Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Radio X.com. Faites vite. Quantité limitée. Une collaboration anti-rouille crown. Trouve le centre le plus près au crown.com. Radio X. Choua.
[00:00:10] Speaker B: Choua.
[00:00:10] Speaker A: 98.
[00:00:12] Speaker B: 98.
[00:00:13] Speaker A: En un.
[00:00:14] Speaker B: Choua.
[00:00:17] Speaker A: Radio X. À Québec, c'est Radio X. Choua.
[00:00:22] Speaker B: Radio X. Faites-vous. Faites drôle.
[00:00:25] Speaker A: Votre propre opinion.
[00:00:27] Speaker B: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[00:00:50] Speaker A: Live! Live!
[00:00:54] Speaker B: Avec Dominique Moret, Dan Gravel et Dom Dumas.
[00:01:02] Speaker A: Radio-X.
[00:01:04] Speaker C: On.
[00:01:09] Speaker D: Appelle ça rembourser avec intérêt.
[00:01:12] Speaker A: Bienvenue à Radio-X dans Moret Live. C'était un programme double, ça finit tantôt.
[00:01:19] Speaker E: Oui.
[00:01:20] Speaker A: Les oiseaux pleurent, bien les oiseaux vont devoir aller travailler à Toronto. Il y en a qui vont avoir une haleine de Molson Dry ou de Coors Light. Les yeux dans le même trou. Et de regret, mais en même temps, il ne faut pas capoter ces deux.
[00:01:37] Speaker E: Oui, je sais.
[00:01:38] Speaker A: Ça donne l'impression que c'est...
que les Dodgers ont gagné la série mondiale? Non. J'ai tout vu live. J'ai écouté le point de presse live du coach. Coach DJ, ça s'accroche. Très bonne analyse. C'est justement ça qu'il a dit. Ça donne l'impression que... que finalement, tout est perdu, on retourne à Toronto. Donc c'est comme... C'est une game ordinaire dans la mesure où c'est deux en un. Voilà. C'est sûr que c'est crève-cœur, mais ça aurait pu aller d'un bord comme de l'autre. Quand j'ai vu Freeman, j'étais à la machine à café. J'ai vu le circuit et je le savais qu'il était pour le faire. J'ai comme...
[00:02:17] Speaker E: Tu l'as pressenti.
[00:02:18] Speaker A: Oui. Ah oui, oui. J'ai dit ce gars-là, il est clutch. Ce gars-là, qui est un genre de faux Canadien, il joue pour le Canada en compétition internationale, parce qu'il veut faire plaisir à ses parents, puis tout ça, c'est sa mère.
[00:02:32] Speaker E: Tu as dit parce qu'il n'y aurait pas de place dans l'équipe américaine.
[00:02:34] Speaker A: Non, c'est sa mère, c'est sa mère.
[00:02:36] Speaker F: Ah oui?
[00:02:36] Speaker D: Ah oui, il y aurait de la place chez les Xermin.
[00:02:38] Speaker A: C'est un gars qui s'en va au temps de la renommée.
Freddie Freeman, ça va autant me la renommer. Aucun doute là-dessus. C'est un gars qui est exceptionnel. Et il joue pour le Canada à cause de sa mère, je pense, qui vient de Windsor, on a fait la même.
[00:02:51] Speaker D: En fait, non. Son père et sa mère sont canadiens.
[00:02:54] Speaker A: Ah, les deux?
[00:02:55] Speaker D: Son père vient de Windsor, puis sa mère, elle, elle a grandi à Toronto. Elle est née à Petterborough.
[00:03:04] Speaker F: Et puis...
[00:03:04] Speaker A: Seigneur, tu connais la... La lignée.
[00:03:07] Speaker D: Ouais, exactement.
[00:03:08] Speaker A: Le Freeman.
[00:03:09] Speaker D: Pis ses parents ont déménagé pour aller enseigner aux États-Unis.
[00:03:12] Speaker A: Ah, OK.
[00:03:13] Speaker D: C'est pour ça. Fait que lui, c'est ça, il est né en Californie, à Fountain Valley. Mais ses deux parents n'étaient pas américains quand il est venu au monde, donc il a eu la citoyenneté canadienne et par la suite américaine.
[00:03:23] Speaker A: Bon, c'est beau. J'avais le feeling, regarde. Il se présente, pis c'est un no-name qu'il en sait.
et j'ai beaucoup de déformation quand même parce que j'étais même réveillé et j'ai pris beaucoup de saisie d'écran. Bon, essayez, je vous donne trois chances les gars, essayez de me nommer Trois lanceurs ce soir pour les Jays.
[00:03:50] Speaker E: Ce soir?
[00:03:51] Speaker A: Ce soir, hier soir, tantôt, mettons, c'est dur à dire. À matin, mettons, jusqu'à deux heures et demie, dans ce programme double. À pencher un jeu.
[00:04:00] Speaker E: Le pire, c'est que j'en ai vu quand même plusieurs.
[00:04:02] Speaker A: Je veux trois, non.
[00:04:05] Speaker E: J'en ai vu au moins trois. Minute, c'était qui déjà?
[00:04:10] Speaker D: Ben le numéro 54, là, je ne sais pas c'est quoi son nom, mais j'ai tellement vu l'image du circuit que je sais que c'est le 54 qui lançait.
[00:04:17] Speaker A: Flew Harty, Varlan, Dominguez, Bassett, qui est un partant.
[00:04:21] Speaker E: Bassett, je l'ai vu aussi lancer.
[00:04:23] Speaker A: Hoffman, mais après ça, ça déboule les marches, là. Un homme nommé Fisher, Lauer, Et Little.
[00:04:30] Speaker E: C'est Little qui a donné le succul?
[00:04:32] Speaker A: Je sais pas si c'est lui qui l'a donné.
[00:04:34] Speaker E: Ben c'est lui le lanceur perdant.
[00:04:36] Speaker A: Bon ben c'est ça.
[00:04:37] Speaker E: Fait que c'est lui qui a donné le succul. Ouais, encore lui.
[00:04:39] Speaker A: Ben du côté des Dodgers, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9. 9 lanceurs.
Benda, Rowleski, Treynand, Dreyer.
[00:04:51] Speaker E: J'ai vu Kershaw.
[00:04:53] Speaker D: Ah, moi aussi.
[00:04:53] Speaker A: Sasaki, Sheehan, Kershaw, Henriquez et Klein.
[00:04:59] Speaker D: Klein qui a fait un Christy catch, je ne me souviens plus c'est quand. Klein, son catch, je ne me souviens plus c'est dans quelle manche, 17e manche. Le gars, DJ, il se frappe une flèche à côté du monticule, puis lui il l'a pogné.
[00:05:13] Speaker A: Oui, oui, oui.
[00:05:14] Speaker D: C'est le fun des lanceurs qui prennent des flèches.
[00:05:17] Speaker E: Oui, on va se dire mange-cœur-chat, les buts remplis. Il a dû terminer ça.
[00:05:22] Speaker A: Oui, c'est ça.
[00:05:23] Speaker E: C'est là qu'il fallait que ça se finisse.
[00:05:24] Speaker A: Oui, puis il y a eu d'autres occasions, même avant, où ils ont laissé deux lanceurs... deux coureurs sur les buts. Les Jays ont vraiment perdu ce match-là. Ils ont manqué d'opportunisme et tout, mais il ne faut pas capoter. C'est deux à un. Mais ils ont bien joué, Jay-Z.
[00:05:41] Speaker E: Ils ont très bien joué, sérieusement.
[00:05:43] Speaker D: J'ai mis ma casquette des expos vendredi dernier. Qu'est-ce qui s'est passé?
[00:05:47] Speaker A: Les Jays ont gagné.
[00:05:49] Speaker D: J'ai mis ma casquette des expos ce matin.
[00:05:51] Speaker A: Ils vont gagner.
[00:05:52] Speaker D: C'est juste pour ça, là. Juste pour ça. C'était pas ça que j'avais sorti hier soir.
[00:05:57] Speaker A: Combien de présence sur les sentiers?
[00:06:02] Speaker E: Neuf.
[00:06:03] Speaker A: Pour Otani.
[00:06:04] Speaker E: Oui. C'est pas un record, mais c'est la première fois depuis 1942.
[00:06:07] Speaker A: Je le sais.
[00:06:08] Speaker E: Oui, ça, je l'ai vu ce matin.
[00:06:09] Speaker D: Mais ballé.
[00:06:10] Speaker A: Il y a plein d'enfer.
[00:06:10] Speaker E: Oui, il y a plusieurs fois ballé parce que Mané... Il avait deux circuits, un double.
[00:06:15] Speaker A: Quatre fois ballé intentionnel.
[00:06:17] Speaker E: Oui, c'est ça. À partir de la 9e manche, la 8e, ils l'ont ballé.
[00:06:21] Speaker D: Neuf présences au bâton, j'ai ces statistiques-ci. Quatre en quatre, cinq buts sur balle, deux circuits, trois points produits.
[00:06:28] Speaker A: Oui.
[00:06:28] Speaker E: Alors, Otani a gagné la game hier.
[00:06:31] Speaker A: Un dobe, un homerun, un dobe, un homerun, quatre biches urbaines intentionnelles et une biche urbaine ordinaire.
[00:06:37] Speaker E: Les Jays prenaient devant, Otani créait l'égalité. Les Jays prenaient devant, Otani créait l'égalité. Pas les Dodgers, Otani créait l'égalité. Et ce soir ils lancent.
[00:06:49] Speaker A: Contre Bieber. Contre Bieber.
[00:06:51] Speaker D: Parlons de Bieber, avez-vous vu Justin Bieber?
[00:06:53] Speaker A: Non.
[00:06:54] Speaker E: Non, il n'était pas là.
[00:06:54] Speaker A: Un autre tatouage?
[00:06:55] Speaker D: Non, je ne vous ai pas sorti l'extrait sonore, parce que je l'ai sorti, mais on n'entendait rien. Il faut absolument voir l'image, parce qu'il y avait comme une espèce d'entrée des artistes au Dodger Stadium.
[00:07:04] Speaker E: Oui, il y en avait en masse.
[00:07:04] Speaker D: Tu voyais tout défiler, la gang qui rentrait. Et Justin Bieber, il est arrivé avec sa chemise des Blue Jays.
[00:07:09] Speaker A: Ah!
[00:07:10] Speaker G: Ah!
[00:07:10] Speaker H: Ah!
[00:07:10] Speaker A: Ah!
[00:07:11] Speaker I: Ah! Ah!
[00:07:11] Speaker E: Ah!
[00:07:11] Speaker I: Ah!
[00:07:11] Speaker A: Ah! Ah!
[00:07:11] Speaker D: Ah!
[00:07:11] Speaker A: Ah! Ah! Ah!
[00:07:11] Speaker E: Ah!
[00:07:12] Speaker C: Ah!
[00:07:12] Speaker A: Ah!
[00:07:12] Speaker I: Ah!
[00:07:12] Speaker A: Ah!
[00:07:12] Speaker I: Ah!
[00:07:12] Speaker A: Ah! Ah! Ah!
[00:07:13] Speaker D: Ah!
[00:07:13] Speaker A: Ah! Ah!
[00:07:13] Speaker C: Ah!
[00:07:13] Speaker A: Ah!
[00:07:13] Speaker C: Ah!
[00:07:13] Speaker A: Ah!
[00:07:13] Speaker D: Ah! Ah!
[00:07:16] Speaker A: Ah! Ah!
[00:07:16] Speaker D: Ah!
[00:07:17] Speaker A: Ah!
[00:07:19] Speaker D: Ah! Ah!
Ah!
[00:07:29] Speaker C: Ah!
[00:07:29] Speaker D: Donc voilà, Justin Bieber qui fait son entrée avec... C'est cool en même temps, là, t'sais. C'est... Les Blue Jays sont là...
[00:07:36] Speaker A: Mais faut que tu prennes ton pays, pour vrai.
[00:07:37] Speaker E: Ben oui.
[00:07:39] Speaker A: T'sais, à un moment donné, il y a une base, là. Est-ce qu'il y avait le chandail de Bieber?
[00:07:45] Speaker D: J'Ai pas regardé c'est quoi le numéro qu'il y avait. C'est pas...
[00:07:47] Speaker E: J'ai pas remarqué.
[00:07:48] Speaker A: Shane Bieber qui est californien, là. Ça fait pas longtemps qu'il est là. J'ai pas remarqué ça. Très bon.
[00:07:55] Speaker D: Par contre, ce que j'ai remarqué, c'est que...
Parce que j'ai quand même le réflexe, c'est ben beau les séries mondiales. Ma première chose que j'ai regardée à mon neveu en matin, c'était le résultat du Monday Night Football.
[00:08:04] Speaker A: Je sais pas si...
[00:08:05] Speaker D: C'est bizarre à quel point, en regardant... Tu sais, tu te lèves, là. Tu te réveilles, t'as une routine. Je regarde le résultat du Monday Night Football, puis c'est en regardant le résultat du Monday Night Football que je me suis souvenu si c'est vrai tabarnouche. Il y avait une série mondiale hier, j'ai tout arrêté là. Puis je suis allé me garrocher sur la série mondiale, puis c'est là que je me suis rendu compte que si j'avais voulu regarder la game au complet, j'aurais dormi aujourd'hui.
[00:08:27] Speaker E: Je sais qui est ici a gagné, mais moi, y'a plus rien qui existe à cause de la Série mondiale. Y'avait de la lutte hier soir, Monday Night Raw.
[00:08:35] Speaker A: Y'avait de la lutte?
[00:08:36] Speaker E: Ben oui, chaque lundi soir, y'a de la lutte. C'est le show de lutte, c'est Monday Night Raw.
[00:08:39] Speaker A: Y'avait du foot, y'avait du hockey pas canadien, y'avait du basket.
[00:08:43] Speaker E: J'ai pas écouté une seule seconde de lutte, là.
[00:08:45] Speaker D: Je vous en sais le prix que je l'ai payé. Je vais essayer de retrouver la news que j'ai trouvée hier. Hier, c'était la seule journée de l'histoire des quatre sports professionnels dans l'année. Il appelle ça l'équinoxe. C'est la seule journée où les quatre sports professionnels aux États-Unis étaient en action. Il n'y en a pas d'autres. Oubliez ça.
[00:09:07] Speaker A: C'est pour ça qu'il appelle ça l'équinoxe, c'est parce que Fubo avait un gros, gros, gros deal. J'ai pris un abonnement Fubo, l'application Fubo. Il y avait un gros deal, il en manquait 80% de rabais. Il appelait ça sport, c'est équinoxe.
À cause de ça? Oui.
[00:09:19] Speaker D: À cause de ça. Mais remarque qu'il pourrait y en avoir un autre samedi prochain. Non, même pas, parce que la NFL joue pas.
[00:09:26] Speaker I: Non.
[00:09:26] Speaker D: Fait que tu vois, c'est la seule qui peut arriver.
[00:09:29] Speaker I: Oui.
[00:09:29] Speaker A: Utah, c'est ça, tous les Jeux.
[00:09:32] Speaker D: Il y avait un match de baseball majeur, un match de la NFL, un match de la NHL puis un match de l'NBA.
[00:09:36] Speaker E: Il y avait deux matchs de la NHL, quatre, huit, onze matchs de la NBA, un match de la NFL puis un match de la Série mondiale.
[00:09:44] Speaker A: Ah, c'était le fun hier. Ma blonde a trouvé le temps.
Ma blonde a trouvé le temps long. Moi, j'ai des écouteurs pas pires à maison qu'à prendre de mes pères, que je lui ai donnés. Noise cancelling, être assis dans le coin, puis... Des fois, elle trouve le temps long. C'est pas des équinoxes qu'on vit. Hier, tu as tout à fait raison, c'en était un, mais... Il y a beaucoup, beaucoup de sports ces temps-ci, puis il y a du bon hockey. Les Canadiens n'ont pas joué hier. Il y avait quand même du bon hockey. Ils jouaient ce soir, le dernier match du voyage.
[00:10:17] Speaker E: J'écoutais pas du seconde.
[00:10:18] Speaker D: C'est sûr que c'était 10 heures à soir.
[00:10:20] Speaker E: Ah, seconde moins.
[00:10:21] Speaker A: C'est ça. C'est une image qui est décalée. C'était plate parce que je l'aurais regardée. Je veux pas me faire changer.
[00:10:25] Speaker E: Bien, les... Quand j'ai écouté le Canadien...
Ah, pas encore.
[00:10:30] Speaker A: Moi, je m'ennuie.
[00:10:30] Speaker E: J'écris trois séries mondiales. Sérieux.
