Maurais Live - Intégral du 07-10-2025

[00:00:00] Speaker A: La compagnie nettoyage pour la balayeuse. J'essaie de me faire des accroires, j'aimerais ça. Mais c'est gros pareil, ok? C'est gros et avec ce qu'on vit sur la Rive-Nord, ça donne vraiment le goût de déménager sur la Rive-Sud. Mais non, j'en parlerai pas rendu à la maison. Because les ponts, c'est sûr qu'il y a comme un blocus à la maison. Je peux pas demander l'asile politique à Lévis. Je pourrais demander l'asile politique à Lévis, mais pour un chalet peut-être, mais pas une résidence principale. Salut, Dan. [00:00:32] Speaker B: Salut. [00:00:32] Speaker C: Moi aussi, c'est ce que j'essaie, Lévis, mais ça passe pas à cause des ponts. [00:00:36] Speaker A: Non, il y a juste Dume Dumas ici qui fait son fendant, puis qui dit «Moi, je suis un Lévisien!» Yes! J'ai un maire qui s'en va, mais t'auras un ou une maire qui va, parce qu'on dit ça en France, une maire un peu spéciale, qui sera sur la coche. Je pense que les trois candidats, quand même, c'est du solide. On peut-tu le dire ça, Martin? [00:00:55] Speaker D: Les trois font des campagnes intéressantes avec des idées, commencent pas à faire des diversions, à parler de ce qui se passe sur le web, C'est une campagne qui est intéressante. [00:01:06] Speaker A: Le fleuve fait la différence. Le fleuve est vraiment une saine frontière. [00:01:10] Speaker D: Finalement, les gens de Québec, restez-là à Québec. Amenez pas vos mauvaises habitudes du côté de Lévis. [00:01:17] Speaker A: Donc, il n'y a pas de candidats ordures, il n'y a pas de candidats fêlés, pattes en l'air, qui se prennent pour d'autres, qui donnent des leçons du genre. Et on va en parler avec Caron ce matin. [00:01:30] Speaker D: J'ai lancé ça en fin de semaine. [00:01:31] Speaker A: Ah, les comptes anonymes, c'est dégueulasse. Alors que ces gens-là étaient pour « Sortons les poubelles » et défendaient « Sortons les poubelles » en disant « C'est super correct que ça soit anonyme et ça n'a pas de bon sens de voir Radio X se mettre en cours pour qu'il soit dévoilé. » Mais ça, c'était une autre époque, bien entendu. [00:01:49] Speaker D: J'ai lancé ça pour rire en fin de semaine. Conspidoum. Mais là, on ajoute un petit peu de sauce. Le meilleur marchand. C'était quoi son ancienne job déjà? [00:01:59] Speaker A: S'entraide? [00:02:00] Speaker D: S'entraide où? [00:02:01] Speaker C: Bellechasse. [00:02:02] Speaker A: Oui, j'ai choisi La Palache. C'est Bellechasse. [00:02:05] Speaker D: Moi, je pense que la Rive-Sud a envoyé Bruno Marchand à Québec pour saboter la ville de Québec et mousser la Rive-Sud. [00:02:13] Speaker A: Oui, ça, c'est méga conspi nucléaire. Nucléaire. T'as-tu changé ton... T'as-tu une seringue avec une barre dessus, quelque chose? As-tu un chandail, c'est quoi? As-tu un autre chandail en dessous? Non, t'es correct, OK. [00:02:26] Speaker D: Non, moi, je suis habitué. [00:02:27] Speaker A: C'est rélo? [00:02:28] Speaker D: Ouais. Les chemtrails. [00:02:30] Speaker A: Parfait. Les chemtrails. Je reçois des courriels de temps en temps. [00:02:34] Speaker C: Moi aussi. [00:02:35] Speaker A: Je me suis pris en selfie. Un moment donné, je promenais... Mon chien pis là... Regarde la trace de l'arrière dans le ciel. Ça donne qu'il y a un avion au même moment qu'il passe parce que je suis en dessous du corridor. [00:02:45] Speaker D: J'ai même pas de parapluie. [00:02:46] Speaker A: Ah un Marek M-Trail! Mais très sérieux là. [00:02:49] Speaker C: Je le sais, hier j'en ai vu une. Je pensais pas que je la prendrais en photo pis la mettre sur Facebook en disant il va mouiller une main. Mais je me suis dit non. Il y a du monde qui comprendra pas. que c'est un gag, mais c'est ça. [00:03:02] Speaker A: 6H03, on est de bonne humeur, on est de bonne humeur. Hier, j'étais dans mon bureau, c'est-à-dire au Starbuck Beauport. En passant, je vais au Starbuck Beauport depuis près de 20 ans. Ce serait peut-être bon qu'on engage une compagnie qui fait le ménage. Les toilettes, guys. Je dis ça comme ça. Je pense qu'on est rendu au ménage, OK? C'est bon, le message vient de passer. Je sais pas c'est qui qui gère ça, moi j'ai connu... Moi je me tiens là depuis 20 ans, je travaille là, je me sens en paix là. Je suis de bonne humeur, mais moi j'ai connu peut-être 8 gérants différents parce que c'est la swing. On fait pas carrière au Starbuck habituellement. Normalement, on est dû pour un ménage. [00:03:45] Speaker D: Tu pourrais leur envoyer ton nettoyeur de piscine, ancien champs-centre des Capitales? [00:03:50] Speaker A: Ouais, le cubain, c'est un peu... Là, je pense qu'il y a... En parlant de nos trois, il y a pas personne qui comprend le gag, mais oui, il s'est sauvé, il s'est sauvé. Les livers profonds, dans le deep liver world, ils savent... Ça, c'est une bonne. [00:04:04] Speaker D: Question au quiz, à manière... Que ceux qui savent, sachez. [00:04:10] Speaker A: Bref, je suis là et je bisonne sur le web et j'écoute toutes sortes de trucs. J'envoie ça à Dan Gravel. J'envoie des patentes. J'envoie des patentes à mon gars. L'histoire de LeBron James, dont on va parler dans quelques instants. Et là, je tombe sur une vidéo. Je fais toujours attention parce que je veux pas m'emballer. Puis là, je regarde ça au Rush, les deux gars de Rush qui se parlent. Tu sais, ils ont tendance à faire... Des vidéos plates, je trouve. Ça me m'a donné... Tu vires en rond, t'es comme retraité. Oui, oui, je comprends. Le deuil. Le deuil... C'est parce que Dave Grohl a fait son deuil. Il a eu le temps de faire deux tournées depuis la mort du batteur. Puis les gars font des vidéos poche, pour vrai. Ils font de la bière. Des fois, ils sont pas drôles. Ils boivent de la bière par tarif. Mais là, ils disent, on part en tournée. Mais tu sais, si tu as un gag, si tu prends un gag. D'abord, je regarde la date. C'est aujourd'hui. en parlant d'hier. OK. OK, là, c'est aujourd'hui. Je suis bien sûr, je vérifie. [00:05:12] Speaker D: C'est-tu de l'intelligence artificielle? [00:05:13] Speaker A: C'est-tu de l'intelligence artificielle? Je pense pas, parce que les gars sont laids. Donc, à ce moment-là, Geddy Lee est laid. C'est parfait. Donc, c'est réglo. Il a ses basses en arrière. Il est dans son studio. C'est un collectionneur de basses. Et là, bien, on apprend vraiment que c'est du vrai de vrai que Rush s'en va en tournée. Fait que là, j'envoie ça à Gary. Là, Gary me dit « Ah oui, moi, je me suis inscrit pour la pré-vente ». Ben, j'étais plus vite que Gary, moi aussi, je me suis inscrit pour la pré-vente. On peut s'inscrire à cinq pré-ventes. Fait que là, je me suis inscrit à la pré-vente du mois d'août à Toronto. Et là, la question est la suivante. Qui sera le batteur de Rush? [00:05:56] Speaker C: Je me suis inscrit à plusieurs pré-ventes. [00:05:59] Speaker A: Oui? Oui. [00:06:00] Speaker D: C'est pas une batteuse? [00:06:01] Speaker A: Ben là, je suis en train de raconter l'histoire. [00:06:04] Speaker C: Juste parler de la pré-vente, parce qu'on était là. [00:06:07] Speaker E: Oui. [00:06:07] Speaker C: New York, c'est à côté. [00:06:08] Speaker A: Oui, New York, c'est à côté de Toronto. [00:06:10] Speaker C: Vous pouvez vous inscrire. Toronto, Chicago, Cleveland. [00:06:12] Speaker D: Ils ne vont pas à Québec? [00:06:14] Speaker A: Non, ils ne vont pas à Montréal non plus. [00:06:15] Speaker D: Même pas à Montréal. [00:06:16] Speaker A: Mais c'est court comme tournée. Moi, je pense que c'est un genre d'essai. C'est un banc d'essai, puis ils vont partir dans le monde après. Je suis pas mal sûr. Mais là, c'est ça. Qui est le batteur? Si tu nommes un gars qui est, mettons, il y a eu des rumeurs dans le passé, le batteur de Tool. Tu sais, il y en a des batteurs dans le monde du prog, des jeunes et des moins jeunes. Le batteur de Drum Theater et tout ça. Tu risques de tomber dans le comparatif. [00:06:44] Speaker D: Oui. [00:06:45] Speaker A: Oui, mais lui, il drumait Xanadu, même. Puis lui, il a vu l'Ostrangiato, il l'a pas pareil. Puis YYZ, il avait pas mis sa cymbale. Il en a du Deep Rush, là. Parce que Rush, c'est un groupe pour les nerds. Moi, je suis un gros fan de Rush, mais je serais pas tombé là-dedans. Mais il y en a qui seraient tombés là-dedans. [00:07:03] Speaker D: Donc, ils ont pris la stratégie Linkin Park. [00:07:06] Speaker A: Exactement. Ils sont allés avec une fille qui n'est pas canadienne. Right on! Une Allemande. Une jeune. Nous autres, on est vieux. No offense. Ils n'ont plus les cheveux longs. Ils n'ont plus 22 ans. Ils ont pris une jeune. Ils ont pris une Allemande, ils ont pris une fille. Tiens-toi! C'est extraordinaire. [00:07:28] Speaker D: Ça ne pouvait pas être plus différent. [00:07:29] Speaker A: Ça ne peut pas être plus différent que ça. C'est écoeurant. On peut-tu l'écouter? Oui. [00:07:34] Speaker C: Elle a 42 ans, la madame. On l'écoute. [00:07:38] Speaker A: Alors? Ça, il y a différents trucs qui circulent. Elle a son compte YouTube. Alors, si je vous le dis, là... [00:07:52] Speaker C: Je vais pas faire entendre un autre. [00:07:53] Speaker A: Si vous voulez une omelette, vous y amenez des oeufs, je pense qu'elle peut vous battre ça, là. [00:07:57] Speaker C: Ah oui, y'a pas de problème. Y'a pas de problème. Je vais faire entendre un autre bout. [00:08:00] Speaker D: Alors, c'est ça. [00:08:04] Speaker A: Hééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé Elle, elle battait pour Jeff Beck, puis le lien, c'est l'agent de Geddy Lee qui les a mis en lien. [00:08:26] Speaker D: Qui est l'agent de Jeff Beck aussi? [00:08:27] Speaker A: Ouais, bien c'est ça. C'est de l'interne de musique, là. Je connais un tel, un tel. Les gars, je pense qu'ils ont mis le critère. Ils ont dit, il faut que ça soit une autre génération, idéalement une fille. pour faire des comparatifs. Puis on va faire des hommages. C'est un genre de show hommage à Neil Peart où vous allez avoir évidemment, j'imagine, du vidéo. Comme Paul McCartney fait, tu sais, il y a du vidéo des Beatles qui jouent, il y a des montages photo. Mais ça va se faire dans la joie. Les gars, ils ont fait leur deuil. C'est comme ça. La mort arrive. Ça fait très longtemps quand même qu'il est décédé, Neil Peart. Et là, il repart en tournée nord-américaine. [00:09:04] Speaker C: C'est parce que c'est deux geeks qui restent. C'était deux geeks qui faisaient de la musique avec un bombe, qui buvaient du scotch, mais qui avaient des études. [00:09:11] Speaker A: Et qui écrivaient. [00:09:11] Speaker C: Oui, c'est ça. Fait qu'ils étaient capables d'écrire les tunes. C'était un peu plus que le drum, c'était l'âme du Ben, parce que c'est lui qui composait les paroles. [00:09:18] Speaker A: Oui, oui. [00:09:19] Speaker C: Fait que c'est sûr qu'eux autres, ils se retrouvent dans une situation où on peut pas sortir d'un nouveau stock parce que... parce que ça sera plus du rush. [00:09:25] Speaker A: Ça leur chtonne plus aussi. Ils ont un catalogue quand même profond, là. [00:09:29] Speaker C: C'est exactement ce que je me suis dit, Dom. Ça a plus de l'air de le tenter. [00:09:32] Speaker A: Non. Ils font ça pour le fun, pour jouer leur matériel. [00:09:36] Speaker C: Ouais. [00:09:37] Speaker A: Qui est très bon, pis t'as du matériel un peu plus deep, deep cuts, que tu peux jouer pour les fans aussi. Tu peux t'amuser, là. C'est pas obligé. de composer, et annuer, ça nous intéresserait pas. [00:09:49] Speaker C: Non, c'est ça. [00:09:50] Speaker A: Donc... [00:09:50] Speaker C: C'est comme les Stones, là, ça fait 20 ans que toute leur nouvelle musique, ça nous intéresse pas. [00:09:53] Speaker A: Oui, c'est ça, puis ils continuent de composer, puis ça ressemble au tour d'il y a 35 ans. Il reste 11 ans, on se concentre sur le catalogue puis on s'amuse. [00:10:01] Speaker D: Souvent, puis il y a beaucoup de band que c'est ça, là. Ce qui sort, c'est pas méchant, mais... [00:10:07] Speaker A: On veut pas l'entendre. [00:10:08] Speaker D: Non, on est comme accrochés aux vieux. [00:10:09] Speaker C: Parce qu'il y a trop de temps qui a passé. Tu sais, U2, là, tout ce que sort de nouveau U2, ça nous intéresse pas. [00:10:15] Speaker A: Ça nous intéresse pas! Comme je dis, je vais avoir... Brian Adams, il m'a marqué dans mon adolescence. Reckless, c'est secondaire 4. Ça m'a marqué. L'adolescence, ça nous marque. C'est comme ça. Moi, je veux pas entendre... 2-3 nouvelles tounes, là paraît-il qu'il va jouer des tounes poche, qui est au Québec. C'était moi, si tu plates. Je sais exactement quand je vais aller pisser. J'ai des pauses pipi. Me voilà. Me voilà, me voici. Mais si tu plates, c'est là que je vais pisser. Mais il y a une toune, 2-3 tounes avant où je vais aller m'acheter une bière. Mais c'est des nouvelles tounes, mais c'est de la marde. Moi, je veux run to you, je veux somebody cuts like a knife, c'est ça que je veux entendre. Donc... Je répète sensiblement la même chose pour Wash. On veut Subdivision, on veut YYZ. [00:11:03] Speaker D: Moi, mon band, c'est Green Day. Même Green Day, depuis 21st Century Breakdown, qui est l'album juste après American Idiot. Depuis cet album-là, on dirait que les fans écoutent plus ou moins. Ils ont sorti, je pense, cinq albums depuis ce temps-là, facilement. [00:11:19] Speaker A: Qui sont bons, mais on s'en fout. [00:11:21] Speaker D: Mais oui, ils sont bons. [00:11:22] Speaker A: Parce que cette liste est faite en fonction de Dookie jusqu'à American Idiot ou l'autre après. [00:11:28] Speaker D: 21St Century Breakdown parce que les deux... [00:11:29] Speaker A: C'est un album concept aussi. [00:11:30] Speaker D: Ouais, les deux albums étaient quasiment ensemble. [00:11:32] Speaker A: Ensemble, c'est ça. C'est un très bon exemple, Doom. Anila Niles, qu'elle s'appelle, et Anika Niles. Anika Niles, elle enseigne le drum. Elle est née en 83 à Ashkafeinberg. Et elle est là actuellement. Elle enseigne et elle fait des shows en Allemagne. C'est extraordinaire. Elle a été élue Rising Star of the Year de Drum Magazine. Regarde, elle est capable de tout faire. D'après moi, ils se sont parlé avant. Quand ils annoncent ça, ça se peut-tu que... Elle a envoyé des tracks de Rush. « Es-tu capable de jouer ça, ça? » « Bien oui, es-tu capable de battre des oeufs, elle? » T'arrives le matin avec une douzaine d'oeufs, là, pour moi, l'omelette est faite. [00:12:16] Speaker C: C'est sûr. [00:12:17] Speaker A: Sors de la douche, l'omelette est faite en mouche. [00:12:19] Speaker C: Ça va être un beau jaune homogène. [00:12:22] Speaker A: « Es-tu bonne? » C'est extraordinaire. [00:12:24] Speaker C: Mais c'est ça. [00:12:25] Speaker A: Très content. [00:12:26] Speaker C: Tout était trippant dans l'annonce qui a été faite hier, sauf le nombre de dates. J'en conviens, ça, le nombre de dates. [00:12:30] Speaker A: C'Était... Moi, je pense que c'est un essai. Je pense que c'est une... Les gars sont rouillés. Il y a un gars qui m'écrivait cet automne, justement, qui a vu Alex Lifeson qui avait joué. Ils ont fait une couple de gags à gauche sur la toite, puis Alex Lifeson en a arraché. Mais les gars jouent plus. Tu sais, c'est comme un joueur de hockey, c'est comme il a arrêté de jouer pendant quatre ans, il rembarque. Dans le show, c'est sûr qu'il n'y a pas la fraction de secondes, la synchronisation, c'est normal. [00:12:58] Speaker D: Jonathan Tais, cette année à Winnipeg, qu'est-ce que ça va donner? Je n'ai pas vu personne le prendre dans son pot, là, en tout cas. [00:13:03] Speaker A: C'est un maudit bon exemple. C'est un maudit bon exemple. Peut-être qu'il va aller chercher 15-20 buts, mais il a arrêté trop longtemps because de la maladie. [00:13:11] Speaker C: Puis Jonathan Tais, il était à un âge où il n'y a pas des débuts de rhumatisme ou d'arthrite. [00:13:16] Speaker A: C'est ça. [00:13:16] Speaker D: Exact. [00:13:17] Speaker A: Fait qu'elle est dans la quarantaine, juste assez vieille, juste assez jeune. Et elle jouait avec Jeff Beck, avec... pour Jeff Beck, avec Freddie. Avec Geddy. Geddy? Geddy Lee? Oui, oui, c'est ça. Ils sont... Ils se connaissent. C'est la clique des musiciens. [00:13:32] Speaker C: Bien oui. [00:13:33] Speaker A: Puis regarde, elle a beau être en Allemagne, elle envoie une vidéo, regarde, que tu veux que je te fasse, blablabla. Puis oui, très bon, M. Corriveau qui m'écrit. Ça, c'est un autre point qu'il ne faut pas négliger. Nouveau claviériste. Solo! Là, on s'en va ailleurs, parce qu'on brise le power trio. Rush, c'est un trio. Oh, là, c'est un quoi de soir? C'est un clavieriste. C'est sûr qu'il fera pas une des magazines. La star, c'est Geddy Lee avec Lipson, qui est pas son vrai nom de famille, là. Je sais pas si on peut oser donner son nom de famille, si c'est un nom de famille qui a ça de long. Mais c'est eux autres, les stars, on se comprend. Mais clavieriste, il est libéré! Parce que... il y a beaucoup de claviers, quand même, dans Rush. Il y a des tunes qui n'ont pas de clavier, mais il y a des tunes avec du clavier. Moi, mon album, c'est Signals, donc il y a du clavier en masse. Mais il va y avoir un clavieriste sur le site. Parfait. Parfait, parfait, parfait. Je n'ai pas le nom du clavieriste. Puis il n'est peut-être même pas engagé. Je ne sais pas s'il est engagé. Mais c'est extraordinaire. Mais c'est extraordinaire. Alors voilà. Je vais aller le voir à Toronto juste avant qu'on recommence. Nous autres, on recommence à Shop ici le 10 août. The H m'a appelé mes vacances. Ils ont dit, on rentre le 10 août 2026, The H. Laisse-moi passer les élections. Non, c'est parce que je planifiais mes vacances. Moi, je suis très en avance. Là, The H, il dit, tu rentres le 10 août à 6 h. OK, parfait. Je peux pré-typer le show aussi, là. [00:15:03] Speaker C: On peut faire ça. [00:15:05] Speaker A: On peut pré-typer le show. Le 10 août. [00:15:08] Speaker C: J'ai fait la même chose que toi, moi, cette année. J'ai décidé que je planifiais toutes mes vacances de l'année, la journée où on rentre. [00:15:14] Speaker A: Ça fait-tu du bien? Ça fait-tu du bien, puis on peut planifier? [00:15:17] Speaker C: Bien, c'est ça. C'est surtout que tout est approuvé, tout est gelé, tout est cané, fait que... [00:15:22] Speaker A: Tout est pardonné? [00:15:22] Speaker C: Tout est pardonné. [00:15:23] Speaker A: Parfait. [00:15:24] Speaker C: Tout est pardonné. [00:15:25] Speaker A: T'en vas-tu faire une tournée européenne? [00:15:27] Speaker C: Oui. [00:15:28] Speaker A: C'est-tu réglé? [00:15:28] Speaker C: On va faire une tournée européenne. Bien, j'ai pas encore acheté l'étiquette d'avion, là. J'essaie de parler à Camille, je sais qu'elle me réécrit. J'ai pas... j'ai pas eu le temps d'y répondre, donc... [00:15:38] Speaker A: Mais au moins, l'hôtel est réservé. [00:15:39] Speaker C: Ben non. [00:15:40] Speaker A: Non? Ah, il y a rien? [00:15:40] Speaker C: Il y a rien de réservé encore. [00:15:41] Speaker A: OK, c'est un souhait, c'est un vœu. [00:15:43] Speaker C: Ben en fait, on part. On est en vacances, les enfants sont en vacances, tout le monde est en vacances, on a le budget, tout est là, on a les villes. [00:15:50] Speaker A: Vous n'allez pas en Gaspésie? Non. Bon. [00:15:52] Speaker C: On va pas en Gaspésie. [00:15:53] Speaker A: Déjà une affaire de fête. [00:15:54] Speaker C: On va à Londres puis on va à Paris. [00:15:56] Speaker A: Nice. [00:15:56] Speaker C: Ça va être ça. C'est tout. [00:15:58] Speaker A: C'est tout, that's it, that's all, que dalle. Que dalle. Où tu vas en vacances? [00:16:03] Speaker C: 12 jours. [00:16:04] Speaker A: J'aime nulle part parler des vacances d'été. [00:16:06] Speaker D: Moi je vais être ben plate. [00:16:07] Speaker A: T'aimes ça? [00:16:08] Speaker D: On a fait Chicago l'an dernier, là on est en mode, on pile pour retourner à Disney en deux ans. C'est bon. [00:16:15] Speaker C: Chose comme ça. Nous autres on va aller dans l'Est canadien en été. Au printemps, on va en Europe, puis on s'est loué un chalet à Charlevoix dans le temps des fêtes. T'en veux-tu d'autres? [00:16:24] Speaker A: Tabarouette! C'est donc bien bon! Qu'est-ce que vous allez manger dans le temps des fêtes? Du pâté? [00:16:28] Speaker C: Je ne sais pas ce qu'on va manger dans le temps des fêtes, mais je suis certain que c'est qu'on a. [00:16:31] Speaker A: Des vacances... Ça y est, arrêtez-tu! Tu me surpasses dans la planif' là! [00:16:34] Speaker C: Non, non. Puis on a des vacances... T'sais, vous n'avez pas le choix! [00:16:37] Speaker A: Colique! [00:16:38] Speaker C: J'ai un bébé chien à traîner. [00:16:39] Speaker A: Oh! Comment qu'il va, le bébé? [00:16:41] Speaker C: Là, le bébé, il va... C'est plus un chiot, maintenant. [00:16:45] Speaker A: Non, c'est un ado? [00:16:46] Speaker C: Oui, parce qu'elle a commencé sa puberté samedi soir, sur le plancher. [00:16:52] Speaker A: OK. Elle a pissé? [00:16:54] Speaker C: Non, elle est en chaleur. [00:16:56] Speaker A: Caca? Oh, elle zigne. [00:16:57] Speaker C: Elle zigne pas encore. Elle brasse un peu le... Mais moi, je pensais que ça allait être au moins à 8, moi. Je pensais pas que ça allait arriver à six mois. [00:17:05] Speaker A: Non, oui. T'es une petite fille. [00:17:06] Speaker C: Pendant pleine lune, tête, oui, boum. [00:17:09] Speaker D: Oui. [00:17:09] Speaker A: Moi, je veux me promener, mais je veux être à Québec pour System of a Down. C'est sûr, c'est sûr que je veux être à Québec. Je veux voir System of a Down. Là, les gens vont nous écrire. [00:17:18] Speaker C: Oui. [00:17:18] Speaker D: C'est comme, hein, c'est prévu? [00:17:20] Speaker C: On fait une valetée. [00:17:21] Speaker A: Ah, d'homme, OK, bien allez, vas-y. Non, c'est un souhait. C'est un souhait, puis c'est un souhait qui a bien allé, je pense. de soi qui est tout à fait réaliste parce qu'on fait des choses, on s'encoche. Mais non, non, écrivez-moi pas, là, c'est pas décidé, rien, y'a rien, y'a pas d'histoire. [00:17:34] Speaker C: Non, non. [00:17:35] Speaker A: Mais ça, c'est la première Prédiction Moral Live, je l'ai fait là, le 7 octobre 2025, System of a Down au Festival d'été. Prédiction, comme ça. C'est pas farfelu. Tout le monde déconne Coldplay, tout ça, c'est quasiment... Linkin Park puis Rush. C'est-tu réaliste ça, Linkin Park? Oui. [00:17:56] Speaker D: Je sais pas si ils ont autant tourner l'été prochain. [00:17:59] Speaker A: Linkin Park et System of a Down, il reste-tu de l'argent pour les autres? Non, je crois que ça soit le reste du poster. Claude Dubois, Isabelle Boulay, Daniel Boucher, carte blanche, Daniel Boucher. [00:18:12] Speaker D: Carte blanche à plumes, ça serait drôle pensant. [00:18:15] Speaker A: Oui, ça je l'achète. [00:18:17] Speaker C: Mais non, effectivement, il faut gérer. [00:18:20] Speaker A: Mais l'Ink and Park coûte plus que. [00:18:21] Speaker D: Ça a déjà coûté. [00:18:22] Speaker A: Oui, ça coûte moins cher. [00:18:23] Speaker D: C'est pas Taylor Swift. [00:18:24] Speaker A: Ça coûte moins cher. Et Rush peut-être? Hé! T'as-tu vu Rush au FEC? [00:18:29] Speaker C: Ça m'étonnerait que ça arrive en plein milieu de leur tournée. [00:18:33] Speaker A: Ben! [00:18:34] Speaker D: Ça serait leur plus grosse foule de la tournée, par exemple. [00:18:37] Speaker A: Assurément. [00:18:38] Speaker C: Y'a-tu des trous? Y'a un show au Texas le 24 juin, un show au Texas le 28 juin, pis après ça, ça retombe au 16 juillet à Chicago. [00:18:48] Speaker A: C'est quand le FEC, c'est l'an prochain? [00:18:50] Speaker C: Le FEC, normalement, c'est du premier jeudi de juillet au deuxième dimanche de juillet. [00:18:56] Speaker A: Genre du 7 au 17, une patente de même. [00:18:58] Speaker C: Oui. [00:18:58] Speaker D: Linkin Park, la tournée européenne, se termine le 30 juin. [00:19:02] Speaker A: Il y a de la place. [00:19:03] Speaker D: Après? [00:19:03] Speaker A: Entre le 28 juin et le 16 juillet, il y a de la place. [00:19:07] Speaker C: On va aller voir qui c'est qui fait des festivals en 2026, ça. [00:19:11] Speaker A: On pense ça! Oui. [00:19:13] Speaker D: Parce que les dates commencent à être pas mal annoncées pour l'été prochain, pour Ben et Ben. [00:19:17] Speaker A: Oui! Oui, oui, oui. Regarde, ça roule. Ça roule. En tout cas, moi, mes billets sont achetés bloqués en entraînement. Tu sais, le gars, le baseball. Non, on va laisser le soin aux Yankees de se faire éliminer. Puis non, je suis pas très confiant. [00:19:30] Speaker D: À soir? [00:19:31] Speaker A: Ouais, je suis pas très confiant. Je suis comme la radio new-yorkaise. [00:19:36] Speaker D: J'aime l'attitude, entre autres, c'était Guerrero hier qui disait là, calmez-vous, c'est pas fait encore. [00:19:41] Speaker A: Ah mais lui, il se comporte en grand garçon. D'après moi, son père lui a parlé aussi. Ça fait que... [00:19:47] Speaker C: C'est sa longue expérience de série. [00:19:49] Speaker A: Ouais, pas peur. Ils se parlent. [00:19:51] Speaker D: Là, t'as eu comme plein de vieux de la vieille des Yankees qui sont sortis les derniers jours pour... Ah, on va essayer de les coacher, là, pour leur montrer. [00:19:57] Speaker A: Non! Non, mais la pause, c'est Papy Ortiz, là. Ça, c'est drôle en Christy, là. Oui! [00:20:02] Speaker D: Ça, c'est à l'inverse. [00:20:03] Speaker A: Papy Ortiz qui dit autour de la table. C'était Christy Panel, by the way, là. Lorsqu'on parle de chroniqueur baseball, là. Il y a A-Rod à côté, puis il y a Jeter, là, puis il y a Papy dans le milieu. [00:20:12] Speaker C: Oh! [00:20:12] Speaker A: Can't wait! [00:20:13] Speaker D: OK, Jeter, là, en plus. [00:20:14] Speaker A: OK. Hé! Hé! Hé! Hé! Connais-tu le basse? [00:20:16] Speaker C: Je pense que oui. [00:20:17] Speaker A: Le papy a dit, là, vous allez vous habiller. Les gars sont partis à rire. Le pire, c'est qu'ils sont quasiment à game shape. [00:20:27] Speaker D: Les deux. Rod est encore en grosse shape. [00:20:29] Speaker C: G2 aussi. [00:20:31] Speaker D: G2 a pas pris 40 livres. [00:20:33] Speaker A: C'est ça. C'est un terrain de basses jour au lendemain. On l'a dit tantôt, les réflexes sont pas au rendez-vous. Ceci dit, ils sont pas comme Bill Guérin. [00:20:41] Speaker C: Mais oui, c'est pas le talent. C'est pas le talent, le problème des Jades. Le problème des Jays, pas des Yankees, le problème des Yankees à l'heure actuelle, c'est les Jays. [00:20:51] Speaker A: C'est ça, puis c'est les lanceurs, puis c'est la confiance aussi. [00:20:53] Speaker C: Il faut donner du crédit aussi au club de l'autre bord. [00:20:55] Speaker A: Totalement. [00:20:55] Speaker D: En effet. [00:20:56] Speaker A: Totalement. Ils sont très, très bons. [00:20:57] Speaker D: Très bons. Mais il y a le fait aussi que c'est pas la première année. Les Yankees en série, ils sont pas clutch. [00:21:02] Speaker A: C'est ça. Puis on l'a vu l'année passée avec les Dodgers, puis Judge est pas clutch. Puis Judge est bien bon au mois de juillet, mais ça s'effoire. Il y a-tu un joueur de même dans le hockey? Tavares? Je vous parle d'élite. [00:21:16] Speaker D: Marner, Matthews. [00:21:18] Speaker C: Matthews, c'est le meilleur exemple, je pense. [00:21:20] Speaker A: Oui, bon point. Très bon. [00:21:23] Speaker D: Très bon. [00:21:24] Speaker C: Les Phillies aussi, c'est... En fait, en tout cas, c'est les Dodgers qui... [00:21:28] Speaker A: C'était bon hier. [00:21:29] Speaker C: Tout était bon hier. Hier, c'était pas facile se coucher, m'a dire. [00:21:34] Speaker A: Non, non, c'était pas facile. [00:21:35] Speaker C: Trevor Lawrence a joué comme un vrai de vrai hier. [00:21:38] Speaker A: Comment ça a fini? [00:21:39] Speaker C: Il a fini qu'il a gagné, Jacksonville. [00:21:41] Speaker D: Oui. [00:21:41] Speaker C: Jacksonville a battu Kansas City hier. [00:21:43] Speaker A: Wow! Qu'est-ce que c'est qu'une fiche négative? [00:21:45] Speaker C: On va y aller avec le baseball, parce qu'on était rendu là. On va clasher ça. Hier, les Dodgers ont battu les Phillies, c'est 2-0 dans la série. Puis Milwaukee a battu Chicago. Ça, c'est plate un peu, c'est 2-0 également dans cette série-là. [00:21:58] Speaker D: En même temps, les Brewers sont bons pour vrai. [00:22:01] Speaker C: Ah oui, ils sont bons pour vrai. [00:22:02] Speaker A: J'ai regardé Fessayer. C'est de la longue balle. Abadang, abadang, abadang les Brewers. [00:22:09] Speaker D: Je comprends qu'ils n'ont pas d'expérience dans les séries, mais ils sont bons pour vrai. [00:22:12] Speaker C: Aujourd'hui, on reprend ça à 16h avec les Mariners contre les Tigers. Et les Blue Jays contre les Yankees, c'est ce soir à 20h. 20h, ça c'est cool. Ils pourraient mettre plus de games. Hier, j'étais un peu déçu. [00:22:25] Speaker A: Il y en avait trois aujourd'hui. Aujourd'hui, c'est 13, 18... Non, il y. [00:22:31] Speaker D: En a deux aujourd'hui. [00:22:32] Speaker C: Il y en a deux aujourd'hui. [00:22:32] Speaker A: Il y en a seulement deux. [00:22:33] Speaker C: Il y en avait deux hier, deux aujourd'hui. [00:22:35] Speaker A: J'ai regardé SportsCenter, tantôt, ils disaient trois. [00:22:37] Speaker C: Mais demain, il y en a quatre. [00:22:39] Speaker D: Il faut que les Jays, ça se termine ce soir parce que demain, c'est l'hockey qui commence. [00:22:44] Speaker A: L'hockey commence peut-être même aujourd'hui. [00:22:46] Speaker D: Oui, c'est parce que le Canadien, c'est demain. [00:22:49] Speaker A: Nous autres, c'est notre religion. [00:22:50] Speaker D: Les autres, ça nous intéresse pas. Les autres, c'est pas important. [00:22:52] Speaker A: Manger de la merde? C'est quoi aujourd'hui le hockey, là? C'est le hockey qui commence aujourd'hui pour les fans de sport. [00:22:58] Speaker C: C'est les Panthers de la Floride, d'ailleurs. On a vu leur bague, hein. [00:23:01] Speaker D: Oui, pis ça, il y a des games aujourd'hui en masse. [00:23:03] Speaker A: Ben, à 17h, Chicago contre la Floride. Ah, c'est ça le triple header ce soir. Corner à trois boules. [00:23:12] Speaker D: 5H, 8h, 10h30. [00:23:14] Speaker C: À 5h de l'après-midi en Floride, les Blancocs vont aller jouer une game. [00:23:19] Speaker A: Ça, c'est fucké, hein. Tabarouette. [00:23:21] Speaker C: C'est un peu fucké. Un mordi après-midi, 17h, oui. [00:23:25] Speaker A: Tu vas te parquer à Sawgrass, tu traverses, tu vas au hockey, puis tu vas se souper au PF Chang, l'autre bord de la rue. [00:23:33] Speaker D: Et c'est là que vous allez voir que des restants de penteuse, c'est quand même bon. [00:23:38] Speaker A: Les Panthers devraient gagner. La cale, ça va tirer au bout. [00:23:41] Speaker D: Pas de Barkov, pas de Kachuk. [00:23:43] Speaker A: Ils vont-tu entourer Badard comme du monde, à suivre? [00:23:46] Speaker C: À suivre, effectivement. [00:23:47] Speaker A: Ça va peut-être être une autre longue saison, on verra bien. [00:23:50] Speaker C: Puis ils vont dans le Wami qui suit, 17h, vous avez les Panthers contre les Blackhawks, la game finie, celle des Rangers contre les Pirouettes commence. Cette game-là se termine et les Kings affrontent la Valence du Colorado. [00:24:01] Speaker D: Ça aussi, c'est bon. [00:24:02] Speaker A: Oui! [00:24:03] Speaker C: Pis demain, ben demain c'est le Canadien, c'est les Maple Leafs, c'est la grosse sauce. [00:24:07] Speaker A: Oui! [00:24:07] Speaker C: Et puis c'est jeudi, là jeudi, il y a... à peu près tous les clubs sont en action. [00:24:11] Speaker A: Moi j'en sais avec Ritanto. Demain on a Snake. C'est l'fun! [00:24:16] Speaker D: Tout le monde est là, il manque. [00:24:18] Speaker A: Juste le basket et la crosse. [00:24:21] Speaker D: Mercredi, c'est l'affrontement de l'Est, l'affrontement de l'Ouest. Canadiens contre Leafs, puis Flames contre Hallers. [00:24:26] Speaker A: Flames vont être mauvais. Hallers très bon, motivé avec le nouveau contrat de McDavid. [00:24:33] Speaker C: T'as le temps. [00:24:34] Speaker A: Oui! [00:24:35] Speaker C: Puis c'est une bonne affaire que ce soit réglé avant l'essai. [00:24:38] Speaker A: Si il ne gagne pas la coupe avec ce contrôle-là, il se gagne. C'est ça. [00:24:40] Speaker D: C'est exactement... Je jouais avec mes chums de poule la semaine dernière, puis c'était exactement à la conclusion qu'on arrivait. On s'est dit, il va se signer pour genre deux ans. C'est ça qu'on s'est dit. Sous-payé. En passant le message aux hurlers, là, il faut gagner la coupe, là. Sinon, après ça, je suis parti. [00:24:54] Speaker A: C'est carrément ça, l'histoire. [00:24:55] Speaker D: Parce qu'après ça, il va aller chercher ses millions. [00:24:57] Speaker A: C'est carrément ça, l'histoire. D'ailleurs, que fera LeBron aujourd'hui? L'annonce? Ça tire dans tous les sens. [00:25:05] Speaker D: De décès jeune? [00:25:06] Speaker A: De décès jeune. C'est malade. [00:25:08] Speaker D: Il va t'avoir trois calottes sur la table? [00:25:10] Speaker A: Je sais pas. Je suis déchiré. Il va y avoir 41 en descente. Mais il est dans une shape extraordinaire. On dit que le camp d'entraînement, je suis ça quand même pas pire, l'NBA, le camp d'entraînement, C'était un camp... Là, je le sais que le N-word nazi, on l'a galvaudé, là, ça fait que je vais prendre un autre terme. T'sais, j'aurais été avec un genre de camp... C'est un camp style nazi. Je vais tasser ça. C'est un camp militaire, on va le dire de même. C'est un camp d'entraînement militaire où J.J. Reddick, le coach, le chum à Lebron... [00:25:49] Speaker D: Les Marines, on va dire, à suivre. [00:25:51] Speaker A: Ouais, style Marines, exactement. C'est un camp pour se préparer pour le championnat. Résultat, regardez les photos de Doncic. Doncic extraordinaire. Il avait une shape de livreur d'Uber Eats, là, OK? On va juste être francs, là. C'est un gars qui a un talent extraordinaire. Il a dû perdre 30 livres. Je le reconnais pas. Sa mère va avoir de la misère à le reconnaître. Quasiment. Il est beau au parabins. Il a fondu, le gars! Les Lakers sont à la guerre. Puis c'est sûr que LeBron ne demandera pas d'échanger. Parce qu'il est collé sur l'avenir. Moi, je pense que c'est sa dernière saison. Parce que ça va aux réalisateurs de films, producteurs... [00:26:37] Speaker C: En fait, je suis quasi certain que c'est ça. J'ai pas tant d'attentes que ça parce que c'est le mois qui va annoncer. [00:26:45] Speaker A: C'est la dernière saison. [00:26:46] Speaker C: C'est qui va jouer sa dernière saison cette année. [00:26:47] Speaker