OPEN: Karen, c'est l'exemple parfait des médias DU BORD DES POLITICIENS POUR MÉPRISER LE PEUPLE!

October 06, 2025 00:22:03
OPEN: Karen, c'est l'exemple parfait des médias DU BORD DES POLITICIENS POUR MÉPRISER LE PEUPLE!
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OPEN: Karen, c'est l'exemple parfait des médias DU BORD DES POLITICIENS POUR MÉPRISER LE PEUPLE!

Oct 06 2025 | 00:22:03

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[00:00:00] Speaker A: Ce matin, vous vous levez et vous vous dites, moi, il me semble que c'est trop parfait comme matin. Non, non, c'est pas trop parfait comme matin. C'est le légionnaire qui est ablamé ce matin. C'est le légionnaire qui est ablamé ce matin. Oui, ça prend toujours. Un salaud, ça prend toujours, oui, dans la tête des gens de Québécois, dans la tête de Karen, ça prend des salopards. Bon, ça a été un moment donné, sa mamade, qui est un intimidateur, ça a été moi, évidemment. [00:00:27] Speaker B: Ben le mafieux, sa mamade. [00:00:29] Speaker A: Ça a été le mafieux. Puis là, maintenant, c'est au tour... de la Légion, avec une saisie d'écran, d'un montage photo, et le manque de respect envers les politiciens, nos amis, nos amis les politiciens, dont nous sommes la firme de marketing Ting, ayant pris la photo, ridicule, le montage photo, genre de montage photo que le... que Mad ou Crow, peu importe, fait là. C'est une caricature, on appelle ça une caricature. Elle, elle dit que Dume Dumas est vraiment pas fin envers sa mamade. Oui, oui. On ridiculise sa mamade. Et Bruno Marchand également! [00:01:17] Speaker B: Oui! [00:01:17] Speaker A: Qu'on... qu'on... qu'on ridiculise sa vie personnelle parce qu'on parle de sa blonde. Faudrait peut-être expliquer deux ou trois patentes ici, là, je pense. [00:01:27] Speaker B: Ça me l'ont dit une personne publique, qui parle à chaque semaine, qui a un show de radio. [00:01:30] Speaker A: Mais qui était dans La Légion. [00:01:32] Speaker B: Oui, qui était dans La Légion. On a joué un extrait, bien on a joué d'autres extraits, mais par rapport à Bruno Marchand. C'est parce qu'il y a un extrait où à un moment donné, c'est suite... C'est la semaine après... Comment il s'appelle? Charlie Kirk. Pis aussi Jimmy Kimmel et tout ça, qui sont passés en dedans de pas longtemps. Pis là, elle disait, c'est important de jaser pis de confronter des idées qui sont différentes, pis d'aider de battre. On a perdu ça, pis etc. Pis j'avais juste dit, « Monique, parle à ton chum. [00:02:01] Speaker A: » That's it! [00:02:03] Speaker C: C'est pas parce que trois gars refont le monde autour d'un mimosa qu'on parle de sa blonde. [00:02:10] Speaker B: La pire phrase du texte, Si vous voulez, ce qu'on dénonce depuis longtemps, depuis des années, de certains médias, c'est de se mettre dans le camp des politiciens et de mépriser la population. Si vous voulez l'exemple ultime, le voici. Il était d'ailleurs honteux de voir le premier ministre François Legault traverser le stade des capitales de Québec sous les huées de spectateurs irrespectueux. Quel manque de savoir vivre de leur part. [00:02:41] Speaker A: Ils auraient dû applaudir et en redemander. Ils auraient dû même porter le masque. [00:02:46] Speaker B: Il ne faut jamais faire savoir à un politicien qu'on n'aime pas ses décisions, qu'on ne l'aime pas lui, qu'on n'aime pas ses politiques. Non, non, non, ça, ça ne