[00:10:32] Speaker A: Ah non, non. Demi Dove, qu'est-ce qu'il va faire?
[00:10:34] Speaker E: Oui, je le sais. Mais Le Canadien, je l'ai écouté récemment entre 7 et 8 heures avant la game de baseball.
[00:10:39] Speaker A: Ah oui, c'est sûr. Moi, j'ai écouté de l'NBA hier. Ils ont trouvé le moyen de perdre le Magic. D'après moi, le coach est dehors.
[00:10:46] Speaker D: Ça fait encore beaucoup.
[00:10:47] Speaker A: Il est dehors sous peu.
[00:10:49] Speaker D: J'ai écouté beaucoup de podcasts de la NFL hier en prenant en marche avec le chien.
Puis ça fait beaucoup jaser l'histoire de la NBA, l'histoire des paris de la NBA. Tout le monde en a parlé. Je disais à un moment donné, c'est marqué NFL sur le podcast hier. Peux-tu me parler de la NFL? Puis le gars qui a fait jaser hier, un des gars qui a fait le plus jaser, c'est Lamar Jackson.
[00:11:11] Speaker A: Pourquoi?
[00:11:12] Speaker D: Même la NFL a été obligée de sortir hier pour dire qu'elle allait avoir une enquête sur ce qui s'est passé en fin de semaine avec les Ravens de Baltimore.
[00:11:18] Speaker A: Raconte. Je suis pas au courant.
[00:11:19] Speaker D: Les Ravens, puis tu sais, Charles était avec nous autres vendredi matin, il nous a dit Lamar Jackson faut le pratique.
[00:11:25] Speaker A: Oui.
[00:11:25] Speaker D: Fait qu'il va jouer.
[00:11:26] Speaker A: Oui.
[00:11:27] Speaker D: Mais c'était pas vrai. Il a pas pratiqué vendredi matin. Mais les Ravens ont quand même indiqué qu'il pratiquait.
[00:11:32] Speaker E: Ok.
[00:11:33] Speaker I: Ils ont pas le droit de faire ça.
[00:11:34] Speaker A: Non, non. Ça pourrait influencer les paris.
[00:11:36] Speaker D: Ben ils ont influencé les paris.
[00:11:39] Speaker A: C'est très bon comme histoire, là.
[00:11:40] Speaker D: Ils ont influencé les paris, finalement. Lamar Jackson, il n'a pas fait la pratique, il n'a pas joué. Eux autres, ils disent que c'était une erreur, tout ça. La NFL a dit oui, on a envisé les Ravens, on veut savoir ce qu'il s'est passé dans cette histoire-là.
[00:11:50] Speaker A: Le département des communications des Ravens a mieux communiqué à l'effet qu'ils pratiquaient.
[00:11:55] Speaker D: Ce qui est faux. En fait, oui, c'est ça. C'était faux, ils pratiquaient pas. Ils ont gagné la game, ça n'a pas fait chier les paris.
[00:12:03] Speaker E: Mais c'est quand même fou qu'on se soucie des paris plus que de la préparation de l'autre équipe.
[00:12:09] Speaker A: Parce que tu sais, je veux dire.
[00:12:10] Speaker E: Tu sais que... Paris-Légo, c'est criminel. Oui, non, ça, je comprends. Mais au départ, c'est un sport, là. Il y a des équipes qui sont sur le terrain. Quand t'es l'équipe adverse, tu sais que Lamar Jackson se pratique, tu fais comme, on va se préparer en fonction de Lamar Jackson, parce qu'il risque de jouer. Mais on pense même pas à ce côté-là. On pense au côté Paris-sportif avant le sport.
[00:12:31] Speaker A: C'est ça que je trouve un peu fou, là. C'est la loi.
[00:12:35] Speaker E: C'est... Ah oui, ça oui.
[00:12:36] Speaker D: C'est bien criminel. Avant, ça écœurait pas le monde parce qu'avant, FanDuel...
[00:12:40] Speaker A: Ils sont très mal debout avec les Américains là-dessus.
[00:12:43] Speaker D: Mais avant, FanDuel, DraftKings, puis toutes ces patentes-là n'existaient pas.
[00:12:46] Speaker E: Oui, c'était juste...
[00:12:47] Speaker D: Ils n'étaient pas commanditaires principales des ligues de sport. Là, tu te retrouves dans des situations où les prévisions des matchs, mettons, t'écoutes NFL Today à CBS, puis les prévisions des matchs sont présentées par FanDuel.
[00:13:01] Speaker E: C'est le web qui a tout changé, là. Absolument. Avant, on disait les cotes à Vegas, mais tout le monde était comme « comment je fais pour parier à Vegas? Je peux pas parier à Vegas! » C'était comme trop compliqué. Aujourd'hui, c'est accessible à tout le monde en deux clics.
[00:13:13] Speaker D: Non seulement ça, les cotes à Vegas, ça veut plus rien dire, parce que chaque site a ses cotes.
[00:13:16] Speaker E: C'est ça.
[00:13:18] Speaker A: La menace de Fanduok est la domination totale.
[00:13:21] Speaker E: C'est la même compagnie en plus.
[00:13:27] Speaker D: Moi j'ai commencé tranquillement avec Play Numbers Games parce que je voulais l'essayer. Puis j'ai beaucoup de plaisir pour vrai. Puis moi ce que j'aime c'est les paris pop-up. Puis on n'est pas obligé de gâcher une fortune non plus. Je pense que total, toutes les 3 dernières semaines j'ai dû gâcher 20$.
[00:13:41] Speaker A: Tu gagnes pas grand-chose, mais tu perds pas grand-chose.
[00:13:48] Speaker D: Moi, d'abord et avant tout, c'est ça, je veux pas perdre, fait que j'ai...
Mais t'sais, j'aime ça pis j'trouve qu'il y a des petits paris pop-up le fun aussi, là. T'sais, un affaire, ils vont-tu marquer un point sur cette séquence offensive, là? J'trouve ça le fun.
[00:14:01] Speaker A: Ben oui, c'est le fun!
[00:14:03] Speaker D: Ça te donne un intérêt supplémentaire, mais ce qui est plate, c'est le monde qui gagne 52 000 par année pis qui place des paris de 100 000.
[00:14:10] Speaker A: Ah ouais, c'est une maladie.
[00:14:12] Speaker D: Je sais que c'est plate puis c'est habillé comme c'est le fun de tout le monde, mais...
[00:14:15] Speaker A: La maladie.
[00:14:16] Speaker D: Faut se prendre à la main, c'est comme autre chose.
[00:14:18] Speaker A: C'est là que vous voyez que l'Otto-Québec, ils sont plus dans le match. L'Otto-Québec, en matin, ils payent des fonctionnaires pour créer des paris sportifs. C'est spécial, là.
[00:14:28] Speaker E: Prendre leur propre cote.
[00:14:30] Speaker A: Leur propre cote sur un site qui est poche. Aller sur le site de FanDuel en matin et... C'est sûr qu'ils ont le droit de mettre le shield de la NFL. Ça fait bien qu'ils ont le droit. Mais c'est coloré, c'est jazzé. T'as un genre de casino au travers où tu peux jouer sur ton téléphone.
[00:14:51] Speaker D: PlayNumbersGame.net aussi, c'est ça. Moi je vais parler d'eux autres parce qu'ils ont placé 70 000 ici.
[00:14:55] Speaker A: Ok, je connais pas ça.
[00:14:57] Speaker D: Mais PlayNumbersGame, ben j'en fais, je fais des lives.
[00:14:59] Speaker A: Mais je connais pas ces sites-là.
[00:15:01] Speaker D: La plateforme est vraiment belle, elle est vraiment cool, c'est vraiment agréable de jouer. L'application aussi sur... sur les sites. Puis tu sais, je trouve ça le fun. Puis il y a aussi de la fonction. C'est pas juste des paris sportifs, là. Il y a des casinos, il y a des patentes, le monde qui aime ça jouer. Tu sais, tu peux aussi faire ça. Donc, ces sites-là prennent vraiment beaucoup, beaucoup de place. Puis effectivement, ils sont en train de tuer, carrément tuer. L'Auto Québec, oui.
[00:15:26] Speaker E: On pourrait abandonner aussi.
[00:15:28] Speaker A: Bravo au...
[00:15:29] Speaker E: Le PSG juste avec les lotos max, là.
[00:15:31] Speaker A: Bravo à l'auditeur. Coudon, on est-tu à BPM Sports? Non, ça s'appelle Moralive, c'est la vie, on parle de la vie. Ça fait partie de la vie.
[00:15:37] Speaker E: C'est la vie.
[00:15:38] Speaker A: La vie.
[00:15:38] Speaker E: Le sport fait partie de la vie, là.
[00:15:40] Speaker A: C'est énorme.
[00:15:40] Speaker D: C'est mondial. Ce matin, il est chialeux, j'ai les blocs, je suis dans ce mood-là.
[00:15:44] Speaker A: Ah, mais lui, il est de bonne humeur. Il m'a répliqué. C'est la vie, les amis. Moi, je ne suis pas un gros gageur, gageux. Je ne suis pas un gros bêteux, mais on appelle ça la société. L'évolution de la société, c'est comme ça. On appelle ça Internet aussi, donc l'influence d'Internet. Le World Wide Web, 6h16. OK. Pas ça. Ça va bien. Je vois ça dans le journal le matin. Oh, le maire s'est fait attaquer sur ses taxes.
[00:16:17] Speaker E: Ah, mon Dieu.
[00:16:17] Speaker A: Faut le défendre. Pauvre Bruno Sainté. Les fûts nourris. Il a essuyé les fûts nourris de ses adversaires. Oh!
[00:16:24] Speaker E: Pauvre victime.
[00:16:24] Speaker A: Oh! On va y écrire des bons articles aujourd'hui.
[00:16:27] Speaker E: C'est dur, la politique. La bombe, il le dit.
[00:16:29] Speaker A: C'est vrai, hein? C'est toxique. C'est toxique. C'était un bon débat. Je dois dire que...
On aime beaucoup Julie dans Montréal Live, donc elle a fait un bon job à TVA. C'est sûr que dans une camisole de force, c'était un débat de 17 minutes. Fallait que ça rentre dans son bulletin.
[00:16:46] Speaker E: C'est plus court que ce que Nouveau ont fait. Puis Nouveau, c'était ultra.
[00:16:50] Speaker A: Mais ça a plus levé. Aucun rapport. Les deux formules complètement différentes, puis je dois dire que... Nouveau, la seule chose.
[00:16:56] Speaker E: Qu'On a retenue, c'est Jackie.
[00:16:58] Speaker A: Jackie!
[00:16:59] Speaker E: Jackie, t'es pas là hier.
[00:17:00] Speaker A: Non, ni Madame Maguirette.
[00:17:01] Speaker E: C'était Kat.
[00:17:03] Speaker A: C'est ça. Puis les trois ont bien performé, c'est-à-dire Villeneuve, Hamad et Lachance. Il n'y en a pas un qui s'est plus démarqué que l'autre. Je crois que Hamad a bien performé aussi. Il y avait des bonnes lignes et ils ont attaqué Marchand. Marchand a perdu hier, ça c'est clair. Je souhaite et souhaitons-nous-le que Marchand baisse.
on va se souhaiter un conseil minoritaire. C'est triste, il y en a beaucoup qui ont voté, puis c'est correct, mais en même temps, moi, je pense que cette semaine pourrait être marquante. Parce que Marchand hier s'est fait vraiment brasser, puis ça peut influencer les votes.
[00:17:43] Speaker D: Hier, j'ai eu une bonne idée de ce qu'était une chambre d'écho. À un moment donné, je me suis mis à la réflexion, OK, là, je suis dans une chambre d'écho parce que je parlais avec des gens de l'élection, puis tout le monde avec qui je parlais a voté. Puis à un moment donné, je me suis comme, là, ça incluait vous deux, là?
Je me suis dit, tout le monde à qui j'ai parlé dans ma journée.
[00:18:02] Speaker E: Sauf Nick Cloutier, est allé voter.
[00:18:05] Speaker A: Il y en a beaucoup qui sont allés voter.
[00:18:07] Speaker D: Fait que là, j'ai dit, c'est vraiment ça une chambre d'écho, parce que là, je peux dire que tout le monde avec qui j'ai parlé a été voté, mais il y a 16,5% du monde qui ont voté. Donc, on a une bonne confiance, ça explique bien ce que c'est une chambre d'écho.
[00:18:21] Speaker A: Ça veut dire qu'on est peut-être plus politisés à force d'en parler.
C'est ça là.
[00:18:31] Speaker D: Je pense pas que ça finisse à 45. Je pense qu'on va défoncer le 50.
[00:18:35] Speaker E: J'espère, je le souhaite. J'aimerais ça que ça soit 60 au moins.
[00:18:38] Speaker A: Ça va être un bon show donc dimanche, c'est toi qui animes.
[00:18:41] Speaker E: Exact, avec Donald Charrette, avec la même gang qu'on avait faite le fédéral.
[00:18:46] Speaker A: Vincent Bégin, Donald Charrette sur le terrain, Gary puis Max. Gary Rivenard, à quelle place?
[00:18:53] Speaker E: Ben, les deux vont se promener, là. Ils n'ont pas le choix, là.
[00:18:56] Speaker A: C'est le seul que c'est entré dans le camp marchand?
[00:18:58] Speaker E: Oui. Max, il ne laisse pas rentrer.
[00:19:01] Speaker A: À moins que je décide de faire du terrain. Je réfléchis actuellement. Ma décision n'est pas prise. Ça se peut que j'aille couvrir le camp de Bruno Marchand.
[00:19:13] Speaker E: Oui, toute la soirée. Gary va se promener dans les autres.
[00:19:16] Speaker A: J'envisage un retour au jeu.
[00:19:18] Speaker D: Je pourrais aller sur le terrain, moi aussi, je pense à ça.
[00:19:22] Speaker A: Quel camp tu prends? Moi j'envisage un retour au jeu.
[00:19:25] Speaker D: Ben je vais laisser, si t'as fait la chance à...
[00:19:28] Speaker E: Tu vas aller voir Jackie?
[00:19:29] Speaker D: Non, moi je vais aller voir Claude Villeneuve.
[00:19:31] Speaker A: OK. Tu me laisses marchand?
[00:19:33] Speaker D: Oui, oui, oui, je te laisse marchand.
[00:19:35] Speaker A: Parfait. J'envisage beaucoup et je vais prendre ma décision avant vendredi 10h. Il y a de fortes chances que je couvre le camp marchand.
J'aimerais beaucoup retourner sur le terrain. Je m'ennuie du terrain, pour vrai. J'ai fait ça toute ma vie, du terrain. Je suis enfermé ici. Je vous aime, les boys, mais je suis enfermé quand même d'un bureau de dentiste.
[00:19:59] Speaker D: Tu sais pourquoi ça serait bon qu'on fasse ça?
Oui, parce que lors de la dernière élection fédérale, on a collaboré avec, tu sais, on a tous les deux appelés d'hommes, dis-moi, parce qu'on a des choses à dire. Puis, tu sais, pas un campagne municipal, j'ai des choses à dire. Ça fait 9 ans que je regarde tous les conseils municipaux d'A à Z. J'ai des choses à dire, mais c'est moins intéressant quand je suis dans le sol chez nous. Même chose pour toi. Tu sais, quand on est sur le terrain, il me semble que ça amène une plus-value. Oui, j'ai le goût de sortir sur le terrain.
[00:20:26] Speaker A: J'adore ton terme plus-value. J'adore ça.
[00:20:29] Speaker D: J'ai le goût de sortir sur le terrain dimanche. Je pense que je vais faire ça. Claude vit de neuf. Je vais laisser Gary aller voir Stéphane Lachance.
[00:20:35] Speaker A: À moins... Et Amad. À moins... Et Amad. À moins... Et Jackie. Qu'on y aille, toi et moi. Dans le cas marchand.
[00:20:44] Speaker D: On pourrait faire ça aussi.
[00:20:45] Speaker A: Je suis fort, tu es fier.
[00:20:47] Speaker D: Oui.
J'adore! J'adore! J'adore!
[00:20:57] Speaker E: J'adore!
[00:20:59] Speaker A: J'adore!
[00:21:02] Speaker F: J'adore!
[00:21:02] Speaker A: J'adore! J'adore! J'adore! J'adore! J'adore!
J'adore! J'adore! J'adore! J'adore! J'adore!
[00:21:12] Speaker C: J'adore!
[00:21:13] Speaker A: J'adore! J'adore! J'adore! J'adore! J'adore! J'adore! J'adore! J'adore!
[00:21:18] Speaker C: J'adore!