A: Là, les prix, ça s'envole. Le dernier game, c'est contre le Jazz de Utah, qui est possiblement la pire équipe dans l'Ouest. Là, c'est des prix de fou. Moi, j'ai regardé pour Orlando au printemps. Ça, c'est complètement malade. T'es en haut à 300$. Je pense qu'on va passer notre tour. Anyway, je l'ai vu, LeBron. Je l'ai vu 4-5 fois live, LeBron. J'ai vu LeBron à son année recrue au Madison Square. J'ai vu LeBron avec le Heat. J'ai vu LeBron avec les Cavs quand il retournait. J'ai vu LeBron... J'ai pas vu LeBron avec les Lakers. Pas grave, ça. On va le regarder à la TV. Bien, c'est ça. Je viens de le dire, JJ Reddick, championship shape, c'est ça le motto du camp. Il ne demandera pas d'échanger pour gagner le championship. Ils peuvent gagner le championnat. [00:27:36] Speaker C: Oui. [00:27:37] Speaker A: Ils sont capables de gagner le championnat. C'est sûr que dans l'Ouest, c'est excessivement compétitif, avec OK Cible et Houston qui sont allés chercher Durant. Mais ça aussi, c'est du bon sport qui va venir s'ajouter, mais à la fin du mois seulement. C'est long, la NBA. C'est encore de la présaison. Puis LeBron ne joue pas en pré-saison, Donchish non plus, donc ils protègent leurs joyaux. Ils ne font pas comme les Canadiens, puis ils ne font pas comme les autres clubs. Dans la NHL, ils font vraiment attention, mais ce soir, moi, je pense que c'est la fin pour LeBron. [00:28:08] Speaker D: Il a joué quand même 70 games l'an dernier, là. Ça fait deux ans qu'il joue dessus. [00:28:11] Speaker A: 70 games, il fait trois rendez-vous, il gère son temps. [00:28:13] Speaker D: Mais c'est pas comme s'il manquait 30 games dans la saison. [00:28:15] Speaker A: Il gère les minutes. Faut que tu regardes les minutes. [00:28:17] Speaker D: Oui, mais t'sais, sa production en points a pas baissé ben ben. [00:28:21] Speaker A: Non, c'est ça. Donc... Non, c'est pas... Il est pas passé de 27 points à 6 points. [00:28:26] Speaker D: Bien, sa moyenne de carrière, c'est 27 points, puis sa moyenne l'an dernier, c'est 24. [00:28:30] Speaker A: Il respecte le ratio. Hall of fame, première année d'éligibilité. Extraordinaire. Alors voilà, c'est ça, de décès jeune pareil. [00:28:39] Speaker D: De décès jeune. Puis comme il a fait le Journée postcode d'Ankitch, il a fait la une du Man's Health. Ah oui? [00:28:46] Speaker A: Ça, je l'ai pas vu. Mando, hein? [00:28:48] Speaker D: La comparaison avant-après. [00:28:51] Speaker A: Ben voilà. Non, non, regarde. [00:28:52] Speaker D: Avant, il était de chat bien un peu, là. [00:28:53] Speaker A: Avant, il était livreur d'Uber Eats. [00:28:55] Speaker D: Tu vois au moins la définition des muscles, là. [00:28:58] Speaker A: Il est prof de yoga chaud, là, sur l'autre front. [00:29:00] Speaker D: Ouais, mettons. En effet. [00:29:01] Speaker A: Voilà. [00:29:04] Speaker C: Hier, dans les choses qu'on... Évidemment, on a parlé de baseball. Trevor Lawrence, je sais pas si vous avez vu le dernier jeu du match. [00:29:10] Speaker A: Non, j'ai pas vu. [00:29:10] Speaker C: En fait, le jeu gagnant. Il est tombé à terre. Il s'est relevé. Il s'est relevé, puis il a réussi à aller passer au travers de la ligne de Bailey, puis à aller marquer le toucher gagnant avec ses jambes. Pour vrai, c'était juste malade. C'était du grand Trevor Lawrence qu'on a vu hier soir. C'est quand même une partie dans laquelle s'est passé beaucoup de choses. Travis Kelsey est devenu le joueur le plus prolifique de l'histoire des Chiefs de Kansas City. Avec 12 357 verges, il a devancé Dante Hall. Ça s'est fait hier par une verge seulement. [00:29:40] Speaker A: La fille au rouge à lèvres, étais-tu là? [00:29:42] Speaker C: Ben non, la fille aux gelèves, elle a d'autres chats à fouetter. [00:29:45] Speaker A: Elle s'occupe de Gary. [00:29:46] Speaker D: Ses propres chats. [00:29:47] Speaker C: Elle s'occupe de son lancement d'album. [00:29:49] Speaker A: Elle s'occupe de Gary Eppie. [00:29:49] Speaker C: Hé, attends un peu. 5 milliards. [00:29:53] Speaker A: C'est un phénomène. [00:29:55] Speaker D: Le box-office, la fin de semaine dernière, c'était elle. [00:29:57] Speaker C: Il y a juste elle. Je parle de Spotify, là. 5 milliards d'écoutes de son nouvel album. [00:30:03] Speaker A: Un album qui est, dit-on, ordinaire. On dirait de Gary Eppie, mais de beaucoup de monde. [00:30:08] Speaker C: Mais il va y avoir des hits. [00:30:09] Speaker D: Mais il va y avoir des hits. En tout cas, moi j'ai fait le tour très très vite là, j'ai skippé les tunes pis j'ai fait « ok, c'est ça ». [00:30:14] Speaker A: Y'a deux, trois hits qui me rentrent dans l'oreille. [00:30:15] Speaker D: Y'a une couple de sons que je fais, je pense que ça va pogner. Si t'es fait jouer à la radio, ça va pogner. [00:30:20] Speaker A: C'est pas mon style, mais je le respecte énormément pis y'a des hits. [00:30:22] Speaker C: Elle fait une tune qui s'appelle « Wood », qui est un hommage aux membres de Travis Kelsey. C'est Taylor Swift, là. C'est une Taylor Swift qui est ignorée, réinventée. [00:30:34] Speaker D: J'ai vu ça en diagonale, mais la toune «cancelled» que j'ai jouée la semaine dernière, il y a une histoire politique un peu là-dedans. De ce que je comprends, elle a jasé de ça avec la femme à mes ondes. Mais j'ai pas vu tous les détails exactement. [00:30:49] Speaker C: Donc voilà, 5 millions d'écoutes sur Spotify en fait de semaine, c'est malade là. C'est vraiment un phénomène qui est plus gros que nature Taylor Swift à l'heure actuelle. Moi je regardais, je suis allé voir le groupe Taylor Swift Québec vendredi passé, jeudi passé. [00:31:04] Speaker A: Il y a un groupe qui s'appelle Taylor Swift Québec. [00:31:05] Speaker D: Oui. [00:31:06] Speaker A: C'est-tu juste du monde de Mascouche ou de partout? [00:31:08] Speaker C: Non, non. [00:31:09] Speaker A: Partout? [00:31:09] Speaker C: Il affichait toutes les parties qu'il y avait en fin de semaine pour le film. C'est là que j'ai vu qu'il y en avait un au club. [00:31:14] Speaker A: Il y a des parties? [00:31:15] Speaker C: Ben oui! Il y a des rassemblements. Ils ont hijacké des cinémas au Québec. Il y a des cinémas qui présentaient le film à certaines heures dans 3-4 salles parce qu'il y avait un party. [00:31:25] Speaker D: Fin de semaine dernière, Taylor Swift a fait 34 millions avec son espèce de documentaire. One Battle After Another a fait 11. Puis The Rock l'a fait 6. [00:31:38] Speaker A: Oh boy, ok. [00:31:39] Speaker D: Mais c'est bon là ! C'est pas un film à box-office, le film de The Rock. Mais sérieusement, plus je fouille, plus ça m'intéresse. Marker, j'ai vu des... [00:31:48] Speaker A: C'est une vraie biographie. Oui, oui. [00:31:49] Speaker D: Il y a eu un documentaire qui a été fait au début des années 2000 sur Marker. Puis je me demande comment ça, je le connaissais pas parce que toutes les gens avec qui il a interagi, je les connais toutes, que ce soit dans le monde, parce que c'est un ancien lutteur gréco-romain. C'est-à-dire olympique. On va dire ça de même. Puis après ça, il a fait du UFC. Puis ça, tous les gens qu'il a combattus, c'est comme je les connais, comme ça je connaissais pas ce gars-là parce qu'il avait des voyimes d'alcool. Il y a-tu ça, là? C'est une histoire d'adresseur. [00:32:12] Speaker A: Le légionnaire ne connaît pas tout. [00:32:14] Speaker D: Non. [00:32:15] Speaker C: De drogue aussi, surtout, c'est ça qu'on peut comprendre. [00:32:18] Speaker D: Mais le gars est encore vivant, là. Il donne des entrevues, ces jours-ci, puis... [00:32:23] Speaker A: Moi, ça m'intéresse pas, ça. Moi, tout ce qui m'intéresse, c'est... Est-ce qu'il polarise sur les médias sociaux? Est-ce qu'il est toxique? Parce que moi, je le sais, je vais le rapporter, là. Je connais des chroniqueurs, des chroniqueuses pour s'en occuper. [00:32:35] Speaker C: Très mauvais. [00:32:39] Speaker A: Samuel Blais, j'aurais aimé ça qu'il reste à Montréal. J'ai hâte de demander ça à Ray et à Snake. Ils auraient dû le garder. Ils l'ont signé pour pas cher. Ils vont venir nuire aux Canadiens. Ils frappent. [00:32:50] Speaker D: Les Leafs n'avaient besoin. [00:32:52] Speaker A: Nous aussi on avait besoin à Montréal. On a des schtroumpfs à Montréal. On a Slav qui frappe pas. On a plein de petits talents. qui essaie de se protéger tant bien que mal. Jackaille, il peut pas jouer 60 minutes. [00:33:06] Speaker D: Puis il va jouer à Toronto, c'est son ancien coach de Saint-Louis qui est là. [00:33:10] Speaker A: Oui, Berube. Méchant malade, ce gars-là. Berube, moi, je me souviens de lui, joueur, c'est un stud. C'est juste que Toronto, je les vois pas là. Marner a pas été remplacé. Non, j'ai l'air de 100 points. [00:33:23] Speaker D: C'est pour ça que je dis que Blais va jouer, parce que quand tu regardes le line-up de Toronto, tu fais « ouais ». [00:33:26] Speaker A: Le line-up de Toronto, c'est quasiment les Marlies. [00:33:29] Speaker C: Ils ont pris une décision, semble-t-il que. [00:33:32] Speaker A: C'Était… Ils savent ce qu'ils font, on va les laisser aller. [00:33:35] Speaker C: Olivier Capadène, c'est le centre du trio n°2, il y a personne qui avait vu ça venir. [00:33:39] Speaker A: Moi, ça me dit rien ça. [00:33:41] Speaker C: Puis ils ont gardé Jovaleno. [00:33:43] Speaker A: Joe Velleno, c'est un super talent. [00:33:44] Speaker C: À place de Samuel Blais. Parce qu'ils startent les deux à la fin. [00:33:48] Speaker A: C'est ça. Velleno, regardez ses stats dans le junior. Moi, je me souviens de Velleno quand il est arrivé dans le junior. C'est un exceptionnel. Il est arrivé à 15 ans. Velleno, c'est peut-être un late bloomer. Par contre, c'est le dernier arrêt sur la raide d'autobus. Après ça, l'autobus va au garage. [00:34:03] Speaker D: C'est sa dernière chance. [00:34:04] Speaker C: Ça me fait un peu penser à Jonathan Drouin ou à... [00:34:07] Speaker A: C'est un bon comparatif. Tu sais, ce genre de joueur-là, bon comparatif. [00:34:11] Speaker C: Même Samuel Blais. Souvenez-vous, Samuel Blais. On regardait les vidéos quand il était paysoui. On le comparait à Sidney Crosby. [00:34:16] Speaker A: Bon comparatif. [00:34:17] Speaker D: C'est sûr qu'on a embarqué très tôt dans le bandwagon de Blais. [00:34:20] Speaker C: Ben oui, je comprends, mais tu sais, en même temps, les exemples qu'on avait, comme lui, à cet âge-là, c'était Sidney Crosby, c'était John Tamarais, c'était hallucinant. Mais écoute, on a hâte que ça commence, je pense. [00:34:31] Speaker A: Qu'est-ce qui arrive avec Sanchez? Ça faute à qui? «He's facing felony charge.» «Felony charge», là, c'est... «Felony», tu vas en prison. [00:34:40] Speaker D: C'est jusqu'à six ans de prison, je pense, qu'il peut faire. [00:34:42] Speaker A: Ça n'a pas d'allure, cette affaire-là. As-tu du nouveau, Dan, là-dessus? [00:34:46] Speaker C: Ben, j'ai la même chose que toi, là. Ça sort au cas de coûte. Moi, je pense qu'il ne faudra pas de prison. Ça va se finir à l'amiable, puis ça va être négocié par les gens de Fox, puis... [00:34:55] Speaker D: Il va avoir de l'argent. [00:34:56] Speaker A: « He carries a potential sentence of. [00:34:57] Speaker C: One… » Ouais, j'essaie, j'essaie. Tout ça, je l'ai lu, là. [00:34:59] Speaker A: Mais ça prend un bon avocat, c'est ça que tu dis. C'est ça que je dis. [00:35:02] Speaker C: Puis selon moi, Fox en a un. [00:35:04] Speaker D: Un bon négociateur. [00:35:06] Speaker A: Moi, je lis ici « one of Sanchez's attorneys », donc il y a plusieurs. Pour moi, c'est 4-5. [00:35:11] Speaker C: Ah oui. Combien, si ça peut mettre fin au curse du « but from ball », ça ferait mon affaire. [00:35:17] Speaker D: C'est un camionneur, l'autre bord. Combien ça coûte? pour que tu partes à la retraite pis que t'as plus d'inquiétudes pis que t'enlèves tes... les accusations. [00:35:26] Speaker A: C'est que ça va être ça, là. [00:35:27] Speaker D: Ouais, t'enlèves ta plainte. [00:35:28] Speaker A: Ben, ça s'enverrait vie, les amis. [00:35:30] Speaker D: Ça serait une chicane de stationnement. [00:35:32] Speaker C: Ouais. [00:35:33] Speaker D: T'as pris mon spot de parking. [00:35:34] Speaker A: Il est intoxiqué rare, la salle de chaise. Ça, je suis gagné pour un parking, je trouve ça tellement niaiseux. [00:35:39] Speaker D: C'est pour ça, on a un court vidéo où il marche dans la rue, marche sur un trottoir, après ça va être fait poignardé. Pis t'es pas sûr s'il marche croche parce qu'il est magané ou s'il marche croche parce qu'il est saoul. [00:35:50] Speaker A: Parce qu'il est poignardé ou alcoolisé. [00:35:52] Speaker C: Pis t'sais, c'est pas juste à Québec où il y a une tension à l'heure actuelle dans le monde. Il y en a une. Puis quand je dis il y a une tension, je vous parle pas d'Israël puis de la Palestine. Je vous parle de tout le monde. Tout le monde est au bout de sa chaîne à l'heure actuelle. Il y a vraiment une tension, là. Le monde se pogne pour un oui pour un non. Il y a de la rage au volant un peu partout. Ça s'ostine sur les médias sociaux. [00:36:14] Speaker D: C'est la faute des réseaux sociaux. [00:36:15] Speaker C: Je pense pas que ce soit la faute des médias sociaux, mais moi, je pense que c'est de la faute au... Il y a un gros clivage au plan de la société à l'heure actuelle. Puis les gens refusent de se parler. Tout ce qu'ils veulent faire, c'est s'ostiner puis se lancer des roches. Tant il y a aussi longtemps qu'on va garder cette attitude-là, bien, on va avoir ce genre de comportement. [00:36:32] Speaker A: C'est pour ça que Montréal Live est une antenne ouverte. [00:36:34] Speaker C: Voilà, fair and balanced. [00:36:35] Speaker A: On est en train de négocier des trucs. On vous reviendra peut-être avec une surprise. Peut-être. Peut-être. Je le dis pas, mais d'ici vendredi, hein, Doom, peut-être? [00:36:46] Speaker D: Peut-être. [00:36:46] Speaker A: Ou la semaine prochaine. Peut-être. Stay tuned. On va s'acheter des nouveaux souliers. [00:36:50] Speaker C: Ah, ça c'est le fun! [00:36:52] Speaker A: Non, les gars, je suis en train de troller là. Ah, le monde, marchands s'en viennent. Non, non, c'est pas marchands. Mais peut-être une surprise. Vous pourriez être surpris, on va le dire demain. Donc répétons-le dans à peu près une heure. C'est le débat, Rive-Sud, soyez-y, mesdames, messieurs. Très décontracte. Je veux pas trop de règles parce que ça coupe le flot. Ils sont trois. M. Bodin, Mme Demers, M. Blainy, ils vont être ensemble, ils vont parler trois thèmes. Circulation, mobilité, là, on va mettre ça dans un sens plus large. Habitation et également vie communautaire. Oui, je sais, vie communautaire, ça fait très séquoia, là. Bien, vie communautaire, c'est parce que moi, je mets là-dedans les arénas, les glaces, salles de spectacle. Parce qu'il faut animer une ville aussi. T'sais, une ville, c'est pas juste une place pour se coucher puis pour manger. [00:37:41] Speaker C: Mais sur la Rive-Sud, c'est un enjeu. [00:37:43] Speaker A: Bien oui. C'est ça, c'est un enjeu. Oui, c'est un enjeu de croissance. [00:37:46] Speaker D: Une ville de famille. Fait que si on a besoin d'arénas, on a besoin de piscines, on a besoin de... [00:37:51] Speaker C: Puis faut qu'on parle du déplacement, là. L'air de rien, là, mais on est trois ici, pis il y en a un qui reste sur la Rive-Sud. Les deux autres aimeraient ça y aller, mais ils peuvent pas parce que... Bien, c'est ça. Les déplacements sont impossibles. [00:38:04] Speaker A: Huit minutes chaque thème. Et c'est «All hell breaks loose, ils sont dans l'arène pis j'ouse». Si ça crie et ça déjeunère, j'interviendrai. Mais aux dernières nouvelles, selon ce que t'as vu, Dom, comme débat à la Chambre de commerce, selon ce qu'on constate avec les personnalités qu'on a sous la main, Ça va être un déboile fun. Il n'y aura pas de criages, puis il n'y aura pas de toué-tatoué, ferme ta gueule, un peu à la marchande. Moi, j'ai raison, vous avez tort. C'est moi qui est dans le camp du bien, vous êtes dans le camp du mal. Ce genre de truc-là, vous n'aurez pas ce genre de cimagré-là de la part de Blainy qui peut-être est en tête. En tout cas, si on suit au dernier sondage, ce serait lui qui serait en tête. On verra bien. Mais c'est Dan Gravel qui sera au chronomètre. [00:38:49] Speaker D: Oui! [00:38:50] Speaker A: Un chrono style F1. [00:38:52] Speaker C: Moi j'ai... c'est quoi, c'est 27 minutes? Plus 3 minutes de blabla. Fait que j'ai prévu un 30 minutes pour ça, il y a 24 minutes de débat. plus une minute chaque où il parle. [00:39:04] Speaker A: T'as-tu gelé le temps? [00:39:06] Speaker C: J'ai pas gelé le temps, mais ça arrive assez vite dans le show que j'ai pas besoin de le geler. [00:39:09] Speaker A: C'est en plein show. Puis après ça, on va ouvrir les lignes. Pause, et ensuite, on ouvre les lignes. Avez-vous été convaincu? Est-ce que quelqu'un vous a fait changer d'idée? Ça peut-tu être un game changer? Peut-être, je sais pas. Toi, t'es à Lévis, Dom. [00:39:21] Speaker D: Oui. [00:39:22] Speaker A: Ça peut-tu être, sans dire un game changer, c'était un débat, là. Est-ce que ça peut commencer à faire cristalliser certaines perceptions? [00:39:31] Speaker D: Je pense que oui, parce que là, de plus en plus, la date de l'élection approche. Là, les programmes commencent à être sortis, pas pire. Hier, M. Bonin qui parlait de son SRB, lui, il veut bouger. Tu sais, présentement, on est en train de faire des travaux encore sur Guillaume Cousseux. Ça dure depuis deux ans, facile. [00:39:48] Speaker A: C'est interminable. [00:39:48] Speaker D: C'est interminable, là. Puis tu sais, c'est pour une voie réservée, là. Lui, il veut tout rebouger ça dans le milieu, puis faire un SRB... revenir avec le projet d'SRB comme si t'esposais se faire... Ça, il l'a dit publiquement. [00:39:58] Speaker A: Ça, ça va faire objet d'un débat, visiblement, ce matin. Parce que Blainé n'est pas d'accord avec ça. [00:40:04] Speaker D: Non. [00:40:05] Speaker A: Ça, c'est bon. [00:40:05] Speaker D: Je pense pas qu'on a besoin... Bien, personnellement, c'est là que M. Bonin m'a perdu entre autres. Je pense pas qu'on a besoin de ça présentement à Lévis. [00:40:11] Speaker A: Elle, de messe, comment qu'elle va faire pour... Elle, c'est l'héritage, si tu veux, de Laouillet. [00:40:16] Speaker D: Oui. [00:40:17] Speaker A: Laouillet l'appuie, mais il fera pas nécessairement de porte-à-porte parce que M. Laouillet s'en va. Mais elle, elle a un héritage. Question est-ce un bon héritage à traîner? [00:40:28] Speaker D: Oui, mais il n'est pas négatif. Mais tu sais, il y a certaines choses quand même que Gilles Léaulier... Tu sais, le côté, l'espèce de gel de construction présentement sur une bonne partie du territoire de Lévis, ça, c'est le bout négatif qui gosse bien du monde. Fait que là, c'est parce qu'on veut se développer ou on voulait se développer, Puis là, c'est mal planifié, on dirait. Il y a ça qui est peut-être un nuage au-dessus du ciel de Mme Demers. [00:40:54] Speaker C: Mais c'est parce que planifier, ça coûte de l'argent, puis vous voulez pas non plus augmenter vos taxes municipales. [00:40:58] Speaker D: Exactement. Oui, ça, c'est pas faux. C'est des défis de croissance que les vies ont. C'est des beaux défis en quelque part, mais c'est des défis qui peuvent coûter cher. Donc, les trois candidats ont des défis à ce sujet-là. Donc, l'héritage de l'aulier, je pense que c'est positif, mais elle n'est pas l'aulier. Donc, t'sais, M. Laulier a encore un bon aura, la Lévis, les gens l'aiment, mais elle, ce n'est pas Laulier, c'est celle qui travaillait avec Laulier. Donc, il faut qu'elle bâtisse sa personnalité aussi, là. [00:41:24] Speaker A: Un peu comme Mme Sabard et Labonne. [00:41:26] Speaker D: Exact. [00:41:26] Speaker A: Le parallèle est bon. OK. Regarde, on va aller à la pause, là. Je sais que t'as un bon dip. Dan, on peut aller à la pause, là? [00:41:32] Speaker C: Yes, sir. [00:41:33] Speaker D: Bien oui. [00:41:33] Speaker A: 142, on va aller à la pause, là. Ne manquez pas ça. Après le dip, Stéphane Lachance avec nous autres. Oui. Pour commenter, évidemment, l'histoire de Marchand, parce que Marchand l'a quand même attaqué personnellement. Mais il est dans les nouvelles, Stéphane Lachance, ce matin. L'histoire de taxes. [00:41:51] Speaker C: Ouais, c'est pas drôle. [00:41:52] Speaker A: Donc, c'est sûr qu'on va le questionner là-dessus, puis avoir l'heure juste. [00:41:56] Speaker C: Comment ça s'appelle? [00:41:57] Speaker A: Il n'aurait pas payé ses taxes. Mais là, c'est réglé. Mais il n'aurait pas payé ses taxes sur une résidence à Lévis. Quand j'ai vu ça ce matin, j'avais allé à mon café de travers. Dans le soleil, c'est le soleil qui a été le premier à en parler. Je voulais partager votre réaction à Brûle-Pourpoint avant la pause. Dan? [00:42:13] Speaker C: Ah, j'étais déçu. Puis je le suis encore, d'ailleurs. Je me rends compte, là, on en reparle, puis je retourne chercher cette émotion-là. T'sais, Artabasca, cet été, il y a encore du monde qui a refusé de voter pour Dieuême à cause d'une histoire de taxes impayées. [00:42:27] Speaker A: Pas énormément de monde, mais... [00:42:30] Speaker C: C'est ça. [00:42:30] Speaker A: C'est ça. Ça a laissé des traces. [00:42:32] Speaker C: On a encore des barbecues... Y'a un. [00:42:34] Speaker A: Noise, y'a un noise dans les oreilles. [00:42:35] Speaker C: J'ai encore des barbecues, j'en ai encore eu cet été, des barbecues où on mange, c'est bien arrosé, pis y'a du monde qui me dit « Ouais, mais Dan, Éric paye pas ses taxes, comment tu veux qu'on fasse confiance à ça? » pour devenir premier ministre. Pis là, je suis là, je... « Ouin, mais l'histoire... » Pis t'sais, moi, je raconte l'histoire. Pis quand je suis en privé, là, je la raconte, l'histoire. La vraie patente avec tous les noms qu'il y a. [00:42:55] Speaker A: C'est son locataire, son chum, qui a pas payé. [00:42:57] Speaker C: Exactement. [00:42:58] Speaker A: C'est lui, l'irresponsable. [00:42:59] Speaker C: Un gars que tout le monde connaît, y compris Antoine Robitaille, qui avait sorti l'histoire. [00:43:02] Speaker D: Je suis obligé de dire que le montant d'Éric était beaucoup plus gros, mais ses excuses, si je peux dire, ses raisons, sont meilleures que celles de Stéphane. Celles de Stéphane, finalement, on a oublié. [00:43:12] Speaker A: On a oublié, puis c'est une employée qui a mal écrit le numéro. Oui, mais moi, je reste depuis 21 ans dans la même maison. Moi, c'est dans mes factures de Desjardins. Le numéro de taxation n'a jamais changé en 21 ans. [00:43:24] Speaker C: C'est les mêmes dates, puis c'est quelque chose qui est facile à gérer, les taxes municipales. Je sais pas. J'étais très déçu. J'étais hyper déçu. [00:43:35] Speaker D: Vous autres, vous en payez des taxes. Moi, je suis un locataire. Comment c'est fait pour justement oublier ça? Admettons justement qu'un paiement passe pas, tu peux pas pas t'en rendre compte? [00:43:45] Speaker C: Steph, c'est parce qu'il demandait à quelqu'un de s'en occuper. Il y a des employés... c'est un peu ça selon ce que je comprends. Il y a quelqu'un qui a fait une erreur dans son staff. puis l'erreur, bien c'est lui qui... c'est lui qui la mange, c'est lui qui l'écoute. [00:44:01] Speaker D: C'est son nom. [00:44:02] Speaker C: C'est son nom qui est sur les papiers. [00:44:04] Speaker D: OK. [00:44:04] Speaker A: Fait que la réaction, ça va être deux choses. Ça va être « Laissez-les tranquilles, c'est le mien, puis il est parfait, puis touchez-y pas, puis c'est marchand le malade ». Ça, on va en voir ça. Donc, faut pas en parler. Tout ce qui a rapport aux opposants de marchands, faut pas en parler. Et de l'autre, ça sera Je vais pas voter. Ça va être ça, là. C'est de la merde, je vais pas voter. Bon, on lira les textos. Moi, je pense que ça va être très, très polarisé comme réaction. T'auras pas une réaction genre «Ah, OK, parfait. Il a payé ses taxes, donc je voulais voter la merde, je vais être la chance.» T'auras pas ça, là. Le Game Changer, s'il y en a un, ça va être négatif, malheureusement. «Perception is reality.» OK. Donc... et allez voter les amis, OK? En passant, parce que c'est ça qui risque d'arriver aussi, c'est qu'avec tout ce qui se passe, ce qui s'est passé hier, et tout ce qui se passe même à Montréal, les gens risquent d'aller voter encore moins. Et ça, c'est vraiment pas des bonnes nouvelles. OK, 6h45, on va aller à pause, là. Et on tombe dans le deep down avec les potins et le placotage en revenant... Montréal! [00:45:19] Speaker F: Les meilleurs au monde. [00:45:21] Speaker G: On revient dans pas long. [00:45:22] Speaker A: Presenté. [00:45:27] Speaker C: Par l'École de conduite Pointe-Lyvie qui débute de nouveaux cours tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50% sur ton manuel. L'École de conduite Pointe-Lyvie à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis. Il y a des informations qui traînent. [00:45:43] Speaker A: Sur le site de la Ville de. [00:45:45] Speaker C: Québec depuis des mois parce qu'on a fait des demandes d'accès à l'information. [00:45:48] Speaker A: Ça traînait là, là, gratis. [00:45:50] Speaker D: Si vous êtes un journaliste attitré aux. [00:45:52] Speaker C: Affaires municipales et que vous n'êtes pas. [00:45:54] Speaker D: Allé sur le site de la Ville. [00:45:55] Speaker C: Pour voir les demandes d'accès à l'information, vous êtes obligé de prendre un terme. [00:45:58] Speaker H: Que Karine a utilisé. [00:46:00] Speaker A: Il y a beaucoup de paresse intellectuelle. Ou on ne veut pas le voir. Ouellet. En direct. [00:46:05] Speaker G: Lundi au vendredi. Midi. Changer. [00:46:20] Speaker C: De carrière, t'es peut-être dû. Tu te lèves le matin, t'es de mauvaise humeur. À chaque soir, tu refuses d'aller te coucher. Ça, c'est un syndrome que j'ai déjà eu, que j'ai pu... Celui de... Je veux pas aller me coucher parce que je sais que quand je vais me réveiller, il va falloir que j'aille travailler, puis je l'aime pas, ma job. Il y a le centre de formation au transport de Charlebourg qui peut régler tes problèmes, un DEP offert gratuitement parce que c'est financé par le ministère de l'Éducation puis ça peut te permettre en quatre mois et demi seulement de changer de carrière, devenir un chauffeur de camion, devenir un essentiel. Vous avez l'option par la suite, vous faites ce que vous voulez, en autant que vous soyez derrière un volant dans la région de Québec ou un peu partout faire du long distance. C'est des jobs qui sont hyper bien payés, t'as la chance de ne pas avoir un patron qui est tout le temps à l'autre de ton épaule, puis tu as la possibilité de devenir un travailleur autonome. 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[00:48:49] Speaker A: Nous, une année avant de prendre notre. [00:48:50] Speaker F: Retraite, on a essayé de vivre avec le budget qu'on avait prévu pour faire un test. Ça a été une année pas mal poche. [00:48:57] Speaker A: On a reporté notre retraite de trois ans. [00:49:00] Speaker F: Mon conseil, prenez le temps de penser à ce que vous voulez et demandez l'aide d'un professionnel. [00:49:05] Speaker G: Pour récolter assez de blé à la retraite, revoir sa situation financière et sa stratégie de temps en temps, c'est un bon plan. Visitez notre site web pour en savoir plus. Un message de Retraite Québec. [00:49:26] Speaker A: L'hiver approche. Soyez prêts avec le Tucson à traction intégrale. Confort, sécurité, tenue de route, tout y est. Pendant l'événement, le plus bel arrêt Hyundai loue le Tucson 2025 Traction intégrale à 95 $ par semaine, 48 mois, léger comptant. [00:49:39] Speaker E: Disponible maintenant chez l'essai Hyundai. [00:49:42] Speaker C: Doom, as-tu des petites patates? [00:49:46] Speaker A: C'est bon, je pensais que c'était mon live. Je pensais que c'était mon live clinique, la croix. Ah, bon, on va y aller avec les manchettes, pourquoi pas. Attendez-vous pas un miracle, le corny. Churny! Va-t-il donner la main à Donald? Oui, OK. Ah, les attentes sont pas très élevées. Faut baisser les attentes, les amis, parce que... Je vais vous résumer ça en une phrase, il y aura rien qui va se passer là. Même que, à prévoir, peut-être un petit peu de ricanage sur le 51e état, parce que Donald a ressorti ça Mais là, vous avez plusieurs ministres qui accompagnent Carney, qui honnêtement, comme premier ministre, on va se le dire, c'est un gros zéro, là. Il fait rien, rien, rien, rien, rien. Et il va nous pondre un immense déficit. À date, c'est zéro pis une barre. Daniel Smith! Je devrais lui parler la semaine prochaine. Je suis en train de planifier quelque chose avec son attaché de presse, son téléphone d'entrevue. Je ne pouvais pas aller à Montréal hier faire une entrevue avec. Éric Duhem était là. C'est une grosse allocution. C'est devant la Chambre de commerce de Montréal où Daniel était là, puis il abrassait un peu le Québec de manière sympathique en disant « Ouais, peut-être que le Québec serait bon qu'on se développe un peu. Vous êtes assis sur une réserve de 200 ans de gaz naturel qui pourrait être mis sur le marché rapidement. J'aimerais voir le Québec et l'Alberta faire un partenariat. » Il était où le go pendant ce temps-là? Il était avec des gouverneurs américains pour une histoire qui concerne le développement comme tel. Question de même, pourquoi Jean Charest est toujours aussi présent? Pourquoi est-ce qu'on lui donne beaucoup, beaucoup de tribunes d'importance? Je ne comprends pas trop celle-là. Il était là hier. OK. Études qui confirment que les Québécois n'ont jamais été aussi serrés. C'est un syndic qui évolue dans le domaine depuis plus de trentaines d'années, qui a jamais vu autant de personnes à 200 piastres près de connaître des difficultés financières. 200 piastres, c'est une inscription au décaquet. 200 piastres, c'est un moffleur à changer. On est vraiment, vraiment serré au Québec. Donc, c'est un état de situation. Mais la solution de la CAQ, c'est une constitution. Je sais pas si vous avez vu les nouveaux vidéos. Ça va être lancé aujourd'hui par la CAQ. Une constitution. Sont-tu loin du monde? Incroyable. Les quatre citoyens qui menaçaient de poursuivre la ville de Québec concernant le chauffage au bois se désistent. Vous avez un proche des Hells qui se présente au municipal, en Estrie, Cockshire-Eaton. C'est un village là-bas nommé Sylvain-Vallée. Il a le droit. C'est tout à fait légal. On peut péter de la broue. mais c'est légal. Le conducteur d'un camion lourd qui a causé un accident mortel sur la 30 le mois dernier conduisait depuis 57 heures. Y a-tu quelqu'un qui va mettre son poing sur la table et dire ça suffit? Les chauffeurs Inc, les chauffeurs arabais, provenant surtout de Brampton, en Ontario, ça suffit. Microbrasserie Charlevoix. Le vendredi, on en parle souvent, because le chum Phil travaille pour eux autres. J'suis obligé de dire que c'est dans mes nouvelles, pis j'vais finir avec ça. 10 millions de dollars d'investissement à Baie-Saint-Paul pour une installation de brassage et un nouveau pub. Excusez-moi, là. Bravo. Parce que c'est un milieu qui est très coupe-gorge, puis il y a pas grand monde qui font du cash dans la microbrasserie. On va se le dire, il y en a quand même beaucoup. Il y en a trop, en fait, des microbrasseries au Québec. Mais j'ose servir de bord. Ils investissent 10 millions de dollars. Baie-Saint-Paul, c'était vos patates. [00:53:26] Speaker C: Les petites patates, présentées par les Cliniques vivants. [00:53:29] Speaker A: Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton, ultra-efficace et sans douleur. Épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. Cliniquevivant.com. [00:53:39] Speaker D: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [00:53:46] Speaker C: Il y a un accident à l'heure actuelle, c'est sur Capital, direction ouest, à la hauteur de Laurentienne, la voie de gauche qui est bloquée. Mis à part ça, quand on regarde la carte interactive, c'est beaucoup mieux qu'hier, mais quand même, il y a du ralentissement à la tête des ponts, surtout, peu importe où vous arrivez, ça va être compliqué. Compliqué sur Capital, on vient de le mentionner, puis on commence également à avoir un début de trafic quand même assez important sur Henriette et sur Laurentienne, évidemment, tous deux. Direction sud, à Brisevaux. qui est un vaccin contre le VRS 60 ans ou plus. Parlez d'Abrisvo de Pfizer avec votre professionnel de la santé. Visitez abrisvo.ca. [00:54:33] Speaker A: Clinique médicale Lacroix, oui, tu souffres. Bon, on a une solution pour toi. Hernie Discal, incroyable. T'as beau faire la split, les étirements, t'as beau aller au gym, les injections, les cils et ça, tout y a passé. On a une solution permanente pour toi. Compression du nerf cubital également et les pathologies dégénératives du rachis, les douleurs au cou, au dos, aux poignets, etc. Il y a des chirurgies qui sont disponibles. C'est des chirurgies qui fonctionnent très bien. Chirurgie d'un jour, des compressions lombaires par exemple. Chirurgie du tunnel carpien. Pose de prothèse cervicale. Docteur Éric Truffert est avec nous. Neurochirurgien. ultra perfectionnée. On a toutes les installations pour toi, ici à Québec. Lacroix Médecine privée. C'est comme ça que ça s'appelle. 4-8-1. 4-1-8, pardon. Le 4-1-8, c'est le code traditionnel de Québec. C'est quoi les autres codes, maintenant? 5-8-1, c'est-tu ça? 4-1-8-8-7-1-19-11. Clinique-médicale-lacroix.com. C'est la référence en médecine privée au Québec. [00:55:38] Speaker G: À Télé-Québec, le mercredi 20h, Une Époque. [00:55:41] Speaker A: Formidable, animé par Stéphane Bureau. [00:55:43] Speaker G: On est nul à chier en Amérique du Nord avec les émotions. [00:55:46] Speaker A: Déjà, je sens que ça vous parle. S'exprimer. Je trouve que notre époque, elle est inculte, elle est illettrée, elle ne s'intéresse qu'à elle-même. [00:55:53] Speaker G: Questionner. [00:55:54] Speaker B: Il y a quelqu'un qui lève la main. [00:55:55] Speaker G: Je suis d'accord avec un argument de mon adversaire politique. [00:55:58] Speaker A: Échanger. [00:55:59] Speaker D: Wow! [00:55:59] Speaker A: Ça doit faire 20 minutes que j'ai. [00:56:00] Speaker C: Envie d'intervenir puis de sauter dans l'arène. [00:56:03] Speaker G: Aller au-delà des préjugés avec Une Époque Formidable, mercredi 20h à Télé-Québec. [00:56:07] Speaker A: Bière et frites lancent son poulet frit imbattable. Trois morceaux de poulet frit maison, frais, chaque jour, avec la sauce de ton choix. Une montagne de frites, une pinte de Bud, Bud Light ou 50 pour 15,29$. Oui! Trois morceaux de poulet frit maison avec pinte et accompagnement pour 15,29$. Traditionnelle ou crémeuse? Nous, on te demande une pinte de Bud, Bud Light ou 50. Drink, drink, drink du poulet frit imbattable. Bière et frites, prix imbattable, goût imbattable. Même pas proche. 