Un gros VUS, écoutez, ça dépend c'est quoi votre définition d'un gros VUS. On ira pas dans les Yukon parce que c'est beaucoup plus cher que ça. Donc vous allez vous contenter des trucs genre Hyundai Santa Fe, Hyundai Palisade. Je vous donne ces exemples-là parce que j'ai essayé récemment. Moi je pense que les coréens, Hyundai Palisade, Kia sont probablement les meilleurs. Le Kia Telluride sont à mon avis les meilleurs dans cette catégorie-là. Si vous voulez un petit peu plus de luxe, tournez-vous vers probablement les Buick Enclave qui sont quand même intéressants.
[03:02:32] Speaker A: Mon GMC 1500 arrive en fait bail. Est-ce que je le garde ou j'en rachète un autre?
[03:02:39] Speaker G: Ça dépend de son état, ça dépend de son kilométrage, ça dépend de ce que vous avez fait avec, ça dépend de l'entretien que vous avez fait avec. Mais ce qui est certain, c'est que...
[03:02:46] Speaker A: Gantez-vous, c'est le fun d'avoir un char neuf.
[03:02:49] Speaker G: Ben moi j'étais pour dire, ça dépend...
[03:02:50] Speaker A: T'sais, la vie c'est faite pour des petits plaisirs, pis je pense qu'avoir un char neuf, ça fait partie des plaisirs.
[03:02:53] Speaker B: Ben y'en a qui ont la misère d'arriver en maudit, ils vont dire... C'est pour ça que les annonces, ils mettent 200 par mois, mais là tu lis le fine print, sur 100... Je sais pas combien de mois, c'est complètement débile.
[03:03:04] Speaker A: Mais racheter une location versus s'en prendre une autre, c'est la même mensualité. Il économisera pas une scène.
[03:03:09] Speaker G: Non, il va avoir un actif, ce qui ne sera pas le cas en location. Le truc compte dans ses actifs s'il l'achète. Ça dépend en fait de ce que vous avez justement comme situation personnelle. La location, moi je suis un gars qui loue parce que j'aime ça.
[03:03:23] Speaker B: Je loue parce que je change d'idée au deuxième.
[03:03:25] Speaker G: Moi aussi, je suis pareil.
[03:03:26] Speaker B: Mais attention les ballons.
[03:03:27] Speaker G: Mais financièrement, c'est zéro rentable. On perd beaucoup d'argent en faisant ça. Sauf si vous êtes capable, comme travailleur autonome, de faire des déductions. Et là, c'est intéressant.
[03:03:36] Speaker B: Et là, ça devient plus intéressant.
[03:03:38] Speaker G: Mais là, c'est une vision fiscale.
[03:03:39] Speaker A: Mais en même temps, les chars partent tellement de valeur que si t'achètes, faut que t'achètes sur vraiment peu longtemps. Faut que tes mensualités, ton terme, soit sur un maximum de 36 mois. Si tu veux pas perdre d'argent. À partir du moment où tu le prends sur 4, 5, 6 ans, ton char, tu perds de l'argent. En location ou en achat. Parce qu'on s'entend qu'un pick-up GMC de 8 ans, il vendra pas ça 3000 piastres.
[03:03:59] Speaker G: Non, mais ça dépend combien de temps tu le gardes. T'sais moi je regarde, j'ai une de mes soeurs là, je me dis moi son char je l'achèterais de n'importe quand. Il a 10 ans, il a 62 000 kilomètres, c'est plus propre que le salon de la cuisine chez nous.
[03:04:10] Speaker B: Le body est parfait.
[03:04:11] Speaker G: Le body est parfait, elle l'a fait en tirouille tous les ans, elle le fait nettoyer par des professionnels deux fois par année.
C'est le genre de char qui est neuf, mais il a 10 ans. Fait que ça dépend toujours de la voiture, ça dépend comment tu l'entretenus, puis ça dépend ce que tu veux faire avec ton pick-up. Si t'en as pas besoin d'un neuf, puis tu t'en sers pour remorquer 4 fois dans l'année, ça va peut-être la peine de le garder parce que tu vas payer pas mal moins cher pour ce que t'as avec ton pick-up de 8 ans que si tu vas t'en chercher un qui va te coûter 1200$ par mois. Fait que ça dépend beaucoup de la situation, puis de l'état du camion lui-même. Si le camion a 250 000 km.
[03:04:43] Speaker B: Je vous dis, gardez-le pas. C'est ça, commence à être fatigué, là. C'est ça.
[03:04:46] Speaker A: Est-ce que dans l'usager, il y a encore du bon pour 15 000 $?
[03:04:50] Speaker G: Oui, ça dépend évidemment des formats. Mais oui, vous pouvez trouver de très bons véhicules pour 15 000 $. D'ailleurs, étonnamment, actuellement, le marché d'occasion, c'est le meilleur moment.
[03:05:01] Speaker C: Ah oui?
[03:05:02] Speaker G: Pourquoi? Je ne sais pas. Parce qu'il n'y a tellement plus de neuf, en fait. Les gens ont comme tout acheté des neufs récemment parce qu'ils ont tous eu peur des tarifs. Là, ils se sont retrouvés avec pas mal de voitures d'occasion. Je vous le dis, donnez-y un mois, deux mois maximum, puis ça va repartir à la hausse. Mais alors que le prix...
[03:05:18] Speaker B: Il y a de gros inventaires dans l'use actuellement.
[03:05:21] Speaker G: Oui, puis alors que le prix des voitures neuves a augmenté de 5 %, celui des voitures d'occasion a plutôt baissé de 3 %.
[03:05:27] Speaker B: C'est vraiment intéressant ce que tu dis. Au Québec.
[03:05:30] Speaker G: Au Québec. Alors, pour le moment, on est dans cette période-là. À cause de l'incertitude et de tout ce qui est venu avec, comme je vous l'ai dit, les concessionnaires s'étaient pactés des inventaires de neuf et ils ont vraiment poussé fort sur les gens pour renouveler les voitures neuves. Donc, ils ont vendu beaucoup de voitures au cours de l'été.
[03:05:46] Speaker B: Donc, il y a des gens qui, nécessairement, se sont départis de leur char qui date de 5, 6, 7, 8 ans.
[03:05:51] Speaker G: Et là, pour le moment, on est comme dans la période de transition entre il y a beaucoup de voitures d'occasion puis il n'y aura plus de voitures neuves. Donc, on est dans la période où c'est le moment d'acheter, mais je vous le dis, dans un mois, ça peut changer radicalement.
[03:06:02] Speaker A: Dan, 130 000 kilos. Toyota Corolla 2010, 7000 $, est-ce que ça vaut la peine?
[03:06:08] Speaker G: Oui, sans problème. Une Toyota Corolla... Écoutez, une Toyota Corolla, là, il a trois vis puis deux bolts après ça. C'est un char qui est super résistant, qui est bien fait. S'il a été... Évidemment, ça prend toujours une inspection. Ça, là, je suis le plus grand partisan des inspections pour les voitures d'occasion. Et assurez-vous que ça a été fait. Si l'anti-roue a été faite, en plus, vous avez un char qui va vous durer encore des années.
[03:06:27] Speaker A: Puis même sur le finance, 7000, un char qui a 15 ans.
[03:06:30] Speaker G: Regarde, mon fils s'est acheté, il y a trois ans, une Mazda 3 2011, parce que lui, bon, il est resté à Montréal puis il n'en avait pas besoin. Il a payé 6500 $ le financier, puis il l'a revendu 4500 $ un an plus tard. Alors qu'il l'avait un petit peu m'a gagné.
[03:06:46] Speaker A: Donc oui, j'en ai d'autres questions. Polestar 3, on l'achète ou on l'ouvre ou on passe à un autre appel?
[03:06:54] Speaker G: Ah non, moi j'aime la Polestar 3. C'est particulier, mais c'est très très très très cher. Fait que moi j'irais en location dans ce cas-ci parce qu'effectivement c'est très dispendieux comme véhicule. Mais moi j'ai beaucoup aimé conduire ça.
[03:07:05] Speaker A: Et qu'est-ce que tu penses du palissade hybride?