[00:21:19] Speaker D: J'adore!
[00:21:20] Speaker C: J'adore!
[00:21:20] Speaker A: J'adore! J'adore!
[00:21:20] Speaker C: J'adore!
[00:21:21] Speaker A: Est-ce que je pourrais engager des gens d'une firme de sécurité?
[00:21:25] Speaker D: Surtout si t'es officiellement inscrit.
[00:21:28] Speaker A: Mais Dom, surtout qu'ils l'ont dit.
[00:21:30] Speaker E: Ils l'ont dit? Ils bloquent pas personne pour les points de presse, les soirées électorales j'imagine non plus.
[00:21:36] Speaker D: Là tu serais peut-être avec Karine.
[00:21:38] Speaker E: Parce que ça c'est dangereux pour la démocratie de faire ça.
[00:21:42] Speaker D: Avec Oli.
[00:21:43] Speaker A: Oui! Là ça fait beaucoup de monde. Là je suis rendu à deux douzaines d'abeignes.
Faut que j'amène des beignes. Avec Stéphanie? Oh boy, ok. Le joyeux trio. Le joyeux festin.
[00:21:57] Speaker E: Oh, il y en a plusieurs qui disent pas game. Pas game.
[00:22:03] Speaker A: Ça me tente beaucoup, mais j'aimerais que le tout soit filmé. Donc ça me prend quand même... Ça.
[00:22:08] Speaker E: Te prend un bodycam?
[00:22:09] Speaker A: Ouais, un genre de bodycam. Même les polices de Québec en ont pas, ça fait que je serais bien étonné.
[00:22:14] Speaker E: On doit en avoir commandé qu'on l'utilise pas.
[00:22:17] Speaker A: Mais ça me prendrait un caméraman. Est-ce qu'un Fred Bergeron de ce monde pourrait m'accompagner? On est en train de se monter un petit scénario pas mal, pas mal le fun. On va mobiliser du staff, ça sert.
[00:22:42] Speaker D: Où est-ce que tu nous mets là après le show?
[00:22:44] Speaker A: Non, mais là, il y a quelqu'un qui dit « et amenez Alexa, la voix de Rebel News avec vous autres ».
[00:22:49] Speaker D: Je pense qu'Alexa, ça va avoir du fun. Il faut qu'elle soit là dimanche.
[00:22:54] Speaker A: Toi, Alexa et moi, c'est le fun. Pierre, elle a un caméraman. Oui.
[00:23:02] Speaker E: Mais je ne sais pas si Alexa va être à Québec ou à Montréal dimanche. Je ne sais pas si elle va aller couvrir la gang de communistes à Montréal.
[00:23:07] Speaker A: J'ai un bon contact, je vais aller l'appeler.
[00:23:09] Speaker D: On se fait faire un T-shirt « 4 ans de grosse radio ».
[00:23:15] Speaker A: On est en train de bâtir quelque chose, là. On est en train de bâtir une belle chose.
[00:23:20] Speaker E: Ça s'arrache.
[00:23:22] Speaker A: Il y a encore des compagnies qui font des t-shirts.
[00:23:25] Speaker D: Ça existe, il y en a à Québec. On serait même pas obligés d'aller ailleurs.
[00:23:28] Speaker A: J'aime ton esprit de marketing. J'aime ça ce matin. T'es en forme ce matin, j'aime ça. Ça me fait du bien de te voir en forme en ce mardi, l'unique 28 octobre 2025.
[00:23:38] Speaker D: C'est le seul, effectivement, t'as bien raison.
[00:23:40] Speaker E: 4 ans de Grosse Radio avec la photo de Bruno Marchand, il y a 4 ans, quand il a gagné puis.
[00:23:45] Speaker I: Qu'Il fait un thumbs up.
[00:23:46] Speaker E: Je m'en souviens de cette photo-là.
[00:23:48] Speaker A: Est-ce qu'il va crier comme dans ton opening? Yaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa OK.
Ça va finir au Bravo ou Saint-Marc-Déli. Ah, les deux sont fermés.
[00:24:20] Speaker D: Comme l'Halloween à Rouyn-Norand, là, c'est déjà fini.
[00:24:22] Speaker A: Ouais, c'est passé. Les autres sont rendus à... Les Lumières de Noël. Parfait. Oh, Seigneur! Il y en a là, 25 ans plus jeunes, par exemple.
[00:24:31] Speaker E: Oui, hein? Quatre ans de bonne radio avec ce photo-là.
[00:24:35] Speaker A: Man!
[00:24:37] Speaker D: Ce serait pas pire, en plus, on aurait notre coquelicot.
[00:24:40] Speaker E: Oui!
[00:24:41] Speaker A: Ça me tente beaucoup! J'entraîne moto convainc!
[00:24:44] Speaker E: Je vous encourage à le faire. Ça va me faire une soirée plus facile. En faisant du contenu beaucoup.
[00:24:51] Speaker A: Ça te tente-tu?
[00:24:51] Speaker D: Ben oui, ça me tente. Ben oui, ça me tente.
[00:24:55] Speaker A: Tu veux que j'aille te chercher un bel balai? Tu vas utiliser ton propre moyen de transport.
[00:24:59] Speaker D: Je vais prendre mon propre moyen de transport.
[00:25:01] Speaker A: Mon char, mon choix.
[00:25:03] Speaker B: Ha!
[00:25:04] Speaker A: Ha!
[00:25:04] Speaker I: Ha!
[00:25:04] Speaker A: Zane et Roltof, là, matin, 16h25, attachez-le à quelqu'un. Oui, dôme du monde, tu vas rajouter quelque chose?
[00:25:10] Speaker E: Je viens de remarquer, il faut que je vous le montre, là. Ça me fesse à chaque fois.
[00:25:14] Speaker A: Oui.
[00:25:15] Speaker E: C'est toujours un rappel du passé, là. Regarde autour de Bruno Marchand.
[00:25:19] Speaker A: Les masques.
[00:25:19] Speaker E: Les masques.
[00:25:20] Speaker A: Oui. C'est la pandémie.
[00:25:22] Speaker E: Tout le monde qui est masqué.
[00:25:23] Speaker A: Tu sais, est-ce qu'on est en pandémie? La réponse, c'est oui.
[00:25:25] Speaker C: Ah!
[00:25:26] Speaker D: T'sais, dans le temps des fêtes, là, à un moment donné, t'as trois beaux-frères qui partent avec celui qui boive pas puis qui font le tour des parties de Noël, là.
[00:25:34] Speaker A: C'est ça. Puis regardez, moi, je veux fêter ma post-pandémie. Exactement. Ça, c'est écrit dans le dos.
[00:25:41] Speaker E: Déconfiner.
[00:25:42] Speaker A: On se déconfine.
[00:25:45] Speaker D: Le flasque dans les poches du veston. On fait le tour de toutes les soirées. Puis le lendemain, je vous dis qui avait le meilleur buffet.
[00:25:55] Speaker A: Aïe, j'adore ça. Aïe, on se déconfine.
[00:25:57] Speaker D: On se déconfine!
[00:25:58] Speaker A: Parce que c'est la première élection... Nous autres, on fête ça, puis regarde, on veut vraiment statuer sur un événement majeur qu'est cette élection. La première post-pandémique.
[00:26:09] Speaker D: Exactement.
[00:26:10] Speaker A: La première élection post-pandémique.
[00:26:12] Speaker E: On filme toute la soirée, puis on fait un montage à la fin, environ une heure et demie. Ça s'appelle Election Crashers. C'est lequel des deux qui est Vince Vaughn?
[00:26:22] Speaker D: On va s'arranger, on verra, rendu là.
[00:26:24] Speaker A: Il y a beaucoup d'improvisation à date en cours. Je pense qu'on est capable de tricoter quelque chose. On va se tricoter une belle soirée, comme dirait l'autre.
[00:26:32] Speaker E: On va vous jouer ça au clap la semaine d'après.
[00:26:34] Speaker A: Moi, je veux pas être provocateur puis monter sous du sel et me mettre à crier. Non, moi non plus. Juste le fait d'exister, je pense qu'il y en a qui vont faire des traces de break.
[00:26:42] Speaker E: Faire des chin-chin avec du monde.
[00:26:44] Speaker A: Même pas. Juste le fait d'être là.
Stoïque.
[00:26:48] Speaker D: En fait, j'ai le goût d'être là pour faire rire des auditeurs et non pas pour faire chier ce monde-là.
[00:26:53] Speaker A: Oui, c'est ça. Juste faire un statement.
[00:26:55] Speaker D: Exactement.
[00:26:55] Speaker A: On est là.
[00:26:56] Speaker D: Oui.
[00:26:57] Speaker A: Et on s'en va pas. On s'en va pas.
[00:27:00] Speaker D: On va être là. On va être là jusqu'au bout, jusqu'à la fin.
[00:27:02] Speaker A: On s'en va pas. On s'en va pas. On s'en va pas. On s'en va pas.
[00:27:09] Speaker F: On s'en va pas.
[00:27:11] Speaker A: On s'en va pas.
Election Crashers, quel bon film.
[00:27:18] Speaker E: Ça se passe pas dehors, malheureusement. Ça pourrait être... Qui l'a rue à nous, la rue?
[00:27:22] Speaker D: Non, non, parce que ça, ça cracherait un peu. On veut se rendre vraiment... Juste le T-shirt, 4 ans de bonne radio. Encore 4 ans de bonne radio. Puis on va féliciter le monde, on leur donne la main et tout. On fait ça de la bonne façon. On mange ou on bouffait, parce que ça, c'est important.
[00:27:37] Speaker A: Oui, le buffet, ça se fait deux fois à l'Octobre.
[00:27:39] Speaker D: Je le sais, mais ça, c'est ben, ben, ben important.
[00:27:41] Speaker A: OK, vas-y, vas-y.
[00:27:42] Speaker D: Ben, parce que ça nous en dit long sur le sérieux d'un parti politique. La teneur du buffet. Donc, on va tout goûter à ça, puis le lendemain, on va être en mesure de vous dire réellement ce qui s'est passé.
[00:27:54] Speaker A: Mais moi, je veux du sourire. Comme quand je me suis posé avec le maire. On avait notre parti de sondage au Blackstone.
[00:28:01] Speaker E: Oui, oui, c'est ça.
[00:28:01] Speaker A: Mais lui était sur la terrasse du snow il y a deux ans. C'était tout en sourire.
[00:28:06] Speaker E: C'était tout en sourire.
[00:28:09] Speaker A: Moi, je veux que ça soit souriant, Dan. T'es capable, hein, de sourire?
[00:28:14] Speaker D: Ben oui, je suis capable.
[00:28:15] Speaker E: D'après moi, Jackie, il y aura pas de buffet. Ça va juste être à l'offre de café que tu peux brasser avec des pâtes alimentaires.
[00:28:20] Speaker D: Ah, tu sais quoi? Je serais pas surpris que ça soit un des meilleurs buffets. Ah oui?
[00:28:24] Speaker A: Ah, j'espère.
[00:28:25] Speaker E: Oui, mais de la bouffe faite maison. Un buffet, c'est un parisien.
[00:28:32] Speaker A: Ils vont avoir des belles sandwiches, des belles crudités.
[00:28:35] Speaker D: Alors ça, tu vois, Québec Fortéfière, c'est le même, je l'imagine, eux autres.
[00:28:39] Speaker A: Oui, beaucoup de crudités.
[00:28:40] Speaker D: Un repas de salon funéraire.
[00:28:42] Speaker A: Oui, sauce ranch, puis les brocolis.
[00:28:43] Speaker D: Exactement.
[00:28:45] Speaker A: Brocolis, chou-fleur, sauce ranch.
[00:28:47] Speaker D: Puis à la fin, il reste juste les radis.
Parce que tout le monde a mangé le reste.
[00:28:51] Speaker A: Oui, puis les espèces d'oignons, les petits crêpes d'oignons pas mangeables. Les oignons, comment on appelle ça? Les oignons sucrés.
[00:28:58] Speaker D: Les oignons marinés.
[00:28:59] Speaker A: Oui, ça je mange pas ça. Je vais y laisser.
[00:29:02] Speaker D: Puis des petits chiabattas que tu fous d'une espèce de salade de poulet.
[00:29:07] Speaker A: Oui, trop de pain passé de poulet.
[00:29:09] Speaker D: Trop de mayo.
[00:29:10] Speaker A: Trop de pain passé de poulet. Très peu de poulet.
[00:29:12] Speaker D: Ça, ça va être le buffet du côté Bruno Marchand. Mais je m'attends à ce qu'il y ait quelque chose, des choses originales là.
[00:29:19] Speaker A: On a des attentes.
[00:29:20] Speaker D: Ah oui, on a vraiment des attentes.
[00:29:21] Speaker A: On a des attentes, nous autres.
[00:29:22] Speaker E: Là, il y a beaucoup de messages là. 53 pieds en panne, voie de centre, Pierre Laporte, direction nord.
[00:29:28] Speaker D: Bon.
[00:29:30] Speaker A: Bon.
[00:29:30] Speaker E: L'autre qui arrive avec un machin fiché.
[00:29:34] Speaker I: OK!
[00:29:35] Speaker E: On revient à nos histoires.
[00:29:36] Speaker A: On revient à nos histoires! Et les vraies histoires, c'est... Pour le reste, on fait-tu le tour du... Avant d'aller au deep, après la pause, on fait-tu le tour de quoi le sport? Y a-tu quoi à soumettre?
[00:29:46] Speaker D: Le sport, on a beaucoup parlé du baseball, déjà, parce qu'il y a eu...
[00:29:50] Speaker A: C'est fait, on en a parlé.
[00:29:51] Speaker D: C'est fait, c'est passé, c'est réglé.
[00:29:53] Speaker A: Canadiens, ce soir, y a-tu moyen de confirmer que Dobech est vraiment le goaleur numéro un? C'est l'un des meilleurs de la Ligue.
C'est l'un des meilleurs de la Ligue. En fait, c'est le meilleur de la Ligue, actuellement. Lorsqu'on regarde la moyenne, c'est le meilleur de la Ligue. On a le gars-là numéro un. Arrêtez de parler de Dimidov, arrêtez de parler de Chouzi. Parlez de... Yacoub! 940 de moyenne. Et également, la moyenne de but allouée, il est deuxième dans la Ligue.
[00:30:22] Speaker E: Je dirais quand même, calmez-vous, parce que l'an dernier, vous vouliez l'envoyer à l'aval.
[00:30:29] Speaker A: Il a déjà voulu envoyer Cole Coffey là-bas.
[00:30:33] Speaker D: Le hockey, quand on se calme, ça devient plate.
[00:30:34] Speaker A: Ouais, c'est ça. Non, il a vraiment le talent pour. Montembeau, c'est-tu lui ou Montembeau? J'écoutais ça hier parce qu'il y avait un débat à RDS là-dessus. Oui, mais il faut protéger les goleurs.
[00:30:45] Speaker E: Le débat était Dobèche versus Montembeau.
[00:30:47] Speaker A: Oui, parce qu'il faut protéger son mental et son fragile mentalement des goleurs.
[00:30:51] Speaker D: Montembeault a trop fait de podcasts pendant le camp d'entraînement. Elle allait se promener un peu partout à faire des concours de quelle couleur est le tape de tous les joueurs. Maintenant, il faut que tu gardes le focus, là. Pendant qu'elle était avec Georges Larac en train de faire ça, puis elle étudiait, Christine y est inscrite pour faire des podcasts, là, bien Dabeche, lui, il pratiquait son style papillon.
[00:31:10] Speaker A: Il peut-tu être recrut de l'année?
[00:31:12] Speaker D: Bien, je pense pas. Il a été l'année passée.
[00:31:13] Speaker A: Je sais pas. Il y a quelqu'un qui pose la question en termes de... Recrut de l'année, c'est des mid-off.
[00:31:17] Speaker D: Arrêtez.
[00:31:18] Speaker A: Oui, c'est ça, c'est des mid-off. Mais, hein?
Il mène au niveau des points, mais ça va être serré, par exemple. Ce serré-là, il y a du bonheur, là. Puis, pour les buts, autre personne à considérer, Kapanen, il sera pour un coup de lanin. Mais Kapanen a le plus de buts à égalité, là. Mais chez les recrues, ça va bien, là. Daubeche, tu as Demidov.
Hudson aussi, quand même, une belle saison à la.
[00:31:48] Speaker D: Il y a deux histoires qui font beaucoup parler à travers la Ligue nationale à l'heure actuelle avec le Canadien. La première, c'est Hudson.
[00:31:54] Speaker A: Oui.
