Maurais Live - Intégral du 06-10-2025

[00:00:00] Speaker A: La radio qui ose un peu critiquer ses leaders. Mais non, mais soyez gentils. Respirez, ça fera pas mal. Tout sera apaisé. Respirez et savourez les grands leaders de ce monde qu'on a. Oui, il y a Saint-Bruno, bien sûr, mais en dessous de Saint-Bruno, il y en a tellement. Lui, au-dessous de Saint-Bruno, il y a personne, bien entendu. Il est dans le Saint-Dessin, assis sur un nuage avec ses godasses. Mais cessez de critiquer. Cessez de bougonner. Acceptez. Souriez. Respirez. Comme disait le dernier médecin qui m'a fait un test de la prostate, prenez un grand respire. Ça prend cinq secondes. Oh, ta prostate est belle. D'ailleurs, je suis dû pour retourner. Mais à date, je suis réglo de ce côté-là. La prostate est belle. Quelle bonne nouvelle! On commence pour des bonnes nouvelles ce matin dans Montréal Live! Mais voyons donc! [00:00:53] Speaker B: Non, non. C'est le deep avant le deep. [00:00:58] Speaker A: C'est le sud et c'est le deep off. Comment ça va, Dan Gravel? [00:01:02] Speaker B: Top shape. [00:01:03] Speaker A: On est content, nous autres, nos clubs de New York sont des clubs de merde, mais on sourit. On est comme des cocus contents. On est de bonne humeur, pareil. New York, c'est pas notre ville, après tout. [00:01:15] Speaker B: Mais hier, moi... Moi, c'est sûr que c'est... Toi, t'avais aucun refuge hier. C'était... Ça arrivait de partout. [00:01:23] Speaker A: Ah oui, j'ai trouvé des refuges, je t'en reparle. [00:01:25] Speaker B: Moi, je me suis refugié... Regarde, sais-tu quoi? [00:01:29] Speaker A: Tu t'es réfugié dans le match de Miami, qui était quand même bon. Oui, absolument. [00:01:34] Speaker B: Il y a eu une couple de bonnes patentes. Les Broncos aussi qui se sont faites, les Eagles. Puis hier soir, les Pats aussi. Il n'y a plus de club invaincu. [00:01:42] Speaker A: Plus de club invaincu. [00:01:43] Speaker B: Les Pats ont un bon début de saison aussi. [00:01:46] Speaker A: Mais il y a des fiches inversées vierges. C'est-à-dire, il y a des clubs qui n'ont pas de victoire. Mais c'est ton club. [00:01:54] Speaker B: C'est juste lundi. [00:01:55] Speaker A: Là, c'est Yankees. Tu veux-tu en parler? Oui, je me suis réfugié. Allez voir mes photos sur le Facebook de Montréal Live. Je suis allé dans la nature. Deux balades en 48 heures le long de la rivière Saint-Charles. Là, vous allez dire, t'as-tu de sacré dedans? Non, non. C'est une balade conjugale avec le canin. Donc, ça a bien été une balade automnale. [00:02:19] Speaker C: C'est quoi, t'écoutais aussi à Yespien Diacho, là? [00:02:22] Speaker A: Regardez The Ocho, The Ocho existe d'ailleurs. [00:02:25] Speaker C: Pour vrai? Oui. Ah oui? [00:02:27] Speaker A: Oui. The Ocho, c'est une émission. [00:02:30] Speaker C: Ah ok, c'est beau. [00:02:30] Speaker A: Oui, mais ça, ça parle du film. [00:02:33] Speaker C: Oui. [00:02:33] Speaker A: Qui était une parodie. Oui. Mais ESPN... Est-ce qu'on va dire ESPN 1, 2, 3? C'est ça, mais ils ont profité du film Dodgeball. Oui. Pour faire une émission. dans ESPN2 ou ESPN News, là. Mais c'est une émission, c'est une vraie émission, là. C'est une vraie émission, là. La pire émission, c'est farfelue, c'est drôle. C'est du lançage de roche. C'est comment t'appelles ça? Le ricochet, t'sais, on est sur le bord d'un lac, on fait faire des sauts à la roche. Mais il y a une expression en anglais, il y avait une compétition dans un village. Non! Oui, l'année passée. J'ai fait des photos Facebook là-dessus. Absolument. Mais hier, c'était une vraie compétition de dodgeball. Eille, ça lance là. Les gars, c'est des athlètes pour vrai. Ils sautent puis... Il y a des commotions. [00:03:23] Speaker B: Il faut être sournois aussi. Se cacher à l'envers de quelqu'un. [00:03:27] Speaker A: C'est ça. [00:03:28] Speaker B: J'aime la stratégie. [00:03:29] Speaker C: Je te regarde à gauche, tu lances à droite. [00:03:32] Speaker A: Oui, c'est ça. [00:03:32] Speaker C: Tous les trucs qu'on avait quand on avait 12 ans, finalement. [00:03:34] Speaker A: Fait que c'est vraiment une compétition de dodgeball, mais c'est dit autre show. Un moment donné, je vais reprendre une saisie d'écran, puis je vais vous le montrer. C'est dit autre show, mais c'est un show farfelu. de trucs complètement débiles. Puis tu as fait des recherches sur Internet. J'imagine qu'il y a des extraits de ça. Ça, je vous dirais que c'est une chose structurée, hier. C'était une vraie compétition. Mais le bowling, c'est pas des autres choses. Bowling, t'as dansé bowling. Mais lançage de roche, j'ai vu ça. Les poches également. [00:04:08] Speaker C: C'est la PBA aussi. Oui, c'est... Parfumeur Bowling Association, hein? [00:04:13] Speaker A: Oui, ça c'est bon, ça. J'aime ça. Mais le dodgeball... Il y a fond curvé. [00:04:16] Speaker B: Il me semble que c'est assez simple, pis c'est le fun, pis on devait organiser ça des tournois de dodgeball. Hé, ballon chasseur à l'école, c'était... [00:04:22] Speaker A: Ballon chasseur à l'école. Moi, j'étais pas bon à ça. [00:04:24] Speaker B: Hé, pis on jouait avec des ballons. [00:04:25] Speaker A: Mousses, pour vrai, là. [00:04:27] Speaker B: Ça nous permettait de nous gâter sur un moyen temps. [00:04:29] Speaker A: Ah non, on était pas à ballons mousses, nous autres, là. C'était un ballon en robeur. [00:04:32] Speaker C: Ben oui. [00:04:33] Speaker A: Ça prenait un cercle en jésus-christ. [00:04:35] Speaker B: Non, c'était des ballons mousses qu'on achetait au primaire. [00:04:36] Speaker C: Ah non, nous autres, c'était des ballons. [00:04:37] Speaker A: Roug Nous autres aussi, ça pincait sur l'avant-bras quand tu recevais ça. [00:04:42] Speaker B: Je me souviens qu'on se gâtait d'aplomb avec la mousse. [00:04:45] Speaker A: Toi, c'est pré-Woke, ton affaire. [00:04:47] Speaker B: Ah oui, c'est pré-Woke. [00:04:48] Speaker A: C'est pré-Woke. [00:04:49] Speaker C: Toi, c'était anti-commission, là. [00:04:51] Speaker B: Ah oui, pré-Woke. [00:04:52] Speaker A: Je pense que Dan était peut-être... Il faut intégrer les filles. [00:04:55] Speaker B: Ah oui. [00:04:55] Speaker A: Nous autres, il n'y avait pas de filles. Non, non, nous autres... Non, c'était en 75. Il n'y avait pas de filles. Les filles jouaient à marrelles. [00:05:01] Speaker B: On jouait avec les filles avec des ballons à mousse, puis je peux te dire que des paires de lunettes, on en a cassé. [00:05:06] Speaker C: Ballon mousse! [00:05:08] Speaker A: Une autre chronique dans le journal. Ben voilà, c'est fait. Une autre chronique. [00:05:11] Speaker B: La violence. [00:05:13] Speaker A: L'apologie de la violence scolaire. Le bullying scolaire chez les jeunes. Des lunettes ont été cassées chez les jeunes. [00:05:20] Speaker B: Ça faisait pas mal le ballon mousse. [00:05:22] Speaker A: Parle deeper. [00:05:23] Speaker C: Je vais dire ça de même. De la même manière qu'ils disent qu'au hockey, les bagarreurs, ça fait en sorte qu'il n'y a pas de coups salauds qui se font ailleurs, le ballon prisonnier, ça servait à du bullying légal. [00:05:41] Speaker A: Oui, régler des comptes. Moi, je t'ai aimé toutes les gangs. Je ne t'ai pas protégé, mais je t'ai aimé. Mais je me fessais pas, je fessais-tu partout, ça allait bien mon affaire. Mais j'étais pas fort, t'sais j'étais pas musclé. Y'en a qui se battaient là, ça se battait là. T'sais l'expression « on regarde ça à 3h20 dans le cours d'école » là, moi c'était pour le vrai là. Et puis ça, c'était pas dans le cours d'école. C'était sauvage, là. Mais moi, c'était dans le cours d'école. [00:06:07] Speaker C: Faut que ça soit dans le terrain adjacent. Faut pas qu'il y ait des profs qui vous arrêtent. [00:06:10] Speaker A: Mais il y avait moins de règles dans ce temps-là, là. [00:06:12] Speaker C: OK. [00:06:13] Speaker A: Puis... Il y en avait un... Je sais pas encore s'il existe, encore, ce gars-là. Mais tu sais, il y en a... C'est capoté, pareil. Il y en a qui sont morts, là, déjà, dans... Tu sais, moi, j'ai pas si vieux que ça, là, quand même. Mais il y en a quand même quelques-uns qui sont décédés dans ma cohorte, si vous voulez. Donc je sais pas si lui existe encore. Éric Duquette, pour les gens de Sherwood. Duquette, son père était remorqueur. Duquette, Autoparts aussi, ça s'appelait de même. Dans le temps qu'il y avait des annonces en anglais, la période avant la loi 100 heures, ça s'appelait de même à Sherwood. Duquette, Autoparts. [00:06:47] Speaker C: Dans le temps qu'il y avait un Galloper, c'était un Galloper. [00:06:49] Speaker A: C'est ça. Et Éric Duquette, lui, il arrachait des têtes. Quand Duquette avait le ballon, c'était... Mais moi, j'étais comme dans sa gang. Puis son père avait de l'argent, mais il avait acheté des machines à boules. En tout cas, bref, on allait jouer aux machines à boules pinball dans son sous-sol. C'était comme... Le gars riche qui allait en Floride deux fois par année. Dans ce temps-là, il va en Floride en 74. Il va pas à l'école, il va en Floride. Il est allé à Parajungle, à Miami. C'était gros. [00:07:18] Speaker C: C'est quoi l'autre sport, s'ils ont tout le temps le droit à deux? C'est quoi l'autre sport, à part le flag football, que les Américains ont acheté à L.A.? [00:07:26] Speaker B: Je sais pas. [00:07:27] Speaker C: Ça aurait dû être le dodgeball. [00:07:29] Speaker A: Dodgeball, bien oui. [00:07:30] Speaker C: Imagine-tu ça aux Olympiques? [00:07:30] Speaker A: C'est athlétique, ça serait... Bien plus que les six magrés des derniers Olympiques. Il y avait du monde qui faisait toutes sortes de six magrés. Ah, le breakdance. Ben oui. Oui, non, j'avoue. Ça, le manet. [00:07:42] Speaker C: Je préfère de loin le dodgeball au breakdance. [00:07:45] Speaker A: Passez un beau week-end, guys. [00:07:46] Speaker C: Oui, sure. [00:07:46] Speaker A: Moi, je suis allé dans la nature. J'ai mis des photos. [00:07:50] Speaker C: Trop chaud. [00:07:51] Speaker A: Mais c'était trop chaud, hein? Ah, vraiment trop chaud. Ah, regarde. [00:07:53] Speaker C: Ah, j'ai été de mauvaise humeur toute la fin de semaine à cause de la chatte. [00:07:58] Speaker A: Paddleboard, beaucoup de paddleboard en fin de semaine. Moi, j'en ai pas fait, mais il y en avait sur la rivière. [00:08:02] Speaker B: Non, non, mais tu te parlais comme un gars qui avait passé la fin de semaine sur un lac avec des petits solides caoutchouc. [00:08:08] Speaker A: Non, moi, je suis témoin de la société. Je vous rapporte ce que les gens actifs font. Oui, oui. [00:08:13] Speaker B: Non, effectivement, ça a été une super belle fin de semaine encore une fois. [00:08:16] Speaker A: Ça le fait. J'ai pris des photos, promené minuit. Hier. Ah, hier, 25. On sait plus comment s'habiller, par exemple. Ça va me permettre de chialer quand même un peu. C'est vrai, pareil. Tu te lèves le matin, tu te mets un hoodie. Mais il fait 25. Mais le hoodie, il est pas endurable. Moi, j'avais mis un hoodie du Rougéor. Mais le hoodie du Rougéor, hier, au Tailgate, il avait plus rapport à 2h de l'après-midi. [00:08:41] Speaker B: Non, non, il avait zéro rapport. [00:08:43] Speaker A: D'ailleurs, tu portais le hoodie du Rougéor aussi. Mais noir. Moi, j'avais porté un blanc. T'as pas parlé. Ça, c'est spécial, pareil. [00:08:51] Speaker B: Tu sais, je fais un break sur la merch des Jets depuis un bout de temps quand je vois Rogear, je sais pas pourquoi. Mais oui, non, on s'était pas parlé, puis effectivement, on avait le même gilet. [00:09:02] Speaker A: Oui, exact. On était les seuls à avoir le chandail du Rogear quand même. [00:09:06] Speaker B: Oui. [00:09:07] Speaker A: Le légionnaire avait quand même le chandail pas rapport. Paul Dolphins. Oh, on s'en reconnaît! Oui! À la Foot Nation, on a le droit. [00:09:18] Speaker C: Des fans des Dolphins, ils me croisaient, faisaient un thumbs up. [00:09:21] Speaker A: Il y en a-tu beaucoup? [00:09:22] Speaker C: La saison va pas bien. [00:09:24] Speaker A: Bien, la saison va pas bien. [00:09:25] Speaker C: Oui, j'en croise. [00:09:26] Speaker A: Hier, j'ai regardé une partie de la game. Excuse-moi, spectaculaire, les Dolphins. [00:09:29] Speaker C: Oui, c'est juste à Caroline, par exemple, qu'on a affronté. [00:09:32] Speaker A: C'est pas grave, ils sont dans la ligne. [00:09:33] Speaker C: Oui, oui, ça a donné un match, tu sais quoi? Ça a donné un match intéressant. Oui! [00:09:38] Speaker A: Comment il s'appelle celui qui a fait des attrapés? [00:09:40] Speaker C: Waddle. [00:09:40] Speaker A: Waddle, mais l'autre là, Warrel? [00:09:42] Speaker C: Ouais, un blanc le Titan. [00:09:45] Speaker A: Oui, exact. Mais toi, Achane? Achane? Achane? Achane? Achane, comment tu la prononces ça? [00:09:51] Speaker B: Achane. [00:09:52] Speaker A: Moi, ça a commencé avec Acane, les gars m'ont corrigé, c'est Achane. Il l'a poigné d'une main, mais il est bon en étal, lui. Il devrait quitter Miami Super, j'imagine, éventuellement. [00:10:01] Speaker C: Il est encore jeune, peut-être qu'il peut faire partie de la reconstruction, je sais pas. [00:10:05] Speaker B: Il y a des patentes hier aussi qui se sont passées. Un ballon qui ramasse un fil de métal, un ballon qui touche un drone... Non! [00:10:13] Speaker A: Dans quel match? [00:10:15] Speaker B: Le fil de métal, c'était les Browns contre les Vikings. [00:10:18] Speaker C: C'est pas une première. [00:10:19] Speaker A: Parce qu'il faut comprendre, le but aérien, c'est un fil. Vous le voyez quand vous allez dans les stades, d'ailleurs. [00:10:25] Speaker C: Ça, c'est la caméra de la XFL. [00:10:26] Speaker A: C'est ça. Puis ils ont adopté. C'est une bonne technologie, c'est sûr que ça peut arriver. [00:10:30] Speaker B: Puis là, il y a de plus en plus de drones aussi qui font leur apparition. Puis dans le match Cowboys-Jets, à un moment donné, sur une passe rabattue qui aurait pu être interceptée, le gars allait chercher le ballon. Le ballon n'a pas eu un drone. Il est tombé en arrière de lui. [00:10:46] Speaker A: Mais le jeu le plus ridicule et loufoque, ça implique les cards. [00:10:50] Speaker C: Ah oui. Il va passer la game à cause de ça. Oui. [00:10:53] Speaker A: Ça là. [00:10:54] Speaker C: C'est pas une première. [00:10:55] Speaker A: Ça c'est pas illégal. [00:10:56] Speaker C: Les gars, ils se pensent déjà dans la zone début. Ils pensent déjà avoir scoré, puis ils laissent aller le ballon. [00:11:01] Speaker A: Mais oui. [00:11:02] Speaker C: Mais c'est parce que si t'es pas rentré dans la zone début, c'est une échappée. [00:11:05] Speaker A: Touché distant, hein, c'est ça? [00:11:07] Speaker C: Bien vu qu'il est sorti... [00:11:09] Speaker A: C'est un touché distant. Parce qu'il a été recouvré dans la zone de début. [00:11:13] Speaker C: Non, il n'a pas été recouvré, il est sorti. Il est sorti de la zone. [00:11:16] Speaker B: C'est reprise de ballon de titan. [00:11:17] Speaker C: Ouais, c'est plus reprise de ballon de titan, c'est qu'il reprend le ballon. [00:11:20] Speaker B: Parce qu'il a touché, c'est la zone de début. [00:11:21] Speaker A: Ok, reprise de ballon de titan. [00:11:22] Speaker C: Fait que toi, tu perds ton toucher, puis l'autre équipe pogne le ballon. [00:11:24] Speaker A: Ouais, c'est ça, c'est ça. [00:11:26] Speaker B: Les Saints qui battent les Giants, il y en a eu des patentes. [00:11:29] Speaker A: Oui, il y en a eu des patentes. [00:11:30] Speaker B: Mais les Texans ont carrément explosé Raven. [00:11:33] Speaker A: Oh, c'est dégueulasse, c'est fini. C'est fini. [00:11:35] Speaker B: C'était particulier. [00:11:37] Speaker A: On va se concentrer sur les remparts. Les Ravens, c'est fini. Les Yankees, c'est fini. [00:11:42] Speaker C: Yankees, c'est fini. C'est dommage. [00:11:43] Speaker A: C'est fini. C'est fini. Je crois pas. Biber. Phil va rire de moi parce que Phil, il est fan des Yankees. Il s'appelle Magnat. [00:11:50] Speaker B: Mais c'est beaucoup, beaucoup de points. [00:11:52] Speaker A: C'est beaucoup de points. Oui. C'est beaucoup de points et c'est surtout... [00:11:55] Speaker C: Deux matchs de suite. [00:11:56] Speaker A: ... l'incapacité des leaders à se lever. Judge, en série, il est pas bon. Il n'est pas clutch, il n'est pas menaçant. Guerrero hier, c'est ça que ça prend. Boum! Il y a du monde sur les buts. Je te fais un ménage. Il faut que tu sois clutch. [00:12:12] Speaker B: C'était malade, ça. [00:12:13] Speaker A: Mais oui, c'est malade. Mais oui, c'est malade. [00:12:15] Speaker C: Les gars ont du fun. [00:12:17] Speaker A: Moi, je n'y crois plus du tout. Les gars ont du fun. Il y a trop de fun. C'est ça qu'il y a. À un moment donné, tu ne peux pas battre le fun. Oui, tu peux peut-être battre les Jays, mais il y a comme trop de fun. Fait que c'est fini, y'a du fun en maudit. [00:12:31] Speaker C: À matin... Et on rappelle que Béchette joue même pas. [00:12:34] Speaker A: Exact. Y'a du monde à matin qui veulent pas aller travailler. Oui, y'a du monde ce matin. Le taux de télétravail à Toronto est dans le plafond. Veston, cravate, embobette. Mal de bloc. 3, 4, 5, 4 villes à matin. Hé que ça fêtait hier, Toronto. On pas habitué. Mais là, ça fêtait. Ils ne sont pas habitués. « Because the Leafs », « Because the Raptors », « Because the Argos ». Mais là, on va leur donner. Mais il y a beaucoup de fun. À un moment donné dans la vie, tu te dis « Ouais, peux-tu combattre le fun ? » Non. Donc, moi, je ne crois pas. Mais sauf que s'ils se font balayer, ça prend un manège. C'est le coach, je dis « Ah, moi ça c'est... » Il faut que quelqu'un paye le prix. Ce n'est pas compliqué. C'est un échec total, s'ils se font balayer pour vrai. Faut que tu rendes ça à la limite au moins. Eh oui, moi j'avais dit un balayage. Je suis un fan des Yankees, regarde. Reprochez-moi là, si vous voulez. Moi j'avais prévu que ça serait un balayage. On écroquait un peu, on brasse la soupe un peu, on donne un show, mais j'avais prévu quand même une victoire des Yankees. Les gens me diraient « Ah, c'est pas fini, Morin ». Oui, comme le chum Phil. Il me trouve très latin. Moi, je le sens plus. Je ne sens pas les Yankees. Je ne sens pas Freed. Candido Cy Young s'est fait défoncer hier. Fait que regarde... [00:13:55] Speaker C: Il a tout ce que les Jays font. Ça marche. [00:13:58] Speaker A: C'est ça. [00:13:58] Speaker C: Il a trop décidé que c'était le Kid qui allait lancer hier, puis Bieber seulement au troisième match. T'es comme... OK, pas sûr. Là, c'est Bieber, t'en fous. Et là, t'as Bieber pour éliminer les Yankees. [00:14:10] Speaker A: C'est ça. Ça se finit demain. On se concentrera sur ses remparts, vont bien, 4 victoires de fil. [00:14:16] Speaker B: Ben non, il va rester du baseball après, là, ça finit à fin du mois d'octobre. [00:14:19] Speaker A: J'ai pas d'intérêt. Ben arrête, là. [00:14:22] Speaker C: Les Jays à la série mondiale. [00:14:24] Speaker A: Oui, le lancé protocolaire Carney. [00:14:27] Speaker C: Hey, d'ailleurs. [00:14:28] Speaker B: Non, non, arrête, là. Arrête. [00:14:30] Speaker A: Doug Ford. C'est votre premier ministre. [00:14:33] Speaker B: Non, non, c'est pas le mien. Il va envoyer Drake. [00:14:36] Speaker A: Oui, c'est ça. Toronto a fait le tour vite. Oui. Drake, Daryl Settler. [00:14:41] Speaker B: C'est ça. Le joueur des Raptors, puis Matt Sundin. [00:14:44] Speaker A: Oui, c'est ça. Scotty Barnes. Parfait. [00:14:46] Speaker C: Sportsnet ont fait, en fin de semaine, une... Je sais pas si c'est la leur, mais peu importe. Mais une... Voyons comment on appelle ça. Une simulation de la saison de la NHL. Ils sont arrivés... Sérieusement, c'est tout croche, le résultat. C'est rare. [00:14:59] Speaker A: C'est souvent tout croche, cette affaire-là. [00:15:01] Speaker C: Ah non, mais à ce point-là, j'ai rarement vu ça. [00:15:03] Speaker A: Quoi? Ils ont donné la Coupe au Norsage de Minnesota. [00:15:06] Speaker C: Finale de la Coupe Stanley entre les Horlurs d'Edmonton. [00:15:10] Speaker A: OK. Encore. [00:15:11] Speaker C: Et les sénateurs d'Ottawa. La coupe au sénateur, MVP Dylan Cousins. [00:15:17] Speaker A: Stay away from drugs. Qu'est-ce que c'est que ça? Stay away from drugs. [00:15:22] Speaker C: Sérieusement, t'es un média, tu fais une simulation, t'arrives avec ça. [00:15:27] Speaker A: On recommence. [00:15:28] Speaker C: On recommence. Celle-là compte pas. [00:15:31] Speaker A: Par contre, j'ai fait une... Attendez, en fin de semaine... [00:15:34] Speaker C: Les Canadiens faisaient pas les séries en passant. [00:15:36] Speaker A: Ça, c'est le journal du Québec, les fameuses prédictions, en fin de semaine. J'ai fait une saisie d'écrans. Attends un peu, il y a tellement de stocks, quand même, qui se sont passés. Je vais enlever mes photos de failles mortes puis de... Je l'ai vraiment échappé en fin de semaine. Beaucoup de photos de rivières. Visiblement, j'étais là. J'étais là-dedans. Non, je l'ai pas sous la main. Mais il y a beaucoup d'analystes. Les analystes, on sait ce que c'est. Puis c'est du sport. Il y a beaucoup d'analystes, quand même, qui ont dit que le Canadien est en finale en fin de semaine. [00:16:07] Speaker B: Ça l'a arrêté. [00:16:08] Speaker A: Ça le sait. [00:16:09] Speaker B: Ah, la fatigue. La fatigue des Panthers. [00:16:11] Speaker C: Le coulaïd. [00:16:12] Speaker A: Le coulaïd roule à plein. Oui. Bien là, les Panthers, oui, ils n'ont pas Barkoff. C'est sûr que ça peut aider, Dan. Il est quand même fini, quasiment pour l'année. Mais tu sais, il y a tellement de blessés. Tu sais, c'est comme moi, je suis un fan du Magic d'Orlando. Le basket, d'ailleurs, off-season, c'est commencé. Ah Magic va finir en première dans l'Est, oui, mais because, because, because, because. À cause des blessés, à cause des blessés, à cause des blessés. Ça, ça fait un peu loser, là. Moi, j'aime ça gagner contre un club en santé. [00:16:41] Speaker B: C'est ça, moi aussi. Moi, j'ai vu une course de canards, en fait. Ça amène des petits canards en plastique, là. [00:16:46] Speaker A: À Diocho? [00:16:47] Speaker C: OK, oui. [00:16:47] Speaker B: Non, non, pas à Diocho. C'est un gars sur Facebook, puis lui avait écrit sur 32 canards le nom des 32 clubs de la Ligue. Puis le premier arrivé en bas, c'est lui qui a gagné la coupe, puis c'est Washington. La prédiction est aussi bonne que toutes celles que vous avez lues dans le journal de Québec en 2016. [00:17:02] Speaker C: Dans la simulation, la meilleure équipe de l'Est, c'était les Highlanders. Je te jure, il n'y avait rien qui marchait dans leur simulation. [00:17:10] Speaker A: Non, non. Les Highlanders n'ont pas de club, là. [00:17:13] Speaker D: Ben non. [00:17:15] Speaker A: Les Highlanders n'ont pas de club. [00:17:16] Speaker B: Vous avez un virus, Doom? [00:17:17] Speaker C: Oui, un virus. [00:17:19] Speaker A: Alors voilà. C'est la coupe Memorial de raccord de Baie-Comeau aussi. Essaye ça, va. Ça se peut que ça arrive. [00:17:25] Speaker B: Rougéor, hier aussi, qui a gagné la misère. [00:17:28] Speaker A: Même une misère, je n'ai pas regardé la game parce qu'on dirait qu'elle n'était pas disponible. [00:17:31] Speaker B: C'est une saison qui, peut-être, peut-être que c'est la saison qui est en train de nous démontrer un certain changement. [00:17:39] Speaker A: Un certain parité. [00:17:41] Speaker B: Une approche de parité. Une approche de parité parce que, tu sais, quand on regarde les résultats depuis le début de la saison, beaucoup d'équipes perdent, gagnent, comptent. Tu sais, c'est McGill qui, encore, n'a pensé pas jouer un tour à Montréal en fin de semaine. C'était quelque chose, ça. On s'en va vraiment, ça va être le fun. [00:17:59] Speaker A: Ça, je ne suis pas au courant, c'est quoi le score? C'était serré? [00:18:01] Speaker B: Ça finit par deux points. [00:18:03] Speaker A: OK. [00:18:03] Speaker B: Encore une fois, une game serrée, puis une game dans laquelle Miguel avait pris devant 14-0. Il a fallu que ça prenne du caractère pour le Carabin pour revenir. Puis les Carabins seront de passage au Stade Télus. Ça, c'est le match... C'est toujours le plus gros match de l'année. [00:18:18] Speaker A: Oui, dans deux semaines. [00:18:20] Speaker B: C'est dans deux semaines, évidemment qu'il y a des Telgate Radio X, on va vous en reparler, mais je vous dirais, si vous voulez y aller, dépêchez-vous parce que déjà en fin de semaine, il n'avait pas encore commencé à être annoncé et il y a presque la moitié de parti, oui. [00:18:33] Speaker A: Tu pourras-tu changer la TV de poste? Je t'inquiéterais de voir des jeux de DJs. [00:18:37] Speaker B: Je te promets, je fais ça à pause. [00:18:39] Speaker A: C'est pas supposé d'être là, là. [00:18:40] Speaker B: Non, c'est pas supposé d'être là, non. Parce que Pee Wee a gagné le baseball. [00:18:45] Speaker A: Parce qu'il faut expliquer aux gens qu'on a une télé juste vis-à-vis toi, mais c'est pour regarder ce qui se passe en cours. C'est pas pour regarder les statistiques des Jays. [00:18:52] Speaker B: Non, c'est sûr. Puis c'est il y a longtemps, les. [00:18:55] Speaker A: Stats de Vlad, ils ont... Ça fait 7 ans. [00:18:57] Speaker B: Mais quel coup de canon! Pour vrai, hier, Vlad... [00:19:00] Speaker A: On l'aime, il est... C'est un Québécois? Oui! Moi, là, le talent québécois, le talent local, vous me connaissez, guys. [00:19:08] Speaker C: D'ailleurs, y'a pas de message de François Legault? [00:19:10] Speaker A: Non, hein? Talent local? Y'est plus québécois que Kamala. [00:19:16] Speaker B: Ben, pas mal plus québécois. [00:19:17] Speaker A: Kamala, qui avait été saluée par François Legault. [00:19:20] Speaker D: Oui. [00:19:20] Speaker A: Kamala Harris! Il l'avait saluée. Bienvenue! [00:19:25] Speaker B: Ah oui, on l'aime. [00:19:26] Speaker A: Faut aller à Montréal. C'est à Montréal, hein? [00:19:31] Speaker C: Oui. [00:19:31] Speaker A: Il y a quelqu'un qui a changé sa couche à Montréal. C'est arrivé, là. C'est arrivé. Donc, il devrait... Est-ce qu'il parle français? On va envoyer Dave Morrissey. [00:19:42] Speaker B: Il parle même pas anglais. [00:19:43] Speaker C: Ouais, c'est ça. [00:19:45] Speaker A: Exact. Il parle anglais quand c'est le temps de négocier un contrôle. [00:19:48] Speaker B: Puis encore. [00:19:49] Speaker A: Et encore, t'as bien raison. Nachos... [00:19:51] Speaker B: Écoute, tu commenceras pas à faire ces efforts-là. [00:19:53] Speaker A: Nachos tacos. «Muchacho», «muchachas», «muchaliente». [00:20:00] Speaker B: Les mots qu'ils utilisent le plus en anglais, c'est «nachos», «tacos». C'est parfait, c'est ça! [00:20:07] Speaker A: Ce matin, vous vous levez, puis vous vous dites «oui, il me semble que c'est trop parfait comme matin». Non, non, c'est pas trop parfait comme matin. C'est le légionnaire qui est ablamé ce matin! C'est le légionnaire qui est ablamé ce matin! Oui, ça prend toujours! Un salaud, ça prend toujours, oui, dans la tête des gens de Québécois, dans la tête de Karen, ça prend des salopards. Bon, ça a été un moment donné, sa mamade, qui est un intimidateur, ça a été moi, évidemment. [00:20:36] Speaker C: Le mafieux, sa mamade. [00:20:37] Speaker A: Ça a été le mafieux. Puis là, maintenant, c'est au tour... de la Légion, avec une saisie d'écran, d'un montage photo, et le manque de respect envers les politiciens, nos amis, nos amis les politiciens, dont nous sommes la firme de Marketing Ting, ayant pris la photo, ridicule, le montage photo, genre de montage photo que le... que Mad ou Crow, peu importe, fait là. C'est une caricature, on appelle ça une caricature. Et elle, elle dit que Dume Dumas est vraiment pas fin envers sa mamade. [00:21:21] Speaker D: Oui, oui. [00:21:22] Speaker A: On ridiculise sa mamade. Et Bruno Marchand également! [00:21:25] Speaker E: Oui! [00:21:25] Speaker A: Qu'on... qu'on... qu'on ridiculise sa vie personnelle parce qu'on parle de sa blonde. Faudrait peut-être expliquer deux ou trois patentes ici, là, je pense. [00:21:35] Speaker C: Ça me montre une personne publique, qui parle à chaque semaine, qui a un show de radio. [00:21:38] Speaker A: Mais qui était dans La Légion. [00:21:40] Speaker C: Oui, qui était dans La Légion. La Légion. On a joué un extrait. Bien, on a joué d'autres extraits, mais par rapport à Bruno Marchand. C'est parce qu'il y a un extrait où, à un moment donné, c'est suite... C'est la semaine après... Comment il s'appelle? Charlie Kirk. puis aussi Jimmy Kimmel et tout ça, qui sont passés en dedans de pas longtemps. Puis là, elle disait, c'est important de jaser puis de confronter des idées qui sont différentes, puis d'aider, de battre. On a perdu ça, puis etc. Puis j'avais juste dit, Monique, parle à ton chum. [00:22:10] Speaker B: C'est pas parce que trois gars refont le monde autour d'un mimosa qu'on parle de sa blonde. [00:22:18] Speaker C: La pire phrase du texte, Si vous voulez, ce qu'on dénonce depuis longtemps, depuis des années, de certains médias, c'est de se mettre dans le camp des politiciens et de mépriser la population. Si vous voulez l'exemple ultime, le voici. Il était d'ailleurs honteux de voir le premier ministre François Legault traverser le stade des capitales de Québec sous les huées de spectateurs irrespectueux. Quel manque de savoir-vivre de leur part! [00:22:49] Speaker A: Ils auraient dû applaudir et en redemander. Ils auraient dû même porter le masque. [00:22:54] Speaker C: Il ne faut jamais faire savoir à un politicien qu'on n'aime pas ses décisions, qu'on ne l'aime pas lui, qu'on n'aime pas ses politiques. Non, non, non, ça, ça ne se fait pas. [00:23:02] Speaker A: Sachez apprécier, sachez dire merci. Penchez-vous un brin, ça ne fera pas mal. Soyez apaisés, comme dit le bon docteur. Tu prends un respire. Un, deux, trois, go, c'est fini. Pouf! [00:23:18] Speaker C: Si ça se fait pas de ne pas respecter un politicien, on va faire un beau montage de tout ce qui s'est écrit dans les dernières années sur Donald Trump. C'est un politicien, c'est un président américain, c'est quelqu'un de puissant. On lui doit respect en tout temps! [00:23:30] Speaker A: Attends un peu, je vais pas te faire une liste. Duhem, si tu peux pas. [00:23:33] Speaker B: Ben oui, c'est ça, t'sais, t'es pas obligé d'arriver. [00:23:35] Speaker A: Poitiers-Èvres. [00:23:35] Speaker C: En effet, oui. [00:23:37] Speaker A: Gaston-Locale. [00:23:38] Speaker B: T'es même pas obligé de sortir Guérin-Roux, là. On peut rester à... On peut rester au premier frappeur. [00:23:44] Speaker C: C'est l'exemple le plus facile. [00:23:45] Speaker A: Oh oui, exact. Exact. [00:23:48] Speaker C: Mais si t'as même plus le droit de huer un policier, imagine ce que t'as plus le droit de dire. [00:23:53] Speaker A: Il faut dire que ce climat toxique est encouragé sur les ondes de la radio poubelle. C'est très... C'est très 2014. [00:24:01] Speaker B: Sur cette web, il y en a une autre photo. [00:24:03] Speaker C: Ah oui! [00:24:05] Speaker A: Bonne danse! Oui! Ah oui? [00:24:11] Speaker B: Ah oui! [00:24:12] Speaker A: Ah, c'est moi puis Dupont? [00:24:13] Speaker B: C'est exactement, c'est ça. [00:24:15] Speaker A: Il y a une version allongée sur... [00:24:17] Speaker B: Sur la version web. [00:24:18] Speaker A: Oui. Une photo qui date d'il y a 15 ans au moins. [00:24:21] Speaker C: Avec Karen. Qui est aussi une photo qui remonte à environ il y a 15 ans. [00:24:25] Speaker A: C'est incroyable. C'est vraiment incroyable. Et là, par contre, elle joue un... Bien, je veux juste... Je reviens là-dessus brièvement pour dire qu'il y a un accident. Il y a un accident. Le bout plus sérieux, j'y reviens, mais juste dire qu'il y a un accident. Beaucoup de gens qui se posent des questions. Accident Arcat Nord à la sortie du pont, donc ça crée des problèmes. On peut rien y faire, sauf que, je viens de vous le dire, ça nous a été rapporté. Il y a un accident, donc, Direction Nord, un accident majeur, donc ça crée, ça jamme, ça fait jammer. [00:24:54] Speaker B: J'ouvre mes patentes, là, je vais vous... [00:24:55] Speaker A: C'est vraiment dégueulasse. Donc c'est un lundi dégueulasse. Circulation ce matin, ouch. Donc vous avez l'heure juste là, j'imagine que ça va se rallonger très rapidement à 6h25. Les gens en provenance de la Beauce, les gens en provenance de Saint-Nicolas puis du centre-ville de Lévis, c'est sûr, sûr, sûr. Donc vas-tu la faire là, la circule? [00:25:18] Speaker B: Oui, oui, je peux te faire ça