[03:07:08] Speaker G: J'ai pas conduit le palissade hybride encore. J'ai conduit le palissade tout court. Et honnêtement, le nouveau 2026, il est impressionnant. Il est bien fait, il est solide. C'est d'ailleurs l'auto que j'avais quand je suis venu vous voir la dernière fois, qu'on a mis dans l'émission Virage qui est sortie cette semaine. Donc honnêtement, c'est un véhicule que j'aime bien gros, qui est vraiment bien réussi.
Écoutez, c'est sûr que pour avoir les options les plus chères, vous allez tomber dans un véhicule qui est assez dispendieux, mais c'est un véhicule solide.
[03:07:37] Speaker B: On peut y aller avec une petite dernière, peut-être, Dan? Tandis quoi, on va se garder un 14 pour Mark Griffin.
[03:07:44] Speaker A: Qui a forté 2016 SXT de GDI pour 10 000$?
[03:07:50] Speaker B: Je connais.
Rien là-dedans, vas-y. Tu connais tout.
[03:07:54] Speaker G: La SXT, c'est la version. Puis le GDI, c'est le moteur. C'est donc un moteur à injection directe. Ça veut juste dire ça. Faites attention. Entre 2015 et 2018, Kia et Hyundai ont eu des problèmes avec certains moteurs. Normalement, je pense que c'était le 2.4 qui était le pire. Ils ont eu beaucoup de rappels. Il y a des moteurs qui claquent. Il y a même des moteurs qui ont dû être remplacés. Alors faites une inspection très, très, très solide et vérifiez l'état du moteur avant de vous lancer là-dedans.
[03:08:24] Speaker B: Marc, on peut t'écouter à quelle place?
[03:08:26] Speaker G: Ah bien écoute, de la même façon, c'est le podcast Gottschall que je fais avec mon fils. Si vous avez des questions, passez par la page Facebook Gottschall podcast. Et bien sûr, Virage, je m'en vais tourner Virage là, que vous pouvez regarder sur les ondes de Télémag ou sur YouTube maintenant. Toutes les émissions sont sur YouTube.
[03:08:41] Speaker B: Absolument, c'est excellent. Merci beaucoup de t'être déplacé.
[03:08:44] Speaker G: Ça fait plaisir.
[03:08:45] Speaker B: Je vous rappelle que la semaine prochaine, je ne suis pas là. Oui, congé. Demain, on prend bonne note.
[03:08:48] Speaker G: Et qu'on se reparle dans deux semaines.
[03:08:50] Speaker B: Bon voyage à Saint-Hyacinthe.
[03:08:53] Speaker G: Je m'en vais essayer le nouveau RAV4, mon cher.
[03:08:55] Speaker B: À quelle place?
[03:08:56] Speaker G: À Niagara Falls.
[03:08:57] Speaker B: OK. Youpi. Youpi, mais c'est une des villes les plus leds quand même au Canada. Mais il y a Niagara-on-the-Lake avec du vino.
[03:09:05] Speaker G: On reste à Niagara-on-the-Lake.
[03:09:07] Speaker C: Bravo.
[03:09:07] Speaker G: Pis quand ça redescend, on arrête à Kingston. Pis là, je m'en vais essayer le nouveau Volvo EX30 Cross Country.
[03:09:11] Speaker B: Très bon. Merci beaucoup.
[03:09:12] Speaker G: Ça fait plaisir. Bye bye.
[03:09:13] Speaker B: Petite pause. On parle de baseball en revenant à...
[03:09:17] Speaker F: Le retour.
[03:09:26] Speaker C: De Radio X. Monsieur Gilles Léaulier, la politique, est-ce que c'est terminé?
[03:09:30] Speaker B: J'ai pris une décision, la politique municipale, c'est sûr.
[03:09:33] Speaker C: Oui, terminé.
[03:09:34] Speaker B: Municipal, ça. Au niveau provincial, parce que moi, il y a un dossier sur lequel je veux continuer à me battre.
[03:09:40] Speaker C: Le troisième.
[03:09:41] Speaker B: Parce que si vous voulez du pouvoir, c'est au provincial.
[03:09:42] Speaker C: Si vous revenez au Provincial, ce ne sera pas avec la carte.
[03:09:45] Speaker B: Non, certainement pas.
[03:09:46] Speaker C: Il reste une option, c'est Éric Duhem.
[03:09:48] Speaker B: Il reste l'option Éric Duhem, vous avez raison. On va y réfléchir, mais pour le moment, je n'en suis pas là.
[03:09:54] Speaker C: Mais vous n'êtes pas fermé à l'idée.
[03:09:56] Speaker B: Moi, je ne ferme pas de porte, essentiellement.
[03:10:00] Speaker F: Lundi au vendredi, 15h.
[03:10:20] Speaker C: C'est un matériau renouvelable, écoresponsable, et ça.
[03:10:23] Speaker B: Vient de chez nous.
[03:10:24] Speaker C: Et avec le BOI, on peut pratiquement tout faire. Des bons meubles en BOI, des maisons en BOI, des instruments en BOI, puis plein d'autres choses comme des livres, des.
[03:10:32] Speaker B: Mouchoirs, puis un bille-boquet.
[03:10:34] Speaker C: C'est pas pour rien que c'est un.
[03:10:35] Speaker B: Pilier économique pour tout le Québec qui.
[03:10:37] Speaker C: Fait vivre plus de 900 municipalités. Le BOI, c'est L'industrie forestière du Québec est fière de valoriser cette richesse si essentielle à nos vies. Pour l'action de grâce, faites le plein de bières de micro chez Chaloux. Un vaste choix pour l'Octoberfest et une foule de bières au prix minimum. Chaloux, une entreprise familiale et toujours le plus grand choix au meilleur prix. À Beauport, Saint-Émile et bientôt, Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. STO, centre d'ordinateurs à Québec. Vous rappelle que les mises à jour et supports Windows 10 prennent fin le 14 octobre chez Microsoft. Ainsi, il est recommandé de migrer vers Windows 11 pour assurer compatibilité.
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[03:11:27] Speaker F: Centre d'ordinateurs STO, rue Francarelle, à Québec. L'excellence intégrale. BRN, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait.
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[03:12:03] Speaker B: Ben, passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancer ton téléphone.
[03:12:05] Speaker C: Ah ah! Mais c'est pas un métier, couper des branches aussi proches des fils.
[03:12:09] Speaker B: Franchement!
[03:12:09] Speaker C: J'suis capable!
[03:12:11] Speaker F: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de trois mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec.
[03:12:17] Speaker C: Salut! C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce que mes camarades de Dormivouz et moi, on a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal sûr que tu mets pas le même linge que ton chum. Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme. Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
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[03:15:18] Speaker F: Radio-X, c'est vous.
[03:15:22] Speaker C: Votre propre opinion. Moret. Live.
[03:15:28] Speaker F: Avec Dominique Moret.
[03:15:32] Speaker C: Live.
[03:15:38] Speaker B: Marc a travaillé beaucoup au cours des dernières heures, puis on a le privilège de lui parler. Avant qu'il se remette à travailler, Marc Griffin, c'est un plaisir de te parler ce matin. Comment ça va?
[03:15:47] Speaker C: Ça va très, très bien. Il est fieré au baseball, alors... Bien.
[03:15:50] Speaker B: C'Est quoi ton horaire aujourd'hui?
[03:15:53] Speaker C: Deux autres matchs aujourd'hui, les Cobbs à 15h, Cobbs contre les Padres et à nouveau les Reds ce soir contre les Dodgers.
[03:16:01] Speaker B: Peux-tu me parler, avant de parler des équipes, des leaders, des tendances que c'est en train de prendre, avec les Jays qui ont connu une saison exceptionnelle, parle-moi d'un peu de ta préparation. T'sais, t'es à Montréal, on le sait, t'es pas dans les stades, évidemment, tout à fait impossible de faire ces deux séries-là humainement. Mais comment ça marche? Comment tu te prépares? C'est quoi ta discipline? Il faut que tu sois sur la coche, tu vas chercher tes stats, il faut à un moment donné que tu remplisses du temps, on le sait, le baseball, il y a des temps morts, il faut que tu interviennes au bon moment, il faut que tu sois pertinent. Comment Mark Griffin se prépare?