[00:31:55] Speaker D: Hudson, hier, Kyle McCarty a donné un beau grand coup de bascule.
[00:31:59] Speaker A: C'est quoi ça?
[00:32:00] Speaker E: Kyle McCarty puis Quinn Hughes.
[00:32:01] Speaker D: Oui.
[00:32:02] Speaker E: Les deux.
[00:32:03] Speaker D: En disant que c'était un des meilleurs défenseurs de la Ligue nationale.
[00:32:06] Speaker A: Il est absolument...
[00:32:07] Speaker E: Il est des nôtres, là.
[00:32:08] Speaker A: Ben oui, il est des nôtres, mais c'est les États-Unis qui veulent le bouder.
[00:32:11] Speaker D: Ce Belguérin, lui, il l'aime pas. Il aime pas Leonardson. Il dit que c'est vrai qu'il est bon, mais moi, je pense qu'on a 7 ou 8 meilleurs que lui. Juste aux États-Unis. Alors qu'hier, vous avez Quinios, Piquet-Lamacar, il a dit le trio des meilleurs défenseurs, c'est nous trois.
Ça cause un peu de patentes. Puis l'autre, c'est le premier trio du Canadien. Premier trio du Canadien, il y a juste les fans du Canadien qui voulaient le défaire pendant l'été, en disant «Yura, j'ai pas d'affaires là». Mais le premier trio du Canadien, à l'heure actuelle, est un des meilleurs premiers trios de la Ligue nationale de hockey. Et c'est le cas depuis la Saint-Valentin.
[00:32:46] Speaker A: Oh, la Saint-Valentin! Qu'est-ce que t'as fait le soir de la Saint-Valentin, Dan? Est-ce que tu t'en souviens?
[00:32:50] Speaker D: Bien, j'ai regardé le hockey, écoute.
[00:32:53] Speaker A: Tu es à regarder une reprise.
[00:32:55] Speaker D: Je dis la Saint-Valentin parce que, de mémoire, la Saint-Valentin, c'était à peu près aux alentours du tournoi des Quatre Nations, mais c'est depuis le tournoi des Quatre Nations, c'est le meilleur trio de la Ligue nationale d'or.
[00:33:03] Speaker A: Il a changé son style un peu, Jurage, plus défensif. Il sert plus de son phasèque. Il va chercher la puck puis il salit plus les mains. Il va être plus complet. Mais ce ne sera pas le joueur, je pense, qu'on s'imaginait. Je ne compare pas les deux. Mais Carbono, c'est un top scoreur dans le Q. Carbono est devenu différent. Je compare pas les deux, mais il y aura adaptation.
[00:33:27] Speaker E: Il va être le Jonathan Tais de Patrick Kane.
[00:33:30] Speaker A: C'est pas fou, ça. Comme comparatif, c'est pas fou.
[00:33:33] Speaker E: C'est pas le gars qui va le faire le plus de points, c'est pas le gars que tu vas prendre absolument dans ton pool ou tu vas le prendre en fin de pool.
[00:33:39] Speaker A: Mais t'en as besoin.
[00:33:39] Speaker E: Mais t'en as besoin dans une équipe. C'est comme ça qu'il se développe, ça va être excellent pour le Canadien.
[00:33:43] Speaker A: Absolument.
[00:33:44] Speaker D: Donc, puis tu sais, hier, ce que Cole Caulfield et Nick Suzuki disaient, c'est qu'on a besoin de Yorosh sur ce trio-là. C'est comme notre grand frère. Cole Caulfield, c'est le petit frère. Puis comment est-ce qu'ils ont dit ça pour Nick Suzuki, là, le... Not so little, bro.
Donc, tu sais, c'est trois gars qui s'entendent bien, c'est trois gars qui veulent jouer ensemble, c'est trois gars qui jouent bien ensemble. Je pense que c'est pour cette raison-là que jamais il n'a été question pour Martin Saint-Louis de toucher à son premier trio.
[00:34:14] Speaker E: Hier, Cynic Rusby a dépassé les 1700 points. Il est arrivé à 1701 points. Il y a neuf. Puis malheureusement, il y a quelqu'un qui est tombé du deuxième étage à Pittsburgh. Ah ouais? Ouais. Il y a un monsieur qui a déboulé les escaliers, qui est rentré dans la vitre puis qui est tombé d'un étage. Je ne suis pas sûr que ça va bien finir, mais en tout cas, peu importe. Il y a neuf joueurs au total qui ont dépassé 1700 points dans l'histoire de la Ligue nationale de hockey. Sneak Rusby est le neuvième. Nommez les huit autres.
[00:34:44] Speaker D: Wayne.
[00:34:45] Speaker A: Oui.
[00:34:47] Speaker D: Resty Weizemann.
[00:34:49] Speaker E: Oui.
[00:34:50] Speaker D: Marcel Dionne.
[00:34:51] Speaker E: Oui.
[00:34:51] Speaker A: Le mieux.
[00:34:52] Speaker E: Le mieux. Le mieux, t'es à huitième. Il y a juste 22... Le mieux a juste 22 points en carrière de plus que Snick Rosby, présentement.
[00:35:02] Speaker D: Sakic.
[00:35:03] Speaker E: Sakic n'est pas dedans.
[00:35:04] Speaker D: Stassny.
[00:35:04] Speaker A: Nope.
[00:35:07] Speaker E: T'en as un évident, là. Pensez à un peu plus vieux.
[00:35:11] Speaker D: Mike Bossy.
[00:35:12] Speaker E: Gordie Howe. Gordie Howe. Gordie Howe en est un. Bossy n'est pas dedans.
[00:35:16] Speaker A: Mais si.
[00:35:18] Speaker E: Pensez, vous avez parlé... Yaguerre. C'est ça. Yaguerre est deuxième.
[00:35:23] Speaker A: Il joue encore. Je pense qu'il est cinquième.
[00:35:25] Speaker E: Oui, il contue ses points, par exemple.
[00:35:27] Speaker A: Il joue d'une ligue où il y a plein d'annonces de chasse sur le jersey.
[00:35:32] Speaker E: Donc vous avez nommé le coéquipier de Mario Lemieux. Pensez à Wayne Gretzky.
[00:35:37] Speaker D: Marc Messier.
[00:35:38] Speaker E: Marc Messier, troisième.
[00:35:39] Speaker A: Je l'avais dit tantôt.
[00:35:41] Speaker E: Ah, OK. Excuse-moi, j'en ai manqué. Il vous en manque un.
[00:35:44] Speaker A: Ovi.
[00:35:44] Speaker E: Non.
Ah oui, il pense pas celle-là, c'est qu'il est le pire, c'était un grand joueur. Il a joué avec le mieux à un moment donné. Il a joué avec le mieux à un moment donné. Je pense pas qu'il a joué avec Gretzky à un moment donné.
[00:35:57] Speaker D: Ron Francis?
[00:35:58] Speaker E: Ron Francis.
[00:35:59] Speaker A: Oui!
[00:36:00] Speaker E: On a les huit.
[00:36:03] Speaker A: Il jouait pour le...
[00:36:04] Speaker D: Le Whalers.
[00:36:05] Speaker E: Hartford, Pittsburgh, Caroline, Toronto. Ron Francis.
[00:36:10] Speaker D: Ouais.
[00:36:11] Speaker A: Randy Cunningworth est pas dans la liste de René.
[00:36:14] Speaker E: Celui dont la liste d'équipe est la plus longue, c'est Yaga.
[00:36:17] Speaker D: C'est sûr, il a joué jusqu'à 56 ans.
[00:36:19] Speaker A: Il joue encore.
[00:36:20] Speaker E: Pittsburgh, Washington, Rangers, Philadelphia. Il y a des équipes, je me souviens pas partout qu'il y a passé. Dallas, Boston, New Jersey, Florida, Calgary.
[00:36:29] Speaker A: C'est un méchant stud, par ailleurs. C'est parce qu'il n'y a pas pantoute.
[00:36:31] Speaker E: D'Armée de Jaguars avec Calgary.
[00:36:34] Speaker A: Ah, c'est l'Hockey DB de Jaguars, là. T'as besoin de scroller, là.
[00:36:40] Speaker D: Ah, c'est une page créative. Juste cette page-là, Hockey DB fait son année.
[00:36:43] Speaker A: Ça n'a pas d'allure. Ça n'a pas d'allure. 90. Début dans la Ligue nationale. Les Pingouins, ils jouent encore. Ils jouent pour le Cladno, les Knights de Cladno.
[00:36:54] Speaker E: Oui, depuis 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 saisons.
[00:36:59] Speaker D: Est-ce que Mitch Love pourrait aller coacher?
[00:37:03] Speaker A: C'est quoi cette histoire?
[00:37:05] Speaker D: Mitch Love, c'est un entraîneur adjoint des Capitals de Washington. Il fait face à des allégations de violences domestiques. Ça ressemble un peu à l'histoire d'une porte qui a été arrachée pendant une conversation chaude au Colorado.
Lui, il dit qu'il ne s'est rien passé et j'ai hâte que l'enquête soit terminée. Mais en attendant, l'enquête n'est pas terminée. Il y a plusieurs équipes, dont entre autres les Browns de Boston, qui ont approché Mitch Love pour l'avoir comme entraîneur adjoint. C'est la Ligue nationale qui a appelé ces équipes-là cet été pour leur dire de ne pas toucher à ça avec une perche et un wetsuit. parce qu'on est en train de regarder, d'enquêter sur une histoire de violence domestique pour Mitch Love. Et là, à ce moment-là, les Capitoles de Washington l'ont suspendu. Fait que lui, il n'a pas fait le camp d'entraînement, il n'a rien fait. Il n'a aucune accusation qui a été portée encore. Et là, ce qu'on a appris cette semaine, en fait, c'est que les Caps le congédiaient. Il est suspendu, fini. Pour l'ensemble de la saison, oublie ça.
[00:37:56] Speaker I: Il n'est plus là.
[00:37:57] Speaker D: Donc lui, il ne se retrouve plus de job, il n'a plus rien devant lui, puis tout ça sur une enquête qui n'est pas encore terminée. On se rend compte que la ligne nationale de hockey, depuis l'histoire des Blancox de Chicago, bien, ils sont très, très, très... Tu sais, ils n'attendraient plus les conclusions d'enquête, ils vont se débarrasser du monde au fur et à mesure. Donc voilà, Mitch Love, ça se termine de cette façon-là.
[00:38:19] Speaker A: Tu sais, je dirais... Not enough. Bad love. Bad love.
[00:38:25] Speaker D: C'est surtout ça que t'as raison. Bad love.
[00:38:27] Speaker A: Bad love. Le mauvais amour, parfois.
[00:38:30] Speaker D: L'amour qui fait mal.
[00:38:32] Speaker A: Il va être banni. Il va être reçu, banni, en Russie.
[00:38:36] Speaker D: Peut-être. Il ira pas dans une école secondaire, c'est sûr.
[00:38:39] Speaker A: Non, ça c'est clair, clair, clair. On peut faire la pause, là. 6h38. Beaucoup de monde, ce matin. On aura le bon Dr Yves Bolduc, quand même, qui est allé jusqu'à comparer Christian Dubé à Poutine. J'aime ça. C'est un peu gros, mais en même temps. Christian Poutine, on l'a fait. De toute façon, Dome TV nous sort ce matin le scoop à l'effet que Hot Dog Québec sera lancé lundi. Donc, un patient à Hot Dog. J'adore ça. Puis si c'est un patient lourd, un cas lourd, il rajoute un frite puis une liqueur.
[00:39:13] Speaker D: C'est tout. Liqueur, pas de diète là, non, non.
[00:39:16] Speaker A: Une vraie liqueur.
[00:39:17] Speaker D: Avec du vrai sucre.
[00:39:18] Speaker A: Donc vraiment, là, on se rapproche des médecins, là, regarde, allez-y les médecins, go, go, on est derrière vous. Dubé l'a dit, donc c'est un patient, un hot dog. Donc c'est quoi, comme dans 40 patients, 40 hot dogs.
[00:39:30] Speaker D: C'est pareil, pareil.
[00:39:30] Speaker A: Stimé ou bien routi, c'est selon. C'est selon votre goût, hein. Il regarde pas ça, Christian, donc tu peux y aller avec ce que tu veux également. Les condiments sont ouverts. Le gouvernement vient d'ouvrir la table à condiments, donc c'est réglé. C'est des petits oignons coupés, avec également la relish, la moutarde et le ketchup. Mais si c'est un colo, dans un genre de diabétique, on te rajoute une liqueur et un fritex. 6h39, on en règle des affaires dans Moral Life. Moré!
[00:40:04] Speaker J: Les meilleurs au monde.
[00:40:05] Speaker B: On revient dans pas long.
X.
[00:40:09] Speaker A: Couture dans le mid.
[00:40:12] Speaker E: Regarde ton pourcentage d'impôts qui va au système de soins de santé.
[00:40:15] Speaker I: Ben oui.
[00:40:15] Speaker A: On le voit là, c'est 60 milliards qu'on met par année en santé.
[00:40:18] Speaker D: Ça va-tu être 70 milliards? Moi, je pense qu'on s'en va là.
[00:40:20] Speaker A: Si on fait rien, dans les prochaines.
[00:40:22] Speaker D: Années, ça va être 100 milliards, 120 milliards.
[00:40:24] Speaker A: Allez-vous accepter de donner 60 % de vos payes au gouvernement pour un système qui ne fonctionne pas?
[00:40:29] Speaker D: C'est ça la question qu'il va falloir.
[00:40:30] Speaker I: Se poser à un moment donné.
[00:40:31] Speaker A: Couture dans le mid.
[00:40:33] Speaker B: Lundi au vendredi, 10 h.
[00:40:36] Speaker A: Radio.
[00:40:38] Speaker B: Présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.
[00:40:51] Speaker D: Ben oui, ta belle-mère, elle vous l'a donné le piano qui traînait. Elle est déménagée. est rendu dans son beau 3,5. C'est le fun, il va avoir des services. Tu sais, c'est agréable, tout le monde est heureux. Enfin, il n'y a plus de sol dans sa maison. Elle avait un beau piano, vos enfants aimaient ça aller chez grand-maman, jouer du piano. On jouait de la musique de Noël à Noël. C'était le fun! Elle vous le donne, le piano. Mais là, tu te dis tabarnouche. Moi et mon beau-frère Mario, on n'est pas capable de déménager ça, ce piano-là. Monette express! Les déménageurs qui déménagent. Tu veux planifier un déménagement, Peu importe où tu t'en vas, si tu pars de Québec, c'est Monette Express. On fait la livraison à l'international. On est présents pour vous. On emballe, on déballe, on entrepose. Monette Express, les experts du déménagement, il n'y a aucun défi trop grand pour nous. Je vous le dis, le piano, on va le rentrer, on va l'installer. Il n'y aura pas de marque nulle part. Ça fait 20 ans qu'on fait ça. L'équipe de Monette Express, déménagent les gens, les entreprises de la belle région de Québec. Si vous déménagez, il y a un seul numéro à retenir, le 840-1234, 418-840-1234, Monette Express, les déménageurs qui déménagent, monetteexpress.com.
[00:42:01] Speaker B: Voter aux élections municipales, c'est voter pour ce qui me touche au quotidien, dans mes déplacements, dans mon quartier, dans mes loisirs. C'est voter pour ce qui compte pour moi. Le 2 novembre, aux élections municipales de la Ville de Québec, je vote, ça compte.
[00:42:15] Speaker A: C'est la liquidation totale. Mais pour moi, c'est la satisfaction totale.
[00:42:19] Speaker D: Chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[00:42:22] Speaker A: Nissan n°1 pour la qualité des véhicules.
[00:42:23] Speaker D: Neufs parmi les marques grands publics, selon l'étude 2025 sur la qualité initiale JD Powers aux États-Unis. Et les offres sont incroyables.
[00:42:30] Speaker A: Loin sur 60 mois, une 2025 comme.
[00:42:33] Speaker D: Le Kicks Play S ou la Sentra S+, à partir de 75 $ par semaine, zéro comptant.
[00:42:37] Speaker A: Aussi, financement à 0 % sur certains modèles et bonnie de 500 $ sur tous les modèles.
[00:42:42] Speaker D: Détails chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[00:42:46] Speaker B: Pendant que vous fêtez les deux ans de Charlotte avec toute votre famille, l'AMF veille. Pendant que vous pédalez comme un forcené sur votre vélo stationnaire pour retrouver votre forme d'antan, l'AMF veille. Pendant que vous regardez en rafale votre série préférée, l'AMF veille sur vos dépôts en les protégeant au cas où une institution financière provinciale ferait faillite. Continuez de profiter de la vie. L'AMF veille. Pour en savoir plus, consultez l'autorite.qc.ca. Un message de l'Autorité des marchés financiers.