là. Effectivement, c'est un accrochage sur Henri IV Nord. C'est à la hauteur du chemin Saint-Louis, donc vraiment à la sortie du port de Québec. La voie du centre qui est bloquée, en fait, c'est un véhicule qui est en panne, donc c'est un incident à cette hauteur-là. Ça devrait se libérer quand même assez rapidement, mais à l'heure actuelle, c'est ça qui bloque le pont. Et tu sais qu'il y a déjà à 6h15, 6h20, il y a beaucoup de monde qui traverse le pont. Donc, ça cause beaucoup, beaucoup, beaucoup d'ennuis. C'est le pire moment pour que ça arrive. Les véhicules en panne, là. À un moment donné, il va falloir qu'on s'en parle. En 2025, quand tu tombes en panne... Mets du gaz. Ou tout ennui mécanique... Mets du gaz ou charge. [00:25:59] Speaker A: Charge ta batterie. Si ton char électrique est à zéro, là. [00:26:03] Speaker B: Ouais, tu sais, si c'était un flat ou ce genre de patente-là, tu sais, d'entretien du char... Tu sais, je comprends qu'un flat, tu peux pas le prévoir ça, mais... Mais peu importe, véhicule en panne, c'est la sortie du pont, pis ce matin, c'est ça qui vous fait sacré. That's it. [00:26:17] Speaker A: OK. Et elle termine son texte. Je vais me permettre de le lire. Parce que c'est là que ça va loin, pis les patrons se parleront. Je sais que j'avais parlé au grand, grand, grand patron, ici, il y a quelques années de ça, ou deux ans. Propriétaire. Qui avait parlé au propriétaire, là, au bord? Les deux compagnies sont liées de par Gatineau, pour les gens qui connaissent un peu les médias. La station CHOT, c'est un diffuseur d'RNC, moi-même, que j'étais journaliste à Radio-Canada Ottawa. Les camions qu'on voyait, les camions micro-ondes, c'était des camions d'RNC. Tu sais, je me disais au début, «Hein, Sanya, vous êtes pas TVA, non?» On m'a l'expliqué à ce moment-là. Donc, c'est là-dessus qu'est un peu «Cowboy». Ça, les boss s'arrangeront en haut. Ignoc a visité le site web de Radio-X, donc elle parle de La Légion, Morelive. Et a regardé les grands titres, toujours des titres crunchy de la part de Doom. On veut... Écoutez les extraits spoppés aussi. Oui, c'est ça. Ça n'a plus de son même. C'est ça. T'sais, vous nous blâmez des fois qu'on se fie juste sur le titre de vos articles. Ben là, vous faites pareil concernant la radio. Monique parle à ton chum, on parle pas... On lui donne pas un ordre, on parle d'un extrait qui est diffusé où elle parle justement du fait qu'on devrait tous se parler tous ensemble. Bref, je continue. Pendant qu'on met en valeur des candidats qui ont été chroniqueurs réguliers de la station... Tiens, tiens! Oh, scandale! On met en valeur Stéphane Lachance. Alors que je reçois... Alors que je reçois des courriels, «Hey, vous êtes pro-Ahmad, gang de mange-morts!» Là, on vient de me dire qu'on est pro-marchand. Donc, on est équilibré. Pro-Lachance, pardon. C'est ça, pro-Stéphane Lachance. Elle, elle vient de dire ça. Il va falloir regarder le nombre d'entrevues qu'on a faites avec et Ahmad et Lachance durant la campagne. Je pense qu'on ne l'a pas fait. Mais ça s'en vient, les 20 minutes du peuple, avec ces deux-là, d'ici la fin de la campagne. On ridiculise, et je continue, la lecture. [00:28:27] Speaker C: En fait, on a parlé une fois à Mad et Lachance, c'était en réponse à ce que le Renaud avait sorti la semaine dernière. C'est vrai, et avec Claudine. [00:28:34] Speaker A: En réaction, tu as raison, en rafale, la semaine passée. Oui. On ridiculise Bruno Marchand et Sam Hammad à cause de la photo avec l'oreiller. Et on se permet même de jouer dans la vie personnelle du maire sortant. Non, on joue pas dans la vie personnelle. Ça, c'est une invention, là. Fabrication, invention. La marque de commerce des grands médias, des grands chroniqueurs et des grandes chroniqueuses, comme Karen. Invention, manipulation. Comme quand il avait écrit que j'avais déclaré que le maire prenait de la drogue, alors que je n'ai jamais dit ça. Fabrication, manipulation, invention, mensonge. À répétition. Pour laisser une impression. Pour manipuler. Les manipulateurs sont parmi nous. On truque des photos. Oh, scandale! On caricature! Pour ridiculiser les candidats à l'élection, on y interpelle même la conjointe du maire sortant. Elle répète ce qu'elle vient d'écrire. Ce qui n'est pas très bon. Mais elle répète ce qu'elle vient d'écrire. Ce qui est faux, en passant. Je viens de le dire. Manipulation, mensonges. On ridicule exactement la conjointe. On ne l'interpelle pas. C'est elle qui parle. Donc on dit, ben coudonc, parlez-vous. Donc elle n'a pas écouté l'extrait et commente. Un peu comme quelqu'un de bête pourrait critiquer un film sans l'avoir vu en regardant l'affiche. Ça s'est jamais vu. Ah oui, ça s'est déjà vu. Dans ce journal-là. [00:30:05] Speaker C: Faire une critique de spectacle sans l'avoir vu. Ça, ça s'est déjà vu. Minute, non. Faire une critique d'un spectacle qui n'a finalement pas eu lieu. [00:30:14] Speaker A: Bien oui, Piero Nadeau. Oui. C'est arrivé, ça. Et là, j'arrive à un paragraphe qui va loin. C'est là-dessus que je vais laisser les boss se parler. C'est bas et les annonceurs qui continuent d'y placer de la pub! Donc elles ciblent nos annonceurs, mes clients. [00:30:40] Speaker C: Et elles visent les auditeurs au final. [00:30:42] Speaker A: Et les auditeurs. [00:30:43] Speaker C: Toutes les textes d'ailleurs. Elles l'écrivent pas, mais ce qu'elles visent, c'est les auditeurs. [00:30:47] Speaker A: Vous êtes timbrés, c'est ce qu'elles disent. Et c'est ce qu'elles pensent. Seba et les annonceurs qui continuent d'y placer de la publicité contribuent indirectement à encourager ces dérives. Dérives de quoi? De quoi tu parles? Et tant qu'ils les encourageront... ce genre de comportement persistera malheureusement. Donc, appel au boycott. [00:31:08] Speaker C: Ce qui me rassure, c'est que tous les chroniqueurs du Journal de Québec, en fait, de Québécois, qui s'opposent à la « cancel culture », vont tous dénoncer ce texte-là. [00:31:18] Speaker A: C'est un appel à cancellation. Ça, c'est un appel au boycott. [00:31:20] Speaker C: À la censure. [00:31:21] Speaker A: C'est un appel à la censure. [00:31:22] Speaker C: Tous ceux qui sont sortis pour défendre Jimmy Kimmel vont tous sortir pour dénoncer ce texte-là. [00:31:29] Speaker A: Oui! On peut quasiment les nommer. Kemal, ça a pas de bon sens! Alors qu'il avait été juste suspendu. Mais on prétendait faussement qu'il avait été congédié. Mais c'est pathétique pareil. Mais c'est une auditrice. Non, c'est pas une auditrice. Ah ok, elle va regarder les extraits qu'on va faire sur elle. Et il y aura un extrait sur elle ce matin. Parce que je viens d'en parler. C'est pathétique, déplorable. Mais rendu là, savez-vous quoi? Je me sens bien avec ça. Parce que... J'éprouve la pitié. C'est de la pitié, je me dis. Misère. Misère. Comme un peu comme quand je regarde mon ancienne ville de Shawmuligan ce matin. Les problèmes d'eau potable. Je me dis misère. C'est misère de misère. Colline. Tu sais, des fois je me dis ça. Colline, misère. C'est pathétique. C'est triste. C'est de la pitié que j'ai. C'est de la pitié. Alors voilà. Quand même une page au complet dans le journal. Hein? Quand même une page au complet, bravo! Et de la couleur en plus, ça coûte cher, ça, des pages couleur. [00:32:33] Speaker B: Non, non, tout est là. [00:32:34] Speaker A: Mais Legion of Doom, donc, pour les gens qui ne connaissent pas l'émission, en tout cas vous parlez à vos amis, des fois peut-être qu'il y en a qui écoutent d'autres stations, visiblement, ça semble intéressant comme émission, donc ils écouteront Legion of Doom, les gens qui votent marchands, les gens dont visiblement on parle de lui à tous les jours, on fait des caricatures de lui à tous les jours, on le ridiculise. Pas un mot, d'ailleurs, sur Renaud Labrecq, alors que la photo, ça concerne très précisément Renaud Labrecq. C'est le sujet de l'extrait. C'est le sujet de la photo. Le sujet de la photo, c'est pas Ahmad. Le vrai sujet, c'est Renaud Labrecq qui se fait ramasser comme un pas propre par marchand. [00:33:17] Speaker C: Oui, ça avait déjà commencé à ce moment-là. [00:33:18] Speaker A: Et la vignette, la bulle que t'as écrite, C'est du paraphrasé. C'est une caricature, guys! Ben là, parle à Y, là! [00:33:27] Speaker C: C'est pas mal ça qu'il y avait du tradument, pas loin. C'est pas mot pour mot, là, mais... [00:33:31] Speaker A: Y qui dessine sa maman de les oreilles décollées, Je sais pas, là. Moi, je trouve pas ça fin, mais... Je sais pas, parle-y! Parlez-vous, guys, OK? Nous autres, on fait de la caricature, on n'a pas d'Y. Mais on a un légionnaire qui en fait, à sa manière. Renaud Labrecq, il ne connaît rien. C'est normal, payer cinq fois plus le prix pour les down-down. Pas un chrétien d'article sur les fucking down-down. Rien dans ce journal-là sur les trouvailles de Renaud Labrecq. [00:34:04] Speaker C: Ça n'existe pas. [00:34:05] Speaker A: Des trouvailles avec de la substance, avec des PDF, avec des renseignements. Elle, elle prend une saisie d'écran de ça, mais elle n'écrit rien là-dessus! Elle écrit quelque chose sur moi! Moi, je me sens pas bien par quelqu'un qui est obsédé par moi. Je le sais, il y en a beaucoup qui nous aiment, en fin de semaine. Beaucoup de love, entre autres. Beaucoup de love, beaucoup de câlins, beaucoup de bécaux. Ou tailgate. M'en reste, t'y fais avec ta gang, là, je sais pas, là, je sais nous pas, gang. On est du sang-né, on est du partout. En fin de semaine, c'est extraordinaire. Ça, c'est du love, c'est du love bien nourri, puis c'est du love qui nous alimente à quelque part, qui alimente notre feu pour qu'on se présente à la job et qu'on continue le travail. On est ensemble, gang. Mais il y en a qui sont vraiment obsédés, là. Excusez-moi, moi, je sais pas, là, c'est... Moi, on me prend en photo, on me prend des photos de moi, on me prend des photos... Puis on imprime ça, puis Moray a dit ci, Moray a dit ça. Il a dit qu'il prenait de la drogue. Moray, il compare un pédophile. T'en souviens de cette patente-là? Alors que j'avais sursauté quand Marchand avait utilisé une expression que j'avais entendue dans mon enfance qui me revenait pas. Elle, elle avait écrit qu'on venait d'un pédophile faux, archi-faux. Manipulation, mensonge, c'est la recette. Manipulation, mensonge. Manipulation, mensonge. Demi-vérité. On mélange ça. On tape, tape, tape, tape dessus. Question de savourant dans le coco. Regardez, on n'est pas dupe. On sait à quoi on a affaire. Et on va continuer le travail, les amis. On lâchera pas. On est sur la bonne track. Mais vraiment, je trouve ça pathétique. Je vous dis appel à la cancellation et au boycott ce matin. C'est sûr que ce midi, vous allez m'entendre parler, ça va rebondir. C'est sûrement que Pierre... Pierre, c'est son ancienne boîte, Pierre! On est rendu où? C'est quoi le journal, Pierre? C'est ton ancienne gang! Parle à ton ancienne gang, mon Pierrot! [00:36:08] Speaker C: Que sont devenus, en fait, les médias? [00:36:10] Speaker A: Oui! [00:36:11] Speaker C: Sérieusement, à Québec, ça fait pitié. [00:36:13] Speaker A: Ça fait pitié! [00:36:14] Speaker C: C'est une constat encore plus que j'ai fait hier, parce que, t'sais, j'échangeais aussi avec Renaud, puis on parlait des dépenses de voyage, on entendra ça un peu dans La Légion tout à l'heure, mais vendredi, Renaud a sorti d'autres chiffres, d'autres dépenses, de l'administration marchand au rien complet concernant les voyages, on trouvait... que Régis Labeaume se gâtait en voyage. On trouvait que la première classe, puis on l'a échappé à un moment donné avec les frais d'itinérance pour le cellulaire. [00:36:44] Speaker A: Mais oui, il l'avait échappé, il avait oublié de bloquer ça. [00:36:47] Speaker C: Frais qu'il a dû rembourser à cause de la pression médiatique, à un moment donné, parce que les journalistes faisaient leur job dans ce temps-là et posaient des questions puis sortaient les factures. Je te retourne venir, là. À partir de 2010, il y a des textes, des dépenses de 32 000 depuis 2007 pour les voyages du maire. Voyage, le maire de Québec se défend. On est en 2012. Mission à l'étranger du maire Labeaume, une facture comparable en 2012. On est en 2013. On compare avec l'année... Faisons un suivi, là. [00:37:15] Speaker A: Absolument. [00:37:15] Speaker C: Facture salée pour le téléphone du maire Labeaume à l'étranger. Là, on était en 2014. Puis j'en saute, il y en a plein que j'aurais pu sortir autre que ça. Moins de voyage en 2015 pour le maire Labeaume. On était rendu justement à la fin de l'année 2015. Ensuite de ça, ça c'était M. Gosselin, Jean-François Gosselin, qui dénonçait les dépenses. Les frais de voyage en hausse à Québec. L'opposition dénonce une facture de 386 000. Ça, c'est quand ils ont commencé à avoir une... une agence de voyage qui travaillait par appel d'offres pour la ville. Là, on est rendu à au moins deux fois ce montant-là. Ça, c'est juste pour l'agence de voyage. En fait, c'est quasiment trois fois ce montant-là. [00:38:00] Speaker A: La presse a cité Radio X et a cité Renaud Labrecq. Est-ce que le journal a fait pareil? Non, on est complètement allé ailleurs. Donne 10 millions aux hôtels, le tourisme. Regarde s'il est fin, il est beau. Il est infiniment parfait. Il est infiniment beau. Vous devez l'appuyer. C'est votre mère. Aimez-le. Arrêtez aussi de le critiquer. Il y en a qui sont agressifs. Oui, il y en a qui sont mal engueulés. Ding dong la vie. Voulez-vous regarder ma boîte de courriels au cours des dix dernières années? Sortons les poubelles d'ailleurs. Vos articles là-dessus sont où? Ça fonctionne dans deux sens. Nous autres, on a été sali et pas à peu près. Il y en a même qui en ont mangé des sincères devolées, peut-être même plus que moi. Ils m'ont dit « Jeff, Ils ont pris des photos de ses filles et tout ça. Ah oui, c'était quand les articles de Karen là-dessus? Non, il n'y en avait pas. Ouais, c'était pas bon. C'était le camp du mal! Nous, on est dans le camp du mal, et lui est non seulement dans le camp du bien, mais il est dans le camp de la perfection. Il est infiniment parfait, infiniment bon, infiniment aimable. Et tous ceux qui ne l'apprécient pas, ben vous prenez un petit peu de sirop, vous prenez un grand respire, et ça fera pas mal. On veut vous le faire réélire. C'est assez évident, merci. Et the proof is in the pouding. Le petit pouding, vous l'avez eu en fin de semaine dernière, vers la fin de la semaine, avec l'histoire de Renaud. Couverte par Nouveau, couverte par la presse, Et le journal est complètement allé ailleurs en tentant de brouiller les pistes avec une histoire bidon d'argent qui n'existe pas lancé dans les airs pour faire plaisir à des hôtels. Faire plaisir aux hôtels baisse les taxes. As-tu été challengé là-dessus sur les taxes d'hôtels, des taxes complètement ridicules? Non, regardez, c'est devenu risible. C'est une couverture risible, c'est une couverture ridicule, c'est une couverture qui est biaisée. Et si vous voulez l'heure juste, renseignez-vous et écoutez d'autres sources. Mais si vous voulez l'heure juste, vous écoutez Le Midi avec Renaud Labrecq. Si vous voulez le pendant qui n'existe plus, c'est-à-dire un sens critique concernant nos dirigeants, qui sont très loin d'être parfaits, bien, vous avez l'heure juste. Ici même, en général, prenez vos informations ailleurs, mais faites-vous votre opinion. Quand on dit « faites votre opinion », écoutez-nous, écoutez les autres. Après ça, prenez vos décisions. Vous allez voter oui, non, ok, parfait, pour quoi? Pour qui? C'est tout. Mais faites le travail, bordel. Et la « cancel culture », s'il vous plaît, là. Ça, c'est assez ridicule, merci, là. Vous défendez des animateurs que vous ne connaissez pas et que vous n'écoutez pas à Los Angeles. Mais vous voulez faire fermer des postes de radio à Québec et vous fermez le clapet. Vous voulez fermer le clapet à des animateurs d'ici. [00:41:01] Speaker C: Parce qu'ils n'ont pas le discours que vous voulez. C'est tout. [00:41:03] Speaker A: Mais vous jouez dans ce film-là. Vous jouez dans ce film-là, actuellement. Vous voulez canceller des gens qui sont, à vos yeux, pas fins et qui ne respectent pas votre camp, votre bien idéologique. Mais de l'autre bord, vous défendez un animateur à Los Angeles que vous n'écoutez même pas, et vous connaissiez pas deux semaines avant. C'est un peu ridicule votre affaire, non? Regardez-vous, là. Pis pète, pis répète, pis mentrit à un moment donné, là. On est incapable de se faire une tête. Les auditeurs l'ont écouté, l'extrait, ils savent très bien de quoi on parle. Et elle, elle regarde les images, pis elle est bien épouvantée de ça. Hein? Yomi Hamad! Avec un oreiller! Diffamation! Faut-tu pas avoir de sens de l'humour? Mais là, elle défend Ahmad, alors qu'elle clenchait Ahmad la semaine passée. Là, elle le défend. [00:41:55] Speaker B: L'objectif, c'est de faire rire avec ces images-là, puis je confirme qu'avec celles-là, c'est réussi. [00:42:00] Speaker A: Chapeau! [00:42:00] Speaker B: Je la trouve très drôle. [00:42:02] Speaker A: Alors, merci à Karen de nous faire de la pub ce matin. Legion of Doom est complètement en vedette dans le journal version couleur. 6h43, on peut aller à pause? [00:42:12] Speaker B: Non, on pourrait faire ça. [00:42:13] Speaker A: Parce que je sais que t'as un gros libre. [00:42:15] Speaker B: Quoi qu'on n'ait pas parlé des... La seule chose qu'on peut dire... [00:42:17] Speaker A: Le Canadien, ça compte pas encore, là, cette semaine? [00:42:19] Speaker D: Non. [00:42:19] Speaker B: Ça, c'est réglé, là. Tout le monde est descendu, tout le monde est parti. Bye-bye. [00:42:23] Speaker A: Tu voulais parler de quoi? [00:42:24] Speaker B: Ben, les remparts. [00:42:25] Speaker A: Les remparts, 4 de Phil, bravo. Il perdait 2-0 quand même à Rimouski, mais on gagnait 8-3. Donc, ils sont sur une lancée. Maddox va bien se réveiller à un moment donné. Mais la signature de Yo Enz... Un nom qu'on n'avait jamais vu, un nom de famille un peu bizarre. Je me serais promené avec ce chandail de hockey là à Québec, les gens auraient dit « Oh sanguin, il y a des lettres qui ont décollé au séchage ». Il est bon ce gars-là. Il est bon ce gars-là. On les rend pas, bravo. Donne un show, c'est le fun. Et on va y aller vendredi. On n'a pas le choix. On n'a pas le choix. C'est notre équipe. Bravo. [00:43:02] Speaker C: Mercredi, premier match canadien. Ça donne bien. Les Yankees vont déjà être éliminés à ce moment-là. [00:43:06] Speaker A: Exactement. [00:43:06] Speaker C: Les Jays ne joueront plus. [00:43:07] Speaker A: On va se concentrer sur les Canadiens. Et les Jays vont aller perdre contre Seattle après. Non. Non. Non, il y a trop de fun. T'as raison. Il y a trop de fun à Toronto. [00:43:18] Speaker B: Le plaisir est là, oui. [00:43:19] Speaker A: Le plaisir est là, le plaisir est à Toronto. Qui l'a cru? OK, parfait. Extraordinaire. Le Deep Watch Out, il y aura de l'humour, il y aura du beachage. Donc peut-être que cette semaine, on va parler de Dan Gravel dans le journal. Ah. [00:43:42] Speaker B: Voilà, voilà. Ça roule, ce show-là! [00:43:45] Speaker A: Hein? [00:43:46] Speaker B: Ça roule! [00:43:47] Speaker A: Ça roule! Le SpaceCast. [00:43:50] Speaker F: Avec G.F. [00:43:51] Speaker A: Black. [00:43:52] Speaker B: C'est Louis Gauvin. [00:43:54] Speaker A: Lundi au jeudi. 19h. [00:43:59] Speaker F: Présenté par Sensation Plus. Magasinez au sensationsplus.com et découvrez tous nos produits érotiques pour couples. Livraison rapide et discrète. sensationsplus.com. [00:44:11] Speaker A: Passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancher ton téléphone. C'est pas un métier, couper des branches aussi proches des fils. Franchement, je suis capable. [00:44:20] Speaker F: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec. Desharnais, c'est une grande famille de plus de 200 passionnés qui, en prenant grand soin de votre véhicule, prennent d'abord soin de tous ceux qui montent à son bord. Parce que rouler en confiance et en sécurité, c'est juste parfait. [00:44:38] Speaker A: Du 15 septembre au 20 décembre, obtenez une remise postale allant jusqu'à 100 $ à l'achat de 4 pneus Nokian Tires sélectionnés pour la tranquillité d'esprit en toutes circonstances. Nokian Tires, c'est un parcours exceptionnel. Détails et prise de rendez-vous sur dharnay.ca. [00:44:54] Speaker F: Dharnay, c'est juste parfait! [00:44:56] Speaker C: Les circulations de Québec ont facilité la fluidité. [00:45:04] Speaker B: Comment je dirais bien ça? Ce qui fait la une actuellement au niveau de la circulation, c'est vraiment ce véhicule en panne. C'est à la sortie du pont, donc sur un cadre direction nord, autour du chemin Saint-Louis. La façon la plus simple de dire c'est où, c'est de dire à la sortie du pont, il y a deux voies de fermée, la voie de centre et la voie de gauche, donc c'est évident que ça cause des ennuis incroyables partout sur la Rive-Sud, du bout 20 est, 20 ouest, 73, 116, 132 également, c'est vraiment très très lourd. Rajouter à ça un accrochage à la hauteur des photos radars, c'est... à la hauteur des photos radars, donc évidemment que ça va causer un peu plus d'ennuis pour les gens qui arrivent direction ouest vers les ponts. Sur le Nord, Pompe tout est beau. Je regarde ça là tranquillement, il n'y a aucune couleur nulle part sur la Rive-Nord. La Pompe peut être sur Capitale. Alors, t'as des photoradars où ça ralentit. C'est à peu près le ralentissement régulier, le ralentissement normal. Mais pour le reste, ça va encore très, très bien. 88-670-909 pour nous dire ce que vous voyez sur des routes. Abrisvo, bien, ça, c'est un vaccin contre le VRS, toi. Sois 60 ans ou plus, parlez d'Abrisvo, de Pfizer, à votre professionnel de la santé. Visitez abrisvo.ca. [00:46:21] Speaker A: Dans la PME de Julie, le commerce de Benoît ou une grande entreprise, tout le monde a un rôle à jouer. [00:46:27] Speaker C: En matière de santé et de sécurité au travail. [00:46:29] Speaker A: Depuis le 1er octobre 2025, la Loi. [00:46:32] Speaker C: Sur la santé et la sécurité du. [00:46:33] Speaker A: Travail a été modifiée. Et les plus grands, comme les plus. [00:46:36] Speaker C: Petits milieux de travail, ont de nouvelles. [00:46:37] Speaker A: Obligations concernant les mécanismes de prévention et de participation. [00:46:41] Speaker C: Pour connaître les changements qui vous concernent, visitez le cnesst.gouv.qc.ca baroblique nouveautés SST. [00:46:49] Speaker A: Un message de la CNESST. C'est l'événement beau temps-mauvais temps chez vos concessionnaires Subaru. Ça veut dire que beau temps, gamme de véhicules radieuses. Mauvais temps, gamme de véhicules qui décoiffent. Beau temps, offres enchantées. Mauvais temps... Non, sérieux, un ours? Non, non, non, mauvais temps, s'il vous plaît. Offres électrisantes. Beau temps, mauvais temps, Subaru, c'est nous! [00:47:20] Speaker C: Bon, qu'est-ce qu'on mange? [00:47:22] Speaker A: Une pizza! L'ingrédient frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 $. Dispo chez les marchands participants. Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel. Ludo, décongeler, cuire, servir. [00:47:38] Speaker B: Les petites patates, présentées par les Clinique Viva. [00:47:41] Speaker A: Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton. Ultra-efficace et sans douleur. Épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. Cliniqueviva.com. As-tu des petites patates? S'amuser ce matin, on va s'amuser. Karen veut canceller le Légionnaire. Aïe, aïe, aïe, que ça fait pitié. Ça fait pitié. Vous écoutez l'extrait pour les gens qui viennent de se réveiller. Vous allez tout comprendre. Oh, commençons avec de la science, tiens. Ah, c'est de la science, le tramway! Ça, c'est une autre belle qu'on a déjà lue, ça, dans certaines chroniques. Mais là, c'est la vraie science, c'est la science climatique. C'est le devoir qui nous apprend ce matin. Oh, que c'est grave. Le gouvernement Legault a décidé de mettre fin au financement du baromètre de l'action climatique. La dernière édition, soit celle de 2024, avait notamment démontré que 82% des Québécois reconnaissent l'urgence d'agir. Ben oui, ben oui, du blabla. Regardez donc les priorités des Québécois quand vient le temps d'aller voter. L'éco-cologie, ça vient en dernier. Et d'ailleurs, c'est en dernier les priorités dans la ville de Québec concernant, justement, l'élection. C'était comme ça aussi pour l'élection fédérale. Donc, c'est un peu beaucoup du baratin. Continuons de baratiner tant qu'il y a y être. L'analyse des cernes... Ça, c'est des vrais articles, là. OK? Après ça, les médias blomberont Google. L'analyse des cernes des arbres d'une forêt pluricentenaire dans le parc national de la Gaspésie permet de constater que ça s'est réchauffé dans le parc. Ho ho ho! Sainte-Flavie, non! À Gaspésie, ça se réchauffe, c'est ça le titre. Réchauffement en Gaspésie. Mais Sainte-Flavie, c'est la limite entre le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie. À Sainte-Flavie, t'es correct. Mais à Gaspésie, c'est... c'est une catastrophe. Traverse le pont Campbellton, t'es correct. Mais tu traverses le pont Gaspésie, c'est dégueulasse. Donc la Gaspésie se réchauffe. Peut-être dire que... Grand-maman la Terre, elle va s'en remettre. Plus de 4 milliards d'années, la Terre. Plus de 4 milliards d'années, la Terre. Et on dit que ça s'est bien réchauffé en Gaspésie depuis quelques dizaines d'années. OK. Corny va aller à Donald Trump. Il va aller voir Donald. Donc on va diaboliser Donald cette semaine. Et on va dire de notre petit monsieur gris que notre petit M. Gris est bon, que notre petit M. Gris, bien, il est allé à Washington pour se battre. Cette fois-là, on abaisse les attentes, dit-on du côté du gouvernement Carney. On veut un assouplissement des droits de douane sur l'acier. Donc, on vise pas à clôture, on vise le bunt. On va faire un bunt, on veut bunter pour faire avancer un coureur au deuxième, peut-être, ce que devraient faire peut-être les Yankees, peut-être. Donc évidemment, il y aura du Trump Derangement Syndrome toute la semaine. Il n'a pas été faim, petit M. Gris. Il n'a pas donné la main, blablabla. Enfin, les conservateurs se réveillent. Ils sont contre C2. On en a parlé abondamment ici dans le show. Mais là, c'est Pierre Poilievre qui est sorti hier pour dire qu'on est contre ces deux, on va voter contre cette loi-là. Pour en savoir davantage, vous écouterez l'entrevue qu'on va faire avec Pierre Paulus là-dessus. Également, qu'est-ce qui arrive avec ça? Ah! Les garderies. La trame, je l'entends plus, mais c'est pas grave. Je parle pareil. [00:51:19] Speaker B: Je suis cancellé. Non, non. [00:51:22] Speaker A: As-tu été cancellé, Dan? [00:51:23] Speaker B: Non, non. C'est toujours la même histoire. Je te reparlerai pas. [00:51:26] Speaker A: OK, parfait. Je continue. Les garderies. À compter du 16 octobre prochain, l'unique guichet d'accès aux plages en garderie va fermer ses portes. La place 05, ça s'appelait de même, sera remplacée par le nouveau portail d'inscription aux services de garde. Mais ce dernier ne sera en ligne qu'en novembre, t'apprends que dessus. C'est du bric à caca, encore une fois. Entre la fermeture de la place 05 et l'ouverture du nouveau portail, c'est-à-dire pendant à peu près deux semaines, les parents qui souhaitent créer un dossier pour leur enfant ne pourront faire aucune nouvelle inscription. Bravo. Depuis quatre ans, les classes en préfabriqué poussent. Dans les cours des cégeps, on est rendu maintenant à 150 classes modulaires, c'est parfait. Donc, cégeps en carton, ça va très très bien de ce côté-là. Vous avez le Conseil des arts de Montréal qui a manifesté, en fin de semaine, ils veulent 2,5 millions de dollars de plus, donc... Moi, je suis un millionnétiste! Je veux vivre de mon art! Et finalement, qu'est-ce qui se passe avec ma ville? Colline! Shawee qui devra agir à court terme pour améliorer la qualité de son eau potable. Il me semble que ça fait des années que ça dure, ça! Québec n'attendra pas que la station de filtration du lac à la pêche... Lac à la pêche, là, c'est là qu'on prend notre eau. Maudite bonne eau dans le temps, quand j'étais petit cul! ... soit mise à niveau. On a donc ben de la misère avec l'eau à Shawee. C'est incroyable! C'était vos petites patates, mesdames, messieurs! [00:53:00] Speaker C: Les meilleurs au monde. [00:53:01] Speaker F: On revient dans pas long. [00:53:04] Speaker A: En montant dans le nouveau BZ4X chez votre concessionnaire, vous pourriez avoir l'impression que votre VUS a pris de l'avance. Parce que pendant que vous êtes encore en train de vous demander si vous avez oublié quelque chose, le BZ4X est déjà chargé. Tout ça grâce à la recharge programmée. Après, tout ce qu'il vous reste à faire, c'est de le ramener à la maison. L'événement Repartez en Toyota est en cours. Découvrez nos nouveaux modèles en ballon comme le BZ4X et vous comprendrez pourquoi Toyota, ça fait rêver. Visitez AchetezMaToyota.ca ou passez chez votre concessionnaire Toyota du Québec aujourd'hui. L'embarquement pour le vol 246 à destination de Montréal est retardé de 50 minutes. Ah ben là! On dirait que c'est l'heure d'Ojo! [00:53:44] Speaker C: Play Ojo? [00:53:45] Speaker A: Bonne idée! Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolf Gold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Wouhou! J'ai gagné! [00:53:54] Speaker F: Sentir le plaisir, Play Ojo! [00:53:58] Speaker A: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus, il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable. Si tu trouves que les magasins meubles RD sont pas super beaux, ben dis-toi ben une chose. Si le meuble est beau chez nous, je te jure man, il va être beau chez toi. [00:54:19] Speaker C: Jusqu'au lundi de l'Action de grâce, c'est la grande vente 20e anniversaire chez Meubles RD. Profitez de 20 % de rabais sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser. [00:54:35] Speaker A: Pour vos pièces automobiles, votre premier choix, c'est Nordic. Que vous cherchez une pièce pas chère, une pièce équivalente ou supérieure à celle d'origine, Nordic a ce qu'il y a de mieux et au meilleur prix. Peu importe votre budget, votre véhicule ou votre type de conduite, vous trouverez ce dont vous avez besoin. Bas prix, qualité et service, depuis 45 ans, c'est Nordic. Passez-nous voir sur la première avenue et au 9111 boulevard Hariborassa ou commandez en ligne au nordic.com. [00:55:05] Speaker C: La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail. [00:55:33] Speaker B: Je veux vous parler de Multiconfort FP parce que on veut économiser, c'est pas compliqué. Dans la vie, on veut économiser, surtout de ce temps-ci. Chaque scène, chaque pièce qu'on peut mettre dans nos poches, on va se pencher, on va ramasser et subtilement, on va glisser au fond de cette poche droite de notre pantalon. Multiconfort FP vous invite à faire ça. Vous n'êtes même pas obligés de vous pencher en plus avec la thermopompe Lenox qui réduit vos coûts de moitié. C'est pas compliqué, on parle des coûts d'hydro. La thermopompe est pensée pour vous, est pensée pour votre confort. Parfaite chaleur en hiver, parfaite fraîcheur en été. Et tout ça grâce à Fred et toute sa gang chez Multiconfort FP. Il l'ont, la thermopompe, pour toi. Peu importe ton budget, OK, on va être capable de trouver un produit qui te convient, un produit qui va améliorer ta vie de jour en jour. On est recommandé CAA Québec, c'est pas rien, Multiconfort FP. On est à Québec, juste en face de l'aéroport également, du côté de Victoriaville. [00:56:32] Speaker A: Grandes ventes, mille walkies d'outils plus, jusqu'à 60% de rabais, promos exclusives, cadeaux avec achat et beaucoup plus. Jeudi 9 octobre de 9 à 21h au Centre de foire de Québec. [00:56:48] Speaker F: Sont ici. Gilles Proulx, Nathalie Elgraveli, Donald Scharrett, Sarah Ursula Therrien, Jean-François Caron, François Lambert, Marc Bouchard, Frank le dédomiseur, Gilbert Delorme, François Charron, Rodolphe Hosny, Jean-François Lézy, Stéphane Fizet, Catherine Gaudry, Vincent Gilozon, Léopold Lauzon, Lino Zambito, Stéphane Monnet, Christian Page, Dr. Benny Boucher. [00:57:12] Speaker A: C'est pas mal ça. [00:57:13] Speaker F: Les meilleurs collaborateurs sont ici. [00:57:18] Speaker A: C'est vous, votre propre opinion. C'est pour ça qu'on est innovants, comme la Ville de New York, pour faire en sorte de créer des espaces... C'est pour ça qu'on est innovants, comme la Ville de New York, pour faire en sorte de créer des espaces... C'est pour ça qu'on est innovants, comme la Ville de New York... C'est pour ça qu'on est innovants, comme la Ville de New York... Comme la Ville de New York... Ben, son nom, là... Moray. Regarde ce gros, cette nom-là... Moray. Je sais pas, il m'inspire. [00:57:57] Speaker B: Juste avant de te redonner le micro, Dom, juste vous faire un petit rappel de circulation. On ne fait jamais ça, mais à matin, c'est vraiment important de le faire parce que c'est le dawa total sur la Rive-Sud. La Rive-Nord, vous n'êtes pas confirmé, vous n'êtes pas concerné. Vous pouvez arrêter chez Tim Hortons si vous voulez. [00:58:14] Speaker A: Faites... [00:58:14] Speaker B: Ce qui vous tente, mais actuellement sur la Rive-Sud, c'est vraiment du compliqué. Peu importe d'où vous arrivez, l'accès au pont va être lourd parce qu'il y a ce véhicule en panne qui a bloqué deux voies pendant de très longues minutes ce matin à la hauteur du chemin Saint-Louis à la sortie du pont. Actuellement, c'est pas encore tout à fait ramassé, mais on bloque encore seulement avec la voie de gauche. On a réussi à réouvrir la voie du centre, donc ça cause des ennuis. Il y a deux accrochages, trois accrochages sur la vingt-direction ouest vis-à-vis les échangeurs des ponts. On a également un accrochage sur la vingt-direction est à la hauteur de la route Lagueux-Dôme. Je te le dis, et on vient de m'en signaler un autre, c'est à la hauteur de la sortie Chemin des îles, toujours sur la vingt-direction est. Je vous le dis, la Rive-Sud, ce matin, ce soir, quelque chose de compliqué, c'est... Bloqué, bloqué, bloqué. [00:59:00] Speaker A: Il y a des trucs qui retiennent notre attention. Il y a des gens aussi qui s'expriment. Ah oui, il y en a qui n'aiment pas ça. Des gens qui s'expriment. Il y en a qui aiment beaucoup ça, par contre. Puis quand il y a des médecins qui se permettent d'avoir une opinion et de l'exprimer, moi, j'adore ça. On se souvient de Marc Lacroix. Oui, il a eu, par la suite, des répercussions du collège. C'est rare qu'un médecin sorte de son... de sa salle d'opération ou de son cabinet et s'exprime. Et c'est encore plus rare de voir un médecin qui critique le politique et qui vise directement un ministre comme le ministre de la Santé, par exemple. Moi, je trouve ça rafraîchissant. C'est signe qu'il y a encore un peu de vie en cette société. Quelqu'un qui peut s'exprimer et critiquer. Oui, il y en a qui aimeraient nous voir fermer la trappe. On les connaît. mais célébrons ça. Son nom, c'est Jean-Pierre Granier. Puis c'est spécial parce que j'ai vu beaucoup de vidéos du Dr Jean-Pierre Granier qui est chirurgien depuis 2005 au Sud-Québec, Université Laval. Puis je me dis, ben coudonc, ce gars-là, ça pogne donc bien ses affaires. Il y a des vidéos. Puis en fin de semaine, on était au Telguide d'ailleurs, puis était-tu avec moi, Dan? Non, je pense que j'étais avec Doom. Il y a des infirmières qui sont venues nous voir, puis ils m'ont dit, Morin, il faut que t'écoutes ça, là. Les vidéos de Jean-Pierre Gagné, on était infirmières avec lui. Je disais, écoutez-moi, écoutez bien. On est là-dessus. Donc, c'est quelqu'un de très aimé et quelqu'un qui... Je pense qu'on est en mesure de peut-être, avant de lui parler, d'écouter un extrait. On est-tu en mesure d'écouter un extrait de ses vidéos? Il fait du TikTok, il fait du YouTube, il est partout. On va écouter un extrait de Jean-Pierre Gagné, puis par la suite, on ira... Es-tu en mesure, Dan, de le faire jouer? Je sais qu'il y a des défectuosités techniques ce matin. [01:00:52] Speaker B: Je vais tout faire pour être en mesure de rejouer. Donne-moi juste trois secondes. [01:00:57] Speaker A: Le Doum, il dit que l'extrait est en turquoise. La couleur est no issue. C'est juste qu'on a des problèmes techniques ce matin. [01:01:02] Speaker F: Ça nous oublie, j'ai pensé à court terme. Il a oublié qu'il y a quand. [01:01:05] Speaker A: Même un décompte par rapport aux changements climatiques. [01:01:08] Speaker D: Non, c'est pas celui-là. [01:01:08] Speaker A: Il est en turquoise, l'extrait. [01:01:09] Speaker B: C'est exactement celui-là que j'ai mis, le Doum. [01:01:11] Speaker A: OK, parfait. On l'écoutera à la fin de l'entrevue, d'abord. Jean-Pierre Garnier, comment ça va? Ça va prendre une intervention chirurgicale pour notre ordinateur, parce que notre gars d'ordi est en vacances. [01:01:22] Speaker E: Ah bien écoute, à l'image, je vous laisse en pique. Comment ça va? [01:01:27] Speaker A: Très très bon. D'abord, parlez-nous de vous, puis on parlera de vos prises de position assez spectaculaires. Qui êtes-vous d'abord, dans les grandes lignes, pour que les gens vous connaissent et puissent syntoniser vos différents vidéos? [01:01:41] Speaker E: Écoute, je suis chirurgien depuis 1997. Je suis quelqu'un de la ville de Québec. Je suis chirurgien général au CHU de Québec depuis 2005. J'avais pratiqué à Drummondville pendant 7 ans auparavant. Puis ensuite, je suis allé faire un surentraînement pour revenir à Québec. Puis père de 5 enfants, ma conjointe est médecin de famille. C'est les grandes lignes de ma vie. On pourrait aller dans les détails. J'ai plusieurs intérêts connexes. Je pense que c'est important de développer d'autres intérêts dans la vie. Mais là, je dirais que l'avenue dans laquelle je me suis engagé depuis quelques semaines, c'est un peu nouveau pour moi. [01:02:20] Speaker A: Ben, allez-y. Quelle est votre ligne d'engagement et qu'est-ce que vous critiquez également? Parce qu'on va en convenir ensemble quand le Facebook s'appelle Résistons au projet de loi. Donc, projet de loi 106, je suis sûr de ma bulle, je l'ai pas devant moi, là, je vais aller avoir... T'sais, il y a de moins pas moins que... On est médecin. Sur le Facebook, ça dit résistons. Ça n'arrive pas souvent. Moi, je trouve ça extraordinairement rafraîchissant. C'est un signe de santé de s'opposer à des trucs qui sont contre nos valeurs. Qu'est-ce qui fait que vous montez au barricade et que vous êtes dans la résistance? [01:02:57] Speaker E: Écoute, d'abord, c'est l'accumulation de bientôt 30 ans de lutte au fil des diverses réformes qu'on a eues dans le réseau de la santé. Moi, j'aurai passé 30 ans à me battre contre le réseau pour soigner les gens. Alors, c'est pas vraiment pour ça que j'ai fait mon cours de médecine. Mais cette fois-ci, c'était comme la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, le projet de loi 106. Certaines interventions du ministre, je ne lui en veux pas personnellement, je ne le connais pas. Lorsqu'ils s'adressent à la population, je pense que c'est important qu'ils disent la vérité. Il y a eu deux, trois petites choses au début de l'été. Premièrement, quand le ministre est allé dire qu'il n'y avait pas de médecins dans les hôpitaux après 4 heures le vendredi. Je pense que ça a été peut-être le point tournant pour moi. Parce que parfois, à 4 heures le vendredi, je commence un deuxième quart de travail. Donc quand je fais de la garde, je commence le vendredi matin à 8 heures. Vous êtes censé insulter. [01:03:52] Speaker A: Lui, il s'achoyait ou il se cachait derrière une étude. [01:03:55] Speaker E: Enragé, c'est encore pire. [01:03:58] Speaker A: Lui, il se cachait en arrière d'une étude, l'étude du Cyrano. Il revient beaucoup là-dessus, à Cyrano, HAC, puis à Carl Michaud, entre autres. Ah, c'est des économistes, donc, qui travaillent pas assez. Il y a des médecins qui prennent trop de vacances. Il se cache un peu en arrière de ça, là. [01:04:13] Speaker E: Oui, c'est sûr, mais en même temps, puis les gens le disent, il y a des heures non facturables là-dedans. Moi, quand je suis de garde la fin de semaine, je suis dans l'attente des urgences, puis je passe facilement huit à dix heures à faire des appels, rappeler les patients, les retours d'examens, les contrôles, annoncer des mauvaises nouvelles. Ça, c'est non facturable. L'enseignement aux résidents, aux médecins, c'est un gros enjeu dans le moment. Ce sont des ordres non facturables. Donc ça, c'est pas comptabilisé. Ça nous inquiète beaucoup pour le projet de loi 106 parce qu'on a peur que les médecins délaissent ces activités-là pour rencontrer les cibles du ministre, qu'on ne connaît pas d'ailleurs, pour l'instant. Ça, c'était la première chose. Deuxième chose, je pense que c'est important que le ministre dise la vérité lorsqu'il s'adresse à la population parce que c'est quand même lui qui a le micro dans les mains. Donc lorsqu'il a dit il y a peut-être un mois qu'il n'y avait pas eu de rencontres entre les fédérations pour négocier cet été, ce n'est pas la vérité. à quelques rencontres près. Il y a eu 26 rencontres avec les deux fédérations cet été. Et petite anecdote, un des négociateurs en chef de la FMSQ a passé une partie de l'été à Québec, puis il disait tout le temps à sa conjointe, moi je m'en vais à Québec négocier, je m'en vais à Québec négocier. Et l'adulte conjoint entend en entrevue le ministre Dubé dire qu'il n'y a pas eu une négociation de l'été. Tu peux te dire que quand le gars est rentré dans la cuisine ce soir-là, sa femme lui a demandé ce qu'il avait fait à Québec. [01:05:43] Speaker A: Je m'en vais, chéri, négocier, négocier. Elle, elle entend de la bouche de Dubé que vous n'êtes pas négocié. Fait qu'elle lui a demandé, coudonc, je me fais-tu jouer dans le dos, moi, là? J'ai-tu une poignée dans le dos? Colin! [01:05:55] Speaker E: Écoute, il l'a raconté avec humour, mais c'était ça. [01:05:57] Speaker A: Ben oui, je le sais. Donc, c'est un menteur qu'on a comme ministre, après ma barre. [01:06:00] Speaker E: Écoute, moi, je ne dirais pas ça, là. [01:06:03] Speaker D: Il ne dit pas la vérité. [01:06:04] Speaker E: Là, ce n'est pas mon rôle. Je dis qu'à certains moments cruciaux, J'ai le sentiment qu'il ne disait pas la vérité ou tout au moins toute la vérité. Et moi, ça me heurte profondément parce que c'est pas dans ma culture, c'est pas dans mes valeurs. Donc c'est un peu ça, mais je dirais pas... Jusqu'à traiter le ministre de menteurs, c'est pas du tout l'objectif aujourd'hui. [01:06:25] Speaker A: Mais comme médecin dans votre pratique, et là, vous vous en allez à la salle d'opération, c'est pour ça qu'on vous parle avant votre intervention. Est-ce que ça vous donne le goût, tout ça, de quitter le Québec? [01:06:38] Speaker E: Ah bien, c'est certain. Écoute, d'une part, je dois dire, à chaque mégot, il y a toujours des médecins qui disent qu'ils vont s'en aller. Mais cette fois-ci, c'est différent. Il y a des médecins qui ont déjà commencé à quitter. Et je n'ai jamais entendu, je dirais pas ces menaces, mais ces volontés-là de la part de collègues émises avec autant de conviction. Et je suis l'un d'eux. Moi, j'ai commencé à regarder peut-être du côté du Nouveau-Brunswick. Je ne veux pas travailler dans un système coercitif de cette nature-là. Tu sais, je pense qu'il faut discuter avant toute chose. Moi, si j'avais été ministre de la Santé, avant d'aller là, peut-être que j'aurais juste invité Dr Rameau et Dr Oliva de l'AFMOQ à passer deux, trois jours dans un camp, bien jaser autour du feu, là. J'aurais peut-être réglé plus d'affaires qu'avec des projets de loi ou avec des conférences de presse un peu... Est-ce que le. [01:07:29] Speaker A: Lien de confiance est brisé? Je sens quasiment que le lien de confiance est brisé. [01:07:33] Speaker E: Complètement, je vous dirais. C'est dommage parce que moi, je connais le docteur Oliva. Je connais plus le dossier des médecins spécialistes. Je connais le docteur Oliva depuis une bonne quarantaine d'années, je dirais, compte tenu que c'était quelqu'un qui était près de la famille. Puis quand Vincent a commencé, il était dans une attitude de conciliation qui n'était jamais vue. Écoute, à tel point que... Moi, personnellement, je me disais que je commence à avoir hâte qu'il chuchote. [01:07:58] Speaker A: Mais il s'est choqué pas pire, là, dans un dernier point de presse. [01:08:00] Speaker E: Mais les premières rencontres qu'on avait à l'INFMSQ, là, c'était la main tendue au ministre. On a des rencontres fructueuses. Il y avait des rencontres statutaires avec... entre Dr Oliva, Dr Legault, qui est décédé malheureusement récemment, puis le ministre. Puis on était comme surpris d'une telle avancée. Le ministre Dubé était venu même à une deux-journées de formation. Puis finalement, on dirait que la politique les rattrape. Nous, ce qu'on a, ce qu'on pense, puis il y a beaucoup de gens qui le savent, tout ça, ça vient d'une espèce de haine que garde le premier ministre envers les médecins spécialistes depuis son passage comme ministre de la Santé il y a une vingtaine d'années. Puis on dirait que ça se matérialise dans ce projet de loi 106-là qui est plein... [01:08:44] Speaker A: Mais vous allez loin, vous parlez de haine pareil, vous allez quand même loin. [01:08:48] Speaker E: Ça, je pense que je peux le ressentir. C'est une sensation que j'ai. Je ressens de la haine de la part du premier ministre. Je me sens tout à fait à l'aise de le préciser, puis ça m'enlève... [01:08:58] Speaker A: Donc, il veut se venger? [01:09:00] Speaker E: C'est le sentiment que j'ai. Je vous dirais... [01:09:02] Speaker A: Il voudrait se venger de quoi? [01:09:05] Speaker E: Je pense, comme je vous dis, pour ceux qui voudront refaire l'histoire, de regarder son passage comme ministre de la Santé il y a une vingtaine d'années. Ça avait été difficile pour le ministre... pour le ministre de la Santé à l'époque. Monsieur Legault avait été un peu, comme on dit en bon québécois, leur viré dans ses shorts par le président de la fédération à l'époque, je pense, c'était Dr Dugré, mais je vous dis ça sous toute réserve. [01:09:27] Speaker A: Mais là, il y a des gens qui nous écrivent, c'est intéressant. Je vais vous emmener juste un peu ailleurs, mais ça fait partie de notre conversation. Il y a un auditeur qui dit que je ne donne pas raison au tort, il s'exprime. Donc, vous le lance. Maître chanteur depuis 40 ans, les médecins, désaffiliez-vous de l'RMQ, puis ça va être correct. Donc, question, si vous n'êtes pas content, puis je ne parle pas de vous précisément, les médecins en général, s'il y en a qui ne sont pas contents là-dedans, pourquoi ils ne s'en vont pas au privé? [01:09:55] Speaker E: Parce que c'est prêter des fausses intentions aux médecins. Je veux dire, nous, on veut soigner. Puis moi, c'est certain que la qualité de soin que je donne ou le type de soin que je donne dans le réseau public, je ne peux pas offrir ça dans les soins privés. Ça pourrait faire l'objet d'une entrevue d'une heure, juste ça. [01:10:09] Speaker A: Mais moi, j'ai besoin du réseau public. [01:10:12] Speaker E: J'ai besoin du réseau public pour traiter. Moi, je traite des cas de cancer digestif complexe. Je répare des hernies de la paroi abdominale, des chirurgies qui durent 5, 6, 7 heures. Je ne peux pas offrir ça dans le réseau privé en chirurgie d'un jour. Et les gens veulent traiter. On veut un réseau public, mais on veut un réseau public de qualité. Maintenant, le débat sur le privé, ça en est un autre où il faudrait avoir une discussion entre adultes matures. C'est pas juste considérer le réseau de la santé en 2025 comme on regardait la religion il y a 40 ans, où c'est sacro-saint, faut pas attaquer le modèle public. Moi, je dis n'attaquons pas le modèle public, mais sortons de la boîte. peut-être pour voir comment on peut y intégrer le privé de façon intelligente et peut-être même, à certains égards, financer le public à partir du privé. Mais c'est pas ça qu'on fait, là. Donc on dit, on est contre le privé, le Collège des médecins prend une position politique contre le privé, mais en même temps, on signe des contrats avec des cliniques privées pour offrir des soins. [01:11:10] Speaker A: C'est un peu hypocrite, tout ça, hein? [01:11:12] Speaker E: Bien, c'est dur à suivre, là, je vous dirais, là. Mais ce qui me désole un peu dans tout ça aussi, c'est que moi, je m'attendrais à ce que le ministre de la Santé, ce soit le chef d'orchestre. Si vous voulez, des grandes discussions qu'on doit avoir sur le réseau de la santé pour les 20 prochaines années, le vieillissement de la population, l'incentivité des soins, l'allocation des ressources, mais c'est pas ça. Là, on est dans... dans de la gestion, puis dans des querelles, je veux dire, qui sont complètement futiles. [01:11:42] Speaker D: Puis si ça va se mal, c'est. [01:11:43] Speaker E: Terminé de toute façon, parce que le ministre est dans un no-win dans le moment-là. S'il retire son projet de loi, ça va être difficile pour lui. Puis s'il persiste, je veux dire, je ne veux pas imaginer l'état du réseau au cours des prochaines années, parce que les gens ne réalisent pas à quel point ça tient avec la broche, toute cette affaire-là. Puis là, la broche commence à être un peu rouillée. Puis là, on parle des médecins aujourd'hui, mais c'est celles qui tiennent vraiment le réseau, ce sont les infirmières. [01:12:07] Speaker A: Comment vous avez trouvé ça, le fait qu'on parte à la guerre aux agences privées? [01:12:13] Speaker E: Encore là, ça doit faire l'objet d'une discussion saine, mais c'est vrai qu'on a peut-être des intérêts du côté privé qui n'allaient pas nécessairement dans le sens du meilleur intérêt du public. Puis il y a un aspect pécunier, puis on essaie de développer En même. [01:12:27] Speaker A: Temps, les infirmières ont quitté le public parce qu'ils étaient tannés de travailler à Noël pendant 24 ans, puis ils voulaient une qualité de vie, puis c'est pour ça, dans le fond, qu'elles ont quitté. [01:12:35] Speaker E: Petite anecdote personnelle, ma fille est infirmière, et elle ne veut pas travailler dans le réseau public. [01:12:42] Speaker A: Comment vous réagissez par rapport à ça? [01:12:44] Speaker E: Moi, je suis déçu, mais en même temps, ce que ça m'amène à dire, c'est qu'est-ce que les jeunes candidats se disent à la faculté... Et pourquoi elle. [01:12:50] Speaker A: Ne veut pas travailler au public? [01:12:51] Speaker E: Tout ce qu'elle entend autour d'elle. Tout ce qu'elle entend? [01:12:54] Speaker A: Est-ce que c'est la vérité, ce qu'elle entend? [01:12:57] Speaker E: Peut-Être même pire que ce qu'elle avait entendu, parce qu'elle n'a pas les mains dedans. Je veux dire, quand je vous donne des exemples que ça tient de la broche, j'ai une infirmière en tête qui travaillait avec moi, Christina, pour ne pas la nommer. Je la croise au bloc le matin à l'occasion. Puis là, je dis, t'sais, ça va? Puis je dis, dis donc, t'étais pas ici cette nuit? Ça me semble qu'il y avait une urgence ou tout ça. Puis elle me dit, oui, on a fini à 4 h du matin. [01:13:17] Speaker A: Elle a dormi dans son char, quand même. [01:13:18] Speaker E: Elle est retournée chez elle, laver les enfants, faire tout, quoi que ce soit, aller à lunch. On revient. Puis je dis, comment est-ce que t'es là? Bien, elle dit, si je venais pas, on cancellait votre salle. Mais les patients ne voient pas ça. [01:13:28] Speaker A: Qu'est-ce qu'on ne voit pas aussi? [01:13:32] Speaker E: Ce qu'on ne voit pas, c'est le risque du projet de loi 106. Sans rentrer dans les détails, puis en se détachant complètement de l'aspect pécunier, de créer un système qui est axé essentiellement sur des cibles. On a un premier ministre comptable, puis on a un ministre de la Santé qui est comptable également, où on va donner des objectifs de performance aux médecins qu'on ne décrit pas dans la loi. Tout ce qu'on décrit, c'est de lier une portion de la rémunération des médecins à l'atteinte de ces dites cibles-là. Puis c'est extrêmement dangereux de tomber dans ce qu'on appelle une médecine fast-food. Encore une fois, de dévier les médecins de certaines autres tâches non rémunérées, comme l'enseignement, la recherche, de décourager les gens. ou les inciter à quitter. [01:14:17] Speaker D: Puis il y a des petites choses. [01:14:18] Speaker E: Il y a des petites perles dans ce projet de loi-là. C'est sûr que le ministre dit on va l'arranger dans le règlement, parce qu'on comprend quand il y a un projet de loi, il y a des règlements qui viennent avec pour l'appliquer. Mais dans le projet de loi tel qu'il est écrit aujourd'hui, si vous avez un médecin de famille et que vous êtes dans la région A, puis vous changez de région, tel que c'est écrit, vous perdez votre médecin de famille. [01:14:39] Speaker D: Et l'autre chose aussi... [01:14:41] Speaker A: Si on déménage au Québec, on peut perdre notre médecin de famille? [01:14:44] Speaker E: Tel que c'est écrit dans le projet de loi. Le ministre s'est engagé, j'écoutais la comparaison de la Fédération médicale étudiante du Québec, il s'est engagé à l'enlever, mais pour l'instant, c'est écrit. Puis je veux dire, on est rendu tellement réglementé que si vous êtes une femme de, je vais vous dire, 35 ans, diabétique, hyper tendue, donc la santé n'est pas parfaite, vous avez eu un enfant, votre enfant est en parfaite santé, votre médecin de famille ne pourra pas nécessairement prendre aussi votre enfant comme patient. [01:15:12] Speaker A: Mais voyons donc! [01:15:13] Speaker E: Parce que le médecin, il est mal attaché, les codes de couleurs sont pas bons, les codes de vulnérabilité, puis... [01:15:19] Speaker A: Il me semblait que la fratrie puis la famille, ça reste ensemble, ça. [01:15:22] Speaker E: C'est pas si clair que ça. C'est pas les bons codes de couleurs. Alors, c'est ça. Puis écoute, on pourrait en rajouter par-dessus ça. Il y a plein de choses... [01:15:30] Speaker A: Visiblement, Santé Québec n'a rien fait pour améliorer. [01:15:33] Speaker E: En fait, quand vous demandez les vrais, les experts en mots couverts, puis même les gens qui sont à Santé Québec, c'est une entité qui est inutile, ça, je veux dire. [01:15:41] Speaker A: À 300-400 000 par année en haut, là? [01:15:43] Speaker E: Je demande... Vous regarderez l'organigramme de Santé Québec. Il y a des bijoux là-dedans. Il y a un directeur de l'image de marque. Je veux dire, c'est un organisme qui a un monopole d'État. Vous avez pas besoin d'image de marque ou tout au moins d'avoir un directeur. [01:15:56] Speaker A: C'est pas Microsoft, là. [01:15:57] Speaker E: Bien, c'est ça, là. puis on ne sera pas surpris quand on voit que le nombre... Personne ne parle... J'aimerais ça que les journalistes parfois posent les bonnes questions. Pourquoi, mettons, le nombre de cadres ou de fonctionnaires dans le réseau était passé de 9 000 à 13 000 entre 2020 et 2025? Est-ce que ça s'est traduit par des meilleurs soins à la population? La réponse, c'est non. Puis l'autre chose que j'aimerais qu'on demande aux ministres aussi, c'est de parler beaucoup de la rémunération des médecins, mais être conscient que le ratio entre la rémunération des médecins et le budget de la santé a baissé de 50 % depuis 10 ans. [01:16:29] Speaker A: La rémunération restait la même, à ce que vous avez dit. [01:16:31] Speaker E: La rémunération restait la même et le budget de la santé a doublé. Puis même si on regarde, c'est toujours une question de comptable. Mais le ministre est comptable, il le sait. Est-ce que le vrai chiffre qu'on devrait regarder, c'est le budget du ministère de la Santé ou c'est le PIB du Québec? Parce qu'il y a de l'argent dans le réseau. Il y a des gens qui seraient heureux de leur argent personnel pour avoir accès aux soins. [01:16:54] Speaker A: Et peut-être... Et s'il y a des résultats? [01:16:55] Speaker E: Oui. Alors le ratio, le salaire des médecins en date d'aujourd'hui, ça occupe à peu près 1,4 % du PIB, les calculs approximatifs, alors qu'on était quasiment à 50 % plus haut il y a 10 ans. Donc en fait, peut-être que le ministre, il devrait nous donner une médaille pour notre bonne gestion de nos revenus, parce qu'on coûte moins cher qu'on coûtait il. [01:17:16] Speaker D: Y a 10 ans. [01:17:17] Speaker A: Organigramme Santé Québec, 10 pages. Il y a Micheline Eldary. Elle, c'est la directrice de l'architecture d'entreprises, méthodologie et cadres. Et sous elle, il y a six autres sous-cadres, dont stratégie et innovation. [01:17:32] Speaker E: Il y a quelqu'un qui est responsable aussi de la présence au travail. Il y a une direction de la présence au travail. [01:17:38] Speaker A: Est-ce que tu présentes au travail cette personne-là? [01:17:39] Speaker E: Je ne sais pas. Écoutez, c'est un peu ça. [01:17:42] Speaker A: C'est un peu ridicule. [01:17:42] Speaker E: Il y a plein d'autres choses. Le ministre du côté des spécialistes dit qu'il y a 9000 patients en attente de consultation dans le réseau. [01:17:49] Speaker D: C'est vrai? [01:17:50] Speaker E: Il y a quand même 3 millions de patients qui sont vus par année. Il y avait 500 salles d'opération avant la pandémie au Québec. Jusqu'à il y a quelques semaines, on était encore à 400. [01:18:01] Speaker D: 400. [01:18:02] Speaker A: 500 %! [01:18:03] Speaker E: Pourquoi? [01:18:03] Speaker A: Manque d'infirmières? [01:18:04] Speaker E: Parce qu'il n'y a pas de ressources humaines. Et en plus, Santé Québec interdit aux hôpitaux d'augmenter leur budget. Donc ils ne pourront pas offrir plus. Même, ils voudraient ouvrir jusqu'à 18 h, 19 h. Je pense à Christine encore. On va quand même pas lui demander de rester jusqu'à 7 h le soir si elle a passé la nuit d'avant. Je veux dire, c'est... Mais on est pris dans ça, je vous dirais. Puis les autres effets délétères, je veux dire, c'est le... Quelle image est-ce qu'on donne aux jeunes étudiants en médecine? [01:18:34] Speaker A: Ça donne pas le goût d'aller à la médecine. [01:18:36] Speaker E: Oui, puis en médecine familiale, il y a 90 postes non comblés en 2024 en résidence de médecine familiale au Québec. [01:18:45] Speaker A: Qu'est-ce que vous avez à dire à un jeune qui vous écoute et qui songeait peut-être à aller en médecine? [01:18:50] Speaker E: À toute honnêteté, puis je vais parler de mon expérience personnelle, j'ai cinq enfants, je le disais, je suis heureux que personne n'ait choisi la profession médicale. [01:19:00] Speaker D: Aïe aïe. Soulagé, soulagé. [01:19:02] Speaker A: Aïe aïe. [01:19:03] Speaker D: Soulagé, parce que... Bien, il peut être. [01:19:05] Speaker A: Formé ici, bien aller travailler ailleurs. Ah ça, le ministre n'aime pas ça. [01:19:08] Speaker E: Non, ça, tu peux pas. Il y a le projet de loi 83. Ça va falloir payer... Faut que tu. [01:19:13] Speaker A: Forces, hein, à une pratique. [01:19:15] Speaker E: D'ailleurs, en passant, le seul État dans le monde qui est interdit aux médecins de se déplacer, c'est Cuba, pour que les gens le sachent. Et là, maintenant, il y a le Québec. Donc quand vous terminez votre formation en médecine au Québec aujourd'hui, les jeunes médecins, vous ne pouvez quitter le réseau. Donc moi, je dirais aux jeunes médecins en médecine, je dirais probablement quittez pour aller faire votre résidence hors Québec. [01:19:37] Speaker A: Cuba, Québec, même combat. [01:19:38] Speaker E: Oui, exactement. Donc, c'est un peu le... Personnellement, je suis soulagé parce que je veux que les jeunes s'accomplissent complètement. En médecine, dans le moment, c'est très difficile. Je parlais que j'envisage de quitter, mais je veux avoir 56 ans. J'ai des collègues 10-15 ans plus jeunes qui ont la même réflexion. Ils sont juste tannés. Puis dans leur cas, ce n'est pas parce que je suis meilleur qu'un autre, mais il faut savoir qu'en chirurgie, je vous dirais entre 50 et 60, c'est comme le pic un peu au niveau professionnel, parce qu'on a atteint l'expertise vraiment assez quand même importante. On n'a pas encore de déclin, je vous dirais, au niveau des capacités techniques. C'est une profession qui est très technique, donc moi, je ne suis pas meilleur qu'un autre, mais si je passe, mettons, 5, 7, 8 ans avant, beaucoup, beaucoup d'expérience. [01:20:32] Speaker A: C'est une catastrophe. Absolument. Pour les gens qui veulent vous écouter, les gens qui veulent vous suivre, et là, je vais vous laisser parce que je sais que vous avez une chirurgie qui s'en vient, vous allez à l'hôpital, mais pour les gens qui veulent vous suivre, vos vidéos sont quand même très viraux, à quel endroit on peut vous suivre, docteur? [01:20:47] Speaker E: On les trouve sur Facebook, puis les gens qui... Facebook, Instagram, mais là, on est en médiation, vous comprendrez que... On va laisser aussi un peu du temps au temps, comme on dit. Puis sinon, les gens qui ont un intérêt puis veulent découvrir une autre facette de moi, j'ai mon propre balado, la santé au-delà des mots. Donc les gens qui m'écoutent sur les vidéos récentes peuvent penser que je suis enragé. C'est pas le cas du tout. Les gens qui me connaissent sauront que je suis plutôt posé, puis capable de discuter, puis c'est ce qui manque dans le réseau. [01:21:18] Speaker A: Vous êtes chirurgico-chirurgical. On peut le dire comme ça? Vos propos sont chirurgico-chirurgical. On peut dire comme ça. [01:21:24] Speaker E: Mais toujours, je pense qu'il est important de dire, le cynisme, je l'entretiens à l'endroit du réseau, mais certainement pas à l'endroit des patients. [01:21:31] Speaker A: Bien non, absolument. [01:21:31] Speaker E: Et puis nous, on est là pour les patients. Puis c'est une profession qui est difficile à... à décrire. Il n'y a pas beaucoup de professions où, mettons, vous, là, je vous... T'sais, je vous... [01:21:42] Speaker D: J'ai un appel par demain... Non, je comprends. [01:21:43] Speaker A: Mon émission finit à 10 h, mais vous, vous ne finissez pas à 10 h. On aura bien compris. Il y a peut-être des... Il y a des urgences. La pagette, hein, entre guillemets, on comprend que ça existe plus, mais la pagette sonne à 4 h 15. On comprend tout ça. Merci infiniment et bon courage. Félicitations pour votre liberté d'expression et de l'assumer fièrement. Avec courage et toujours bien documenté, Dr Grenier. Merci encore. [01:22:08] Speaker E: Merci. [01:22:08] Speaker A: Merci, au revoir. [01:22:09] Speaker D: Au revoir. [01:22:10] Speaker A: Ça fait, ça? Cuba. [01:22:12] Speaker B: Oui. [01:22:13] Speaker A: Québec, même combat. 88-670-9098. On refait la pause et là, on tombe dans le dé pour un retour d'Amoralive. [01:22:25] Speaker F: T'as quelque chose à dire? [01:22:26] Speaker A: Ça va bien aller. [01:22:27] Speaker F: Tu veux réagir? 