[03:16:36] Speaker C: Ah, bien, écoute, c'est une très bonne question. Là, ça fait quand même... Ça me réjouira pas, là. Ça fait un petit bout de temps que je fais ça. Mais écoute, souvent, c'est le matin que ça commence. Là, évidemment, il y a des matchs en après-midi. Mais si on prend des matchs habituellement qui sont en soirée, c'est que moi, la première chose que je fais le matin, c'est que je fais une analyse de tout ce qui s'est passé dans le baseball. Et particulièrement, évidemment, les matchs que l'on va faire. Parce que vous savez, durant une saison, on peut faire un lundi, par exemple, un Red Sox-Yankees, puis mercredi, ça va être un... Un match entre les Dodgers et les Cubs, je dis n'importe quoi, mais vous savez, c'est toujours différent. Ce n'est pas comme à l'époque des expos où on suivait les expos. Tu avais juste à te préparer sur l'équipe adverse parce que tu connaissais tout ce qui se passait sur les expos. Évidemment, l'arrivée des réseaux sociaux m'a beaucoup aidé parce que tu suis sur Twitter des gens qui suivent, par exemple, l'équipe des Cubs de Chicago. Donc, il y a eu un gars ou deux qui suivent les Cubs constamment. Il est arrivé aussi de MLB Network. Tout ça a permis d'avoir bien plus d'informations pertinentes que simplement d'avoir ce qu'on appelle les feuilles de presse, tu sais, les espèces de communiqués... pas des communiqués de presse, mais avant chaque match, les équipes publient. vous voulez, des petites notes de presse ici et là. Alors que maintenant, on va chercher bien plus d'informations avec ça. Donc, le matin, c'est important de le faire parce que, vous savez, on a aussi... Là, ce qu'on fait du baseball en français, que ce soit RDS ou vraiment TVA Sports, c'est qu'il faut cacher beaucoup de... de choses qui se passent sur le broadcast américain, par exemple. Alors on prépare des tableaux. Alors quand vous voyez un paquet de tableaux arriver, c'est souvent que le réseau américain montre quelque chose qui n'est vraiment pas pertinent pour nous autres. Alors on met des tableaux. Donc il y a un statisticien qui est en charge de préparer ça. Ça fait que souvent, on va suggérer aux statisticiens des choses à mettre, de la pertinence, préparer l'avant-match, même si ça ne dure que 10 minutes. Alors je fais tout ça le matin. Bonne préparation le matin. Puis j'arrive un bon deux heures et demie avant les matchs. Puis là, on revoit les tableaux. Qu'est-ce qui est pertinent? Qu'est-ce qui est ici? Qu'est-ce qui est ça? Je lis les notes de presse. Puis là, on part la machine à ce moment-là, lorsque le match commence.
Rien de vraiment différent, mais c'est juste que c'est constamment des équipes différentes, alors c'est d'apprendre tout ce qui se passe. Bien évidemment, on a la formation des fillies qui est différente parfois en saison. Pourquoi ils ont enlevé ta joueur? Pourquoi ils ajoutent ta joueur? Puis moi et Alain, on se consulte beaucoup évidemment là-dessus, puis on se complète très bien.
[03:19:11] Speaker B: Parlons de la série qui m'intéresse le plus, celle des Yankees et des Red Sox. Hier, c'est la relève des Yankees qui a foiré. Résultat, il y a un match sans lendemain pour les Yankees ce soir. C'est quoi l'analyse que tu fais de cette série-là, maintenant que Crochet a lancé? Moi, je me place du côté des Yankees, on est débarrassés de lui. T'en dis quoi de cette série-là?
[03:19:36] Speaker C: Écoute, premièrement, on va se le dire, les séries 2-3, c'est cruel au baseball. Tu perds le premier match, puis déjà, tu fais face à l'élimination. Mais, tu sais, je te pose la question, dans le fond, quelle est la force des Yankees?
[03:19:47] Speaker B: C'est de battre les circuits.
[03:19:50] Speaker C: Bon, alors, je sais qu'on affronte Garrett Crochet, qui était sensationnel. Mais à quelque part, il faut que tu trouves une solution. Tu sais, il faut que ta force soit au-dessus de tout dans ces matchs-là. Puis on l'a maîtrisé. Écoute, c'est la première fois, là... Tu sais, la riche histoire du baseball, qu'il y a des buts remplis en série, pas de retraite, puis qu'une équipe marque pas, là. Tu sais, ça apparaît dans l'histoire des Yankees. Alors il faut trouver moyen de marquer des points en 9e match. On l'a pas fait. On l'avait chargé dans les câbles. Ça, ça fait mal. Donc il faut que tu reprennes la force, et dans le match d'aujourd'hui, vous comprendrez qu'il va falloir trouver le moyen de marquer des points. Pas seulement juste via la longue balle, même si c'est la grande force des Yankees, mais il faut marquer des points. Si les Yankees sont limités à un point chaque match, c'est terminé. Exact. Alors c'est ça. Et Brian Beo qui lance aujourd'hui pour les Red Sox est pas mal meilleur à l'étranger que lorsqu'il lance au Fenway Park. Bien, c'est... Enfin, écoute, regarde, on peut lancer une paquette...
[03:20:50] Speaker B: Il y aura dans une bonne saison, on verra.
[03:20:52] Speaker C: Bien oui, exact. Exact, exact. Alors, t'sais, puis l'avantage que les Red Sox, je m'excuse, peuvent avoir là-dessus, c'est qu'on vient d'affronter un gaucher, Max Reid, qui a été très bon. Faut déjà le dire aussi. Très bon. Et là, on affronte un autre gaucher. Alors, vous savez, c'est pas toujours évident pour les Red Sox, mais l'avantage, c'est que lorsqu'on est arrivé avec des releveurs du côté des Yankees, là, on a pu mettre nos meilleurs frappeurs gaucher.
Ça va être une situation similaire. Il y a un releveur gauche, pratiquement, dans l'enclos des Yankees de New York. Donc c'est sûr que c'est un droitier qui va arriver en relève. Et là, on va avoir complètement un changement de formation du côté des Bradshawks. Comme c'est arrivé hier, d'ailleurs, et c'est Yoshida qui a eu le gros coup de jeu, qui n'a même pas commencé le match.
[03:21:34] Speaker B: Peux-tu me parler des autres séries? Et quel club risque de nous surprendre le plus? Quel club est dans un momentum? Prenons l'exemple des Tigers. Ils ont eu une très mauvaise fin de saison. Je pense qu'ils en ont perdu 11 ou 12 de fil. Et là, évidemment, hier, c'est le détenteur, Duda Young, qui a lancé ce coup de balle, un match absolument exceptionnel. Quel club pourrait nous surprendre? Et quel est le club d'excellence, selon toi?
[03:22:00] Speaker C: C'est une question qui est difficile à répondre compte tenu que ce n'est pas toutes les équipes qui jouent. Les Blue Jays sont en congé, les Phillies sont en congé. Les Brewers de Milwaukee, personne n'en parle. Ils ont connu une saison phénoménale à tous points de vue. Moi, je les trouverais dangereux en Syrie.
Dans l'Américaine, moi, ce sont les Mariners que je trouve que... Tu sais, on parle beaucoup des Yankees, puis des Red Sox, puis des Blue Jays, c'est bien correct, mais attention aux Mariners de Seattle, puis c'est pas juste Kyle Riley, c'est pas parce qu'il y a un receveur qu'il a frappé 60 circuits, c'est... C'est une équipe qui a été transformée après la date limite des transactions. Moi, c'est une équipe que je trouve qui pourrait veiller très, très tard cette année. Bon, ceci étant dit, ça joue sur le terrain. Je ne vois pas une équipe, par exemple, comme les Tigers ou les Guardians, par exemple, s'ils remportaient la série. Je ne les vois pas nécessairement aller très, très loin.
[03:22:57] Speaker B: Parler des Jays, moi, j'ai trouvé l'acquisition de Bieber brillante. C'est un coup de dé. Regarde, pas rétabli, il n'a pas pitié de l'année. C'est un coup de dé, on verra. Mais vraiment, ça, ça peut faire une différence. Bischerzer, on voit qu'il manque de gaz. Moi, je pense que je l'emploierais plus en longue relève que partant. Mais c'est toi le spécialiste. Parle-nous un peu des Jays qui sont en repos et espérons que Bichette va revenir pleinement rétabli de sa blessure. Analyse un peu les Jays ce matin.