[00:43:15] Speaker A: JANPRO, c'est votre partenaire de confiance en entretien ménager commercial. Que ce soit pour votre entreprise, une clinique, une garderie, un bureau et bien plus, comptez sur JANPRO. Que vos besoins ménage soient petits ou gros, le nom à retenir, c'est JANPRO. J-A-N-P-R-O.
[00:43:30] Speaker D: Les petites patates, présentées par les Cliniques vivants.
[00:43:33] Speaker A: Offrez-vous l'épilation définitive avec le laser Triton. Ultra-efficace et sans douleur. Épargnez jusqu'à 50 % en combinant les régions. Cliniquesvivants.com Dom, as-tu des petites patates? Oui, j'ai des petites patates. On peut vous parler du débat d'hier, TVA. C'était quand même intéressant. Trop court, peut-être. Mais comme on dit au chalet, un quickie, ça fait un job. Mais c'est 17 minutes de bon plaisir où les trois se sont gâtés sur un marchand. Chapeau à la gang de TVA Québec. La formule était bonne et ça a donné lieu quand même à des accrochages intéressants.
contre-marchand. Bien entendu. Je fais un petit croche vite pour vous parler de la campagne à New York. Vous allez dire, bien New York, voyons donc, je suis jamais allé. La dernière fois que je suis allé, c'est il y a 15 ans, puis ça ne m'intéresse pas. C'est quand même la plus grosse ville en Amérique du Nord. Où il y a un communiste qui s'apprête à gagner les élections, mais pas si vite que ça. Nouveau sondage qui donne Cuomo à 10 % du communiste. Il était à 20 % du communiste Mamdani, communiste très dangereux.
Et ça, c'est il y a, je vous dirais, deux semaines à peine. Donc, il y a un revirement de situation qui s'opère. C'est trop tard maintenant, on est mardi. L'élection là-bas, c'est lundi prochain. Et on va suivre ça, de par le fait que Mamdani, c'est quand même tout un phénomène, non?
Le gars veut faire beaucoup de choses, dont, entre autres, geler de manière autoritaire tous les loyers dans New York. Il y a déjà des agents d'immeubles, je vous dirais, qui sont sur le téléphone. Il y a beaucoup, beaucoup de New Yorkais avec le sacré Leucan en Floride. Revenons à nos moutons maintenant.
Les médecins, on va en reparler tantôt, PSPP qui dit que s'il est élu et il a de bonnes chances de l'être, il va garder une partie de la législation, puis il va modifier ça en disant que c'est quand même flou. La loi va être maintenue, mais modifiée. À l'intérieur, le mode de rémunération va être modifié, dit-il. Il peut dire n'importe quoi, il est dans l'opposition. Il peut dire n'importe quoi. Ça, c'est PSPP envers le Parti libéral. Je trouve qu'il est allé loin en disant « Ouais, c'est un parti corrompu, j'ai écouté la commission Charbonneau et nul doute qu'il y avait de la corruption. » Ouais, je comprends, mais là, c'est quand même... Tu sais, tu peux le traiter de trudoïste, tu peux le traiter de woke au pire, mais Pablo Rodriguez, on peut rien y reprocher. Ça ressemble à de la diffamation. Là, il a utilisé, bon, l'ouvrage PLQ Inc. qui est très bon, là, mais c'est un superbe livre, c'est le même parti libéral, sous Jean Charest. Dire qu'il y avait de la corruption, c'est un euphémisme. Charest n'est plus là. Faut que tu te concentres sur la réalité. Je trouve parfois qu'il joue sur un terrain qui est glissant, en ce qui me concerne. Longueuil, un bébé découvert d'un abribus. Le bébé est mort et la maman de 33 ans a été arrêtée.
C'est pas quelqu'un de saint d'esprit qui laisse un bébé dans un abribus. On n'a pas besoin d'un PhD de Yale en psychiatrie pour comprendre ça. Donc la femme a été prise en charge et il y a un examen mental qui sera mené.
Restons dans la catégorie Nos enfants vont très bien. La DPJ qui aurait failli à sa mission de protéger une adolescente en omettant de vérifier la famille d'accueil dans laquelle elle a été placée, puis elle a été abusée pendant de nombreuses années. Ça se passe à Robert Val. C'est le devoir qui nous apprend ça. Écoutez, celle-là, devoir en a sorti une autre sucrée également. C'est le dernier rapport sur la diplomation et la littératie des Québécois. La province se place au huitième rang au Canada.
Concernant la littératie, c'est-à-dire la capacité de comprendre un texte plus complexe que l'étiquette d'une canne de poids, plus d'un Québécois sur deux n'atteint pas le niveau 3 de littératie. Cette proportion est encore plus élevée chez les non-diplômés. Le niveau 3, on entend par là l'habilité à comprendre un texte complexe. avec des propos contradictoires ou des références culturelles. Ça va pas très bien. Insécurité alimentaire. 3,1 millions de demandes d'aide en mars dernier et ça risque vraiment d'exploser aux fêtes. Pendant ce temps-là, Radio-Canada a de l'argent. Ils trouvent le moyen de créer deux stations numériques pour les jeunes alors que tous les médias crèvent de faim. Je trouve ça particulier. Un médicament pour ralentir l'Alzheimer a été approuvé au Canada. Et Mark Carney, oye oye, va rencontrer le dictateur chinois. Qu'est-ce que tu veux qu'ils fassent? Le Canada est plus petit qu'une région chinoise. Encore une fois, on va se donner de l'importance le coude en l'air. Encore.
[00:48:35] Speaker B: Une facture d'électricité qui explose.
[00:48:37] Speaker D: Moi, Pat, depuis que j'ai ma thermopompe.
[00:48:39] Speaker A: Lenox, j'ai réduit mes coûts de moitié. Pis tu me connais, hein, les économies.
[00:48:43] Speaker D: De cash, c'est primordial.
[00:48:44] Speaker A: En plus, les montants des subventions n'ont jamais été aussi élevés.
[00:48:47] Speaker D: J'ai jamais été aussi bien chez moi. Confort en hiver, fraîcheur en été et les économies toute l'année. Une thermopompe Lenox, c'est payant. Parlez-en à...
[00:49:03] Speaker B: En face de l'aéroport.
[00:49:04] Speaker D: Pièces d'auto économiques, c'est neuf magasins pour vous servir avec le meilleur rapport qualité-services de l'industrie. Économisez gros avec nos disques de freins Brakemax offerts à 10% ou nos plaquettes de freins Bosch à 15% de rabais. Et vous épargnez 15% sur les essuie-glaces Bosch Clear Advantage.
[00:49:21] Speaker A: L'hiver approche!
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[00:49:31] Speaker A: Pièceséconomiques.Com Traffic, transit and weather. la circulation de Québec pour faciliter la fluidité.
[00:49:40] Speaker D: Si tu veux prendre le pont, bien, ce matin, tu as l'air con parce que ça va être long. Bien oui. Peu importe d'où tu arrives, si tu veux prendre le pont un matin... Pardon? Sur le dos de Long. C'est long sur le dos de Long. À partir de la route Lagueux, si tu arrives de Montréal, à partir de la route du Président Kennedy, si tu arrives de Gaspé, à partir, bon, comme d'habitude, de la route Beaulieu, si tu arrives du Maine, c'est lourd partout. Puis sur la ruine, il y a Capital qui, comme d'habitude, est jammé. Pour le reste, ça va super bien. Découvrez donc les soins dermo-cosmétiques. Ça se passe chez Jean Coutu. Cette semaine, obtenez une crème IDC hydra-légère gratuitement dès l'achat de 150 $ de produits IDC dermo. Détails? JeanCoutu.com.
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[00:52:21] Speaker A: Moret.
[00:52:22] Speaker D: Vous avez commencé à 17 ans à la radio.
[00:52:25] Speaker A: Live. Télémédia, etc. Et vous avez quitté la télé en 2004 et vous avez rejoint... Radio X. Radio X. Et alléluia, hein?
[00:52:34] Speaker I: Radio X.
[00:52:46] Speaker E: Amuse-nous.
[00:52:51] Speaker A: Dan, sur Ta belle planète.
[00:52:53] Speaker D: On va continuer à parler un peu de sport parce qu'il y a quand même un sujet qui a fait pas mal jaser hier un peu partout au Canada. C'est l'histoire du sport féminin parce que, bon, il y a une étude qui a été rendue publique puis qui a.
[00:53:04] Speaker A: Été faite par... Ça prend des trois mois?
[00:53:08] Speaker D: Voilà, tout est dit.
[00:53:09] Speaker A: Le tramway, c'est bon pour le sport féminin.
[00:53:11] Speaker D: C'est maintenant la fin du deep dive. Non, pour vrai, c'est... OK, oui, le sport féminin, il y a comme une mode, ça pogne. Il foule les arénas au Canada puis au basket féminin aussi.
[00:53:23] Speaker A: Il va avoir une franchise de la WNBA à Toronto l'an prochain.
[00:53:26] Speaker D: Il va avoir une franchise de la WNBA à Toronto. À chaque deux ans, attendez-vous, est-ce qu'on rajoute des filles également, des équipes de filles au hockey. Il y a de quoi, là. Puis on l'a vu avec la Coupe du monde de rugby qui a été... Et, by the way, on parle de rugby féminin, tu sais que les filles du Rouge et Or sont parties pour le championnat canadien, non?
[00:53:42] Speaker E: Qui ont gagné l'an dernier.
[00:53:43] Speaker D: En fait, qui ont gagné quatre fois dans six dernières années, dans cinq dernières années. Donc on les salue. Donc oui, le championnat mondial de foot également féminin qui a été très, très suivi dans la NCA, c'est hallucinant de voir à quel point le flag football féminin également gagne en popularité. Même chose dans nos écoles ici, il y a beaucoup de filles qui jouent au flag football. On s'en souvient dans le dossier de l'Académie Saint-Louis. Je sais que tout le monde à la mairie dit qu'on aurait donné la permission pour les 15 matchs, mais l'Académie Saint-Louis demandait aussi la permission pour le printemps. Pour le flag football féminin, ça, tout le monde l'a laissé de côté, ce dossier-là. Mais hier, ce qui est arrivé, c'est que toutes les gens, les gens qui travaillent au sein de différentes firmes de consultation, qui sont proches du sport féminin, étaient invités à TV pour parler de ça, puis ont tous dit la même chose. On veut que la TV nous donne du temps d'antenne. Puis ils disent ça à la TV, puis il y a personne qui reprend. À un moment donné, il va falloir qu'on le dise pour vrai. La TV donne du temps d'antenne à personne. Faut que tu l'achètes, le temps d'antenne. Faut que tu le payes. Ça marche pas de même. C'est pas magique, là. À un moment donné, le sport féminin, vous êtes rendu au point où, si vous voulez augmenter la popularité, vous devez arrêter d'engager du monde quotidien en philosophie, puis commencer à engager des vendeurs.
[00:55:00] Speaker E: C'est donner nous du temps d'antenne. C'est parce que... TVA Sport, pièce de l'argent. En paire, comme ça n'a pas de foutu sens. Ils ne vous donneront pas du temps d'antenne, ça n'arrivera pas.
[00:55:11] Speaker A: Faut que tu le vendes, tu vends un haut d'histoire. C'est la peau, les leufs.
[00:55:15] Speaker E: TVA Sport n'existera peut-être plus dans deux ans.
[00:55:17] Speaker A: Mettons que ton sport est populaire, tu les appelles. Tu n'as pas besoin de les appeler, c'est eux autres qui vont t'appeler à ce moment-là parce que tu vends un haut d'histoire. Eux autres, Ensuite, ils vont se revirer de bord, ils vont aller voir Kraft, ils vont aller voir Pepsodent, ils vont aller voir... Peu importe les compagnies, Tim Hortons, ils vont dire « Regarde, il y a 500 000 personnes qui, à 6h15, vont regarder ton annonce de Pont-Adam. Ça te tente-tu? » Et c'est comme ça à Radio Wix. Radio Wix vend des émissions qui sont primées, qui sont très écoutées, et les gens sont prêts même à payer plus cher pour annoncer ici parce que l'auditoire est plus élevée dans une certaine tranche d'âge.
[00:55:58] Speaker D: Faut que Tim Horton ou Canadian Terror aillent voir TSN et disent nous autres on est prêts à mettre 4 millions en publicité sur le hockey féminin. Fait que là, eux autres, ils vont dire, OK, on a quelqu'un qui est prêt à mettre 4 millions en publicité, nous en mettons que ça nous coûte 750 000 pour produire une saison complète.
[00:56:11] Speaker A: Ça, c'est l'analyse des coûts de production.
[00:56:12] Speaker D: Exactement.
[00:56:14] Speaker A: Il nous reste combien au net?
[00:56:15] Speaker D: Il nous reste 3,25 millions. On peut offrir 1 million. On peut offrir 1 million à la Ligue pour pouvoir avoir le droit de diffuser les matchs avec une exclusivité. Au final, on fait 1 % des games. J'ai compté vite, ça se peut que je me sois trompé, j'y ai été rapido. Mais tu comprends, c'est le même, ça marche.
[00:56:33] Speaker A: C'est le même, ça marche.
[00:56:34] Speaker D: Ils vous donneront rien. Donc à partir de maintenant, oui, ça va bien, le sport féminin, puis c'est correct, puis c'est trippant, on en a parlé avec Marteau. Dieu sait combien de fois, il y a de quoi qui pogne actuellement. Faudrait pas faire comme le Québéking a fait en 95, puis dire dans 10 ans, avoir su que ça allait marcher, on le voit. On le voit que d'ici 10 à 15 ans, il va y avoir quand même un bon buzz autour du sport féminin. Ce ne sera pas l'année prochaine.
[00:56:59] Speaker A: Il faut que la Ville de Québec embarque.
[00:57:01] Speaker D: Je pense que oui.
[00:57:01] Speaker A: Je veux une franchise à Québec. Ce n'est pas vite-vite.
[00:57:05] Speaker E: Puis pour les madames en philo, ne tirez pas sur une fleur qui est en train de pousser. Ça marchera pas. La WNBA vient de signer un contrat de 11 ans de diffusion avec USA Network, qui est une propriété de NBC, si je ne me trompe pas. J'essaie de trouver le montant, mais je sais que ça se négociait, puis c'était des montants quand même... intéressants, disons, mais qui sont pas comparables à la NBA, qui sont pas comparables à la NFL, ça, c'est clair. Mais c'est en train de pousser, c'est en train justement de se faire une place. Faites-vous votre place. Il y aura pas de charité qui.
[00:57:39] Speaker A: Va se faire, là. C'est ça. Exact.
[00:57:42] Speaker D: Dans les autres patentes, parce qu'il s'est quand même passé 2-3 trucs qui ont un lien avec le monde du sport, mais qui en sont pas tout à fait. Tout d'abord, j'avais pas vu à Fox l'histoire de Michael Strahan. L'aviez-vous vu?
[00:57:54] Speaker A: Non.
[00:57:55] Speaker D: C'est quoi?
[00:57:55] Speaker E: Il s'est fait remplir le croisé dedans?
[00:58:01] Speaker D: Y'a un gars qui a mis un masque pis t'es allé le cogner sur l'épaule pis t'as regardé qu'il était lave en onde pis le gars a crié comme une fillette. Vraiment crié comme une fillette. Le gars a juste mis un masque là.
[00:58:11] Speaker A: Y'a vraiment... Stran a eu peur.
[00:58:12] Speaker D: Y'a eu peur là. Honnêtement l'image vaut 3000 mots. Y'a eu peur. Il s'est sauvé. Y'est parti à courir. Y'est sur un plateau de TV là.
[00:58:26] Speaker A: I.
[00:58:39] Speaker D: Know y'a un truc drôle. C'est hyper drôle. Dans les autres affaires, ça, c'est un petit peu moins drôle. C'est qui, le gars?
[00:58:46] Speaker E: Parce qu'il est grand aussi. Parce que c'est une pièce, Michael Strand, pis le gars est aussi grand aussi qu'il.
[00:58:49] Speaker D: Ça va, t'es un analyste de football également, là.
[00:58:51] Speaker E: J'imagine.
[00:58:52] Speaker D: Il travaille tout là.
[00:58:54] Speaker A: NFL... Halloween prank.
[00:58:56] Speaker E: Oh oui.
[00:58:57] Speaker D: NFL countdown à ESPN. L'ancien entraîneur des Jets de New York. Rex Ryan apprend en live que Nick Mingle est décédé. Je vous le fais jouer, t'sais, c'est pas drôle.