550 Rue Marais, 44 Président Kennedy à Lévis. Le Dr Steve Bernier, spécialiste et expert en implants dentaires depuis 25 ans. Un seul numéro pour vous redonner le sourire. 88 835 5858. Maintenant à Lévis, Québec et La Bauche. drstevebernier.com 88 835 5858. Salut, c'est Boucher. Salut, c'est Lortie. Hé Lortie, je pense à ça, ça fait cinq ans qu'on s'est pas jasé à la radio. On avait presque peur qu'ils pensent qu'on avait raccroché nos outils. Impossible! Quand ta thermopompe pis ton chauffe-eau marche comme du monde. C'est qu'on est passé par là. Exact. Boucher Lortie c'est bien plus que des. [00:57:11] Speaker D: Tuyaux pis des fils. [00:57:12] Speaker A: C'est une équipe tissée serrée qui règle tout ce qui garde ta maison confortable. Pis aussi ton commerce. Plomberie, électricité, chauffage, thermopompe et énergie. C'est notre affaire. Appelez-nous au ou faites une demande de service en ligne. Boucher l'ortie, c'est réglé! [00:57:26] Speaker C: Salut, c'est Carbeau. Pour le traitement de ma voiture, je fais confiance à Crown, une entreprise familiale. [00:57:31] Speaker A: Canadienne qui connaît les conditions d'ici. [00:57:33] Speaker C: Vous aussi faites traiter votre voiture à l'intérieur de Crown et économisez 10 $. Visitez le crown.com pour trouver nos six centres de la grande région de Québec. [00:57:41] Speaker A: La sexe, l'exploratrice. [00:57:44] Speaker G: Sexualité, amour, relation. [00:57:47] Speaker A: Et beaucoup plus. [00:57:49] Speaker G: Sans tabou. [00:57:50] Speaker A: La Sexploratrice. [00:57:52] Speaker G: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [00:57:56] Speaker D: La Sexploratrice. [00:57:59] Speaker A: Radio X. Présenté par Planète X. À la recherche de nouvelles sensations? Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. Planète X. C'est succursale et sur monplanètex.com. On n'a pas de raison de croire que le feu est pris à l'hôtel de ville, mais M. Lachance en parle comme si c'était le cas. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [00:58:31] Speaker E: L'instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [00:58:45] Speaker A: C'est une bonne idée. [00:58:46] Speaker G: Avec Dominique Moret. [00:58:48] Speaker A: Ça m'inspire. Ça m'inspire. Moret. Live. Radio X. Deep Dan. Putain de bordel de merde. Deep Dan. D'accord, merci. [00:59:05] Speaker D: Dan, our favorite jock. [00:59:09] Speaker A: 7H pile, 7h pile. Let's go mon Dan, on roule ça. [00:59:14] Speaker C: Yes sir. Je commence en te parlant parce que c'était le gros sujet sur Internet hier. Les trads wives qui ont été présentées à Tout le monde en parle le dimanche. [00:59:26] Speaker A: Ben, j'écoute plus ça. [00:59:27] Speaker D: Ça sont bien sortis. Bon, je l'ai écouté parce que je pensais qu'on allait leur faire une passe comme ça. [00:59:31] Speaker A: C'est quoi une trad wife pour résumer, pour le bénéfice des auditeurs? [00:59:35] Speaker C: Puis qui fait des enfants en chêne. [00:59:37] Speaker D: Puis qui fait le repas pour son mari qui revient de travailler. En gros, là... [00:59:41] Speaker A: Il y a peut-être deux enfants, juste deux enfants. [00:59:42] Speaker D: Non, il y en a quatre-cinq. Les deux, oui. [00:59:45] Speaker C: Oui, oui, c'était plusieurs enfants, là. C'est pas deux enfants. [00:59:50] Speaker D: Je sais pas si c'est une des raisons pourquoi ils ont pas trop brassé, parce que des femmes, c'est plus malaisant, mais il y avait la nièce de chardissière entre autres. [00:59:56] Speaker A: Donc on peut pas décider, les femmes ont pas le droit de décider. [00:59:59] Speaker C: Je te fais attendre la nièce de chardissière, puis on aura la conversation après. [01:00:03] Speaker A: Sacha, tu as 40 ans, t'es mariée à un Américain. Vous avez quatre enfants, vous vivez en Caroline du Nord. Ton autre jeune fille, c'est Sacha Tissère. Oui, Tissère. [01:00:12] Speaker F: Tu es la nièce de Charles Tissère et la fille de Philippe Tissère, un pianiste talentueux et excentrique qu'on avait reçu sur ce plateau. Il y a 20 ans, tu t'es. [01:00:22] Speaker A: Toi aussi, convertie au christianisme. Comment es-tu passée d'une famille aussi libérale. [01:00:28] Speaker F: Et flayée à un mode de vie aussi religieux? [01:00:32] Speaker G: C'est une très bonne question. Ça a été tout un cheminement. Oui, en effet, j'ai été élevée dans une famille très libérale. [01:00:39] Speaker A: Moi, je vous dis, c'est comme mes parents, c'était drug, sexe and rock and roll, mais minus the drugs. [01:00:43] Speaker D: Ils m'ont dit, ça, c'est pas une bonne idée. [01:00:44] Speaker G: Alors, oui, c'est ça. Alors, en grandissant, c'est sûr que j'avais. [01:00:50] Speaker A: Des valeurs vraiment qui étaient typiques de la culture québécoise, mais j'avais... [01:00:56] Speaker G: Ce qui me différenciait, c'est que, étant. [01:00:57] Speaker A: Donné le parcours de mon père, qui était... qui avait beaucoup de problèmes... de. [01:01:02] Speaker G: Dépendance aux substances, aux drogues et à l'alcool. Il nous avait vraiment inculqué. Ce parcours est un parcours de beaucoup de souffrance. [01:01:10] Speaker C: Elle, elle a vécu totalement l'inverse. Puis son père lui a dit que c'était un parcours avec beaucoup de souffrance. Elle a juste décidé de vivre différemment. [01:01:17] Speaker D: C'est ça. [01:01:17] Speaker C: T'sais, t'as un paquet de monde qui le... Puis tout est bon, là. Puis le monde qui s'en prenne à eux autres, il y a personne qui dise que c'est pas correct la façon dont ils vivent, parce que c'est des femmes, j'imagine, là, c'était pas comme les... T'sais, tout le monde disait « Ah, c'est pas mes valeurs à moi ». Je te fais entendre, entre autres, Michelle Ouimet, qui était autour de la table, elle, ce qu'elle avait à dire pendant que ces deux filles-là étaient là. [01:01:36] Speaker G: Moi j'ai l'impression d'être sur une autre planète, honnêtement. Deux choses qui, la foi et je suis athée. Ce rapport-là avec l'homme, qui est un rapport dans lequel vous êtes heureuse et épanouie, pour moi, c'est comme du chinois. [01:01:54] Speaker A: Alors ce sera impossible. [01:01:55] Speaker G: Moi, je veux dire, à l'âge que j'ai, je me suis battue pour que les femmes aient des droits, le droit à l'avortement, le droit... à l'éducation. L'éducation, le droit du travail, le droit à l'indépendance, l'indépendance financière et tout ça. Alors moi, j'ai lu les articles de ma collègue Fanny, que je trouve absolument fascinant. [01:02:16] Speaker C: Le problème, là, c'est que c'est la même chose avec les autres religions, puis vous en parlez pas. [01:02:20] Speaker D: Non seulement ça, mais en plus, elles vous demandent pas de prendre leur style de vie, là. [01:02:25] Speaker C: Non, non, c'est ça. [01:02:26] Speaker D: Tu sais, je veux dire, il était tough à coincer les deux filles parce que, tu sais quoi, elles s'exprimaient très bien. C'était pas des nounouches. C'était juste qu'elles ont un style de vie qui est différent. [01:02:34] Speaker C: C'est sûr que ça prend une confiance absolue à l'autre personne du couple, à l'autre moitié du couple. [01:02:40] Speaker A: Parce qu'elles sont mariées. [01:02:40] Speaker D: Oui! [01:02:41] Speaker A: Je comprends, deux hommes sont mariés. Même du monde à côté qui nous écoute... [01:02:46] Speaker C: Je te confirme qu'il y a deux. [01:02:47] Speaker A: Trois mariages qui... Ça prend une confiance. [01:02:48] Speaker C: Aussi, même s'ils sont à côté. [01:02:50] Speaker A: Absolument. [01:02:50] Speaker D: Il y en a un des deux qui l'a dit, par exemple, on est mariés, si jamais ils me laissent, je vais passer avec la moitié de ce qu'il y a. [01:02:56] Speaker A: Je sais qu'il y a des lois. [01:02:57] Speaker C: Ça, c'est correct, partir avec la moitié de ce qu'il y a jusqu'à maintenant, mais tu n'as pas la moitié de ce qu'il va ramasser par la suite. Après ça, il faut que tu t'arranges. [01:03:04] Speaker D: Oui. [01:03:04] Speaker C: Puis quand ça fait 20 ans que tu ne travailles pas, je te confirme que quand tu retournes dans le milieu du travail, tu recommences d'enlever de l'échelle beaucoup. Oui, c'est ça, c'est... [01:03:13] Speaker A: Mais il y en a qui sont à côté puis qui font ça, regarde. [01:03:15] Speaker C: Oui, je sais Dom, je sais. [01:03:16] Speaker A: Jean-Claude, il racontera l'histoire qu'il aura racontée, mais moi, je me souhaiterais bien... [01:03:20] Speaker D: Il y en a déjà parlé. Ah oui. [01:03:21] Speaker A: Ben oui, mais moi, quand je travaillais avec Jean-Claude, c'est là qu'ils ont eu leurs enfants, puis il y avait du bashing, là. «Oui, ta femme reste à la maison», puis tout ça. Oui, mais regarde, on calcule, au final, ce que ça nous coûte puis ce qui nous revient. Et on est mieux de garder les enfants à la maison si on considère le coût des garderies, etc., etc. Puis c'est un choix personnel, ça. C'est un choix personnel. Juste revenir à Michel Ouimet. Moi, j'ai travaillé avec à la presse. Michel a été correct avec moi parce que ça a été la première qui a écrit sur mon histoire de curé, en 91. Fait que j'ai travaillé avec Michel en 91 à la presse. Michel a écrit sur l'islam. Fait que ce qu'il a dit, Je sais pas si elle l'a dit aux islamistes, aux salafistes qu'elle a rencontré. Elle est allée en Libye, en Tunisie, en Syrie, fait de nombreuses entrevues directement reliées à la réalité de l'islam. Quand elle était devant un imam ou autre barbu, est-ce qu'elle lui a dit qu'il n'avait pas rapport en écrasant sa femme? en laissant sa femme à la maison, en l'empêchant de travailler, en la voilant de force. Je veux juste savoir si le traitement a été équitable. [01:04:38] Speaker D: Est-ce que les faces seraient différentes autour de la table si justement c'était une femme musulmane qui venait à l'émission puis qui aurait le même style de vie? [01:04:47] Speaker A: Voilà! Voilà! [01:04:50] Speaker D: C'est une musulmane au Québec, là? [01:04:51] Speaker C: C'est juste ça ma question, moi. Ma question, c'est si vous reprochez ça à l'heure actuelle aux Québécoises qui sont catholiques, est-ce que vous faites la même chose avec les autres religions? [01:05:01] Speaker A: Ça va prendre de la diversité, là. Donc, la semaine prochaine, j'imagine que tout le monde en parle, musulmans. Puis après ça, peut-être une juive orthodoxe. [01:05:11] Speaker C: C'est ça. Puis une juive orthodoxe qui reste à la maison aussi. [01:05:14] Speaker A: Faites les trois, là. C'est bien facile de taper ces chrétiens. Il y a comme un Christian bashing fest, alors que l'islam a ce d'extraordinaire. C'est extraordinaire, l'islam. Excusez-moi, Mbadi hier, c'était bon, l'un du poste, alors qu'il était avec une politicienne. Lui, il est dans la gauche, wow, collé-ollé, LGBT, les opérations, les trans, les cis, les ça. Sauf qu'il appuie une femme qui mettait des gays en-dedans. Dans son pays en Afrique. Je sais pas c'est quoi le pays en Afrique de la Bonne-Égyptienne. [01:05:52] Speaker C: Non non, la géométrie variable elle est... Ben c'est ça! [01:05:56] Speaker D: Ici je te l'ai fait jouer là. Vu que François Legault a parlé des islamistes radicaux la semaine dernière, t'avais Émilie Foster en fin de semaine ou vendredi dernier en fait, qui faisait une fausse équivalence, ça je te l'ai fait entendre, qui elle rentrait les trad waves là-dedans comme un danger pour la société. C'est des femmes qui vivent autrement. Comme je te dis, ils veulent pas te forcer à avoir leur style de vie, là. [01:06:15] Speaker A: Ouganda. Même Danny Cherfully cosies up with Ouganda Politico, une femme qui appuie des sentences de prison à vie pour les gays. Faut voir que le Walker Rooney se parle en fin de semaine et j'ai mis des photos sur Facebook. Vous avez des communistes et des islamistes, centre-ville de Toronto. C'est pas aux États-Unis, les amis. Vous savez Winners? On aurait Winners aux États-Unis. Ça existe pas. C'est entre Ville et Toronto. Donc c'est Eaton Center Toronto. Des communistes, c'est vrai, avec des pancartes. Allez voir ça sur le Facebook. C'est des vrais de vrais, là. Eux autres veulent un renversement de société. Ils veulent briser la société. C'est ça, la réalité, là. [01:07:00] Speaker C: Puis dans le texte de la presse qui avait été fait là-dessus par Fanny Arcand, il y avait même une femme, elle, sacrée de Jésus puis de la religion catholique, autant que toi puis moi, là. Autant que moi, mettons. Mais elle avait quand même adopté ce style de vie-là. Ça n'a rien à voir avec le fait d'être catholique. Ça a à voir avec le fait qu'elle, elle veut rester avec ses enfants à la maison. [01:07:22] Speaker D: C'est pas religieux. [01:07:24] Speaker C: Il y en a... Elle, celle qu'on avait vue, c'est le 14 septembre d'empresse. Il y avait un dossier complet de Fanny Arcand. Vous pouvez aller le voir. Il y en avait une, elle, sacrée de la religion. Elle voulait des enfants en chaîne. Elle voulait aller jusqu'à 6-7. Puis quand le dernier est rentré à l'école, elle est retournée dans le marché du travail. [01:07:39] Speaker A: C'est clair. [01:07:40] Speaker C: C'est son choix. [01:07:41] Speaker A: Mon corps, mon choix, ça s'applique à tout le monde. [01:07:44] Speaker C: Puis à l'inverse, t'en avais une autre, elle veut pas que ses enfants aillent à l'école parce qu'elle veut les élever dans la foi chrétienne. Et comme y'a pas de foi chrétienne à l'école, elle veut pas les envoyer. C'est autre chose. Il y a quand même une longue... Il y a une marge. Il y a beaucoup de choses pour s'amuser au travers de tout ça. Mais il faut le faire avec les autres religions aussi. Il faut le faire avec les autres religions. C'est l'essence même de ce que je voulais dire. Les petits lapins maintenant, parce qu'on est dans les petits lapins. On va commencer avec une fille qui sort de l'école, elle commence sa nouvelle job, elle fait du service à la clientèle au téléphone. Elle a commencé. [01:08:19] Speaker A: Elle a-tu pleuré? [01:08:20] Speaker C: Ben, écoute. [01:08:21] Speaker G: Je pense que je ne suis pas faite pour le service client. Les gens sont tellement méchants. C'est ma deuxième journée que je prends des appels. Aujourd'hui, je ne sais plus ce que les gens ont. Ils sont tellement agressifs. Je suis vraiment trop sensible pour ce genre de choses. de personnes-là, je fais vraiment tout mon possible. Je suis pas stressée tout le long, parce que je me fais genre chialer après, pis là, je veux prendre un avocat, pis je suis comme, madame, je... Excusez, là, je vais pas pleurer. C'est ce qu'on dirait que je... Genre, je sais qu'il y en a d'autres qui font du service client comme moi, pis qui trouvent pas ça facile, pis que... Genre, j'ai hâte que ça finisse, parce que, t'sais, si c'est juste deux semaines de service client, après ça, je vais au service partenaire, pis c'est... avec les conseillers, fait que c'est moins pire, mais les clients, là, c'est... c'est intense, hein? [01:09:02] Speaker A: OK. Tu travailles où? [01:09:03] Speaker G: Honnêtement, j'applaudis les gens qui font ça, parce que... T'as plus d'idées? [01:09:06] Speaker C: Ah Mais oui, elle a pleuré dans sa vidéo. [01:09:10] Speaker A: Je suis mitigé par rapport à ça. D'abord, question. Pourquoi vous racontez votre vie au téléphone? [01:09:17] Speaker C: Ça, c'est la vie, là. [01:09:18] Speaker A: Je l'essaye, mais elle a vie de quoi de personnel? C'est pas de mes affaires à moi. Ceci étant dit, je passe au deuxième commentaire. Je la comprends. Les gens sont plus tolérants. C'est sûr que les gens... Depuis la pandémie, c'est vraiment le point tournant. À mon avis, les gens ne tolèrent plus. la mésocrité, l'attente, ils veulent avoir tout. Hier, tu vas mener ton char chez le concessionnaire, t'as pas pris de rendez-vous. Je veux le changement d'huile, là! Non, non, prends un rendez-vous. Je l'ai vu, ça, quand j'ai fait changer mes pneus chez Dernet, je vous l'ai nommé, puis très bon service en passant. Je roule sur des pneus d'hiver, mais il est temps que... Il est temps que tu fasses plus 32, là. Je suis en train de démanger. Et là, j'écoute les conversations. Puis moi, j'ai pris mon rendez-vous, OK? Parce que, sinon, le prochain rendez-vous, c'est à la fin novembre! Fait qu'ils m'ont dit, «Morin, viens-tu là ou fin novembre?» «Là!» Là, y'a du monde qui arrivait, dont une madame. «Ouais, mais j'viens changer mes pneus!» «Non, madame, faut prendre un rendez-vous, y'a une structure.» «Non, mais c'est là que j'veux! Moi, c'est là que j'veux!» Pis là, elle commence à crier. Elle t'aime pas, là, tu sais. Donc c'est des deux barres. Mais c'est sûr que c'est pas facile de servir sa clientèle. Non, mais... Je la comprends, aussi, un peu. Tu sais, quand même, j'ai de la compassion pour ça. [01:10:38] Speaker C: Je comprends ce que tu veux dire, mais en même temps, il y a aussi le fait que les gens ne sont plus capables d'avoir des conversations un peu musclées. [01:10:46] Speaker A: C'est la vie, là. [01:10:47] Speaker D: C'est la vie. [01:10:48] Speaker C: Quand tu fais du service à la clientèle, là, ça se peut que tu te pognes avec un client. Tu raccroches, c'est fini. Tu te pognes avec un autre après. [01:10:54] Speaker A: Mais ça, tu peux le répliquer aussi. T'es pas obligé de te laisser amuser. [01:10:56] Speaker C: C'est ça. T'es pas obligé de te laisser manger à la haine sur le dos. Puis ça, on apprend tout ça au monde. [01:11:00] Speaker A: Monsieur, si vous n'êtes pas content, veuillez rappeler plus tard. T'sais, il y a des phrases, là, qu'à un moment donné, tu peux dire aussi. [01:11:06] Speaker C: Moi, je disais, si vous voulez crier, je vais me mettre à crier, moi aussi, puis vous allez voir que je suis bon. [01:11:10] Speaker A: Ouais, bien, c'est ça. T'as travaillé, toi, sur la clientèle. C'était ça. [01:11:14] Speaker C: C'était ça, ma phrase. [01:11:15] Speaker A: Ça criait-tu pas pire, des fois? [01:11:16] Speaker C: Ben oui, des fois, ça criait. Puis moi, je leur disais toujours la même chose. Si vous voulez crier, je vais crier moi aussi. Et je suis vraiment bon. Je vous le dis, madame. Je suis vraiment bon là-dedans. Je suis meilleur que vous. Je le sais. [01:11:29] Speaker A: Là, elle écrase. [01:11:30] Speaker C: Là, il écrasait. [01:11:32] Speaker A: C'est bon. [01:11:32] Speaker D: On est en 2025. Le service à clientèle, il n'y en a plus beaucoup. Quand il y en a, c'est parce qu'il y a quelque chose qui chie. Fait qu'en partant t'es pas de bonne humeur quand t'appelles. [01:11:41] Speaker A: Ben oui, c'est normal. [01:11:42] Speaker D: Que ce soit pour le câble, le cellulaire, les assurances. Quand t'appelles, c'est qu'il y a quoi qui va pas. [01:11:49] Speaker A: On a plus de marge. Oui. [01:11:54] Speaker D: J'ai toujours essayé de penser, t'sais, la personne à qui je parle au bout du fil, c'est pas de ta faute présentement le problème technique que j'ai, mais t'es la personne qui représente la compagnie qui me sert pas, là. [01:12:04] Speaker A: T'sais, dans le genre de on n'a plus de marge, je vais revenir sur ce qu'on a vécu hier avec les politicos. T'sais, Marchand, faut quand même se le dire, il a fait une crise de bacon quand Pierre Poilievre l'a qualifié d'incompétent. Ce qu'il est, là, c'est vérifié et vérifiable. Mais regardez la crise de bacon. Les médias ont pu toujours marchand. [01:12:28] Speaker D: Oui. [01:12:28] Speaker A: Il y a beaucoup de slow flake dans cette gang-là. [01:12:30] Speaker D: Ils sortent tout le temps contre poilières. [01:12:32] Speaker A: Toujours contre poilières. [01:12:32] Speaker D: C'est un beau mix des deux. [01:12:34] Speaker A: C'est ça. Mais on n'a plus de marge d'acceptation. Entendre parler Marchand hier, il faut que tu l'applaudisses. Tu peux plus poser de questions, arrêter de fouiller, soyez apaisés, pensez chez vous, prenez un grand respire, et ça va passer. On peut plus bougonner! Ferme ta gueule! [01:12:49] Speaker D: Il n'y a pas un journaliste! [01:12:50] Speaker A: C'est un peu ça qu'il nous a dit hier. C'est un peu... Fermez vos gueules! On peut plus dire que c'est un incompétent, on peut pas dire que c'est pas compté. « Ah, le gars, il a dit que c'était pas compté! [01:12:58] Speaker D: » Puis il n'y a pas un seul ou une seule journaliste qui lui a dit « Monsieur Marchand, T'as été une madame de nazi. [01:13:04] Speaker A: Ben c'est ça! Vicky a bien répliqué d'ailleurs. Vicky Lepage qui se présente pour Sam Hammad. Longue réplique dans son post à lui. À marchand. Très bon. Je vais mettre d'ailleurs en copie sur le Facebook de More Live. Parce qu'elle est salie par ça. [01:13:21] Speaker D: Tu sais que oui. [01:13:22] Speaker C: Vicky Lépage, je ne peux pas penser à elle. parce que ça me choque tellement de. [01:13:28] Speaker A: Penser à elle... Lépine, pardon, Vicky Lépine. [01:13:31] Speaker C: Je me rappelle tous ses reportages qui ont été faits où on ne met jamais... Je n'ai jamais vu... [01:13:38] Speaker A: Tu étais le seul qui l'a fait, ici, la contextualisation. [01:13:41] Speaker C: À la télé, je n'ai jamais vu, avant qu'on présente Vicky Vicky Lépine, Lépine, je ne l'ai jamais vu le vidéo de Pierre-Luc Lachance qui faisait exactement la même chose deux semaines avant finalement. On ne l'a jamais placé. Il n'y a jamais quelqu'un qui a montré ça à Bruno Marchand et dit « commente-moi le signe nazi qu'a fait Pierre-Luc Lachance ». Parce que lui, il trouve que c'est un signe nazi. S'il trouve que c'est un signe nazi pour Vicky Lépine, c'est un signe nazi pour Pierre-Luc Lachance aussi. [01:14:03] Speaker A: Et elle est salie depuis ce temps-là. [01:14:05] Speaker C: Et s'il dit que Vicky Lépine est une nazi, bien Pierre-Luc Lachance est un nazi aussi. [01:14:10] Speaker D: Et ça a fait partie des chroniques de Renaud Labrecq, à une couple de reprises, de jouer des extraits de consultations publiques, entre gros guillemets, consultation ici, là, où tu as, entre autres, un Pierre-Luc Lachance qui est très méprisant, insultant envers des citoyens qui sont là pour s'exprimer, là. Ça, c'est correct? Non, c'est juste les élus. Les élus sont dans le classe à part. Eux autres, faut pas les critiquer. [01:14:37] Speaker A: Ben c'est ça. C'est ça l'histoire. Et effectivement, il y a du monde mal engueulé tout le temps. Oui. Quand j'étais petit cul, il y avait du monde mal engueulé. Mon père était très mal engueulé. [01:14:45] Speaker D: Il y en a même qui deviennent politiciens. [01:14:47] Speaker A: Je voulais un exemple. Mon père, quand il rentrait dans le magasin, des fois, ça sortait carré. Mais c'est ça. On n'est pas oublié de sacrer. d'être vulgaire pour s'exprimer. Ça, là-dessus, je suis d'accord, et on le sera toujours d'accord. Grosse plate sale, tu sais. On peut se calmer puis recadrer. Ceci dit, parce qu'hier, j'écoutais Marchand, puis le message que ça m'envoyait, c'est un gros fermez vos yeules, soyez apaisés, tout va se régler comme par magie. Puis même, Amad est rentré là-dedans en disant, je vais même défendre Marchand. Oui, mais là, au bout d'un moment donné, tu sais, ça devient trop, là. Tu sais, ça devient comme... Le pingouin et le joker se mettent amis, puis ils vont faire un pique-nique avec Batman. T'sais, c'était comme un whack un peu, là. Moi, je veux recadrer ça, là. Vous voyez, tout ce qui est haineux, abusif, non. Manace de mort, la police est encore là, à la matinée, 9h01, là. Ça existe. Manace de mort, j'en ai eu. Bon, puis je travaille dans le public. Ça a l'air avec des malades mentaux. Il y en a, puis ils ont été rencontrés, puis ils ont été gérés. Bon, ça, ça existe. Ça, c'est pas nouveau, là. [01:15:52] Speaker D: La première qui osait le dire, ce qui s'est passé hier, là, on va lui donner, c'est Jackie. [01:15:56] Speaker G: Il a trouvé un moment pour se positionner comme victime. Je trouve que c'est très opportuniste. Il n'est pas capable de tenir son. [01:16:05] Speaker A: Propre propos et contrôler ses propres montres. [01:16:08] Speaker G: Il faut avoir un carapace. en politique en 2025. [01:16:12] Speaker A: Mais c'est une pièce de théâtre. [01:16:14] Speaker D: Oui. [01:16:14] Speaker A: C'est de la manipulation ayant endormi tout le monde. C'est Doctor Strange. Doctor Strange fait aller ses mains, revire le décor à l'envers. C'est de ta faute à toi. Tu me trouves incompétent, mais c'est toi l'abuseur, c'est toi le salaud, c'est toi le mal-engueulé. On est dans un épisode de Doctor Strange presque parfait. Les rôles sont inversés. C'est juste magique. Mais c'est un maître là-dedans. Puis c'est peut-être pour ça que vous aurez gagné les élections aussi? [01:16:46] Speaker C: Bien c'est sûr que... Puis là, moi, je n'ai jamais dit ça. Jamais, jamais, jamais. Puis je le sais que ça a souvent été dit à la station, mais je n'ai jamais fait de lien direct. entre l'administration marchand et QMI, mais là, je suis obligé d'en faire une. Depuis hier, je suis obligé de dire que le principal média est presque sur le payroll de Québec Fort-et-Fier, de voir une annonce du jour, arrimée sur la première page du journal d'hier matin, venez pas me faire croire que ça a pas été... [01:17:14] Speaker A: Ils se parlent. [01:17:15] Speaker C: Ils se sont parlé dimanche, c'est sûr. [01:17:17] Speaker A: Donald Charest, à qui on parle demain, il l'a dit... C'est clair, c'est clair, c'est... Ça commence avec le bureau du maire, très proche de Fortéfière. Ça, là-dessus, en passant, c'est pas supposé. Il y a des candidats qui ont fait des communiqués avec le logo de la ville. « Oh non, on ne devrait pas, on n'aurait pas dû. » Très proche. Mais ce que Donald a dit, puis ce qui t'a confirmé ce que tu dis, Dan, ce matin, c'est que les lignes de presse partent le matin et la chorale est là. Le chef de chorale arrive. « OK, parfait, c'est Minut chrétien. OK, les flûtes en arrière. Minut chrétien, tout le monde chante en même temps. » C'est une chorale. C'est une chorale, mais oublie pas la chorale de Radio-Canada aussi. T'as des choristes là-dedans aussi. Pas juste QMI, Dan, pour t'élargir ça. [01:18:05] Speaker C: Je sais, mais hier, Radio-Canada, ils ont suivi la parade. C'est clair que QMI a mis toutes les basses. En fait, QMI a mis le charbon, ils ont parti le feu, puis tout ce que le maire avait à faire après, c'était de faire griller les steaks. [01:18:19] Speaker A: Les seuls qui n'ont pas bonne flûte, c'est de nouveau. Eux autres sont arrivés à la chorale. Ils ont une flûte en plastique. [01:18:25] Speaker D: Quand il est arrivé l'histoire avec M. Wu, c'est ceux-là aussi qui nous ont dit ça, c'est la gang du maire qui nous a passé l'info. La gang de nouveaux, je veux dire. Ce que personne n'avouait, c'est tout ce qui sortait sur Wu soudainement, puis les vidéos, puis les extraits, etc. C'était tout feedé par la gang du maire. [01:18:44] Speaker A: Là, je sais que Stéphane fait les 100 pas comme un taureau, là, au bord, dans le lounge. Mais... Oui, oui, je sais. Bon, on va l'écouter. Je vais juste faire du pouce là-dessus pour finir. Et je suis persuadé... Et tu aimes être persuadé que l'histoire des taxes a bien marché? [01:19:02] Speaker D: Bien oui. [01:19:03] Speaker A: Tu peux pas savoir, toi, comme journaliste, si quelqu'un a payé ses taxes. Ça, c'est de l'information. Dans le cas de Stéphane, paraît-il que c'était publié. Mais ça, c'est du monde qui met ça à l'oreille. Hé, j'ai été journaliste longtemps, là. J'ai été spiné, là. On est spinés. Donc, téléphone, appel. « Hé, Sonia, ça fait quatre ans que je t'ai pas parlé. » « Ouais, mais, les gars, je t'ai pas appelé, mais... checke donc ça le compte de dépense de la chance. » Je mettrais ma main au feu. J'ai pas parlé à Stéphane. Mais journaliste, c'est ça, là. T'as un appel? Hey, checke donc ça, la chance, ouais. Va sur le site. Il a pas payé ses taxes. En tout cas, je te dis ça de même. Salut, bye. Les spines viennent du bureau du maire, mur à mur. [01:19:48] Speaker D: Je ne sais pas si c'est lui ou si c'est son entourage, mais le jour où Bruno Marchand sera plus politicien, le salissage en campagne est très, très bon pour ça. Pas mal meilleur pour ça que pour être maire. [01:19:59] Speaker A: Il ne va qu'un dernier extrait. [01:20:00] Speaker C: Oui, un dernier extrait. Tu n'es pas le seul qui a hâte de faire attention à tes petits divers. Je t'ai fait entendre une fille hier. Elle était à bout du beau temps. À bout, mais pas à bout. [01:20:09] Speaker A: Voyons donc. [01:20:10] Speaker C: Écoute, tu vas voir, ce n'est pas si hallucinant que ça. [01:20:13] Speaker G: Nul mon intention de me plaindre. Vraiment illégal de chialer par rapport à ça. Mais je veux savoir si je suis. [01:20:19] Speaker A: La seule dans mon clan. [01:20:19] Speaker G: Suis-je la seule qui était comme un peu déçue ce matin de devoir s'habiller en short et en canousel? Alors, il fait déjà vraiment chaud. Il annonce comme 27. aujourd'hui. Puis moi, tout ce que j'aurais le goût, ce serait de mettre des leggings avec des bas dans mes hugs, puis. [01:20:35] Speaker A: Une bonne petite laine. [01:20:36] Speaker G: C'est juste moi, mettons, qui est un peu pessimiste de la chaleur, là, ou... Je suis juste plus dans cette vibe-là, on dirait. Je vais apprécier, puis je vais enjoy, puis je vais en profiter quand même, parce que je sais que c'est éphémère, puis que bientôt, on va chialer parce. [01:20:49] Speaker A: Qu'On va pleurer de la chaleur. Ce matin, j'aurais vraiment mis mes hugs. [01:20:52] Speaker C: T'inquiète, t'as pas fini. Tu vas avoir 6 mois pour les mettre tes Christie de Huggs, tes pantoufles à 200$, tu vas avoir le temps à démontrer. Mais là, c'est les shorts pis le t-shirt. [01:21:02] Speaker A: Là, les gens l'insultent. Mais savez-vous quoi? Je vais me confesser, là. Je suis comme elle. Hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé. [01:21:11] Speaker C: Hé hé hé hé hé hé hé. [01:21:11] Speaker A: Hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé J'ai une rotation de garde-robe. Moi, j'ai un garde-robe dans mon bureau, pis tu hé sais, je fais un switch, là. Tu sais, linge d'hiver, linge d'été, tout le monde a ça, là. Là, j'ai fait le switcheroo. Fait que moi, j'ai juste... Comme là, je porte un hoodie d'hiver. Tu comprends? Moi, je suis prêt, là. Moi, je me suis acheté un manteau d'hiver chez Uniqlo. C'est pas cher, hein, pas ça, Uniqlo. C'est le fun à maudit. Moi, je suis prêt, là. Moi, mes tucs, mes gants, mes... Mais ça, c'est toute sortie, là. Mais j'ai pas s'y aller! Mais dans ma tête à moi, je suis un café d'automne, là. Moi, c'est citrouille à fond, là. Je roule avec des pneus d'hiver. Je chiaule pas! Mais je bougonnerais pas quand ils vont faire 10. Mais il faut être cohérent. Comme là, elle a bougonné un peu. Ça pour nous dire qu'on va faire la file. Le sourire, c'est correct, ce qu'elle a dit. Pas besoin de l'insulter, les gars. Mais il faut se souvenir qu'on va faire la file pour aller à l'aéroport, pour aller dans le Sud en février. [01:22:15] Speaker C: Puis il faut se souvenir qu'on... [01:22:16] Speaker A: On va aller chercher un 28 degrés. [01:22:18] Speaker C: Qu'on retombe à 17 demain. [01:22:19] Speaker A: C'est ça. Puis en 11, ça descend vite. Seb qui dit gros dossier, les boys... Ouais, c'est parce que c'est le deep. C'est comme ça, l'émission s'appelle «More Live», c'est le deep. «Deep Dance», c'est ça. Je sais que si vous écoutiez «Rouge» avant, peut-être que vous n'êtes pas habitués. [01:22:34] Speaker C: C'est un segment dans lequel on fait entendre, peu importe ce qui est dit, tous les meilleurs extraits sortis du web la veille. [01:22:41] Speaker A: C'est en plein ça. Alors voilà, vous allez vous habituer. C'est comme ça. Des fois, je parle. Puis des fois, le dôme, il parle. Puis c'est comme ça. C'est le même, ça marche. 7h23 dans Moray Life. Moray! [01:22:52] Speaker G: Tu as quelque chose à dire? [01:22:54] Speaker A: Ça vient d'aller. [01:22:54] Speaker G: Tu veux réagir? 418-670-9098. Radio X. Morelive présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [01:23:16] Speaker A: Quand t'as les deux mains sur le. [01:23:17] Speaker D: Volant, tes horizons s'ouvrent. [01:23:19] Speaker A: C'est comme si tout d'un coup, tout devenait possible. [01:23:22] Speaker D: Même repousser tes propres frontières pour aller. [01:23:25] Speaker A: Au bout de tes rêves. Toi, le bout de tes rêves, ça va te mener où? Découvre-le avec la formation en transport par camion du CFTC. [01:23:34] Speaker F: C'est gratuit et ça prend juste 4 mois et demi. [01:23:37] Speaker D: Informe-toi aujourd'hui sur parcourirlemondeautrement.com. En bas. Ça va te mener loin. [01:23:46] Speaker A: À 7h24, je tiens à vous dire que vous gardez le lunch dans le fridge. Et vous allez manger ce bière et frites. C'est hallucinant. Le poulet frit, imbattable. D'ailleurs, Jérôme Landry... Jérôme Landry? Non, non, l'autre. Le gestionnaire de bière et frites va être avec nous autres. Demain, pour parler d'une histoire assez crunchy, je vous le dirais. Là, ils l'ont vraiment patangue. Ils ont fait de la science, de la science culinaire. Ils ont vérifié, puis ils ont dit qu'on le lance. On n'a pas le choix. C'est le meilleur poulet frit à Québec. Il est maison chaque jour. Trois morceaux, donc, avec le choix de ta sauce. Montagne de frites, peintes de Bud Light ou 50, 15 et 29. C'est un repas! C'est un repas! 15 et 29, je vous le répète. 