88 670 9098. Radio X. Morelive présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [01:22:48] Speaker A: Cette semaine, écoute Couture dans le Mid. Tu pourrais gagner à chaque jour une boîte de pizza d'aliments Ludo d'une valeur de 60 $. Pendant le show, texte au 88 670 9098 le mot Ludo en nous disant c'est quoi ta sorte de pizza préférée. Ingrédients frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. Dispo chez les marchands participants et un prix très spécial au IGA Amel. Ludo, décongelé, cuire, servir. [01:23:17] Speaker C: Ok. [01:23:25] Speaker B: On revient sur la circulation une troisième fois déjà ce matin parce que c'est vraiment, vraiment compliqué. C'est les gens de la Réussite qui s'avouent que je m'adresse ce matin. C'est du costaud. Il y a des accrochages puis des véhicules en panne. Partout, c'est pratiquement impossible de vous donner l'inventaire complet de ce qui se passe à même Québec 51 abandonné. Ils ont juste écrit « Heures de pointe compliquées sur le réseau routier. Autant que possible, retardez vos déplacements. » Je vous le dis, c'est le Dawa Total Rive-Sud de Québec. Il y a des accrochages, des incidents partout sur le réseau. T'sais, c'est un beau matin, il fait soleil, c'est inexplicable ce qui s'est passé, mais il y a eu trois accrochages dans l'espace de 15 minutes vraiment à l'échangeur. Il y en a eu deux à la hauteur du photoradar. Un véhicule en panne à la sortie du pont. Je vous le dis, ce matin, pour les gens de la Rive-Sud, c'est très, très compliqué. Sur la Rive-Nord, cependant, on écoute du Mozart. C'est tranquille. On y va relax. Sur Henriquet, direction sud, il y a du monde. Il y en a également sur Capitale, sur Charest, direction est. Mais c'est loin d'être ce qu'on a l'habitude de voir habituellement, c'est sûr. Les gens de la Rive-Sud ne sont pas capables de se joindre à la fête ce matin. C'est quant au plus. Parlez à votre professionnel de la santé de prévenir 20. Un vaccin contre la pneumonie à pneumococque, visitez prevenard20.ca. [01:24:46] Speaker F: Cet automne, la Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartares, cocktails, signatures, ambiance festive, on s'occupe de tout, même de ta voiture, avec notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. Prochaine sortie, Grande Allée. Réserve dès maintenant sur bistroletelier.com. Ice Out, c'est plus que des trampolines. C'est le fun, différent et stimulant. Les enfants quittent les écrans et bougent. Les nouvelles attractions Parc lunaire et Turbulence vous attendent. Devenez membre avec accès illimité pour 39,99 $ par mois. Ice Out, où est-ce qu'il y a? Quand on roule dans un milieu de vie, il y a du monde à pied, en auto, en vélo, en camion. Bref, c'est important d'adapter sa conduite. Effectivement, madame Levac. C'est pourquoi je ralentis, je reste attentive et j'évite les distractions telles que le téléphone cellulaire ou l'écran tactile de mon véhicule. Wow, réponse parfaite. Avec un Madame Lévesque en plus. Coudon, avez-vous des défauts, vous? Il m'arrive d'oublier les noms, Madame Lévesque. Ah, pas grave. Vous protégez les usagers vulnérables dans les milieux de vie. Merci, Madame Laflaque. Ah, ben oui, toi c'est Anna. La Sécurité routière, j'embarque. Un message du gouvernement du Québec. [01:25:58] Speaker A: Oh, c'est incroyable. Incroyable ce que Dan vient de me dire. J'étais sorti du studio, j'ai manqué la circulation, c'était incroyable. Incroyable. Groupe GSC, je vais vous en parler puis je veux leur souhaiter bon retour dans Morelive, l'un des nombreux commanditaires, très nombreux commanditaires de Morelive. Chef de file au Québec depuis une quinzaine d'années pour les formations complètes et intensives pour réussir tes examens de la RBQ. C'est un client à main exceptionnel. Ça pogne. On a fait nos preuves. Formation bilingue, hybride, un petit peu en classe, un petit peu en ligne, un peu en classe, en ligne, dépendant de votre métier. Parce que là, mettons que je parle avec des électriciens. Je parle avec des gens qui sont déjà dans la construction, mais qui veulent justement devenir un entrepreneur général. Vous travaillez, donc c'est sûr que ça prend des horaires flexibles. On est là pour vous. Conciliation également. Travail, famille, c'est très important pour nous. Il y a quatre bureaux au Québec, puis je sais qu'on est écouté partout au Québec. D'abord, à Québec, c'est Frank Carel. Et ensuite, on est à Laval, on est à Brossard et on est maintenant à Gatineau, très important, groupe GSC formé pour bâtir. [01:27:11] Speaker F: Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière. [01:27:25] Speaker A: Postule à DavieRecrute.ca Quand on dit Milwaukee. [01:27:29] Speaker B: Les filles pensent pompiers, les gars pensent... Non, j'ai raté mon gag, ça va bien. Je le recommencerai demain, OK? Je veux vous parler de la grande vente Outiplus. La grande vente Milwaukee, ça se passe chez Outiplus. C'est le plus gros événement dans le domaine de l'outillage à Québec. La grande vente Milwaukee d'Outiplus, c'est le spécialiste de l'outillage à Québec. Ça fait plus de 30 ans que c'est nous autres qui sommes le boss de l'outillage. C'est tellement gros qu'on fait ça au centre de foire de Québec. C'est pas compliqué, là. On a décidé de faire ça au Centre de Fort de Québec parce qu'il y a du monde, puis on fait ça gros. Plus d'un million d'inventeurs d'outils Milwaukee à écouler jusqu'à 60 % de rabais. Exemple, des outils pour extérieur Milwaukee jusqu'à 40 % de rabais. Batterie Milwaukee jusqu'à 50 % de rabais. Le pack-out Milwaukee, 34 % de rabais. Et puis, on a des outils sans fil Milwaukee jusqu'à... 54 % de rabais. C'est les 100 premiers clients qui obtiennent 100 $ de cadeaux avec toute achat de 250 $. On a plusieurs « lost leader » Milwaukee à liquider à bas prix courant. Ça va être complètement malade. Ça se passe jeudi le 9 octobre. C'est de 9 à 21 h. Il y a plusieurs démonstrations d'essais d'outils Milwaukee. Vous allez profiter des prix jamais offerts sur les outils dans la région de Québec. Ça se passe au centre de Fort-de-Québec. L'entrée et le stationnement sont gratuits. Consultez la page Facebook d'Outiplus pour plus de détails. [01:28:58] Speaker A: T'sais, p'tit gars, dans mon temps, on parlait déjà du 3e lien. Ah oui? [01:29:03] Speaker F: Pis toi, est-ce que tu l'as déjà vu? [01:29:05] Speaker A: Non, le troisième lien. [01:29:07] Speaker C: On l'attend encore. SG Énergie. Du service, pas des promesses. Plus de 50 ans à livrer mazout, carburant, lubrifiant et plus. CC08888. CC08888. En ce moment épargné jusqu'à 15 % avec le code SG981. Certaines conditions s'appliquent. [01:29:26] Speaker A: Automode, madame, messieurs, la réparation est gratuite, hein, pour les pare-brises. Avec des belles routes, hein, qu'on connaît. Ben oui, on a fait un tour de machine en fin de semaine. On l'a bien vu, hein, que c'était des belles, belles routes. Et là, il y a une petite fissure. Puis là, vous vous dites, il y a rien, là. Ça s'agrandira pas. Ben non, mais ça risque de s'agrandir. Mais avec les changements de température, on le sait, ça risque de s'agrandir. Donc tu t'inquiètes pas. Tu vas chez Automode et tu règles le dossier. Réparation gratuite, si t'es assuré. Je le répète. Maintenant, t'as besoin de le remplacer. On est là pour toi, un char assez récent. Bon, les capteurs de changement de voie, puis les ci, puis les ça, vous lui direz, moi, c'est ça, je vais tout perdre, moi. Je vais t'acheter un char full techno, full récent. Inquiétez-vous pas, on le remplace, on rebranche, on recalibre le tout comme s'il était neuf. C'est pas très, très compliqué. Jusqu'au 31 octobre, avec tout remplacement de pare-brise, Automate vous offre une carte cadeau d'une valeur jusqu'à 100 $. Et manquez pas nos succursales. La mienne est à Vainier. J'aime ça aller là. Il y a du parking. C'est à côté d'un restaurant, ça fait que je vais prendre un petit café et tout ça. Mais tu peux aller à Beauport, Lévis, Sainte-Marie, Beauceville, Sainte-Justine, Saint-Raymond, Sainte-Catherine et Sainte-Urbain aussi. Automode.qc.ca. C'est un matériau renouvelable, écoresponsable et ça vient de chez nous. Et avec le bois, on peut pratiquement tout faire. Des bons meubles en bois, des maisons en bois, des instruments en bois, puis plein d'autres choses comme des livres, des mouchoirs, puis un bille-boquet. [01:30:55] Speaker C: C'est pas pour rien que c'est un. [01:30:56] Speaker A: Pilier économique pour tout le Québec qui fait vivre plus de 900 municipalités. Le bois, c'est une ressource exceptionnelle. Et l'industrie forestière du Québec est fière de valoriser cette richesse si essentielle à nos vies. Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [01:31:16] Speaker F: Sans aucun stress. [01:31:17] Speaker A: Sans conditions ni garanties légales? [01:31:19] Speaker F: Sans conditions ni garanties. [01:31:21] Speaker A: Devant notaire? [01:31:22] Speaker F: Devant notaire. [01:31:23] Speaker A: Sans ménage ni plusieurs visites? [01:31:25] Speaker F: Absolument. Vite de même. [01:31:27] Speaker A: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. [01:31:34] Speaker F: Lui, il vole, achetez ton bloc, airfortin.com, yes! [01:31:38] Speaker A: Sur les chantiers, on bâtit des maisons. À l'APCHQ, on bâtit un réseau. Formation, soutien, reconnaissance, on est la référence. Tout pour que chaque pro du résidentiel se sente à sa place. APCHQ, bâtir nous habite. Choua! [01:31:54] Speaker F: Choua! [01:31:55] Speaker A: 98! 1! Choua! [01:32:00] Speaker F: Choua! [01:32:01] Speaker A: Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. Faites-vous votre propre opinion. [01:32:12] Speaker F: Un bar de Disraeli près de Thetford Mines. [01:32:14] Speaker G: Moi, je suis persuadé que c'est un. [01:32:15] Speaker A: Gars de Thetford Mines. [01:32:16] Speaker F: Un bar de Disraeli près de Thetford Mines. [01:32:19] Speaker A: Moi, je suis persuadé que c'est un. [01:32:20] Speaker B: Gars de Thetford Mines. [01:32:21] Speaker A: Moret. Live. [01:32:24] Speaker F: Avec Dominique Moret. [01:32:25] Speaker A: Pourquoi pas? Dan Gravel. [01:32:27] Speaker F: Et Doom Dima. Radio X. [01:32:42] Speaker A: Un petit dip un peu plus tard ce matin, mais ça donne bien parce qu'il y a du trafic et tout ça. Les gens veulent relaxer, rigoler un peu. Puis Dieu sait qu'il y a des potins aux pieds carrés ce matin. [01:32:56] Speaker B: Il y en a quelques-uns. On va y aller de même. Je vais commencer par ce qui a fait jaser bien du monde au Québec en fin de semaine. [01:33:03] Speaker F: Vous avez des coccinelles chez vous parce que moi je pique. [01:33:05] Speaker A: Ah oui! [01:33:06] Speaker F: On en a tellement, mais je ne comprends pas de où ils rentrent. Vous allez dire, on ferme la porte rapidement. On ferme la porte rapidement. Là, il y en a entre ma porte patio, ma moustiquaire et porte patio, porte patio. Présentement, je bosse avec ma famille. Il y a de quoi qu'à Québec, on n'a pas. Ils sont infestés de coccinelles. [01:33:25] Speaker A: On ne l'avait pas à Québec. On n'en a pas. [01:33:27] Speaker F: D'habitude, une coccinelle, c'est cute, tout ça. Ici, c'est quasiment du maringouin. Ça n'a aucun bon sens. Ouais, je savais pas, là. [01:33:34] Speaker A: Coccinelle asiatique. Ça pique. Mais où est-ce que les coccinelles, ça pique? Ben ça... Ça n'a pas de Christi de bon, ça. Ça n'a pas de Christi... C'est donc ben bon, ton affaire! [01:33:45] Speaker B: Y'a de la coccinelle, en fin de semaine. [01:33:46] Speaker A: Ça me fait piquer, moi, en fin de semaine, dans un parc. [01:33:49] Speaker B: Ça meurt plus que ça pique, selon ce qu'on dit. [01:33:51] Speaker A: T'es des petits enfants de chienne. [01:33:52] Speaker B: Mais le pire, là... C'est que... Y'a un de mes chums qui disait, c'est la bébête du diable ça. [01:33:58] Speaker A: Oui. [01:33:58] Speaker B: Parce que... Tu l'écrases, mettons, parce que si c'est toi, ben ça tâche ton linge, pis ça part pas au lavage. [01:34:05] Speaker A: Hé, ma blonde, on en a écrasé 2-3 pis il parait que ça t'a fait quasiment un pâteau au saumon sur le mur. [01:34:09] Speaker B: Non seulement ça, ça sent le diable. [01:34:11] Speaker A: Oh pis ça c'est... Ah, hé, mais Sagnard, au même moment où tu disais ça, M. Rompré dit pis ça pue. [01:34:16] Speaker B: Ah oui, ça pue là, quand vous écrasez ça, ça tache, ça pue. [01:34:20] Speaker A: C'est le moustique, ça pue, ça pue, ça sent pas comme les toilettes d'un zèleuse. [01:34:24] Speaker B: Non, je comprends, mais t'sais, ça se faufile partout. Ah oui, c'est incroyable, on a été... [01:34:29] Speaker C: Ici, dans le studio, là, t'sais, on a des fenêtres double épaisseur, là. [01:34:33] Speaker A: J'les déteste. [01:34:34] Speaker C: Entre les deux épaisseurs, il y a des coccinelles de mort depuis des années. Disons, on peut pas aller les chercher. [01:34:41] Speaker A: C'est des coccinelles de collection, alors? [01:34:42] Speaker B: Oui, exactement. [01:34:44] Speaker A: Des coccinelles X? [01:34:46] Speaker B: C'est des coccinelles 67 jaunes de collection. [01:34:50] Speaker C: Mais comment ils sont rentrés là? Je le sais pas. Ça se faufile partout. Ma mère en a eu, il y a plusieurs années, quand elle habitait dans le binière. Puis ça revenait à chaque année. [01:34:59] Speaker A: Ils ont beau... [01:35:00] Speaker C: Puis il paraît que le truc, ça serait de pas les tuer. Il faut tes aspects, l'aspirateur, c'est mieux. [01:35:05] Speaker A: Tu peux les adopter, peut-être? C'est ça aussi, de vivre ensemble. [01:35:08] Speaker C: T'es ramassé avec l'aspirateur. Faut pas nécessairement que t'es... [01:35:11] Speaker A: Après, t'es regardé à travers la Dyson. [01:35:14] Speaker B: Oui, la balise centrale. [01:35:15] Speaker A: Mon enfant, tienne, tu m'as payé. [01:35:16] Speaker C: Un autre tour d'aspirateur. [01:35:20] Speaker A: Ah oui, dis donc. Je pense que minuit, c'est fait piquer. D'ailleurs, c'est ça, l'histoire. Un moment donné, elle a lâché un whack. Elle était avec les gars tranquilles en train de regarder le football. Puis là, elle a fait... Je pense que... [01:35:31] Speaker B: Elle s'est faite piquer. [01:35:32] Speaker A: Elle s'est faite piquer. Mais ça, c'est... Ça, c'est du chinois, ça. C'est asiatique. [01:35:38] Speaker B: Fait que c'est soit japonais, soit chinois. [01:35:40] Speaker A: Les bébêtes chinoises. [01:35:42] Speaker C: On est avec la COVID. [01:35:44] Speaker A: On veut rien savoir. On veut rien savoir. [01:35:48] Speaker B: Parlant de rien savoir, je suis allé faire un petit tour sur... bien, allé faire un petit tour sur les médias sociaux de vos... de vos chefs en campagne électorale, de vos maires en attente. [01:35:58] Speaker A: Et puis... Tantôt, grosse entrevue, on repasse une parenthèse. Grosse entrevue, système de santé. Des bons textos quand même. Là, tu viens de parler coccinelle, on est rendu à peu près à 120 textos. [01:36:08] Speaker B: Ah non, le coccinelle, en fin de semaine, c'est malade! [01:36:09] Speaker A: Non, regarde, ça fait jaser, là. [01:36:11] Speaker B: Il y en avait partout! [01:36:12] Speaker A: Doctape... Non, il y a du monde, là, regarde. Parfait. Les Beatles. Moi, je cancèle les Beatles, c'est fini. Je les écoute plus. [01:36:18] Speaker B: Là, c'est réglé? [01:36:18] Speaker A: C'est fini. OK. [01:36:19] Speaker C: Mais avant ça... Aujourd'hui, c'est une journée de... Aujourd'hui, c'est une journée de... Ah, vas-y, Dom! [01:36:24] Speaker A: De légionnaire! [01:36:25] Speaker C: J'allais dire que Bruno Marchand a fait un pause il y a 10 minutes pour chialer contre les insultes en campagne, là. [01:36:31] Speaker B: OK. [01:36:31] Speaker A: Ah oui. OK, parfait. [01:36:33] Speaker B: Et coccinelle, c'est de la faute à Marchand. Parlons de hot-dog avec Bruno Marchand. [01:36:41] Speaker A: Aujourd'hui, c'est une journée de débat, mais il y a plus grand débat que ça à Québec. [01:36:44] Speaker C: Le débat, c'est sur le hot-dog estimé. [01:36:45] Speaker A: J'ai réalisé que deux de mes collègues m'ont dit qu'ils préféraient le hot-dog estimé. Je pensais que ça existait pas, ce monde-là. Sincèrement. Je sais pas de quelle planète ils viennent. Fait que je vais me taper un hot-dog surestimé. Parce que définitivement, c'est le hot-dog grillé qui est meilleur. Mais là, pour leur faire plaisir, je vous promets, c'est exceptionnel. Je leur ferai plus jamais ça. C'est bon! [01:37:06] Speaker B: Quand t'es entouré de groupies, ça fait rire à des affaires. [01:37:13] Speaker A: Vous n'avez le droit à aucun commentaire! Aucun commentaire! Vous devez approuver! Vous devez applaudir! Et sinon, vous êtes sous surveillance et les risques de cancellation sont très élevés. Vous devez applaudir! [01:37:24] Speaker C: Arrête! [01:37:25] Speaker A: T'as pas ri! Le grand simonier! T'as pas ri! [01:37:28] Speaker C: Elle est rie. Rie de Bruno. Pas de Bruno, mais des blagues de Bruno. [01:37:35] Speaker A: Que vous sentez bon, que vous êtes beau, que vous avez des belles chou-clacs, que vous avez du talent, que vous avez un beau sourire, que vous êtes parfait. Vous avez fait une course parfaite en fin de semaine. [01:37:43] Speaker B: D'ailleurs, on n'a pas vu... [01:37:46] Speaker A: Je vous ai vu en photo. Quelle magnifique photo. Quelle beaule facièse. [01:37:49] Speaker B: Deux nouvelles par rapport à la course et le Rouge et Or. On n'a pas vu beaucoup de politiciens hier au Telgais du Rouge et Or. C'était assez tranquille. On remarque qu'ils vont se revenger sur la game des carabines en deux semaines. Mais c'était assez tranquille. Puis l'autre chose, parlant de course, c'est le deep down, on va partout. [01:38:07] Speaker A: T'aurais pris un peu de police faire la circulation, d'ailleurs, vendredi, à la game des remparts, 8000 personnes. C'était un fiasco. [01:38:14] Speaker B: À cause du marathon? [01:38:15] Speaker A: Bien oui. Gérer en Pee-wee la circulation. Bravo pour la course, mais c'est vraiment gérer en Pee-wee et pas à peu près. [01:38:25] Speaker B: T'as-tu vu le marathon Guillaume Rioux, le coach rouge et or? [01:38:31] Speaker A: OK. [01:38:31] Speaker B: Il fait le marathon hier matin, il finit 8e. Hier après-midi, c'était Céline de Côté en train de coacher. [01:38:37] Speaker C: Wow! [01:38:37] Speaker A: C'est bon. Il est temps fort. [01:38:38] Speaker B: Oui, oui. Non, non, il n'est pas si temps fort. C'est quand même une grosse journée. On retourne au livre d'années. [01:38:43] Speaker A: Est-ce qu'il va être marchand? Est-ce qu'il va être du bon bord? À suivre. [01:38:46] Speaker B: La radio de Radio-Canada, maintenant, quand il se pense qu'il y a quelque chose qui sort du norme, là... Écoute, tout le monde en parle. À la radio de Radio-Canada, Chantal Lamarre anime un quiz. C'est les deux gars... [01:38:56] Speaker A: La fille plate, là? [01:38:58] Speaker B: C'est la fille avec Infoman. Elle anime un quiz, c'est Francis Reddy et Sébastien Benoit. [01:39:06] Speaker A: Écoutez l'extrait. Il y a quelqu'un qui a raté. [01:39:20] Speaker C: C'est pas Pierre Brasseur qui anime ce show-là, c'est ça? [01:39:22] Speaker B: Oui, mais ça va de l'air... Il y a quelqu'un qui a roté, Dom. Faut que ça fasse le tour, tour, tour du web québécois, parce qu'il y a quelqu'un qui a roté à la radio de Radio-Canada. La radio où on se voit, même. [01:39:33] Speaker A: Entre chums, là... B! Le brigand aux gants blancs, parce qu'il dit s'il vous plaît et merci lorsqu'il vole ses victimes, ou C! Le... [01:39:41] Speaker B: Voilà! [01:39:42] Speaker A: Ici, on fait une nouvelle à Radio-Ouest quand on rote pas. Quand on rote pas, c'est... [01:39:47] Speaker B: Il y a une pluralité de ce genre de vidéos qui sort semaine après semaine et là, on vide le sujet. [01:39:58] Speaker A: Il n'y a plus de services nulle part. On est au Québec, on est en 2025. [01:40:03] Speaker B: Checkez ça, 95 $, deux petits sacs de merde avec rien dedans. Ça fait à peu près une demi-heure. [01:40:09] Speaker C: J'Essaie de juste payer mon stock aux. [01:40:11] Speaker B: Endroits libre-service parce que y'a plus personne qui est capable de nous servir. [01:40:15] Speaker A: Y'a deux seules personnes aux caisses, ok? Pis c'est pas parce que y'a personne qui est rentrée, c'est parce qu'ils mettent deux personnes aux caisses chez moi. [01:40:22] Speaker B: Actonville, un mardi à 6h04, là, t'sais. [01:40:26] Speaker A: Fait que j'peux pas me faire servir. [01:40:27] Speaker B: Par les gens aux caisses. Je vais aller observer ça toutes les. [01:40:30] Speaker A: Deux, qu'est-ce qu'il reste à faire? Faut que je demande quelqu'un un préposé. [01:40:33] Speaker E: Parce que rien qui marche. [01:40:33] Speaker A: Ça c'est tannant. On est rendu où? [01:40:35] Speaker D: 2025! [01:40:36] Speaker B: 85 piastres, 2 petites cuisses de sac, 3-4 légumes, un sac d'oeufs, du pain aussi. Oh, j'ai oublié de l'éditer un après. C'est... il y en a un paquet de vidéos de gens qui sortent de l'épicerie puis qui font... Mais voyons donc! [01:40:50] Speaker A: T'sais c'est... Moi, c'est deux sacs 150 piastres de rien. J'ai pas de protéines dans le sac. C'est fou, là, honnêtement. Ça coûte cher en tabarouette. C'est fou. C'est malade, là, pour vrai. C'est des sacs gênés, là. C'est pas des sacs pleins, des petits sacs gênés. [01:41:04] Speaker B: Puis l'expérience client qui vient autour de ça aussi. [01:41:07] Speaker A: L'expérience client, c'est dégueu. [01:41:07] Speaker B: Parce qu'on sort de là, puis tabarnouche, on est plus... C'est pas normal, là, de sortir d'un commerce puis être plus de mauvaise humeur que quand on est rentré. En fait, quand t'es un commerçant, là, tu veux qu'il arrive totalement l'inverse. [01:41:20] Speaker A: Par contre. Par contre, point positif dans ma relève. Est-ce que j'aurais le droit à une chronique? Est-ce que j'aurais le droit à une chronique? Je suis allé au Métro Beauport. Puis Métro Beauport... Non, c'est-tu Métro Beauport? Oui, c'est Métro Beauport. Les Centaures, la gang de filles de Cheer, bravo. Ils ont fait les sacs toute la journée en fin de semaine. Je pense que c'est samedi, vendredi ou samedi. Bravo! Fait que je leur ai donné un bon type, ils ont fait les sacs, parce que bien souvent dans des épiceries comme ça, ils font pas les sacs. Fait que moi je leur dis, regarde, si vous voulez que je fasse les sacs, sacs manquants, je m'en vais au Merci. Ça va me coûter moins cher, je suis obligé de faire mon sac. Mais des fois, ça me tente pas de faire mes sacs. Une épicerie à 300 à quelques piastres, ça me tente pas. Je paye pour. Mais là, ça coûte plus cher aller au métro ou au GA qu'au maxi, mais t'es obligé de faire tes sacs. Excuse-moi là, ça là-dessus c'est de la marde. Tu parles d'expérience client, ça c'en est une. Mais bravo aux centaures de la polyvalente de l'école. Ton neveu est allé là, je crois, Dan. [01:42:27] Speaker B: Courvilloise. [01:42:28] Speaker A: Courvilloise, extraordinaire école, extraordinaire équipe. Des filles qui sont sur la coche, polies. Les profs étaient là. D'ailleurs, prof de cheer, bravo, belle gang. Je leur ai donné un petit verre, un petit 20 piastres. Ils vont à Orlando. Grosse compétition de cheer en février. Bravo, gang. C'est le fun. Ça a mis du sourire dans ma journée. Bravo. Ces autres sont venus à rescousse d'une épicerie qui n'est pas capable de donner du service. [01:42:53] Speaker B: Oui, bien c'est ça. C'est... C'est particulier. C'est vraiment très particulier. Je travaillais dans les épiceries quand j'étais jeune, puis le gérant au service, je peux-tu dire que ça roulait par là. Il voulait que les clientes partent avec un sourire. [01:43:06] Speaker A: C'est ça. [01:43:07] Speaker B: Chaque emballeur qu'offrait à chaque client d'aller porter son sac. On allait porter... [01:43:12] Speaker A: J'ai eu des sources différentes. J'ai eu des sources... Tu te demandes à qu'est-ce qu'il y a sur le plâcher. Sont où les pois? Il vient te montrer, il dit pas... Je pense que c'est dans 7 ou dans 8. C'est parce que je vais regarder mon Apple Watch, je vais avoir fait 1500 pas pour trouver la crucifix de canne de poids. Il vient nous la montrer, la canne de poids, et j'ai des sources parfaites. [01:43:32] Speaker B: Une question de gestion. Moi, je me souviens quand j'étais emballeur à 16-17 ans, à chaque client, je devais lui offrir d'aller porter son sac à son char. [01:43:43] Speaker A: C'est bon. [01:43:45] Speaker B: Chaque client, là, puis il y avait un gérant de service qui regardait si je partais avec la cliente, il trouvait un autre emballage pour me relayer à la caisse. [01:43:53] Speaker A: – C'est ça. Gestion, respect du client. – Bravo. [01:43:58] Speaker C: – Ça t'est-tu souvent arrivé de partir avec la cliente? [01:44:00] Speaker B: – Non, ça, ça m'est jamais arrivé. [01:44:01] Speaker A: – Ça, c'est un autre dossier. [01:44:02] Speaker B: – Mais tu sais quoi? Il donnait du type. [01:44:03] Speaker A: – Laisse le sac-là pour avec la cliente. [01:44:05] Speaker B: – Non, ça, ça m'est jamais arrivé. [01:44:07] Speaker A: – Le sac est oublié. [01:44:08] Speaker B: – La seule raison pour laquelle ça m'est jamais arrivé, c'est que j'étais un employé consciencieux. Un P.F.K. Kid en fin de semaine. C'est en 1978. [01:44:17] Speaker A: Le petit gros qui est mort. [01:44:19] Speaker B: Écoute, de la meilleure façon de le vulgariser, je pense que tu viens de la... Je me passe de mille doigts dessus. C'est en 1978, Pierre Falardeau et Julien Poulain qui font une entrevue avec un petit gars qui mange un Barry de P.F.K. [01:44:32] Speaker A: Ça fait pitié, là. [01:44:33] Speaker B: Oui, c'est Montréal. [01:44:36] Speaker A: J'ai déjà vu ça chez Wii. C'est People, c'est le peuple, là. [01:44:40] Speaker C: Le temps des bouffons, c'est ça? [01:44:41] Speaker B: Non, non, c'est pas le temps des bouffons. [01:44:42] Speaker A: C'est le Pi-Soup, c'était Pi-Soup. [01:44:43] Speaker B: Je sais pas si c'est... Ouais, c'est ça, c'est Pi-Soup. [01:44:45] Speaker A: Le documentaire s'appelait Pi-Soup. Pis là, as-tu l'audio? [01:44:47] Speaker B: Ben, j'ai l'audio. [01:44:48] Speaker A: Ouais, j'aimerais ça qu'on l'écoute. [01:44:49] Speaker B: Ce qui est drôle, c'est que le p'tit gars, il est là, il mange son baril pis il y a pas de scénario, là. [01:44:52] Speaker C: Non, non. [01:44:53] Speaker B: Il pose des questions pis lui, il répond, regarde, du tac au tac. [01:44:55] Speaker A: Tu viens d'ici, ça, ou quoi? Ouais. [01:44:59] Speaker F: Non, j'pouvais plus qu'à le taquer. [01:45:00] Speaker A: C'est où, ça, le cas de ta T'as-tu déjà vu, Conan? Non. [01:45:13] Speaker F: J'ai pas vu. [01:45:17] Speaker E: C'est très chaud. [01:45:18] Speaker A: Qu'est-ce que t'as de chaud que t'as à boire? Une transane. Une transane? Fait que si tu gagnais un million, là... [01:45:28] Speaker F: J'allais t'aller acheter un bicycle à lui. [01:45:30] Speaker A: Un Volkswagen à toi, un autre char. [01:45:33] Speaker F: À lui, un magasin de poulets fric. [01:45:36] Speaker A: Et toqué. [01:45:39] Speaker F: Un magasin chinois. [01:45:41] Speaker A: Ça, y'en a pas pire. Une maison. [01:45:46] Speaker F: J'achèterais une maison à lui, j'achèterais une maison à toi. [01:45:50] Speaker A: Peut-être le reste. [01:45:55] Speaker F: Je vais me mettre à la banque. [01:45:57] Speaker B: C'est ça. [01:45:58] Speaker A: Aujourd'hui, si tu gagnes le million, je vais essayer de m'acheter une maison. Oui. [01:46:01] Speaker C: C'est vraiment ça, là. C'est en quelle année? [01:46:04] Speaker B: C'est en 78. [01:46:05] Speaker C: En 78, avec 1 million de dollars, il achetait 3 maisons, puis il restait de l'argent, puis il le mettait à la banque. [01:46:12] Speaker A: Ça, c'est un enfant, il n'y a pas de... Le réflexe, le thinking. C'est l'adulte. [01:46:18] Speaker C: Oui. [01:46:19] Speaker A: Non, mais c'est pas un adulte, c'est le petit gros clown. [01:46:21] Speaker C: Oui, mais c'est Falardeau qui le dit. [01:46:23] Speaker A: Puis il le reste. Donc, il reste de l'argent. C'est parce qu'il voulait le faire parler aussi. [01:46:26] Speaker C: Oui, je comprends. [01:46:27] Speaker A: Pis le reste, pas-tu t'en laisses au fédéral? [01:46:30] Speaker B: J'ai dit, tu travailleras pas? Bien, parce que la vidéo finissait pas là, à un moment donné. [01:46:34] Speaker A: Tu travailleras pas? [01:46:35] Speaker B: Il a dit, non, pas tant que j'ai pas. J'ai fini de gaspiller mon million. [01:46:39] Speaker A: C'est ça. [01:46:40] Speaker B: Il est temps de me daigner, gros. [01:46:42] Speaker A: C'est le tandem d'Elvis Graton aussi. Le premier Elvis Graton a été fait en 81. On n'est pas loin d'Elvis, là. [01:46:51] Speaker B: On est à côté. On est collés dessus. [01:46:53] Speaker A: C'est le tandem photographe, Et Elvis. [01:46:56] Speaker B: Absolument. [01:46:57] Speaker A: Ouais, penche-toi... Penche... Penche-toi donc plus adouette, là. Adouette. [01:47:02] Speaker B: Juste un petit peu plus adouette. [01:47:03] Speaker A: Les profs qui endoctrinent nos jeunes dans nos écoles. Bang! On va lui mettre du plomb dans la tête. [01:47:08] Speaker D: Ouais. [01:47:08] Speaker C: 81. [01:47:10] Speaker A: Avec Gros-Leau, avec... Hôtel de... Hôtel de... Non. Avec Gros-Leau, l'hôtel de ville. Bon là, ouais! On parmi bien! Yeah! OK. [01:47:19] Speaker C: OK, donc le film, c'était en 85. Mais il y a eu... Hey, ça, j'ai jamais vu ça. Il y a eu des... des courts-métrages. d'Elvis Gratton en 81, en 83 et en 85 avant de sortir le vrai gros film à 85. [01:47:34] Speaker A: Lunda, es-tu dedans? [01:47:36] Speaker C: Je sais pas. [01:47:38] Speaker A: La petite cochonne qui pense à Jep. C'est pour mieux. On vient d'apprendre des belles, vous autres, au cégep. [01:47:44] Speaker C: Les courts-métrages, ça s'appelait Elvis Graton, les vacances d'Elvis Graton, puis pas encore Elvis Graton. [01:47:49] Speaker A: Vous êtes pour ça, vous autres, la Mourlib. [01:47:51] Speaker B: Ben oui. BPM Sport, Georges Larac. [01:47:55] Speaker A: Oh, Sonia, breaking news? [01:47:56] Speaker B: Oui, raconte une anecdote de combat avec Dave Morissette. [01:48:00] Speaker C: Oh! [01:48:02] Speaker B: Ben c'est ça, on l'écoute. [01:48:04] Speaker A: Oui, c'est dit. Il dit non. [01:48:08] Speaker C: Pas de suette, on joue plus tard dans le game. [01:48:10] Speaker A: Quand il a fait ça, je me. [01:48:12] Speaker C: Fais de bord et il me saute dessus. [01:48:14] Speaker A: Arrête! [01:48:15] Speaker C: Le jeu sur la tête de mes. [01:48:17] Speaker E: Enfants, c'est ça qui est arrivé. [01:48:18] Speaker A: Je taquine toujours avec ça, il rit. Il trouve ça drôle, il rit. [01:48:21] Speaker C: Mais il aime pas ça admettre aux. [01:48:22] Speaker E: Gens qu'il m'a comme sauté dessus. [01:48:24] Speaker A: Il t'a jumpé? [01:48:25] Speaker C: Oui, il m'a jumpé. Pendant le combat, j'ai arrêté, il dit. [01:48:28] Speaker A: « Georges, commande-moi un break », j'ai arrêté. Pas encore. [01:48:32] Speaker E: Puis ça le sent, j'ai arrêté. [01:48:35] Speaker A: Tout ce que je vous dis, je vous jure, c'est vrai. Je m'en souviens comme si c'était hier. [01:48:39] Speaker C: Il m'a demandé d'arrêter de l'oeuvrer, j'ai arrêté. [01:48:41] Speaker A: J'ai arrêté de fesser dessus, il saignait. [01:48:43] Speaker E: À ça de même, j'ai dit c'est correct. [01:48:44] Speaker G: Je l'adore Dave. [01:48:44] Speaker A: On l'adore. [01:48:45] Speaker E: C'était le fun le combat Dave, c'était le fun. [01:48:47] Speaker A: C'était le fun le combat, je comprends. [01:48:49] Speaker C: Que c'était le fun pour toi, c'est lui qui saignait. Donc, ce qu'on comprend aussi dans l'histoire, c'est que la seule manière que Morissette pouvait avoir un petit avantage sur l'arache, fallait qu'il saute dessus avant. [01:49:01] Speaker B: Tout est drôle dans cette histoire-là. [01:49:03] Speaker A: Moi, je suis le junior depuis Denis Savard, OK? Puis je suis pleinement conscient qu'il y a du monde qui ne savent pas c'est qui, Denis Savard, premier auditeur. C'est correct. Googlez. J'ai déjà vu, en shape, l'arache en bédaine. Parce qu'on avait une chambre commun, moi pis un de mes amis, en tout cas, dans les cataractes, pis on était allés à Saint-Jean. Ils jouaient avec les castors de Saint-Jean. À un moment donné, à la sortie du vestiaire, blablabla, bref, on avait des amis communs, Georges et moi, dans ce temps-là. Mais Georges est sorti en bédaine, sacre vice! Georges était shapé comme un tueur! Y'a personne qu'il voulait affronter! Ben voyons donc! Pis Morissette, moi je le connais parce que y'était allé au Cimenas Saint-Marie, là, je suis allé à l'école. Mais... Dave, il était shapé aussi, mais il était plus shapé Vieux Jim, style fermier, t'sais, il a une shape, gros beef, mais pas découpé. Si tu veux, mais en même temps, je veux pas que t'laxe la gueule de quiconque dans cette phrase-là. Mais l'ARAC, ce que je veux vous dire, ça ne me surprend aucunement. Je n'ai aucun souvenir de ce combat-là. Mais l'ARAC, oubliez ça. Georges était shapé comme Superman. [01:50:11] Speaker B: C'est un combat qui avait lieu quand Georges jouait pour les Hallers et Dave Morissette pour le Canadien. [01:50:16] Speaker A: C'est ça, c'était dans le show. [01:50:16] Speaker B: Un des sept matchs de Dave Morissette. [01:50:18] Speaker A: Mais quand il jouait junior, l'ARAC était une machine de combat incroyable. Incroyable. Larac'h, c'est l'un des gars les plus shapés que j'ai jamais vu de ma vie. Âge pour âge, livre pour livre. Il avait 17 ans quand il a commencé à jouer, ou même 16, je pense, Georges. Georges, c'est une machine incroyable, là! Incroyable! Donc voilà, c'est une belle anecdote, mais je suis nullement surpris à gagner son combat. [01:50:42] Speaker C: On sait bien, te voilà encore qui fait la promotion de la violence. [01:50:45] Speaker A: Oui, Isabelle Charrière va sûrement sortir. On va lui donner un 2 minutes. [01:50:49] Speaker B: C'est ça. On va partir une pétition. [01:50:51] Speaker A: Un 5 pour un extrême inconduit. [01:50:53] Speaker C: De toute façon, on le sait. Prochain match du Canadien. Si il y a un combat, les gens vont se tourner. [01:51:01] Speaker A: Ah, les gens vont vomir. Oui, les gens vont donner des sacs, en fait. C'est comme en avion. Ils vont donner des sacs au Centre Bell. [01:51:08] Speaker B: Grand rassemblement pour brûler des gilets, tous les gilets. [01:51:12] Speaker A: Ah, ça va être fait. [01:51:12] Speaker B: Jack Eye, Chris Nyland, tout ce qui est sorti dans le passé. [01:51:16] Speaker A: Ah, même Pierre Bouchard. [01:51:17] Speaker B: Tout le monde. [01:51:17] Speaker A: John Wensing, Pierre Bouchard. [01:51:19] Speaker B: Tout ça gagne là. [01:51:20] Speaker A: Ferguson. Fini! [01:51:22] Speaker B: Il faut qu'on parle de Mark Sanchez, c'est l'histoire... Ça explique nous, là! C'est le potet de la fin de semaine dans le monde du sport. [01:51:28] Speaker A: Qui a donné des claques à qui? Qui a commencé? Parce que moi, je lis ça vite en partant... en commençant l'histoire. Le premier article que je vois, Le gars, Sanchez, a été poignardé, mais il est accusé. Quelle belle justice. [01:51:43] Speaker C: Tout le monde est accusé. Il y a du Yisez chez Yisez là-dedans aussi. [01:51:47] Speaker A: C'est quoi l'histoire? [01:51:49] Speaker B: En fait, ce qu'on en sait jusqu'à c'est... maintenant. Les gars de Fox sont partis un petit peu fêter vendredi soir à Indianapolis parce qu'ils faisaient la partie à Indianapolis. Les gars sont sur le party. On semble-t-il qu'il y a de quoi faire la fête à Indianapolis. [01:52:04] Speaker A: Ben j'imagine. [01:52:05] Speaker B: Donc... [01:52:06] Speaker A: C'est une dix-cinq-centre ça d'après moi. [01:52:07] Speaker B: Ah non, il y a de quoi. [01:52:08] Speaker A: Faire la fête, exactement. [01:52:10] Speaker B: Ils rentrent à l'hôtel par la suite, et puis ils sont dehors à l'hôtel, en train de jaser. Et il y a un camionneur qui est dans le coin, puis semble-t-il qu'il est en train de reculer. Il est dans l'espace de livraison de l'hôtel, puis il y a une altercation entre lui et Mark Sanchez. Puis il s'engueule, puis à un moment donné, le camionneur a... Arrosé de poivre de cayenne, Sanchez. C'est un ancien joueur de la NFL, fait que le poivre de cayenne, quand tu y lances dessus, lui, il fonce sous toi. [01:52:35] Speaker A: C'est ça. [01:52:36] Speaker B: Le gars a dit... Écoute, quand il est foncé sous moi, il s'essuyait la face, je lui ai donné 3-4 coups, mais le monsieur a 69 ans, t'sais. Sanchez, lui, il l'a poussé, le gars a volé dans la benne de son camion, il est tombé à terre. [01:52:49] Speaker A: Il s'est défendu. [01:52:50] Speaker B: Il a dit, j'ai consulté, j'ai considéré que ma vie était en danger, j'ai sorti mon couteau et j'ai poignardé Marc Sanchez. [01:52:56] Speaker A: Il a poignardé plusieurs fois. Celui qui est victimisé ce matin, c'est le gars, le trucker, qui a face comme un poteau saumon qui a été foiré dans les lits d'hôpital. [01:53:05] Speaker B: Exactement. [01:53:06] Speaker A: C'est peut-être lui qui est dans le trouble plus qu'on pense. [01:53:08] Speaker C: Avec un collier viscervical aussi. [01:53:10] Speaker B: Ça, c'est les derniers détails qui sont sortis. Puis lui, Sanchez, a été accusé d'avoir... [01:53:16] Speaker A: Un décès de défendu? Oui. [01:53:17] Speaker C: Tu sais, il y a deux... Tu te fais asperger de pauvre de Cayenne. Mettons que c'est ça la version, puis c'est vraiment ça que c'est passé. Tu te fais asperger de pauvre de Cayenne, il y a deux possibilités. Tu te sauves ou tu fonces. [01:53:27] Speaker A: C'est ça. Puis lui, bien, regarde. Il a foncé. [01:53:30] Speaker B: La scène aura été filmée, donc possiblement que TMZ va nous publier des images cette semaine. [01:53:35] Speaker A: OK. [01:53:35] Speaker B: Puis qu'il va avoir... Y a-tu bon. [01:53:38] Speaker A: Sanchez à la TV? [01:53:39] Speaker B: Oui, il est bon Sanchez à la TV. [01:53:40] Speaker A: OK, il va se faire défendre par Fox. [01:53:42] Speaker B: Peut-être qu'il va se faire défendre par Fox, on va voir. [01:53:44] Speaker C: Ça dépend des images. [01:53:45] Speaker B: Ça va dépendre des images. Eux autres aussi vont y voir les images. [01:53:48] Speaker A: Oui. [01:53:48] Speaker B: Puis ça devrait se terminer là pour... [01:53:50] Speaker A: Ça peut qu'il y ait se des images polyphones pour sa femme aussi. Genre, il était avec trois femmes. Tu sais que quand tu vois... les images, c'est que tu vois des fois beaucoup d'images. Il y a peut-être trois filles en talons hauts en arrière. Il y a peut-être sa femme qui va lui dire « Who's that? Who's that? Who's that? » Je ne sais pas si lui, il veut qu'on voit les images. Je ne sais pas, mais si je. [01:54:13] Speaker B: Me fie à sa vie à l'époque où il était carrière pour les Jets de New York. C'est pas le genre à s'accoter de façon steady. [01:54:24] Speaker A: Donc tu me donnes raison. [01:54:26] Speaker B: Oui, oui, c'est assurément. [01:54:27] Speaker A: Parce qu'il y a des enfants. Je dis ça moi-même. Aux États-Unis, c'est la famille, les apparences bien souvent. Donc il y a un peu beaucoup d'hypocrisie. [01:54:37] Speaker B: Parce qu'hier sur Page Six, j'ai pas lu l'article, parce que tout le monde parle de Mark Sanchez. Il y avait Mark Sanchez Dating History. [01:54:46] Speaker A: Oui, il y a une collection. [01:54:48] Speaker B: Une bonne collection. [01:54:49] Speaker C: Officiellement, il est marié depuis 2023. avec une actrice. [01:54:52] Speaker A: Selon la science. Oui. OK. La science matrimoniale. [01:54:59] Speaker B: Et voilà. [01:55:00] Speaker A: C'est tout? [01:55:00] Speaker B: C'est tout. Il y a 5h55. [01:55:02] Speaker A: Sacrifice. Moi, je me suis habillé et je suis prêt pour une Légion. Donc, avis à tous. Ce segment est un segment... Toxique. Faut mettre un avertissement. Oh oui. [01:55:13] Speaker B: Il est toxique. [01:55:15] Speaker A: Comme un paquet de cigarettes. [01:55:16] Speaker B: Mettez vos masques. Faites-vous vacciner. [01:55:18] Speaker A: 6H56 dans Montréal. [01:55:23] Speaker F: Petite pause. De retour dans un instant. Radio X. Retraite Québec présente le brin de sagesse de Sylvie. [01:55:31] Speaker A: Nous, une année avant de prendre notre retraite, on a essayé de vivre avec le budget qu'on avait prévu pour faire un test. Ça a été une année pas mal poche. On a reporté notre retraite de trois ans. Mon conseil, prenez le temps de penser. [01:55:44] Speaker F: À ce que vous voulez et demandez l'aide d'un professionnel. Pour récolter assez de blé à la retraite, revoir sa situation financière et sa stratégie de temps en temps, c'est un bon plan. Visitez notre site web pour en savoir plus. Un message de Retraite Québec. [01:55:58] Speaker A: Simon Laberge, c'est extraordinaire. SimonLaberge.com, pour vendre rapidement, c'est le secret de son succès, anyway, lui et son équipe. On arrive, on évalue, on vend. That's it, that's all. Et Dieu sait que... Ça avance rapidement dans la région de Québec. Peut-être un peu moins hot que, mettons, l'an passé, mais c'est encore très, très en santé comme phénomène, qui est un phénomène quasiment unique au Québec. On va se le dire, à Québec, c'est complètement fou. Là, je vous dis qu'en 2024, les stats, c'est 400 maisons vendues. Peut-être que Simon devrait nous donner les chiffres pour 2025, because ça achève, mettons, pour les 9 premiers mois, De 2025, moi, d'après moi, on respecte la même proportion. On est les numéros un via capital à Québec. Et en raison de la forte demande de nos clients d'Équipe Laberge, on recherche actuellement pour nos clients des maisons et des condos et des immeubles à logements scapotés. On veut, on a besoin, on a besoin de maison tellement que c'est hot, c'est complètement fou. Si vous avez le goût donc de vous libérer, la maison est trop grande, les enfants sont partis, on veut aller en ville, en condo, on veut rester pas loin des plaines, pis là on restait dans du berger pis on est tanné, mais ayez donc le réflexe Simon Laberge! [01:57:12] Speaker C: Traffic, transit and weather. [01:57:17] Speaker A: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:57:21] Speaker B: Je vais pas faire du Jean Daniel, là, mais je vais citer Edward Murphy, la fameuse loi de Murphy, tout ce qui est susceptible de mal aller, de tourner mal, c'est exactement ce qu'on a ce matin actuellement. sur la carte de la grande région de Québec, ça va pas bien. On va commencer par la Rive-Sud. La Rive-Sud, il y a eu des accrochages un peu partout ce matin. On semble quand même être assez rapide pour tasser les débris et toutes les patentes, mais le mal est fait. C'est congestionné un peu partout, là. 20 Est, 20 Ouest, 73, 116, 132, c'est rouge, rouge, rouge. Il y a vraiment beaucoup de monde. Route Lagueux, pour les gens qui arrivent de Saint-Apollinaire ou de Saint-Nicolas, c'est depuis le... La route du président Kennedy pour des gens qui arrivent de Bellechasse, et c'est vraiment loin également pour des gens qui arrivent de la 73, c'est compliqué. Traverser le pont en matin, c'est compliqué. Sur la Rive-Nord également, ça commence à être lourd. Sur Charest, tout le secteur Jouvence, Cap-Rouge, ça commence à être lourd. Et sur l'Est jusqu'à Saint-Sacrement, compliqué également. Sur Capitale, dans les deux directions, on vient de fermer également la rue Einstein. qui a bloqué la circulation entre le boulevard du parc technologique et la rue du complexe scientifique. C'est un bris d'aqueduc dans ce secteur-là. Tout va mal un peu partout dans la grande région de Québec ce matin pour rester à la maison. Finalement, le plus grand magasin L'Équipeur au Québec est maintenant ouvert à Laurier-Québec. Choix incomparables de produits, des marques de confiance comme Levi's, Columbia, Lois, Carhartt et autres. Visitez L'Équipeur dès aujourd'hui. [01:58:52] Speaker A: Le Dr Steve Bernier, spécialiste et expert en implants dentaires depuis 25 ans. Un seul numéro pour vous redonner le sourire. 418-835-5858. Maintenant à Lévis, Québec et La Bauche. Drstevebernier.com. 418-835-5858. Grande vente, Milwaukee d'outils plus. Jusqu'à 60% de rabais, promos exclusives, cadeaux avec achat et beaucoup plus. Jeudi 9 octobre de 9 à 21h au Centre de foire de Québec. Je suis en train de chanter avec Dan, le premier ministre de la France qui a démissionné. Il venait d'arriver. [01:59:26] Speaker B: C'est incroyable. [01:59:27] Speaker A: C'est incroyable. La France, c'est complètement fou. [01:59:29] Speaker C: Est-ce qu'il y a quelqu'un qui veut être premier ministre en France? [01:59:31] Speaker A: C'est complètement fou. [01:59:33] Speaker B: Il faut s'apprendre une élection. [01:59:34] Speaker A: Absolument. Et ce qui est complètement fou, et ça se passe sur la Rive-Sud, les nouvelles installations de Lévis-Ford, c'est fou, c'est grand, c'est beau. Vous ne serez pas habitués, je vais vous dire. Ceux qui sont allés à l'ancienne succursale ont fait le saut. Moi, j'ai fait le saut pour vrai. J'étais extrêmement ravi. Ça sent bon, ça sent le neuf. Tout le monde sourit là-dedans. C'est huge avec, au sous-sol, on le rappelle, l'inventaire. Tout est là. Puis quand vous allez passer devant, en plein hiver, pleine tempête, vous allez dire « il y a un manque de choses dans la cour ». Non, non, non, non, non, c'est autour du sous-sol. Tu t'en viens, tu enlèves ton manteau, tu fais le tour, tu magasines plus d'une centaine de véhicules au sous-sol. C'est beau, c'est grand et on est fiers de vous présenter En plus avec une belle promotion en octobre. 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Détails sur DooliesQuebec.com. Soit... Soit... 98... 98... 1... Radio-X, à Québec, c'est Radio-X. [02:04:37] Speaker F: Radio-X, c'est vous. [02:04:41] Speaker A: Votre propre opinion. Et je déplore qu'une ville comme Québec. [02:04:45] Speaker F: Aussi grande, n'ait pas aucun terrain de. [02:04:47] Speaker A: Pétanque intérieur pour l'hiver. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. [02:04:56] Speaker C: C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. [02:04:57] Speaker A: C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. C'est Dominique la pétanque, Moret. [02:05:09] Speaker B: Vous avez c'est la pétanque commencé à. [02:05:11] Speaker A: 17 ans à la radio, live, télémédia. [02:05:13] Speaker C: Pour s'entraîner etc. Et vous avez quitté. [02:05:16] Speaker A: La Télair 2004 et vous avez rejoint Radio X. Et alléluia ! [02:05:29] Speaker C: Let's go live now from the Tower of Doom. Mets ton béret, légionnaire. This is Moray Live. [02:05:36] Speaker A: On devient un légionnaire et on reste jusqu'à la mort. [02:05:40] Speaker C: From the Radio X World Headquarters, here is your legendary Legion of Doom. [02:05:51] Speaker D: Oui. [02:05:57] Speaker A: J'Ai peur. Faites attention, c'est toxique. Vous critiquez encore Marchand qui est tellement bon. [02:06:04] Speaker C: Oui, ça va venir. Mais j'en reviens juste deux secondes. T'as annoncé le premier ministre français qui a démissionné. Ça c'est il y a... [02:06:12] Speaker A: Il y a quelques heures à peine, quand Lecornu, quand j'ai quitté la maison pour m'amener à la job à matin. [02:06:16] Speaker C: Oui, pour les gens, parce que c'est très important, le premier ministre français, il s'appelle Lecornu maintenant. Rappelle-toi, il y a un an et demi... [02:06:22] Speaker A: Il s'appelait. [02:06:23] Speaker C: Oui, il s'appelait. [02:06:23] Speaker A: Il s'appelle encore, mais il va faire autre chose. Oui. [02:06:25] Speaker C: Rappelle-toi, il y a un an et demi, ça fait juste un an et demi, il y a un an et demi, quand on avait reçu Gabriel Attal à Québec. les journalistes et nos politiciens en pamoison devant Gabriel Attal, comment c'était extraordinaire. [02:06:39] Speaker B: La randonnée papale. [02:06:41] Speaker A: Gang de losers. [02:06:41] Speaker C: Ben ça c'était il y a trois premiers ministres. Il y en a deux autres qui ont passé après lui. [02:06:46] Speaker A: C'était-tu pathétique pareil? C'est comme si le curé donnait la communion. [02:06:50] Speaker C: Ça c'était colonisé. [02:06:52] Speaker A: Ah oui, M. Attal, je suis senti bon, M. Attal! [02:06:55] Speaker B: Ils ont donné le même traitement qu'à le pape! La randonnée toute, la police, les flashes... [02:07:00] Speaker A: Très colonisés! [02:07:01] Speaker C: La gang de péquistes... Les soldats avaient pas embarqué, je vais leur donner. Parce que pour eux autres, c'était un gars de droite, c'est une autre histoire. Mais la gang de péquistes, qui sont sorties la semaine dernière parce que la gouverneure... Non, la lieutenant-gouverneure était là. Ben, quand c'était Gabriel Attal... [02:07:18] Speaker A: Le PQ sera très colonisé en cas de victoire du oui, excusez-moi, un oui qui passe mettons à 51.8. La première affaire qu'ils vont faire, c'est qu'ils vont pogner le téléphone, puis ils vont aller zigonner après le grotte-jambes à Macron. S'il est là, ou s'en remplaçant, ou s'en remplaçant. Hé, tu nous reconnais-tu, là, hein? On est une république, là, tu nous reconnais-tu, là? [02:07:39] Speaker C: Oui, oui, même si c'est Marine Le Pen... Non, ça peut pas être elle. En tout cas, peu importe qui de. [02:07:44] Speaker A: Son parti... Ça peut que ça soit elle. [02:07:46] Speaker C: Elle peut-tu se présenter, là? [02:07:47] Speaker A: Oui, oui. [02:07:48] Speaker C: Elle peut? [02:07:48] Speaker A: OK. [02:07:49] Speaker C: Je pense qu'elle pouvait pas. [02:07:49] Speaker A: C'est Bardella, puis là, je pense qu'ils vont tourner vers une nouvelle, là. Jordan Bardella, c'est parce que c'est la nouvelle génération. [02:07:54] Speaker B: Mais c'est clair qu'ils vont sonner... [02:07:55] Speaker A: Mais Bardella a des maudites bonnes chances d'être élu pour vrai. Les sondages, c'est ce parti-là qui mène. Fait que là, ils vont zigonner ça après le grotte-jambes. [02:08:03] Speaker C: Dites-nous qu'on est un pays. [02:08:04] Speaker A: Dites-le-les. On est bon, on est fin. [02:08:06] Speaker C: Si on est reconnu par la France, on est un vrai pays. [02:08:08] Speaker A: Ça, ça fait vraiment coloniser. [02:08:10] Speaker B: Ce qui va faire mal, c'est encore la division des votes de droite. Parce que c'est pas juste au Québec et à Québec que les gens comprennent pas. C'est partout dans le monde. [02:08:18] Speaker C: Oui, mais eux autres peuvent pas se diviser jusqu'à la fin parce qu'à la fin, il faut qu'il y en ait deux. [02:08:20] Speaker B: Oui, je sais. Il y a ça. [02:08:22] Speaker A: Le duel. [02:08:23] Speaker C: Donc je te parle. [02:08:25] Speaker A: La dualité, voilà. [02:08:27] Speaker C: Radio-Canada, à chaque semaine, a une émission, un podcast qui dure 24 minutes sur la semaine de l'élection municipale. [02:08:37] Speaker A: C'est long, là. [02:08:38] Speaker F: Oui. [02:08:40] Speaker A: Pas de pause. Pas de pause. [02:08:42] Speaker C: Ils n'ont pas trouvé une seule seconde pour parler des dépenses du maire, de ce que Renaud avait sorti la semaine dernière. Ça n'est pas arrivé. [02:08:48] Speaker F: Pouf! [02:08:49] Speaker C: Non. Mais ils ont trouvé du temps, par exemple, pour nous dire comment la ville est très bien gérée, comment Stéphane Lachance, dans le fond, il chante pour rien. [02:08:57] Speaker A: Mais moi, la réplique la plus intéressante, c'est celle de Claude Villeneuve. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Moi, je pense qu'il est dret dessus, comme on dit. Parce que, dans le fond, on regarde les fondamentales à la Ville de Québec. La dette baisse, autant en termes absolus qu'en proportions. Il y a eu des surplus récemment. On n'a pas de raison de croire que le feu est pris à l'hôtel de ville, mais M. Lachance en parle comme si c'était le cas. Et il y a un public pour ça. Il y a des gens qui sentent le coût de la vie. Il y a des gens qui renouvellent l'hypothèque et qui sont étouffés par des taux qui ont augmenté depuis la pandémie, l'épicerie. Alors dans ce contexte-là, il y a des gens qui se disent, est-ce qu'on est bien géré? Est-ce que le tramway, lui, va pas coûter les yeux de la tête? Alors, il y a une brèche et M. Lachance, il rentre là-dedans. [02:09:44] Speaker C: C'est quoi ces questions-là? Demandez si on est bien gérés pis si le tramway... [02:09:49] Speaker A: Il y a un public pour ça, en voulant dire qu'eux autres sont tout à fait désincarnés. Il y a un public pour ça. [02:09:54] Speaker C: La gang de meillets qui chialent sur. [02:09:58] Speaker A: L'Épicerie pis les taxes. Nous autres, on est bien. Puis qui comprennent pas qu'il l'a indiqué, patché, Radio-Can, avec Carné qui nous a rebudgetés en plus. Une belle augmentation. [02:10:09] Speaker C: C'est surtout des gens qui comprennent pas que la ville est vraiment bien gérée, là. Puis qu'il y a pas de raison de chialer du tout, le moindrement. Je rappelle que c'est Radio-Canada eux-mêmes qui avaient sorti récemment le compte de taxes moyen pour une maison estimée à 450 000 $ au Québec. [02:10:25] Speaker A: Ça, c'est très bon, Dom, parce que ça a pas été repris par... les vrais journalistes, entre guillemets. [02:10:30] Speaker C: Non, c'était un genre de blogueuse qui. [02:10:31] Speaker A: Avait utilisé ça, mais personne n'en a parlé. [02:10:34] Speaker C: C'était sur le web. C'est des petites capsules sur le web de Radio-Canada. Je ne sais même pas c'est qui la fille qui faisait ça. Mais elle fait un tableau. En fait, c'était sur une espèce de grand papier. [02:10:43] Speaker A: Genre style fait-moi un dessin. [02:10:45] Speaker C: Oui, exact. Donc, prix de maison estimé à 450 000 $. Le compte de taxes à Québec, 4 494 $ par année. À Lévis, Lévis est deuxième. Lévis, on n'est pas extraordinaire. 3842, c'est quand même une différence de 600-50$ entre les deux villes. 3842$ par année. Laval arrive troisième, on est dans les grandes villes. 3684$, on est rendu à 800$ environ de différence. Montréal! [02:11:14] Speaker A: Hein? [02:11:14] Speaker C: Montréal? Oui, Montréal, quatrième. 3196$, fait que là c'est 1200-1300$. de différence entre Montréal et Québec pour une maison de 450 000. Vous allez me dire que à Montréal, les maisons de 450 000 n'ont pas tant que ça, là. Mais quand même! [02:11:31] Speaker A: C'est incroyable. Mais fermez votre gueule. Fermez votre gueule. Regardez les belles idées qu'on a. Les rues partagées, le vélo, le vivre ensemble, les belles valeurs, c'est nous qui les avons. Mais que c'est qu'on descendant de dire il y a un public pour ça? Il y a un public pour ça, les néo-nazis. Il y a un public comme ça, la radio poubelle. Mais que c'est qu'on dit, Sandan? C'est incroyable comment ces gens-là n'ont aucun respect pour vous. [02:12:02] Speaker C: Il y a des idiots qui se font avoir par Stéphane Lachance, puis par son discours qu'il faudrait couper dans les dépenses de la Ville. La Ville va très bien, les finances sont en ordre, tout est très bien géré. [02:12:13] Speaker A: Mort pise la mairie, il y a des paroquets de la mairie. [02:12:16] Speaker C: Il n'y a pas de dépenses folles. L'émission, c'est... Louise Boisvert, c'est celui qu'on vient d'entendre là, le mieux. Olivier Lemieux. Et t'avais un gars du devoir aussi qui était là autour de la table. [02:12:29] Speaker A: Tout du monde qui s'entendent pas. [02:12:30] Speaker C: Un ancien de Ratcan en plus. Oui, et que ce soit réaliste ou non, je pense que ça importe assez peu aux gens. [02:12:36] Speaker A: Que Stéphane Lachance et son parti tentent de rejoindre. Ils ont l'impression que ça prend un. [02:12:41] Speaker C: Remède de cheval à l'Hôtel-de-Ville, qu'il y. [02:12:43] Speaker A: A une orgie de dépenses, et quelqu'un qui est fort en gueule, qui présente. [02:12:47] Speaker B: Un cadre financier qui est présenté comme. [02:12:49] Speaker A: Crédible avec des économistes diplômés, je pense que ça suffit à attirer cet électorat-là ou à tout au moins confirmer leur adhésion à la proposition de M. Lachance. [02:12:59] Speaker C: Ça les impressionne, ils disent qu'il y a un économiste, ça va les impressionner et ils vont tomber dans le panneau. [02:13:05] Speaker A: Le même mépris que ceux qui votaient pour Donald Trump. Exact. Le même mépris que pour ceux qui votaient pour Duhem. [02:13:16] Speaker B: Exact. [02:13:16] Speaker A: Le même mépris que pour ceux qui votaient pour Poiliev. Exact. La droite, la droite dure, la droite de la radio poubelle. [02:13:26] Speaker C: Le même mépris que dans le journal de ce matin. [02:13:28] Speaker A: Les déplorables. [02:13:29] Speaker C: Versus les gens qui ont hué François Legault. [02:13:32] Speaker A: Exact. Et ces gens-là ne comprennent pas que le déclin des médias est, entre autres, occasionné par ce genre de mépris-là, cette déconnexion-là, ce manque de respect-là. Ça vient pas juste de Google, votre patente, là. parce qu'il y a des médias qui sont encore consommés. Il y a des médias qui sont encore en santé. En Angleterre, je peux vous en nommer. Des médias que les gens acceptent de payer des abonnements pour lire. Entre autres, le Telegraph, vous avez des médias qui s'en tirent mieux que d'autres également en France. Des médias plus équilibrés, des médias qui ouvrent la porte à CNews. En France, d'ailleurs, des médias qui provoquent des clashes d'opinion, qui amènent sur des tribunes des gens qui ont des opinions différentes. pas des médias qui sont des perroquets et quasiment des firmes de marketing établies pour les médias, pour les pouvoirs en place. [02:14:30] Speaker B: La nature horreur du vide, c'est ça. Ils sont vides, les médias, à l'heure actuelle. [02:14:33] Speaker A: C'est ça. Oui. [02:14:34] Speaker C: Et le pire, c'est ça, c'est que les trois personnes que je viens de passer là, c'est supposément des journalistes. Oui, là, ils font du commentaire, mais c'est des journalistes. [02:14:41] Speaker A: Vous ne faites pas le travail. Vous ne faites pas le travail de vérifier et d'agir comme contre-pouvoir. [02:14:47] Speaker C: Renaud, lui, il a fait le travail pendant ce temps-là. Vendredi, il est revenu dans le show à J.C. avec des nouvelles trouvailles que des journalistes. [02:14:56] Speaker A: Faisaient il y a ça quelques années. Je refouillais là. Tu l'as démontré d'ailleurs. Oui, ils l'ont fait pour La Baume. [02:15:00] Speaker C: C'est ça. Il est revenu, il a fait une comparaison d'ailleurs. Les dépenses de voyage de l'administration La Baume. Donc, pas juste Régis. L'administration La Baume, comment on dépensait? sous l'administration La Voyage. [02:15:13] Speaker A: Donc, les élus plus les fonctionnaires, dans son dernier mandat, ont effectué 54 voyages pour 219 337 $. [02:15:23] Speaker B: Ça, c'est à part des allocations et. [02:15:25] Speaker A: C'Est à part des comptes de dépense. [02:15:28] Speaker C: Donc, 219 000. Marchand, maintenant. [02:15:32] Speaker A: Et sous l'administration marchand, en trois ans et demi, l'administration marchand, donc c'est les. [02:15:36] Speaker B: Élus de l'équipe marchand et l'opposition, mais. [02:15:39] Speaker A: L'Opposition, il n'y en a pas eu, je vous le dis tout de suite, plus tous ses fonctionnaires sur des partis très idéologiques, ont voyagé 152 fois pour 1 227 168 50 sous. Ça, c'est ce qui s'est passé. Ils sont tous disponibles en ligne. C'est des pages et des pages de voyages. [02:15:57] Speaker C: 1,227,000. Ça, c'est par-dessus ce qu'on vous a dit des autres comptes de dépenses de marchands la semaine dernière, là. Par-dessus ça. Parce que là, il y a des gens qui mélangeaient. C'est pour ça que Renaud a sorti ça vendredi. Il y a des gens qui ont sorti ça puis ont dit « Ouais, mais Régis dépensait bien plus. Regarde, t'as le facture de voyage. » Non, non, ça, c'était à part. [02:16:16] Speaker A: Là, il y a des gens qui. [02:16:16] Speaker C: Vont dire « Ouais, mais là, c'était le dernier mandat puis il y avait la COVID. » OK, mais faites x3, x4, x5. Mais la moitié du mandat où il n'y avait pas de COVID là, puis où justement ça voyageait là. Mais même si vous faites x2, vous n'êtes même pas proche de la... C'est bon ou vert? de ce qu'on comprend, là, les voyages. Puis je vais vous en donner un exemple. [02:16:36] Speaker B: C'est videment géré, ce ville-là, je vous le dis. [02:16:38] Speaker C: Oui! Non, non, il n'y en a pas de dépenses folles, le moindrement, là. Voyage au Brésil. [02:16:43] Speaker A: Du 26 avril au 2 mai 2023. Une mission de recrutement pour de la. [02:16:47] Speaker B: Main-D'Oeuvre spécialisée à Sao Paulo, au Brésil. [02:16:50] Speaker A: Le sommaire décisionnel, le CE 2023, 0306. Paulina Avares, Tatiana Tinoco, Sandra Leboeuf et Clinton Carnel ont fait ce voyage-là. Donc, des fonctionnaires, ça l'a coûté 25 089 euros. Et où est cette grande cohorte de travailleurs brésiliens? Je te laisse la trouver dans Saint-Roch, je sais pas. [02:17:11] Speaker F: Sao Paulo. [02:17:12] Speaker B: Sao Paulo. [02:17:13] Speaker C: Oui. Ça, c'est juste un exemple. [02:17:16] Speaker A: Gardez la température, vous allez tout comprendre. Faites la date, faites le métier. [02:17:21] Speaker C: En avril. [02:17:23] Speaker A: En avril, le neige est queurée. La neige finit pas de fondre. Les rues sont sales. C'est gris. Le baseball a commencé, mais pas de notre baseball. Le baseball en Floride, le baseball majeur, mais il joue sur du terrain quasiment glacé encore. Saint-Opolo. C'est à ton tour aussi, Clinton, machin, Bilode. Vous regarderez, hein. [02:17:45] Speaker B: Clinton, Cardinal. [02:17:46] Speaker A: Des noms inconnus, des Pierre-Jean-Jacques inconnus de l'organigramme. C'est à ton tour, fais tes valises, tu vas à Saint-Opolo. Le prochain, c'est en Argentine. [02:17:56] Speaker B: Oui, ceux qui n'ont pas voyagé, vos noms sont encore dans le baril. [02:17:59] Speaker A: Exact. [02:17:59] Speaker C: Une des différences, d'ailleurs, que j'ai vues, entre les voyages de la bombe et les voyages de marchands, c'est que marchands, il va y avoir beaucoup plus de monde. La baume dans le temps, généralement, il allait avec Paul-Christian Nolin et that's it. Marchand s'entoure plus, là. Il amène une coupe d'élus. [02:18:19] Speaker A: Il aime ça se faire dire qu'il est beau. [02:18:20] Speaker C: Donc, M. Weiser, le dernier voyage qu'il a fait, je pense que c'était celui à San Antonio, si je me trompe pas, là, M. Weiser était là. Là, il fait plus partie de l'équipe. [02:18:26] Speaker A: It was not so wise. Ouais, non. It was not so wise! [02:18:32] Speaker C: Parlons du PQ, parlons de PSPP. J'ai essayé de mettre la table. [02:18:38] Speaker A: Renaud Lavrec a écrit le mieux pour le recadrer. Pas sûr qu'il va donner la réplique. Quand il lui a écrit concernant la dette, il explique un peu. Il fait un genre de tutorial, c'est le fun. Mais ça, c'est insultant pour les journalistes, quelqu'un qui reçoit ça. Autrement dit, un journaliste dispatié qui fait pas sa job. [02:18:56] Speaker C: Parce que j'oubliais ça, il dit la dette n'a pas augmenté, autant en proportion. En proportion, je pense qu'il a raison parce qu'il y a une manière de jouer avec le chiffre. Mais pour ce qui est du vrai chiffre, non, ça a augmenté. [02:19:07] Speaker A: Selon marchand marketing, tout est correct. [02:19:10] Speaker C: OK. Parlons du PQ maintenant. Il y a ça deux semaines environ, PSPP avait fait un référendum dans ses membres, puis là, il faisait une sortie. Voici ce qu'il avait dit à Patrice Roy. [02:19:23] Speaker A: On a tracé la ligne là parce que des enfants aux primaires, on trouve que la socialisation devrait se faire avec. [02:19:33] Speaker F: Le moins de différenciation possible. [02:19:36] Speaker C: Ça, ça a fait réagir, donc surtout du côté de Radio-Canada. Et à l'émission de Marie-Louise Arsenault, pas celle d'enfin de semaine, celle de la fin de semaine précédente, voici ce qu'on a pu entendre. [02:19:45] Speaker F: Bon, premièrement, est-ce que c'était un vrai problème? Est-ce qu'on a des milliers de jeunes. [02:19:50] Speaker A: Enfants dans les écoles qui arrivent en portant des signes ostensibles? Parce que là, on n'utilise plus ostentatoire, c'est plus à la mode. et que ça pose problème. Bon, ça, c'est la première chose. [02:19:59] Speaker F: Est-ce que, deuxièmement, de mettre nos enfants. [02:20:01] Speaker A: En contact avec la différence, est-ce que c'est si terrible que ça? Est-ce que c'est si épouvantable qu'un petit enfant québécois soit confronté à la réalité d'un enfant qui a un autre vécu que le vécu catholique? Est-ce que c'est si troublant et si épouvantable qu'on doit s'assurer que tous les. [02:20:16] Speaker F: Enfants sont pareils, qu'ils sont tous dans. [02:20:17] Speaker A: Le même moule, et pourquoi pas tous blonds aux yeux bleus, tant qu'à faire? [02:20:21] Speaker F: Bon, oui, j'avoue, ça me hésitait là. Mais je pense qu'à un moment donné, à tout vouloir lisser, on finit par. [02:20:32] Speaker A: Ne plus avoir de couleurs, on finit par ne plus avoir de saveurs. Ça, c'est très salaud comme commentaire. [02:20:38] Speaker C: À part ça, je veux dire, parce que là, j'ai vu... [02:20:39] Speaker A: Très salaud. [02:20:40] Speaker C: J'ai vu le vidéo en fin de semaine, des gens autour de la table qui a dit ça. Tout le monde fait les gros yeux, fait comme... Tu veux vraiment dire ça? [02:20:46] Speaker A: Bérubé a raison de porter plainte à Radcan. On ne porte pas cette plainte à Radcan, à l'homme beau du monde de Radio-Canada. Il a raison. Il a raison. Comme nous autres, on aurait raison à différents égards, à un moment donné, les gens sans talent ne méritent pas qu'on s'encharme. Dans ce qu'on cas à elle, étant donné que c'est un parti établi, c'est un parti qui vise le pouvoir, c'est un parti qui pourrait accéder au pouvoir, je pense qu'il faut s'étasser, s'étasser. Laisser entendre que c'est des nazis, mais c'est par en arrière. Les yeux bleus, gang, les cheveux blonds, blanc, blanc, la race aryenne, mais je l'ai pas dit, mais je l'ai dit, mais je l'ai pas dit. Non, non, regarde. C'est très, très, très cochon. Mais c'est du grand Radio-Canada. C'est du vicieux, c'est du mal propre, c'est de la diffamation. Mais au final, quand Pascal Bérubé va avoir sa réponse, ça va dire... Elle recommencera pas. On lui a dit que c'était pas fin, mais elle recommencera pas. [02:21:44] Speaker C: Parce que c'est une... Ça changera rien. C'est une invitée, là. [02:21:46] Speaker A: C'est une Félix Schrenger. C'est une... C'est Mme de Lucam. C'est une pigiste, ça? Ah non, c'est une Lucamienne! C'est... C'est une Lucamienne! [02:21:53] Speaker C: Je me demande si c'est pas une