[03:23:27] Speaker C: Moi, je ne suis pas un grand fan, évidemment, d'avoir ce congé, le fameux bail. Parce qu'il y a beaucoup de momentum au baseball. Lorsque ça va bien, tu veux que ça se poursuive. Mais dans le cas des Blue Jays, c'est peut-être la meilleure chose qui est arrivée. Pourquoi? Un, on espère que Bo Bichette va être établi. Évidemment, ça va permettre à Bo Bichette peut-être d'être frappeur de choix dans le premier match. On a besoin de son coup de bâton du côté des Jays. Deuxièmement, c'est de replacer cette rotation. Tu parles de Bieber, probablement Gossman, un et deux, peu importe. On va trouver une solution avec ça. Je suis d'accord avec toi dans le cas de Scherzer. Moi, j'irais plus en courte relève avec Scherzer. Pourquoi? Ben, parce que c'est un gars qui regarde son respect à toi.
[03:24:12] Speaker B: Il n'y a pas beaucoup de vélocité, il me semble, contre relève. Tu n'as pas la vélocité de Bednar ou de... Mais vas-y, vas-y donc, ton analyse, toi.
[03:24:19] Speaker C: Non, mais attention, je dis contre relève là, dans le fond, c'est une courte présence, c'est ce que je voulais dire. Ça fait que tu arrives des fois en sixième, tu as besoin d'aller chercher un retrait, tu as deux frappeurs droitiers, il y a une excellente base glissante. Va chercher deux retraits avec Max sur jeu. Tu sais, en série, là, ce qu'on fait l'analyse, là, c'est que vous allez chercher 27 retraits. Puis comment tu vas les chercher, là? Regarde, trouve le moyen de le faire. Alors, si Shearer est capable de chercher deux ou trois retraits en sixième manche parce que c'est trois droitiers de suite, moi, je trouve que c'est là qu'il serait le plus efficace.
[03:24:48] Speaker B: C'est un pont, un genre de pont vers un closer.
[03:24:52] Speaker C: Vers un Dominguez, vers un Hoffman ou des choses de même. Moi, je pense que c'est là que je le verrai le plus efficace, mais bon, c'est mon opinion aussi à moi. Et la troisième chose, c'est de régler Vladimir Guerrero. J'ai pas aimé sa fin de saison. il met des balles en jeu, mais beaucoup de balles frappées au sol. Tu sais, beaucoup de ce qu'on appelle des choppers. Il y a quelque chose à corriger dans son élan. Juste pour qu'il puisse frapper des balles en flèche un petit peu plus, on a besoin de Vlad Guerrero, on se le cachera pas du côté des Blue Jays.
[03:25:25] Speaker B: Alors pour ça... Puis le positionnement dans l'alignement de frappeurs, Guerrero, ça peut-tu faire une différence à ce moment-là pour le motiver davantage, pour déstabiliser le positionnement dans une rotation de frappeurs? Qu'est-ce que t'en penses, Marc?
[03:25:36] Speaker C: Ben, écoute, moi, je le laisserais troisième. Ça reste... Je veux dire, même un Vlad, puis il avait l'air mélangé comme un jeu de cartes, on va se le dire en fin de saison, mais même à ça, il est intimidant. Fait que moi, je le laisserais au troisième rang. Alors que des gars comme Springer font une saison remarquable, puis des gars comme Nathan Lucas... En fait, les Blue Jays, ça va être une équipe fatigante à affronter en série. Pourquoi? C'est l'équipe qui a été la moins retirée sur des prises, c'est l'équipe qui a mis le plus de balles en jeu, donc tu mets une pression sur la défense adverse, C'est une équipe qui a excellé avec des coureurs en position de marquer bonne partie de la saison. Ça fait que, t'sais, c'est pas l'équipe qui va, t'sais, virer tout à l'envers en frappant, t'sais, une quinzaine de circuits. Tu comprends ce que je veux dire? C'est que, bien, on est bons en défense, on fait les choses de la bonne façon. Est-ce qu'il y a des faiblesses? Absolument. Tu regardes la courte relève, ça va être exact. Puis t'sais, même après tes deux premiers partants, là, tu vas avec qui, là? Est-ce que, t'sais, il savait de ce qui vient d'arriver? Puis il y a peut-être un petit peu un manque de profondeur au niveau du muscule, le contenu des problèmes de bériose qui est blessé un peu, Bassett qui a des petits problèmes au dos. Là, c'est un petit peu plus fragile. Mais ça reste une équipe, tu sais, qui avait quand même gagné 93, qui a quand même gagné le championnat de la Division S de la Ligue américaine. Il faut quand même les prendre au sérieux.
[03:26:51] Speaker B: Puis Bieber, l'ancien Cy Young, c'est un coup de D, ça, là, pareil.
[03:26:58] Speaker C: Il y a un attachement entre les Guardians et la haute direction des Blue Jays. Évidemment, ils arrivent tous de cette organisation-là il y a quelques années. Donc, ils ont encore des contacts dans l'organisation. Avec Bieber, il avait déjà commencé sa réhabilitation lorsqu'il a été échangé. C'est un gars qu'on a toujours apprécié là-bas. Oui, c'est un coup de B. Et je vais te dire une chose, c'est à refaire pour sûr que Cleveland ferait la transaction.
[03:27:25] Speaker B: Parce qu'à l'époque... À l'époque, ils ne faisaient pas les séries.
[03:27:30] Speaker C: Ils en étaient, les Defenders, absolument. Alors, ça a tout changé. Donc, les Blue Jays sont en sorte de grands gagnants, certainement jusqu'ici.
[03:27:37] Speaker B: J'ai pogné une dernière, puis on peut finir là-dessus. J'ai pris la fin de ta discussion à RDS avec les gars du 5 à 7 concernant... Est-ce que tu as un documentaire sur les expos? Peux-tu m'éclairer un peu là-dessus, sur la fin des expos?
[03:27:51] Speaker C: Exact. C'est que Netflix s'est embarqué dans un documentaire pour vraiment tenter de... Fermez les livres, si tu veux, sur l'histoire des expos, mais qui était peut-être à blâmer sur tout ce qui s'est passé?
[03:28:08] Speaker D: Écoutez...
[03:28:12] Speaker C: Écoute, je veux dire, ça a été fait de façon très professionnelle. Je dois le dire, là. Moi, j'ai été interviewé là-dessus. Je sais que plusieurs l'ont été aussi. Qu'est-ce que ça va donner exactement au final? Ça, je ne le sais pas.
[03:28:25] Speaker B: Est-ce qu'il peut y avoir Gloria et Samson à les retours?
[03:28:28] Speaker C: Écoute, je ne le sais pas. Tu sais, je sais que David Samson fait partie, évidemment, des gens qui ont été interviewés. Comment tout ça va virer? Moi, t'avouais une chose, par contre. Tu sais, je l'ai mentionné d'ailleurs à RDS. J'étais content dans le sens de participer, de voir ce qu'il y en a. Mais quand je suis sorti de cette entrevue-là, qui a été quand même très, très longue, je me suis dit, là, il est temps qu'on tourne la page. Parce que même si tu me dis que c'est Claude Brochu qui a été blâmé là-dessus, que ce soit Laurier et Samson, on les a perdus.
Peu importe ce qui va sortir de tout ça, on les a perdus et on n'aurait jamais dû les perdre. Moi, c'est ça que je vais retenir de ça.
[03:29:07] Speaker B: Comme les Nordiques, ici.
[03:29:08] Speaker C: Exact, exactement. C'est de revenir sur des affaires. On ne peut pas changer le passé. Peut-être que ça va éclairer les gens un peu plus sur ce qui s'est déroulé. Mais je vais te dire une chose, t'sais, c'est très... Moi, je suis sorti de là, là, en disant... C'est d'avoir encore réouvrir une plaie, puis encore une fois, réaliser, vingt quelques années plus tard, que... qu'est-ce qu'on a fait, là?