se fait pas. [00:02:54] Speaker A: Sachez apprécier, sachez dire merci. Penchez-vous un brin, ça ne fera pas mal. Soyez apaisés, comme dit le bon docteur. Tu prends un respire. Un, deux, trois, go, c'est fini. Pouf! [00:03:09] Speaker B: Si ça se fait pas de ne pas respecter un politicien, on va faire un beau montage de tout ce qui s'est écrit dans les dernières années sur Donald Trump. C'est un politien, c'est un président américain, c'est quelqu'un de puissant. [00:03:20] Speaker A: Donald Trump. [00:03:20] Speaker B: On lui doit respect en tout temps. [00:03:22] Speaker A: Attends un peu, je vais pas te faire une liste. Du M, si tu peux pas. [00:03:25] Speaker C: Ben oui, c'est ça, t'es pas obligé d'arriver. [00:03:27] Speaker A: Trois lièvres. [00:03:27] Speaker B: En effet, oui. [00:03:29] Speaker A: Gaston au local. [00:03:30] Speaker C: T'es même pas obligé de sortir Guérin-Roux, là. On peut rester au premier frappeur. [00:03:36] Speaker B: C'est l'exemple le plus facile. [00:03:37] Speaker A: Oui, exact. Exact. [00:03:40] Speaker B: Mais si t'as même plus le droit de huer un policier, imagine ce que. [00:03:43] Speaker A: T'As plus le droit de dire. Il faut dire que ce climat toxique est encouragé sur les ondes de la radio poubelle. C'est très... C'est très 2014. [00:03:53] Speaker C: Sur cette web, y'en a une autre photo. [00:03:55] Speaker B: Ah oui! [00:03:57] Speaker A: Ouin! [00:04:02] Speaker B: Ah oui? [00:04:03] Speaker C: Ah oui! [00:04:04] Speaker A: Ah, c'est moi pis Dupont? [00:04:05] Speaker C: C'est exactement, c'est ça. [00:04:07] Speaker A: Il y a une version allongée sur... [00:04:09] Speaker C: La version web. [00:04:10] Speaker A: Oui. Une photo qui date d'il y a 15 ans au moins. [00:04:13] Speaker B: Avec Karen. Qui est aussi une photo qui remonte à environ il y a 15 ans. [00:04:17] Speaker A: C'est incroyable. C'est vraiment incroyable. Et là, par contre, elle joue un... Je reviens là-dessus brièvement pour dire qu'il y a un accident. Le bout plus sérieux, j'y reviens, mais il y a un accident. Beaucoup de gens se posent des questions. Accident à Arcat Nord, à la sortie du pont, donc ça crée des problèmes. On peut rien y faire, sauf que, je viens de vous le dire, ça nous a été rapporté. Il y a un accident, donc, Direction Nord, un accident majeur, donc ça crée, ça jamme, ça fait jammer. [00:04:46] Speaker C: J'ouvre mes patentes, là, j'avoue. [00:04:47] Speaker A: C'est vraiment dégueulasse. Donc c'est un lundi dégueulasse. Circulation ce matin, ouch. Donc vous avez l'heure juste là, j'imagine que ça va se rallonger très rapidement à 6h25. Les gens en provenance de La Beauce, les gens en provenance de Saint-Nicolas, puis du centre-ville de Lévis, c'est ceux, ceux, ceux. Donc tu vas-tu la faire là, la circule? [00:05:10] Speaker C: Oui, oui, je peux te faire ça là. Effectivement, c'est un accrochage sur Henri IV Nord. C'est à la hauteur du chemin Saint-Louis, donc vraiment à la sortie du port de Québec. La voie du centre qui est bloquée, en fait, c'est un véhicule qui est en panne, donc c'est un incident à cette hauteur-là. Ça devrait se libérer quand même assez rapidement, mais à l'heure actuelle, c'est ça qui bloque le pont. Et Dieu sait qu'il y a déjà à 6h15, 6h20, il y a beaucoup de monde qui traverse le pont. Donc ça cause beaucoup, beaucoup, beaucoup d'ennuis. C'est le pire moment pour que ça