15 et 29, c'est extraordinaire. Trois beaux morceaux de poulet frit. Oui, oui, oui, le petit poulet dans l'assiette avec la montagne de frites. Et bien entendu, la petite bière. Oh, ça ravigote. On va avoir un appel après-midi avec un dîner de même. Bière et frites, prix imbattable, goût imbattable, et c'est même pas propre. [01:24:49] Speaker D: Circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:24:55] Speaker C: Circulation de Québec pour faciliter la fluidité, comme ils disent. C'est pas facile, la fluidité, ce matin. Il y a eu un accrochage un peu plus tôt sur Capital Direction Ouest. Le véhicule, on a eu le temps de le tasser. C'était à la hauteur de Laurentienne. Quand même, ça a causé 2-3 ennuis. Puis là, rajouter à ça, que sur R4 direction Sud, à la hauteur de la rue Einstein, vous avez la voie droite qui est partiellement travaillée à cause d'un véhicule en panne. Donc là aussi pour des gens qui montent ou qui descendent, ça va être compliqué. C'est très compliqué sur la rive Nord ce matin. Plus que sur la rive Sud comme hier parce que les gens sont capables de traverser le pont. Résultat, donc, c'est bloqué sur Charest à partir de Duplessis en se rendant jusqu'à Saint-Sacrement. C'est bloqué également sur Capitale dans les deux directions. L'accès à la colline parlementaire par Dufresne-Montmorency, c'est pas facile. Puis l'accès au pont, même s'il n'y a pas d'accrochage puis une pluralité d'événements ce matin, c'est toujours compliqué, surtout un mardi. Donc, 20 S, 20 Ouest, 73. C'est du costaud, encore une fois, ce matin. Écrivez-nous, vous connaissez les coordonnées. En tout temps, pour nous dire ce que vous voyez sur les routes jusqu'au 26 octobre, les croissants pur beurre sont à 6$. Pour seulement 8$ chez Premières Moissons, c'est offert en comptoir ou en surgelé, en magasin ou en ligne. Il y a certaines conditions qui s'appliquent. [01:26:09] Speaker A: Maranda Optométrie pour un choix de monture parmi les 5000 en magasin. Maranda Optométrie pour une deuxième paire de verres gratuite. Maranda Optométrie pour des examens de la vue à la fine pointe de la technologie. Maranda Optométrie à Lévis et à Beauport sur le boulevard Deschutes. maranda.ca André vient de vendre facilement et en moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire. [01:26:35] Speaker C: Oui, oui, devant notaire. [01:26:37] Speaker A: Sans aucune complication. Et sans commission ni rénovation. Vite de même. [01:26:42] Speaker C: Vite de même. [01:26:43] Speaker F: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez. [01:26:46] Speaker A: Votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. [01:26:48] Speaker F: Et vous allez vendre, vous aussi, vite de même. [01:26:51] Speaker A: Lui qui va l'acheter ton bloc. [01:26:53] Speaker G: Airfortin.com. [01:26:55] Speaker A: Yes! Oui, c'est Stéphane qui s'installe. On s'embrasse ce matin. Stéphane, la chance est avec nous autres. Manquez pas ça. Et par la suite, bien entendu, c'est le débat Lévis. C'est gros, le débat Lévis. Donc, ça va durer à peu près une demi-heure. Et ensuite, on va ouvrir les lignes. Et c'est Lévis qui est une ville un peu négligée, je vais le dire. dans cette campagne, pas beaucoup de médias qui parlent de la course à la mairie de Lévis. Je continue de parler de Lévis, moi, avec Lévis Ford, l'effort de Lévis, puis c'est du wow, wow, wow, et pas à peu près. C'est le plus récent concessionnaire bâti dans la grande, grande, grande région de Québec. C'est des bureaux flambant neufs pour une franchise classique qui est celle de Lévis Ford au 5307. J.H. Lafontaine, si vous êtes sur la 20, Direction Québec. Stollé, vous voyez ça. Direction Québec, c'est à votre droite. Comme dirait Ray, c'est de la droite vers la gauche quand il commence une game de hockey. Vous tournez vers la droite et vous voyez le concessionnaire avec des prix sensationnels. La F-150 2025 à 0 % à l'achat jusqu'à 60 les 12 mois. Ça, c'est complètement capoté. Plus 1000 $ d'un rabais, c'est incroyable. Lévis Ford, l'effort de Lévis. Cette semaine, écoute le retour. Vous pourrez gagner l'un des cinq traitements d'anti-rouille complets offerts par Antirouille Métropolitain. Au signal de VH, prends ton sel et texte-nous Antirouille. Antirouille Métropolitain grouille avant que ça rouille. Prends rendez-vous sur antirouille.com. Plongez dans 888casino.net. Conçu pour jouir des machines à supprimer. Pour découvrir un monde de plaisir. [01:28:43] Speaker F: C'est fait pour divertir. Pour se délecter de la roulette. [01:28:49] Speaker A: Super! [01:28:51] Speaker H: C'est juste pour jouer. [01:28:53] Speaker A: Ouais! [01:28:53] Speaker F: Ça marche! [01:28:56] Speaker A: 888-Casino.Net. Fait pour jouer. [01:28:59] Speaker G: 19+. Jeux gratuits et uniquement. Jouer de façon responsable. [01:29:03] Speaker C: Je vous parle de lunetterie Beland. Lunetterie Beland. C'est garanti, OK? D'abord, quand vous rentrez là, vous allez payer moins cher qu'ailleurs pour exactement la même chose. Vous avez votre prescription lunettes. Vous allez voir. Ils ont les grandes marques, ils ont les mêmes produits que vous retrouvez ailleurs, mais c'est moins cher. Vous vous rendez dans une des trois succursales dans la grande région de Québec, à Lévis, à Val-Bellart et à Sainte-Foy. Vous allez y retrouver plus de 1500 montures en magasin. Vous allez retrouver également une vaste sélection spécialisée pour les enfants de succursales de Val-Bellart. On a plus de 400 modèles juste pour les jeunes. T'sais, les jeunes sont tout le temps pareils. Vous regardez les photos de classe, ils ont toutes les mêmes paires de lunettes qui ressemblent aux petits Jean-Claude dans l'annonce de frites qu'il mange son ketchup. Bien, c'est pas ça. Là, vous avez plus de 400 modèles, donc ça peut être un peu plus original, puis le service est extraordinaire. C'est complètement malade. L'équipe d'opticiens est professionnelle. Ils vous attendent. Lunetterie Beland, service qualité bas prix. LunetterieBeland.com, on est à Lévis, Val-Belard et Sainte-Foy. [01:30:00] Speaker A: Bon, qu'est-ce qu'on mange? [01:30:01] Speaker G: Une pizza! [01:30:03] Speaker A: L'ingrédient frais, pâte et sauce maison, Ludo, la pizza congelée au vrai goût de resto. En ce moment, c'est 2,9 pouces pour 12 dollars. Dispo chez les marchands participants. Et un prix très, très, très spécial au IGA Amel. Ludo. Décongeler, cuire, servir. Cette semaine, écoute Couture dans le Mid. Et cours la chance de gagner ton billet d'entrée pour le Hackfest 2025 d'une valeur de 130 $. Prépare-toi à vivre l'expérience cybersécurité ultime. Formation, conférence, compétition et la crème des experts réunis à Québec. Le Hackfest 2025 du 13 au 18 octobre au Centre des congrès de Québec. Détails sur hackfest.ca À Télé-Québec, le mercredi. [01:30:44] Speaker G: 20H, une époque formidable, animée par Stéphane Bureau. On est nul à chier en Amérique du Nord avec les émotions. [01:30:50] Speaker A: Déjà, je sens que ça vous parle. S'exprimer. Je trouve que notre époque, elle est inculte, elle est illettrée, elle ne s'intéresse qu'à elle-même. Il y a quelqu'un qui lève la main. [01:30:59] Speaker G: Je suis d'accord avec un argument de mon adversaire politique échangé. [01:31:02] Speaker D: Wow! [01:31:03] Speaker A: Ça doit faire 20 minutes que j'ai. [01:31:04] Speaker C: Envie d'intervenir puis de sauter dans l'arène. [01:31:06] Speaker G: Allez au-delà des préjugés avec Une époque formidable, mercredi 20h à Télé-Québec. C'est l'événement Mon moment beauté chez Brunet. Ce vendredi et samedi, ajoutez votre coupon dans l'appli Brunet et moi et profitez de 10 fois les points moi à l'achat de 70 $ ou plus en cosmétiques. Détails au brunet.ca. [01:31:24] Speaker B: Coach, la Yonex 6 est en course à la glace. [01:31:26] Speaker C: Avec la recharge rapide, il n'y a pas assez de temps entre les périodes. [01:31:28] Speaker A: Pour l'arrêter, puis en plus... En plus quoi? C'est l'événement le plus bel arrêt Hondé. [01:31:32] Speaker C: Tu peux la financer à partir de. [01:31:33] Speaker A: 0 %, plus obtenir jusqu'à 11 000 $ de rabais additionnels de Hondé et. [01:31:37] Speaker C: Du gouvernement du Québec sur toutes les Yonex 6 2025. [01:31:40] Speaker A: Ou louer la version Preferred à longue portée à partir de 1,99 % avec. [01:31:44] Speaker C: Paiement hebdomadaire de 100 $. [01:31:46] Speaker E: Mais là, sont-ils bâtards? [01:31:47] Speaker A: On va faire quoi? Payment du coeur! [01:31:48] Speaker C: Payment du coeur! [01:31:49] Speaker A: Let's go, les gars! [01:31:50] Speaker C: Les conditions s'appliquent. Visitez Hondé Canada pour les détails. [01:31:54] Speaker A: Grandes ventes Milwaukee d'outils plus jusqu'à 60% de rabais, promos exclusives, cadeaux avec achat et beaucoup plus. Jeudi 9 octobre de 9 à 21h au Centre de foire de Québec. Radio X. À Québec, c'est Radio X. Choisis. [01:32:19] Speaker G: Radio X. [01:32:21] Speaker F: C'est vous. [01:32:21] Speaker G: Fais drôle. [01:32:22] Speaker A: Votre propre opinion. Moret. Live. [01:32:27] Speaker G: Avec Dominique Moret. [01:32:29] Speaker A: Nous sommes profondément désolés. Radio X. All right, all right, all right. Les débatteurs sont arrivés, sont dans le salon, en train de fraterniser. C'est cool, Lévis, je trouve. Ça s'arrache pas la tête, ça se diffame pas. Ça utilise pas des chroniqueurs comme... comme alliés pour mousser des campagnes. Je trouve que c'est une campagne clean, moi, que je sois dans l'erreur, mais d'homme, pas mal clean, Lévis. Et ça va nous faire plaisir d'organiser ce débat. pour Lévis et pour toute la gang de Québec, parce qu'ils vont parler de troisième lien, donc c'est sûr que ça nous concerne. Donc manquez pas ça, mais d'abord, on tente de rejoindre Gary, mais c'est pas plus grave que ça, à moins qu'on ait des extraits sous la main. J'ai des extraits sous la main du point de presse de marchand, c'est ça qui est le plus important. Stéphane Lachance qui est en studio. On fera pas de pièce de théâtre, là. T'es chroniqueur ici, dans le passé, dans une autre vie, qui est pas si lointaine. Stéphane, salut! [01:33:30] Speaker E: Bon matin. [01:33:31] Speaker A: Avant d'aller à l'histoire des taxes sorties ce matin par le soleil, j'aimerais ça qu'on entende ensemble des extraits pris sur le volet, là, de Marchand, qui est sorti hier. Bien appuyé par les médias, donneur de leçons, cessez de me critiquer, ça va bien. À mot couvert, Cessez de sortir des dépenses. Et Dieu sait que demain, manquez pas ça, dans le midi, il y aura Renaud Labrecq. Ça, ça le fatigue beaucoup. Cessez de me critiquer. On mène une très, très bonne campagne. On écoute. J'ai ni preuve ni soupçon. Je veux pas faire des amalgames avec qui que ce soit. [01:34:14] Speaker D: Je suis incapable d'en faire. [01:34:15] Speaker C: J'ai pas de preuve de ça. [01:34:16] Speaker A: Je pense qu'on doit dénoncer, par contre. Je pense qu'on doit fermement dénoncer. Si jamais un jour on apprenait qu'il y avait des gens en politique derrière ça, ça serait, à mon avis, scandaleux. Je le présume pas. [01:34:26] Speaker B: J'ose pas présumer ça. [01:34:28] Speaker A: Mais je pense qu'au moins, on a. [01:34:29] Speaker D: Le pouvoir de dénoncer puis de dire. [01:34:30] Speaker A: Ça n'a pas de classe, ce qui se fait là. [01:34:31] Speaker C: Et ça ne devrait pas continuer. [01:34:33] Speaker A: Non, moi, je trouve que c'est pire. Moi, je trouve que c'est pire qu'il ait 4 ans. C'est dur sur les proches. C'est dur sur les proches de voir la haine, la violence qui est envoyée au candidat, au candidat. Tous partis confondus, je le répète, on n'est pas les soeurs en ligne. [01:34:51] Speaker C: C'est dur. [01:34:51] Speaker A: Puis c'est dur quand les proches sont impliqués. Des gens qui ne font pas le choix de la politique, qui ne font pas ce choix-là, qui sont obligés de se retrouver souvent, dans ce cas-ci, de façon très misogyne, à être impliqués. Mes proches ont pas choisi de faire de la radio, mais quand Marchand m'a sali, c'est mes gars qui sont venus me voir avec ma femme, ok? Depuis ce temps-là, ma femme n'a plus qu'à me dire voir la face à Marchand. Fait que Marchand, écoute-moi bien, moi, tu pites. J'ai joué dans le film, t'as été le bully, t'as fait le tour de toutes les antennes pour deux patentes dont l'histoire du wax pen qui était un gag, une analogie. T'es allé à Patrice Roy, t'es allé partout et les chroniqueurs à l'unisson ont claironné pour que je sois congédié. Il a appelé mon boss à me congédier, il a appelé mon boss à engager un avocat pour Défendre Radio-X parce que lui était en train de menacer de poursuite. Fait qu'écoute-moi bien, mon p'tit p'tit. À matin, toi, tu es un bolé. Tu as écoeuré mes enfants et ma famille. J'étais en une de la presse, alors que la deuxième nouvelle de la presse, c'était Fitzgibbon blâmé par le commissaire à l'éthique. Fait que, mon p'tit p'tit, tu vas respirer égal. Ça marche-tu? Et quand on te qualifie d'incompétent, ça, c'est démontré et démontrable. Fait que les histoires de manipulation victimaire, on en a soupé. Fais ta job. Radio X va faire la sienne. Renaud Labrecq, demain, continuera de faire la sienne. Et commence plutôt à donner des réponses intelligentes à la place à Renaud Labrecq, au lieu de le diminuer et de le salir en passant, en disant que c'est juste un maire de village, donc c'est un tata, c'est un coucou, c'est un ci, c'est un ça. Commence à répondre à ça avec des faits. au lieu de te la péter en grand curé, au grand pied, devant tout le monde, donneur de leçons. Avec tes alliés des médias, là, on a pas mal compris la game. J'ai compris la game pas pire, je te dirais. Fait que toi t'as écoeuré ma famille, toi t'as écoeuré mes gars, et mes gars se sont fait écoeurer à cause de toi. Fait que achète-toi un miroir à matin, il est 7h37, de l'heure à moi au 29h. Stéphane Lachance, salut. [01:37:08] Speaker E: On a vu qu'on a voulu faire un tournant de spin. On a voulu éluder en tant que tel toutes les allégations qu'il y avait rapport à son compte de dépenses. Il faut se rappeler que Bruno Marchand a dépensé 23 fois plus que Régis Labeaume. Puis là, bien, il a voulu passer ça en dessous et là, il a sorti les histoires. On a spiné dans le Journal de Québec, samedi, dimanche et lundi, les histoires de commentaires. On accuse bien évidemment Respect citoyen parce qu'on est le parti qui a le plus de followers, 18 000. Le plus proche est à 3 000. Donc, c'est sûr que la quantité de commentaires qui pourraient être plus discutables va être plus élevée chez Respect citoyen. On a pris les mesures, on a demandé à quelqu'un, en tant que tel, d'embarquer à temps plein pour faire du nettoyage. On en élimine entre 10 et 20 par jour. Pis moi aussi, là, j'en reçois des commentaires, là. Je me fais traiter de l'obèse très, très régulièrement, là, sur les propos, là. [01:37:59] Speaker A: Mais t'es pas dans le camp du bien! [01:38:00] Speaker E: Mais non, mais je suis dans le camp du mal. [01:38:01] Speaker A: T'es pas dans le camp du bien! [01:38:02] Speaker E: Je suis dans le camp du mal. [01:38:03] Speaker A: Alors ça, c'est... Ah, c'est un chroniqueur de Radio Wix, on le répète, hein? Tiens, tiens, complot! Karen qui va écrire ça. [01:38:08] Speaker E: Je me suis fait... [01:38:09] Speaker A: Alors qu'on n'a pas... on t'a pas reçue en campagne. [01:38:11] Speaker E: Non. [01:38:11] Speaker A: Mais elle, elle dit, oh, tiens, tiens! Chroniqueur régulier durant la camp Je me. [01:38:16] Speaker E: Suis fait même dire, Dominique, je me suis fait même dire hier, parce que moi j'ai repris les propos de Renaud, qui sont généralement pas repris des journalistes, et on m'a dit « Ouais, colle-toi pas trop à Renaud Labrecq, là, des fois, là, ces affaires-là, c'est pas solide, solide. » J'ai dit « Pardon? » J'ai dit « Je pense que Renaud Labrecq, si ces choses seraient pas solides, ça ferait longtemps qu'il y aurait eu des poursuites par la tête. » J'ai dit « À ce que je sache, il y en a pas eu. » Fait qu'habituellement, Renaud, quand il sort, c'est parce qu'il y a les papiers, pis il y a des preuves. Alors ça, c'était une spin. Hier, on voulait carrément éliminer l'histoire du compte de dépenses. [01:38:43] Speaker A: Mais est-ce qu'on veut t'éliminer? [01:38:44] Speaker E: Bien là, ce matin, c'est sûr et. [01:38:46] Speaker A: Certain que... Avec l'histoire plongeon, c'est l'heure du soleil, l'histoire des taxes. [01:38:50] Speaker E: Comme par hasard, cette histoire-là arrive la journée du débat. Vous croyez au hasard aller jouer au casino, là? Alors hier, j'ai été informé par le journaliste du Soleil qu'il y avait une problématique au niveau de mon compte de taxes résidentielles. J'ai téléphoné à mon bureau, parce que moi, c'est mon bureau qui s'occupe de ça, mon adjointe administrative. Elle a fait les vérifications. Et après vérification, et on a un papier de la Ville de Lévis que je t'ai amené une copie, qui dit que nous avons reçu un paiement électronique de votre part. Cependant, le paiement a été fait sous un numéro erroné et ne correspondait pas... Tu l'as? Tu l'as devant toi? ne correspondait pas au numéro matricule de votre propriété. [01:39:27] Speaker A: C'est un document, la division des revenus, le Ville de Lévis. Exact. Ça par contre, ce que je trouve. [01:39:32] Speaker E: Dommage, c'est que j'ai donné aussi ce document-là, puis je t'ai donné aussi la preuve comme de quoi j'ai payé le montant. [01:39:37] Speaker A: Alors, Le 16 octobre, paiement 2086, c'est 06. [01:39:42] Speaker E: Dans l'heure qui a suivi, ça a été payé, puis c'était pas le montant total, c'était une partie. Donc le paiement avait été fait, c'est juste que le numéro matriculier de ma propriété était erroné. C'est mon bureau, c'est mon adjointe. Ce matin, mon adjointe, je vous dirais qu'elle file pas très gros, là. Et il n'est pas question que je la jette en dessous de l'autobus. Au final, je suis responsable. [01:40:00] Speaker A: Je suis désolé. T'as-tu une erreur du donnaire responsabilitaire? [01:40:02] Speaker E: Je pense que peut-être le personnel, c'est d'ailleurs quelqu'un qui me faisait cette recommandation-là. Je pense que le personnel, peut-être que je devrais m'en occuper personnellement puis laisser. [01:40:10] Speaker A: Les choses... T'es conscient que ça va être réutilisé? Ah oui! Il est à Lévis, le candidat de Lévis qui veut être maire de Québec. T'es conscient? Je suis conscient de ça, mais ça. [01:40:18] Speaker E: De toute façon, on l'entend. Mais écoutez, il fallait qu'ils trouvent quelque chose sur moi. Ils n'ont rien à dire sur moi. Donc ça, c'est vraiment le premier pavé dans la mort qu'on a depuis le début de la campagne. [01:40:25] Speaker A: Mais ils vont faire une journée là-dessus. [01:40:26] Speaker E: Oui, mais écoute, j'ai TVA après toi, j'avais Radio-Canada ce matin. Mais je vais faire le tour. J'en prends la responsabilité. [01:40:32] Speaker A: Mais le journaliste a ça. dans les mains et il n'en a pas fait mention. [01:40:35] Speaker E: C'est ce que tu dis. Oui, exactement. Puis les gens au niveau de notre contentieux, au niveau droit, vont vérifier à savoir s'il y a eu un manquement à ce niveau-là parce que, je veux dire, c'est une erreur. C'est une erreur. Le paiement a été fait, mais le numéro de matricule n'était pas bon. Alors, puis c'est un montant quand même qui n'était pas énorme, mais on l'a payé. Dans l'heure qui est suivie, on l'a payé. C'est un dossier qui est réglé, puis je n'ai pas l'intention de faire déraper notre campagne électorale pour ça. Ça va bien. On a des bons résultats sur le terrain. [01:40:58] Speaker A: Les sondages, ça dit quoi? [01:40:59] Speaker E: Les sondages, il n'y a pas de sondage officiel, mais sur le terrain et à l'interne, en tant que tel, on est en montée. On est en montée. [01:41:06] Speaker A: C'est pour ça que je commence à parler de toi. [01:41:08] Speaker E: C'est sûr. [01:41:09] Speaker A: Quand un politicien, puis ça a même affaire pour un animateur de radio, quand on lide ou quand il y a un momentum, C'est sûr que... c'est comme les sports, je te dirais. T'sais, une équipe qui est menaçante ou un candidat ou un athlète qui est menaçant, c'est sûr que l'autre bord, on fourbi les armes puis on veut attaquer. [01:41:28] Speaker E: On l'a vu dans le hockey, on a envoyé cogner du monde, d'importe, des joueurs pendant la nuit pour les réveiller. C'est sûr que moi, j'ai pas passé une bonne nuit, je vous cacherais pas, mais c'est pas grave. Je vais me tenir debout. Il y a eu une erreur qui a été faite. C'est pas moi directement qui l'a fait, mais j'en suis responsable et j'en prends la responsabilité. Je m'en excuse, puis on va s'assurer en tant que tel que ça ne se répète pas. Puis comme je l'ai dit, peut-être que je vais changer ma façon de faire, le personnel, je vais m'en occuper. Mais ce dossier... [01:41:54] Speaker A: C'est une erreur, la Ville de Lévis, je l'ai le document aussi devant moi. [01:41:57] Speaker E: L'erreur n'est pas de la Ville, c'est qu'on a mis le mauvais numéro de matricule, puis à ce moment-là, ils l'ont. [01:42:02] Speaker A: Attribué... Non, non, mais t'as pas... Moi, je pourrais dire ça. C'est-tu du M2.0, cette affaire-là? [01:42:07] Speaker E: Non, c'est pas du tout. On n'est pas du tout dans la même chose. C'est pas la même affaire du tout. Le paiement avait été fait, sauf qu'on a utilisé un immoraux matricule qui était erroné. [01:42:14] Speaker A: C'est ça. [01:42:14] Speaker E: Alors c'est ça qui est arrivé. Alors c'est réglé. L'heure qui a suivi, j'ai payé. Puis je jetterai pas mon adjointe en dessous de l'autobus. [01:42:20] Speaker A: Non, non. Elle a fait une erreur. [01:42:21] Speaker E: Elle a fait une erreur. Mais c'est des choses qui arrivent. On est des humains. J'en prends la responsabilité. Je ne mettrai pas ça en dessous de ça. C'est ma responsabilité. Est-ce que je vais changer des choses au niveau de ma gestion personnelle? Oui, je vais le faire. Puis de toute façon, je l'ai dit. Puis là, ça va se faire probablement d'ici une semaine. La propriété de Lévis, elle va être mise en vente parce que je l'avais dit que je l'ai fait. [01:42:40] Speaker A: La raison pour laquelle... Ah oui, absolument. [01:42:42] Speaker E: La raison pour laquelle j'ai acheté une propriété à Lévis, c'est qu'il n'était pas question pour moi de donner mes taxes de bienvenue puis mes taxes à Bruno Marchand pour faire un tramway. À un moment donné, il faut être cohérent. Alors c'est pour ça que j'avais magasiné à Saint-Augustin, à l'ancienne Lorette. J'ai trouvé à Saint-Étienne. Puis écoutez, là, je vais faire environ 37 % de profit en trois ans sur une résidence. Je peux pas dire que j'ai fait un mauvais deal, mais je la vends, la résidence, je vais la vendre. Je vais m'installer à Québec parce que je suis un gars de Québec. C'était tout simplement... Puis là, on se sert de tout. On se sert de ça à outrance parce qu'on n'a rien à dire. [01:43:12] Speaker A: Ça, ça m'a été attaqué de plus en plus. [01:43:14] Speaker E: Ben oui. [01:43:14] Speaker A: Parce que j'imagine qu'il y a des, je sais pas, des sondages internes qui. [01:43:17] Speaker E: Démontrent... Non, ça va bien sur le terrain. Les gens, écoute, on est rendu à plus de 400 pancartes de terrain distribuées pour les citoyens. Quand quelqu'un fait le commitment de mettre sa pancarte sur son terrain, il dit à ses voisins et à sa communauté, moi, je vais voter pour cette équipe-là. Alors, je pense que c'est représentatif, puis ça va bien. On continue. [01:43:35] Speaker A: Stéphane, merci beaucoup. [01:43:36] Speaker E: Merci d'avoir... m'avoir permis de m'expliquer. [01:43:38] Speaker A: Et là, on va faire de la place en studio parce qu'après la pause, c'est le débat Lévis au retour dans Morelive. [01:43:54] Speaker D: C'est pas un problème l'argent. [01:43:55] Speaker G: Pierre Couture. [01:43:57] Speaker A: Ça roule. [01:43:58] Speaker G: Suivez les chroniques de Pierre Couture. [01:44:00] Speaker A: Ça roule. [01:44:01] Speaker G: À Radio X. [01:44:01] Speaker A: Radio X. [01:44:03] Speaker G: La chronique de Pierre Couture présentée par Noréa Foyer-Napert. Les poêles et foyers Osburn fabriqués à Saint-Augustin sont arabais et vous économisez des milliers de dollars. Noréa Foyer-Napert à Sainte-Marie et à Québec. [01:44:15] Speaker A: Gestion Marc-Olivier Tanguay, bien sûr, avec les dettes. C'est ça. Lui, c'est capitaine bonne nouvelle, sauf que pour y accéder, ça te prend des mauvaises nouvelles. L'accumulation de dettes, t'es en train de déraper, t'es en train de l'échapper. La deuxième hypothèque, puis les cartes de crédit et tout, ça suffit. Tu peux économiser jusqu'à 1300 $ par mois. Surtout si t'es propriétaire d'une maison, on va mettre ça sur la marge des crédits hypothécaires. C'est-à-dire qu'on paye, on fait un pot, qu'on solide. Ciseau dans la carte. Tu respectes tes engagements. T'es un pro, mais t'as de l'honneur, OK? Tu te sauves pas, puis sans payer, c'est des folies, ça. Et par la suite, tu vas payer temps par mois, sur 5 ans, 6 ans, etc. Tu vas faire face à la musique. Pas de faillite, refinancement au besoin hypothécaire, c'est disponible également. Contacte-le dès maintenant au 88 655 36 86 gmot.ca Chez SBI à Saint-Augustin, on embauche, manœuvres, opérateurs, feintes, électro-mécaniciens, soudeurs et bien plus. Dans les bureaux ou dans l'usine, joins tes forces à notre équipe de feu. Formation fournie, horaire flexible, applique dès maintenant chez SBI. [01:45:24] Speaker G: JobDeFeu.com les enfants quittent les écrans et bougent. Les nouvelles attractions Parc lunaire et Turbulence vous attendent. Devenez membre avec accès illimité pour 39,99 $ par mois. iSalt.ca. [01:45:42] Speaker A: Envirocomfort, on est là. On a-tu des pubs assez effrayants? Il y a une certaine chroniqueuse qui dit ça a-tu pas de bon sens? Bien, ça a doublé les clients dans Montréal Live. Aïe, aïe, aïe. Et vraiment, c'est un record de live ce matin. Donc, vous allez m'entendre parler. Vous êtes vraiment dans Morelive. Enviroconfort, mesdames, messieurs, avec des promos incroyables. Enviroconfort, ça commençait à Lévis. Justement, c'est le débat de Lévis qui commence bientôt. Ça, c'est une belle compagnie de Lévis anti-péché. qui ont gagné plein de prix, des prix d'entrepreneuriat, etc. Puis là, c'est la deuxième sous-cursale, vous le savez, qui s'est installée, quoi, il y a deux ans, à peu près, à Québec, sur Pierre-Bertrand, avec des rabais, répétons-le, incroyables, sur les climatiseurs, les thermopompes. Là, c'est le temps, là. C'est le temps de booker ça, là, les rendez-vous d'installation de machines pour être confortable. Thermopompe murale, rien de mieux. On peut y aller dans d'autres styles aussi. Viens jaser avec nous, aux experts, d'enviroconfort.com. [01:46:41] Speaker D: La circulation de Québec pour faciliter la fluidité. [01:46:49] Speaker C: Je savais pas où l'ordinateur allait, donc j'y ai fait confiance puis il était à la bonne place. [01:46:53] Speaker A: Sais-tu quoi? [01:46:54] Speaker C: Comme quoi dans la vie. C'est un peu ça sur la route aussi, il faut faire confiance puis on va se rendre à la bonne place à l'heure de quoi ce matin. C'est assez costaud. Celle des mois que ça a été hier, c'est la Rive-Sud. La Rive-Sud hier, c'est pas compliqué. On avait l'impression que c'était une journée de tempête, de neige, tout le monde plantait, mais il y a du monde pareil. La Tête-des-Ponts, c'est compliqué. Pour tout le monde, VS 20 ouest 73 sur la Rive-Nord maintenant, Laurentienne et Henriette, direction Sud, c'est compliqué. Capitale dans les deux directions, c'est très très lourd. Pour ce qui est de Charest, ça commence à Saint-Augustin-Village et c'est par choc à par choc jusqu'au centre-ville Laurentienne et Dufresne-Montmorency. L'accès à la colline parlementaire est compliqué également. 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[01:51:03] Speaker F: L'embarquement pour le vol 246 à destination. [01:51:06] Speaker A: De Montréal est retardé de 50 minutes. Ah ben là! On dirait que c'est l'heure d'Oh Joe! Play Oh Joe? Bonne idée! Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolf Gold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Wouhou! J'ai gagné! [01:51:22] Speaker G: Sentir le plaisir, Play Oh Joe! [01:51:25] Speaker A: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus. Il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable. Votre courtier résidentiel et commercial à Lévis et Québec, c'est Éric Thérien Remax. Réalisez vos rêves avec un courtier intègre, dynamique et efficace à votre service. Éric, en commercial. [01:51:43] Speaker G: Équipethérien.Com Les rabais de la circulaire d'octobre sont arrivés chez Mondou. 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[01:52:56] Speaker A: Radio X, à Québec, c'est Radio X. Radio X, c'est vous. Votre propre opinion. [01:53:18] Speaker G: Radio X. [01:53:19] Speaker A: On a rendu là, ça fait du bien de recevoir du monde de Lévis. On est rendus au débat de Lévis, mesdames et messieurs. J'étais sûr que c'était pour les fesses horaires. [01:53:38] Speaker B: On s'en va. [01:53:43] Speaker A: Isabelle Demers, bonjour, comment ça va? [01:53:45] Speaker G: Bonjour, ça va très bien. [01:53:46] Speaker A: Stephen Blaney. [01:53:47] Speaker B: M. Morin, bonjour. [01:53:48] Speaker A: Et M. Bonin. [01:53:49] Speaker H: Salutations. [01:53:50] Speaker A: Donc, merci. On n'est pas importants, mais on vous présente la tribune. Ceux qui sont importants, c'est ceux qui votent. Ils sont de l'autre côté de la rive, juste de l'autre côté du fleuve, et on vous écoute. Donc, nécessairement, les auditeurs, les livers, vous pouvez... intervenir par texto sans problème. Mais c'est surtout après le débat. Manquez pas ça. On ouvre les lignes. On veut savoir si ça vous a fait changer d'idée. Tu sais, des fois, un débat peut être un game changer. [01:54:17] Speaker B: L'après-match. [01:54:18] Speaker A: Sans prétention, l'après-match. Oui, c'est bon. Bonne expression. L'après-match. Premier thème, c'est... Puis Dan est prêt. Ça va être à peu près 8 minutes chaque thème. Il y en a trois. Premier thème, c'est transport. Est-ce qu'on va enfin bouger à Lévis? Comment on va faire pour désengorger la circulation? Est-ce qu'on veut élargir les routes, des nouvelles routes? Transport en commun, comment vous voyez ça? Le troisième lien, est-ce que vous y croyez encore et sous quelle forme, surtout? Et pourquoi les Lévisiens embarqueraient-ils dans le transport en commun aujourd'hui? Qu'est-ce que vous changeriez? On y va avec une prise de position d'une minute pour chacun et ensuite, on y va avec le débat. D'abord, Mme Demers. [01:54:59] Speaker G: En fait, au niveau du transport, que ce soit transport ou mobilité, là, présentement, on a de la difficulté à circuler. Disons-le, on a vraiment de la difficulté à circuler sur le territoire de la Ville. On a fait, dans les dernières années, on a fait des investissements majeurs sur le boulevard Guillaume-Couture. Et ce qu'on voulait faire avec ça, c'est vraiment une adhérence à l'horaire du transport collectif. Donc, que les gens qui prennent l'autobus soient assurés que les horaires soient respectés. l'appui du gouvernement provincial et fédéral. C'est une priorité. C'est un dossier du provincial. Isabelle Demers ne peut pas. Je ne peux pas aller le faire moi-même. Mais les pressions et un leadership municipal, c'est de faire la pression pour que le gouvernement provincial, dès 2026, fasse l'élargissement de l'autoroute 20. On parlera du troisième lien un peu plus tard. [01:56:09] Speaker B: Oui, bien, premièrement, merci à Chouette de nous recevoir ce matin. C'est clair que quand on regarde le Lévis qu'on se projette dans le futur, on a besoin d'un bouclage périphérique, comme toutes les grandes agglomérations. Et c'est pas juste bon pour Lévis, c'est bon pour Québec, pour le Bas-du-Fleuve, pour la région de Charlevoix. Donc, un bouclage périphérique, c'est la vision et c'est par là qu'on s'en va comme collectivité pour équilibrer notre développement. Évidemment, à court terme, comme on le mentionnait, Transports Québec a dans ses cartons l'élargissement de l'autoroute 20 en direction ouest. Alors, ce qui est important, c'est de marteler que ce projet-là aurait dû se faire. Donc, il est minuit S5 pour justement, je dirais, pour alléger légèrement les problèmes de congestion, tout comme l'aménagement en boulevard urbain de Marie-Victorin et de la route des rivières, qui sont justement encore dans une zone de forte concentration. Ça, c'est le premier point. Le deuxième, c'est déjà terminé, c'est le. [01:57:07] Speaker A: Transport... Vous en débattrez. Parfait. Et M. Bodin, pour finir, votre prise de position de minute. Allez-y. [01:57:14] Speaker H: Merci. Bien, nous, on propose un plan complet. L'élargissement de l'avance n'est pas suffisant avec l'entonnoir des ponts. Ça ne réglera pas tout le problème. Dans la vision 2040 de la Ville, on parle d'un gain de part modale. Il y a 5 % des gens qui prennent l'autobus. On veut aller à 10 %. C'est ça, la vision de la Ville. Le seul moyen de retirer des voitures, d'alléger le trafic, il n'y en a pas d'autres. C'est le SRB. Ça a été démontré par des études. Et on ne parle pas nécessairement de vous. Si vous ne pouvez pas prendre le bus, pour différentes raisons, vous allez porter les enfants, vous transportez du stock, ça peut être votre voisin qui prend le bus, puis là, on retire des voitures, c'est la seule façon de faire pour alléger le trafic. Les voies réservées ne changent pas ça, ça ne libère pas le trafic. Alors, je défends la vision de la Ville là-dessus. Bien sûr, on est d'accord sur le troisième lien, des carrefours giratoires, des ronds-points, des virages à droite, des feux synchronisés, oui. Mais il n'y a pas d'autre solution pour régler le trafic. On va prendre le temps de le faire, mais on n'a pas d'autre choix. Sinon, l'A20 va rester un stationnement. On est conscients de ce que ça va coûter, mais ce qu'on va faire, c'est qu'on va dégager une réserve, on va attacher les partenaires, on va diminuer la dette d'abord. Tant que la dette est haute, on fait pas ça, mais on va y aller par phase ensuite avec des partenariats. Et là, on a besoin de savoir, d'avoir nos investissements à Lévis. Voilà. [01:58:22] Speaker A: On peut y aller, Dan, avec le débat. Et c'est M. Blainy qui engage le débat. [01:58:29] Speaker B: En fait, juste pour poursuivre ce que j'avais entamé, chers collègues, dans le fond, c'est que oui, on a besoin, bien sûr, de nos infrastructures, mais également, l'axe Guillaume Couture, c'est vraiment notre colonne vertébrale au niveau de la mobilité. Et ce qu'on a vu dans les dernières années, pourquoi les gens