directrice de programme même à Lucam, là. C'est pas juste une prof à l'UQAM, là. Je pense que c'est une directrice de programme. [02:22:01] Speaker A: C'est une deep UQAM. [02:22:01] Speaker C: Mme Rachel Gagnon. [02:22:02] Speaker A: On est vraiment dans la galaxie ukamienne à fond, là. [02:22:05] Speaker C: Son titre exact qu'à l'UQAM, là. [02:22:06] Speaker A: C'est Rachel. [02:22:07] Speaker C: Ouais. Mais elle est fréquemment invitée. En fait, elle est là quasiment aux deux semaines. [02:22:11] Speaker A: Chroniqueuse. [02:22:12] Speaker C: Ouais, rendu là, c'est chroniqueuse. Il invite comme ça deux personnes pour revenir sur l'absolutité. [02:22:15] Speaker A: Chroniqueuse amie. [02:22:17] Speaker C: En même temps, je suis obligé de dire que PSPP qui dit qu'on veut le moins de différence possible à l'école primaire entre les élèves, il y a de quoi, là. Il l'a échappé aussi, là. [02:22:25] Speaker A: Ouais, mais c'est pas une bonne assiette. Non, non, non. [02:22:28] Speaker C: Je commence pas à dire que c'est des nazis, là. [02:22:30] Speaker A: Il est très touché. [02:22:31] Speaker C: Oui, oui, oui. [02:22:32] Speaker A: Oui, mais les autres, ils sont des gauchistes. Ils veulent l'égalité, puis ils veulent combattre l'école privée. Ça, on l'a dit, puis c'est tout à fait déplorable. Puis on aura l'occasion d'y revenir, rassuremment. Mais quand tu joues sur la race en guillemets, un terme que j'aime pas beaucoup, mais qu'elle aborde d'emblée, ça, il faut que tu répliques. [02:22:48] Speaker C: Là, on était aussi, là j'y vais en fin de semaine, puis je vais rester dans la même émission, l'émission de Marie-Louise, on était sur le discours de François Legault, puis les autres, la majorité de la population a fait comme moi, dis quoi Legault, parle tant que tu veux, on ne te croit plus. En gros, c'est ça. Mais pour eux autres, ils l'ont vraiment analysé, puis il y a des choses qui les ont choqués. [02:23:08] Speaker A: Mais surtout la menace qu'ils plantent sur le Québec, selon lui. [02:23:11] Speaker C: Je parle des islamistes radicaux qui tentent. [02:23:15] Speaker A: Par tous les moyens d'imposer leur valeur. C'est reparti les islamistes radicaux qui sont partout, comme les prières de rue. Je me suis même enfargé dans une qui traînait tantôt parce que je regardais pas où je marchais. Faut que j'arrête de regarder mon téléphone. Mais qui sont ces islamistes radicaux? Parce que cette semaine, c'était plus les Grecs de Laval qui se font tirer dessus au Starbucks. De qui parle-t-il? Des manifestants contre le génocide en Palestine? Des nobody à la charcao qui retontissent dans les Nouvelles aux Trois Ans parce qu'ils disent une niaiserie devant leurs trois adeptes et demi? [02:23:43] Speaker C: Juste trois adeptes. Fait que c'est rien. On minimise, ça n'existe pas, c'est pas un problème. Mais là on commence à faire... Ça. [02:23:51] Speaker A: Là, c'est très très très malhonnête. Je vais revirer ça de manière tout à fait ironique avant qu'il y ait des timbrés qui m'écoutent et qui prennent ça au pied de la lettre. Féminicide, les batteurs de femmes. Moi je suis arrivé à la job à matin, m'étant fargé dans trois batteurs de femmes. Ça va faire ça les féminicides? Les pédophiles, hein? Ouais, c'est ça. Je n'ai pas une eau dans l'entrée. Dans le garage, j'en ai bu trois, regarde. Ça va faire, le combat contre la pédophilie? C'est aussi timbré que ça. [02:24:18] Speaker C: Ben c'est ça. [02:24:18] Speaker A: Pendant qu'on se crêpe le chignon là-dessus, il y a jusqu'ici 14 meurtres de femmes cette année. Des gars qui se trouvent un peu trop rockés avec leurs poings ou soldats avec leurs guns, mais suffisamment larges pour tuer leur ex. Et là-dessus, il y a beaucoup moins de salive qui se dépense. [02:24:31] Speaker C: Donc là on fait une fausse équivalence. Un c'est grave, l'autre pas grave. Ça c'est nos priorités. Vos priorités sont pas bonnes. [02:24:38] Speaker A: Alors que je peux revirer ça à l'envers de manière tout à fait ironique pour soulever l'incongruité du propos en disant... C'est ça, des batteurs de femmes. Moi je suis allé à l'épicerie hier, j'ai début 16. C'est ça l'histoire. Tant qu'à exagérer. Alors que dans le fond, c'est un problème qui est très grave, les batteurs de femmes et la violence conjugale. Comme c'est un problème grandissant que celui de l'islamisme. Ces gens-là sont des woke. Ces gens-là sont des antisémites. démontré de par des décisions de l'Ombudsman et des plaintes déposées à l'Ombudsman. Ce sont des anti-Israëls, ce sont des anti-juifs, pas nécessairement eux dans l'extrait, mais la boîte comme telle. C'est démontré qu'ils ont un penchant pro-Hamas et donc pro-terroriste. [02:25:27] Speaker B: C'est un mépris pour le Québec francophone. C'est un mépris pour... [02:25:31] Speaker A: Mais c'est encore une fois, Dan, vous pensez qu'il y a un problème, c'est vous qui avez un problème. On appelle ça du gaslighting, de la manipulation mentale. [02:25:39] Speaker B: Exactement. C'est beaucoup de mépris, là, t'sais, pour... T'sais, la raison pour laquelle François Legault a ramené ça dans son discours en priorité, c'est parce que... c'est parce que ça parle au monde. [02:25:50] Speaker A: Oui. C'est un populiste, Legault. Comme il a dit dans son podcast avec Bureau, il sait des choses qu'on ne sait pas. que la police l'a informé. La SQ. Ils font eux autres... La GRC aussi. Ils font de la filature. Ils savent ce qui se dit dans les mosquées à Montréal. Il y a des gens qui... appellent aux meurtres de juifs. Il y a des gens qui appellent à la destruction de synagogues à Montréal. L'autre qui ricane. [02:26:18] Speaker C: Quelle bête! [02:26:19] Speaker A: Faut-tu être bête? Avoir un micro public, puis avoir des réactions comme ça? [02:26:24] Speaker C: On était beaucoup dans les fausses équivalences, là aussi, au cours des derniers jours à Ratcan. [02:26:27] Speaker F: Moi, le danger que je vois en ciblant les islamismes radicaux seulement, c'est qu'à trop se concentrer sur l'arbre, on oublie la forêt. Parce que vous savez, aux États-Unis, ceux qui ont fait reculer le droit à l'avortement pour les femmes, ce sont des chrétiens fondamentalistes. [02:26:47] Speaker C: Ça c'est Mme Foster. [02:26:48] Speaker A: Des minutes. [02:26:50] Speaker C: Elle est plus loin là après. [02:26:51] Speaker F: Là je pense également à bien d'autres choses. Notamment les mâles alpha, les masculinistes, les tradwives, etc. Il y a une vague de fonds dans nos sociétés actuellement qui est à la polarisation. C'est un terreau fertile. pour les extrêmes. Et au cœur de cette équation-là, il. [02:27:07] Speaker A: Y a les réseaux sociaux, les points. [02:27:09] Speaker F: De vue sont légitimés, sans filtre. Ça permet aux idéologies extrêmes de proliférer. Et moi, je vous le dis, la droite masculiniste aussi, c'est un danger pour l'égalité homme-femme. C'est une idéologie. Bien sûr, il y a là-dedans notamment des fondamentalistes religieux, mais pas seulement. Il y a des athées aussi. [02:27:27] Speaker A: Et là, ça prolifère. [02:27:28] Speaker F: C'est bombé sur les réseaux sociaux. On entend ça tout le temps. Donc, à un moment donné, même chez les jeunes, cette idéologie-là commence à avoir des prises. [02:27:36] Speaker A: On l'a rendue ailleurs. On l'a rendue complètement. [02:27:38] Speaker C: Elle a noyé le poisson. [02:27:40] Speaker A: C'est parce qu'on a un sujet de conversation, là. Il y a un sujet de conversation qui est ce sujet-là. Restons sur la traque de ce sujet-là. On parlera de «tride wave» demain ou après-demain. Mais là, il y a un sujet. Restons sur le sujet. [02:27:56] Speaker C: J'en passe un dernier. [02:27:57] Speaker A: Derrière, avant Pierre-Paulus. [02:27:58] Speaker C: Le discours de Legault, comment il est analysé? [02:28:02] Speaker F: La mode, elle est à la polarisation. [02:28:05] Speaker B: On le dit, il y a de la polarisation partout. [02:28:07] Speaker A: Il me semble que ce serait le rôle du premier magistrat du Québec de justement pour nourrir cette tendance-là qui est bien ancrée. Discours assez agressif. Discours très sombre. [02:28:20] Speaker C: Donc c'est ça, discours sombre, agressif, il divise. C'est ça, le twist. [02:28:26] Speaker A: Si vous n'acceptez pas la DOXA actuelle, écologiste, gauchiste, c'est que vous êtes un violent, un dangereux, quelqu'un qui fait partie des voix divergentes et qui doit être annihilé. Merci, Dom. On va à la pause. Parlant de censure, on en parle. On a parlé de C2 beaucoup la semaine passée. Et voilà-tu pas que finalement, les conservateurs sont branchés. On parle à Pierre Paulus en retour. [02:28:52] Speaker F: Restez là, on revient dans pas longtemps. [02:29:08] Speaker C: Présenté par la lunetterie Bella. [02:29:10] Speaker A: Obtenez le meilleur prix garanti avec nos. [02:29:13] Speaker B: Forfaits verts et montures Simple Vision à 99$ et Progressif à 249$. [02:29:18] Speaker A: On a souvent l'idée préconçue que les gens consomment du scro... On a des fantômes en studio. On a des fantômes en studio. [02:29:28] Speaker B: En déplaçant son ordinateur, il a accroché l'écran. [02:29:30] Speaker A: Il y a complot! On veut me canceller! Non, mais on veut nettoyer les ondes, peut-être. La chose est sûre, c'est qu'Alinette ne joue pas là-dedans. Ça, c'est clair que l'Alinette est pressée. On veut nettoyer votre maison, par contre, qui a eu un sinistre. Et c'est partout au Québec. Service rapide 24-7. Calinette, gentille calinette. J'ai le goût de chanter ça. Tellement que je suis de bonne humeur un matin. Ça a pas d'allure, mon enfer. Calinette, ce sont des vrais de vrais. L'équipement et le staff. L'équipement, la fin pointe. Et on achète et on renouvelle la gamme d'équipements, vous avez pas idée à quel point. On est en achat actuellement. Je suis allé visiter le siège social d'ici à Beauport. Des modes d'intervention incroyables. Et c'est toujours des machines, mais plus petites, mais plus performantes. C'est comme ça, hein? La technologie. Et on est fiers, justement, de faire partie de Calinet. On est partout au Québec. Faites-nous confiance. Et à Québec, 886666666. la circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [02:30:37] Speaker B: La circulation ce matin, on risque de se répéter, c'est problématique. Ça a vraiment été compliqué depuis six heures à matin que c'est compliqué. Ça a commencé avec un véhicule en panne à la sortie du pont et depuis ce temps-là, c'est une pluralité d'événements qui causent un paquet de problèmes. « Shit happens », comme disait Forrest Gump. La dernière nouvelle, c'est un accrochage à la hauteur de Jean Perrin, du boulevard Neuvial, sur Capital, direction ouest, direction Montréal. C'est bloqué jusqu'à Beauport, en fait, jusqu'à la courbe. C'est vraiment costaud dans ce secteur-là. Celui-là également sur la Rive-Sud, vous l'aurez compris. Quand je vous ai dit que ça commençait avec un véhicule en panne à la sortie du pont, bien c'est encore les relents de tout ça. Puis il y a eu plusieurs accrochages. Dans l'échangeur, Je pense qu'il y a eu quatre accrochages depuis le début de la matinée, juste dans l'échangeur, pour accéder au port Pierre-Laporte. Rajoutez à ça des accrochages sur la 132, sur Guillaume Couture, dans le secteur Saint-Romuald, dans le secteur du Costco également. La Rive-Sud, ça a été très compliqué ce matin, et ça l'est encore. Si vous attendez depuis Lévis-Centreville, bien oui, ce sera pare-chocs à pare-chocs jusqu'au pont. Accrochage également à l'approche de Québec sur Dufresne-Montmorency, on en a ce matin, et on en a beaucoup. C'est compliqué. 88-670-9098. Peu importe ce que vous voyez sur les routes dans la grande région de Québec. Jusqu'au 26 octobre, les croissants pur beurre sont à 6 pour seulement 8 $ chez Première Moisson. Offerts en comptoir ou en surgelé en magasin ou en ligne, il y a certaines conditions qui s'appliquent. [02:32:05] Speaker C: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent présentement leur promo tout un quart, tout un prix, avec la cuisse de poulet servie avec tous les accompagnements à seulement 8,95 $ au comptoir et aux services à l'auto. [02:32:16] Speaker A: Le système de santé craque. Il manque plus de 2000 médecins de famille au Québec. Les ressources promises n'arrivent pas. Les équipes s'épuisent. On impose des réformes en niant les faits. On négocie à coup de projets de loi. Et les patients sont les premiers à en payer le prix. [02:32:37] Speaker F: Réformer la santé, ça doit se faire avec les médecins de famille, pas contre eux. Nous aussi, on veut que ça change. Un message des médecins de famille du Québec. [02:32:46] Speaker A: Nanook, n-a-n-u-u-q-p-o-i-n-c-a. C'est pas très, très compliqué, mais ils sont complètement tombés sur la tête. On ajoute une autre promotion à celle qui était déjà en place. Le spécialiste de la toiture, Nanook, pour un temps limité, vous offre la promotion Rabahé-Clair pour vos toitures de bardeau des économies. de 250 à 1050 $. Soumission acceptée d'un délai de 10 jours, ça roule. Pas de niaisage. On le fait ou on le fait pas. Et c'est un temps parfait pour faire des toitures, je vous le dirais. Puis là, je parle autant pour vous que pour les travailleurs. Faire une toiture quand il fait 32-33, c'est payable. Sur le top en haut, moi, je dirais une affaire. Ils font jouer du Jerry des fois quand c'est dans mon quartier. Un moment donné, il était venu, la gang. Puis je me souviens parce que je prenais une marche avec mes nuits. Puis j'entendais... Les gars sont contents. Bing, bing, bing, bing. Ça fait de la belle toiture, je vais te dire une chose. Ils sont vraiment sur la coche, pour vrai. C'est les meilleurs, je les adore. Tu demandes ta soumission, vite, vite, vite, au 581-985-6949. C'est des vrais de vrais. 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Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolf Gold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. J'ai gagné! [02:36:43] Speaker F: Sentir le plaisir, play Oh Joe! [02:36:46] Speaker A: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus, il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable. C'est pour ça qu'on est innovants, comme la Ville de New York, pour faire en sorte de créer des espaces C'est pour ça qu'on est innovants, comme la ville de New York, pour faire en sorte de créer des espaces... C'est pour ça qu'on est innovants, comme la ville de New York... C'est pour ça qu'on est innovants, comme la ville de New York... Comme la ville de New York... Dominique Moret! Moret! [02:37:18] Speaker F: Moret! [02:37:19] Speaker A: Moret! Moret! Moret! [02:37:20] Speaker D: Moret! [02:37:21] Speaker A: Moret! [02:37:22] Speaker D: Moret! [02:37:22] Speaker A: Moret! Moret! Moret! [02:37:24] Speaker D: Moret! [02:37:24] Speaker F: Moret! [02:37:25] Speaker A: Moret! [02:37:25] Speaker D: Moret! [02:37:25] Speaker A: Moret! Moret! [02:37:26] Speaker D: Moret! [02:37:26] Speaker A: Moret! [02:37:27] Speaker D: Moret! [02:37:27] Speaker F: Moret! [02:37:27] Speaker D: Moret! [02:37:27] Speaker A: Moret! Moret! Moret! [02:37:29] Speaker F: Moret! [02:37:29] Speaker A: Moret! Moret! Moret! Moret! [02:37:30] Speaker F: Moret! [02:37:30] Speaker D: Moret! Moret! [02:37:31] Speaker E: Moret! [02:37:31] Speaker A: Moret! [02:37:31] Speaker D: Moret! [02:37:31] Speaker F: More Dan Gravel et Tom Dumas. [02:37:36] Speaker A: Radio-X. À 8h38 hier, le chef du Parti conservateur s'est manifesté, s'est confirmé. Ils vont voter, les conservateurs, aux communes contre le bill C-2. Pierre Paulus qui est en ligne. Comment ça va? [02:37:52] Speaker G: Bon matin, messieurs. Ça va très bien, merci. [02:37:54] Speaker A: Très bien. Après analyse, qu'est-ce que vous avez conclu? [02:37:57] Speaker G: Il y a des éléments qui sont inacceptables dans C2. C'est impossible de le supporter dans l'état actuel. Mais il faut comprendre, vous savez, C2, quand on parle de projet de loi, premièrement, des projets de loi, des fois, il peut y avoir un projet de loi qui rentre sur une ligne. Ça peut être une ligne, puis ça, c'est un projet de loi. Ça, c'est assez simple. Tu prends une décision, oui ou non. Dans le cas de C2, ça a pris un peu plus de temps parce qu'il y a 16 parties dans ce projet de loi-là. Il y a des parties qui sont bonnes. Il y a des parties qui sont totalement inacceptables. Ça fait que, dans le fond, notre position, c'est de dire, s'il n'y a pas de changement, à la forme actuelle du projet de loi, on va être compte, c'est sûr. [02:38:29] Speaker A: Qu'est-ce qui fait pour votre affaire? [02:38:31] Speaker G: Les parties qui s'adressent surtout, il y a sur les 16 parties, il y en a 11 qui sont acceptables, il y en a 5 qui sont vraiment rouges, on ne peut pas toucher à ça. Comme par exemple les postes, le projet de loi actuellement permettrait à la poste de prendre une enveloppe, Puis moindrement qu'il y en ait un d'autre qui veut le voir, il pourrait ouvrir l'enveloppe comme ça, l'enveloppe qui est adressée à une personne, donc sans avoir de mandat, sans avoir de mandat d'un juge pour permettre d'ouvrir le colis. Donc ça, c'est inacceptable. On ne peut pas permettre de jouer à la gestapo avec le courrier des gens. Il y a également des collègues d'information. Ça, c'est un des éléments qui est très grave. Le gouvernement se permettrait de pouvoir faire, dans le fond, de l'espionnage de nos communications privées sur les différentes applications, Facebook, Messenger, WhatsApp, peu importe. C'est que le gouvernement se permettrait de vérifier, de voir que c'est des conversations qui ne font pas leur affaire. Et si on ne peut pas permettre ça, on rentre carrément dans la vie privée des jeunes. Nous, on le comprend dans un point de vue de frontières. Si on parle de gestion de la sécurité des frontières, c'est une chose, mais quand tu commences à gérer, à faire de l'intrusion dans la vie privée des citoyens canadiens, si on ne l'accepte pas et on ne le comprend pas non plus, c'est quoi l'utilité, la raison de faire ça? [02:39:41] Speaker A: Qui a essayé de faire quoi? [02:39:44] Speaker G: C'est les libéraux, le gouvernement libéral actuellement. [02:39:46] Speaker A: Mais les libéraux, c'est qui précisément qui a voulu ça? Et dans quel but? [02:39:52] Speaker G: Ça, c'est en réaction aux demandes de Trump de mettre plus de contrôles aux frontières. Ça, ça a commencé là. On dit que ça prend plus de contrôles pour le fontanel, pour la frontière. Donc, il y a des éléments dans le projet de loi, comme je disais, qui sont ouverts. Par exemple, l'échange de renseignements inter-agence. Lorsque, surtout au niveau de l'immigration aussi, il y a des questions d'immigrants, des demandeurs d'asile qui veulent faire traiter leurs dossiers à distance. Ils ne sont même pas sur le territoire canadien, puis ils voudraient être traités comme demandeurs d'asile à l'extérieur. Où sont-ils depuis plus d'un an, etc. Ça, c'est des éléments de ces deux. que nous, du côté conservateur, on est en accord, parce que c'était tellement le bordel dans la gestion de l'immigration que resserrer les choses, ça, c'est correct. Mais ce qui fait peur, c'est le restant qui a un impact direct sur la liberté civile des Canadiens. Et c'est pour ça qu'on s'oppose. Mais de resserrer la frontière, on n'est pas contre. C'est ça, c'est ça. [02:40:43] Speaker A: Maintenant, pour le reste, vous allez voter contre, ça va donner quoi? Le NPD, c'est le jeu qui a la balance du pouvoir. Qu'est-ce qui va se passer? [02:40:50] Speaker G: Ça, c'est toujours la même chose. [02:40:51] Speaker A: Le vote, ça va être quand? [02:40:52] Speaker G: Écoutez, on est loin du vote parce que là, ce projet de loi-là, il y a un premier vote qui doit avoir lieu, mais là, actuellement, ce qu'on voit, ce qu'on essaie de voir, c'est que les libéraux, on demande aux libéraux de s'aider du projet de loi en deux. Les éléments qui sont positifs pour nous, qu'on les mette dans un projet de loi, puis qu'est-ce qui n'est pas bon, qu'il y ait dans ces deux, on va voter contre tout simplement. Mais après ça, il y a le Bloc québécois, on doit savoir ce que le Bloc va faire, et le NPD. Mais des fois, là, actuellement, C'est sûr qu'il y a de l'opposition de tous les côtés, parce que j'ai même vu un poste de Greenpeace qui s'oppose catégoriquement à ces deux pour des raisons de vie privée, mais il y a aussi d'autres organisations de gauche qui sont contre parce que là, elles trouvent qu'on s'attaque trop aux migrants, aux droits des migrants. Donc il y a différentes raisons, de la droite, de la gauche, de tous les côtés, qui s'opposent à ces deux. Donc c'est pour ça que c'est pas nécessairement vrai que le NPD va voter pour, parce que je pense que de leur côté, ils ont aussi des problèmes. [02:41:50] Speaker A: Ça va-tu durer longtemps, ça, ce gouvernement-là? [02:41:55] Speaker G: Ça, c'est... Écoutez, il y a le gouvernement qui est mis en place. On a M. Carney qui est en route vers Washington en fin de journée. Pierre Poirier avait écrit une lettre ce matin qu'il a publiée sur les réseaux sociaux, qui est envoyée aux médias, qui dit, écoutez, M. Carney, on vous souhaite une victoire avec M. Trump. Parce que si vous avez été élu pour ça, vous êtes supposé être le meilleur. [02:42:12] Speaker A: Ils mettent la barre tellement basse. On pense peut-être pouvoir y demander une baisse de tarifs sur l'acier. Ils mettent tellement ça bas que c'est comme jouer au baseball avec un t-ball. [02:42:22] Speaker G: C'est ça, la tactique des libéraux, c'est de mettre ça bas. Là, non. M. Carney va à Washington. Dans le fond, il va là juste pour donner en main à Donald. Puis revenez. Parce que là, on est rendu là. Ça fait six mois que l'élection est passée, que M. Carney est en poste, qu'il devait justement lever les coudes, être fort, dire « Moi, on va enlever les tarifs, puis Donald Trump va arrêter de nous attaquer. » Puis on est le seul pays qui a continué d'avoir des tarifs, même ils ont été doublés au niveau de l'acier. Le bois, encore là, ça nous passait. Honnêtement, là, je veux dire, il y a zéro victoire actuellement. Et nous, la lettre de Pierre Poirier, elle dit, M. Kearney, on vous tend la main. Ça a besoin d'aide. On est là. On veut régler parce que là, ça marche pas, puis on s'en va dans un mur solide. [02:43:00] Speaker A: Comment se comportent les libéraux avec vous? [02:43:01] Speaker G: Souvent, j'ai des collègues qui ont été à Washington l'été passé, puis ils sont venus, ils ont essayé de parler à Dominique Leblanc, puis il n'y avait pas de réponse au bout du téléphone. Ça fait que quand on fait des démarches de notre côté, on a aussi des contacts aux États-Unis, puis les libéraux se prétendent les meilleurs, puis ils ne répondent même pas à l'appel de mes collègues. Ils sont un peu... [02:43:20] Speaker A: En tout cas, c'est pas... Quelles sont les chances d'élection à court terme? [02:43:23] Speaker G: Bien, ça, ça dépend toujours. Écoutez, il y a le budget qui s'en vient, le dépôt du budget le 4 novembre. Qu'est-ce qui... Est-ce que, honnêtement... Vous allez voter contre? Bien, je ne vois pas d'éléments qui feront... On va voir une liste de... On va attendre de voir le résultat final de tout ça. Mais en partie, ce qu'on a comme information, ça va être catastrophique comme budget. Ça va être pire que Justin Trudeau. Il faut le faire de la part. [02:43:41] Speaker A: De... Est-ce possible, techniquement, et si oui, quels sont les scénarios, que ce gouvernement-là soit renversé avec ce budget-là? [02:43:51] Speaker G: Ça prendrait le NPD. Encore une fois, même s'il n'y a pas d'entente formelle, le NPD détient quand même, oui, une balance du pouvoir au niveau des votes, parce qu'ils sont 7 députés, puis ils peuvent faire la différence. Ça, ça va être là. Mais écoutez, est-ce que quelqu'un va à l'annexion là? Pas nécessairement. Ce qu'on veut, c'est de régler avec les Américains au plus vite. Mais maintenant, il faut voir... Ça ne. [02:44:14] Speaker A: Se réglera pas avec les Américains. Ça, je vous l'annonce en primaire. [02:44:17] Speaker G: Oui, puis surtout que M. Trump, encore la semaine passée, a ramené l'histoire du 51e état. On dirait que c'est en empêche. [02:44:24] Speaker A: Le lait, aussitôt qu'on mentionne ça à une du Globe la semaine passée, « Ah, le lait, touche pas à ça! » Alors que dans le fond, c'est juste de combler les quotas existants, entre autres sur le yogourt et la crème glacée, si on voit dans le détail. Mais on voit très bien qu'on veut pas faire de compromis. On veut pas faire de compromis du tout, du tout. Oubliez ça avec Trump, ça se réglera pas. [02:44:47] Speaker G: Bien, il y a ça, puis en même temps, la rénégociation de l'accord de libre-échange qui a lieu l'année prochaine. Imaginez-vous comment Donald Trump va arriver. Est-ce que Donald Trump va vouloir complètement mettre fin aux accords de libre-échange? C'est pas impossible. Puis si ça arrive, ça va être encore plus catastrophique pour le pays. Donc, on a effectivement... C'est compliqué. C'est pour ça que Pierre Polievre tend la main à Mark Carney. en disant, écoute, là, on est là pour aider. Mais aidez-nous à vous aider. Puis c'est ça qu'on voit pas actuellement. On a un one-man show, M. Carné qui fait le tour du monde, qui se promène. Mais en même temps, ici, au niveau national, au niveau du pays, le coût de la vie, je vous entendais plutôt ce matin parler des coûts de l'épicerie, c'était pointable. Et on le soulève régulièrement, tous les jours, à la Chambre des communes. Il y a des enjeux sur le territoire canadien qui sont prioritaires. Il faut avoir des solutions. [02:45:30] Speaker A: Puis... [02:45:33] Speaker G: C'est comme une autre approche, mais là, je pense qu'il est plus dans une phase de dire, bon, bien, je fais le tour du monde, je gagne l'estime des autres présidents, des autres premiers ministres, des autres pays, puis en même temps, c'est comme la réalité du terrain. [02:45:47] Speaker A: Des ententes complètement whack. Une entente avec l'Indonésie sur l'armée. What the heck? [02:45:54] Speaker G: Ben, il y a ça, où encore? [02:45:55] Speaker A: Hé, l'histoire du roi, honnêtement, ça a coûté une maudit claque, cette affaire-là. Ils ont fait venir même son éculier, son gars de cheval. C'est complètement fou, ça, ce régime-là, carné, à date, on va se le dire. Le petit machin gris. [02:46:07] Speaker G: Ben, une démarche comme ça où j'ai vu 8 millions qui étaient envoyés au Vietnam pour les plantations... Ben oui, on. [02:46:12] Speaker A: Voit ça ce matin! [02:46:12] Speaker G: Ben c'est ça. Puis là, avec des histoires encore de diversité, puis tout ça. C'est 8 millions de l'argent des contribuables envoyés au Vietnam. [02:46:22] Speaker A: Dans le fond, c'est le même régime qui se poursuit, mais avec un acteur principal différent. [02:46:27] Speaker G: Ben c'est ça, c'est que l'image est différente, mais à l'interne, les gens autour, les ministres, quand on dit c'est le même gouvernement, moi j'étais à la Chambre des communes à tous les jours, je regarde l'autre bord, pis c'est la même gang. [02:46:36] Speaker A: Les mêmes faces. [02:46:37] Speaker D: C'est une personne. [02:46:38] Speaker G: Je veux dire, là ils essaient d'avoir un discours différent, mais fondamentalement ils ont agi d'une façon pendant 10 ans. On peut pas changer un individu drastiquement comme ça juste parce que le chef il va de l'autre bord, je vais changer de bord. On voit qu'il n'y a pas de cohésion là. Fait qu'on s'en rattrape rapidement, ceux-là, quand t'as un cabinet ministériel composé des mêmes personnes qui étaient là pendant l'ère Trudeau, ben, ça ressemble encore à la même guerre. [02:46:59] Speaker A: Pis dernière question avant de faire le pont avec François Lambert, parce qu'on va en parler avec lui. Postes Canada est incapable de régler le dossier. Postes Canada, d'après moi, est peut-être rendu à fermeture. [02:47:09] Speaker G: Parce qu'en Canada, il y a dix ans passés, on était dans les... Souvenez-vous, Denis Coderre à Montréal avec Jack Drill qui cassait tout parce qu'il voulait pas de boîte postale. Ben nous autres, nous sommes un peu... À l'époque, il avait dit, il faut faire des réformes à cause du Canada, ça presse parce que le modèle ne tient plus. Puis il faut réformer ça. Puis à ce moment-là, les libéraux nous avaient démoli. Puis aujourd'hui, il arrive à proposer une solution qui ressemble à ce qu'on voulait faire, mais c'est parce qu'il est dix ans trop tard avec des milliards de déficit. [02:47:36] Speaker A: Là, le syndicat a refusé une augmentation de salaire de fou. On dirait qu'ils ne veulent pas collaborer. Qu'est-ce qu'on fait? C'est quoi la vision des conservateurs là-dessus? [02:47:47] Speaker G: Nous autres, c'est sûr qu'il faut faire de quoi. On n'a pas le choix. On a besoin de la poste, mais en même temps, il faut que ce soit rentable comme modèle. [02:47:52] Speaker A: Est-ce que vous voulez privatiser? [02:47:55] Speaker G: Écoute, moi, je mettrais toutes les options sur la table parce qu'il faut que ce soit efficace. Je me souviens, il y a cinq ans, au comité des opérations gouvernementales, j'étais là, on avait reçu la présidente de Postes Canada. On posait des questions, puis on voyait que c'était des gens qui étaient déconnectés. J'ai dit, OK, ça ne fonctionne pas. Au niveau de la tête de Postes Canada, je pense qu'il y a des choses à voir aussi parce que les gens, les postiers nous le disent souvent. [02:48:15] Speaker A: À la tête, ils n'ont pas de la compréhension. Il y a pas une compagnie privée qui peut durer. [02:48:22] Speaker G: Non, non, c'est impossible. En même temps, on a le problème qu'il faut être capable de livrer de la poste partout au pays. Ça, c'est un mandat qui n'est pas évident non plus, mais il reste que la façon de faire doit être revue, bien évidemment. [02:48:32] Speaker A: Absolument. Merci beaucoup, M. Paulus. [02:48:34] Speaker G: Merci. [02:48:35] Speaker A: Ça a été un plaisir. Bye-bye. Bye-bye. On reste en ligne. On va aller à pause, mais reste avec nous autres parce qu'on va jaser avec Lambert là-dessus. François Lambert a quelque chose à dire là-dessus sur la poste. C'est pas en lançant un thème de Terry Fox que tu vas relancer la poste, là. Ça a déjà été fait, là. Un thème de Jean Béliveau, Les Grands? Non, ça a déjà été fait. [02:48:56] Speaker B: J'avais mis le Blue Nose. [02:48:57] Speaker A: Ouais, le Blue Nose. On revient, hein? Le Blue Nose, la Reine, le Prince Charles, Terry Fox, Rush. Oui. Brian Adams. Et là, on recommence. Le Blue Nose, la Reine, la Reine-Mère. [02:49:16] Speaker B: Le prince Charles, le roi Charles. [02:49:17] Speaker A: Le prince Charles, le roi Charles. [02:49:19] Speaker B: On fait le tour, t'as raison. [02:49:20] Speaker A: Avec les oreilles de porte de grange. Faut que tu mettes deux thèmes, hein. Faut que ça soit raccord, que t'as des oreilles. [02:49:24] Speaker B: À un moment donné. [02:49:25] Speaker A: Si tu fais les oreilles au complet de prince Charles, faut que t'achètes deux thèmes. [02:49:29] Speaker B: À un moment donné. [02:49:29] Speaker A: Oh! [02:49:29] Speaker B: Marie-Philippe Poulet. [02:49:31] Speaker A: Oh oui! Les grands Québécois. [02:49:33] Speaker B: Sidney Crosby. [02:49:34] Speaker A: Oh! Serge Fiori. On va essayer de se mettre amis avec les péquistes. [02:49:38] Speaker B: Un thème Serge Fiori, c'est parfait. [02:49:40] Speaker A: Un thème de Falardeau serait le fun, hein. Oui. Le fédéral. On revient à Montréal. [02:49:45] Speaker C: Moray, nous sommes live. [02:49:48] Speaker F: On revient dans pas long. [02:49:50] Speaker A: Désolé, Radio X. Le retour de Radio X. Les gens suggèrent ici les auditeurs qui réagissent. Prenons l'argent qui était prévu pour le tramway, dont personne ne veut ici. Et mettons-le sur notre troisième lien, Léopold, sans payer. Le troisième lien, c'est uniquement pour des. [02:50:08] Speaker D: Faits électoralistes, comme les libéraux, dirons-nous, pour favoriser l'anglais au détriment du français au Québec. C'est quoi le rapport? [02:50:16] Speaker A: En toi, tu dis, Léo, si je comprends bien, 70 % de la population, la demande, elle est farfelue, c'est ça? Le retour de Radio X. [02:50:23] Speaker F: Lundi au vendredi, 15h. [02:50:44] Speaker A: Il est beau, il est compact, puis il est juste parfait pour creuser, charger, tirer, même déneiger. C'est ton nouvel allié. T'as pas le choix. En plus, le prix. Extraordinaire. Seulement 53 $ par semaine. Zéro comptant, garantie 10 ans. La plus longue offerte sur le marché. Oh! Le financement à 0 % sur 60 mois. Je l'ai conduit, je l'ai adopté. Reculons avant. J'ai tout fait ça. 