arrive. Les véhicules en panne, là. À un moment donné, il va falloir qu'on s'en parle. En 2025, quand tu tombes en panne... Mets du gaz. Ou tout ennui mécanique... Mets du gaz ou charge. [00:05:51] Speaker A: Charge ta batterie. Si ton char électrique est à zéro, là. [00:05:55] Speaker C: Ouais, tu sais, si c'est un flat ou ce genre de patente-là, tu sais, l'entretien du char... Tu sais, je comprends qu'un flat, tu peux pas prévoir ça, mais... Mais peu importe. Véhicule en panne, c'est la sortie du pont pis ce matin c'est ça qui vous fait sacré. [00:06:08] Speaker A: That's it. Ok. Et elle termine son texte. Je vais me permettre de le lire. Parce que c'est là que ça va loin pis les patrons se parleront. Je sais que j'avais parlé au grand, grand, grand patron ici il y a quelques années de ça ou deux ans. Propriétaire. Qui avait parlé au propriétaire là au bord. Les deux compagnies sont liées de par Gatineau, pour les gens qui connaissent un peu les médias. La station CHOT, c'est un diffuseur d'RNC. Moi-même, quand j'étais journaliste à Radio-Canada Ottawa. Les camions qu'on voyait, les camions micro-ondes, c'était des camions d'RNC. Je me disais au début, « Hey, Sanya, vous êtes pas TVA. » On m'a l'expliqué à ce moment-là. Donc, c'est là-dessus qu'est un peu Cowboy. Ça, les boss s'arrangeront en haut. Ignoc a visité le site web de Radio-X, donc elle parle de La Légion, Morelive. Il a regardé les grands titres, toujours des titres crunchy de la part de Doom. [00:07:10] Speaker B: On veut... Écoutez les extraits spoppés aussi. [00:07:13] Speaker A: Oui, c'est ça. C'est ça. T'sais, vous nous blâmez des fois qu'on se fie juste sur le titre de vos articles. Ben là, vous faites pareil concernant la radio. [00:07:23] Speaker B: Ah, mais jamais à ça. [00:07:24] Speaker A: Monique, parle à ton chum. On parle pas... On y donne pas un ordre, on parle d'un extrait qui est diffusé où elle parle justement du fait qu'on devrait tous se parler, tous ensemble. Bref, je continue. Pendant qu'on met en valeur des candidats qui ont été chroniqueurs réguliers de la station... Tiens, tiens, oh scandale! On met en valeur Stéphane Lachance. Alors que je reçois... Où ça? Alors que je reçois des courriels. « Hé, vous êtes pas en mode, gang de mange-morts! [00:07:52] Speaker B: » En effet. [00:07:54] Speaker A: Là, on vient de me dire qu'on est pro-marchand, donc on est équilibré. Pro-Lachance, pardon. C'est ça, pro-Stéphane Lachance. Elle, elle vient de dire ça. Il va falloir regarder le nombre d'entrevues qu'on a faites avec Ehamad et Lachance durant la campagne. Je pense qu'on ne l'a pas fait. Mais ça s'en vient, les 20 minutes du peuple, avec ces deux-là, d'ici la fin de la campagne. On ridiculise, et je continue, la lecture. [00:08:19] Speaker B: En fait, on a parlé une fois à Mad et Lachance, c'était en réponse à ce que le Renaud avait sorti la semaine dernière. [00:08:25] Speaker A: C'est vrai. [00:08:26] Speaker B: Et avec Claudine là. [00:08:26] Speaker A: En réaction. T'as raison. En rafale, la semaine passée. On ridiculise Bruno Marchand et Sam Hammad à cause de la photo avec l'oreiller. Et on se permet même de jouer dans la vie personnelle du maire sortant. Non, on joue pas dans la vie personnelle. Ça c'est une invention, là. Fabrication, invention. La marque de commerce des grands médias, des grands chroniqueurs et des grandes chroniqueuses comme