Je veux dire, si tu regardes la valeur des franchises du baseball aujourd'hui, pour 100 millions de dollars, j'ai beaucoup d'argent, je le sais, c'est pas la mienne, c'est facile à dire, mais pour 100 millions de dollars en 2004, il y a quelqu'un qui aurait pu garder les expos, puis je suis pas mal sûr qu'on aurait donné le stade olympique avec ça.
Et aujourd'hui, ça vaudrait un minimum de 1,7 milliard, sinon un petit peu plus. Mais on n'a jamais, au Québec, on a l'impression, on n'a jamais vu cette... cette valeur-là. Puis moi, ce que j'ai de la misère à comprendre, c'est que la technologie puis les sports, on savait, il me semble, que ça allait... Ça allait exploser, puis il y en a qui l'ont compris, d'autres qui ne l'ont pas compris, malheureusement.
[03:30:19] Speaker B: La mentalité de Montréal, honnêtement, il y a un côté « loser » là-dedans, on va se le dire. À chaque fois qu'on dit « Ah, il y a un terrain, on pourrait faire un stade avec du communautaire, avec du ci, puis de ça », t'as toujours un levier bouclier de la gauche-gauche. « Ah non, les millionnaires du sport, blablabla ». Il y a une pensée un peu « loser » au Québec, peux-tu le dire, Marc?
[03:30:37] Speaker C: Bon, écoute, c'est sûr que... On se compare à d'autres. C'est sûr qu'ici, au Québec, on se fie beaucoup au gouvernement, je trouve. C'est tout le temps le gouvernement. C'est toujours la faute du gouvernement. C'est toujours ci. Alors que si on veut des projets qui fonctionnent, on peut essayer d'en faire sans toujours impliquer les gouvernements. Moi, c'est un peu comme...
[03:30:57] Speaker B: Quand je parle... T'as eu la famille Rossi, qui est là toujours, évidemment. T'as la famille Bronfman, avec Steven Bronfman, qui demeure un amoureux de... l'argent, puis.
[03:31:08] Speaker C: De plus en plus, tu sais, de plus en plus, je vous dirais, puis l'argent... Il y a des gens qui sont capables de nager dans ces eaux-là, au Québec. Mais il faut avoir la volonté, évidemment, de le faire. Mais, tu sais, ça prend des milliards pour faire des milliards, je comprends ça. Mais...
[03:31:25] Speaker B: Il faut avoir le backing de la société civile. Il faut sentir qu'une impulsion positive, à chaque fois qu'on a une idée du genre... bâtir le stade des expos, il y a toujours quelqu'un qui arrive pour nous taper dessus par en arrière. Ah non, c'est un terrain qui pourrait servir pour les logements sociaux, puis ici, puis ça.
[03:31:42] Speaker C: Mais ça arrive même au niveau local. Il y a des gens que je connais qui ont voulu investir dans des villes. sur un terrain de baseball, donc de façon privée, de dire, je vais mettre quelques... une couple de millions de dollars, parce que je trouve que nos terrains de baseball font pitié. Puis il y a quand même des conseillers de la Ville qui arrivent derrière et disent, oui, mais on pourrait utiliser l'argent pour d'autres choses. Là, c'est son argent, puis il veut... Il veut bâtir un terrain de baisons, on peut-tu lui laisser... En tout cas, alors, tu sais, ça arrive même localement, c'est ce que je veux dire. Alors, c'est sûr qu'on est loin de tout ça, mais si quelqu'un ou une entreprise, pas nécessairement une personne, mais une entreprise avait vraiment voulu, ça aurait fonctionné, puis ce qui est de valeur, c'est qu'aujourd'hui, bien, c'est une belle richesse. Non seulement le propriétaire aurait une franchise qui vaudrait beaucoup d'argent, Mais bon, on sait aussi ce que ça donne auprès d'une ville.
[03:32:34] Speaker B: Le non rayon partout aux États-Unis.
[03:32:37] Speaker C: Exact. Et c'est arrêté de minimiser ça. Je trouvais ça fatigant. Moi, je me souviens, à l'époque des expos, on voyageait. À l'époque, il y avait beaucoup de magazines, le Sport Illustrated. des pages frontipistes de USA Today, avec le nom Montréal dessus, avec Philippe Palloux, avec Vladimir Guerrero, avec Pedro Martinez. Dites-moi pas que ça vaut absolument rien, là, t'sais, c'est... Alors, en tout cas, regarde, on fera pas le débat de tout ça, là, mais c'est ça qu'on retient de ce reportage de Netflix, qui va être très, très bon, il faut le dire en passant, mais qui va être déchirant.
[03:33:09] Speaker B: «Untold» ou «Kill the Montreal Expos». Marc, merci, puis félicitations pour ta performance. C'est rare que je dis ça en honte, mais tu honores la langue française. Bien commenter le baseball en français, il faut le faire, tu le fais très bien. Bravo.
[03:33:22] Speaker C: Bien, je te remercie beaucoup, j'apprécie.
[03:33:24] Speaker B: Salut, bye.
[03:33:25] Speaker C: OK, à bientôt.
[03:33:26] Speaker B: C'est un très, très bon cas de baseball. Bon broadcaster. On va à la pause.
[03:33:31] Speaker A: C'est vraiment le meilleur baseball. C'est le mois le plus le fun pour ça, parce que je sais qu'on est le 31 septembre aujourd'hui.
Mais il reste que c'est le mois d'octobre. J'ai hâte à demain parce que...
[03:33:39] Speaker B: Tu le sens dans les stades?
[03:33:40] Speaker A: Ah oui!
[03:33:41] Speaker B: Tu le sens, le monde est debout!
[03:33:42] Speaker A: C'est malade, c'est malade, c'est malade.
[03:33:44] Speaker B: On n'est plus au mois de juin.
[03:33:46] Speaker A: Ouais.
[03:33:47] Speaker B: On va à la pause et on va se mettre debout pour accueillir le revenant des pays du Sud, Max, qui vient nous parler de viande au retour.
[03:33:54] Speaker C: Ah voilà.
[03:34:04] Speaker A: Voilà! Ça roule chaud là! Ça roule!
[03:34:08] Speaker C: Ça roule!
Radio X.
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[03:35:27] Speaker B: Mais passerais-tu la scie, mon grand? Question de lâcher ton téléphone.
[03:35:30] Speaker C: Ah! Mais est-ce pas un métier, couper des branches aussi proches des fils?
[03:35:33] Speaker B: Franchement, je suis capable!
[03:35:36] Speaker F: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec.
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[03:36:28] Speaker B: Jeu ou ton champ de bataille, il.
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[03:36:56] Speaker H: Alors aujourd'hui, on a Yohan qui nous demande...
[03:36:58] Speaker J: Le mid-century, là, est-ce que c'est juste une mode ou ça va rester, ça?
[03:37:01] Speaker B: Ah, le mid, c'est mid, là. C'est moyen, c'est ça. C'est très moyen.
[03:37:05] Speaker C: Comme son nom l'indique, c'est mid.
[03:37:07] Speaker B: C'est-à-dire que ça va rester moyen.
[03:37:10] Speaker C: Ouais.
[03:37:11] Speaker J: Fait que tu le sais pas, finalement.
[03:37:11] Speaker D: Non.
[03:37:12] Speaker C: Mais les taxes sont payantes en ce.
[03:37:13] Speaker B: Moment, ça, je le sais.
[03:37:14] Speaker A: Jusqu'à dimanche, on paie les deux taxes.
[03:37:16] Speaker C: Sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser.
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[03:38:29] Speaker F: Société Radio-Canada Radio X. Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. Ben, son nom, là... Moray.
[03:38:56] Speaker B: Ben, à ce que ce nom-là... Moray. Ben, je sais pas, il m'inspire.
[03:39:00] Speaker C: Live.
[03:39:01] Speaker F: Avec Dominique Moray. Radio X.
[03:39:06] Speaker A: Bon 31 septembre!
[03:39:08] Speaker B: Salut! C'est un insight pour... C'est une craque à Vincent, qui est le représentant ici, qui m'a donné un live du 31. C'est une craque!
[03:39:15] Speaker A: C'est drôle! Ce matin, on avait...
[03:39:16] Speaker B: C'est un insight, Joe, que les auditeurs pognent pas, mais évidemment, ils écoutent pas l'ancienneté de l'émission. Il faut le dire aussi, là.