[00:59:06] Speaker E: C'est Hall of Famer, là, Nick Mingle. C'était le meilleur joueur de ligne offensive de son époque.
[00:59:12] Speaker D: En fait, on dit même qu'il a inventé les nouveaux joueurs de centre, c'est-à-dire les joueurs de centre, avant, un joueur de centre, ça remettait le ballon. ça se levait puis ça arrêtait. Lui, il allait au premier puis au deuxième, il allait ouvrir les contacts un peu, tu sais...
[00:59:28] Speaker A: Il faisait le chemin.
[00:59:28] Speaker D: Un peu comme Jason Kelsey l'a fait, là. Il a été all-of-famous la première année, trois fois sur la première équipe d'étoiles, sept fois au Pro Bowl. Le gars, il y a 12 jours, en fait, avec l'entremise des Jets de New York, ont fait une levée pour dire... Il a besoin d'un rein. Il a besoin d'un rein. Depuis 2006, qu'on le sait, qu'il allait avoir un jour, il allait avoir besoin d'un rein. Finalement, quand le docteur lui a dit « t'as besoin d'un rein là », il a manqué de temps. Peut-être aussi que c'est un lien avec la quantité phénoménale de bière qu'il pouvait pendant les matches des Rangers. Mais toujours est-il que l'ancien coach des Jets, qui est maintenant analyste à ESPN, a appris l'histoire pendant qu'il était live en onde et ça donne ceci.
[01:00:07] Speaker I: C'est un grand jeune homme.
[01:00:10] Speaker A: J'ai eu le plaisir de l'entraîner pendant 6 ans avec le Jackson.
C'est.
[01:00:24] Speaker D: Toujours émouvant de voir un monsieur qui se met en pleurant, un homme qui essaie de retenir, mais il vient d'apprendre une mauvaise nouvelle qui le fait brailler. Le gars n'est pas capable de retenir ses larmes.
[01:00:34] Speaker E: C'est une tragédie. Mangold est plus jeune que moi.
[01:00:36] Speaker D: Il a 41 ans. 41 ans, donc c'était un vrai moment de TV. Ça, c'est de la télé-réalité pour vrai. Un peu comme le body cam du policier qui est arrêté.
Adrian Peterson, encore une fois en fin de semaine. Adrian Peterson, c'est pas compliqué. Il va possiblement finir sa vie en prison, parti comme c'est parti là. T'as bien beau être un des meilleurs porteurs de ballon de l'histoire de la NFL, t'es un épais. Tu t'es fait pogner à battre tes enfants. Tu t'es fait pogner.
[01:01:03] Speaker A: Ben, pognons donc!
[01:01:04] Speaker E: Ben oui, avec une branche.
[01:01:05] Speaker A: Ça fait longtemps, mais... Ça fait longtemps.
[01:01:07] Speaker E: Qu'On en parle, mais là, ils jouent encore à ce moment-là.
[01:01:09] Speaker A: Qu'est-ce qui s'est passé au cours des dernières heures?
[01:01:10] Speaker D: Il s'est endormi au volant à Bainsault.
[01:01:11] Speaker E: Ça fait deux fois qu'il s'est fait pogner à Bainsault au volant?
[01:01:13] Speaker D: Mais là, endormi, là. C'est la rue.
[01:01:15] Speaker A: Ben voyons donc!
[01:01:17] Speaker D: Ben l'image, là, il dort.
[01:01:18] Speaker A: Ben c'est pas beau, là.
[01:01:20] Speaker D: Vraiment pas beau. Tu sais, le gars, il est un char de luxe.
[01:01:22] Speaker A: Quel imbécile!
[01:01:23] Speaker D: À 3h de l'après-midi, il fout le soleil.
[01:01:25] Speaker A: Ben voyons donc!
[01:01:26] Speaker D: Endormi parce qu'il fait trop... parce qu'il est trop chaud. C'est vraiment très stressant.
[01:01:33] Speaker A: Une loque humaine.
[01:01:34] Speaker D: C'est une loque humaine.
[01:01:35] Speaker F: Oui.
[01:01:35] Speaker D: C'est ce qu'il est. C'est ce qu'il semble vouloir devenir. Puis le pire, c'est que la NFL... Souvent, la NFL...
Ils passent à côté de belles histoires pour se redorer leur blason. Il s'est fait pogner à battre son fils à coups de branches de bois, puis la NFL a quand même accepté qu'il revienne dans la ligue après. C'était pas nécessairement le meilleur move. OK, maintenant on va dans le deep down régulier. On est en Afrique, à l'église. Mais vous avez parlé par... Vous avez parlé par-dessus le bot ou écoutez comme vous. Hé! Ça là c'est quel comportement même! Vous êtes dans la maison du Seigneur! Et quelqu'un s'est permis de lâcher ça ici! L'odeur m'a pris toute la salle! Que serait-ce qu'un pété ici qui se dénonce tout de suite! J'ai dit bien maintenant là! Sinon vous tous ici, je vais vous livrer à Satan! J'ai ri pas avec ça! On vient chercher bénédiction!
[01:02:34] Speaker A: Ben voyons donc!
[01:02:35] Speaker D: L'église est bondée de monde là! Y'a du monde là!
[01:02:39] Speaker A: Y'a quelqu'un qui a pété! Y'a quelqu'un qui a pété!
[01:02:42] Speaker D: Pis là le gars il est là, il est en train de parler pis à un moment donné... Tu sens la merde là. Joyeux aussi.
[01:02:49] Speaker A: Le gars il est en train de le dire, ça sent le diable. Le gars il est en train de.
[01:02:52] Speaker D: Faire sa bénédiction pis lui il prend pas de pellules là. Je vais vous livrer à Satan.
[01:03:12] Speaker A: C'est ça, ça sent le diable, il faut qu'il y ait l'amour à la diable.
[01:03:16] Speaker E: Quand il faut que ça sorte, il faut que ça sorte parce que t'es dans la maison du seigneur.
[01:03:19] Speaker D: Même si t'es à l'église.
[01:03:20] Speaker A: Il y a une heure et demie avant, le gars s'est ouvert une canne de bine.
[01:03:24] Speaker D: La semaine passée.
[01:03:25] Speaker E: Je le sais pas, avant que ça sorte, qu'est-ce que ça va sentir.
[01:03:28] Speaker D: La semaine passée. Il est 10h05 à peu près, moi je quitte la station et je prends l'ascenseur.
Vous deux, vous êtes déjà partis, là. C'est un de ces matins où on part vite. Ça arrive des fois, il y a des matins où...
[01:03:44] Speaker A: Le lundi et le vendredi, on veut s'en aller.
[01:03:46] Speaker D: Pierre Couture commence son show, on est déjà assis dans l'auto.
[01:03:48] Speaker A: Quasiment.
[01:03:49] Speaker E: Hier, on était trois quand même quand JC est arrivé.
[01:03:52] Speaker A: Non, mais c'est parce qu'on déconnait.
[01:03:54] Speaker D: Hier, on est embarqués à 10h33 dans le char. Hier, on est partis quand même assez tard. Mais il y a des matins où on part plus tôt. Il y a un matin où je pars à 10h05, je vous cherche pour vous dire salut, vous êtes déjà partis. Fait que là, je fais mon tour, je dis salut à tout le monde, je descends. Bon, j'ai pas vu JC, il est pas encore arrivé, pas vu Pat non plus. Je descends avec, tu sais, une petite compression dans le bas ventre, là. Fait que j'ai décidé d'en lâcher un dans l'ascenseur.
[01:04:18] Speaker A: T'es-tu seul, là?
[01:04:19] Speaker D: Je suis seul! Pis je me dis dans l'ascenseur, c'est drôle.
[01:04:22] Speaker E: Pis il arrête jamais d'habitude.
[01:04:24] Speaker D: La porte de l'ascenseur s'ouvre, je sors, en ouvrant la porte, je vois JC qui arrive, je dis moi JC, tu vas avoir un bon début de journée mon gars. L'ascenseur va être le fun à prendre. Je vous fais attendre, je ne sais pas comment dire son nom, je vous en ai parlé la semaine passée, l'histoire du singe avec...
Le gars qui se battait comme un singe dans Kickboxer.
[01:04:48] Speaker E: Oui, oui, oui. J'étais allé voir la scène.
[01:04:50] Speaker D: Le gars, voyons.
[01:04:51] Speaker E: Ça n'a pas de sens. Ça n'a pas de sens faire une affaire de même.
[01:04:54] Speaker D: L'acteur s'appelle Thomas Guigeol, c'est ça, une affaire de même?
[01:04:57] Speaker E: Ça se peut.
[01:04:58] Speaker D: C'est un acteur français qui joue dans une série québécoise. qui, on l'admet là... Ah c'est le gars d'Empathy? Oui, oui, oui.
[01:05:07] Speaker E: Lui dans le style, oui.
[01:05:08] Speaker D: Exactement. Et Empathy, cette série-là, est en train de cartonner partout dans le monde.
[01:05:13] Speaker A: Oui.
[01:05:14] Speaker D: C'est HBO Max qui la diffuse un peu partout aux États-Unis. Ici, c'est Crave qui peut vous la diffuser. Et c'est une belle preuve... C'est une belle preuve que les Québécois peuvent, en utilisant ces plateformes de streaming-là, au lieu de rester sur Toupoie TV ou Illico, en prenant ces plateformes-là, qui vieillissent partout dans le monde, bien, c'est possible d'avoir du succès. Et c'est le cas pour Florence Lompré et toute la gang des acteurs, parce que elle, Florence Lompré, c'est elle qui l'écrit, elle joue dedans également.
[01:05:45] Speaker E: Oui, c'est le rôle principal.
[01:05:46] Speaker A: Elle a un succès partout dans le monde.
[01:05:47] Speaker D: Bien là, elles sont en France en train de faire un world tour de show de TV.
[01:05:50] Speaker E: Oui, ça a pas une place en France.
[01:05:51] Speaker A: Tu l'as regardé, toi, hein?
[01:05:52] Speaker E: Oui.
[01:05:52] Speaker A: C'est bon?
[01:05:53] Speaker E: Oui, c'est bon. C'est original un peu, c'est de la manière dont on s'est présenté. C'est pas elle qui réalise, cependant. Mais le gars qui est réalisateur, de ce que je comprends, dans ce qu'il tourne habituellement, il va toujours chercher une petite touche qui sort un peu de l'ordinaire, dans le visuel.
[01:06:06] Speaker A: En une phrase, c'est quoi, pour les gens qui connaissent pas ça?
[01:06:08] Speaker E: Ça se passe dans un asile, carrément. Elle, elle est psychiatre. Mais tu sais, c'est beaucoup la relation.
[01:06:15] Speaker D: Entre les... Ah non, mais c'est tout.
[01:06:16] Speaker E: Le temps ça, là. Les relations entre les personnages, le... Est-ce que tu vas t'attacher à ces personnages-là? C'est toujours ça. Ce qu'ils vivent, c'est quasiment des fois secondaire. Est-ce que le personnage, tu t'y attaches? Et c'est le cas pour eux autres. Moi, je l'ai dit, ma révélation dans cette série-là, c'est le gars qui fait Mortimer, le gars dont on se parle, qui est un Français, qui est un humoriste français, que j'ai appris récemment, qui faisait du stand-up. Parce qu'il venait en faire un petit peu au Québec.
Lui, c'est comme le deuxième rôle, si je peux dire, dans la série.
[01:06:42] Speaker A: Ça me tente de le regarder.
[01:06:45] Speaker D: C'est bon. Sérieusement, c'est bon. Il a trouvé ça difficile. Je vous fais entendre un certain truc qu'il a trouvé difficile par rapport à notre façon de parler français.
[01:06:53] Speaker A: Je comprenais rien.
[01:06:55] Speaker B: Et nous, on parlait vite, là.
[01:06:57] Speaker D: Ils étaient entre eux. Ils disaient « coupez, Ringo, les trucs ». Moi, c'était… Bébite.
[01:07:04] Speaker I: C'est un insecte.
[01:07:05] Speaker A: Ah ouais, c'est une abeille. Un insecte. Oui, parfait. Bravo. Vire une brosse.
[01:07:11] Speaker I: Ah ouais, bah ouais, je me suis viré, je me suis saoulé.
[01:07:15] Speaker D: Je me suis envoyé à une caisse.
[01:07:17] Speaker B: T'es guidou.
[01:07:18] Speaker I: T'es guidou. Ta gada, tout ce que tu veux. Mais c'est... c'est un mot ?
[01:07:22] Speaker B: C'est comme un leitmotiv. T'es guidou.
[01:07:24] Speaker F: C'est t'es guidou.
[01:07:25] Speaker I: On y va.
[01:07:26] Speaker B: Oui, bravo.
[01:07:27] Speaker A: Et pourquoi vous dites C'est wow, man.
[01:07:30] Speaker I: Pendant tout le temps où j'étais, t'as jamais dit tiguigou.
[01:07:32] Speaker B: Exactement, non.
[01:07:33] Speaker D: Parce que trois mois, je me suis réparé rapidement.
[01:07:35] Speaker F: Et il y a aussi...
[01:07:36] Speaker A: C'est dégueulasse.
[01:07:37] Speaker B: Oui, on dit ça. Mais ça peut être à toutes les sauces.
[01:07:39] Speaker F: Mais c'est positif.
[01:07:40] Speaker B: C'est dégueulassement bon.
[01:07:41] Speaker I: Quand tu fais ta première scène et derrière, toute l'équipe dit que c'était dégueulasse. Et toi, t'es là, c'est terrible ce que vous venez de me dire, j'ai tout donné.
[01:07:49] Speaker D: Mais non, c'était dégueulasse, Thomas, pour te dire que c'était super.
[01:07:52] Speaker B: On est tous différents.
[01:07:53] Speaker I: Ouais.
[01:07:54] Speaker D: C'était très bon. Et puis sur un plateau, ils sont en pleine entrevue, puis elle a dit... elle utilisait une expression totalement québécoise, parce que les gens, avec empathie, «clanchent» la série. Si je vous dis «on clanche la série», ça veut dire qu'on s'installe puis.
[01:08:11] Speaker A: On regarde la série. On écoute juste de suite.
[01:08:12] Speaker B: Je me suis «clanchée» la série. Je me suis «clanchée» la série. Mais «clanchée».
[01:08:19] Speaker I: Même en français, ça veut rien dire.
J'ai regardé la série, on peut encore dire ça, non?
[01:08:24] Speaker A: Ah, t'es en cours!
[01:08:25] Speaker I: Bien, je l'ai regardé d'un coup. Bien, voilà. On entend des phrases qu'on n'est pas obligés d'être cool à chaque fois, avec une white sheet et tout ça.
[01:08:32] Speaker B: Voilà, plus sympa dans la série.
[01:08:34] Speaker E: Ce n'est pas l'expression cool, si tu te souviens. Ce n'est pas une pochette, là.
[01:08:38] Speaker D: Bien oui, ce n'est pas un truc. Je me suis clanché en série. Donc, ça donnait des moments assez drôles.
[01:08:43] Speaker A: Clanché, tu peux dire ça pour bonnes affaires.
[01:08:44] Speaker E: Oui.
[01:08:45] Speaker D: Oui, oui.
[01:08:45] Speaker E: Le Canadien a clanché.
[01:08:47] Speaker A: C'est ça. Un joueur qui se fait clancher, il se fait frapper.
[01:08:51] Speaker D: C'est ça.
[01:08:52] Speaker E: Mais ça, c'est pas français.
[01:08:53] Speaker D: Non, non, puis ça, c'est négatif. Mais tu sais, il y a la façon positive aussi. Je l'ai ramené à la maison puis je l'ai clanché, tu sais, ça peut être positif.
[01:09:00] Speaker F: Oui.
[01:09:01] Speaker E: Les françaises, qu'est-ce qu'elles disent?
[01:09:02] Speaker A: Elle était très contente, par contre. Oui, oui, oui.
[01:09:04] Speaker D: Elle était bien contente, elle m'a dit...
[01:09:06] Speaker E: Ça peut être négatif.
[01:09:07] Speaker A: Avec consentement.
[01:09:08] Speaker D: Oui, oui, elle m'a dit avant de laver le lit, on recommence.
[01:09:11] Speaker A: C'est parce que c'est une phrase, c'est ça.
[01:09:11] Speaker E: Mais c'est quoi?
Mais c'est quoi que disent les Français pour qu'ils ont écouté une série en rafale? C'est qu'ils l'ont bingée?
[01:09:18] Speaker D: Je l'ai regardée d'un coup.