Karen. Invention, manipulation. Comme quand il avait écrit que j'avais Déclarer que le maire prenait de la drogue alors que je n'ai jamais dit ça. Fabrication, manipulation, invention, mensonge. À répétition. Pour laisser une impression. Pour manipuler. Les manipulateurs sont parmi nous. On truque des photos. Oh scandale! On caricature. Pour ridiculiser les candidats à l'élection, on y interpelle même la conjointe du maire sortant. Elle répète ce qu'elle vient d'écrire. Ce qui n'est pas très bon. Mais elle répète ce qu'elle vient d'écrire. Ce qui est faux, en passant. Je viens de le dire. Manipulation, mensonge. On ridicule exactement la conjointe. On ne l'interpelle pas. C'est elle qui parle. Donc on dit, ben coudonc, parlez-vous. Donc elle n'a pas écouté l'extrait et commente. Un peu comme quelqu'un de bête pourrait critiquer un film sans l'avoir vu en regardant l'affiche. Ça s'est jamais vu. Ah oui, ça s'est déjà vu. Dans ce journal-là, hein. [00:09:57] Speaker B: Faire une critique de spectacle sans l'avoir vu, ça, ça s'est déjà vu. Minute, non. [00:10:02] Speaker A: Brandscope. [00:10:03] Speaker B: Faire une critique d'un spectacle qui n'a finalement pas eu lieu. [00:10:06] Speaker A: Bien oui, Piero Nadeau. Oui. C'est arrivé, ça. Et là, j'arrive à un paragraphe qui va loin. C'est là-dessus que je vais laisser les boss se parler. C'est bas et les annonceurs qui continuent d'y placer de la pub! Donc elles ciblent... Nos annonceurs? Mes clients? [00:10:32] Speaker B: Elles visent les auditeurs au final. [00:10:34] Speaker A: Et les auditeurs. [00:10:35] Speaker B: Tout le texte d'ailleurs. Elle l'écrit pas, mais ce qu'elles visent, c'est les auditeurs. [00:10:39] Speaker A: Vous êtes timbrés, c'est ce qu'elle dit. Et c'est ce qu'elle pense. Seba et les annonceurs qui continuent d'y placer de la publicité contribuent indirectement à encourager ces dérives. Dérives de quoi? De quoi tu parles? Et tant qu'ils les encourageront, ce genre de comportement persistera malheureusement. Donc, appel au boycott. [00:11:00] Speaker B: Ce qui me rassure, c'est que tous les chroniqueurs du Journal de Québec, en fait de Québécois, qui s'opposent à la cancelled culture vont tous dénoncer ce texte-là. [00:11:10] Speaker A: C'est un appel à cancellation. Ça c'est un appel au boycott. [00:11:12] Speaker B: À la censure. [00:11:13] Speaker A: C'est un appel à la censure. [00:11:14] Speaker B: Tous ceux qui sont sortis pour défendre Jimmy Kimmel vont tous sortir pour dénoncer ce texte-là. [00:11:22] Speaker A: On peut quasiment les nommer. Kimmel ça a pas de bon sens. Alors qu'il avait été juste suspendu. On prétend défoncement qu'il avait été congédié. [00:11:32] Speaker B: En effet. [00:11:34] Speaker A: Mais c'est pathétique pareil. Mais c'est une auditrice. Non, c'est pas une auditrice. Ah ok, elle va regarder les extraits qu'on va faire sur elle. Et il y aura un extrait sur elle ce matin. Parce que je viens d'en parler. C'est pathétique, déplorable. Mais rendu là, savez-vous quoi? Je me sens bien avec ça. Parce que j'éprouve la pitié. C'est de la pitié, je me dis. Misère. Misère. Comme un peu comme quand je regarde mon ancienne ville de Shawmuligan ce matin. Les problèmes d'eau potable. Je me dis misère. C'est misère de misère. Colline. Tu sais, des fois je me dis ça. Colline, misère. C'est pathétique. C'est triste. C'est de la pitié que