[03:39:21] Speaker A: Je sais, je sais. Il y en a beaucoup qui l'ont pogné. Mais c'est un insight, là. Écrivez-moi pas en me disant que je le dépêche.
[03:39:26] Speaker B: Non, non, c'est... Ça s'adresse à quelqu'un dans la boîte ici.
[03:39:30] Speaker A: C'est ça. C'est ça. On s'en reparle le 31 novembre.
[03:39:33] Speaker B: C'est ça. Message à Pierre Couture également. Pierre, t'es dans le rouge. Tu commences 4 minutes en retard. Mais tout ça est de la faute de Max!
[03:39:42] Speaker F: Stakes, you love stakes. We love stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes.
[03:39:55] Speaker C: Stakey, stakey, stakes.
[03:39:55] Speaker B: Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes. Stakey, stakey, stakes.
[03:40:02] Speaker C: Stakey, stakey, stakes. stakes.
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[03:40:02] Speaker H: Stakey, stakey, stakes.
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[03:40:03] Speaker B: Stakey, stakey, stakes.
[03:40:04] Speaker H: Quand tu Stakey, parles à la radio, tu t'assèches la voix, fait que je m'assure que...
[03:40:08] Speaker B: L'hydratation demeure un élément clé de stakey, l'industrie stakes.
[03:40:12] Speaker C: Téléphonique.
[03:40:13] Speaker B: Stakey J'ai vécu ça la semaine passée.
[03:40:14] Speaker A: T'as-tu passé une belle semaine?
[03:40:16] Speaker H: Oui, j'ai dormi comme j'ai jamais dormi.
[03:40:18] Speaker B: On a vu des photos, en tout cas, avec un drôle de chapeau.
[03:40:21] Speaker H: Ça prend ça parce que quand t'as pas de cheveux, c'est la tête.
[03:40:24] Speaker B: Ouais, t'as raison. Je t'ai jamais vu pas de casquette finalement.
[03:40:27] Speaker H: Effectivement.
[03:40:27] Speaker B: OK. Smokesmeet? Yes, forever and ever.
[03:40:31] Speaker H: Effectivement, superbe promo. Dans le fond, les manufacturiers, lorsqu'ils ont des produits comme ça, ils nous avisent d'avance des augmentations. Donc la compagnie nous avisait qu'il y aurait une augmentation majeure à partir du 1er octobre ou le 31 septembre. Le boeuf, pas sûr, le smoke meat. Donc, nous, qu'est-ce qu'on a fait? C'est qu'on a booké, on a grimpé un inventaire pour pouvoir vous permettre d'avoir le même prix que la dernière promotion qu'on a faite cette année. Donc, on parle de 11,34 $ la livre ou 24,99 $ le kilo pour du smoke meat déjà fumé. Il reste juste à le faire estimer. C'est vraiment facile. Puis là, je veux pas être plate, mais au moins d'octobre, il y a une grosse fin de semaine que c'est les travaux puis tout le kit. Ça, là, tu mets ça dans le four. Un peu d'eau, trois heures, trois cents. T'as même pas besoin de t'en occuper. Fait que tu finis ton terrain, puis après ça, t'as un beau party smoke made en rentrant dans la maison.
[03:41:15] Speaker A: Mets une grille, là, pour que ça soit plus la vapeur que l'eau directe, là. Tu veux pas le pocher, tu veux que ça se boule de la vapeur.
[03:41:21] Speaker B: Mets pas ça dans l'eau bouillante, là.
[03:41:22] Speaker A: Non, non.
[03:41:23] Speaker B: Comme le smoke made d'épicerie, là.
[03:41:26] Speaker H: Idéalement, là, tu le déballes, tu le.
[03:41:28] Speaker C: Mets sur site direct.
[03:41:28] Speaker B: C'est une pièce qu'un homme coupé, là.
[03:41:29] Speaker A: Si tu le fais, déballe-le pas avant. C'est ça.
[03:41:32] Speaker B: Ouais, c'est ça. Exact. C'est quelle compagnie?
[03:41:34] Speaker H: C'est Lester.
[03:41:35] Speaker B: C'est Lester.
[03:41:36] Speaker H: C'est le meilleur. En tout cas, selon nous, c'est le meilleur. C'est celui-là que la plupart des restaurateurs utilisent.
[03:41:41] Speaker A: Pour un smoked meat Lester, au prix d'il y a 6 mois, ça se passe 7 semaines chez Pepe Ali.
[03:41:47] Speaker B: Voilà, de live effect.
[03:41:48] Speaker H: Je sais que l'augmentation, je ne l'ai pas en chiffre, mais je sais qu'elle est majeure parce que j'ai plusieurs restaurateurs qui m'ont dit « Wow, c'est la première fois qu'on a une augmentation aussi solide que ça dans le smoked meat ».
[03:41:56] Speaker B: Pourquoi?
[03:41:57] Speaker H: Pourquoi la folie du boeuf? Le chaptel n'a jamais été aussi bas au pays. On a eu des contre-tarifs, il n'y a pas de boeuf américain qui est rentré. Les grands industriels qui font des galettes de boeuf pour les grandes chaînes, d'habitude vont acheter de la trémur, du rougouet, du paragouet. Là, les quotas sont vides. Il n'y a plus de place pour en rentrer. Qu'est-ce qu'ils font? Ils se tirent sur le marché canadien. On est rendu 41 millions aussi avec l'immigration.
[03:42:20] Speaker B: Avec le même cheptel qu'il y a 20 ans.
[03:42:21] Speaker H: Avec le même cheptel, c'est ça. Fait que là, on n'a pas le choix. On n'a pas le choix. Il faut les nourrir, ces gens-là. Fait que c'est sûr qu'on est poigné sur une slum. Puis amener un bœuf à l'abattage, ça prend au moins 28 mois. Fait que même si, mettons, les producteurs, ils vont massivement, ça va prendre au moins deux ans avant de rétablir le marché facilement.
[03:42:37] Speaker B: OK. Mais tu réussis quand même à bien t'en tirer. Tu en as des bonnes quantités, Max?
[03:42:40] Speaker C: On travaille.
[03:42:41] Speaker H: Oui, j'ai des bonnes quantités.
[03:42:42] Speaker A: Oui. Là, je le sais, t'es là, pis je veux pas nécessairement faire ça pendant que t'es là, mais moi, je commence... Complotiste, Dan! Je commence à trouver qu'il y a un peu trop de raisons pour augmenter le prix de la viande un peu partout, pis je sais que...
[03:42:53] Speaker B: Ils veulent nous mettre sur les sauterelles!
[03:42:55] Speaker C: Non, non.
[03:42:56] Speaker B: Sais-tu ça?
[03:42:56] Speaker A: Ben, peut-être, oui.
[03:42:58] Speaker B: Ah, Dan, arrête! Là, j'exagérais.
[03:43:00] Speaker A: Mais...
[03:43:01] Speaker B: C'est vrai que le prix... Avec la galette vegan de McVogue qui vient de sortir.
[03:43:04] Speaker A: C'est fascinant, mais la protéine animalière... Je parle comme un vegan, là.
[03:43:07] Speaker H: Mais ça prend pas grand-chose de faire chuter le marché. Tu sais, la grippe aviaire qu'il y.
[03:43:10] Speaker C: A eu aux États-Unis.
[03:43:11] Speaker B: Le poulet a beaucoup augmenté, je trouve.
[03:43:13] Speaker H: Le poulet a augmenté. Après ça, ils ont mis 25% des contre-tarifs, donc le poulet américain ne rentre pas. Le poulet américain, on n'est pas capable de se suffire au Québec dans le poulet. Et puis au Canada, il y a énormément de poulets américains qui rentrent.
[03:43:24] Speaker B: C'est pour ça que le prix du chèche-terreau, la faillite, comme je disais...
[03:43:27] Speaker C: C'est sûr, c'est sûr.
[03:43:27] Speaker B: À la raison. À la raison.
[03:43:30] Speaker H: Le poulet a tendance à vouloir descendre un petit peu ces temps-ci. mais c'est pas... Ça va pas que.
[03:43:35] Speaker B: Ça va autant augmenter, moi.