nous disent qu'on ne se reconnaît plus à Lévis et qu'on doit donner un coup de barre, c'est parce que la densification a été mal planifiée. On le sait, on va tantôt parler du moratoire, les infrastructures, mais aussi au niveau de la mobilité. Et c'est la raison pour laquelle il est important de poursuivre les efforts dans l'aménagement du transport en commun sur Guillaume Couture. Et là, bien, on doit être pragmatique. Et on peut pas revenir sur... Il y a des choix qui ont été pris. On a des voies réservées. On vient d'investir 150 millions, malheureusement encore avec un dépassement de coûts de 60 millions. Donc, on doit poursuivre et bâtir là-dessus pour avoir cette fluidité-là et le transfert de part modale. Donc, juste pour terminer... [01:59:19] Speaker G: Fait que c'est ça mon point. Non, non, il n'y a pas juste pour terminer, là. C'était une période de débat. Fait que vous n'aviez pas le 8. [01:59:23] Speaker A: Minutes pour vous... Non, c'est ça. [01:59:24] Speaker B: Allez-y. [01:59:25] Speaker G: Merci. [01:59:25] Speaker H: On va se partager quand même. [01:59:27] Speaker G: Oui, alors je vais sourcier le dépassement. D'où vous prenez ça, le dépassement? [01:59:32] Speaker B: Écoute, Madame, ma chère dame, écoutez, les dépassements de coûts, tous les projets à Lévis ont connu des dépassements de coûts dans les cinq dernières années. J'ai une liste, j'ai une liste. [01:59:40] Speaker H: L'alimentation après la pandémie, évidemment. [01:59:42] Speaker B: 35 millions, centre culturel 20 millions, poste de police 74 millions. [01:59:46] Speaker G: Si on crie, est-ce qu'on se permet... Je vais vous donner des chiffres. Ce n'est pas des dépassements de coûts, c'est que les contrats ont coûté plus cher. Juste pour Guillaume Couture, on parle de plus de 30 millions supplémentaires pour faire le projet comme il était prévu. Je suis un peu surprise parce qu'utiliser les bons mots, M. Blainé, ce n'est pas des dépassements de coûts parce que les projets respectent les coûts qui étaient prévus. Ce sont des coûts qui sont plus chers, les appels d'offres qui ont sorti plus chers et on a décidé d'aller de l'avant aussi. Je suis aussi un peu surprise, M. Blainé. Oui, c'est pas très long pour ça. [02:00:31] Speaker B: Je pense que c'est au tour de M. Blainé. [02:00:33] Speaker H: Oui, je vais y aller. [02:00:34] Speaker G: Oui, oui, tout à fait. [02:00:35] Speaker H: M. Blainé, votre discours a changé. Maintenant, vous dites qu'on ne reconnaît plus les vies, alors que vous disiez qu'il fallait développer le plus vite possible. J'ai un peu du mal à vous suivre. Le problème en ce moment avec les voies réservées, c'est qu'il n'y a pas de gens qui vont prendre davantage l'autobus, ça a été prouvé. Donc si on continue dans cette voie-là, on le sait, il y a neuf phases qui sont prévues, donc il va y avoir des travaux, on le sait. Maintenant, le seul projet qui nous permet de changer la part modale, de passer de 5 % à 10 % de gens qui prennent le bus, donc de retirer des voitures, C'est le SRB, c'est le Linea qui était là en 2013 et qui a été abandonné en 2017, malheureusement. C'était le seul projet possible. Donc on est conscient que ça va coûter un certain coût, mais il faut le préparer. On ne peut pas faire autrement. On ajoute des portes, des portes, des portes. Tant qu'on ne change pas le système routier, On ajoute des voitures. [02:01:20] Speaker B: On ne peut pas remettre la pâte à dents dans le sub de dentifrice et revenir vers le passé. On doit être pragmatique. [02:01:26] Speaker H: Il y a 2,9 km de faits seulement. [02:01:28] Speaker B: Il y a 150 millions qui viennent d'être investis. Vous dites qu'on va tout jeter sur la terre. Ça, c'est démoniaque. On ne peut pas faire ça et. [02:01:37] Speaker G: On ne doit surtout pas mettre en contrepartie les deux projets. Si le projet du tramway, c'est le projet de Québec, laissons-leur. On va s'occuper de nos citoyens à Lévis. Moi, je vais vous dire, appelons-le le SRB Léger, si c'est ce que vous voulez. [02:01:51] Speaker A: Est-ce qu'il traverse l'ensemble même? [02:01:53] Speaker B: Est-ce qu'il traverse... M. Moret, il y a déjà l'interconnectivité qui est déjà en cours. [02:01:57] Speaker G: Tout ce qui se fait à la. [02:01:58] Speaker B: Tête des ponts, au niveau du boulevard Laurier, c'est pour nous connecter sur le réseau de Québec. Et l'interconnectivité, c'est fondamental pour, justement, notre fluidité. Les gens de Lévis veulent migrer. Regardez, on est tous à Québec à matin. Ça avait été rapide. [02:02:12] Speaker H: Combien de temps vous gagnez avec les voies réservées actuellement? [02:02:16] Speaker G: Présentement, ce qu'on a voulu faire dans ces projets-là, puis vous y étiez vous aussi, M. Bonin. [02:02:20] Speaker H: Combien de temps on va gagner? [02:02:21] Speaker G: C'est l'adhérence à l'horaire. On fait des horaires avec la société de transport. Vous siégez, comme moi, la société de transport. Les gens embarquent dans l'autobus, puis on n'est même pas capable de respecter les horaires. [02:02:31] Speaker H: Ce qu'on a fait, le 5 %. [02:02:34] Speaker G: De part modale qu'on veut respecter dans la vision 2040, dont vous avez voté contre au Conseil de ville, je trouve ça un peu... Non, mais que vous disiez que vous vouliez... Non, mais moi. [02:02:43] Speaker H: Je suis d'accord avec cette partie-là. Je suis d'accord avec cette partie-là de la vision. [02:02:46] Speaker G: Alors on dit qu'on vote contre au Conseil de ville, mais on est pour et on est contre. [02:02:50] Speaker H: Ça, je vais y revenir, je vais vous dire pourquoi je suis contre, parce qu'il y a deux centres-villes qui sont des points de convergence, on pense pas aux quartiers, donc moi j'ai un problème avec ça. [02:02:57] Speaker G: Je suis contente d'entendre ça ce matin qu'on a deux centres-villes. Parce qu'hier, il n'y en avait qu'un. [02:03:02] Speaker H: Moi, en tout cas, ça, c'est une autre chose. [02:03:04] Speaker B: On va y aller, mais... Pendant que vous vous assistinez chez un collègue... [02:03:06] Speaker C: On s'assistine pas, on discute, M. Blainet. [02:03:09] Speaker A: Oui, M. Bonnet, M. Bonnet. [02:03:11] Speaker H: Juste dans cette perspective-là, c'est écrit sur nos publicités qu'on va gagner 20 minutes entre le cégep et le pont. Mais ça prend, en dehors des heures de pointe, 20 minutes aller entre le cégep et le pont, c'est ça que ça prend. Donc qu'est-ce qu'on va gagner? On va y aller en zéro minute, on embarque à plus personne. Ça prend 32 à 34 minutes en heure de pointe. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas là. Cette publicité-là, pour moi, elle était manipulatrice pour les gens parce qu'on ne peut pas gagner 20 minutes. Ce n'est pas vrai. Ce ne sera pas possible. Il faut embarquer, débarquer des gens sur le trajet. [02:03:39] Speaker G: Il faut aussi laisser de la place aux... Je vais le dire, tout le monde n'ira pas dans le transport collectif. Tout le monde, demain matin, même si on mettait qu'on va sauver 12, 15, 20 minutes, tout le monde ne prendra pas l'autobus. Les gens veulent pouvoir se déplacer à moto, à vélo, à pied. [02:03:59] Speaker H: C'est 5 % l'objectif. [02:04:01] Speaker G: Doubler la part moderne. Vous avez raison, puis c'est ce qu'on est en train de faire présentement. Vous l'avez vu dans les dernières minutes. [02:04:07] Speaker B: Écoutez, c'est clair. Juste tantôt, Mme Demers, les dépassements de coûts haussent de coût. Vraiment. Parce que là, c'est le PQI. Lui, il n'a pas de flexibilité pour les dépassements de coûts. Mais je veux revenir quand même. Il faut penser aussi à nos rues. Il y a les grandes artères, mais c'est important aussi qu'on investisse dans nos rues. Les gens nous disent qu'ils n'aiment pas ça. On le sait bien, l'état de nos rues et trottoirs. Donc nous, on va investir 20 millions pour vraiment, par exemple, refaire les rues qu'ils en ont vraiment besoin. Et également, tout ce qui est notre voirie et les travaux pluviaux. On pourrait revenir, mais moi, une qualité de vie, c'est pas juste de vivre proche d'un parc, c'est de pas avoir de l'eau dans ma cave quand il mouille, c'est d'être capable de me déplacer, puis c'est d'avoir des services de qualité. C'est ça à quoi les gens s'attendent de la ville de Lévis, et c'est ce qu'on veut leur donner avec Prospérité Lévis. [02:04:51] Speaker H: On quitte un peu le transport, là. Je vais revenir dans votre plateforme. M. Bléné, il est écrit « Adopter un règlement spécifique ». J'imagine que c'est au Conseil, là. On va dire que t'es à la ST Lévis. Quoi faire? Ça, c'est étrange. « Pour le transport collectif dans les quartiers à faible densité afin d'offrir des services plus souples, efficaces et économes. » J'aimerais savoir comment ça coûte, le flexibus, à Québec, en moyenne, pour un transport. [02:05:13] Speaker B: Bien, je suis content de poser la question, parce que moi, je vous poserais la question. Non, non, combien ça coûte? Ça coûte 50 piastres. [02:05:20] Speaker H: Bien, voilà. Et combien ça coûte pour le transport d'une personne à Lévis à ce moment? [02:05:23] Speaker B: Je suis content que vous ayez lu. [02:05:24] Speaker H: Notre plateforme, parce que ça veut dire. [02:05:26] Speaker B: Que vous vous intéressez à l'avenir de Lévis. [02:05:28] Speaker H: Donc 50 piastres pour un transport, vous dites que c'est économe? C'est économe, effectivement. [02:05:32] Speaker B: Ce qu'on dit, c'est qu'on doit être ingénieux. [02:05:33] Speaker H: C'est 13 piastres que ça coûte actuellement de déplacer une personne, elle paye 3,75$ là-dessus. Mais on a pas dit que l'exibus. [02:05:38] Speaker G: On a pas dit que l'exibus. À 50 $, c'est économe. [02:05:40] Speaker B: C'est comme ça qu'on veut. [02:05:41] Speaker A: On a dit qu'on voulait être une. [02:05:41] Speaker H: Solution souple et économe, c'est ça que ça donne. [02:05:43] Speaker G: C'est comme ça qu'on veut économiser. [02:05:46] Speaker B: Qu'Est-Ce que vous faites à Pintendre? Tout le monde, quand je fais du sport à Pintendre, me dit, ils sont où, les autobus? Il n'y en a pas d'autobus. La décède, il y a eu une audite. [02:05:55] Speaker H: On a diminué la décède, ça, OK? [02:05:57] Speaker B: On a diminué la décède. [02:05:58] Speaker G: On est arrivés les troisièmes sur toutes. [02:06:01] Speaker H: Les sociétés de transport, juste pour la. [02:06:04] Speaker G: Performance de la société de transport. [02:06:05] Speaker H: Sauf le financement per capita, où on est dernier, malheureusement. [02:06:10] Speaker B: La société de transport de Lévis, c'est les meilleurs. On est les meilleurs à Lévis. [02:06:13] Speaker G: Sortez de pintandre, M. Blainet. Lévis, ce n'est pas que pintandre. [02:06:18] Speaker A: Il reste 15 secondes. [02:06:19] Speaker B: Il faut avoir un service comme tous les intermédiaires. [02:06:21] Speaker A: 10 secondes. [02:06:24] Speaker H: Toujours dans la plateforme, il est écrit, optimiser la flotte des véhicules pour le transport en commun en tenant compte de l'analyse du cycle de vie économique. C'est quoi, le cycle de vie économique d'un bus? [02:06:32] Speaker G: C'est des beaux mots, ça, M. Blainet. [02:06:34] Speaker B: Ça veut dire que quand on investit... C'est bon! C'est terminé! [02:06:38] Speaker A: C'est terminé! [02:06:39] Speaker H: Merci! [02:06:40] Speaker G: Aïe, aïe! OK. [02:06:41] Speaker A: Le logement. Les loyers explosent à Lévis. C'est quoi votre plan concret pour loger le monde? On densifie les quartiers existants ou on ouvre de nouveaux quartiers? Il y a la question également des démoratoires. Vous pouvez y arriver là-dessus. C'est des questions quand même essentielles. Les familles et les aînés peinent à se loger. Comment la Ville? peut aider sans tout refiler. Comment on gère, autrement dit, la croissance? Mais côté logement, je veux commencer d'abord. Ben, allez-y. On va y aller avec les prises de position. M. Bonin, M. Blainy. [02:07:11] Speaker H: Alors, Lévis, la Ville nous dit 25 000 portes, 25 ans, mais on en donne de 3 000 à 4 000 par année. J'ai pas un doctorat en maths, là, mais il y a quelque chose qui marche pas. Comment on va arriver à 25 ans? Dans 7-8 ans, on frappe le mur à nouveau. Alors, ça prend 4-5 ans à faire une usine de traitement des eaux, aussi bien qu'en commencer une autre tout de suite ou tripler la capacité au lieu de la doubler. Moi, je dis, planif 25 ans, c'est 25 000 portes, bien, c'est 1 000 par année, date-cite. Si la Ville dit que c'est plus, moi, je suis prêt à aller à plus, j'ai pas de problème avec ça, mais on planifie sur 25 ans. Les promoteurs, ils dépensent pour leurs projets, ils empruntent, ils payent des intérêts, puis la Ville tire la plug sans prévenir, paf, moratoire, il y a une perte de confiance. Là, ils ont besoin d'une chose, ils ont besoin de la prévisibilité. En ce moment, il y a une crise du logement. Il y a le taux d'inoccupation qui est super faible. Il y a des logements alléviés au-dessus de 2000 piastres par mois. Ça prend du logement qui est abordable. On vient de financer un projet 12 millions le Ville, 36 millions le gouvernement pour des trois à 956 piastres. Est-ce que 956 piastres, c'est abordable? À la Chambre de commerce, j'entendais, dans une conférence, un promoteur qui disait, on en fait des logements abordables à 1500 piastres. Pour moi, ça n'a... c'est pas la... [02:08:17] Speaker A: M. Blainy, une minute. [02:08:20] Speaker B: M. Moret, on a 10 milliards d'investissements qui s'en viennent au chantier des vies dans les 10 prochaines années, avec 1 milliard d'investissements pour moderniser les infrastructures. Ça, c'est une entreprise. Puis on a les technions, on a les jambettes, on a les labris. On a un tissu économique extrêmement dynamique. Et ces gens-là, ces entreprises-là vont attirer des gens qu'on doit loger. Donc, on en est là à loger ces gens-là. Et présentement, on va se dire, bien franchement, Lévis, c'est extraordinaire, mais c'est le ministère de l'Environnement qui a tapé ses doigts de la Ville puis a dit, écoutez, là, Ça marche plus votre affaire, là. Vous n'avez pas planifié votre développement. Un ingénieur, une ville, des gens d'urbanisme, ça planifie et ça doit se parler. Comment se fait-il que l'urbanisme n'a pas parlé à l'ingénierie et dit avec la croissance que vous avez, on ne sera pas capable d'avoir les infrastructures? Donc nous, effectivement, c'est clair qu'on a besoin d'avoir de la présibilité. Puis c'est pas dans 25 ans, c'est dans 3 ans. Combien de permis de construction est-ce que la ville est en mesure d'émettre? C'est ça la question. Et c'est la raison pour laquelle, dans les quatre premiers mois d'un mandat de Prospect Lévis, on va se pencher là-dessus. [02:09:22] Speaker A: Merci beaucoup. Madame Demers, allez-y. [02:09:24] Speaker G: En fait, je suis contente d'entendre ce que mes collègues vous ont parlé ce matin, parce que depuis 2021, on a mis sur la table notre prévision au niveau du logement social et abordable. Lévy-Forcedis, ce qu'elle a fait, c'est qu'elle a dit 100 logements sociaux et abordables par année pour les 10 prochaines années. On est en 2025. Là, je vous parle de 2021, perspective de 2031. En 2025, on est rendu à 811. Donc, on a devancé toutes les sommes qu'on a mises au niveau de l'accompagnement pour des logements sociaux et abordables. 811, puis là-dessus, il y a un projet de 100 unités pour les aînés qui va... les gens vont pouvoir entrer à l'automne 2025, 100 unités directement, qui a été fait. Un très beau projet sur Guillaume Couture au niveau de l'unité aînée. Moi, ce que je veux dire, c'est que dans le schéma d'aménagement, on avait 850 logements de prévision par année. On en a fait le... On en a fait beaucoup plus, mais à partir du moment où les projets... [02:10:25] Speaker A: Merci, Mme Demers. [02:10:26] Speaker B: C'est beau. [02:10:27] Speaker A: M. Bonin, M. Bonin, par le bal. [02:10:29] Speaker H: Oui. Écoutez, en cinq ans, l'épicerie a monté de 27 %, le loyer, les maisons ont augmenté de 30 %, là. T'sais, c'est pas vivable. On peut pas dire 956 $, c'est abordable. On peut surtout pas dire 1500 $, c'est abordable. On n'est pas là. Quand on jase au monde, là, t'sais, on n'arrive pas avec ces montants-là. Moi, j'aimerais ça connaître la position de mes adversaires. J'ai posé la question au débat de la Chambre de commerce, j'ai pas eu de réponse. Qu'est-ce que c'est pour vous un logement qui serait abordable? [02:10:53] Speaker B: Moi, j'aimerais savoir ce que vous avez fait dans les quatre dernières années, parce que... [02:10:56] Speaker H: J'ai posé une question, M. Blainé, j'aimerais avoir au moins... [02:10:59] Speaker B: Comment serait-il qu'on se ramasse avec un moratoire? [02:11:01] Speaker C: Comment serait-il qu'on se ramasse avec un moratoire? [02:11:02] Speaker G: Moi, je vais vous dire ce qu'on a fait. [02:11:04] Speaker B: La vie n'a pas besoin d'un moratoire, c'est d'un plan. [02:11:06] Speaker H: Mais ça, je suis d'accord avec vous, il y avait des drapeaux rouges qui n'ont pas été regardés, ça On parle. [02:11:11] Speaker G: De logements, on parle beaucoup... [02:11:12] Speaker H: Mais vous n'avez pas répondu à ma question. [02:11:13] Speaker G: Non, tout à fait. On parle de logements... Vous avez répondu. [02:11:14] Speaker H: À ma question, madame de Mécocite. [02:11:15] Speaker G: Oui, bien moi... En fait, on s'écoute, hein. Je veux dire, on peut... on s'écoute puis on veut répondre aux questions. Vous avez parlé du logement. La semaine passée, je discutais avec un citoyen qui me disait, moi, dans ma capacité de payer, j'ai 650 $ par mois que je suis capable de payer pour un logement, donc j'y arrive pas. Je suis obligée de me trouver quelqu'un qui va m'aider ou on va... on va faire de la colocation parce qu'on n'arrive pas à payer un logement. Au niveau de la ville, ce qu'on est capable de faire, c'est d'accompagner. Il y a du logement social, il y a du logement abordable. Le logement social, c'est qu'on va donner des sommes aux promoteurs pour que ces logements-là soient réservés pour des gens qui ont plus de difficultés avec les revenus et tout ça. Au niveau du logement abordable, il y a une portion par année qui est remboursée à l'Office municipal d'habitation pour compenser le prix du loyer. [02:12:05] Speaker H: On vient de donner 48 millions au gouvernement Ville à un projet qui va nous sortir des 3,5 millions à 956 $. As-tu de la lueur? Ça fonctionne-tu comme système? [02:12:13] Speaker G: En fait, avec la Société d'habitation du Québec, il faudrait voir ce qui est un logement social et abordable. Aujourd'hui, beaucoup de gens vont payer 1 500 $, 1 700 $. Probablement qu'à 956 $, la Société d'habitation va dire que c'est acceptable. [02:12:28] Speaker H: Mais vous venez de dire que vous avez rencontré quelqu'un qui avait 650 $ pour son loyer. [02:12:31] Speaker G: Oui, puis qui m'a dit qu'il était obligé d'aller en colocation. [02:12:34] Speaker B: Si la Ville va être en mesure d'accompagner le logement abordable et le logement social, on doit être en mesure d'avoir des revenus générés par le développement. Et là, vous, vous voulez étouffer la Ville. Pourquoi? [02:12:44] Speaker H: Parce que vous n'avez pas de vision. [02:12:52] Speaker B: Devancer la précipité pour permettre à nos bâtisseurs, à nos constructeurs d'être en mesure de se dire... Parce que présentement, ils frappent un mur à la Ville. La Ville leur dit, écoutez, pas de développement, c'est terminé, et nous, on se prive de revenus, et c'est près de 150 millions de dollars dont on prive. [02:13:08] Speaker H: Vous allez lever le moratoire commun, M. Blainy? Vous êtes un ingénieur, OK? Il y a des données à l'internet. [02:13:17] Speaker B: Je suis même un fainéant ingénieur. [02:13:19] Speaker H: Fainéant ingénieur. Vous avez en plus une spécialisation à l'OSG. Vous n'arrivez pas à donner des ingénieurs à la Ville et vous les remettez en question avant de vouloir les diriger. [02:13:30] Speaker G: Alors ici, présentement, on a un ingénieur qui est membre d'un ordre professionnel qui discute le travail d'autres ingénieurs. Permettez-moi de dire que c'est très discutable. Alors quand on est dans un ordre professionnel, habituellement, Non, habituellement, on ne discute pas. [02:13:47] Speaker B: On ne discute pas? Vous ne voulez pas discuter de l'avenir de Lévis? Ça ne vous intéresse pas, vous, de savoir comment on va faire pour construire Lévis? [02:13:51] Speaker G: On ne discute pas le travail d'un autre ingénieur. [02:13:54] Speaker B: Mais comment se fait-il que comme élue, vous n'êtes pas... [02:13:56] Speaker G: Alors vous, votre hôte professionnel, M. Blainet... [02:13:58] Speaker B: Ah mon dieu, vous êtes charmante. [02:14:00] Speaker G: Merci de me dire que je suis charmante, parce que vous n'avez pas les données. [02:14:04] Speaker B: Comme élu, c'est de dire à ces gens-là, mettons-nous en mode solution. Et vous, vous avez dormi sur la Switch pendant quatre ans. [02:14:10] Speaker H: C'est totalement faux. [02:14:13] Speaker G: Mais M. Blaney, vous êtes tellement hors propos parce que vous ne connaissez pas le dossier. [02:14:21] Speaker B: On a dit que dès qu'on est élu, on se donne quatre mois pour justement mettre un plan de présibilité et être en mesure de dire à nos artisans de la construction... Vous avez, pendant. [02:14:32] Speaker G: La campagne électorale, dit que vous alliez lever le moratoire. [02:14:36] Speaker B: Merci de me couper la parole, madame. [02:14:37] Speaker G: Ça me fait vraiment plaisir parce que vous le faites aussi. Vous avez dit que vous alliez lever le moratoire. Alors, c'est pas quatre mois. [02:14:44] Speaker B: Oui, c'est notre objectif, c'est de faire. [02:14:45] Speaker A: En sorte qu'on ait de la présibilité. [02:14:47] Speaker G: Au moment de votre élection, vous allez lever le moratoire. Nous, on a permis que les logements sociaux... [02:14:54] Speaker H: On s'excuse des gens qui nous écoutent à la radio. J'aimerais, M. Blainet, avoir votre opinion sur le FAC. [02:15:09] Speaker B: Alors là, moi j'aimerais savoir... [02:15:11] Speaker H: Le PSAQ, le programme d'habitation abordable Québec. [02:15:14] Speaker B: Justement, savez-vous, c'est pour ça qu'on a besoin d'avoir la possibilité d'émettre des permis de construction rapidement. [02:15:22] Speaker H: Non, non, c'est pas ça. Le FAC, le programme de subvention pour le logement abordable. [02:15:28] Speaker B: Ben justement, on a besoin de ces outils-là. [02:15:30] Speaker H: Mais c'est quoi votre opinion là-dessus? [02:15:31] Speaker B: Ben je suis plutôt favorable. [02:15:32] Speaker H: Vous êtes favorable. [02:15:33] Speaker B: Est-ce que vous savez... Ben là, ça. [02:15:34] Speaker H: Me semble favorable, mais je ne le. [02:15:35] Speaker B: Connais pas, le FAC. Ton abréviation, ton terminologie... Vous ne connaissez pas? [02:15:38] Speaker H: C'est le programme de base pour aider le logement abordable. [02:15:41] Speaker A: Exact. [02:15:41] Speaker B: Mais j'ai travaillé avec le GRT, j'ai travaillé avec plein d'organismes de l'Élysée, avec l'OMH... [02:15:44] Speaker H: Mais si vous avez travaillé avec le GRT, vous ne connaissez pas le FAC. [02:15:46] Speaker B: Oui, parce que je me fie aux professionnels. Justement, comme je le fais dans le domaine technique, je me fie aux professionnels pour nous donner les meilleures solutions. [02:15:53] Speaker H: Je vais vous dire le problème. Puis en tout cas, à mon égard, vous pourrez rebondir là-dessus, Mme Demers. Le problème, c'est la pérennité. Au bout de 15 ans, un promoteur peut se retirer, rembourser une partie de sa subvention. Il ne protège plus ses logements dans le marché. Et au bout de 35 ans maximum, ils ne sont plus protégés du marché. Donc pour moi, c'est un problème. C'est ça que le gouvernement a mis en place. Ça ne fonctionne pas. [02:16:13] Speaker G: Et c'est un programme qui coûte 40 % plus cher aux villes et aux municipalités. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'il y avait un programme qui existait avant et le nouveau programme qui a été mis en place, 40 % plus cher qu'il coûte aux municipalités. Et moi, j'appelle ça pelleter dans la cour des municipalités encore une fois. Mais effectivement, aucun contrôle après 15 ans sur... pour qu'on puisse garder ces logements-là en logements sociaux ou abordables. Et le promoteur peut faire ce qu'il veut. [02:16:43] Speaker H: Donc, il faut trouver d'autres solutions. On peut acheter des terrains avec le droit de préemption. On peut faire en sorte qu'on donne des congés de taxes parce que ce n'est pas... [02:16:49] Speaker A: Il reste moins de deux minutes. [02:16:50] Speaker B: C'est beau d'avoir un droit de préemption pour acheter des terrains, mais ça, on n'est pas en mesure de construire parce que nos capacités sont à plus. [02:16:57] Speaker H: Les logements sociaux. [02:16:59] Speaker B: On doit se mettre en mode solution. Et le seul en mode solution... Vous. [02:17:02] Speaker G: N'En trouvez pas de solution. [02:17:03] Speaker H: Il n'y a pas de solution. Ça prend quatre ans à monter une usine avec le registre de l'environnement. [02:17:07] Speaker B: Bon ben c'est ça, on s'assoit sur nos lauriers et on laisse... Non, pas du tout. [02:17:10] Speaker H: Ah ben là vous remettez en question vos propres collègues ingénieurs à la ville. [02:17:14] Speaker A: On perd des revenus. Bonne solution. Exactement. [02:17:15] Speaker B: Au contraire, ils font un excellent travail. Savez-vous quoi? C'est qu'il y a personne qui leur a dit que quand on va dézoner là, on met... Vous dézonez quoi? Savez-vous ce qui me choque un peu ce matin? [02:17:25] Speaker G: Vous dézonez quoi? Je veux juste savoir, vous dézonez quoi? [02:17:27] Speaker B: Vous avez fait un dézonage à l'urbanisme sans planifier que ça allait pas. [02:17:31] Speaker G: Il reste une minute. Oui, allez-y, allez-y, je vous écoute. [02:17:35] Speaker B: C'est pas compliqué. La main gauche de la ville, il y a eu un manque de leadership flagrant à la ville, de leadership pour dire, si on fait du dézonage, quel sera l'impact sur nos infrastructures? Et ça, le ministère de l'Environnement leur a dit depuis des années. Il y a même des gens à l'interne qui disaient, on va frapper un mur et on a fermé les yeux, on a préféré d'investir dans les infrastructures. [02:17:59] Speaker H: Qui nous permettent de générer des revenus. Et ce n'est pas acceptable. [02:18:02] Speaker B: C'est la raison pour laquelle on a besoin d'un changement à la ville de. [02:18:06] Speaker G: Lévis pour poursuivre le développement. [02:18:12] Speaker H: C'Est 85% des revenus de taxes à Lévis. Alors je me demande comment vous allez payer vos nombreux projets, dont l'enfouissement des fils dans les quartiers historiques à 1,6 million du kilomètre, vos espaces de création et de diffusion de la culture dans tous les quartiers. Ça coûte combien? Vous payez ça comment? Vous voulez sauver les églises. Comment? Combien? Pierre-Georges Roy, ça fait plus que 10 millions qu'on met là-dedans. [02:18:32] Speaker C: Votre plateforme, finalement, vous êtes assez à. [02:18:34] Speaker H: Gauche, votre plateforme, dans ce que je dis. [02:18:36] Speaker A: C'est tout! Ah, les micros sont fermés! Yes! Merci, Dan. Dernier thème, vie communautaire et aréna. On manque de glace à Lévis. Vous promettez quoi pour nos arénas? Les clubs sportifs et organismes tirent le yacht par la queue. Est-ce que la ville en a assez? Est-ce que vous en faites assez? Est-ce que la Ville actuellement en fait assez? Puis le bilan aussi, tant qu'ailleurs, des dernières années. Les loisirs, les arénas, la vie de quartier, est-ce une vraie priorité pour vous ou est-ce du luxe? Allez-y. [02:19:09] Speaker C: Une minute chaque. M. Blainen en premier. [02:19:10] Speaker A: M. Blainen en premier. [02:19:11] Speaker B: Parfait. On ne peut que rêver pour Lévis qu'on consomme notre culture, nos sports chez nous. Et la semaine passée, on l'a vu, le mouvement Sportif Lévis nous propose un amphithéâtre qui peut accueillir jusqu'à 8000 personnes avec trois glaces. Et quel est le rôle de la ville là-dedans? C'est de supporter notre milieu. Et Lévis, c'est un milieu riche et les gens, je vous dirais, les gens ont besoin, en ont marre un peu d'avoir nos jeunes qui sont dans des palais de gymnastique qui datent des années 70 où le système de ventilation est déficient. Ils en ont marre du stade George Maranda où les balles de baseball risquent quasiment de péter le menton parce que l'entretien n'est pas adéquat. Donc, ce qu'on propose, c'est de travailler avec des organismes à bon lucratif de s'inspirer des réussites qui ont fait en sorte qu'on va plus loin avec l'argent du payeur de taxes parce qu'on travaille en partenariat. Et c'est ce qu'on veut faire, et c'est la raison pour laquelle, avec Prospérité Lévis, on va être en mesure d'accueillir les Jeux du Québec, d'attirer 5 millions d'investissements du gouvernement québécois, ce qui a généré à Trois-Rivières 25 millions de retombées économiques. [02:20:15] Speaker A: Merci. Allez-y. C'est à vous, Mme Demers. [02:20:18] Speaker G: Allez-y. Une minute. Je suis tellement contente qu'on parle... Je suis tellement contente qu'on parle de ce sujet-là parce que moi, je suis une fille. L'hiver, je suis dans les arénas. L'été, je suis sur les terrains de baseball. C'est comme ça. Ça a toujours été comme ça. Alors, je suis à même de voir qu'il y a eu vraiment un manque d'entretien. Mais au-delà de ça, quand on dit... On l'a toujours reconnu. Quand on dit qu'on veut accompagner le milieu, les organismes qui sont sur le terrain font des miracles avec les citoyens et avec les jeunes qui participent. On parle de culture, on parle d'aréna. plus de 10 millions ont été investis, et ça paraît encore sur le terrain, dans les arénas actuels. Et on va... on l'a annoncé, moi aussi, j'étais là la semaine passée, au Mouvement sportif Lévis, pour le merveilleux projet qu'ils ont. La Ville les accompagne parce qu'on a payé la moitié de l'étude de la phase 1, on va payer la moitié de l'étude en phase 2, qui va nous permettre d'arriver à un projet pour les citoyens de Lévis, parce qu'on le sait qu'on est en manque d'arénas. Ceci étant dit, La Ville est là pour accompagner tous les organismes culturels ou sportifs. [02:21:32] Speaker A: Merci beaucoup, M. Bonin. Et ensuite, on engage. [02:21:35] Speaker H: Merci. Ça fait longtemps qu'on réfléchit à l'avenir de Lévis, chez Repensons Lévis. Il y a beaucoup de gens de Lévis qui ont travaillé sur nos propositions depuis quelques années, à travers nos congrès, à travers nos différentes propositions. On est allés chercher les idées ailleurs, dans les autres villes, pour les ramener chez nous, puis voir c'est quoi qui fit avec ce qu'on a ici. On a une vision claire. La voici. Vision du centre-ville, passer de ville de passage à ville de destination. Oui, ça inclut l'amphithéâtre, mais ça inclut l'idée d'un quartier des spectacles, de Lucard-Lévis, ou peut-être l'Université du Québec à Lévis un jour. Une identité touristique lévisienne qu'on va bonifier tout le monde ensemble. C'est comme ça qu'on fonctionne. Les budgets, les PQI, depuis le début, on nous présente les budgets, on les vote, Et après ça, on les présente au public. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas là-dedans. La liste des grands projets, il faut la présenter aux citoyens, puis qu'on puisse échanger sur les projets avant de décider c'est quoi cette liste-là. Et ça, c'est ce qui n'est pas fait. C'est la différence, repensons-les-y. Pouvoir au quartier, on veut qu'il y ait des budgets dans chaque quartier, que les gens viennent se prononcer sur ce qui est important pour eux, puis que les gens viennent dire « Moi, je veux que la Ville travaille là-dessus plutôt. [02:22:38] Speaker A: Que là-dessus Merci ». beaucoup. Madame Demers, c'est à vous d'engager. C'est la dernière phase du débat. Puis c'est le fun d'inclure l'éducation là-dedans. Le volet sur l'université, je trouve ça intéressant. Allez-y, c'est à vous. On engage le débat. Huit minutes. [02:22:50] Speaker G: Si moi je vous parlais des dernières réalisations, on parle d'un complexe aquatique multifonctionnel. On parle des arénas, on parle des terrains de baseball. On va avoir des projets. Moi, j'ai pas fini avec les annonces qui vont se faire dans les prochaines semaines. Mais on parle de terrain de baseball synthétique, on parle de glace réfrigérée pour permettre aux citoyens de... Vous savez, les glaces qu'on a présentement, les patinoires qu'on a, souvent, on les refait deux et trois fois avec le changement climatique. Ce qu'on veut, c'est d'avoir au minimum une glace réfrigérée pour permettre aux gens qui veulent en profiter. Mais on parle de la culture, on parle d'accompagnement du cégep pour la salle de spectacle. Pourquoi vous dites non? Vous êtes pas d'accord avec ça. [02:23:29] Speaker D: Puis vous, ce que vous dites, vous dites... [02:23:32] Speaker G: La qualité de vie des citoyens, la qualité de vie, tout ça fait partie de la qualité. [02:23:38] Speaker B: Permettez-moi de vous dire qu'il n'est pas normal que des bénévoles fassent des miracles deux jours avant un tournoi de baseball pour remettre un terrain en ordre. Nos terrains devraient être des joyaux, comme c'est le cas du stade Canac, à Québec. [02:23:49] Speaker H: C'est un peu ce que vous voulez faire avec les OBNL qui gèreraient les terrains. C'est votre proposition. [02:23:54] Speaker B: Pourquoi est-ce que la Ville s'est réveillée et s'est dit on va se tourner vers un partenariat? Parce qu'elle a fait une demande pour agrandir l'aréna de Lévis de 20 millions qui a essuyé une fin de non-recevoir. [02:24:05] Speaker A: Donc ce qu'on doit faire, c'est qu'on. [02:24:06] Speaker B: Doit travailler avec le milieu et toutes les réussites à Lévis se sont faites en partenariat. On utilise le dollar du payeur de taxes comme un levier, comme ça a été le cas pour le stade de soccer Onco, pour le stade du Collège de Lévis, pour le deux glaces Onco. Et ça, c'est un modèle dont on peut s'inspirer. [02:24:31] Speaker H: J'aimerais sûr que vous me parliez de ce modèle-là, en quoi c'est un bon modèle pour la Ville. Combien ça coûte une heure de glace en ce moment au Onco? [02:24:37] Speaker B: Ce que je vous dis, c'est qu'on. [02:24:38] Speaker H: Doit travailler... Non, combien ça coûte une heure de glace au Onco en ce moment? [02:24:41] Speaker B: Vous semblez le savoir. [02:24:42] Speaker H: Ben oui. Vous le savez pas? [02:24:44] Speaker B: J'ai une bonne idée. [02:24:44] Speaker H: 500 $ en ce moment, ça a coûté moins de 500... C'est 450, on n'est pas loin, c'est 450. Attendez un peu. Ça a coûté moins de 500 millions construire le Deux-Glaces-Onco au privé. Et maintenant, on paie plus d'un million d'heures de glace à chaque année. un bon deal, est-ce que c'est ça qu'on veut pour la vie? [02:25:02] Speaker B: Ben c'est qui était là pour négocier? C'était vous autres, certainement. [02:25:05] Speaker H: Ah oui, c'était moi? [02:25:05] Speaker B: Évitez-moi qui t'avais négocié. [02:25:07] Speaker H: Je suis dans l'opposition depuis 4 ans, M. Blainé, je vous ramène un petit peu sur terre. [02:25:11] Speaker G: Moi j'aimais ça. [02:25:11] Speaker H: Ce n'est pas un bon deal, ce n'est pas un bon modèle. Il faut trouver un modèle gagnant-gagnant et ça n'en est pas un. Vous le prenez toujours en exemple, donc il y a un problème, là. Là, je regarde votre plateforme, M. Blainet, là. Vous voulez instaurer... Vous voulez instaurer les médailles du maire de Lévis. Vous n'êtes pas au courant qu'on a une signature de livre d'or puis qu'il y a des statuettes du chevalier de. [02:25:29] Speaker G: Lévis qui sont distribuées? [02:25:31] Speaker H: Vous parlez de programmation culturelle diversifiée. En quoi c'est pas déjà le cas? Vous parlez d'améliorer les garderies. C'est pas dans notre cours. Vous parlez de conventions de cellulaire. J'ai pas l'impression qu'on vit dans la même ville, M. Blainet. [02:25:44] Speaker B: La Ville de Trois-Rivières a mis en place des initiatives pour attirer les gardiennes et les gratifier. Parce que connaissez-vous, savez-vous la plus grande richesse qu'on a? [02:25:53] Speaker H: Attirer les gardiennes, c'est ça que j'ai compris. [02:25:56] Speaker B: Oui, et savez-vous, j'adore que vous soyez... Écoutez, on a besoin... [02:26:01] Speaker G: Je comprends même pas ce que vous dites pour les citoyens de Villeville. [02:26:03] Speaker B: Ça s'arrêtait pas de vous couper la parole. [02:26:05] Speaker A: Allez-y là, M. Blainet, allez-y. [02:26:08] Speaker B: Écoutez, la plus grande richesse de Lévis, c'est l'engagement de nos bénévoles, ce sont nos organismes communautaires et c'est la gratitude. C'est une grande richesse et ce sont ces gens-là, par exemple, qui ont fait que Thomas Chabot, vendredi soir, on a soulevé son chandail à l'Aréna de Lévis. [02:26:26] Speaker A: Pourquoi? [02:26:26] Speaker B: Parce que l'Organisation des Chevaliers de Lévis se dévoue depuis des années pour nos jeunes et ça nous amène quoi? Au plus haut sommet. Alors oui, c'est important de reconnaître la gratitude et c'est la plus grande richesse. Et je trouve que c'est méprisant envers les bénévoles, envers la fonction qu'on exerce, de ne pas démontrer de respect envers les gens qui se dévouent pour le Canada. [02:26:45] Speaker H: Mais c'est parce qu'on a déjà plein de reconnaissances. Vous essayez d'inventer une nouvelle reconnaissance alors qu'on en a déjà plein. [02:26:50] Speaker G: Et la médaille existe en passant. La médaille, elle existe. Mais moi, je vais vous demander, M. Bléné, concrètement, qu'est-ce que vous allez faire pour les citoyens de Lévis? Parce que si je vous écoute ce matin, tout ce qu'on a fait, c'est pas bon. Concrètement, qu'est-ce que vous allez faire? Non, ce que je dis, c'est comment. [02:27:05] Speaker B: Créer la planification et que ça marche. [02:27:06] Speaker G: Non, non, non, non. [02:27:06] Speaker B: C'est quoi votre vision? [02:27:08] Speaker H: C'est quoi votre vision de la ville, par exemple? [02:27:11] Speaker G: Je vous demande concrètement ce que vous allez faire. Les 12 000 bénévoles, 225 organismes... [02:27:17] Speaker B: Les Jeux du Québec, c'est un très bon exemple. Comment ça, vous avez pas fait ça des 10 dernières années? [02:27:22] Speaker H: À la balade, il y a eu les Jeux du Québec, c'est quand même pas une nouvelle idée. [02:27:26] Speaker B: Ça nous prend des projets pour ranimer notre fierté commerciale et l'amener encore plus loin, développer des projets comme celui que nous propose Jacques Tanguay avec un 3 glaces et un amphithéâtre, consommer notre culture. Et aussi, je vais vous dire franchement, qu'est-ce que vous attendez pour régler les problèmes? Pendant que vous coupiez des rubans, j'étais dans le sous-sol de Charnie, de Saint-Étienne et de Saint-Rédempteur où il y a des problèmes de refoulement. Voilà, c'est ça. Alors, on a une vision pour faire de Lévis. Une grande ville qui va rayonner. [02:27:56] Speaker G: Concrètement, M. Blainet, parlez-moi de vos projets, à part les Jeux du Québec, parce que vous ne faites que parler de ça. Concrètement. [02:28:03] Speaker B: Je suis content. Allez voir notre plateforme, elle est truffée. de richesse, de trouvailles pour faire la justice. [02:28:08] Speaker H: Elle est truffée d'ignorance sur ce qui se passe dans la ville et d'ingérence pour dire aux policiers quoi faire. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas dans votre plan de camp. Ajoutons aux ingénieurs. Est-ce qu'on préfère ne pas répondre? Je ne sais pas comment elle a été construite, mais honnêtement, là-dedans... Qu'est-ce qu'on. [02:28:24] Speaker B: Fait en face d'une nouvelle vieillesse? C'est de l'ingérence! [02:28:27] Speaker H: Ce qu'on dit depuis le début, c'est eux qui ont les règles. C'est eux qui savent exactement quoi faire. Vous, vous voulez ajouter une instance de l'extérieur qui vient leur dicter quoi faire dans leur travail. [02:28:37] Speaker G: C'est de l'ingérence. [02:28:38] Speaker H: Vous parlez de respect des policiers. Je peux vous dire que les policiers n'étaient pas très contents d'entendre vos propositions. [02:28:42] Speaker G: Les ingénieurs non plus. [02:28:44] Speaker B: Ils sont très contents de savoir qu'il va y avoir une administration qui va les appuyer pour protéger nos citoyens. [02:28:51] Speaker H: Là, vous ne les appuyez pas, vous les dirigez. Vous dites, c'est ça que vous devez faire. [02:28:55] Speaker A: Presque deux minutes. [02:28:55] Speaker G: C'est de l'ingérence. J'aurais une question, M. Bonin. Comment vous allez faire avec votre gel d'embauche? La Ville a 40 000 de population de plus que quand on a fusionné en 2001. Comment vous allez faire avec un gel d'embauche? [02:29:10] Speaker H: 22 % d'augmentation de la masse salariale en deux ans, ce n'est pas soutenable. C'est impossible de soutenir ça. 22 %, Mme Demers. [02:29:19] Speaker G: Dites-moi quel service vous allez couper parce. [02:29:21] Speaker A: Que c'est sûr qu'on arrive... [02:29:21] Speaker H: Les policiers et les pompiers sont dans les conventions collectives, on touche pas à ça, mais on va prendre une année. [02:29:26] Speaker G: On l'a déjà annoncé. [02:29:27] Speaker H: On va prendre une année. En ce moment, les directions rencontrent le comité des finances et c'est vous qui prenez les décisions sur qu'est-ce qui doit être priorisé. Ça ne fonctionne pas. C'est le conseil de ville qui devrait rencontrer toutes les directions et prendre les décisions. Et si vraiment il y a une démonstration urgente qu'on a besoin à certains endroits, peut-être qu'on va être souples là-dessus, mais honnêtement, on ne peut pas arriver... Vous prévoyez tous les deux un plafonnement des taxes à l'inflation ou à l'indice des prix à la consommation, mais je n'ai entendu aucune mesure qui vous permet de plafonner ces taxes-là ou de diversifier les revenus. Vous êtes contre la diversification des revenus, M. Blainé. Vous l'avez publié hier. Et il n'y a aucune mesure prévue. Donc, moi, je parle d'un gel d'embauche. [02:30:03] Speaker B: C'est un moyen concret. [02:30:06] Speaker H: Mais pas nécessairement, M. Blainy, c'est des partenariats. Ah bien là, vous avez vu le rapport et vous avez dit c'est ça. [02:30:14] Speaker B: C'Est les taxes qui sont ailleurs. [02:30:17] Speaker H: Vous auriez dû faire presque une semaine qu'il était en ligne. [02:30:22] Speaker G: Quand on a présentement un plan d'effectif, donc on planifie sur cinq ans. Depuis 2024, on a un plan d'effectif. On nous a souvent dit qu'on ne planifiait pas, puis quand on planifie, on revient dessus en nous disant... Est-ce qu'il. [02:30:33] Speaker H: Change tout le temps? C'est ça mon problème. [02:30:35] Speaker G: Non, le plan d'effectif n'a pas changé. [02:30:36] Speaker H: Oui, le PQE change constamment, les montants changent constamment, la masse salariale augmente, on a beaucoup de cadres criants, très peu de gens au service. C'est ça, moi, le problème en ce moment. [02:30:46] Speaker G: Le plan d'effectif n'a pas changé. Les montants autorisés au plan d'effectif n'ont pas changé. [02:30:53] Speaker A: Merci! C'est tout? C'est tout? Un mot de la fin? Un petit mot de la fin? Une minute chaque, on peut? [02:30:59] Speaker B: Oui. [02:31:00] Speaker A: Il va selon l'ordre que j'ai devant moi. les femmes de bord. Vous êtes devant moi, il y a Mme Demers, M. Blainy, M. Bonin. Allez-y avec le mot de la fin, en conclusion, Mme Demers. [02:31:11] Speaker G: Laissez-moi juste vous dire que pour cette conclusion-là, je suis une fille de Lévis, je suis née, moi, à Lévis, j'ai élevé ma famille, j'ai Lévis, Saint-Nicolas, je suis née à Saint-Nicolas sans déménager, je suis maintenant une lévisienne et j'ai Lévis tatouée sous le coeur. On a... je suis à ma 16e année de politique active, c'est ma 7e campagne électorale, Les gens doivent savoir que j'ai une carrière privée moi aussi, je suis toujours attachée, je travaille pour une banque, mais que j'ai décidé moi un jour de faire de la politique active. Alors c'est ce que j'ai voulu faire et j'ai voulu être là sur le terrain pour représenter les citoyens. Je viens d'une grande famille, je ne me suis jamais cachée en arrière d'aucune décision qu'on a prise parce qu'on a toujours pris les décisions pour les citoyens. Alors, moi, pas de coupure de service, on n'aura pas ça. Je souhaite que les citoyens puissent nous entendre et continuent de nous voir sur le terrain. [02:32:06] Speaker A: Merci. [02:32:07] Speaker B: Merci à Chouette de nous recevoir ce matin pour le choix que les gens de Lévis ont à avoir. Ce sont les gens de Lévis, on peut leur faire confiance pour mettre l'avenir de notre collectivité dans les bonnes personnes. Et je suis très fier de l'équipe de Prospérité Lévis qu'on a montée, qui s'est jointe à moi. Je pense, par exemple, à Karine Laflamme dans Pintante. Je pense à Mélanie Scott. Je pense à René Gagnon, qui a été un agroéconomiste. Donc, une équipe expérimentée, aguerrie, qui a besoin d'apporter ce vent de renouveau-là. Prenez ce que j'appellerais dans le Lévis 2.0. Parce qu'on est à la croisée des chemins. J'en ai parlé. On a manqué de planification et ça fait en sorte qu'on vit beaucoup de défis. Donc, bien, écoutez, aux anciens combattants, j'avais un budget de 3,6 milliards, 3600 employés. Fait que oui, je sais gérer, mais en plus, je suis entouré d'une équipe excellente. Ensemble, on souhaite reprendre en main Lévis pour en assurer la prospérité. Et j'ai hâte de... Quand on va les couper, les rubans, ça va être pour un amphithéâtre, trois glaces, avec une possibilité d'avoir des infrastructures pour nos jeunes. [02:33:04] Speaker A: Merci beaucoup. Et M. Bonnet, pour finir. [02:33:05] Speaker B: Merci. [02:33:06] Speaker H: Lévis est endetté, deuxième plus grande dette des grandes villes au Québec, pas mal taxée, quatrième plus taxée parmi les grandes villes. On commence par une saine gestion, on plafonne les taxes, on gèle les embauches, on baisse la dette, on entretient les infrastructures, on diversifie les revenus. Et on fait tout ça avant d'investir ailleurs. On prépare le terrain, on met de l'argent de côté. Puis quand ce sera le temps, on va faire ce qu'il faut pour frapper fort dans la mobilité, combattre le trafic, investir dans notre centre-ville, attirer du monde en tourisme à Lévis. C'est ça notre plan de match. C'est clair, c'est transparent. Puis on ne va pas prendre les décisions d'en haut pendant quatre ans. On va venir vous voir. On va venir vous voir pour choisir pour vos quartiers, pour faire la liste des projets de la ville. Pas juste vous consulter après la décision. C'est ça la différence Repensons Lévis. Ça prend du courage, ça prend de l'audace pour mettre de l'avant nos propositions. On est là pour ça. [02:33:53] Speaker A: Merci beaucoup. [02:33:54] Speaker G: Merci à vous de nous avoir reçus ce matin. Merci, M. Moret. [02:33:59] Speaker B: Et merci aux gens de Lévis et aux gens de partout qui nous ont écoutés. On est là pour ça et on souhaite une belle continuité de campagne. [02:34:04] Speaker A: C'est bon, merci beaucoup. [02:34:04] Speaker G: Merci. [02:34:05] Speaker A: Après la pause, on ouvre les lignes. Qui vous a le plus déçu, impressionné? Est-ce que ça vous incite à changer d'idée? Est-ce que votre idée est faite? Pour qui et pourquoi? 4-1-8-6-7-0-9-0-9-8. Le texto a explosé, mais je vais vous parler de Vivois. C'est une tribune libre en revenant. 4-1-8-6-7-0-9-0-9-8. Et on aura le verdict du légionnaire en commençant. Parce que c'est le seul qui vient de Lévis dans la guerre. [02:34:32] Speaker C: Oui, oui, c'est vrai. C'est vrai. [02:34:33] Speaker A: Le seul contribuable, Yerub Borlevit, il va descendre de sa tour pour venir nous parler. Et ensuite, on va en ligne. Merci beaucoup. Restez en ligne, guys. Et le show continue dans Moral Live. Morel. [02:34:57] Speaker G: Restez là, on revient dans pas longtemps. [02:35:00] Speaker A: Live. [02:35:01] Speaker G: Radio X. [02:35:03] Speaker A: Et le but ! He's back. [02:35:09] Speaker D: Ray the Sports. [02:35:10] Speaker A: Ray the Sports. Dans Morel Live. Et Will est en direct. [02:35:20] Speaker G: Radio X. [02:35:21] Speaker F: La chronique Réda Sports. Hey, c'est moi ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [02:35:32] Speaker A: Ce jeudi seulement, la grande vente Milwaukee d'outils plus. Jusqu'à 60% drapé, cadeau, deal de fou, jeudi 9 octobre, 9 à 21h au Centre de foire de Québec. Problèmes à l'épaule, au coude, à la main, à la hanche ou au genou? La Croix-Chirurgie privée offre des services en chirurgie orthopédique pour traiter tous ces problèmes. Le remplacement complet de la hanche et du genou par prothèse sont aussi offerts en chirurgie d'un jour et presque sans délai d'attente. Obtenez rendez-vous rapidement en nous appelant au 418-871-1911. Aucune référence médicale requise, facilité de paiement disponible. Clinique médicale Lacroix.com, la référence en médecine privée au Québec. [02:36:12] Speaker D: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent présentement leur promo tout un quart, tout un prix, avec la cuisse de poulet servie avec tous les accompagnements à seulement 8,95 $ au comptoir et au service à l'auto. [02:36:24] Speaker A: Lise a vendu sans effort et en moins de 48 heures leur maison à airfortin.com. Et c'est une vente sans stress? [02:36:30] Speaker G: Sans aucun stress. [02:36:31] Speaker A: Sans conditions ni garanties légales? [02:36:33] Speaker G: Sans conditions ni garanties. [02:36:35] Speaker F: Devant notaire? [02:36:36] Speaker G: Devant notaire. [02:36:38] Speaker A: Sans ménage ni plusieurs visites? [02:36:39] Speaker G: Absolument. Vite de même. [02:36:41] Speaker A: Vite de même. Demandez à airfortin.com votre offre d'achat en. [02:36:45] Speaker F: Ligne et vendez-vous aussi vite de même. [02:36:48] Speaker A: Lui qui vole, achetez ton bloc. [02:36:50] Speaker G: Airfortin.com. Yes! [02:36:53] Speaker A: Salut les enfants! [02:36:54] Speaker D: Quoi de neuf pour ce mois-ci? [02:36:56] Speaker A: Chez Lévis-Chrysler, on a le RAM 2026 garantie 10 ans, 160 000 km à 0 % sur 72 mois. On a vraiment confiance dans notre pick-up. Chez Lévis-Mazda, le CX30 a allocation 48. [02:37:08] Speaker D: Mois à 93 $ par semaine. [02:37:10] Speaker A: Il est beau, le CX30, puis il est fiable à part de ça. [02:37:13] Speaker D: C'est bon, on y va avec ça. Et n'oubliez pas que c'est le temps. [02:37:16] Speaker A: De se faire poser les pneus d'hiver. Il nous reste de la place. Chez Auto-Québec, on s'occupe de vous. [02:37:22] Speaker G: Jusqu'à mercredi, visitez PharmaPrix pour l'événement de prime d'échange de points et obtenez-en plus pour vos points. Des restrictions s'appliquent, offres valables en magasin et en ligne. [02:37:31] Speaker D: Ton employé t'écrit toujours 40 heures, t'es pas certain des heures que tes employés ont écrites. Tu vois des erreurs coûteuses se glisser dans les feuilles de temps? Passe à MobilePunch pour sauver temps et argent. Dit adieu aux problèmes de feuilles de temps, mobilepunch.com. S'il y avait un camp de recrutement pour devenir véhicule certifié d'occasion PAC 4. [02:37:49] Speaker A: Nissan et Saint-Nicolas Nissan, il y aurait. [02:37:52] Speaker D: Beaucoup d'appelés et peu d'élus. [02:37:54] Speaker C: Car ce n'est pas n'importe quel véhicule. [02:37:55] Speaker A: Qui peut entrer dans la famille. [02:37:57] Speaker C: L'équipe les teste, les inspecte. [02:37:58] Speaker A: Et garantir qu'ils donnent encore leur 100 % en tout temps. [02:38:02] Speaker C: Profitez du financement à partir de 2,99 % et des plus, dont le programme. [02:38:06] Speaker A: De changement de la vie. [02:38:07] Speaker C: Vous verrez que même d'occasion, votre Nissan. [02:38:10] Speaker D: Du groupe Paquette est encore au sommet de sa forme. [02:38:12] Speaker A: Détails chez Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan. On a hâte de vous jaser. Les lignes sont pleines, mais un moment donné, ça va raccrocher parce qu'on va parler aux gens, puis ils vont se remplir. N'hésitez pas, et le légionnaire s'en vient, pour le verdict. Qui a gagné? J'ai bien hâte de l'entendre. Puis toi, t'as déjà fait ton opinion? T'as déjà... Hein? Tu t'es fait ton opinion? [02:38:33] Speaker C: Non, oui, absolument. [02:38:34] Speaker A: Bon, parfait. On donne tout ça, et pendant ce temps-là... Bien, il s'est pas pété de vitres. Ouais, je le sais, c'est pas comme votre char, hein? Il a vite craqué une petite vitre. qui craquent. Mais la craque, elle fait en sorte que ça s'agrandit, ça s'agrandit. On sait comment ça marche. Une vitre de taupe, là, tu remets ça plus tard. Puis oui, attendez! La réparation est gratuite, c'est automode. Automode, c'est l'endroit pour aller régler ce dossier-là. On le répare. Le cas échéant, c'est trop grave. On le remplace, tout simplement. On rebranche, on recalibre. Et le tour est joué. On est les meilleurs en la matière. Avec les équipements qu'on a sous la main, c'est sûr et certain que Ça s'arrange très, très bien. Puis en plus, c'est recommandé par les assureurs. Et votre pare-brise est garantie pour 10 ans, souhaite un remplacement. Jusqu'au 31 octobre, avec tout remplacement de pare-brise, on t'offre une carte cadeau d'une valeur jusqu'à 100 $. On est partout à Québec. Vanier-Beauport, Lévis, Sainte-Marie-Beausville, Sainte-Justine, St-Rémy, Sainte-Catherine et Saint-Urbain, automode.qc.ca. [02:39:32] Speaker D: ♪ ♪ ♪. [02:39:41] Speaker C: Ça va pas bien. Je vais pas se le dire de même parce que c'est la réalité. La réalité, vous l'avez en pleine face ce matin. Il y a une pluralité d'accrochages puis il y en a encore une d'actualité. En fait, c'est tout de suite après la sortie de Taniata pour les gens qui sont sur la 20. Direction ouest en direction des ponts. Les ponts sont plus loin que vous pensez parce que c'est congestionné entre la sortie Chemin des îles, même plus que ça, je dirais la sortie Kennedy en se rendant jusqu'à Taniata. C'est vraiment congestionné. Très, très lourd dans ce secteur-là. Heureusement, Vous avez pu vous faire une tête sur pour qui vous allez voter lors de la prochaine élection. Capitale des deux directions, c'est lourd, lourd également. Tout ce qui s'en va vers l'Est, tout ce qui s'en va vers la colline parlementaire, Charrette, Laurier, René-Laveille, Sainte-Foy, je dirais même du Frémont-Morancy, Laurentienne, l'accès au centre-ville de Québec, c'est du costaud ce matin. Continuez de nous écrire, vous êtes nos yeux sur les routes dans la grande région de Québec. Et jusqu'au 26 octobre, il y a les croissants. Les pures beurres sont à 6 pour seulement 8 $ chez Premières Moissons, offerts en comptoir ou en source gelée en magasin ou en ligne. Il y a évidemment certaines conditions qui s'appliquent. [02:40:45] Speaker A: Vous portez des verres de contact et vous êtes tanné de payer trop cher? J'ai la solution pour vous. Maranda.ca. Les grandes marques telles que Oasis, Acuvue, Daly's, au meilleur prix, c'est garanti jusqu'à 50 % moins cher. Livraison sans frais pour vos verres de contact au meilleur prix. Maranda.ca. [02:41:03] Speaker G: Les rabais de la circulaire d'octobre sont arrivés chez Mondou. Épargnez 25 $ à l'achat de deux sacs de format sélectionné de nourriture sèche Is Science Diet pour chat ou chien. Jusqu'au 15 octobre, découvrez toutes nos offres en magasin ou au mondou.com. [02:41:20] Speaker A: Calinette, on est en train de ramasser des gars. Franchement, ça a bien été, ça a super bien été, le débat. Donc finalement, pas besoin de calinette, mais vous, vous en avez besoin de calinette, assurément, pour le nettoyage des conduits d'aération et pour un grand ménage, et pourquoi pas, le dégât que vous pensiez pas que ça arrive, oui, mais c'est arrivé, puis à cause du petit, puis à cause de... C'est ça, c'est pas le temps de faire des procès, c'est le temps de nettoyer. Au début, vous avez tenté, mais vous ne réussirez pas parce que c'est de la grosse matière. Et là, les murs, puis là, le plafond, puis là, le scie, là, ça, pour vrai, là, c'est... y'a pas de farce à faire. On les appelle les experts. Y'a pas de farce à faire. C'est eux autres. 88-666666. Mais passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancher ton téléphone. [02:42:04] Speaker D: Ah, ah! [02:42:05] Speaker F: Mais c'est pas un métier, couper des. [02:42:06] Speaker A: Branches aussi proches des fils? Franchement! J'suis capable! [02:42:10] Speaker G: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec. Ice Out, c'est plus qu'un centre de trampoline, c'est un monde d'aventure. La place pour vous gérer et sauter. Ice Out, c'est le fun, exaltant et joyeux. Fêtez l'anniversaire de rêve de votre enfant avec nous, détendez-vous et profitez. On s'occupe de tout. Visitez iceout.ca. [02:42:32] Speaker F: Salut, c'est Pierre-Luc Funk et aujourd'hui, on. [02:42:34] Speaker D: Est avec Martine de Volkswagen pour parler du Volkswagen Vauxfest. [02:42:36] Speaker A: OK. [02:42:37] Speaker G: VoxFest, c'est le plus gros événement de l'année. [02:42:39] Speaker A: Ouais, peut-être juste y mettre un petit peu plus d'énergie. [02:42:41] Speaker G: Il y a du financement ou de l'allocation à 0% sur des modèles sélectionnés. [02:42:45] Speaker A: Des bonnets VoxFest, c'est complètement fou! OK, ça, c'est peut-être beaucoup, Martine. [02:42:49] Speaker G: Yes! [02:42:50] Speaker H: OK. [02:42:51] Speaker A: Profitez du VoxFest avec des offres à partir de 0% et obtenez jusqu'à 1000 $ en bonnets VoxFest sur certains modèles. Faites vite, les offres se terminent le 31 octobre. Sur approbation du crédit, des conditions s'appliquent. Détail chez votre concessionnaire VoxVac'n. [02:43:14] Speaker G: Je. [02:43:22] Speaker A: Voulais un débat à la française, un peu comme on voit à CNews entre autres. Sans dire que ça se crée après, ça s'obstine. J'aime ça. On lâche les gants et ensuite on se serre la main de manière stabilisée. Les lignes sont pleines, mais d'abord, le Livisien de Moray Live. [02:43:41] Speaker D: J'étais là au débat de la chambre de commerce à Lévis. En passant, c'est celui de Québec aujourd'hui. Mais celui à Lévis, j'étais là la semaine dernière. Ça a beaucoup plus passé ici. Sérieux, c'était intéressant là-dessus. Il a sorti un peu les mêmes choses. Madame Demers connaît très très bien les dossiers. Ça fait des années qu'elle est là. Un peu la même chose pour M. Bonin. Moi, l'histoire des questions, combien ça coûte une heure de clash, j'en ai plus rien à foutre. Je suis tanné que les politiciens fassent ça à chaque fois. Oui, ça a son importance. [02:44:08] Speaker A: Ça, c'est Bonhomme qui posait des quiz, c'est ça? [02:44:10] Speaker D: Oui, exact. [02:44:11] Speaker A: C'est ça que t'as pas aimé? [02:44:11] Speaker D: C'est pas que j'aime pas ça, c'est que j'en ai plus rien à foutre. C'est pas ça qui est le coeur du sujet. Moi, je veux savoir vos visions, surtout pour le développement de Lévis. [02:44:19] Speaker A: Commençons par les thèmes d'hommes. Transport, qui s'est démarqué? Qui a-t-il le plus clair, mettons? [02:44:25] Speaker D: Bonin est très clair sur ce qu'il veut, mais c'est pas ce que moi je veux. C'est ça le problème. C'est serbé dans le milieu. [02:44:32] Speaker A: Dan, c'est ton premier relâche. [02:44:33] Speaker C: C'est un peu ce que je disais tantôt, Serge Bonin, c'est pas mon disco. Sauf que c'était clairement lui qui était le mieux préparé pour ce match-là. [02:44:40] Speaker A: Oui, peut-être. [02:44:42] Speaker D: Mais lui, avec un projet clair, qui est différent de celui... En fait, Mme Demers, c'est la continuité de ce qui se fait présentement, parce qu'il est en train de se développer et néer le projet. M. Bonin, il lui est arrivé avec un tout autre projet, qui est un SRB dans le milieu de Guillaume Couture. C'est pas ce que je veux par toute, là. [02:44:55] Speaker A: Et sur l'habitation? [02:44:57] Speaker D: Sur l'habitation, c'est là que M. Blainet a eu l'air le plus brouillon. On va se l'avouer, à certains moments, M. Blainet connaissait pas... Le deep local, il connaît pas ça. C'est pas son milieu. Lui, il a été au fédéral. [02:45:11] Speaker A: Même s'il faisait beaucoup de name dropping? [02:45:14] Speaker D: Oui. Ça, il est capable. Ça reste que ça a été un député de Lévis. Mais tout ce qui est un peu plus dans la poutine, il a pas été dedans dans les dernières années. C'est sûr que si les gens de Lévis votent pour lui, il va falloir qu'ils l'apprennent. [02:45:26] Speaker A: Au niveau domiciliaire, donc, qui a gagné? [02:45:32] Speaker D: J'ai un peu de difficulté à te dire... [02:45:35] Speaker A: C'est ton photo finish, là. [02:45:36] Speaker D: Ben, c'est Blainey qui a le moins gagné, je te dirais, là-dedans, parce que justement... [02:45:40] Speaker A: Tu sentais-tu qu'il y avait un genre de gang-bang, un moment où les deux allaient se mettre ensemble contre Blainey? [02:45:44] Speaker D: Je pense qu'ils savent que, dans les sondages, dans ce qu'ils voient peut-être sur le terrain, je pense que c'est Blainey qui mène. Donc, les attaques sont un peu plus envers lui. [02:45:53] Speaker A: Et finalement, pour la vie communautaire, Arena et tout, qui c'est le plus démarqué? Selon toi? [02:46:00] Speaker D: Ça, j'irais peut-être un peu avec Mme Demers, quoique... Aréna, salle de spectacle, etc. Oh oui! Tu sais, puis pourtant, je te dirais qu'au débat de la Chambre de commerce, Blainey, ça en était très bien sorti là-dedans, mais là, c'est parce qu'il ressort les mêmes lignes. Il revient avec l'aréna, il revient avec les Jeux du Québec, puis tu sais, là, à un moment donné, il faut qu'il développe plus que ça. [02:46:19] Speaker A: Oui, c'est sûr. Merci beaucoup, Dom. [02:46:20] Speaker D: Yes. [02:46:21] Speaker A: Comment ça va dans la tour ce matin? Ça va bien, la tour? [02:46:23] Speaker D: Très bien. [02:46:24] Speaker A: Ça va très bien. Dan, t'es correct? On y va. On s'en va en ligne, hein? Pourquoi pas? [02:46:28] Speaker D: Bien oui! [02:46:30] Speaker A: Ça va être plus que 15 secondes. Prenez le temps de jaser. Vous appelez, puis on jase, hein? Tu veux qu'on fasse... [02:46:41] Speaker C: Je ferais ça rapide, moi. [02:46:42] Speaker A: 15 secondes chaque? [02:46:43] Speaker C: On n'est pas obligés d'être dans 15 secondes, mais je peux pas aller à une minute chaque. [02:46:48] Speaker A: Non, non, non. [02:46:48] Speaker C: Disons 30 secondes chaque. [02:46:49] Speaker A: Vous avez de la pression, soyez bons, allez-y. [02:46:51] Speaker C: Oui, on commence. [02:46:52] Speaker A: Martin de Centreville de Lévis, salut. Salut Martin, t'es en ligne. Jean-François de Saint-Nic. Il n'y a pas de trouble, il n'y a pas de trouble. Vas-y. [02:47:05] Speaker H: Moi, c'est Bléné. [02:47:06] Speaker A: L'affaire, c'est que... Bonin n'est pas pire. Comme vous le disiez, je suis d'accord avec vous, il connaît son dossier et tout. Madame aussi connaît son dossier et tout. [02:47:14] Speaker H: Mais on a besoin de nouveau, je. [02:47:16] Speaker A: Pense, au niveau de la gestion. On a une nouvelle vision. Je ne parle pas contre le maire loyer. Je pense que c'est un bon gestionnaire et autre. Mais je pense que peu importe ce que tu fais comme métier, Tu peux pas tout faire en même temps. Donc oui, le houiller, il n'a pas pu tout faire en même temps. [02:47:32] Speaker H: Il y a des problèmes d'inondation, de repoullement. [02:47:34] Speaker A: Il y a des problèmes au haut. Mais je pense qu'il faut une nouvelle vision à Lévis pour continuer la suite des choses. Donc ça serait vraiment Blainy. Merci. Merci beaucoup. Merci. Bye-bye. Blainy 1. Pas un sondage qu'on fait, mais regarde, c'est juste plus le fun. [02:47:48] Speaker C: Là, c'est Martin. [02:47:48] Speaker A: À 8 h 48. Martin, comment ça va? Martin, centre-ville de Lévis. Qu'est-ce qu'on appelle ça? Bonjour, monsieur. Oui, parfait. Allez-y. [02:47:55] Speaker H: Comme j'ai lu Légionnaire, Centre-Ville, blainé, maude. [02:47:59] Speaker A: Déçu, blainé, trop par moment. Là, je vais dans le petit pignon, le trop ricaneur. On dirait qu'il ne prenait pas ça au sérieux. Une certaine connaissance, quand on a parlé du SAC, un programme pour logements sociaux. [02:48:12] Speaker D: Si je ne me trompe pas, logement. [02:48:14] Speaker H: Communautaire, ça me déçut. [02:48:16] Speaker A: Les lieux... Et ça, c'est Bonin qui l'a questionné là-dessus, hein? [02:48:19] Speaker H: Oui, absolument. Puis je suis d'accord avec Doom, tu sais, le coup par glace aussi, je m'en... entre guillemets, je m'en balance. [02:48:24] Speaker A: Mais ça... Il faut que tu sois local, hein? [02:48:28] Speaker H: Local quand tu es municipalité. [02:48:30] Speaker A: Alors, avant les changements d'élections, j'étais Blaineau ou Bonin. [02:48:34] Speaker D: Là, je suis Bonin ou Demers. [02:48:36] Speaker H: Demers m'a surpris beaucoup. [02:48:39] Speaker A: Très connaissante, comme t'as dit, d'entrée de jeu avec le Légionnaire. Elle connaît les dossiers. Bonin, il y a du bagout. J'ai envie de changement également. Alors Blainet, il va falloir qu'il soit. [02:48:53] Speaker D: Plus solide pour la suite, de mon. [02:48:54] Speaker H: Point de vue, pour qu'il y ait mon vote. [02:48:56] Speaker A: Mais c'est certain qu'il va y avoir. [02:48:58] Speaker H: Exemple à la mairie Bonin, où le. [02:49:01] Speaker A: Conseillère de Demers a monitré. parce que c'est sûr que ça va être des personnes différentes. Merci à vous. Merci, ciao. 8h49. Peut-être que je vais donner mon opinion à tantôt. Je vais être très politiquement correct. C'est parce que je paye pas de taxes à Lévis. Fait que je me sens mal à l'aise de prendre un gagnant, mais chacun a des forces. Je vais être très woke à la fin. Salut, comment ça va? Salut. [02:49:23] Speaker H: Moi, au début, je pensais voter pour Blainet, parce qu'il était connu, t'sais, c'était. [02:49:26] Speaker A: Un peu le seul qui était connu en commençant la course. [02:49:29] Speaker F: Mais il avait pas l'air de connaître ses affaires. [02:49:31] Speaker A: Il avait même l'air arrogant des fois, comme... [02:49:33] Speaker H: Il n'a pas l'air de prendre ça au sérieux. [02:49:37] Speaker A: Donc là, je pense que Bonin est lucide. Il comprend que la situation de la ville en ce moment est tough. Il comprend qu'on ne peut plus développer en fou comme on l'a fait. Contrairement à Blainé qui, lui, dit qu'il faut développer le plus possible, le plus vite possible. C'est au début de la campagne que c'est ce qu'il disait. Quand on se dit qu'on voit le trafic, qu'on voit les hausses de taxes. [02:49:54] Speaker D: Qu'On a eues, ça n'a pas de bon sens. [02:49:56] Speaker A: Ça fait que les gels d'embauche, plafonner. [02:49:58] Speaker H: Les taxes, prendre une pause pour mieux. [02:50:00] Speaker A: Repartir, Je pense que c'est ce que le bonheur te propose. [02:50:03] Speaker H: Moi, ça va être bonheur cette année, je pense. [02:50:05] Speaker A: OK, merci beaucoup. Bye-bye. On s'en va avec qui, mon cher Danny Boy? Jérôme de Beaumont. Salut! Salut, mon dôme! Jérôme de Beaumont, tu vas être pas à Lévis, mais c'est pas grave. Let's go! en direct de mon garage. Aïe, Doom! Écoute, je viens d'écouter le débat comme il faut. Puis honnêtement, c'est M. Bonin que je trouve qui s'est bien démarqué. Puis c'est surtout le pitch final qui est garant de la personne. Puis le pitch final de M. Bonin était right on the point. C'était pas, j'ai Lévis tatoué sur le coeur, je vais dépasser 10 millions. Puis t'sais, il a pas trop lancé de gros chiffres. M. Bonin a l'air d'être... Il a compris les problèmes de Lévis. Puis il les a tous énumérés dans son pitch final. J'aurais cru entendre Stéphane Lachance. Comprends-tu? Ça y a été direct. On est surendettés. Il faut régler la dette. Après ça, on va parler au peuple. Après ça, on va proposer des projets. Puis on va geler le nombre des emplois. C'était hyper logique. Les autres, on dirait qu'ils se sont un peu mis... M. Bléné s'est planté, là, je trouve. Il s'est mis un peu sur sa notoriété parce que, veux, veux pas, lui, le plus connu là-dedans, c'est M. Bléné. Pis Madame Demers, ben en tout cas, c'est un peu cacophonique. Des fois, on l'embarquait, il y a eu un peu de cacophonie là-dedans. Honnêtement, je pense qu'à M. Bonin, ça serait mon vote. Moi, je suis à Beaumont. Mais je suis tout le temps à Lévis. Et à Lévis, je trouve que depuis le développement, j'appelle ça un développement massif et un peu incontrôlé qu'il y a eu sous le règne de la baume, je vais te le dire, Lévis est rendu un vrai pain de marbre. [02:51:29] Speaker C: Hé, Jérôme! [02:51:30] Speaker A: Vas-y, vas-y, vas-y. [02:51:32] Speaker C: Jérôme, tu te rends compte que tu viens de faire une minute et demie pis t'as pas sacré une seule fois? T'es capable! [02:51:36] Speaker A: Je suis capable, mais là, c'est parce que je fais attention, je suis pas chenou, mon TikTok. T'es capable, mais ça achève. Salut, bye! [02:51:42] Speaker C: Je peux t'envirer? [02:51:43] Speaker A: Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non Salut, ça va? Ça va très bien. Ton opinion? Oui. [02:51:58] Speaker C: Vous allez me trouver plate. [02:52:00] Speaker A: On dirait que ça a l'air d'une. [02:52:01] Speaker F: Vague, mais c'est carrément les mêmes opinions que l'autre qui s'exporte et qui devrait. [02:52:05] Speaker A: S'Exprimer un peu plus. Oui, mais vas-y, exprime-les, puis... Moi aussi. [02:52:09] Speaker F: Je pensais Gainey... Pas Gainey, voyons. [02:52:14] Speaker A: Blaney? [02:52:15] Speaker C: Oui, Blaney. [02:52:16] Speaker A: L'ancien ministre conservateur. Oui, c'est ça. Je sens pas que je l'aimais, honnêtement. [02:52:19] Speaker C: Parce que je l'aimais déjà un peu. [02:52:21] Speaker A: À l'avance, mais je trouve qu'il s'est beaucoup effacé dans l'entre-nous, quoi que ce soit. [02:52:25] Speaker F: Moi, je le connaissais pas, puis honnêtement. [02:52:27] Speaker C: Il va avoir mon vote. [02:52:28] Speaker A: Puis l'autre, c'est purement gratuit. C'est juste que quelqu'un parlait, je sais pas, des fois, ça m'énervait. Mais c'est connaissable, pareil, de son sujet. Mais c'est tout. C'est parce qu'il y en a beaucoup qui votent pas. Bien oui. Merci beaucoup d'avoir appelé. Ciao. Merci, bye. Marie-Christine de Lauzon. Salut! Bonjour. Comment vous avez trouvé ça? Qui s'est démarqué le plus? Qui vous a le plus frappé, disons, peut-être même déçu? Moi, je dirais que Mme Desmertes, elle m'a un peu déçue. J'avais envie de voter pour elle parce. [02:53:07] Speaker G: Que j'ai beaucoup aimé, dans les dernières. [02:53:09] Speaker A: Années, un peu la vision de M. Lehouillier, de dire qu'on développe tranquillement à Guillaume Couture, on ira pas toutes d'un bout pour écoeurer tout le monde. Oui, c'est vrai qu'il y a eu des lacunes au niveau de la gestion des eaux puis des choses comme ça. [02:53:21] Speaker G: Mais la manière qu'elle parlait, qu'elle interrompait. [02:53:26] Speaker A: Les gens, j'aimais moins ça. M. Desmertes, il m'a quand même surpris. [02:53:30] Speaker G: J'ai pas vraiment encore lu sa plateforme. [02:53:33] Speaker A: Puis je me suis un peu moins. [02:53:34] Speaker G: Intéressée, mais j'aimais sa vision aussi de... [02:53:39] Speaker A: C'est que, admettons, les tarifs des patrons, ils s'en foutaient, c'est vrai, correct. [02:53:43] Speaker G: Puis c'est idéalé aussi de, mettons, dire. [02:53:46] Speaker A: Dans les quatre premiers mois, tu sais, qu'il va faire telle affaire, telle affaire. Puis j'aimais aussi, tu sais, on a besoin de changement à Lévis, puis je. [02:53:53] Speaker G: Pense que ça ferait du bien. [02:53:53] Speaker A: M. Bonin, tu sais, il a une vision comme vraiment complètement différente de moi, là, tu sais, au niveau, mettons, de. [02:53:58] Speaker G: La culture, des choses comme ça. C'est pas ça qu'on a besoin à léger très fortement. [02:54:02] Speaker A: C'est vraiment le trafic, l'itinérance qui n'a pas été abordée, le 55 dans la Côte-du-Passage, qui est quand même un endroit historique. C'est intéressant. Il y a des thématiques qui n'ont pas été abordées, qui auraient pu l'être par les candidats. J'ai eu moi l'impression d'être interpellée en tant que moi payeure de taxes. Les logements sociaux, c'est pas des gens qui payent des comptes de taxes. Puis Mgr Bourget à Lauzon, c'est congestionné l'enfer. Ça n'a pas été élargi puis il y a plein de blocs qui poussent. [02:54:27] Speaker G: Puis quatre vallées, les gens qui vont. [02:54:28] Speaker A: Au Cégep ou à l'hôpital. T'es bouchée, ta terre à l'autoroute, la vitesse est trop vite. [02:54:34] Speaker G: Il y a des accidents quasiment tous. [02:54:35] Speaker A: Les semaines à cette place-là. Ça vous tentait pas de vous présenter? Vous avez l'air bonne. C'est des vrais sujets, là. [02:54:45] Speaker G: Peut-être plus tard. J'ai encore deux jeunes enfants, donc... [02:54:49] Speaker A: Mais c'est ça que ça m'intéresse, là. Bien, merci beaucoup. Merci beaucoup d'avoir appelé. Merci. Bye-bye. [02:54:53] Speaker G: Bonne journée. [02:54:54] Speaker A: C'est la fin. 8 h 55. [02:54:56] Speaker C: Les taux de participation en Lévis, en 2017, 36 %, en 2021, 35. 