j'ai. C'est de la pitié. Alors voilà. Quand même une page au complet dans le journal. Quand même une page au complet, bravo. Et la couleur en plus, ça coûte cher ça, des pages couleur. [00:12:24] Speaker C: Tout est là, je vous le dis. [00:12:27] Speaker A: Mais Legion of Doom, donc, pour les gens qui ne connaissent pas l'émission, en tout cas vous parlez à vos amis, des fois peut-être qu'il y en a qui écoutent d'autres stations, visiblement, ça semble intéressant comme émission, donc ils écouteront Legion of Doom, les gens qui votent marchands, les gens dont visiblement on parle de lui à tous les jours, on fait des caricatures de lui à tous les jours, on le ridiculise. Pas un mot, d'ailleurs, sur Renaud Labrecq. Alors que la photo, ça concerne très précisément Renaud Labrecq. C'est le sujet de l'extrait. C'est le sujet de la photo. Le sujet de la photo, c'est pas Ahmad. Le vrai sujet, c'est Renaud Labrecq qui se fait ramasser comme un pas propre par marchand. [00:13:09] Speaker B: Oui, ça avait déjà commencé à ce moment-là. [00:13:10] Speaker A: La vignette, la bulle que t'as écrite, C'est du paraphrasé. C'est une caricature, guys. Ben là, parle à Y. [00:13:19] Speaker B: C'est pas mal ça qu'il avait dit quand même. Pas loin. C'est pas mot pour mot. [00:13:22] Speaker A: Y qui dessine sa maman avec les oreilles décollées. Je sais pas, là. Moi, je trouve pas ça fin, mais... Je sais pas, parle-y. Parlez-vous, guys, ok? Nous autres, on fait de la créature, on n'a pas d'Y. Mais on a un légionnaire qui en fait. À sa manière. Renaud Labrecq, il ne connaît rien. C'est normal, payer cinq fois plus le prix pour les down-down. Pas un chrétien d'article sur les fucking down-down. Rien dans ce journal-là sur les trouvailles de Renaud Labrecq. [00:13:56] Speaker B: Ça n'existe pas. [00:13:57] Speaker A: Des trouvailles avec la substance, avec des PDF, avec des renseignements. Elle, elle prend une saisie d'écran de ça, mais elle n'écrit rien là-dessus. Elle écrit quelque chose sur moi. Moi, je me sens pas bien par quelqu'un qui est obsédé par moi. Je le sais, il y en a beaucoup qui nous aiment, en fin de semaine. Beaucoup de love, entre autres. Beaucoup de love, beaucoup de câlins, beaucoup de bécaux, ou tailgate. Mon reste, tu fais avec ta gang, là je sais pas, là je sais nous pas, gang. On est du sang-né, on est du partout. En fin de semaine, c'est extraordinaire. Ça c'est du love, c'est du love bien nourri pis c'est du love qui nous alimente à quelque part. Qui alimente notre feu pour qu'on se présente à la job et qu'on continue le travail. On est ensemble, gang. Mais y'en a qui sont vraiment obsédés là, excusez-moi, moi je sais pas là. Moi, on me prend en photo, on prend des photos de moi, on prend des photos... On imprime ça, puis... Moray a dit ci, Moray a dit ça. Il a dit qu'il prenait de la drogue. Moray compare un pédophile. T'en souviens de cette patente-là? Alors que j'avais sursauté quand Marchand avait utilisé une expression que j'avais entendue dans mon enfance, qui me revenait pas. Elle, elle avait écrit qu'on venait d'un pédophile. Faux, archi-faux. Manipulation, mensonge, c'est la recette. Manipulation, mensonge. Manipulation, mensonge. Demi-vérité. On mélange ça. On tape, tape, tape, tape, tape dessus. Question de savourande dans le coco. Mais regardez, on n'est pas dupe. On sait à quoi on a affaire. Et on va continuer le