[03:43:36] Speaker A: Bien oui, parce que je sais pas si c'est la dernière fois que t'as acheté du... On aura l'occasion de s'en parler, mais moi, je trouve que le poulet est très, très cher, ces jours-ci. Oui, très, très cher.
[03:43:46] Speaker H: Comme je te dis, on semble avoir une tendance vers la baisse. Est-ce que ça va revenir au prix que c'était avant? On verra, là. Ça, moi, là-dedans, moi, je... Et le.
[03:43:53] Speaker B: Porc, demain, c'est plus abordable.
[03:43:54] Speaker H: Le porc est encore très abordable, effectivement.
[03:43:57] Speaker C: Et il y a des découpes de.
[03:43:57] Speaker H: Bœuf aussi qui est quand même encore abordable.
[03:43:59] Speaker C: Faut juste chercher...
[03:44:00] Speaker B: L'aiguillette demeure abordable.
[03:44:01] Speaker H: L'aiguillette baronne, effectivement. Il y a plein de petites découpes. Faut peut-être changer aussi sa vision de voir sur un steak, tu sais. Il y a des gens qui... Wow, le faux filet augmenté. Oui, peut-être, mais surtout sur une mâcreuse.
[03:44:13] Speaker A: Tu vas peut-être faire un saut, ça.
[03:44:14] Speaker H: Va être peut-être aussi bon.
[03:44:15] Speaker B: Belle bavette bien apprêtée, là.
[03:44:17] Speaker H: Donc, effectivement, il y a des découpes qu'on peut s'en sortir.
[03:44:19] Speaker B: C'est good.
J'aime ça parler de bien. On continue ou... Fait que je veux qu'on parle de voyage.
[03:44:24] Speaker H: Effectivement, je voulais faire le point sur le Pepe Tour.
[03:44:26] Speaker B: Oui.
[03:44:26] Speaker C: Y a-t-il sold-out, vrai ou faux?
[03:44:28] Speaker H: Il y a trois bus qui sont sold-out. Sold-out, on ne peut pas les bouger. On a présentement une liste d'attente qui est disponible sur la page de Massoif, ou vous pouvez directement vous appeler les gars, les beaux bonhommes de rail sportif, pour vous mettre sur une liste d'attente pour le quatrième boss. C'est simple, il faut qu'il soit viable. On n'a pas le choix.
[03:44:46] Speaker B: Viable étant au moins 80 % C'est.
[03:44:48] Speaker H: Ça, on parle d'environ 48 personnes. On a déjà 8 personnes sur la liste.
Il y a de la place pour 40 personnes. Mettez-vous sur la liste d'attente, vous ne le regretterez pas. On a travaillé le menu. Je sais qu'est-ce que les gens... On a des commandites solides, on a du stock. Ça va être le pépé tour le.
[03:45:07] Speaker B: Plus... le plus... le plus festif. Le premier en partant. Oui, effectivement. Ça va être le premier à la base, mais ça va être nécessairement le plus festif et le plus nourrissant. Mais ça va être le tour de.
[03:45:16] Speaker H: Rêve sportif le plus festif et le plus nourrissant, effectivement. Et on est en train de...
[03:45:21] Speaker B: Il y en a qui ne reviendront pas vivants.
[03:45:22] Speaker H: Non, il faut qu'elle revienne vivante.
[03:45:23] Speaker A: Je m'assure personnellement que tout le monde revienne vivant.
[03:45:26] Speaker B: Il faut qu'il y ait le même nombre de passeports avec le même nombre de corps humains.
[03:45:29] Speaker H: Ça, on va s'organiser.
[03:45:30] Speaker B: C'est ça ton défi, Dan.
[03:45:31] Speaker A: C'est ça qui me stresse le plus, moi. Puis semble-t-il que c'est un stress normal? On m'a rassuré, on m'a dit oui, c'est normal, Dan, que tu aies ce stress-là, mais tu vas voir, ça passe. C'est le fait de passer avec 50 passeports dans la main. C'est moi qui donne les 50 passeports.
au gars, je sais pas pourquoi, ça m'énerve.
[03:45:49] Speaker B: C'est Anna qui est un casier judiciaire.
[03:45:51] Speaker A: Ben c'est ça.
[03:45:52] Speaker B: Ça rebondit.
[03:45:52] Speaker H: Je pense que les gens, je pense que les gens, ils le savent. Faut pas, faut faire confiance aux gens. On rappelle les guides. On a M. Dan Gravel en personne, on a Doom Dumas, on a Phil Mania qui est là, on a Firefield de Linux, on a peut-être Bas-Julien, tout dépendant, si ils sont là.
[03:46:07] Speaker B: On est dans le gros buveur.
[03:46:09] Speaker H: On est dans les bons guides, je veux dire.
[03:46:11] Speaker B: On a l'équipe de Pépé Holic qui s'occupe du lunch.
[03:46:19] Speaker H: On va avoir des beaux cadeaux pour vous autres. J'ai vu des cadeaux s'en venir.
[03:46:23] Speaker B: Donne des exemples.
[03:46:24] Speaker H: Je ne peux pas donner des exemples. Je veux garder la surprise pour les gens. Une grosse surprise.
[03:46:30] Speaker B: Félicitations, ça a été bien organisé. Dan et ses vidéos. les indices.
[03:46:36] Speaker H: La promo de choix nous a vraiment beaucoup aidé. On est très heureux de l'association, de tous les commanditaires. Puis on n'oublie pas que c'est présenté par Gestok et Gestok, ils sont vraiment...
[03:46:44] Speaker A: Tu m'en vas-tu à Buffalo l'année prochaine, on peut-tu régler ça?
[03:46:46] Speaker H: J'ai parlé à Basse de ça. Basse m'a dit que ça allait être compliqué l'année prochaine avec le nouveau stade.
[03:46:50] Speaker B: Pourquoi? Je voulais y aller.
[03:46:52] Speaker H: Pour organiser des bosses.
[03:46:54] Speaker B: Ça va à plusieurs parce que ça.
[03:46:55] Speaker H: Risque d'être sur le dos quasiment.
[03:46:56] Speaker B: L'effet de nouveauté...
plus gros le nouveau stade, mais il sera plus grand. Il n'y aura pas 200 000 personnes de plus.
[03:47:04] Speaker H: Tout le monde va vouloir aller le voir.
[03:47:05] Speaker B: C'est sûr et certain. OK. Parfait.
[03:47:08] Speaker H: On se voit-tu dimanche?
[03:47:09] Speaker C: Oui.
[03:47:09] Speaker B: Assurément.
[03:47:10] Speaker C: Parce que moi dimanche, je suis en stage.
[03:47:12] Speaker H: Moi, ils m'ont demandé d'aller faire des hot dogs pour me pratiquer, pour être sûr si je suis correct pour faire de la bouffe.
[03:47:16] Speaker B: À quelle heure on arrive dimanche d'ailleurs?
[03:47:18] Speaker A: Dimanche, on pense arriver vers... Toi, tu vas être là vers 9 h?
[03:47:20] Speaker H: Vers 9 h.
[03:47:21] Speaker A: 9H30, moi, je vais arriver, mais je m'attache que les autres animateurs arrivent plus vers 10h, 10h30.
[03:47:26] Speaker H: On m'a dit que JC Duralbock va être là pour 9h.
[03:47:29] Speaker A: JC Duralbock va être là pour 9h?
[03:47:30] Speaker B: Je vais être là vers 9h. Regarde, de 9h à 11h. Je fais de 9h à 11h, moi.
[03:47:34] Speaker A: Tu fais de 9h à 11h, toi?
[03:47:35] Speaker C: Oui.
[03:47:35] Speaker A: OK. Fait que je vais m'arranger également pour arriver pour 9h. Puis, juste dire que sont tous vendus, le Telgate, Radio Wix et Sold Out. Tous les animateurs ont confirmé leur présence, sauf François Guerrier-Py. Donc fgarrierpierreradiox.com, c'est...
[03:47:50] Speaker B: Voilà, c'est le temps. Merci. À tantôt. Là, on est bien réchauffé et on peut commencer l'émission. C'est congé pour Pierre-Énick ce matin.