[01:09:19] Speaker E: Ouais. D'après moi, il y en a... Ben.
[01:09:21] Speaker A: Oui, c'est sûr, il y a de l'argot.
[01:09:23] Speaker D: C'est sûr. Il y a une Québécoise qui est bien fâchée des normes du travail ici. Elle avouerait les normes françaises.
[01:09:28] Speaker B: Je comprends pas pourquoi le Québec, c'est l'El Dorado des Français, OK? En France, t'as cinq semaines payées. Au Québec, t'en as deux. Pis un boss qui te dit merci si tu les prends pas.
[01:09:41] Speaker E: Je vais te l'expliquer, ma fille. En France, il y a pas de job.
[01:09:44] Speaker D: Non seulement ça...
[01:09:45] Speaker E: C'est sa réalité.
[01:09:46] Speaker D: Ils sont sous le cul.
[01:09:47] Speaker E: Check le taux de chômage en France, là.
[01:09:49] Speaker D: Ils sont vraiment sous le cul, donc c'est...
[01:09:52] Speaker A: Les Français, il m'est arrivé un truc le fun. La semaine passée, je suis allé manger à l'atelier, puis on avait un invité ici qui est super tripant, qui est venu nous entretenir d'un chose et d'autre de Montréal, etc. Mais le gars, c'est un Français, il vient de Lyon.
Donc, je m'en vais à l'atelier, puis je l'invite à manger, puis blablabla. Le serveur arrive, c'est un Français, il vient de Lyon aussi. Ils se mettent à parler de Lyon, les deux. Moi, je suis là, je les écoute. Ils se parlent, moi, j'ai été élevé sur telle rue, je suis allé à telle école, puis les parcs, les cils et ça. Et là, la conversation a terminé en disant, foutu qu'on est bien au Québec. On est bien au Québec, les espaces, c'est moins stressant, c'est moins...
Là, il y a les taxes, je comprends, là. T'sais, il y a les... Si les gens sont en train de se mettre à chialer, mais dans la peau d'un Français, être au Québec, il y a beaucoup d'avantages.
[01:10:46] Speaker D: Ils nous trouvent avant-gardistes sur bien des affaires.
[01:10:49] Speaker A: On est américains.
[01:10:49] Speaker D: Beaucoup, beaucoup de choses. Bon, c'est sûr qu'il y a des petites affaires qu'ils comprennent pas, comme le lait au frigo, ce genre de patentes-là, mais ça, c'est tellement banal. Mais moi, quand je parle à des Français qui arrivent ici, d'abord, sont surpris par la SQDC. La vraie vie, c'est ça, là, ceux qui sont jamais allés aux États-Unis.
[01:11:06] Speaker A: Gérés par le gouvernement.
[01:11:07] Speaker D: Bien, c'est pas le fait que ce soit géré par le gouvernement, mais c'est le fait que tu peux rentrer là puis ressortir puis... Avec ton sac. Au vu et au su de tous. Il y a aussi le fait que...
[01:11:18] Speaker E: À part le Portugal, il y a-tu des pays en Europe où c'est légal?
[01:11:21] Speaker D: Non.
[01:11:22] Speaker A: La seule affaire que Trudeau a faite qui a de l'allure.
[01:11:24] Speaker D: C'est ça. Tu sais, aux États-Unis, c'est légal partout. Même les États qui disent que c'est pas légal, c'est légal. C'est sûr qu'ils font ce saut-là. La place de l'homme dans la famille, également, ici, puis ils trouvent ça très positif. C'est hyper positif. Mais ils trouvent ça... Moi, ce que j'ai vu, c'est en moins... Les hommes peuvent avoir des enfants une semaine sur deux, s'il y a une séparation.
[01:11:49] Speaker E: Ah oui?
[01:11:50] Speaker D: Ah ce que vous êtes avancé! Ah ce que vous êtes avancé! J'aimerais en France qu'on ferait ça. C'est les enfants à la mère automatiquement. Il y a beaucoup de petites patentes de même qui trouvent... On fait plus de notre époque qu'eux autres. Il y a encore des vieux conservateurs archaïques qui veulent garder de vieilles façons de faire. Je pense que c'est ça qu'ils aiment ici.
Mais c'est pas trop long à un moment donné qu'ils s'ennuient de leur... Ils s'ennuient de pouvoir chialer puis de pouvoir se stigner librement.
[01:12:20] Speaker A: Ouais, c'est ça qu'est le négatif ici. C'est l'obsession du consensus. Pas de chicane, mais on s'entend.
[01:12:27] Speaker E: Chez les 15-24 ans en France, présentement, le taux de chômage est à 19 %.
[01:12:32] Speaker D: Ok, je suis allé faire un tour sur ce parti de services de marge que tu m'as vu ce matin parce que... Je l'aime moins, cette page-là. De plus en plus, j'ai l'impression qu'il y a des gens qui vont pour essayer de provoquer quelque chose, pour essayer de troller.
[01:12:47] Speaker E: C'est un invent d'histoires.
[01:12:48] Speaker D: Ouais, fait que j'essaie d'en trouver quand même des le fun, puis celle-là fait beaucoup jaser, puis je ne vois pas en quoi est-ce qu'elle est trop lente. En fait, dans les commentaires, je vois personne qui essaie de... donc je me dis que ça doit être vrai. Puis sais-tu quoi? Je le crois qu'on est rendu là au Québec. Nous vivons en face d'une école primaire. Et le bruit est rendu tout simplement infernal lors des récréations. Énormément de cris, au point que depuis septembre, on ne peut plus ouvrir les fenêtres. Nous avons fait plusieurs plaintes à l'école, mais rien ne change.
[01:13:19] Speaker A: Mais voyons donc!
[01:13:20] Speaker D: Je vais vous expliquer comment régler ce problème-là.
[01:13:22] Speaker A: Il y a deux récris. Grosso modo, c'est 20 minutes, un récris, à peu près. Le matin, puis l'après-midi.
[01:13:25] Speaker D: Exactement, plus l'heure du midi, plus avant puis après les cours. Ben, j'ai un truc pour cette famille-là, simonlaberge.com.
[01:13:33] Speaker A: Ben oui. De ménager. Ben voyons donc! C'est quelqu'un qui se plaint des enfants.
[01:13:38] Speaker D: C'est quelqu'un qui se plaint des enfants.
[01:13:39] Speaker A: C'est quelqu'un qui a acheté une maison. Visiblement, l'école était là avant. Il savait qu'il était pour s'établir à côté d'une école. Ben il se plaigne qu'il y ait de la vie dans l'école.
[01:13:47] Speaker D: Exactement, il se plaigne que les enfants.
[01:13:49] Speaker A: Ne passent pas du coup dans l'éducation.
[01:13:52] Speaker D: Oui, l'histoire du foot pis moi, celle à laquelle j'ai pensé, c'est la résidence personne âgée qu'il y avait en face d'une garderie à Lévis, dans le secteur Lauzon.
[01:14:00] Speaker A: Oui, oui.
[01:14:01] Speaker D: Où les gens se plaignaient. Entre les deux, on va fermer la résidence, ok?
[01:14:05] Speaker A: C'est pas vrai, cette histoire-là. Il y a quelqu'un qui nous a écrit ça. Mais toi, tu l'as lu.
[01:14:10] Speaker D: Ben moi, je l'ai lu, elle est là, pis comme j'ai pris le temps de le dire avant, de dire que j'étais pas capable de détacher le vrai du faux, mais nous autres, on veut juste jaser. Mais il y a ça pareil. Normalement, les textes qui sont faux sont souvent bourrés de fautes, ce qui n'était pas le cas dans ce secteur-là. C'est pour ça que j'en ai parlé. Puis c'est vrai que ça devient de plus en plus lourd, ce site-là, à cause des affaires fausses. Mais savez-vous quoi? Quand ça a de l'air vrai, je vais en parler.
[01:14:37] Speaker E: Bon, point dans l'auditeur. Les affaires font trop de bruit. Maintenant, elles n'ont plus de cellulaire.
[01:14:41] Speaker A: Oui, c'est ça. C'est ça, l'histoire. Ça fait trop de bruit. C'est le retour au naturel.
C'est le retour à la socialisation. C'est l'école de la société, l'école de la vie. Au-delà d'apprendre des mathématiques, l'histoire, c'est l'école de se faire des amis. C'est l'école de comment gérer un conflit, résoudre un conflit, avoir une discussion. C'est aussi, dans un âge plus avancé, parler à une fille, parler à un gars.
[01:15:10] Speaker E: Bien oui.
[01:15:11] Speaker A: Au lieu de texter, au lieu de liker. Mais ça, ils peuvent le faire encore aussi en passant.
[01:15:17] Speaker C: Bien oui.
[01:15:18] Speaker A: À partir de 3h30 dans l'autobus, tu reprends ton cellulaire qui est dans ton sac. Puis la vie continue aussi. Moi, je pense que ça a fonctionné, cette histoire-là de cellulaire. Tu parles à beaucoup de monde dans le domaine de l'éducation, puis des gens qui étaient très sceptiques au début, puis force à être constaté, finalement, ça marche.
[01:15:34] Speaker D: Il y a beaucoup de gens qui disent qu'il aurait apparu une rumeur dans les écoles, qu'il avait disparu.
[01:15:40] Speaker E: Ce qui est triste, en fait...
[01:15:41] Speaker D: Dans les écoles, il y a du monde qui disait qu'on entendait des tuyaux. On entendait de l'eau dans les tuyaux. J'avais jamais entendu ça de ma vie.
[01:15:46] Speaker A: Tu as entendu du monde placoter.
[01:15:47] Speaker D: Comme dans la société. Pareil comme nous autres dans le pays.
[01:15:49] Speaker A: Comme dans un restaurant. C'est ça.
[01:15:50] Speaker E: Ce qui est triste, c'est que ça a pris le gouvernement pour s'en mêler, alors que les écoles auraient dû prendre ces décisions-là bien avant.
[01:15:56] Speaker A: Mais ça marche.
[01:15:57] Speaker E: Je sais. Ça marche. On chialera pas.
[01:15:59] Speaker D: Les chiens.
[01:16:01] Speaker E: Oui.
[01:16:02] Speaker A: Les médailles.
[01:16:03] Speaker D: Beaucoup de monde se plaignent qu'au Québec, il n'y a pas assez de places où on peut aller avec les chiens. Allez voter. Je ne suis pas sûr que c'est une bonne idée d'aller voter avec des chiens. Mais au Québec, c'est l'endroit, en Amérique du Nord, où on a le moins de possibilités, où on peut traîner nos chiens à au moins de place. Est-ce qu'on est pour ou contre? Est-ce qu'on regarde ça comme ça? Moi, ça me dérange pas, personnellement. T'sais, j'ai pas le goût d'aller manger au restaurant avec mon chien. Quand je vais manger au restaurant, c'est pour le laisser tout seul à la maison. Mais pour certaines personnes, ça semble être bien important de pouvoir aller voter avec le chien, de pouvoir aller à l'église avec le chien.
[01:16:37] Speaker A: C'est plus accepté qu'avant, les histoires de chiens d'anxiété.
[01:16:41] Speaker D: Mais c'est encore moins. Oui, je comprends.
[01:16:43] Speaker A: C'est accepté.
[01:16:43] Speaker D: Mais y'a des colliers, les chez l'accident. Fait que t'as pas le choix de dire non. T'as pas le choix de dire oui.
[01:16:48] Speaker A: Oui, puis les colliers. Sur Amazon, y'en a en haut. Mais j'te parle... T'es pas vraiment anxieux, t'as pas le droit. C'est accepté maintenant. C'est plus ouvert dans notre société.
[01:16:57] Speaker I: Mais j'te parle, toi, tu vas aller.
[01:16:58] Speaker D: Manger au restaurant avec Minnie.
[01:16:59] Speaker A: Non! Elle est pas gérable. Non, mais... Ça me tente pas. Elle est trop fine, elle veut se mettre à mieux avec tout le monde, ça me tente pas.
[01:17:08] Speaker D: OK, mais c'est pas...
[01:17:09] Speaker A: Mais j'vais accepter le... C'est sûr que si tu as un berger allemand à table d'à côté qui vient licher mon assiette, là, il y en a un peu... On va se parler, là.
[01:17:17] Speaker D: C'est ça que tout le monde s'imagine, mais effectivement, moi, dans ma tête à moi, les gens qui ont des chiens pas gérables, un peu comme toi, tu l'amènerais pas?
[01:17:24] Speaker A: Non, je l'amène pas. Par contre, je suis allé d'une micro avec du monde qui ont des chiens. Et c'est là que je veux reparler, parce que je n'ai parlé brièvement il y a une couple de mois de ça. Dans Limoilou, il y a une micro. Pas loin de Stadacone. T'as un smith, mais en arrière. Comment que ça s'appelle? J'ai pas le nom. Mais les chiens sont acceptés. Non, c'est pas la... Nanosynco! J'suis allé.
C'est extraordinaire. Nanosynco, tu rentres en dedans, tu montes au deuxième, le bar est là. Il y avait des chiens, ils donnent des plats aux chiens. Tout va très, très bien. Très, très bien. J'ai aucun bug avec ça.
[01:18:03] Speaker D: Dans l'industrie de la microbrasserie, on laisse rentrer les chiens.
[01:18:05] Speaker A: Oui, j'adore ça.
[01:18:06] Speaker D: Mais il y a quand même au Québec...
[01:18:08] Speaker A: C'est drôle les chiens, j'aime ça regarder les chiens. C'est du fun.
[01:18:11] Speaker D: T'sais, moi le mien est encore trop jeune, mais de plus en plus c'est ce tenir là. T'sais, il y a full de monde chez nous, la mienne est rendue, elle va avoir 7 mois bientôt. J'ai dit à elle, s'il reste, elle va rester assise puis elle va rester là. Donc, t'sais, il y a de plus en plus de chier.
[01:18:24] Speaker A: Moi aussi, mais 3 secondes. Le gars de Vidéotron est venu hier pour ramasher mon internet là. Elle voulait être amie avec, à un moment donné je fermais la porte là. J'ai jamais remarqué ça. C'est cavalier King Charles. Ça avait été amie avec tout le monde.
[01:18:38] Speaker D: Cette semaine, la mienne était assise, puis elle sautait de même. Elle voulait venir, elle voulait venir voir le monde, elle voulait voir le monde, puis elle restait assise. Puis là, elle restait assise, elle restait assise. À un moment donné, je lui disais « OK, c'est beau, tu peux y aller ». Elle est partie, le tapis a décollé.
Donc oui, mais c'est ça. Fait qu'il y a quelqu'un qui se plaint sur ce potet de service d'amende parce qu'il a pas pu aller voter avec son chien. Jean-Consoe, tu peux pas aller voter avec un chien. Mais en même temps, c'est vrai qu'au Québec, il y a beaucoup de places qu'on accepte ailleurs qu'il y ait des chiens, pis ici, on l'accepte pas.
[01:19:07] Speaker A: Moi, j'aurais pas eu de problème avec ça. Mais je sais pas si tu as l'élection au Québec qui dit ça. J'ai pas eu de problème avec ça.
[01:19:12] Speaker D: Moi non plus, ça me dérangerait pas, là. Ça me dérangerait zéro, zéro, zéro.
[01:19:16] Speaker A: C'est sûr que si t'arrives avec cinq bergers allemands ou cinq dobermans, T'sais, toi t'es dans l'équilibre un moment donné. Toi t'es dans l'équilibre.
[01:19:24] Speaker D: Il sait se tenir, il sait se tenir.
[01:19:26] Speaker E: C'est ça. Ouais.
[01:19:34] Speaker A: Beaucoup d'intolérance ici, je trouve. Y'a de la rigidité. C'est sûr qu'on peut pas généraliser, dire tous les boomers comme ça. Je veux pas généraliser. Parce qu'il y a des boomers qui sont jeunes. Il y a des boomers de 25-30 ans, je vous dirais, qui aiment pas les enfants. Quand t'arrives avec des enfants dans un restaurant, tu te fais regarder de travers.
[01:19:52] Speaker D: Les restaurants, ça m'a jamais dérangé.
[01:19:54] Speaker A: La tolérance, ici, n'est pas de mise.
[01:19:56] Speaker D: Mais moi, je peux l'être coupable. Des fois, il y a des enfants qui m'ont tombé sur les nerfs dans la vie. Et c'est dans l'avion.
[01:20:04] Speaker E: Oui, ça ne peut pas te sauver.
[01:20:06] Speaker D: Dans l'avion, c'est... Tu sais, c'est ça, tu ne peux pas chialer, tu ne peux pas te sauver, mais je suis quand même assez franc pour dire oui, ça me tombe sur les nerfs. Tu sais, quand tu fais un vol Europe-Québec et qu'il y a un bébé.