travail, les amis. On lâchera pas. On est sur la bonne track, mais vraiment, je trouve ça pathétique. Je lui dis appel à la cancellation et au boycott ce matin. C'est sûr que ce midi, vous allez en entendre parler, ça va rebondir. C'est sûrement que Pierre... Pierre, c'est son ancienne boîte, Pierre. On est rendu où? C'est quoi le journal? Pierre, c'est ton ancienne gang. Parle à ton ancienne gang, mon Pierrot! [00:16:00] Speaker B: Que sont devenus en fait les médias? [00:16:02] Speaker C: Oui! [00:16:03] Speaker B: Sérieusement, à Québec, ça fait pitié. [00:16:05] Speaker A: Ça fait pitié! [00:16:06] Speaker B: C'est une constat encore plus que j'ai fait hier, parce que, t'sais, j'échangeais aussi avec Renaud, pis on parlait des dépenses de voyage, on entendra ça un peu dans La Légion tout à l'heure, mais vendredi, Renaud a sorti d'autres chiffres, d'autres dépenses, de l'administration marchand au grand complet, concernant les voyages, on trouvait que Régis Labeaume se gâtait en voyage. On trouvait que la première classe, puis on l'a échappé à un moment donné avec les frais d'itinérance pour le cellulaire. [00:16:36] Speaker A: Mais oui, il l'avait échappé, il avait oublié de bloquer ça. [00:16:39] Speaker B: Frais qu'il a dû rembourser à cause de la pression médiatique à un moment donné parce que les journalistes faisaient leur job dans ce temps-là et posaient des questions puis sortaient les factures. Je te retourne venir là. À partir de 2010, il y a des textes, des dépenses de 32 000 depuis 2007 pour les voyages du maire. Voyage, le maire de Québec se défend, on est en 2012. Mission à l'étranger du maire Labeaume, une facture comparable en 2012, on est en 2013, on compare avec l'année... Faisons un suivi là. [00:17:07] Speaker A: Absolument. [00:17:07] Speaker B: Facture salée pour le téléphone du maire Labeaume à l'étranger. Là on était en 2014. Puis j'en saute, il y en a plein que j'aurais pu sortir autre que ça. Moins de voyage en 2015 pour le maire Labeaume. On était rendu justement à la fin de l'année 2015. Ensuite de ça, ça c'était M. Gosselin, Jean-François Gosselin, qui dénonçait les dépenses. Les frais de voyage en hausse à Québec. L'opposition dénonce une facture de 386 000. Ça c'est quand ils ont commencé à avoir une... une agence de voyage qui travaillait par appel d'offres pour la ville. Là, on est rendu à au moins deux fois ce montant-là. Ça, c'est juste pour l'agence de voyage. En fait, c'est quasiment trois fois ce montant-là. [00:17:52] Speaker A: La presse a cité Radio X et a cité Renaud Labrecq. Est-ce que le journal a fait pareil? Non, on est complètement allé ailleurs. Donne 10 millions aux hôtels, le tourisme. Regarde s'il est fin, il est beau. Il est infiniment parfait. Il est infiniment beau. Vous devez l'appuyer. C'est votre mère. Aimez-le. Arrêtez aussi de le critiquer. Il y en a qui sont agressifs. Oui, il y en a qui sont mal engueulés. Ding dong la vie. Voulez-vous regarder ma boîte de courriels au cours des dix dernières années? Sortons les poubelles d'ailleurs, vos articles là-dessus sont où? Ça fonctionne dans deux sens. Nous autres, on a été sali et pas à peu près. Il y en a même qui en ont mangé des seins sers de voler, peut-être même plus que moi, ils m'ont dit « Jeff, Ils ont pris des photos de ses filles et tout ça. Ah oui, c'était quand les articles de Karen là-dessus? Non, il n'y en avait