[03:48:12] Speaker F: Pas de circulaire métro reçu par la Poste? Pas de problème! Cette semaine, économisez sur plus de 7500 produits. Le boeuf haché maigre en format économique est à 144 la livre ou 11,99 le kilo. Les raisins rouges, verts ou noirs sans pépins sont à 1,77 ou 3,90 le kilo. Le beurre d'arachide Kraft au format 700 g à 1 kg est à 4,97. Pour consulter notre circulaire complet en ligne, on se retrouve sur metro.ca. Les conditions s'appliquent. Détail en magasin.
[03:48:40] Speaker C: Le légendaire chanteur-compositeur Chris de Burgh célèbre son 50e anniversaire de carrière avec sa nouvelle tournée solo, le 30 mars, au Grand Théâtre de Québec. Billet en vente ce vendredi à 10 h sur grandtheatre.qc.ca. Tous ses grands succès.
[03:49:03] Speaker D: Chris de Burgh, live.
[03:49:07] Speaker F: D-Harnais, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait.
[03:49:19] Speaker C: Du 1er octobre au 30 novembre, obtenez une remise postale allant jusqu'à 100 $ à l'achat de 4 pneus Yokohama sélectionnés. Les pneus Yokohama, un choix incontournable pour la sécurité et la durabilité. Détail et prise de rendez-vous sur dharnais.ca.
[03:49:34] Speaker F: Des harnais, c'est juste parfait!
[03:49:36] Speaker B: Avec le groupe Nanoq, acceptez votre soumission de Bardot en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. Ou prévoyez de changer votre revêtement extérieur pour le printemps prochain et profitez du réno rabais extérieur allant de 200 à 1500 $. Appelez-nous pour plus de détails au 581-985-6949, visitez le Nanoq Certaines conditions s'impliquent.
[03:50:06] Speaker F: Un cancer ou une maladie rare débarque dans votre vie et vous vous sentez dépassé? Choisir sa pharmacie, c'est un gros plus. La pharmacie La Rivière et Massicotte, c'est la gestion des résultats de labos et des effets secondaires, la collaboration avec votre équipe soignante et votre pharmacien de quartier. À chacune des étapes, un accompagnement bienveillant. Choisir la pharmacie d'expertise La Rivière-et-Massicotte, c'est vous choisir. Lmpharmacienne.com Seuls les pharmaciens sont responsables de la pratique de la pharmacie.
[03:50:36] Speaker C: Chez Performance MA, les prix sont imbattables.
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[03:50:49] Speaker B: PerformanceMA.ca sur la cote de vos prêts.
[03:50:53] Speaker F: Encore une facture d'électricité qui explose.
[03:50:56] Speaker A: Moi, Pat, depuis que j'ai ma thermopompe.
[03:50:57] Speaker C: Lenox, j'ai réduit mes coûts de moitié.
[03:51:00] Speaker A: Pis tu me connais, les économies de cash, c'est primordial.
[03:51:03] Speaker C: En plus, les montants des subventions n'ont.
[03:51:05] Speaker B: Jamais été aussi élevés.
[03:51:06] Speaker A: J'ai jamais été aussi bien chez moi. Confort en hiver, fraîcheur en été et les économies toute l'année. Une thermopompe Lenox, c'est payant.
[03:51:15] Speaker B: Parlez-en à...
[03:51:19] Speaker F: En face de l'aéroport.
[03:51:24] Speaker C: Malade.
[03:51:31] Speaker A: Ce film-là, c'est complètement malade. Hé, on vous souhaite de passer. Oui, les sauterelles. Je vous le dis, c'est comme les grenouilles dans Magnola. Ça va être l'enfer.
9h51, Pierre Couture s'installe. Il est en train de rentrer tranquillement, mais sûrement, dans le studio. Il va sans doute vous parler de son nouveau carrière, parce que ça vous intéresse beaucoup, entendre parler des Browns de Cleveland, donc ça s'en vient. Pierre Couture, Jean-Claude, D.H., Carbeau, Jean-Francis, Max Lacasse, c'est ça le reste de la journée. Je le sais, vous allez rester assis, confortablement, écouter Radio X, parce que c'est la meilleure chose à faire. On se dit à demain. Bye bye.
[03:52:11] Speaker F: Moray Live.
[03:52:13] Speaker D: This is the end of the show.
[03:52:14] Speaker F: J'en ai ma claque la merde.
[03:52:16] Speaker D: Have a great day and remember, swim safe.
[03:52:19] Speaker C: Moray Live.
[03:52:22] Speaker F: Réécoute les meilleurs moments.
[03:52:24] Speaker C: Stop it! Radioix.com.
[03:52:26] Speaker F: L'application Radioix.
[03:52:29] Speaker C: Radio.
[03:52:30] Speaker F: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[03:52:47] Speaker C: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sports.
[03:52:51] Speaker A: La radio des sports au Québec.
[03:52:53] Speaker D: Hey, c'est Jordan. On a eu droit à un match épique hier au Centre Vidéotron entre des sénateurs et des Canadiens. Maudit que ça a brassé. Quand c'était pas Arber qui se battait, c'était le frère de Arber. Quand c'était pas Florian, c'était Jaden Struble. D'ailleurs, mention au co, incroyable. Le gars des scènes qu'on va appeler chose pour la cause est littéralement parti l'aïeul en sang. Bref, du papier sablé à Montréal, on en avait besoin. Enfin un peu de respect. Victoire de 5-0 des Habs sur Ottawa. Merci aux Saints pour la visite à Québec. Une organisation très classe. Dans le baseball majeur, ça se poursuit les Wild Cards aujourd'hui. Mais juste avant, petit récap d'hier sur la première entre les Red Sox et les Yankees. Boston l'a emporté 3-1. Alex Bregman a scellé la victoire en neuvième avec un double très productif. Belle soirée pour lui, d'ailleurs. Et sur le Monticule, Garrett Crochet a été dominant chez les Rouges avec 17 retraits. Ça recommence tantôt 18h08 au Monticule, Brian Bello pour les Sox contre Carlos Rodon pour New York. Si les Red Sox gagnent ce soir, ils vont affronter officiellement les Blue Jays. Sinon les autres matchs. 2-1 Tiger sur les Guardians. Les Cubs l'ont emporté 3-1 sur les Padres. Et les Dodgers ont une quatrième manche payante de 4 points. Victoire de L.A.D. 10-5 contre les Reds.
[03:54:14] Speaker C: Pour plus de sport, ici BPM Sport.
[03:54:19] Speaker B: On parle.
[03:54:35] Speaker G: De réalité économique de l'enfance.
[03:54:37] Speaker C: Jusqu'À la vie très adulte. À 20h, une époque formidable. Prendre son destin en main.
[03:54:43] Speaker B: Et à 21h, dans les médias.
[03:54:45] Speaker C: Notre but, c'est toujours d'évoluer.
[03:54:46] Speaker F: Dans la façon dont on observe les sujets.
[03:54:48] Speaker C: Dès 19h30, Télé-Québec va au-delà des questions et des opinions.
J'ai une question qui me travaille.
[03:55:01] Speaker B: Lors d'un jour férié, ai-je droit à un congé payé?
[03:55:03] Speaker F: Oui. Par contre, si vous devez travailler lors d'un jour férié, votre employeur doit vous dédommager. Les normes du travail pour les questions qui vous travaillent. Un message de la CNESST.
[03:55:15] Speaker C: Pour vos pièces automobiles, votre premier choix, c'est Nordic. Que vous cherchez une pièce pas chère, une pièce équivalente ou supérieure à celle d'origine, Nordic a ce qu'il y a.
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[03:58:48] Speaker B: OK!
[03:58:48] Speaker F: Léopold Lauzon, Lino Zambito, Stéphane Monnet, Christian Page, Jan Alperen, Dr Venny Boucher.
[03:58:54] Speaker B: C'est pas mal ça!
[03:58:56] Speaker F: Les meilleurs collaborateurs sont ici!
[03:58:59] Speaker C: C'est vous! Votre propre opinion!
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[03:59:26] Speaker C: Radio X à Québec. C'est Radio X. Choisis.
[03:59:30] Speaker F: Radio X.
[03:59:32] Speaker C: C'est vous.
[03:59:33] Speaker F: C'est drôle.
[03:59:34] Speaker C: Votre propre opinion. Couture.
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