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Un bar de Disraeli près de Thetford Mine. [02:56:15] Speaker G: Moi, je suis persuadé que c'est un. [02:56:16] Speaker A: Gars de Thetford Mine. [02:56:17] Speaker F: Un bar de Disraeli près de Thetford Mine. [02:56:20] Speaker A: Moi, je suis persuadé que c'est un gars de Thetford Mine. Moray! J'en viens à l'œil. Live! Toujours, toujours, toujours. [02:56:27] Speaker F: Avec Dominique Morin. [02:56:28] Speaker D: Ouais. [02:56:30] Speaker A: J'en viens à l'œil. [02:56:31] Speaker D: Live! [02:56:32] Speaker A: Radio X. François Lambert! François Lambert! François, le modèle est mort. Comment ça va? [02:56:54] Speaker D: Ça va bien, mais c'est pas mon modèle à moi, là. On va parler d'autre chose que... [02:56:58] Speaker A: C'est pas ton modèle à toi. C'est le modèle... le modèle du... Iran-Flouron, les coffres, année après année. Et là, Postes Canada, c'est ça qui est spectaculaire. C'est que c'est 10 millions, rappelons-le, c'est pas une donnée nouvelle, mais quand même, 10 millions par jour de pertes! Ça a pas d'allure! [02:57:24] Speaker D: C'est l'équivalent d'un an de vol par mois. Je comprends pas que les gens... Je comprends même pas qu'une seule personne en ce moment peut supporter le modèle d'affaires actuel de Postes Canada. Il y a personne qui peut dire en ce moment que ce modèle-là a de l'allure. Parce que le problème, c'est que le syndicat, qui essaye de nous faire peur constamment, a-tu pensé aux personnes âgées? C'est tout le temps les personnes âgées puis les Autochtones qui vont nous garocher d'en face. Et là, on peut plus rien dire. [02:57:54] Speaker A: Oui, parce qu'on pense pour des écœurs, hein? [02:57:56] Speaker D: Bien, quel policier va lui dire oui, c'est vrai, les personnes âgées? Parce que les gens pensent que revoir le modèle congédié en masse des gens, ça veut dire arrêter de donner des services. C'est pas ça. C'est d'avoir quelqu'un d'autre qui va le donner ou un modèle revu. Parce qu'en ce moment, Dominique, c'est encore des choses que t'attendais par la poste, puis là, tu dis oui. mon compte de Bell, Vidéotron, Hydro-Québec, je pense que je pourrais l'envoyer par e-mail. [02:58:22] Speaker A: T'es en train de le faire. [02:58:24] Speaker D: Si tu le fais pas à ce moment, t'as la chance de le faire. Ils vont te le dire de le faire parce qu'eux autres veulent avoir de l'argent, là. Quand même que Postes Canada est en grève pendant les six prochains mois. Faut que tu payes ton compte de Vidéotron ou de Bell ou peu importe avec qui que t'es. Donc tu vas le faire qu'on switch vers l'électronique et t'en reviendras plus jamais après. Parce que c'est là qu'on s'en va. Donc pourquoi? le syndicat s'obstine contre ça. Il est en train de tuer tout ce qui va rester comme employé. Mais le problème, c'est qu'on laisse le syndicat faire ce qu'il a à faire. Ça veut dire faire des grèves. Le syndicat, c'est désigné pour faire des grèves quand ça fait pas leur bonheur. Ça fait qu'ils font des grèves. Il y a où le lock-out? À quel moment est-ce que le président ou le gouvernement va dire, c'est quoi, là? On vous envoie un lock-out, on va refaire le modèle, puis qu'il y a pas un mot à dire? Le syndicat se cache derrière Dominique, puis tous les syndicats font ça. Ils se cachent derrière la Formule 1, qui a été mise en 1946, comme quoi tu dois être syndiqué. Ils se cachent derrière ça, puis là, se sont donnés des rôles. Des rôles de définir comment la compagnie devrait fonctionner. Pas de tes affaires. C'est clair? Pas de tes affaires. Ton rôle, c'est de protéger les employés. Les employés qui vont rester dans une restructuration, tu vas protéger ceux-là, tu vas accepter que la compagnie a le droit d'arrêter de perdre 10 millions par année. Il n'y a aucune raison qu'on perde 10 millions par année, Dominique. Ça m'insulte, ça m'écoeure et on fait rien. Puis là, ils vont leur proposer une augmentation de 13,59 en enlevant le bonus. On ne peut pas donner d'augmentation. Les gens qui nous écoutent, là, arrêtez de penser que si votre compagnie perd de l'argent, vous donnez une augmentation, vous voulez une compagnie prospère. Et là, Passe Canada l'est pas. On peut pas donner une augmentation moins finale. Faut qu'on règle la ressaturation avant de donner de l'argent supplémentaire. C'est ça la règle. [03:00:16] Speaker A: Et en plus, François, c'est dans le devoir de ce matin. Oui, augmentation de 13,59 jusqu'à 7 semaines de vacances et une indemnité de vie chère pour se protéger contre l'inflation. Mais qu'est-ce que c'est, cette affaire-là? Qu'est-ce que c'est, cette affaire-là? [03:00:35] Speaker D: Bien, il vit dans un monde déconnecté. Si la compagnie fait beaucoup d'argent, là, beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent, tu dis OK, on peut étirer l'élastique. Mais là, la compagnie n'en fait pas. Pantoute, pantoute, pantoute. Et le syndicat qui nous écoute en ce moment, là, je le sais ce qui va les marquer, parce qu'à chaque fois que je parle de Postes Canada, ils viennent parler de leur président, Doug, qu'ils connaissent par coeur. C'est la seule compagnie où le syndicat connaît le président, Doug, whatever. Ils vont me le garrocher dans la face parce qu'ils ont brainwashed. Les gens de Postes Canada, en ce moment, sont totalement brainwashed. À chaque fois qu'un statut, que j'en parle, ils deviennent enragés. « Tu connais pas, pis Doug, avec ses 12 vice-présidents, pis il a rien fait! [03:01:13] Speaker A: » — Lui-ci, on va le mettre dehors! [03:01:16] Speaker D: — Ben, mettons-le dehors, lui-ci. Tout le monde devrait être mis dehors. La direction, définitivement. Est-ce qu'elle gagne trop cher? Ben oui, elle gagne trop cher pour la livraison, pour le service qu'ils font. Il est là depuis 2018. Qu'est-ce qu'un président fait là depuis 2018 qui ne livre pas la marchandise? C'est deux mains liées par le gouvernement, puis le gouvernement va lui dire « tu fais ça ». Si c'est le cas, il a fait la job. Donc c'est la faute au gouvernement, mais à un moment donné, le gouvernement, ça y prend un bouc émissaire en ce moment. Puis la meilleure façon, ça serait de le foutre à pas et de revoir le modèle. [03:01:46] Speaker A: Bien, revoir le modèle. Là, je t'amène là. Je t'amène là. Parfait. Carnet, trip, c'est britannique. Excellent. Carnet devrait se concentrer sur l'expérience de Royal Mail. Royal Mail, fondée en 1516 par Henri VIII. [03:02:01] Speaker D: Oui. [03:02:02] Speaker A: OK. Wow! Ça sentait le yaoub, là, quand t'avais une carte de fête. Elle sentait le fumier, là, d'après moi. Mais ça a été un service essentiel pendant longtemps, géré directement par l'État, comme nous autres. Au fil du 20e siècle, Royal Mail a dû composer avec baisse de courrier, comme nous autres, une hausse des coûts de main-d'oeuvre, comme nous autres, une concurrence accrue dans le système de la livraison de colis, comme nous autres. DHL, UPS, FedEx, nommez-les, Puro, même Puro. Concurrence même, Postes Canada. C'est un peu fucké, alors que dans le fond, c'est la même boîte. [03:02:39] Speaker D: C'est le même président, en plus. [03:02:41] Speaker A: C'est le même président. Mais ça, ça a été... réformé et sous Cameron en 2013, octobre 2013, l'État vend 60 % des actions de Royal Mail via une IPO, une introduction en bourse. Je ne sais pas qui a acheté des actions de ça. [03:02:57] Speaker D: Je ne sais pas si c'est payant. Ça jase presque. L'année passée, ça jasait encore beaucoup. [03:03:03] Speaker A: Oui. [03:03:04] Speaker D: Parce que c'est quelqu'un, un étranger, un bulgare qui a acheté, un bulgare ou un hongrois. le monde capote parce que... -"Royal Mail", je pense, François. -"Royal Mail", OK. Le majoritaire, c'est pas un Britannique. Ça avait passé, mais c'est pas grave. Ils se sont... ils essayent des choses. L'autre chose qu'ils font, au Royal Mail, c'est que les petits colis, on peut les déposer en les scannant dans des boîtes postales. [03:03:31] Speaker A: J'ai la réponse. Passe-t'au vert là-dessus. C'est un fonds possédé par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. [03:03:38] Speaker D: C'était ça. Donc, c'était pas... Donc, ça a fait beaucoup chaser, mais royalement, ils sont venus aussi avec des boîtes postales où tu ouvres une boîte aux lettres normale et tu scans ton petit colis à peu près jusqu'à la grosseur d'une boîte de chaussures qui sont la plupart des colis qui sont gros comme ça. Parce que lorsque tu vas envoyer un colis, bien, même ici, c'est compliqué. Il est où, le bureau de poste? Faut-tu te déplacer? On a besoin d'un dépanneur. Mais on a installé des boîtes postales partout. Donc, ce sont modernisés. [03:04:04] Speaker A: Ce que j'ai depuis 20 ans dans mon quartier, en passant. [03:04:07] Speaker D: Bon, oui, mais pour... on n'essaye rien du tout, du tout, du tout, depuis que la baisse des colis. Et là, les entreprises, c'est l'entreprise qui nous écoute, là. Attendez pas le 1er décembre pour se dire, bien là, je peux pas envoyer mes colis, puis ça va au Poste Canada. La Fédération des entrepreneurs indépendants, l'FCEI. Arrête pas d'aller dans les journaux en ce moment pour dire que ça impacte les PME. Ils font tellement peur. Tu sais combien de fois je dois répéter par jour pour dire aux gens, je ne livre pas que Postes Canada, je ne livre pas que Postes Canada? Parce que là, il y a une campagne de peur faite par la fédération des... l'FCEI, j'ai oublié leur nom, là. [03:04:44] Speaker A: Fédération canadienne de l'entreprise indépendante. [03:04:46] Speaker D: Exactement, merci. et eux arrêtent pas de répéter que ça l'impacte. Si ça l'impacte, c'est que les entreprises n'ont pas appris de la dernière grève de l'année passée. À un moment donné, tu peux pas te fier à eux. Arrête de te fier à eux. Ils sont pas fiables. Tu le sais, ils vont retourner en grève. Ils ont été forcés de retourner au travail jusqu'au mois de mai sous un décret. Donc tu le sais très bien qu'ils vont retourner en grève. Pourquoi tu les reprends? Tu sais, tout le monde en ce moment, La grève devrait presque siphonner les revenus potentiels de Postes Canada. Ils vont en perdre encore plus. On peut pas maintenir 55 000 employés. Il y a plus d'employés qu'en 2015. [03:05:24] Speaker A: Bon. Ce matin, qu'est-ce qu'on fait, François? 9 h 06. Toi, t'es le ministre en charge de Postes Canada. Tu fais quoi? Autour de la table, tu dis quoi à Carney? [03:05:31] Speaker D: Ils sont en grève en ce moment. J'ai dit écoute, on va devoir revoir le modèle. On déclare un lock-out. Et bingo! On revoit le modèle. [03:05:39] Speaker A: Est-ce qu'on privatise ce matin, Journal de Québec? Là, il y a un chroniqueur qui privatise. Est-ce que c'est la recette britannique, François? [03:05:46] Speaker D: Je prends la recette plus allemande. DHL qui nous livre ici. Imagine-toi, c'était le service de poste de l'Allemagne qui livre partout dans le monde, soit installé partout dans le monde. C'est ça. Est-ce qu'il est trop tard? Probablement qu'il est trop tard. Mais on privatise. Privatiser, ça veut dire qu'en ce moment, le bureau de poste qui est dans un dépendant, il est déjà privatisé. C'est une franchise. Il n'y a plus de raison d'avoir ton maître poste dans un bureau de poste. Il peut faire autre chose. On l'a déjà, une partie de ce modèle-là, mais pas gérée. Pétro-Canada a été privatisé. Air Canada a été privatisé. Et malgré qu'ils ont été privatisés, Dominique, regarde les règles qui restent encore. Le président d'Air Canada doit être bilingue. [03:06:29] Speaker A: Il n'y a aucune entreprise... [03:06:36] Speaker D: Non, mais regarde, il doit... [03:06:37] Speaker A: C'est le signe de juge, en tout cas. [03:06:38] Speaker D: C'est mal compris. [03:06:41] Speaker A: Non, non, non, mais François, il veut être bilingue. Ça, c'est de la folie. Ça, l'histoire du bilinguisme intégral, il faut qu'il parle français quand il va au Yukon, au bureau de poste, voyons donc. Prendre un compétent, prendre un vrai... Je reviens sur D. Etchelt, ouvre quelque chose d'intéressant. Concrètement, toi, tu adoptes le modèle allemand. J'adore. Je suis en train de lire là-dessus. Et humblement, je ne savais pas que DHL, c'était Deutsch Post. Je ne le savais pas. Mais les DHL, autrement dit, les camions rouges et jaunes que vous voyez, ça, c'est le système allemand qui a été privatisé par Helmut Kohl dans les années 90. C'est complètement capoté, ça, cette affaire-là. Et c'est devenu un modèle, une puissance mondiale. Mais ça se fait par des humains. [03:07:29] Speaker D: Qui ont du courage. [03:07:35] Speaker A: Mais Helmut, il se tenait dessus le cadrette, lui, hein? C'était pas un petit monsieur gris comme Carney? Avec la petite main? [03:07:42] Speaker D: On a une mentalité ici, dès qu'on privatise. Regarde Pétro-Canada. Pierre-Eliott Trudeau s'opposait totalement. Puis ça faisait partie de sa campagne. Si je rentre au pouvoir, j'arrête la privatisation tout de suite de Pétro-Canada parce qu'on en parlait. C'est privatisé maintenant. Air Canada qui a été privatisé. Bon, il y a encore des vestiges. Tant qu'on dit que le PDG doit parler, C'est par rapport à ce que c'est une société d'État, parce qu'on s'en fout qu'ils présentent... Moi, le PDG qui parle français... C'est la seule chose qui m'intéresse. Ce n'est pas important du tout. Le gouverneur général ne parle pas français. Bon, il paye 50 000 $ de sous-lien. Non, de cours de français. [03:08:28] Speaker A: Ah, les cours de français! Ah oui, mais oui! [03:08:31] Speaker D: Bon, le reste, revenons à Postes Canada, le modèle ne peut pas continuer. À chaque jour, en ce moment, ils perdent des revenus qui ne reviendront pas. Ces revenus-là qu'ils perdent en ce moment, ne reviendront pas. Les petits timbres, ils vont en avoir de moins en moins des lettres, donc ils vont vouloir livrer encore plus des pamphlets de courtiers immobiliers, parce que c'est ça que j'ai, moi, dedans. Puis quand je regarde quelque chose, je me dis, ah, OK, c'est un oubli que j'ai fait. Les affaires du gouvernement, la plupart du temps, elles sont pas tout à fait automatisées. Puis regarde, Dominique, les passeports. Les passeports qui sont en attente en ce moment. [03:09:05] Speaker A: Si vous allez en voyage dans deux ans, réveillez-vous, celle-là, il faut que tu demandes ta demande. [03:09:10] Speaker D: Mais comment ça se fait que tous les services gouvernementaux n'ont pas trouvé, dans la première grève, ils ne sont pas capables de se tourner le bord avec UPS, FedEx, Saint-Élicomme, Obox. Il y en a des tonnes de services de livraison qui peuvent prendre le relais. leurs craintes ne sont pas assez sécures. Voyons donc, c'est pas assez sécure. Penses-tu que l'UPS est capable de livrer un iPhone ici et il te le livre avec la signature pour pas que tu te le fasses voler? Arrêtez de penser que c'est pas sécure les autres. Postes Canada n'est pas plus sécure et moins sécure que les autres services de livraison. C'est inacceptable que les passeports ne sortent pas en ce moment. C'est comme s'il y a une solidarité envers les différents paliers de gouvernement pour dire, OK, bon, t'es en Grèce, donc je vais pas aller voir quelque chose parce que je vais me faire passer ou comme pas pour un SCAB. C'est inacceptable, Dominique. On peut les sortir, les passeports, sans problème. Tous les autres chèques en ce moment, on peut les livrer. Je suis persuadé qu'il y a des compagnies qui nous écoutent en ce moment. Ils pourraient dire, moi, je te prends le courrier, demain matin, pour la ville de Québec, je prends le reste, Intélicum qui passe partout dans tout, puis je veux pas les vanter, je m'en fous, je les connais pas, là. Mais Intélicum passe dans le fond de mon rang, moi, me livrer du Amazon de chez nous. Ils sont capables de prendre le courrier puis de le livrer en ce moment. Il faut revoir le modèle, mais qui a le courage de faire ça? Qui a le courage? C'est... on va sortir les personnes âgées. Encore qu'on ne prend pas soin des personnes âgées. Le gouvernement est minoritaire, il n'y a pas qu'à attraper ça, je dirais, de bord. Donc on est poigné encore parce qu'on va juste utiliser les émotions au lieu d'utiliser la logique. C'est juste ça. La logique fait qu'on ne peut pas perdre des millions. La logique fait qu'on ne peut pas leur donner une augmentation de 13,59. La logique veut qu'on jumelle ça avec pas un Puro Letter, mais privatiser. Il faut qu'on arrête cette folie-là. Mais qui a le courage de faire ça, Dominique? [03:11:08] Speaker A: -"Postes Canada doit subir une thérapie allemande.". [03:11:12] Speaker D: J'aurais dû accepter quand on m'a proposé de faire mon CV à jour en 2016. [03:11:16] Speaker A: C'est-tu vrai que t'étais crousé pour être chef de Postes Canada? [03:11:20] Speaker D: Dans ce temps-là, j'étais flirté par le Parti libéral, le Parti conservateur. J'ai été faire des conférences pour le Parti conservateur. J'avais rencontré Justin. J'avais cheveux courts dans ce temps-là, donc j'étais présentable. [03:11:31] Speaker A: Ouais, c'est ça. À ce temps-là, t'es plus à l'éolien, quoi. C'est sûr que si t'arrives à Postes Canada, ça va pleurer. [03:11:38] Speaker D: Bien, on me l'avait proposé François, mettons, c'est Vajo, le poste est disponible. Puis j'ai fait, ah non, moi... c'est pas le temps pour moi. [03:11:44] Speaker A: T'aurais dû accepter. Regrettes-tu? Tu regrettes-tu? [03:11:46] Speaker D: Bien, quand je regarde ça, et surtout, j'étais pas en affaires dans ce temps-là, j'avais pas rencontré Marie-Lyne, qui est ma conjointe actuelle, donc j'étais un agent libre. [03:11:54] Speaker A: Oui, oui, je comprends. [03:11:55] Speaker D: Donc j'aurais pu me déplacer, aller vivre à Ottawa. Est-ce que je regrette? Bien, le fait, c'est que personne va m'avoir au pouvoir d'une société comme ça parce que je m'en hache. Moi, je me promène à Kingston sur une hache. [03:12:08] Speaker A: Merci beaucoup François, très bon ce matin, merci encore. [03:12:12] Speaker D: Merci, salut. [03:12:13] Speaker A: Salut, bye, très très bon, 9h13. [03:12:16] Speaker B: Ouais, 50 000$ par année, pour qu'elle apprenne le français. [03:12:20] Speaker A: Oui, oui, oui, on a parlé François, on se laisse là-dessus à la pause. Ça donne des résultats anti-péché, hein? Je prétends au sérieux mon rôle de défenseur de la diversité culturelle et linguistique. [03:12:37] Speaker F: De Moray Live. [03:12:37] Speaker A: Moray. [03:12:38] Speaker F: De retour dans un instant. [03:12:40] Speaker D: Live. [03:12:42] Speaker F: Radio X. [03:12:44] Speaker A: La Sexploratrice. [03:12:47] Speaker F: Sexualité, amour, relation. [03:12:51] Speaker A: Et beaucoup plus. [03:12:52] Speaker F: Sans tabou. [03:12:53] Speaker A: La Sexploratrice. [03:12:55] Speaker F: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [03:12:59] Speaker A: La Sexploratrice. Radio X. Présenté par Planète X. À la recherche de nouvelles sensations. Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. Planète X. C'est succursale et sur monplanètex.com Environ confort jusqu'au 31 octobre. C'est une promotion exceptionnelle. On appelle ça la promotion d'automne peut-être. Oui, c'est ça, parce qu'on va commencer à s'encabanner et on veut vraiment du confort avec une belle chaleur régulière et économique également dans nos maisons. 500 $ de rabais sur tous les climats et les thermoporpes murales, ça c'est parfait, j'en ai deux à la maison. Thermoporpe murale, c'est ça qui fait la job. Tu veux-tu y aller pour un multizone? Parfait, 750$. Les deals sur l'émulsion, les 1000 $ de rabais sur le système, centraux, plus, plus, plus, plus, plus. C'est le cornet à deux boules, à trois boules, à quatre boules, à cinq boules. T'en veux combien de boules, mon Dan? On en met. Les remises postales. les remises manufacturières, les subventions, les promotions de financement et tout. 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[03:14:48] Speaker A: Wow! Ça doit faire 20 minutes que j'ai envie d'intervenir puis de sauter dans l'arène. [03:14:52] Speaker F: Aller au-delà des préjugés avec Une Époque Formidable, mercredi 20h à Télé-Québec. [03:14:57] Speaker A: Ce jeudi seulement, la grande vente Milwaukee d'outils plus. Jusqu'à 60% drapé, cadeau, deal de fou, jeudi 9 octobre, 9 à 21h au Centre de foire de Québec. Si tu trouves que les magasins meubles RD ne sont pas super beaux, dis-toi bien une chose. Si le meuble est beau chez nous, je te jure man, il va être beau chez toi. [03:15:23] Speaker C: Jusqu'au lundi de l'Action de grâce, c'est la grande vente 20e anniversaire chez Meubles RD. Profitez de 20 % drapé sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser. [03:15:37] Speaker F: Honda, c'est sûr! [03:15:38] Speaker A: J'écoute un podcast pis je pense que toi pis moi, on devrait être sans attache. [03:15:43] Speaker F: Ah ouais? [03:15:43] Speaker A: C'est sûr que vous risquez de prendre goût à la recherche cellulaire sans fil. [03:15:46] Speaker B: De série du nouveau Honda HR-V 2026. [03:15:48] Speaker C: Ouais, prendre l'auto pis partir sur un nowhere plus souvent. [03:15:52] Speaker F: Ah, pas d'attache comme ça. [03:15:54] Speaker A: Ouais, t'y pensais quoi? Avec une foule de nouvelles technologies tirées, le Honda HR-V 2026 est parfait pour vos longues sorties d'automne. Jouez le vôtre à partir de 3,99 % pendant 24 mois. Sur approbation de crédit, détails sur honda.ca. Honda, c'est sûr! Connais-tu les boutiques animalistes? non. [03:16:10] Speaker C: C'est des boutiques pour animaux. Faut que t'ailles faire un tour. Qui ont tellement d'inventaires, c'est clair. [03:16:14] Speaker A: T'as tu trouves de tout pour ton. [03:16:15] Speaker C: Chien, ton chat, ton lapin même. Pis le personnel est vraiment bien formé pour te conseiller. [03:16:19] Speaker A: Dis-moi ça, pas plus, j'suis déjà rendu. [03:16:21] Speaker C: Les boutiques Animalis, c'est un monde de. [03:16:23] Speaker A: Produits de qualité au meilleur prix. Un énorme inventaire et des conseillers humains prêts à vous aider. [03:16:28] Speaker C: Les boutiques Animalis, à Valbelaire, Beauport, L'Ancienne-Lorette, Saint-Nicolas et au boutiqueanimalis.com. [03:16:34] Speaker A: Salut, c'est Boucher. Salut, c'est Lorty. Hé Lorty, j'pense à ça, ça fait cinq ans qu'on sait pas jaser la radio. On avait presque peur qu'ils pensent qu'on avait raccroché nos outils. Impossible! Quand t'as thermopompe pis ton chauffe-eau marche comme du monde. C'est qu'on est passé par là. Exact. Boucher l'ortie, c'est bien plus que des tuyaux pis des fils. C'est une équipe t'sais serrée qui règle tout ce qui garde ta maison confortable. Pis aussi ton commerce. Plomberie, électricité, chauffage, thermoporpe et énergie. C'est notre affaire. Appelez-nous au ou faites une demande de service en ligne. Boucher l'ortie, c'est réglé! [03:17:03] Speaker C: Vos dettes vous étouffent? AlexandreOuellet.com. [03:17:06] Speaker F: Moi, avant, chaque mois, je payais 2000 $ d'hypothèque, 800 $ de cartes de crédit, 900 $ de prêts personnels et 700 $ pour mon auto. Ça me déprimait, puis toute ma paie passait en paiement. J'ai appelé AlexandreOuellet.com et maintenant, j'ai un seul paiement qui comprend tout et j'économise 1600 $ par mois. Enfin, je respire! [03:17:25] Speaker C: Pour diminuer vos paiements, Alexandre Ouellet, c'est le spécialiste. [03:17:29] Speaker A: Souvent, les gens me demandent « Réal, comment t'as fait pour pas rire à LOL qui rira le dernier? » Ben, c'est simple, mon métier, c'est pas de rire, c'est de faire rire. Alors, je vous invite à venir me. [03:17:44] Speaker C: Voir faire mon métier. En octobre, je serai à Saint-Georges-de-Beauce, au cégep de Lévis. [03:17:50] Speaker A: En novembre, à Montmagny. Et après Noël, à la salle Albert-Rousseau. C'est bon, on l'a. T'es sûr qu'il va aller voir ça? Moi, je suis là, regarde. [03:17:57] Speaker B: Pourquoi tu ris, toi? [03:17:59] Speaker A: Et pour toutes les autres dates, allez au realbelan.com. [03:18:15] Speaker B: Et vous épargnez 15% sur les essuie-glaces Bosch Clear Advantage. [03:18:19] Speaker A: L'hiver approche! [03:18:20] Speaker B: N'attendez pas à la dernière minute pour entretenir votre véhicule. Bon. [03:18:30] Speaker C: Qu'Est-Ce qu'on mange? [03:18:31] Speaker F: Une pizza! [03:18:33] Speaker A: Ingrédients frais, pâtes et sauces maison. Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 $. Dispo chez les marchands participants. Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel. Ludo, décongeler, cuire, servir. Procurez-vous votre forfait pour le Tailgate Radio X. [03:18:52] Speaker F: Radio X. [03:18:53] Speaker A: Du Roger en football. contre les Carabins de Montréal le dimanche 19 octobre. Pour 45 $ plus taxe, le forfait comprend ton billet pour le match, une bière de Rhalbock, une pointe de pizza de Stratos Pizzeria, un hot dog offert par Rêves Sportifs, un demi-sandwich smoked meat de Bryn Smoked Meat, un morceau de poulet frit d'ixili, une bouchée sucrée d'équilibre traiteur et une dégustation de la desserie Stadacone. Achetez votre forfait au boutique.radioix.com. Faites vite, quantité limitée. Une collaboration anti-rouille crown. Trouve le centre le plus près au crown.com. Radio-X, à Québec, c'est Radio-X. [03:19:43] Speaker F: Sois Radio-X. [03:19:45] Speaker A: Faites-vous. [03:19:46] Speaker F: Faites-vous. [03:19:47] Speaker A: Votre propre opinion. Puis je déplore qu'une ville comme Québec. [03:19:50] Speaker F: Aussi grande, n'ait pas aucun terrain de. [03:19:53] Speaker A: Pétanque intérieur pour l'hiver. C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner. [03:20:10] Speaker F: C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque, c'est la pétanque pour s'entraîner C'est la pétanque. [03:20:31] Speaker A: Salut, Mark Griffin, comment ça va? [03:20:41] Speaker D: Ça va très bien, merci! [03:20:42] Speaker A: En tant que fan des Yankees, je file pas très bien, mais je me rends compte qu'il y a un momentum de l'autre bord. Puis il y a trop de fun dans le stade. Ils peuvent pas perdre les Jays. Il y a trop de fun. C'est trop parfait. [03:20:56] Speaker D: Et là, tu vois que jouer à domicile, avoir l'avantage du terrain, Il y a un impact. Je veux dire, tous les joueurs le disent, que ce soit les joueurs des Jays ou même les Yankees. Écoute, l'ambiance est assez spectaculaire, disons. [03:21:11] Speaker A: C'est un effondrement des Yankees. N'ayons pas peur des mots. Je suis en train de lire la section sport du New York Post. Blue Jays are humiliating the Yankees. The Yankees are depressing. Non, regarde, c'est pas fini. Tant que c'est pas fini, tu comprendras, mais quand même, qu'est-ce qui s'est passé? [03:21:32] Speaker D: Souvent, on disait, dans les années passées, depuis l'instauration de cette façon de faire en Syrie où l'équipe qui, bon, remporte la division a un bail, donc une pause, ça allait pas très bien. On dirait que les équipes étaient pas capables de, pendant 4-5 jours, de s'entraîner correctement. Puis là, on est arrivé dans le premier match, dans le deuxième, puis on avait perdu complètement le rythme. Bien, je pense que cette année, où les équipes ont appris du passé puis ont fait d'autres choses différemment, Et de toute évidence, Vlad Guerrero a travaillé sur son élan. Puis là, bien, les Blue Jays sont sortis complètement énergisés. [03:22:10] Speaker A: Mais les lanceurs des Yankees sont effoirés. [03:22:14] Speaker D: Oui, dans le cas de... C'est sûr que dans le premier match, bon, le fait d'avoir gagné la division, le fait que les Yankees devaient passer par la série des équipes repêchées, t'es obligé de partir avec ton quatrième partant dans ce match numéro un, là, de cette série-ci. Ça a paru, si on va se le dire. Puis je comprends à Runger d'avoir été, à la limite, très impatient avec son partant. Il ne voulait pas qu'en début de match, qu'il perde le contrôle de celui-ci. Il l'a perdu plus tard, mais ça, c'est autre chose. Mais match free d'hier, tu sais, je veux dire, il savait que j'étais extraordinaire du côté des Blue Jays. On va y revenir. Mais Max Reid a été très ordinaire. Très ordinaire. Tu sais, j'enlève rien à ce que les Blue Jays ont fait, mais le lanceur des Yankees ne l'avait pas, là. Écoute, il était pas capable de placer cette fameuse balle à effet qui revient tout chez le coin sur les droits. Il était pas capable d'aller la chercher. [03:23:05] Speaker A: Puis je te pose une question, là, à ce moment-là. Est-ce que... Il y a eu de l'étude. C'est-à-dire, on connaît Freed. Il était en liste pour le Cy Young, on verra. Je ne sais pas si il va le gagner, on verra. En tout cas, il va être en nomination, on verra. Est-ce qu'ils l'ont étudié? Autrement dit, voici son comportement, son arsenal. Il y a tellement de Matrix aujourd'hui, tu le sais, Marc, qu'à un moment donné, Les gars, ils savent ce qu'ils vont avoir comme Pinottes qui s'en vient. Est-ce qu'ils savaient à qui ils avaient affaire? Il n'y a pas de chance ben ben là-dedans non plus. [03:23:40] Speaker D: Non, ils savaient. Puis même, tu sais, on va plus loin maintenant. Tu as des lance-balles, des machines qui lancent même angle de bras. Tu rentres dans l'ordinateur, moi, je veux la balle rapide ou le changement de vitesse de Max Reed, la machine te sort l'angle de bras, puis la façon dont la balle se rend vers toi. [03:24:02] Speaker A: C'est quasiment l'intelligence artificielle à ce moment-là. [03:24:04] Speaker D: C'est fou. Et le désavantage des Yankees, c'est qu'on n'avait pas cette donnée-là sur Yes Savage. On l'a pas, là. [03:24:12] Speaker A: Il y a 22 ans. [03:24:14] Speaker D: Et en plus, le fait que tu joues pas à domicile, t'as peut-être pas la technologie avec toi à l'étranger. Bon, tout ça pour dire que les données aujourd'hui sont énormes. C'est la seule chose que les frappeurs peuvent avoir. L'avantage que les frappeurs peuvent avoir, c'est qu'ils peuvent vraiment étudier les lanceurs. Mais le lanceur, à la fin de la journée, c'est lui qui a la balle. C'est lui qui décide. Il décide du rythme. Si ça va bien, bien, on voit ce que ça donne. Si ça va moins bien, bien, on voit aussi ce que ça donne. [03:24:42] Speaker A: Peux-tu donner un peu de responsabilité à Aaron Boone? Est-ce que les signaux étaient corrects? La gestion du bullpen était correcte? Analyse un peu les coachs, Marc. [03:24:52] Speaker D: Dans le cas d'Aaron Boone, je sais qu'il est très critiqué. Pas facile en passant de gérer les Yankees de New York, ça va se dire. Regarde la situation dans le match numéro 1, où il amène son seul lanceur gaucher en relève. Il l'amène tôt dans le match, parce qu'il veut pas que le match lui échappe tôt. Lorsque Gil a été remplacé, il a mis son seul gaucher. Alors oui, parce qu'il y avait un paquet de gauchers que les Blue Jays avaient mis dans leur formation. Et ça a fonctionné, dans le sens qu'il a réussi à freiner le lent des Blue Jays. Le problème, c'est qu'il y en a plus d'autres gauchers après ça. Fait que moi, je trouve que les Yankees sont mal équipés en relève en ayant juste un seul lanceur gaucher en relève. T'sais, moi, je pense qu'il faut... il réfère d'abord à un autre, puis là, ben, tu t'entends avec des Varshaws qui, ben, il y a toute l'évidence, lui aussi vit des bons moments. T'sais, Lucas va bien, mais t'as personne après ça pour les... t'sais, pour les challenger, entre guillemets, avec un lanceur gaucher. Fait que ça, je trouve que c'était une faute des Yankees d'arriver en Syrie avec un seul lanceur gaucher en relève. Et tu sais, bien écoute, je sais que le gérant, c'est pas facile. Regarde, hier, on a enlevé il y a Savage du côté de Schneider. Avec cinq manches et un tiers, il n'y avait pas 80 lancés encore. ce qu'on aurait pu lui tirer pour finir la manche, ce qu'on lui aurait pu lui donner trois retraits de plus. [03:26:09] Speaker A: Absolument. Mais il y avait un beau coussin, il y avait un beau coussin. [03:26:11] Speaker D: Il y avait un beau coussin, puis tu veux pas exposer, il y avait du trop. Ça se peut