pas. Ouais, c'était pas bon. C'était le camp du mal! Nous, on est dans le camp du mal, et lui est non seulement dans le camp du bien, mais il est dans le camp de la perfection. Il est infiniment parfait, infiniment bon, infiniment aimable. Et tous ceux qui ne l'apprécient pas, ben vous prenez un petit peu de sirop, vous prenez un grand respire, et ça fera pas mal. On veut vous le faire réélire. C'est assez évident, merci. Et the proof is in the pouding. Le petit pouding, vous l'avez eu en fin de semaine dernière, vers la fin de la semaine, avec l'histoire de Renaud. Couverte par nouveau. Couverte par la presse. Et le journal est complètement allé ailleurs en tentant de brouiller les pistes avec une histoire bidon d'argent qui n'existe pas lancé dans les airs pour faire plaisir à des hôtels. Faire plaisir aux hôtels baisse les taxes. As-tu été challengé là-dessus sur les taxes d'hôtels, des taxes complètement ridicules? Non, regardez, c'est devenu risible. C'est une couverture risible, c'est une couverture ridicule, c'est une couverture qui est biaisée. Et si vous voulez l'heure juste, renseignez-vous et écoutez d'autres sources. Mais si vous voulez l'heure juste, vous écoutez Le Midi avec Renaud Labrecq. Si vous voulez le pendant qui n'existe plus, c'est-à-dire un sens critique concernant nos dirigeants, qui sont très loin d'être parfaits, bien, vous avez l'heure juste. Ici même, en général, prenez vos informations ailleurs, mais faites-vous votre opinion. Quand on dit « faites votre opinion », écoutez-nous, écoutez les autres. Après ça, prenez vos décisions. Vous allez voter, oui, non, ok, parfait, pour quoi ? Pour qui ? C'est tout. Mais faites le travail, bordel. Et la cancel culture, s'il vous plaît, là. Ça, c'est assez ridicule, merci, là. Vous défendez des animateurs que vous connaissez pas et que vous écoutez pas à Los Angeles. Mais vous voulez faire fermer des postes de radio à Québec et vous fermez le clapet. Vous voulez fermer le clapet à des animateurs d'ici. [00:20:53] Speaker B: Parce qu'ils ont pas le discours que vous voulez. C'est tout. [00:20:55] Speaker A: Mais vous jouez dans ce film-là. Vous jouez dans ce film-là, actuellement. Vous voulez canceller des gens qui sont, à vos yeux, pas fins et qui ne respectent pas votre camp, votre bien idéologique. Mais de l'autre bord, vous défendez un animateur à Los Angeles que vous n'écoutez même pas et vous connaissiez pas deux semaines avant. C'est un peu ridicule votre affaire, non? Regardez-vous, là. Pis pète pis répète pis mentrit un moment donné, là. On est capable de se faire une tête. Les auditeurs l'ont écouté, l'extrait, ils savent très bien de quoi on parle. Et elle, elle regarde les images pis elle est bien épouvantée de ça. [00:21:31] Speaker C: Hein? [00:21:31] Speaker A: Ils ont mis Ahmad avec un oreiller! Diffamation! Faut-tu pas avoir d'essence de l'humour? Mais là, elle défend Ahmad alors qu'elle clenchait Ahmad la semaine passée. Puis là, elle le défend. [00:21:47] Speaker C: L'objectif, c'est de faire rire avec ces images-là, puis je confirme qu'avec celles-là, c'est réussi. [00:21:52] Speaker A: Chapeau! [00:21:52] Speaker C: Je la trouve très drôle. [00:21:54] Speaker A: Alors, merci à Karen de nous faire de la pub ce matin. Legion of Doom est complètement en vedette dans le journal version couleur.

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