34 %! [02:55:03] Speaker A: Ah, c'est ça. Ça baisse. Ça baisse. Allez voter! On revient! On s'en va ailleurs complètement! Jean-François Caron, ça, ça va être très hot tantôt sur la Cancel Culture. Et sur l'anonymat, il en a sorti une sucrée qui nous a beaucoup touchés ici à Radio-X au cours des dernières années. Mais d'abord, en revenant, Ray de Sports. C'est plate qu'il y a pas de sport, j'ai aucune idée de quoi on va parler. Tiens, tiens, peut-être de cricket et de lacrosse, tiens. Et peut-être aussi d'Ultimate Freezbee si on a du temps. [02:55:38] Speaker D: Nous sommes live. [02:55:41] Speaker G: On revient dans pas long. [02:55:43] Speaker D: Désolé. [02:55:44] Speaker C: Radio X. Ah voilà, voilà. Ça roule, ce show-là, hein? Ça roule! [02:55:52] Speaker A: Ça roule! Avec J.F. Blair. C'est incroyable! [02:55:57] Speaker G: C'est Louis Gauvin. [02:55:58] Speaker A: I am a machine! [02:56:00] Speaker E: C'est incroyable! [02:56:00] Speaker A: On donne mes pieds. Radio-Ik, le Space Cast, présenté par l'Atelier. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, l'Atelier, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Commencez la journée du bon pied avec nos déjeuners savoureux, généreux et à petit prix. Chez Fromagerie Vittoria, chaque assiette traditionnelle est préparée avec amour. Croutons maison, fins volards bien chauds et du fromage frais du jour. Tout ça, tout juste préparé. Un vrai classique qui réconforte peu importe vos envies. On a de tout pour satisfaire les plus gros appétits. Servez jusqu'à 11h en semaine et 13h les week-ends. En salle à manger ou au service. [02:56:37] Speaker F: Au volant, on vous attend à la Fromagerie Victoria. 8 succursales pour mieux vous servir. [02:56:42] Speaker A: EssaiServiceAgricole.ca, c'est les meilleurs en matière de tracteurs. On a du Fendt et du Massey Ferguson, le petit Massey Ferguson d'ailleurs. Il y a une belle vente. Il est le fun, il est maniable, il est quasiment portatif. J'ai tellement le goût de le mettre dans mes poches puis de m'en aller avec. Il est le fun, je l'ai conduit, allez voir la vidéo, qui est quand même trippant. On fait l'inventaire, vraiment, le plancher, la salle de monte exceptionnelle. Ça, Service Agricole, pour vrai, c'est vraiment trippant. Je suis allé à la sucursale de Sainte-Marie. Bon, mais j'aurais pu aller à Saint-Georges, Pont-Rouge, Quaticoque, Monjolier, Warwick, c'est sûr. Avec la vente qu'ils ont sous la main, le massé série 1 GC, 53 piastres par semaine. Zéro comptant, garantie 10 ans ou financement 0 % sur 60 mois. Ils sont incroyables, les gens, dessus le service agricole. [02:57:31] Speaker G: En réservant votre croisière avec CA à Québec, vous profitez d'une foule d'avantages, que vous soyez membre ou non. Pour un temps limité, vous obtenez jusqu'à 3000 $ de rebais par cabine en voyageant avec Royal Caribbean ou Celebrity Cruises. Et on vous donne en prime jusqu'à 200 $ américains en crédit pour vous gâter à bord du navire. Ça donne envie de prendre le large. [02:57:50] Speaker A: Mais faites vite. [02:57:51] Speaker G: Cette offre exclusive se termine le 19 octobre. 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Faites pas le saut, c'est une équipe de hockey. Lui, c'est le capitaine, ça se peut que ce soit son deuxième centre qui vienne. Mais savez-vous quoi? C'est tous des champions, c'est tous des vrais, c'est tous des gens fiables. Ce sont les vrais à Québec. Simon Laberge. [02:59:07] Speaker G: Isope, c'est plus que des trampolines. C'est le fun différent et stimulant. Les enfants quittent les écrans et bougent. Les nouvelles attractions Parc lunaire et Turbulence vous attendent. Devenez membre avec accès illimité pour 39,99 $ par mois. [02:59:22] Speaker D: Isope.ca Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent présentement leur promo tout un quart, tout un prix, avec la cuisse de poulet servie avec tous les accompagnements à seulement 8,95 $ au comptoir et aux services à l'autoroute. [02:59:34] Speaker C: On le sait, tout augmente. Tout le monde est au bout de sa chaîne. Avec l'argent, on cherche une deuxième job. On cherche des façons d'économiser. Économiser sur l'électricité, ça te tente-tu? pour réduire tes coûts de moitié. Grâce à Multiconfort FP et leur offre sur la thermopompe Lenox, on peut réduire les coûts d'électricité de moitié. C'est vraiment confortable, autant pour la température intérieure dans votre domicile, une belle fraîcheur l'été. le plus beau déchauffage de l'hiver, mais surtout le confort de votre portefeuille. Les montants des subventions n'ont jamais été aussi élevés qu'en ce moment. Venez nous voir chez Multiconfort FP. Fred, toute sa gang vous attend ce matin. Ils ont la thermopompe adaptée à votre budget. Posez des questions, soyez francs avec eux et ils vont trouver exactement le produit que vous pouvez vous permettre. Et c'est toujours de la bonne qualité. Écoute, on est recommandé CA, Québec, c'est pas rien. C'est difficile d'aller chercher cette recommandation-là et ils l'ont. Multiconfort FP, on est à Québec, juste en face de l'aéroport, également du côté de Victoriaville. Multiconfort FP. 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Détail et rendez-vous sur drnet.ca. [03:01:41] Speaker C: On n'a. [03:02:01] Speaker A: Pas de raison de croire que le feu est pris à l'hôtel de ville, mais M. Lachance en parle comme si c'était le cas. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:16] Speaker E: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:20] Speaker A: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:23] Speaker G: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:28] Speaker A: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:29] Speaker F: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:38] Speaker A: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:40] Speaker D: Une instrumentalisation d'un sentiment d'insécurité financière. [03:02:42] Speaker G: Avec Dominique Moret. [03:02:44] Speaker A: Pourquoi pas? Dan Gravel. [03:02:45] Speaker G: Et Doomdima. Radio-X. [03:02:50] Speaker A: Et le but! James Malatesta! Malatesta! Ré des sports! Tout le monde ensemble! Salut Ré, comment ça va? [03:03:06] Speaker F: Très bien, merci, vous autres. [03:03:07] Speaker A: Yes! Tu vas-tu faire un petit dodo d'après-midi et regarder du hockey d'après-midi? Ou tu vas faire dodo durant le match d'après-midi? [03:03:17] Speaker F: Non, je vais aller jouer au golf cet après-midi parce qu'il reste quelques belles journées encore avant que tout ça s'arrête. Bon, oui, il va y avoir du hockey en fin de journée. Ça recommence, c'est plaisant, la saison de la Ligue nationale. C'est long, mais c'est plaisant. [03:03:31] Speaker A: 17H, c'est whack 17h. Chicago contre la Floride à 17h. C'est ça. [03:03:35] Speaker F: C'est la TV, c'est la TV qui mène. C'est ça, parce qu'ESPN voulait avoir un triple header, donc ils vont avoir trois matchs à présenter aujourd'hui, 5h, 8h, puis 10h30. D'avoir ESPN dans le portrait télévisuel pour la Ligue nationale de hockey, moi je trouve ça excellent, parce qu'ESPN, évidemment avec toutes leurs plateformes, font des reportages. Tu sais, l'enrobage autour de la présentation d'un match de hockey, ESPN, qu'on aime ou on n'aime pas. Il y a peut-être des animateurs que vous aimez moins ou quoi que ce soit, mais c'est la référence dans le sport. [03:04:11] Speaker A: J'aimerais ça que Piqué revienne. Quand il y avait un tandem, à un moment donné, Piqué va être là. OK, Piqué, puis Marc Messier. Les deux ensemble, je sais pas, il y a comme une chimie le fun, je trouve. [03:04:20] Speaker F: Oui, oui, oui, c'est très bon. Écoute, c'est le feu pis l'eau, c'est le ying pis le yang. C'est deux gars quand même assez différents, mais leader à leur façon, personnalité. Piqué Souban qui fasse des médias, honnêtement, il n'y a personne qui est surpris. Si vous êtes surpris, vous n'avez pas suivi ça bien, bien. C'est dans sa personnalité, puis c'est sûr que quand tu présentes un sport comme le hockey avec de l'émotion, Piqué Souban, tu le veux tous les jours de la semaine, puis 2-3 le dimanche. [03:04:46] Speaker A: Mais en toute fourrure, avec des bottes de kiss. Puis il a des grosses lunettes. [03:04:50] Speaker F: Il n'a pas peur de ses opinions. Il n'a pas peur de ses opinions. De temps en temps, il écorche quelques personnes avec qui il était. Mais ça prend ça. Je donne l'exemple de Tom Brady. Tom Brady prend un peu plus d'aise à décrire. Mais Tom Brady, c'est comme s'il ne veut pas trop déplaire. [03:05:09] Speaker A: Il est politique. Il était impliqué dans l'NFL en partant. [03:05:12] Speaker C: C'est ça. [03:05:12] Speaker A: Exactement. [03:05:13] Speaker F: Parce que si tu veux être analyste et en même temps donner de l'opinion, de temps en temps, tu vas peut-être déplaire à des gens qui t'aiment. [03:05:20] Speaker A: C'est sûr. [03:05:21] Speaker F: Bien voilà. [03:05:21] Speaker A: Exact, exact. Mick David, sais-tu le dernier contrat à Edmonton? [03:05:29] Speaker F: C'est possible. Moi, je pense... Il y a plusieurs façons de voir ça, puis il y a plusieurs pattes à cette nouvelle-là hier. Premièrement, surprise pour moi énorme de le voir signé à rabais comme ça. Et ensuite, je comprends. Je comprends sa mentalité, son thinking. Il est dans une organisation à laquelle il croit, mais il croit qu'il faudrait que ça se passe. Il a donné comme un ultimatum. C'est comme si... Tu sais, le timer, là. Le timer, il vient de partir à Endmonton. Il nous reste trois ans. [03:05:57] Speaker A: Qu'est-ce qu'il a dit et qu'il a pas dit? Hein? [03:05:59] Speaker F: Qu'est-ce qu'il a dit qu'il a pas dit? [03:06:00] Speaker A: Genre, allez chercher un goaleur. Genre, donnez-moi des défenseurs. Qu'est-ce qu'il a dit qu'il a pas dit? [03:06:07] Speaker F: Il faut lire entre les lignes que, regarde, je vais faire ma part. Je sais que je vaux plus que ça, mais je vous donne mes services. Je vous offre mes services à ce prix-là. Maintenant, l'argent qui est de côté, bien, utilisez-le comme il faut. Je sais que là... Et McDavid, le message qu'il envoie également, il sait très bien qu'il ne peut pas gagner tout seul parce que si un match de hockey se gagnait tout seul, on s'entend que McDavid, il gagnerait tout. C'est le meilleur. [03:06:34] Speaker A: Je te pose la question, Ray. Ils ont fait la finale deux fois. Ils ont perdu deux fois. Qu'est-ce qui a manqué aux Oilers pour battre les Panthers? Est-ce que c'est le cœur? Oui, Katchuk a été un facteur, surtout dans la première coupe. [03:06:50] Speaker F: Ils ont perdu en sept. Le deuxième, ils ont perdu en sept. Je vais te dire une chose. Oui, je le sais, mais ils t'en manquent pas beaucoup. Ils manquent quoi, Ray? [03:06:58] Speaker A: Ils manquent quoi? [03:06:59] Speaker F: Je serai pas original ben ben, mais je vais me tourner vers le gardien de but. La régularité devant le filet peut-être un peu plus. C'est peut-être ça qui manque aux Oilers. Est-ce que lui, McDavid, fait tout ce qu'il faut pour gagner? J'ai comme l'impression que oui. Il y a quand même Dry-Cytle avec lui. C'est un bon pilier à ses côtés. Tu vois, hier, la même journée où McDavid laisse sur la table quelque chose comme 7 millions par saison. Les Oilers signent un défenseur qui est très bon, que j'aime bien, Jake Wallman, à combien? 7 millions par saison. Ça fait que, en même temps, tu sais, dans la même journée, on a le message, puis on a le complément du message. McDavid doit être content de ça, là. Wallman, c'est une belle acquisition l'an passé pour les Oilers. C'est pas un gars flamboyant tant que ça, mais ça te prend des gars comme ça, des défenseurs fiables, un défenseur top 4. Puis hier, tu vois, on lui donne 7 millions par saison. C'est exactement le montant que McDavid laisse sur la table pendant deux saisons pour permettre à son équipe d'aspirer aux grands honneurs. Mais écoute, ça m'a surpris hier. Ça m'a surpris agréablement, parce que c'est un geste d'équipe. Il y a plusieurs façons de dire... [03:08:09] Speaker A: C'est un cas à la Crosby qui s'était privé quand même, voyant. [03:08:14] Speaker F: Crosby a fait 8,7 millions de dollars par saison pendant... Ça fait plusieurs années qu'il fait ça. Parce que c'est son numéro, c'est sa date de naissance. Puis en même temps, bien, il comprend. Ça fait longtemps qu'il a compris ça, Sydney, que ça se gagnait pas tout seul. C'est un bon meneur. Puis à sa façon, bien, il a aidé pour qu'on puisse bâtir l'équipe. Dans le sport, c'est pas arrivé souvent, mais c'est arrivé, ce genre de choses-là. Brady l'a fait au football de la NFL. Brady, plusieurs saisons, a pas gagné autant qu'il aurait dû pour permettre à son DG d'aller chercher des joueurs, puis de bien l'entourer pour gagner en équipe. Alors, c'est ça qu'il faut retenir de la journée d'hier. McDavid, il a prouvé que c'était un gars d'équipe, puis il comprend la réalité de la Ligue nationale, mais les Hallers, ils saisissent pas le message que dans deux ans, trois ans maintenant, si on n'a pas réussi à gagner, bien probablement qu'il va falloir faire son deuil de Connor McDavid. [03:09:07] Speaker A: Samuel Blais, je trouve ça de valeur. J'aurais aimé ça le voir à Montréal. Je trouve ça de valeur. Je trouve que c'est une... On ne commencera pas à exagérer, c'est une grosse perte. En fait, il n'y avait jamais Job les Canadiens, mais quand même, il a fait le camp que les Canadiens réclamaient par les livres. Samuel Blais, je trouve ça plate. [03:09:21] Speaker F: Oui, c'est plate. D'abord, ils ne l'ont pas fait jouer quand ils sont venus jouer la semaine passée. Le Canadien s'est trompé. Ils ont fait une erreur parce qu'il y a des centaines de personnes de la Rive-Sud qui avaient acheté des billets. Samuel Blais, quand il a gagné la Coupe Stanley avec les blues, il a fait une parade dans les rues à Montmagny. Il est aimé en joie de vin. Il est aimé. Samuel Blais, il a beaucoup de mérite d'homme parce que, d'abord, quand il était Dans le hockey mineur, tu vas t'en souvenir, on parlait de lui, il était à tombe, Samuel Blais. Il était tellement bon qu'on parlait de lui à tombe. Il a fait parler de lui au tournoi, puis oui. Mais c'est un joueur dominant au niveau des habiletés sur la patinoire. Mais il a compris à un moment donné dans sa carrière professionnelle que pour jouer dans la ligne nationale de hockey, il fallait qu'il se trouve un rôle, il fallait qu'il se trouve une niche. Il s'est mis à jouer un petit peu plus physique. C'était pas dans son jeu tellement. Puis celui qui l'a convaincu de jouer physique, il s'appelle comment? [03:10:09] Speaker A: Craig Bérubé qui retrouve à Toronto. [03:10:11] Speaker F: Qui coache les Leafs de Toronto, c'est Craig Bérubé. Alors là, Sam Blais, il va se retrouver dans un environnement parfait pour lui. Maintenant, il faut être honnête aussi, je l'ai regardé patiner la semaine dernière, Samuel Blais. Je pense qu'il a perdu un petit peu de vitesse, Doom. Puis dans le hockey de 2025, ça te prend des pieds. Il faut que tu patines. Puis il a été blessé. Il a été blessé sérieusement à un genou. L'an passé, il a été super bon. Il a gagné la Coupe Calder dans la Ligue américaine. Je l'aurais gardé avec le Canadien. Moi, je l'aime mieux que, mettons, Joe Velleno. Sans rien enlever à l'autre... [03:10:43] Speaker A: Il fallait qu'il se mette au baladage, selon la règle. Il n'y avait pas le choix. [03:10:46] Speaker F: Même chose pour Sam Blais. Même chose pour Sam Blais. Ils ont pris une décision, les Canadiens. Moi, j'aime mieux avoir un gars comme Blais, qui a beaucoup de millage, qui a gagné la Coupe Stanley, que Joe. [03:10:55] Speaker A: Velleno... Velleno, c'est le dernier arrêt d'autobus après l'autobus sans vos garages. [03:11:00] Speaker F: Oui, puis pour moi, c'est un verre d'eau avec un biscuit soda, pas de sel. Joe Velleno, c'est... Oui, mais quand t'es. [03:11:05] Speaker A: Malade, quand tu relèves de bras, c'est pas si pire. Oui! [03:11:08] Speaker F: Ça, c'est vrai. Ça, ça fait le travail. Ça a toujours une utilité. [03:11:10] Speaker A: Ça, c'est vrai. Non, mais c'est vrai, je l'ai dit tantôt. Velleno, c'est... T'sais, t'es tout seul dans le bus. Le chauffeur, il te regarde. Il espère que tu débarques, parce que sinon, t'es louche. Mais c'est le dernier arrêt, parce que l'autobus s'en va au RTC après. Oui, oui. Montréal, c'est le dernier. Monsieur, c'est fini. C'est ça. Monsieur, on débarque ici. C'est ça, Montréal, pour Véléno. Pour vrai, j'exagère pas. [03:11:33] Speaker F: Non, c'est en plein ça. Lui, Joe Véléno, malheureusement, quand il était dans le hockey junior, on lui a posé le statut de joueur exceptionnel parce que la LHJMQ craignait qu'il s'en aille aux États-Unis. Mais c'est pas un joueur exceptionnel. On lui a fait un cadeau de grec, à Joe Velleno, parce qu'il est avec cette étiquette-là depuis le début. C'est un bon joueur de hockey, c'est même un très bon joueur de hockey, mais c'est pas une exceptionnelle. Sauf qu'il a cette étiquette-là. Alors chaque soir qu'il fait pas deux buts, trois passes, on dit, bien voyons donc, c'est pas une exceptionnelle tant que ça. [03:12:05] Speaker A: Ça a pas été un beau gâteau pour lui. C'est-tu un genre d'esposito? Angelo, Angelo, Angelo. On l'a craqué, on l'a gonflé, là. C'est-tu un genre d'esposito? Oui. [03:12:13] Speaker F: C'est une bonne comparaison, Doom. [03:12:16] Speaker A: Je déteste pas ta comparaison. [03:12:19] Speaker F: Oui, non, ça va bien. Angelo, ça va très bien. Quelle bonne personne Angelo Esposito, soit-il, c'est en passant. Les blessures, on ralentit pas mal Angelo. Il a été blessé aux jambes également. C'est pas une mauvaise comparaison. Des joueurs qui étaient supérieurs à la moyenne dans leur groupe d'âge, mais pas des exceptionnels. Exceptionnel, c'est réservé à des exceptionnels. [03:12:39] Speaker A: T'avais race, t'en étais là quand même. [03:12:41] Speaker F: Et ça c'est des exceptionnels, mais il n'y en a pas beaucoup. Exceptionnel, ça le dit dans la définition. Allez faire un tour dans le Larousse, là. Exceptionnel, là, c'est... [03:12:49] Speaker A: En tout cas, j'ai pas vu la photo des Yankees dans le Larousse anti-péché, je peux te le dire. Très déçu. [03:12:54] Speaker F: Pas présentement. [03:12:55] Speaker A: Qu'est-ce qui se passe? Il y a trop de fun à Toronto. Il y a trop de fun. [03:13:00] Speaker F: Ils n'ont pas de pitchers. Il n'y a pas trop de fun à Toronto. [03:13:03] Speaker A: Non, non, mais il y en a trop pour moi. Il va peut-être avoir du plaisir dans le Bronx, mais honnêtement, mon niveau de confiance est très bas en tant que fan des Yankees. Qu'est-ce qui se passe? [03:13:13] Speaker F: Mais il va falloir que les lanceurs lancent mieux probablement. Parce que quand tu donnes 10 et 13 points, Dom, tu ne gagneras pas beaucoup de matchs de plate. [03:13:20] Speaker A: Non, je le sais. [03:13:22] Speaker F: À un moment donné, tu vas boire frappé la pelote. Mais c'est le fun. C'est le fun d'avoir les Blue Jays gagner comme ça. À Toronto, ça trippe en joie de verre. C'est quelque chose. Avec Vladimir Guerrero junior, un Montréalais, soit dit en passant, né à Montréal. [03:13:38] Speaker A: C'était un Québécois. [03:13:39] Speaker F: Un Québécois. Un Québécois qui fait gagner les Blue Jays. Moi, la photo de la fin de semaine, c'est Vlad qui affrappe l'autre bord à 400, je sais plus combien de pieds. Il reste au marbre une seconde ou deux. Il apprécie le moment. Un petit bad flip. Mais ce soir, le lanceur des Yankees, après avoir vu tout ça, tu peux lui en envoyer une proche du menton, là. T'as le droit de faire ça, là. T'as le droit de répliquer. [03:14:05] Speaker D: Oui, oui, oui. [03:14:06] Speaker A: C'est sérieux. C'est sérieux. Mais en même temps, t'es pas obligé de le lancer sur la tête. [03:14:10] Speaker F: Je vais te dire une chose, si c'était Pedro Martinez sur la butte de l'autre bord... [03:14:12] Speaker A: C'est ça. Rodon, c'est pas son style. [03:14:15] Speaker F: Il ferait la barbe pas de rosoir. Deux-trois de suite. [03:14:18] Speaker A: Non, non, c'est clair. Il était cochon, hein? Ah oui! [03:14:22] Speaker F: Pis Pedro, il était juste assez bon, juste assez précis pour te l'envoyer qu'elle touchera pas le menton, mais tu vas avoir peur un p'tit peu, là. Et après ça, il t'envoie une balle courte. [03:14:31] Speaker A: Au pire du pire, il y aura une bagarre générale, pis tu sacreras Don Zemmer à terre. T'en souviens-tu de ça? Oui, oui, oui! À l'coco à terre, toi, en p'tit dans p'tit. [03:14:40] Speaker F: C'était drôle, il était pas très fier de ça. Mais écoute, il s'est amené avec son pas d'accéléré. Il s'en venait pis... [03:14:49] Speaker A: Un gros jug. La grosse décision, ça se jouera pas à Saint-Terrain toutefois, pis on peut se laisser là-dessus. Je sais pas si c'est un très peu de NBA, je le suis. C'est LeBron de Decision. C'est du blabla, c'est du flafla. Mais regardons-là, on joue à 41 en décembre. C'est sûr qu'il ressignera pas un contrat de 10 ans avec les Cavaliers l'année prochaine. Moi, je pense que la saison, c'est sa dernière. Je pense que le camp d'entraînement, ça a été un camp d'entraînement style militaire chez les Lakers. Regardez Don Cicci, il a perdu énormément de poids. Eux autres, ils visent le championnat. Ce serait pas facile. Il y a O'Casey puis il y a les Rockets aussi. Il y a des bons clubs. Mais je pense que c'est sa dernière saison. C'est ce qu'il va annoncer au cours des prochaines heures. T'en dis quoi? [03:15:32] Speaker F: Ben moi, je pense que oui, ça va être la fin des émissions. Puis écoute, il y a plus vieux joueur à avoir joué dans la NBA, LeBron James, alors... Mais moi, ce que j'aime, c'est la discussion qu'on peut avoir, qui a été le meilleur dans sa carrière entre Michael Jordan et LeBron James. Peut-être que ça dépend des époques où t'as vécu ça. Moi, j'ai de la misère à tasser Jordan du meilleur de l'histoire. Mais LeBron James, c'est tout un phénomène d'homme. [03:15:58] Speaker A: C'est tout un phénomène plus complet. [03:16:02] Speaker F: Oui, quand même, mais je vais quand même choisir Michael Jordan. Michael, c'était exceptionnel. [03:16:07] Speaker A: Il y a un brand. Il y a des chou-clac LeBron, j'en ai déjà acheté, mais c'est le brand. Mais au-delà de ça, lorsqu'on regarde l'athlète, Moi, j'ai vu LeBron recrue. Je l'ai vu avec Miami. Et c'est pas le même joueur. C'est un joueur qui est plus complet. C'est un joueur qui est excessivement clutch. Oui, physique. Mais surtout, ce que je voulais dire, c'est très clutch sous la pression. Il y en a qui s'effondrent sur la pression. Moi, je pense que Judge, c'est peut-être un gars qui s'effondre sur la pression. [03:16:38] Speaker D: Judge. [03:16:39] Speaker F: Aaron Judge, le capitaine des Yankees, il. [03:16:41] Speaker A: Se pense que ça va... Tandis que LeBron... LeBron, il va dire, avant le match, j'en score 36 points et on va gagner. Il livre. [03:16:53] Speaker F: C'est vrai. [03:16:54] Speaker A: Il a livré. [03:16:54] Speaker F: Dans sa carrière, il a livré. [03:16:55] Speaker A: Il est au niveau de Brady. Tiger Woods, c'est la même comparaison. [03:16:58] Speaker C: Lebron ne peut pas paver les routes que Michael Jordan a déjà pavées. C'est pour ça qu'on a de la difficulté. Le basket, c'était un sport pratiquement inconnu au Canada avant Michael Jordan. [03:17:07] Speaker A: C'est un bon point. [03:17:08] Speaker F: C'est ce qu'il fait. [03:17:09] Speaker C: C'est le premier ambassadeur. [03:17:11] Speaker A: Mais quand même, la NBA a vécu. [03:17:13] Speaker F: La NBA vient de vivre quatre décennies exceptionnelles, avec Jordan, puis LeBron est arrivé pas trop longtemps après. C'est qui le prochain, je le sais pas, mais la NBA a quand même profité pas mal de ces deux gars-là. [03:17:26] Speaker A: L'encaro à Orlando, t'en as beaucoup quand même. [03:17:30] Speaker F: Mais pour atteindre le niveau de Jordan et LeBron, là, Doom, là, c'est... Ouh là là! [03:17:34] Speaker A: C'est ça. Là, Doom, il dit MJ aurait fait 40-50 points par game. Des règles d'aujourd'hui, je le sais pas, parce qu'il y en a qui sont double-checkées. Il aurait été très, très contrôlé. C'est dur à dire. [03:17:44] Speaker F: Le basket a changé. Le basket a changé pas mal. [03:17:46] Speaker A: C'est plus physique. [03:17:47] Speaker F: Les gros bonhommes qui tirent de trois points. [03:17:49] Speaker A: C'est plus physique. Oui. [03:17:51] Speaker C: Mais il essaie jamais de faire trois pas dans le temps de Jordan. [03:17:57] Speaker F: Ils te prennent des élans, quasiment de. [03:17:59] Speaker A: La moitié du terrain. [03:18:00] Speaker F: Ils cachent le ballon dans son chandail, puis ils le ressortent tout de suite après. [03:18:04] Speaker A: Les autres, on aimait ça avoir 5 pas. [03:18:06] Speaker F: Oui, ça nous prenait ça. C'est comme au golf, les gars, il faut qu'ils te donnent des coups. C'était pareil. À 5 pas, on va jouer ensemble. C'est bon, ça. [03:18:16] Speaker A: On se reparle jeudi assurément, puis on va parler des remports un peu plus, et le prochain match qui aura lieu local ce vendredi, mais ça on va en reparler ce jeudi. Merci beaucoup Ray, puis bonne game de golf. [03:18:28] Speaker F: Salut, bonne semaine. [03:18:29] Speaker A: Ciao! 9h19, et vous êtes dans Moray Live. [03:18:40] Speaker F: La chronique Réda Sports! Hé, c'est moi, ça! Une présentation du Charbon Steakhouse! Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [03:18:52] Speaker A: Le Last Call! Bonsoir! Bonsoir! Hé, j'ai une petite gavinette pour toi, moi, la call! Avec... Oui! [03:19:00] Speaker G: Max Lacasse! [03:19:01] Speaker A: Bonsoir! [03:19:02] Speaker C: Le Last... [03:19:03] Speaker A: À qui je parle? Call! [03:19:04] Speaker G: Lundi au jeudi, 22h. [03:19:07] Speaker A: Radio X! Grande vente! 1000 walkies d'outils plus! Jusqu'à 60% de rabais, promos exclusives, cadeaux avec achat et beaucoup plus! Jeudi 9 octobre de 9 à 21h au Centre de foire de Québec. 581-985-6949, c'est le numéro à retenir pour nanook.ca. N-A-N-U-U-Q.CA. C'est le temps de changer la toiture. Je le sais que t'as remis ça à cette année. Puis l'année passée, bien, l'autre année d'avant, t'avais remis ça à l'année passée. Là, ça n'arrête plus. Un moment donné, ça ne s'offre pas tout seul, cette affaire-là. C'est une grosse job. Tu ne donnes pas ça à n'importe qui. C'est les plus fiables à Québec et c'est dans toute la région de Québec et de Lévis, les experts. Avec des maudites belles promotions allant de 250 à 1050 $. Ça dépend de la grosseur du toit, du matériau que tu utilises, etc. En toiture de bardeau, il y en a dans toutes les couleurs. On a toutes les couleurs. Non, on ira pas dans le vert. 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Mais il prenait pas le poulet bière et frites, pour la simple bonne raison que ça existait pas dans ce temps-là. T'as compris? Parfait. C'est incroyable. Ça, c'est un repas. J'espère que tu vas laisser ton lunch dans le char. Bien, Réfritte, c'est tout à fait imbattable. Une auto à 5,50 rue Marais et 44 Présidents canadais à Lévis. [03:22:56] Speaker G: Encore une facture d'électricité qui explose. [03:23:00] Speaker C: Moi, Pat, depuis que j'ai ma thermopompe. [03:23:01] Speaker A: Lenox, j'ai réduit mes coûts de moitié. Pis tu me connais, hein, les économies. [03:23:05] Speaker C: De cash, c'est primordial. [03:23:07] Speaker A: En plus, les montants des subventions n'ont jamais été aussi élevés. [03:23:10] Speaker C: J'ai jamais été aussi bien chez moi. Confort en hiver, fraîcheur en été et les économies toute l'année. Une thermopompe Lenox, c'est payant. Parlez-en à... [03:23:25] Speaker G: En face de l'aéroport. 