qu'il lance le match numéro 5. Faut pas se le dire, faut pas se le cacher, faut quand même prévoir ce qui va se passer. Fait que je trouvais que la décision à ce moment-là était correcte. Là, les Yankees se sont mis à frapper, on va dire, les releveurs qui sont pas les releveurs de fin de match, puis c'était correct ainsi. Écoute, à la fin de la journée, ce sont quand même les joueurs qui doivent répondre à ça. Tu sais, je veux dire, c'est pas Aaron Boone qui va se lancer sur une troisième prise. [03:26:39] Speaker A: Non, non, c'est Austin Yankees à frapper. [03:26:43] Speaker D: Faut que les gars se prennent en main. Faut que les gars se prennent en main. [03:26:44] Speaker A: Oui, c'est ça, exact. Est-ce que tu entrevois des changements pour demain New York? [03:26:49] Speaker D: Non, pas vraiment. Écoute, t'sais, je veux dire, les deux équipes... [03:26:53] Speaker A: Le duel, t'en penses quoi, le duel qui nous sera fait? [03:26:55] Speaker D: Ben, Rodon, à domicile, t'sais, je veux dire, évidemment, il va avoir l'énergie du Yankee Stadium. Rodon va arriver, il connaît une très, très, très bonne saison. [03:27:03] Speaker A: Un gaucher. [03:27:05] Speaker D: Un gaucher. Donc, lui, là, il va avoir devant lui la même formation qu'eux dans le dernier match. Fait que lui, c'est sûr qu'en espérant qu'il ait pris des notes, évidemment, dans tout ça. Les Blue Jays, par contre, voici où les Yankees pourraient faire un petit peu plus... pourrait créer un peu de résistance, c'est que Shane Bieber arrive. Shane Bieber, bon lanceur, mais si son changement de vitesse ne fonctionne pas, on peut être dans le trouble. Et si les Yankees gagnent ce match, le troisième match, le quatrième match, c'est Cam Schlittler du côté des Yankees, c'est ce qu'il a fait à sa dernière présence, qui va lancer pour les Blue Jays. Oups! Là, on va se retrouver avec probablement... Ben non, il n'est pas là. Il n'est pas à la formation. [03:27:47] Speaker A: Ah non, mais ils peuvent l'intégrer, non? [03:27:49] Speaker D: Ben non, absolument pas. [03:27:50] Speaker A: Ah non, non, non, non, non. [03:27:51] Speaker D: Lorsque tu donnes ta liste des 26 joueurs, c'est terminé. [03:27:53] Speaker A: Ah merci Marc, je savais pas. OK, c'est bon. [03:27:55] Speaker D: C'est terminé. Absolument. Donc, ça me semble être un, ce qu'on appelle un bullpen game. Donc, ça va être des paquets de releveurs, selon moi. Et là, si tu as un match ultime, ça peut être de te retrouver avec ou une combinaison, évidemment, de... [03:28:12] Speaker A: Il faut que tu reviennes avec ta rotation initiale. Il y a une rotation qui est figée, officialisée auprès des autorités. Je ne savais pas ça. [03:28:20] Speaker D: En fait, oui. Tu as 26 joueurs. C'est pour ça qu'avant chaque série, il y a eu, durant la série des équipes repêchées, tu donnes à la ligue, voici mes 26 joueurs. J'ai 14 joueurs de position, j'ai 12 lanceurs. Parfait. Tu passes à l'autre série, donne-moi ta liste des 26. Tu gagnes la série de division, on change. Parce que là, t'sais, si t'affrontes... Regarde, comme par exemple, les Blue Jays, ils se sont mis un paquet de releveurs gauchers. Donc, ils ont enlevé... bien, tu les tenais pas là. n'est pas là, et Max Scherzer n'est pas là. Tout comme Bob Bichette, ils ne sont pas là. Donc, il faut que tu fasses ta liste. Alors, si les Blue Jays passent à la ronde suivante et affrontent telle équipe, puis là, telle équipe, par exemple, un paquet de frappeurs droitiers plus que de gauchers... [03:29:02] Speaker A: Mais ils vont modifier la rotation. [03:29:03] Speaker D: Tu modifies. Puis là, bien... Et si la règle est également... Si, par exemple, un joueur se blesse, et t'es obligé de le sortir, de le mettre sur la liste des joueurs blessés pour amener un autre joueur, bien ce joueur blessé-là ne peut pas participer non seulement à la série actuelle, mais il ne peut pas participer à la série suivante également. Il y a des règles quand même assez précises en série pour les formations des joueurs. [03:29:27] Speaker A: Peux-tu me parler de Ye Savage? Je ne le connais pas. Il a pleuré hier. Sa famille était là. C'est extraordinaire. C'est un beau talent. Mais là, on s'emballe beaucoup, là, Toronto. Toronto Sun. « Is Blue Jays Youngstars Ye Savage a modern Ken Dryden? » Ça dénonce un peu, on a trouvé sens, là. Explique-nous, c'est quoi le phénomène? [03:29:48] Speaker D: Bien, c'est que la première chose, c'est que son parcours est extraordinaire. Le gars a commencé la saison dans le A. Il a lancé dans le A, il m'a impressionné. On l'a monté dans le 2A. [03:30:00] Speaker A: C'est mieux que Schlittler. Schlittler a commencé dans le 2A. [03:30:02] Speaker D: Ah non, non, écoute, c'est fantastique. L'histoire est fantastique. C'est pour ça que c'est si émotif de voir tout le monde. Bon, il s'en va dans le 2A. Oups, il impressionne. Là, on est rendu à peu près à la fin juillet. On l'envoie au 3A. Bien, ça se poursuit. Fait qu'à partir de fin juillet, fin juillet, ça fait pas longtemps, c'est là qu'est rentré vraiment dans le radar des Blue Jays, c'est-à-dire que ce gars-là pourrait peut-être nous aider. [03:30:28] Speaker A: Qu'est-ce qui impressionne chez lui? [03:30:30] Speaker D: C'est qu'il y a deux choses. Premièrement, il a une bale fonde extraordinaire. Tu vas me dire qu'il n'est pas le seul, mais c'était si facile d'en lancer une bale fonde, tout le monde en lancerait une. Mais lui, c'est qu'il part de très haut. C'est le lanceur, c'est pas le plus grand lanceur. Mais c'est le lanceur qui laisse aller la balle le plus haut. Souvent, les gars qui vont lancer la balle fronde vont aller un peu plus de côté, si vous voulez. Mais lui-là, il est vraiment par-dessus l'épaule. Alors l'angle qu'il donne à ce tir-là, c'est comme si les frappeurs ne sont pas capables de voir la balle sortir correctement de sa main. qui rend donc sa balle-fronde encore plus efficace. Écoute, t'as vu le nombre d'élèves dans le vide, là, dans le match d'hier de la part des frappeurs et des yankees, c'était impressionnant. [03:31:12] Speaker A: C'était quasiment gênant. [03:31:13] Speaker D: Exact. Mais les frappeurs n'étaient pas capables de solutionner. Tu sais, souvent, 90 % des lanceurs, ça sort à peu près dans la même fenêtre. De l'angle de bras, ça sort dans la même fenêtre. Lui, il était en haut de ça. Ça fait que ça a l'avantage. Il combine ça avec une rapide à 95 000 à l'heure. Fait que t'es toujours en train, bon, il va te lancer la balle fonde, puis là, woup, il me surprend avec une rapide. Fait que, écoute, c'est... Ça a fonctionné de toute évidence. Le vrai test pour lui sera probablement lorsqu'il aura fait des 7-8 de départ dans le baseball. Là, évidemment, tu comprendras que là, on va avoir compris ce qu'il fait. Et là, à lui... Est-ce qu'ils sont capables de se réadapter suite à tout ça? Mais pour l'instant, il y a un effet de surprise pour les frappeurs de Yankee. [03:31:57] Speaker A: Absolument. [03:31:58] Speaker D: Et lui, tu sais, il va être au profit de tout ça. Mais c'est quand même une histoire extraordinaire. [03:32:02] Speaker A: C'est extraordinaire. [03:32:03] Speaker D: Il vient juste d'avoir 22 ans. [03:32:05] Speaker A: C'est un kid, c'est incroyable. Puis malheureusement, il nous reste une minute pour le reste. Mais on va s'en prendre. Il y a d'autres belles séries. C'est quoi la série qui te fait tripper le plus? C'est-tu «Dodgers», «Phillies»? Ça serait laquelle à ce moment-là? [03:32:18] Speaker D: Ben c'est sûr que Dodgers-Fellies, avec les Otani et compagnie, contre Schwarber et Bryce Harper et compagnie. Puis c'est Ter Oscar-Mendez qui fout les héros, malgré qu'Otani a eu un excellent. [03:32:29] Speaker A: Départ aussi au basket. Ter Oscar, ancien DJ's. [03:32:32] Speaker D: Exact, exact. Fait qu'écoute, ça c'est une très très bonne série. Remarque, ce qui se passe dans l'Ouest avec Seattle puis les Tigers, ça a été deux matchs très très très serrés. Ce qui est le fun là, c'est que les quatre séries, elle nous présente le baseball très différent, avec des styles différents, on joue différemment. Fait que là, je trouve qu'on expose bien les différentes manières de jouer le baseball dans ces... [03:32:54] Speaker A: Les boss de la MLB sont contents en espérant que les codes d'écoute sont au rendez-vous? Bien, c'est bon, ça, pour le marketing du baseball, du baseball différent. [03:33:02] Speaker D: Oui, mais les bots n'aimeraient probablement pas voir les Yankees s'en éliminer, on va se le dire. [03:33:05] Speaker A: Non, non, c'est sûr. [03:33:06] Speaker D: C'est ça. C'est clair. tu peux te retrouver avec notre série mondiale, Blue Jays, Brewers de Milwaukee. [03:33:12] Speaker A: Très extraordinaire en termes de baseball. [03:33:14] Speaker D: Mais tu comprends que pour la popularité aux États-Unis, ça, c'est pas... Mais c'est pas grave. Moi, comme fan de balle, je veux voir la meilleure série possible, peu importe le marché. [03:33:26] Speaker A: C'est très, très bon. Merci beaucoup, Marc. On se reprend. [03:33:29] Speaker D: Absolument, à bientôt. [03:33:30] Speaker A: Salut, bye. Super trippant, Mark Griffin. On fait la pause et en revenant, un petit peu de restant de Légion dans Moray Live. Voilà, François Legault, on va lui souhaiter bonne chance. [03:33:50] Speaker B: Pour le reste, l'agenda, on va le rattraper. [03:33:52] Speaker A: Il y a tout un jour, il arrive de quoi. Il est tellement mauvais quand il sort publiquement. Il est capable tout seul de s'auto-pénaliser. Je ne sais pas c'est quoi l'expression. Il va sortir encore un chèque. [03:34:04] Speaker C: C'est la bonne vieille... Moi, c'est pour. [03:34:06] Speaker A: Ça que je te dis, les politiciens, vous n'êtes plus trop stables. [03:34:16] Speaker F: Présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. Chez Club Piscine, on sait qu'une fois l'été terminé, c'est pas facile de continuer de s'entraîner. Je confirme. Alors, pour t'aider à donner ton 110 %, on te donne jusqu'à 30 % de rabais sur une grande sélection d'appareils d'entraînement pour la maison. Tapis roulant, cardio vélo, elliptique, rameur, à partir de seulement 549 $. 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Pour les billets, passez à lepointdevente.com, lepointdevente.com. [03:35:50] Speaker A: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [03:35:56] Speaker F: Sans aucun stress. [03:35:58] Speaker A: Sans conditions ni garanties légales? [03:36:00] Speaker F: Sans conditions ni garanties. [03:36:01] Speaker A: Devant notaire? [03:36:03] Speaker F: Devant notaire. [03:36:04] Speaker A: Sans ménage ni plusieurs visites? [03:36:06] Speaker F: Absolument. Vite de même. [03:36:08] Speaker A: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en ligne et vendez-vous aussi vite de même. [03:36:15] Speaker F: Lui qui vole, achetez ton bloc. Airfortin.com. Yes! [03:36:19] Speaker A: Il manque encore la feuille de temps de Maxime. Jonathan, t'as écrit 40 heures alors qu'il y avait un férié. Vous passez trop de temps à comptabiliser les heures sur des bouts de papier? 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[03:38:54] Speaker F: Volkswagen Fest, c'est le plus gros événement de l'année. [03:38:56] Speaker A: Ouais, peut-être juste y mettre un petit peu plus d'énergie. [03:38:58] Speaker F: Il y a du financement ou de la location à 0% sur des modèles sélectionnés. Des bonnets Volkswagen Fest, c'est complètement fou! [03:39:05] Speaker A: OK, ça, c'est peut-être beaucoup, Martine. [03:39:07] Speaker F: Yes! [03:39:07] Speaker A: OK. Profitez du VoxFest avec des offres à partir de 0 % et obtenez jusqu'à 1 000 $ en bonnie VoxFest sur certains modèles. Faites vite, les offres se terminent le 31 octobre. Sur approbation du crédit, des conditions s'appliquent. Détachez votre concessionnaire VoxVac'n. Ready! Procurez-vous votre forfait pour le Tailgate Radio X. [03:39:24] Speaker F: Radio X. [03:39:25] Speaker A: Du Roger en football. contre les Carabins de Montréal le dimanche 19 octobre. 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[03:40:24] Speaker F: Léopold Lauzon, Lino Zabito, Stéphane Monnet, Christian Page, Jan Alperin, Dr Denis Boucher. [03:40:30] Speaker A: C'est pas mal ça! [03:40:31] Speaker F: Les meilleurs collaborateurs sont ici. [03:40:35] Speaker A: Quoi? C'est vous! [03:40:37] Speaker F: C'est vous! [03:40:38] Speaker A: Votre propre opinion. Moret. Live. Très, très, très, très bon. Live. C'est pas une blague. [03:40:45] Speaker F: Avec Dominique Moret. [03:40:47] Speaker C: Les meilleurs au monde. [03:40:49] Speaker F: Radio. [03:40:52] Speaker C: Let's go live now from the Tower of Doom. [03:40:57] Speaker F: The Légion of Doom. [03:41:00] Speaker A: Yes! [03:41:00] Speaker C: Pendant que certaines journalistes ou chroniqueuses, peu importe, se jouent à la victime, puis là, les gens ne sont pas fins avec moi... Quand c'est réellement de la violence envers certains journalistes, si c'est pas les bons journalistes, ben là, là c'est correct. Là, on n'est pas vraiment sérieux. On en rit même jusqu'à un certain point. [03:41:19] Speaker A: Rebel News! Ah ah ah! Quelle gang de niaiseux! [03:41:25] Speaker C: Alex Solavoie, qui a fait un travail de journaliste, dans le fond, ils ont trouvé un criminel. Un gars, ben pas c'est une criminelle du moins là, un gars qui... Qui. [03:41:32] Speaker A: A fait un méfait, qui a lancé une grenade, mais pour eux ça c'est une grenade aux fraises parce qu'elle est rouge. [03:41:36] Speaker C: Oui, il y a rien là, donc... [03:41:39] Speaker A: C'est vrai que ça a été dit. [03:41:40] Speaker C: C'est ça pareil, oui oui. [03:41:41] Speaker A: Quel innocent. Quel innocent. [03:41:43] Speaker C: J'aurais pu en sortir encore plus long là, mais juste le commentaire... Non, il. [03:41:46] Speaker B: N'Y a pas quelqu'un qui a dit ça pour vrai là. [03:41:48] Speaker C: Oui, niquette. Je te fais jouer à la fin. [03:41:52] Speaker A: Je pense qu'il y a effectivement une histoire là-dedans. [03:41:54] Speaker E: Le gars qui travaille pour l'armée lance des fumigènes. [03:41:56] Speaker A: Les gars masqués qui arrivent en vélo. C'est quand même inquiétant. Ça fera au pire un bon épisode. [03:42:00] Speaker E: D'Antigang, mais c'est très, très quand même. [03:42:02] Speaker A: Difficile de prendre tout ça au sérieux. [03:42:04] Speaker C: Ah non, ce soir, on ne prend pas ça au sérieux. Elle se fait menacer. Elle se fait bousculer. [03:42:09] Speaker A: Il a dit que la fumigène faisait... La boucane rouge, c'est de la boucane aux fraises. [03:42:16] Speaker C: Oh, y'a rien là, là, finalement, là. Pis y'a le chanteur qui joue avec, donc c'est du fun, là. [03:42:20] Speaker B: Pis la police, la boucane est blanche, c'est au crème soda. [03:42:23] Speaker A: Très bon. Moi, je dirais plus Sprite, là, mais c'est selon. [03:42:28] Speaker C: Donc quand c'est eux autres, on minimise, pis c'est pas grave, pis à chaque fois, elle se fait brasser dans chaque manif où elle va. [03:42:35] Speaker A: C'est leurs îles. [03:42:36] Speaker C: Elle, son caméraman, le monte-auto... Donc, chez. [03:42:38] Speaker A: Les islamistes, c'est gens qui n'existent pas, là. [03:42:40] Speaker C: Ouais, c'est gens qui n'existent pas, là. [03:42:42] Speaker A: Ça, c'est des conspits, d'ailleurs. [03:42:43] Speaker C: Oh oui, il y en a quelques-uns, là, mais t'sais, c'est... T'sais, pis Chakaoui, il parle à trois personnes, là. [03:42:50] Speaker A: C'est nos amis! C'est nos amis! Les Lapideurs! Nos amis! Quelle bande de twits! L'extrême gauche, la gauche pro-islamiste, vivez-les votre islam, allez à Kaboul pendant un an. Rappelez-nous après. On va aller vous chercher, promis! Mais il faut que ça fasse un an. 365 jours, bien compté. Hé, que vous allez brailler! [03:43:14] Speaker C: J'ai vu le message passer en fin de semaine pis j'ai dit, ben, je suis obligé de dire que c'est pas fou. Le lien entre cette gauche folle-là pis les islamistes, le but étant de détruire l'Occident et le capitalisme qui va avec. [03:43:27] Speaker A: Ben oui, c'est une déstructuration et une restructuration. [03:43:31] Speaker C: On a une cause commune, donc on va travailler ensemble. [03:43:33] Speaker A: D'ailleurs, quelle bonne une du Poste. Oui, oui, ils parlent des Yankees, là. Mais la une du Poste, quand même, c'est Mamdani qui est posé avec une politica africaine full anti-gay. Oui, mais les islamistes sont anti-gay. Et l'extrême, l'extrême, l'extrême gauche islamiste, ils sont anti-gay. la diversité, tout ce qui s'appelle LGBT, tout ça, eux autres, ils n'en ont rien à foutre. Mais lui, il se la joue. Ah non, nous autres, les gays, ça va très bien, puis tout ça. Mais il est islamiste en même temps. Il joue ses deux tableaux, tu comprends. La une est complètement bonne, sauf que est-ce que ça va influencer le vote. Ça, c'est une autre chose, mais c'est la une de ce matin du New York Post. [03:44:14] Speaker C: On a une cause commune, donc on va travailler ensemble. L'autre chose, tu en as parlé... Pierre Paulus, tu en as parlé tout à l'heure. Eux parlent beaucoup du prix de l'épicerie à l'Assemblée nationale, mais aux communes plutôt, à Ottawa. Ça revient fréquemment. Gab Hardy qui a fait une de ses premières interventions récemment pour jaser ça, et ça aussi, on a dénigré ça. [03:44:33] Speaker A: Son collègue Gabriel Hardy a aussi évoqué. [03:44:35] Speaker E: Le prix des aliments en citant l'influenceur Olivier Primault. [03:44:38] Speaker A: Écoutez, je cite un influenceur et entrepreneur québécois très connu. [03:44:42] Speaker F: 126 $ pour 6 steaks et avec. [03:44:44] Speaker A: Ça, zéro accompagnement et en plus, tu dois le faire cuire toi-même. C'est rendu ridicule. [03:44:49] Speaker C: Un simple paquet de viande, 55 $ le kilo. [03:44:52] Speaker A: Mais qui peut se permettre ça? [03:44:54] Speaker F: Est-ce que le gouvernement libéral va s'aligner. [03:44:56] Speaker A: Avec les conservateurs et permettre aux Canadiens de se nourrir à juste prix? La misère des riches à acheter pour 126 $ de steak et réaliser qu'il n'y a pas de chef inclus pour le faire cuire. [03:45:07] Speaker E: J'imagine qu'il n'y a pas non plus. [03:45:08] Speaker A: De traiteur pour lui couper ses petits légumes. Ça va être l'enfer. Prochaine étape, peut-être que les conservateurs vont. [03:45:12] Speaker E: Nous citer Luc Poirier pour reparler des. [03:45:14] Speaker A: Problèmes de transport collectif. [03:45:18] Speaker C: Ça, c'est le genre de mépris. Manger plus de steak, c'est un problème de riche, là. Sinon, là, c'est le prix du steak, rien là, là, c'est pas grave. Mais son point, lui, en fait, c'est parce que c'est Primo qui a fait le tweet, fait que c'est pas bon. C'est un riche, lui, on s'en fout. Quand il disait « il faut que tu te le fasses cuire toi-même », c'est pas qu'il veut un serviteur pour le faire cuire, c'est que ça, c'était des prix avant qu'on avait au restaurant. Là, c'est des prix que t'as pour t'offrir, toi, de la bouffe à la maison. [03:45:42] Speaker A: Tout le monde avait compris ça, là. [03:45:43] Speaker C: Ouais, mais lui... [03:45:44] Speaker A: Tout le monde qui a un QI supérieur à celui d'un caniche, je suis capable de comprendre la signification. Il y a peut-être un problème. Oui, c'est ça, c'est peut-être l'autre problème. On touche à quoi, là? [03:45:55] Speaker C: Écoute, on parlait des islamistes, je t'ai pas ouverte jouer tout à l'heure le commentaire de Yves Malot. [03:46:02] Speaker A: Un discours qu'on pourrait résumer par la phrase suivante. « Rocky Legault se cherche des ennemis dans une société marquée par la violence. » Lui, dans son discours, il a ciblé, un, les islamistes radicaux, comme s'il y en avait à tous les coins de rue, et les dirigeants syndicaux. De drôles de choix selon moi. [03:46:22] Speaker C: C'est pas une bonne cible, là. C'est pas le bon... Non, ça c'est jamais... C'est pas de nos cibles à nous, donc c'est pas le bon monde sur qui... [03:46:27] Speaker A: Comment qu'il va, Carney? Elbows up? Comment ça va? Ça va-tu bien? Presse Canada? Blablabla? Je vais finir avec... Karine Gagnon, parce que là, il y aurait quand même Marchand qui se donne en spectacle à 10 heures. Donc peut-être que Karen va être en première partie. Je le sais pas, je connais pas le spectacle. Je connais rien à musique. C'est Gary qui va nous indiquer tout ça dans le show de Jean-Claude, j'imagine. Mais elle reprend quand même... Peut-être, peut-être. Larmorama, pleurorama, peut-être. Elle reprend l'imagerie de Radio X dans le Journal de Québec. More alive, les couleurs de Radio X. Est-ce à dire que désormais, on a le droit de reprendre des extraits de TVA? Hein? Faudrait peut-être poser la question. Ben oui, hein? Ah! J'ai de la peine! J'ai de la grosse peine! [03:47:36] Speaker F: Téléphone, texto, 418-670-9098. [03:47:41] Speaker A: Moray Live. [03:47:42] Speaker F: Radio X. Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:47:59] Speaker A: Coach, la Yonex 6 est en course à la glace. [03:48:01] Speaker B: Avec la recharge rapide, il n'y a. [03:48:02] Speaker A: Pas assez de temps entre les périodes pour l'arrêter, puis en plus... En plus quoi? C'est l'événement le plus bel arrêt Hondé. [03:48:07] Speaker B: Tu peux la financer à partir de. [03:48:08] Speaker A: 0 %, plus obtenir jusqu'à 11 000 $ de rabais additionnels de Hondé et du gouvernement du Québec sur toutes les Yonex 6 2025. Ou louer la version Preferred à longue portée à partir de 1,99 % avec. [03:48:19] Speaker B: Paiement hebdomadaire de 100 $. [03:48:21] Speaker A: Mais là, son type à table, on va faire quoi? On lui met du cœur, ben ben du cœur. Let's go les gars! Les conditions s'appliquent. [03:48:26] Speaker B: Visitez Hondé Canada pour les détails. [03:48:28] Speaker A: Plongez dans 888casino.net. Conçu pour jouir des machines à supprimer. Pour découvrir un monde de plaisir. C'est fait pour divertir. Pour se délecter de la roulette. Super! C'est juste pour jouer. [03:48:50] Speaker C: Ouais, ça marche! [03:48:53] Speaker A: 888Casino.Net. Fait pour jouer. [03:48:56] Speaker F: 19+, jeux gratuits et uniquement. Jouer de façon responsable. 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Avec un Madame Levac en plus, coudon, avez-vous des défauts, vous? Il m'arrive d'oublier les noms, Madame Lévesque. Ah, pas grave. Vous protégez les usagers vulnérables dans les milieux de vie. Merci, Mme Laflaque. Ah, ben oui, toi c'est Anna. La Sécurité routière, j'embarque. Un message du gouvernement du Québec. [03:50:00] Speaker B: Cet automne, respectez vos échéances avec les. [03:50:02] Speaker A: Équipements de construction Kubota, bâtis pour le Québec. [03:50:06] Speaker B: Peu importe le froid et le chantier, ils sont fiables. [03:50:09] Speaker A: Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0%. [03:50:12] Speaker B: Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. [03:50:15] Speaker A: Le Gros Luxe a une nouvelle section sur son menu. Le Petit Luxe. Des formats adaptés et des repas à petit prix. [03:50:21] Speaker C: Smashburger, poutine, mac'n'cheese ou tacos. Des classiques pour moins de 12$. 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Et vous épargnez 15% sur les essuie-glaces Bosch Clear Advantage. [03:51:19] Speaker A: L'hiver approche! [03:51:19] Speaker B: N'attendez pas à la dernière minute pour entretenir votre véhicule. Pièces d'auto économiques, 9 magasins, 5 centres de distribution et 1 site transactionnel. [03:51:28] Speaker A: Pièceséconomiques.Com Hey. [03:51:36] Speaker B: Passez donc une super journée. Bon lundi. Portez-vous bien. Ça va être une super semaine. Il y a Pierre Couture qui s'installe au courant des prochaines minutes. Jean-Claude sera là ce midi. Puis pour le reste, vous le savez, D.H. D.H. qui a été dans le Maine en fin de semaine. Je suis en mesure de vous dire comment ça va, les homards puis la pizza. On se dit à demain. Morelive, bye bye à 6h sans faute. [03:52:05] Speaker F: Moray Live. [03:52:06] Speaker C: This is the end of the show. [03:52:08] Speaker F: J'en ai ma claque la merde. [03:52:09] Speaker C: Have a great day and remember, swim safe. [03:52:13] Speaker A: Moray Live. [03:52:15] Speaker F: Réécoute les meilleurs moments. [03:52:18] Speaker A: Radio X.com. [03:52:20] Speaker F: L'application Radio X. [03:52:22] Speaker A: Radio. [03:52:23] Speaker F: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:52:41] Speaker B: Les manchettes sportives présentées par BPM Sport. [03:52:44] Speaker A: BPM Sport, la radio des sports au Québec. [03:52:46] Speaker C: Hé, c'est Jordan. Quel week-end de sport encore une fois. On va débuter par les Blue Jays. Comme dit Mel Trudel, ça arrête pas de bien aller. Pas une, mais deux victoires, puis des dégelés à part de ça pour débuter leur série contre les Yankees au Rogers Centre. Victoire de 10 à 1 samedi et hier 13 à 7. Un grand slam de Vlad Guerreiro Jr. et surtout, un tree savage au Monticule qui était tout simplement incroyable. Onze retraits au bâton, zéro couture accordée, zéro point, un but sur balle et ce, en 5,5 manches. Good job! Les bombardiers du Bronx feront face à l'élimination mardi au Yankee Stadium. Pour nos équipes locales, un week-end parfait. Premièrement, les Remparts ont remporté un doublé face à l'Océanique. Un à Québec vendredi, l'autre à Rimouski samedi. Même chose pour le Rouge et Or, qui a remporté un match sans trop de saveur contre les Stingers 19-8. Le record d'Arnaud Desjardins devra attendre. Ben oui, mais ça reste une question de temps. Et dans l'NFL, Monday Night Football, les Chiefs seront à Jacksonville, un match contre les Jaguars dès 20h15. [03:53:51] Speaker B: Pour plus de sport, ici BPM Sport. [03:53:54] Speaker F: BPM Sport. [03:53:56] Speaker A: 100.9. Des manchettes sportives présentées par La Rue qui recrute des assembleurs, mécaniciens, commis à l'entrepôt, ressources humaines, ingénierie et plus. Joins-toi à l'équipe La Rue. Postule sur JALarue.com. [03:54:06] Speaker F: Honda, c'est sûr! Où tu vas comme ça? [03:54:09] Speaker A: Ben, en marine. [03:54:10] Speaker F: Mais c'est cours de salsa ce soir. [03:54:12] Speaker A: C'est sûr que lorsqu'on profite de la technologie à deux moteurs hybrides comme sur le Honda CR-V Trailsport, on peut penser qu'il est facile de faire deux choses en même temps. [03:54:19] Speaker C: C'est ça, trois périodes soivées-soivées, là. [03:54:22] Speaker F: Ah ouais, il a soifvé! [03:54:23] Speaker A: Avec la fiabilité légendaire Honda et sa tenue de route exceptionnelle, retrouvez le plaisir de conduire à bord du CR-V Trail Sport Hybrid 2026. Louez-le à partir de 3,99 % pendant 24 mois. Sur approbation de crédit, détail sur honda.ca. Honda, c'est sûr! [03:54:36] Speaker B: Les 25 et 26 octobre, assistez au rendez-vous Raspipav! Le grand marché des importations privées au manège militaire de Québec. Rencontrez les agences de vin et des exposants passionnés. Ne manquez pas les rendez-vous Raspipave, présentés par la SAQ, billet au lepointdevente.com. [03:54:55] Speaker A: Pare-brise à réparer ou à remplacer? Chez Automod, la réparation est gratuite si vous êtes assuré. Faites remplacer votre pare-brise d'ici le 31 octobre. et obtenez jusqu'à 100 $ en cartes cadeaux applicables chez Automod. Prenez rendez-vous en ligne, automod.qc.ca. Salut, c'est Boucher. Salut, c'est Lortie. Hé Lortie, je pense à ça, ça fait cinq ans qu'on s'est pas jasé à la radio. On avait presque peur qu'ils pensent qu'on avait raccroché nos outils. Impossible! Quand ta thermopompe pis ton chauffe-eau marchent comme du monde. C'est qu'on est passé par là. Exact. Boucher Lortie, c'est bien plus que des. [03:55:26] Speaker C: Tuyaux pis des fils. [03:55:27] Speaker A: C'est une équipe tissée serrée qui règle tout ce qui garde ta maison confortable. Pis aussi ton commerce. Plomberie, électricité, chauffage, thermoporpe et énergie, c'est notre affaire. Appelez-nous au 418-623-2323 ou faites une demande de service en ligne. Boucher Lortie, c'est réglé. [03:55:41] Speaker F: À Télé-Québec, le mercredi 20h, Une Époque Formidable, animé par Stéphane Bureau. On est nul à chier en Amérique du Nord avec les émotions. [03:55:50] Speaker A: Déjà, je sens que ça vous parle. [03:55:51] Speaker F: S'exprimer. [03:55:52] Speaker A: Je trouve que notre époque, elle est inculte, elle est illettrée, elle ne s'intéresse qu'à elle-même. [03:55:56] Speaker F: Questionner. [03:55:57] Speaker A: Il y a quelqu'un qui lève la main. [03:55:58] Speaker F: Je suis d'accord avec un argument de mon adversaire politique. Échanger. [03:56:02] Speaker A: Wow! Ça doit faire 20 minutes que j'ai envie d'intervenir puis de sauter dans l'arène. [03:56:06] Speaker F: Aller au-delà des préjugés avec Une Époque Formidable, mercredi 20h à Télé-Québec. [03:56:11] Speaker A: Ce jeudi seulement, la grande vente Milwaukee d'outils plus. Jusqu'à 60% drapé, cadeau, deal de fou, jeudi 9 octobre, 9 à 21h au Centre de foire de Québec. [03:56:22] Speaker F: ISALT, c'est plus que des trampolines. C'est le fun différent et stimulant. Les enfants quittent les écrans et bougent. Les nouvelles attractions Parc lunaire et Turbulence vous attendent. Devenez membre avec accès illimité pour 39,99 $ par mois. ISALT.ca Pendant que vous fêtez les deux ans de Charlotte avec toute votre famille, l'AMF veille. Pendant que vous pédalez comme un forcené sur votre vélo stationnaire pour retrouver votre forme d'antan, l'AMF veille. Pendant que vous regardez en rafale votre série préférée, l'AMF veille sur vos dépôts en les protégeant au cas où une institution financière provinciale ferait faillite. Continuez de profiter de la vie. L'AMF veille. Pour en savoir plus, consultez l'autorite.qc.ca. Un message de l'Autorité des marchés financiers. [03:57:13] Speaker A: Ne laissez pas les dégâts s'aggraver. Pour l'automne, on prolonge notre promo vedette. Nettoyage et inspection du train de fondation à seulement 299 $. trainquebec.com. Vous voulez vendre votre maison? simonlaberge.com. Les courtiers immobiliers numéro 1 au Québec du Palmarès via Capital. Ils ont les connaissances, l'expérience et le réseau de contact. Vous voulez vraiment vendre votre maison? simonlaberge.com. Courtiers immobiliers via Capital. simonlaberge.com. Votre cuisine ou votre salle de bain a vraiment besoin de Rénault? Signature Simard est là pour réaliser vos projets. Nos designers créent votre plan 3D, tandis que nos experts de la construction donnent vie à votre projet. Vous n'avez plus qu'à choisir parmi notre vaste choix de matériaux à notre salle de monde de Charlebourg. Signe un contrat et laissez Signature Simard rénover pendant l'hiver. C'est simple et efficace. Rénover sans tracas avec Signature Simard. Appelez-nous ou demandez vite votre soumission gratuite au signaturesimard.com. Coach, la Yonex 6 est en course à la glace! [03:58:10] Speaker B: Avec la recharge rapide, il n'y a. [03:58:11] Speaker A: Pas assez de temps entre les périodes pour l'arrêter, puis en plus... En plus quoi? C'est l'événement le plus bel arrêt Hyundai. [03:58:16] Speaker B: Tu peux la financer à partir de. [03:58:17] Speaker A: 0 %, plus obtenir jusqu'à 11 000 $ de rabais additionnels de Hyundai et du gouvernement du Québec sur toutes les Yonex 6 2025. Ou louer la version Preferred à longue portée à partir de 1,99 %, avec. [03:58:28] Speaker B: Paiement hebdomadaire de 100 $. [03:58:30] Speaker A: Mais là, sont-ils bâtards? On va faire quoi? On y met du cœur. [03:58:32] Speaker B: Bien, bien du cœur. [03:58:33] Speaker A: Let's go, les gars! Les conditions s'appliquent. [03:58:35] Speaker B: Visitez Hyundai Canada pour les détails. [03:58:41] Speaker A: Radio X. La chronique Ray de Sports. [03:58:58] Speaker B: Hé, c'est moi ça. [03:58:58] Speaker A: Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée. Choua. [03:59:09] Speaker F: Choua. [03:59:09] Speaker A: Oh yeah! Radio X à Québec, c'est Radio X. [03:59:20] Speaker F: Radio X, c'est vous. [03:59:24] Speaker A: Votre propre opinion. [03:59:26] Speaker F: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [03:59:46] Speaker A: Dans le mid. [03:59:47] Speaker F: Avec Pierre Couture. [03:59:49] Speaker A: Pierre, c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7. [03:59:51] Speaker F: Et Nick Cloutier. [03:59:52] Speaker A: Proposant Couture.