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[03:26:06] Speaker A: Live. [03:26:07] Speaker D: Télémédia, etc. Et vous avez quitté la. [03:26:10] Speaker A: Télé en 2004 et vous avez rejoint Radio X. Radio X. [03:26:14] Speaker F: Et alléluia. [03:26:15] Speaker A: Radio X. Let's go. [03:26:19] Speaker C: On bouge pas. [03:26:24] Speaker A: Jeff Caron. Jeff Caron. Jean-François Caron, mes hommages, comment ça va? [03:26:36] Speaker F: Bien, toi? [03:26:37] Speaker A: Très bien. T'en as sorti une sucrée, j'adore. Ça, c'est une belle courbe des séries éliminatoires au baseball. J'adore ça. Raconte. [03:26:48] Speaker F: Écoute, en 2022, vous vous souviendrez, le fameux site anonyme « Sortons les poubelles » s'en prenait systématiquement à Radio X, à vous, faisait de l'intimidation, vous menaçait, puis la station a déposé une poursuite devant les tribunaux afin de pouvoir connaître l'identité de la personne qui était derrière ce site-là. Puis quand la personne a réalisé que les tribunaux allaient fort probablement trancher en votre faveur, le site a disparu, etc. Puis vous avez les bien-pensants qui sont aujourd'hui du côté de Bruno Marchand qui s'est plaint hier pour à peu près la même affaire avec un autre site anonyme sur les réseaux sociaux. On écrit une lettre dans le devoir pour dire ce que Radio X fait, c'est de la censure, c'est inacceptable. En démocratie, on doit accepter la critique légitime. Mais là, trois ans plus tard, ces mêmes personnes-là sont en train de faire exactement ce que vous avez fait il y a trois ans pour faire fermer des sites anonymes qui les critiquent. Si ce que vous faisiez il y a trois ans, c'était de la censure, bien ce qu'ils font aujourd'hui, c'est de la censure. Mais si ce qu'ils font aujourd'hui, c'est au nom de la sauvegarde de la démocratie, bien ce que vous faisiez il y a trois ans, c'était aussi au nom de la sauvegarde de la démocratie. Fait que c'est tout ça pour dire que ces gens-là, ils sont hypocrites. Ils ont pas véritablement de principe. Ils ont juste des principes quand les gens de leur gang, se font attaquer, mais quand les gens qui font pas partie de leur gang se font attaquer, bien, ils sont silencieux. Puis ça, là, je pense que c'est important de le dire, de le rappeler, de souligner leur hypocrisie, parce qu'on est dans un contexte au Canada où vous avez le projet de loi C-9 qui est à l'étude devant la Chambre des communes, puis ça, c'est les mêmes personnes, ces mêmes bien-pensants-là qui veulent réglementer ce qui se passe sur les réseaux sociaux. On s'est attendu que ce qu'ils vont réglementer, va consister à censurer les individus qui les attaquent, mais certainement pas à censurer les autres personnes qui s'amusent à attaquer les gens de la mauvaise gang. C'est pour ça que j'ai mis en ligne cette lettre ouverte de 2022. pour souligner l'hypocrisie de ces personnes-là, parce que non seulement, à quelque part, c'est drôle, mais ça relève quelque chose qui est beaucoup plus problématique dans un contexte où vous avez ces élus-là qui en appellent ouvertement à réglementer ce qui est dit sur les réseaux sociaux. [03:29:24] Speaker A: Parce qu'on peut pas... Ben oui, c'est ça. [03:29:28] Speaker F: Est-ce que vous pouvez réellement faire confiance au loup qui s'en va dire aux poules qu'il n'est pas végétarien? Ben non. Mais c'est exactement ce qu'ils font. Ils sont en train d'essayer de convaincre les gens qu'ils ont des principes, qu'ils sont là pour défendre la liberté d'expression, alors que c'est absolument pas le cas. Puis il suffit simplement de regarder ce que ces gens-là ont écrit il y a à peine une couple d'années. T'sais, l'Internet, ce qui est écrit sur Internet, ça reste, hein? Internet is a bitch. Puis c'est ça. C'est important de le souligner pour faire réaliser aux gens à quel point ces gens-là, qui maintenant se présentent comme étant des gens qui ont des principes, en réalité, ils n'en ont pas. [03:30:07] Speaker A: Et on peut pousser l'analyse plus loin et de parler de lancées victimaires. «Ah oui, moi, je suis une victime.» C'est des gens qui font du salissage. C'est des gens qui accusent à tort et à travers. Mais aussitôt que tu les critiques le moindrement, Ils tordent la réalité et ils tombent dans une espèce de gaslighting. Non, c'est eux autres, c'est eux autres les méchants. Ils me critiquent. C'est Pierre Poilievre qui dit que je suis un incompétent, c'est lui le salaud. [03:30:37] Speaker F: C'est ça. Pis le pire aussi, c'est l'autre chose, c'est Bruno Marchand, il dit « Ma conjointe est victime d'attaques, d'insultes, de menaces. » C'est dégueulasse en soi, là. J'suis pas là pour défendre les gens qui envoient des courriels haineux ou des messages haineux à la conjointe de Bruno Marchand. Mais le fait est, qui a publicisé la relation entre Bruno Marchand et... [03:30:58] Speaker A: C'est eux autres, conjointement. [03:30:59] Speaker F: Ben c'est ça, ben c'est ça. [03:31:01] Speaker A: Elle avant lui, là. [03:31:02] Speaker F: Oui, c'est ça. Je veux dire, à quelque part, si elle l'a fait, il devait être au courant. [03:31:07] Speaker A: Et à la lumière de ça, je rajouterais, est-ce que moi, comme citoyen payeur de taxes, financier de Radio-Canada, est-ce que je suis en mesure de me faire une opinion? Moi, personnellement, c'est mon opinion. Je dis pas que j'ai raison. Je trouve que la radio de Radio-Canada est bougrement biaisée dans son traitement de marchand. Ça donne que c'est un employé de la maison. Fait que les journalistes veulent pas déplaire un employé de la maison. Oui, mais ça, c'est ma perception. Je dis pas que j'ai raison, mais j'ai le droit de l'exprimer sans me faire salir sa place publique. [03:31:39] Speaker F: Exactement, puis t'as le droit aussi de contacter à quelque part sa conjointe, la journaliste, pour dire je trouve que tu travailles pour une entité qui est pas objective, qui fait pas un véritable travail journalistique. Si après ça elle considère que c'est de l'intimidation, de l'insulte, bon ben elle a un problème en soi. Mais le fait est que c'est lui ou c'est eux qui ont décidé de révéler publiquement la nature de leur relation. Tu sais, à quelque part, faut que t'assumes, là. Si tu veux pas que ta vie privée... Si tu veux pas que des gens commencent à, entre guillemets, attaquer ta vie privée, garde ta vie privée pour toi. Si tu commences à mettre ça, là, sur les réseaux sociaux, assume. [03:32:14] Speaker A: Dans un coopératif extrême, Kelsey et Taylor Swift qui vont se plaindre, qui se font photographier quand ils vont au théâtre ensemble. Oui, mais vous avez joué dans le film, les amis. La bague de mariage, la bague de fiançailles cet été, blablabla. Vous faites de la brouhaha avec ça. Ça, ça fait penser à des artistes québécois. C'est déjà arrivé dans le passé. « Oh non, non, je veux pas parler de ma faillite. Oh, vous avez parlé de ma maison qui a été vendue. Ouais, mais sacrifice pendant six ans de temps. Tu te fais poser sur les terrasses. Tu te fais poser pour raconter ton voyage en Espagne. Tu te fais poser. Tu as joué dans le film, mon petit loup, là. [03:32:48] Speaker F: C'est ça. Donc je joue jusqu'au bout. Je joue jusqu'au bout. C'est ça. Pour le reste de la série. Donc c'est ça aussi que les politiciens vont devoir commencer à comprendre. Tu sais, François Legault, qui expose sa femme, ben quelque part, c'est lui qui a décidé de le faire. Fait que si à un moment donné, sa femme se fait attaquer pour X ou Y raison, que ce soit pour des raisons valables ou non, ben il a ouvert la porte à ça. Ben si tu veux pas que ta femme se fasse attaquer, tu la laisses à l'extérieur de ta vie. [03:33:15] Speaker A: Ben je te pose une question alors. Arthur, il y a plusieurs années, disait, t'es en politique, donc tu tournes la page sur ta vie privée. Est-ce vrai? Est-ce faux? Et pourquoi? [03:33:26] Speaker F: Écoute, moi je dirais, si un politicien décide sciemment d'exposer sa famille dans la sphère publique, dans le cadre d'une entrevue, d'une séance de photos, il entre-ouvre la porte à ce que sa famille se fasse attaquer, à ce que ses enfants se fassent écœurer à l'école. Mais si un politicien, vraiment, garde un cloisonnement entre sa vie publique et sa vie privée, moi je dirais que la population, les médias, n'ont pas le droit d'exposer la vie privée de l'individu. Ça, c'est ma perception à moi. [03:33:57] Speaker A: OK, parfait. Donc, en résumé, en terminant, marchand se fait faire en sortant les poubelles. Oui, exactement. [03:34:06] Speaker F: Ben oui, mais le même disait, pis les gens qui l'entourent, il y a trois ans, ils vous accusaient de faire de la censure. Mais eux autres, ils font exactement la même chose aujourd'hui, mais c'est pour sauvegarder la démocratie. Come on, là. Les gens sont pas si cons que ça, là. Ils réalisent à quel point ils ont un double langage, un double discours. Ils sont hypocrites. Mais qu'on le dise, pis qui s'assume après ça, là? [03:34:27] Speaker A: Très bon, merci. C'était exceptionnel ce matin. Ciao. Prof. Salut. [03:34:31] Speaker F: Salut. [03:34:32] Speaker A: Bye. Très bon. Marchand se fait faire, sortons les poubelles. Et bien, il est 9h35. Les gens suggèrent ici les auditeurs qui réagissent. Prenons l'argent qui était prévu pour notre amouer, dont personne ne veut ici. Et mettons-le sur notre troisième lien, Léopold, sans pa. [03:34:58] Speaker F: Le troisième lien, c'est uniquement pour des faits électoralistes, comme les libéraux, dirons-nous, favoriser. [03:35:06] Speaker A: L'Anglais au détriment du français au Québec. Pour se gagner... [03:35:10] Speaker C: Alors toi, tu dis, Léopold, si je. [03:35:11] Speaker A: Comprends bien, 70 % de la population. [03:35:13] Speaker F: La demande, elle est farfelue, c'est ça? [03:35:14] Speaker A: Le retour de Radio X. [03:35:16] Speaker G: Lundi au vendredi, 15h. [03:35:31] Speaker C: Quand on cherche des équipements spécialisés dans le déneigement, dans le monde entier, on se tourne vers Québec parce qu'à Québec, on est les spécialistes du déneigement. C'est une ville dans laquelle il tombe beaucoup de neige. [03:35:49] Speaker A: Donc, J.A. [03:35:49] Speaker C: Larue, eux autres, ils sont installés ici, en se disant tabarnouche. On a la meilleure main-d'oeuvre disponible. On connaît ça, la neige. Et nous autres, on fabrique et distribue des équipements de déneigement destinés au marché mondial. Donc, c'est important pour nous d'être crédibles et on veut les meilleurs employés possibles. Et c'est toi le meilleur employé possible. Travailler chez J.A. Larue, c'est un emploi stimulant. Il y a plusieurs postes à combler et, mais, On cherche des assembleurs-monteurs, des mécaniciens de machinerie lourde, ingénieurs électriques, techniciens, ingénieurs industriels, techniciens, qualité est commis à la réception. Rejoignez une entreprise tournée vers l'international, qui a des super beaux projets innovants. Allez faire un tour au larue.com. Larue.com, les conditions de travail sont incroyables, la gang est le fun. Rejoignez une entreprise en pleine croissance. JALarue.com. [03:36:42] Speaker F: André vient de vendre facilement et en. [03:36:43] Speaker A: Moins de 48 heures son bloc à airfortin.com. Et la vente s'est conclue sans conditions ni garanties légales, devant notaire. [03:36:51] Speaker C: Oui, oui, devant notaire. [03:36:52] Speaker A: Sans aucune complication. Et sans commission ni rénovation. Vite de même. [03:36:58] Speaker C: Vite de même. [03:36:59] Speaker F: Pour votre bloc, maison ou terrain, demandez. [03:37:01] Speaker A: Votre offre d'achat en ligne sur airfortin.com. [03:37:04] Speaker F: Et vous allez vendre, vous aussi, vite de même. [03:37:07] Speaker A: Oui, il faut l'acheter ton bloc. [03:37:09] Speaker G: Airfortin.com. Yes! [03:37:11] Speaker D: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent présentement leur promo tout un quart, tout un prix, avec la cuisse de poulet servie avec tous les accompagnements à seulement 8,95 $ au comptoir et au service à l'auto. [03:37:22] Speaker A: L'hiver approche. Soyez prêts avec le Tucson à traction intégrale. Confort, sécurité et tenue de route, tout y est. Pendant l'événement le plus bel à Réondez, louez le Tucson 2025 Traction intégrale à 95 $ par semaine, 48 mois, léger comptant. Disponible maintenant. Souvent, les gens me demandent, Réal, comment t'as fait pour pas rire à LOL Qui Rira le Dernier? Ben, c'est simple, mon métier, c'est pas. [03:37:44] Speaker D: De rire, c'est de faire rire. [03:37:47] Speaker A: Alors, je vous invite à venir me voir faire mon métier. [03:37:52] Speaker F: En octobre, je serai à Saint-Georges-de-Beauce, au Cégep de Lévis. [03:37:55] Speaker A: En novembre, à Montmagny. Et après Noël, à la salle Albert-Rousseau. C'est bon, on est là. [03:38:00] Speaker C: T'es sûr qu'ils vont aller voir ça? [03:38:01] Speaker A: Moi, je suis là, Réal. Pourquoi tu ris, toi? Et pour toutes les autres dates, allez au realbelan.com. Depuis que j'ai parlé de mes dettes. [03:38:08] Speaker C: Avec Raymond Chabot, j'ai retrouvé la motivation. [03:38:11] Speaker A: De m'entraîner trois fois par semaine. Ben, deux, mettons. Pis de me remettre à cuisiner, genre. [03:38:17] Speaker H: Mon fameux macaroni triple fromage. J'ai même fini par ranger mon cabanon. [03:38:23] Speaker A: Il était temps. [03:38:25] Speaker H: Ouais, ça fait vraiment du bien de retrouver ses moyens. [03:38:28] Speaker G: Si vous avez besoin d'aide pour régler vos dettes, contactez-nous pour une consultation gratuite. Raymond Chabot, syndic autorisé en insolvabilité. Vous n'êtes pas obligé de sortir de chez vous pour vous gâter. Vous avez juste à les faire venir. Commandez en ligne au sensationsplus.com. Partagez le plaisir. [03:38:46] Speaker A: Ce jeudi seulement, la grande vente Milwaukee d'outils plus. Jusqu'à 60% drapé, cadeau, deal de fou, jeudi 9 octobre, 9 à 21h au Centre de foire de Québec. [03:38:57] Speaker C: Gagnez deux billets pour le match d'ouverture au Centre Bell le 14 octobre avec 2000 $ cash grâce à Numbers Game. Participez gratuitement à concourspng.com. Concourspng.com. [03:39:10] Speaker A: C'est pas tout le monde qui se sent à la maison dans une cuisine en réno, dans une salle de bain en construction, dans un salon en chantier. Mais nos entrepreneurs à PCHQ, oui. Pour eux, un chantier, c'est la maison. Outils, formations, soutien, on est la référence. 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[03:40:10] Speaker A: Votre cuisine ou votre salle de bain a vraiment besoin de Réno? Signature Simard est là pour réaliser vos projets. Nos designers créent votre plan 3D, tandis que nos experts de la construction donnent vie à votre projet. Vous n'avez plus qu'à choisir parmi notre vaste choix de matériaux à notre salle de monde de Charlebourg. Signe un contrat et laissez Signature Simard rénover pendant l'hiver. C'est simple et efficace. Rénover sans tracas avec Signature Simard. Appelez-nous ou demandez vite votre soumission gratuite au signaturesimard.com. [03:40:38] Speaker G: Moret Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:41:07] Speaker D: Écoute, nous autres, on parle de nos élections municipales ici à Québec. On a eu le débat à Lévis ce matin. À Montréal, ils feront quoi? [03:41:22] Speaker C: À Montréal, il y a tant d'accord que du monde se présente. [03:41:25] Speaker D: Un, c'est fini. Deux, ils en ont enlevé un hier à cause de Bruno Marchand. Ils ont enlevé un candidat, pas un maire, pas un possible maire. Mais t'as l'impression qu'il y a pas vraiment de débat, qu'il y a rien qui se brasse un peu, que ça intéresse pas le monde. Le pire, c'est parce qu'en plus, encore une fois, les Mésos sont déconnectés du monde. Ils veulent pas jaser de ce qui intéresse le monde. Si ça jase de Pisclap, c'est ça, le faux débat, c'est Pisclap. Je te fais entendre, Serge Dononcourt, c'était cet été, qui parlait des pistes cyclables à Montréal. [03:41:56] Speaker A: Qu'est-ce que tu ferais comme ménage? [03:41:58] Speaker C: Tout ça, là. [03:41:59] Speaker A: Premièrement... [03:41:59] Speaker C: Pis le piste cyclable? Non, les pistes cyclables, c'est correct. [03:42:02] Speaker A: On peut-tu gérer ça comme du monde? [03:42:03] Speaker D: Je vais te poser une question, Sébastien. [03:42:05] Speaker A: Pourquoi la rue la plus passante de Montréal, la rue Saint-Urbain, devient une voie cyclable quand, juste à côté, il y a la rue coloniale, puis la rue Laval, où les bicyclettes auraient moins de. [03:42:15] Speaker D: Pollution d'en face, puis que ça... Non, ben non! [03:42:19] Speaker A: On va mettre ça où il y. [03:42:19] Speaker D: A le plus d'autos pour être sûr. [03:42:20] Speaker A: Qu'Il y a des accidents, pour être sûr de faire chier le plus de monde possible. [03:42:24] Speaker C: Il y en a plein de petites. [03:42:25] Speaker A: Rues qui seraient super belles, pour les bicyclettes, je ferais ça. [03:42:30] Speaker D: Mais c'est le genre de dossier qui est pas jasé. Il essaie d'en jaser un peu, mais ça intéresse pas les médias à Montréal. Les médias à Montréal s'intéressent plus à notre élection ici, à Québec, parce qu'ils trippent sur Bruno Marchand. [03:42:40] Speaker A: C'est le roi des bienpassants. C'est celui qui remplace Valérie Plante. [03:42:43] Speaker D: Exact. [03:42:44] Speaker A: Dans leur évangile. [03:42:44] Speaker D: Pour les prochaines années, ça risque d'être ça, en effet. L'exemple, celui à suivre, ça va être Bruno Marchand. [03:42:50] Speaker A: Il n'y a rien de vrai à Montréal. Il n'y a rien de vrai. [03:42:54] Speaker C: Comme le maire du Québec, c'était Régis Labeaume, carte de Nicodate à Montréal. [03:42:57] Speaker A: C'est ça. Il y a rien de vrai. Tout est fauné. Tout est truqué. Ils parlent, ces gens-là, pour plaire aux chroniqueurs, aux animateurs poche de radio. Mais quand tu fermes le micro, hey boy, là, ça doit se faire aller un petit péché, là. Mais... ils font attention assis à ça. Qu'est-ce qu'ils vont dire aux devoirs? Oui, seigneur, la journée est encore jeune, m'a passé là, m'a fait barouetter. Fait que finalement, ils disent tout et son contraire. Puis ils veulent plaire à la gang au lieu de plaire au vrai monde. Parce qu'il en reste encore un peu de monde à Montréal. Ils ont beau quitter l'île, bien, il reste du monde, hein. [03:43:32] Speaker C: On remarque qu'ils sont peut-être jaloux aussi du fait que le maire a choisi le Journal de Québec pour être responsable de ses communications et non pas Radio-Canada. Peut-être qu'ils disent, regarde, nous autres aussi, on aurait été capables de le faire s'occuper de tes coms, là. [03:43:45] Speaker D: Ben, ils essayent de le prouver aussi de temps en temps, là. Ben, nous aussi, on est capables, là! [03:43:48] Speaker A: Quel campagne poche, on va le dire. Stéphane Lachance a bien fait ce matin, il s'est présenté au bat, je vais le saluer. C'est pas tout le monde qui fait ça. Il se présente au bat en personne, t'inquiète, donne la main. Oui, je me suis gouré parce que j'ai fait confiance à quelqu'un pour mes propriétés alors que j'aurais pas dû le faire. Il l'a fait, regarde, il est venu. Je salue ça, moi. C'est quelqu'un qui s'esquive pas, il se sauve pas. C'est pas un pleutre comme marchand, un couillon qui se cache par en arrière, pis qui bave comme on voyait à l'tite école. Un baveux qui se cache en arrière du groupe, qui fait des fingers. [03:44:21] Speaker C: Le gars qui écart quand ses frères sont là. [03:44:23] Speaker A: Exact. Exact. Good. [03:44:26] Speaker D: Je te fais jouer une autre chose, ça remonte à la semaine dernière. C'était un peu du micro-ondes ce matin. Mais... T'sais les dossiers qui intéressent le monde encore... [03:44:35] Speaker A: Les câlins nazes en 1999. [03:44:36] Speaker D: Hey, t'as des histoires en matin là. Les gens sont à 200$ de pas arriver là. [03:44:40] Speaker A: Oui. [03:44:40] Speaker D: T'as ça dans les journaux là. [03:44:41] Speaker A: Absolument. [03:44:42] Speaker D: Mais encore au Québec, à chaque fois. [03:44:43] Speaker A: Qu'Il y a question... La constitution. [03:44:45] Speaker D: Oui. [03:44:45] Speaker A: La CAQ m'a brossé ça aujourd'hui. La constitution. Constitutionne-moi le sac. Tu viens de leur voir le score, là. [03:44:52] Speaker C: C'est réglé. [03:44:53] Speaker D: Mais à chaque fois que t'as des questions de baisser la taxe sur l'essence, là, «Ah non, non, ça, faut pas toucher à ça, là!» Ça changera rien, anyway. [03:45:01] Speaker A: En passant, en revenant de la belle. [03:45:03] Speaker C: Ville de Gatineau, François, j'ai fait le plein d'essence en Ontario. [03:45:07] Speaker A: 1,26 $ le litre. [03:45:09] Speaker C: Quand je suis arrivé à Québec et que j'ai dû refaire le plein, c'était 1,36 $. Donc, il y a quand même une certaine différence. [03:45:16] Speaker A: Le problème avec les taxes sur l'essence, les amis, c'est que ça dure aussi longtemps que les pétrolières embarquent pas sur. [03:45:22] Speaker F: L'Espace qui a été laissé vacant par le gouvernement. [03:45:25] Speaker A: Vous n'en faites pas confiance? Non, moi, absolument pas. [03:45:29] Speaker G: D'aucune façon. [03:45:30] Speaker F: Même en Ontario, vous avez été chanceux, la 1,26, ça fluctuait beaucoup. [03:45:34] Speaker A: Un moment donné, on était à deux. [03:45:36] Speaker F: Sous entre Gatineau et Ottawa. [03:45:38] Speaker D: Le seul point qu'elle a raison, c'est que ça fluctue en Ontario. Mais généralement, là, ça fait cinq mois que la taxe carbone a été enlevée au fédéral. La différence en moyenne est encore aux alentours de 23 cents, présentement, entre l'Ontario puis le Québec. Oui, ça a baissé un moment donné. Je pense que c'était en bas de 10 cents, même, à certains endroits, la différence entre le Québec puis l'Ontario. Mais généralement, là, c'est pas mal autour de ça. 20, 25 cents de différence. C'est encore ça, ce matin. [03:46:02] Speaker A: C'est sûr que... Combien, ce matin, Québec? Les Livers. 88, 67, 0, 9, 0, 9, 8. [03:46:08] Speaker C: J'irais une 57. [03:46:09] Speaker A: Gatineau, une 31. Chico-Timmy. Gatineau, c'est un micro climat. [03:46:14] Speaker D: C'est parce que, à cause de ta walk, t'es à côté, t'as pas le choix de charger moins cher. [03:46:17] Speaker A: Chico-de-Boulevard-Talbot, ma chère. Une et 36. [03:46:23] Speaker C: Ben, c'est 57, d'accord. [03:46:25] Speaker A: C'est ça. Non, mais c'est moins cher là-bas. Non, mais c'est toujours moins cher là-bas. Comparé à Québec. [03:46:28] Speaker D: Ici, Saguenay et Québec. [03:46:30] Speaker A: Oui, oui, mais c'est ça. Je compare Saguenay et Québec. [03:46:32] Speaker C: À Québec ici, c'est quoi le prix? [03:46:33] Speaker A: Ben c'est 1,58. OK, j'ai dit 1,55. 1,55 sur ton âme. 1,55. [03:46:38] Speaker C: C'est ça. 1,58, une copine à Gatineau. Sacré âme. [03:46:41] Speaker A: C'est ça. Mais enlevons Gatineau pour pas être malhonnête. [03:46:44] Speaker D: L'Ontario joue autour d'une 1,20, une 1,22. [03:46:46] Speaker A: C'est ça. Comparons Québec-Scoutimie. Là, on peut comparer. Ils font le parc, en plus. Ils font le parc pour livrer du gaz. Ici, 1,57 à Trois-Rivières, Québec. Québec, 1,55. Mais là-bas, 1,36 à matin, Ultramar, ma chère, boulevard Talbot. C'est dégueulasse. Il y a du monde qui nous crosse. [03:47:09] Speaker D: Même le moins cher à Québec est au-dessus de 10 cents plus cher. [03:47:13] Speaker C: Puis on ne sait toujours pas pourquoi. [03:47:14] Speaker D: Non, on ne le sait pas et. [03:47:15] Speaker A: On ne le saura pas. Il n'y a jamais d'explication. Puis il n'y a pas de guerre de prix. Ils ont enlevé le prix plancher, ça n'a rien donné. [03:47:21] Speaker C: Tu disais la guerre de prix. Collision, moi je mettrais prison à vie au Canada. [03:47:25] Speaker A: C'est l'enfer. C'est l'asile. [03:47:27] Speaker C: Ce n'est pas compliqué. [03:47:28] Speaker A: C'est l'asile, l'asile, l'asile. Je regarde ça, c'est dégueu, dégueu, dégueu. Et merci à Pierre Paquette, un auditeur Liver. qui a tanké à Mississauga hier 1er 19. [03:47:37] Speaker D: C'est ça. Autour d'1er 20, c'est beaucoup ça le prix, généralement, en Ontario. [03:47:42] Speaker A: Toronto, y'a des terres sur le transport en commun, blablabla! 1er 29, Toronto. Et les autres, y'ont un tramway. Je disais ça comme un clin d'oeil. OK, on va à la pause et on revient. Et on débute l'émission, mais en compagnie de tout le staff, incluant D.H. et Jean-Claude Pat, toute la gang. On est 15 au micro. On est 15 au micro. Ciao. [03:48:11] Speaker G: Téléphone. Texto. 418-670-9098. [03:48:16] Speaker A: Moray. Live. [03:48:18] Speaker G: Radio X. [03:48:19] Speaker A: Cette semaine, écoute Couture dans le Mid. Tu pourrais gagner à chaque jour une boîte de pizza d'aliments Ludo d'une valeur de 60 $. Pendant le show, texte au 88 670 9098 le mot LUDO en nous disant c'est quoi ta sorte de pizza préférée. Ingrédients frais, pâte et sauce maison, LUDO, la pizza congelée au vrai goût de resto. Dispo chez les marchands participants et un prix très spécial au IGA Amel. LUDO, décongeler, cuire, servir. [03:48:47] Speaker C: Je veux vous parler du chantier naval de la dévie. Parce que la dévie c'est ici, c'est dans la grande région de Québec, c'est sur la rive Sud. Et c'est le plus grand chantier naval au Canada, c'est pas rien ça. Actuellement, on a besoin de monde. En fait, on a rempli Le carnet de commandes, jusqu'en 2040, on a besoin de beaucoup de monde. C'est 1000 postes qu'on a à pourvoir. À l'heure actuelle, des peines, des assembleurs mécaniques, électriciens, contre-mètres, bien plus. On a besoin d'un paquet de gens avec une panoplie de connaissances, d'expertise également. Le carnet de commandes, comme je le disais, est bien, bien plein rempli. On a des conditions de travail solides. Ose-le grandiose pour ta carrière. Postule dès maintenant à dvrecruite.ca. [03:49:31] Speaker G: Cet automne, la Grande Allée s'illumine et l'atelier t'attend. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartares, cocktails, signatures, ambiance festive, on s'occupe de tout, même de ta voiture, avec notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. Prochaine sortie, Grande Allée. Réserve dès maintenant sur bistrolatelier.com. [03:49:56] Speaker B: J'écoutais un podcast pis je pense que toi pis moi, on devrait être sans attache. [03:50:01] Speaker G: Ah ouais? [03:50:02] Speaker A: C'est sûr que vous risquez de prendre goût à la recherche cellulaire sans fil. [03:50:04] Speaker C: De série du nouveau Honda HR-V 2026. [03:50:07] Speaker D: Ouais, prendre l'auto puis partir sur un Nowhere plus souvent. [03:50:10] Speaker A: Ah! [03:50:11] Speaker G: Pas d'attache comme ça! [03:50:12] Speaker B: Oui, tu pensais quoi? [03:50:13] Speaker A: Avec une foule de nouvelles technologies tirées, le Honda HR-V 2026 est parfait pour vos longues sorties d'automne. Douillez le vôtre à partir de 3,99 % pendant 24 mois. Sur approbation de crédit, détails sur honda.ca. Honda, c'est sûr! Le gros luxe a une nouvelle section sur son menu. Le petit luxe. Des formats adaptés et des repas à petit prix. Smashburger, poutine, mac'n'cheese ou tacos. Des classiques pour moins de 12$. [03:50:37] Speaker B: Avec une pinte à 6$, ça sonne. [03:50:39] Speaker D: Comme un bon plat. [03:50:39] Speaker A: T'as l'gros luxe. [03:50:40] Speaker B: Ton resto de quartier, avenue Miran. [03:50:42] Speaker A: Vous portez des verres de contact et vous êtes tanné de payer trop cher? J'ai la solution pour vous. Maranda.ca. Les grandes marques telles que Oasis, Acuvue, Daily's, au meilleur prix c'est garanti. Jusqu'à 50% moins cher. Livraison sans frais pour vos verres de contact au meilleur prix. Maranda.ca. [03:51:00] Speaker F: Si tu trouves que les magasins meubles. [03:51:02] Speaker A: RD sont pas super beaux? Ben, dis-toi ben une chose. Si le meuble est beau chez nous. [03:51:11] Speaker H: Je te jure, man, il va être beau chez toi. [03:51:14] Speaker D: Jusqu'au lundi de l'Action de grâce, c'est la grande vente 20e anniversaire chez Meubles RD. Profitez de 20 % drapé sur tous les meubles et matelas à prix régulier. Meubles RD, bien se meubler, moins dépenser. [03:51:29] Speaker A: T'sais, p'tit gars, dans mon temps, on parlait déjà du 3e lien. [03:51:34] Speaker F: Ah oui? [03:51:35] Speaker G: Pis toi, est-ce que tu l'as déjà vu? [03:51:37] Speaker A: Non, le 3e lien. [03:51:39] Speaker D: On l'attend encore. SG Énergie. Du service, pas des promesses. Plus de 50 ans à livrer mazout, carburant, lubrifiant et plus. CC08888. CC08888. En ce moment, épargner jusqu'à 15 % avec le code SG981. Certaines conditions s'appliquent. [03:51:59] Speaker A: Et voilà, les gars, vos gratteux! Hein? [03:52:00] Speaker D: Des gratteux? [03:52:01] Speaker C: Tiens, gratte, gratte! [03:52:03] Speaker A: Des frites? Mais j'ai rien commandé, moi! [03:52:06] Speaker H: Un frigo-bud? [03:52:09] Speaker A: Désolé, les gars, j'viens de gagner une escapade de hockey puis j'ai été à Montréal! Du 6 octobre au 2 novembre chez Dooley's! En collaboration avec Budweiser, c'est 100% de chance de gratter et 1 chance sur 2 de gagner! Ça, c'est l'heureux gratteux, les gars! [03:52:22] Speaker G: S'amuser, boire et manger! [03:52:25] Speaker A: Plus haut que le Cherokee. Détails sur dorisquebec.com. Avec le groupe Nanook, acceptez votre soumission de Bardot en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. Ou prévoyez de changer votre revêtement extérieur pour le printemps prochain et profitez du Renault rabais extérieur allant de 200 à 1500 $. Appelez-nous pour plus de détails au 581-985-6949. Visitez le Nanook pour Certaines conditions s'appliquent. [03:52:59] Speaker G: Ice Out, c'est plus qu'un centre de trampoline, c'est un monde d'aventures. La place pour bouger, rire et sauter. Ice Out, c'est le fun exaltant et joyeux. Fêtez l'anniversaire de rêve de votre enfant avec nous, détendez-vous et profitez. On s'occupe de tout. Visitez iceout.ca. [03:53:15] Speaker C: Pierre Couture s'installe. On se dit à demain sans faute à partir de 6h. Bye bye! [03:53:28] Speaker G: Moray Live. [03:53:30] Speaker F: This is the end of the show. [03:53:31] Speaker A: J'en ai ma claque la merde. [03:53:33] Speaker D: Have a great day and remember, swim safe. [03:53:36] Speaker A: Moray Live. [03:53:39] Speaker G: Réécoute les meilleurs moments. [03:53:41] Speaker A: Radio X.com. [03:53:43] Speaker G: L'application Radio X. [03:53:46] Speaker A: Radio. [03:53:47] Speaker G: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville. [03:54:04] Speaker C: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. [03:54:07] Speaker A: BPM Sport, la radio des sports au Québec. [03:54:10] Speaker D: Hey, c'est Jordan. Dans le baseball majeur, les Blue Jays ont la chance de sortir les finalistes de la série mondiale de l'an dernier, les Yankees. Pas une, mais deux volées en fin de semaine à Toronto. Les bombardiers du Bronx sont donc au pied du mur. Je vous rappelle que c'est une série 3 de 5. L'avantage pour les New-Yorkais, c'est qu'ils seront à la maison, au Yankee Stadium. Et ça, ça peut faire une grosse différence. Au Monticule, Shane Bieber effectuera son premier départ en série dans l'uniforme torontois et il fera face à Carlos Rodon. Ça débutera à 20h08. Et dans la Nationale, ça va très bien également pour les Dodgers. 2-0 la série suite à une victoire de 4-3 hier contre les Phillies. Même chance pour Milwaukee qui a remporté un match hier 7-3 contre les Cubs et qui mène 2-0. Pour ce qui est de la série Mariners-Tigers, c'est égal 1-1 et le prochain duel aura lieu à 16h08 tantôt. Et en terminant, c'est officiellement le début de la saison dans la Ligue nationale de hockey. Le coup d'envoi se fera dès 17h au Amarant Bank Arena de Sunrise, alors que les champions de la Coupe Stanley, les Panthers, affronteront les faibles Blackhawks. Un peu plus tard en soirée, à 20h, les Pingouins seront à New York pour affronter les Rangers au Madison Square Garden. Et à 22h30, l'Avalanche sera à L.A. Un match contre les Kings. Bonne saison, guys! [03:55:28] Speaker C: Pour plus de sport, ici BPM Sport. [03:55:32] Speaker A: Des manchettes sportives présentées par LARU qui recrutent des assembleurs, mécaniciens, commis à l'entrepôt, ressources humaines, ingénierie et plus. Joins-toi à l'équipe LARU. Postule sur JALARU.com Salut les enfants! [03:55:45] Speaker D: Quoi de neuf pour ce mois-ci? [03:55:46] Speaker A: Chez Lévis-Chrysler, on a le RAM 2026 garanti 10 ans, 160 000 km à 0 % sur 72 mois. On a vraiment confiance dans notre pickup. Chez Lévis-Masda, le CX-30 a location 48. [03:55:59] Speaker D: Mois à 93 $ par semaine. [03:56:01] Speaker A: Il est beau, le CX-30, puis il est fiable à part de ça. [03:56:04] Speaker D: C'est bon, on y va avec ça. Et n'oubliez pas que c'est le temps. [03:56:07] Speaker A: De se faire poser les pneus d'hiver. [03:56:09] Speaker D: Il nous reste de la place. Chez Auto-Québec, on s'occupe de vous. [03:56:13] Speaker A: Le Carbo. [03:56:14] Speaker G: Carbo. [03:56:16] Speaker A: Chaud. Chaud. Avec Carbo. [03:56:20] Speaker G: Lundi au jeudi, 18h. [03:56:23] Speaker A: Radio. [03:56:24] Speaker D: Le Carbo Show présenté par 888casino.net. Plongez dans 888casino.net. C'est fait pour jouer. 19 ans et plus, jeu gratuit uniquement. Jouez de manière responsable. [03:56:35] Speaker G: Depuis plus de 30 ans, Gestion Lakoto offre des véhicules de qualité jusqu'à la moitié du prix d'un oeuf. Nos pros conseillers vous accompagnent sans pression dans votre choix. Retrouvez le plaisir de sourire en toute confiance. Au Centre Dentaire Quartier, anciennement Girard et Martineau, l'implantologie dentaire, on s'y connaît. Contactez-nous dès maintenant pour obtenir une consultation sans frais et découvrir nos solutions sans greffe osseuse. Nous offrons également des soins dentaires complets, du nettoyage à la dentisterie esthétique pour toute la famille. Centre Dentaire Quartier, c'est une équipe humaine et professionnelle qui saura être disponible et à l'écoute de vos besoins. Al Quartier Québec. [03:57:18] Speaker D: Nokian Tyres, c'est un parcours exceptionnel. Jusqu'au 20 décembre, recevez jusqu'à 100 $ de remise à l'achat de 4 pneus sélectionnés. Les pneus Nokian Tyres, disponibles chez votre détaillant Autobox. [03:57:28] Speaker G: Pour vendre au meilleur prix avec une stratégie efficace, une mise en marché professionnelle et une prise en charge du début à la fin, contactez Christian Dagenais, courtier immobilier via Capital, à christiandagenais.com ou au 581 985 8906. [03:57:43] Speaker A: Grande vente Milwaukee d'outils plus, prix imbattable jusqu'à 60% de remède sur outils Milwaukee, promos exclusives, cadeaux avec achat et plus. Jeudi 9 octobre seulement de 9 à 21h au Centre de foire de Québec. Tardimétal engage. Assembleur soudeur, journalier, opérateur de pont roulant, jour et soir. Salaire compétitif, gym, assurance, REER collectif, tout y est. Imaginez-vous chez nous. [03:58:09] Speaker B: Postulez sur tardimetal.com ou envoyez votre CV. [03:58:11] Speaker A: À rh-sm-inc.com Cet automne, la Grande Allée. [03:58:17] Speaker G: S'Illumine et l'atelier t'attend. Pour un lunch, un apéro entre amis ou une soirée qui se prolonge, c'est la destination pour manger, boire et célébrer. Tartares, cocktails, signatures, ambiance festive, on s'occupe de tout, même de ta voiture, avec notre service de voiturier disponible tous les jours dès 16h. Prochaine sortie, Grande Allée. Réserve dès maintenant sur bistrolatelier.com. [03:58:41] Speaker A: Vous voulez des deals? Des gros deals? Découvrez l'encore Radio X en ligne au Radio X.com. Des aubaines de fou, fermeture de piscine par piscine de rive, souffleurs à feuilles de performance Emma, isolation d'entre-toi par isolation Frontenac, cours de conduite de l'école de conduite Pointe-Lévis et plein de certificats cadeaux. Tout ça à partir de 25% de la valeur seulement. Mais attention! L'encant se termine le dimanche 19 octobre. Cliquez et misez dès maintenant au ratioix.com onglet ENCANT. Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. [03:59:30] Speaker F: C'est vous. [03:59:30] Speaker G: C'est drôle. [03:59:31] Speaker A: Votre propre opinion. [03:59:32] Speaker G: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.