[01:20:17] Speaker A: Qui brouille tout le long, il n'y.
[01:20:19] Speaker D: A personne qui aime ça. On ne se plaint pas parce qu'on.
[01:20:21] Speaker A: Se dit tabarnouche, il n'y a pas.
[01:20:23] Speaker D: Le choix, il faut que tu passes par là, puis ça fait partie de la vie.
[01:20:25] Speaker E: Ça, ça vient avec. Moi, j'ai été béni. Le plus long vol que j'ai fait, c'était entre San Francisco puis Sydney. J'avais d'arranger juste à côté un jeune jeune enfant, deux ans et moins. J'ai été béni, il a été A1 tout le long du voyage. Puis c'est long, long temps.
[01:20:44] Speaker A: Un adulte trouve ça très très long.
[01:20:46] Speaker D: Deux ans, j'aime ça. Les deux âges, les pires, c'est bébé. C'est lui qui pleure parce que c'est le seul moyen qu'il a pour s'exprimer. Puis le 5-6 ans, tannant.
[01:20:56] Speaker A: Pis c'est l'attitude des parents aussi, qu'ils laissent faire, hein. T'sais, comme dans les restaurants, y'en a autres, t'sais, qui... qui ont pas rapport à se rouler à terre. T'sais, je veux dire, à un moment donné, il faut... y'a une structure, là. « Non, papa, ne voudrais pas, ne fais pas ça, Nathan, non!
[01:21:13] Speaker D: » Le Christy de méthode montée série, là?
[01:21:15] Speaker A: Oui, oui, c'est ça. Exact.
[01:21:18] Speaker D: Non, mais lui, il veut se rouler à terre. Laisse-les s'exprimer.
[01:21:21] Speaker A: Oui, c'est ça, exact.
Tu sais, le kid lance des pouttes, des morceaux de pouttes au staff. « Non, tu le sais que ce n'est pas très beau, là, ce que tu fais. Ne répète pas ça. Hey, boy.
[01:21:35] Speaker E: » Maison Adam. Ils vendent d'excellents écouteurs de noise cancelling.
[01:21:39] Speaker A: Oui, ça, j'en ai une couple. Moi, j'avais ça pour les Sony. Les derniers Sony m'ont dit « t'entends rien, rien, rien ».
[01:21:44] Speaker E: Il y en a aussi avec des AirPods Pro, là. Peu importe, là. Il y en a des très bons, là.
[01:21:48] Speaker A: Tu serais sur le stage avec Slayer, t'entendrais rien. Ou presque.
[01:21:52] Speaker D: Mais ça, il faut qu'on règle un autre problème. Cependant, c'est que des avions canadiennes, il commencerait le temps qu'on mette le Bluetooth.
[01:21:59] Speaker A: T'sais, c'est... Ben, moi, j'ai ma tablette et le Bluetooth.
[01:22:03] Speaker D: Mais toi, t'as ta tablette.
[01:22:04] Speaker A: Le film qui est présenté. Genre, Léo Lowe, toi, tu le veux en Bluetooth.
[01:22:09] Speaker D: L'écran que t'as en face de toi.
[01:22:12] Speaker A: L'écran d'air canadien.
[01:22:12] Speaker D: Je comprends pas pourquoi c'est pas encore en Bluetooth.
[01:22:17] Speaker A: C'est JetBlue qui sont plus avancés en cette matière. Je sais pas si JetBlue, aux États-Unis, est en Bluetooth.
[01:22:22] Speaker D: Je peux pas te le dire.
[01:22:24] Speaker A: Il faudrait que ce soit Wi-Fi gratis, moi, partout. C'est surtout ça, là. Wi-Fi gratis partout. La tour Wi-Fi, elle est là. Elle est sur le top. Arrêtez de monnayer ça, là. On est en avion, c'est Wi-Fi. Let's go. Ça, j'amènerais ça avant.
[01:22:40] Speaker D: Même le mode avion.
Sacré mois passés en 5 secondes.
[01:22:44] Speaker A: Oui, mode avion, puis Wi-Fi pour tous, gratos.
[01:22:47] Speaker D: Haute vitesse. Je vous confirme qu'au nombre de fois où j'ai pris l'avion, j'ai la preuve que les cellulaires ne peuvent pas déranger la tour de contrôle.
[01:22:54] Speaker E: En effet.
[01:22:56] Speaker A: Ça, c'est comme les vieux logos des hôpitaux au Québec. Le cellulaire Flip. C'est ça la pancarte, hein? Le flip, y'a une barre dessus. Oui! Si tu prends ton téléphone, le pontage va fucker. Hein, Bernard Quentin, t'es en train de faire un trip-pontage. Si toi, tu textes ta blonde, ça va fucker l'ordinateur. Ça existe pas, cette affaire-là.
[01:23:14] Speaker D: Il y a vraiment encore, au Québec, une peur de cellulaire.
[01:23:18] Speaker E: Oui!
[01:23:18] Speaker D: Content qu'on en a parlé il y a 2-3 semaines.
[01:23:20] Speaker E: Oui, on est à la seule place.
[01:23:21] Speaker D: Il y a du monde qui nous a écrit pour dire, moi je me fais aviser là, je parlais, puis la fille avec l'intercom a dit s'il vous plaît veillez à raccrocher votre cellulaire.
[01:23:28] Speaker A: Il y a une bottine Motorola là.
[01:23:29] Speaker D: Voyons. Le moteur est en avant du char.
[01:23:31] Speaker A: Une barre de chocolat Nokia comme on avait dans le temps. Hein? La barre de chocolat, vous vous en souvenez de ça?
[01:23:36] Speaker D: Oui. Mais non, c'est ça.
[01:23:38] Speaker A: C'était-tu confortable à jaser ça, hein? La barre de chocolat. T'étais trop petite.
[01:23:42] Speaker D: Je te dirais, même ces téléphones-là... Moi.
[01:23:44] Speaker A: Je criais pour que ma blonde m'entende, mais dans le fond, elle m'entendait très bien.
[01:23:47] Speaker E: On jouait au serpent, tu sais.
[01:23:49] Speaker D: Ouais. C'était le fun, ce jeu-là.
[01:23:51] Speaker E: C'était le seul jeu qu'il y avait.
[01:23:53] Speaker D: Des fois, le serpent, il venait long, là.
[01:23:54] Speaker E: Oui, il venait long.
Il ne fallait pas qu'il se fasse déconcentrer.
[01:23:58] Speaker A: 7H23 Radio-X. 418-670-9098. Où que vous soyez, on vous aime. On est tous ensemble. On est là jusqu'à 10 heures et plus encore. Même si c'est grisonné dehors, on est ensemble. Et c'est une journée extraordinaire. À tous ceux dont c'est la fête, le 28 octobre, on vous en souhaite toute une. On fait la pause et on revient. Et vous êtes dans Morelag.
[01:24:22] Speaker B: T'as quelque chose à dire?
[01:24:23] Speaker A: Ça va bien aller.
[01:24:24] Speaker B: Tu veux réagir?
Radio X.
[01:24:30] Speaker E: Cette semaine, écoute-toi les temps de direct.
[01:24:32] Speaker A: Raconte-nous ton histoire de motoneige et tu pourrais gagner un forfait de 2000 $ à la pourvoirie L'Orpiste dans les Monts-Valleys. Le Salon de la motoneige, c'est le happening annuel des passionnés. Nouveautés, conseils et rencontres, un rendez-vous de 3 jours. Pour plus d'infos, visite salonmotoneigequad.ca et viens nous voir au Centre de foire de Québec du 7 au 9 novembre.
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[01:25:32] Speaker E: ♪ ♪ ♪ Pas compliqué, c'est compliqué.
[01:25:42] Speaker D: On va dire ça de même. Il y a de l'achalandage pas mal partout, la Rive-Sud, regarde. La Rive-Sud, là, je vous dirais, ce matin, ce serait le bon matin pour re-embarquer dans l'auto.
Retourne à la maison. Scoler, télétravail, c'est vraiment jamais partout. Haricats de Sud, Laurentienne-Sud, Capitale dans les deux directions et Charest direction Est. C'est très, très costaud de circulation dans la région de Québec ce matin, si vous avez 51 ou plus. Parle à votre professionnel de la santé de Prevenar 20, un vaccin contre la pneumonie à pneumocoque. Visitez prevenar20.ca.
[01:26:14] Speaker A: C'est Halloween et ça vous rappelle que.
[01:26:16] Speaker J: Gérer le bloc dont vous êtes propriétaire.
[01:26:18] Speaker A: C'Est l'horreur et ça fait peur.
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[01:26:25] Speaker J: Sans conditions ni garanties légales.
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[01:26:40] Speaker B: Lui, il faut l'acheter ton bloc! Rfortin.com! Yes!
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[01:28:24] Speaker A: Salut! C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce.
[01:28:28] Speaker J: Que mes camarades de Dormez-vous et moi.
[01:28:29] Speaker A: On a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal.
[01:28:35] Speaker J: Sûr que tu mets pas le même linge que ton chum.
[01:28:37] Speaker A: Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les.
[01:28:38] Speaker J: Mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme.
[01:28:42] Speaker A: Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
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[01:29:32] Speaker A: Chouaa!
[01:29:33] Speaker B: Chouaa!
[01:29:34] Speaker A: Chouaa!
[01:29:36] Speaker B: Chouaa! Chouaa!
[01:29:41] Speaker A: Chouaa! Chouaa! Chouaa!
[01:29:44] Speaker B: Chouaa!
[01:29:44] Speaker D: Chouaa!
[01:29:45] Speaker A: Chouaa!
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[01:29:45] Speaker B: Chouaa!
[01:29:47] Speaker D: Chouaa!
[01:29:47] Speaker A: Chouaa! Chouaa!
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[01:29:47] Speaker A: Chouaa! Chouaa!
[01:29:48] Speaker C: Chouaa!
[01:29:48] Speaker E: Chouaa!
[01:29:48] Speaker B: Chouaa!
[01:29:49] Speaker A: Chouaa! Chouaa! Chouaa!
Vous avez peut-être vu passer Chouaa! ça la semaine dernière. Skims, la marque de sous-vêtements de Kim Kardashian, a dévoilé une culotte de faux poils pubiens.
[01:30:01] Speaker B: Le faux air micro string thong.
[01:30:04] Speaker A: 12 teintes différentes pour que le tapis de poils soit de la couleur qui.
[01:30:08] Speaker D: Vous scie le plus.
[01:30:11] Speaker A: Je sais, vous qui êtes à l'écoute, auditeurs, auditrices, je ne vous vois pas, mais je vous imagine...
[01:30:23] Speaker B: Tout petit, petit, petit string, là.
[01:30:24] Speaker A: Exactement, c'est une vraie culotte avec de faux poils pubiens. String, là. Exactement, c'est une vraie culotte avec de faux poils pubiens. Je sais, imagine... Tout petit, petit string, là. Exactement, c'est une vraie vous culotte qui.
[01:30:35] Speaker E: Êtes à l'écoute, auditeurs, auditrices, je ne.
[01:30:35] Speaker A: Vois pas, mais avec de faux poils pubiens. String, là. Exactement, c'est une vraie culotte avec de faux poils pubiens. Je sais, vous qui êtes à l'écoute, auditeurs, auditrices, je ne vous vois pas, mais je vous imagine...
[01:30:41] Speaker C: Tout petit, petit, petit string, là.
[01:30:41] Speaker D: Exactement, c'est une vraie culotte avec de.
[01:30:41] Speaker A: Faux poils pubiens Très, très, très, très bon. Live. C'est pas une blague, là.
[01:30:46] Speaker B: Avec Dominique Moret.
[01:30:48] Speaker A: Les meilleurs au monde.
[01:30:50] Speaker B: Radio X.
[01:30:53] Speaker A: De retour dans Moret Live. 88 670 9098.
Avez-vous un médecin de famille? Oui, non, vous pouvez répondre sur le texto. Il y en a beaucoup qui n'ont pas de médecin de famille. Il y en a beaucoup qui attendent pour une consultation. Il y en a beaucoup qui choisissent le privé ou qui ont choisi le privé. C'est un système C'est un système qui est disloqué, je pense qu'on peut le décrire comme ça, puis on va essayer d'y comprendre un peu plus avec cette loi-là, qui est une loi qui est excessivement complexe. Hier, j'avais le ministre dans ma TV avec Patrice Roy, puis Patrice Roy avait de la misère à comprendre, puis il y a une ministre qui y expliquait. Donc c'est une loi qui est très complexe, mais on comprend l'objectif. Puis on va tenter de comprendre ça davantage avec Dr Yves Bolduc, qu'on a connu dans une autre carrière comme ancien ministre de la Santé, mais qui est médecin aujourd'hui. Vous vous plaisez encore être médecin de famille? Comment ça va?
[01:31:53] Speaker I: Bonjour M. Morin.
[01:31:53] Speaker A: Bienvenue docteur.
[01:31:54] Speaker I: Ça me fait plaisir. Je suis médecin de famille, je pratique à l'assisté médical à temps plein.
[01:31:59] Speaker A: OK.
[01:31:59] Speaker I: Et puis j'ai une pratique complète, c'est-à-dire je suis des patients, je fais du sans rendez-vous. Et puis, ma pratique est vraiment de zéro à 100 ans. Et puis, une pratique très agréable en groupe. Le groupe de médecine de famille, d'ailleurs, va être prôné beaucoup, je pense, dans les prochains mois et les prochaines années. Parce que je pense que les grosses cliniques vont prendre beaucoup de place, mais les petites cliniques, ça va être difficile de survivre à la réforme actuelle.
[01:32:21] Speaker A: Avez-vous besoin d'une prime pour travailler plus? Vous êtes correct?
[01:32:25] Speaker I: Non, on n'a pas besoin de prime, parce que la prime, ça fait partie de la rémunération globale. Et puis quand on travaille, il y avait un forfait qui venait quand on faisait certaines choses, parce qu'il y a des choses qu'on voulait favoriser. Par exemple, travailler le soir, les fins de semaine. Certaines pratiques, par exemple, les personnes âgées, eux autres, 80 ans et plus, avaient un forfait de 15 % de plus parce qu'il y avait des personnes plus longues à prendre en charge, puis il faut s'en occuper plus. Donc, il y avait un système qui était au Québec, sur le principe, les gens disaient des primes, mais dans le fond, c'était de payer ce qu'on voulait avoir. Si vous étiez très malade, bien, vous aviez un forfait pour ces gens-là très malades. Puis si vous n'étiez pas très malade, bien, vous ne les aviez pas. Ça fait que les gens, avec les années, sur 20 ans, on avait un équilibre dans la rémunération globale. Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que c'est une rémunération globale parce qu'à la fin, Ce que vous voulez savoir, c'est combien vous allez gagner par année et vous allez travailler combien d'heures pour le faire. On change le mode de rémunération qui va être différent. Dans les calculs que les gens font actuellement, la rémunération pour les spécialistes, certaines spécialités, s'est baissée de 40 %, parce qu'on change juste plus. Juste pour vous dire, la façon de changer, c'est qu'une première consultation... Oui, mais.
[01:33:29] Speaker A: Là, vous vous emballez, là.
[01:33:30] Speaker I: Oui.
[01:33:31] Speaker A: Puis je sais que vous avez de la parlotte, mais je veux juste qu'on...
[01:33:33] Speaker I: Oui, oui, puis je peux vous parler pendant une heure.
[01:33:35] Speaker A: Je le sais. Première question, parce que l'entrevue n'a pas commencé encore.
Est-ce que Dubé fait le bon diagnostic? Et est-ce que c'est la bonne ordonnance? Est-ce que c'est le bon médicament pour ce diagnostic-là?
[01:33:50] Speaker I: Il y a des bons diagnostics... Non.
[01:33:52] Speaker A: Mais le diagnostic qu'il fait du système de santé. Est-il le bon? Et est-ce que cette loi-là, c'est le bon médicament?
[01:33:59] Speaker I: Le système de santé a des difficultés.
mais le médicament va probablement plus, quand tu sois plus malade, peut-être pas faire mourir, mais rendre plus malade le patient.
[01:34:09] Speaker A: C'est une médecine de cheval pour guérir.
[01:34:10] Speaker I: Un... Ben c'est parce qu'il y avait moyen de faire différemment, donc entre autres la prise en charge, ça les médecins et le gouvernement s'entendaient qu'il fallait qu'on ait une prise en charge globale. Quand il dit que, c'est son discours qui est très de la rhétorique, il dit j'ai 200 000 vulnérables, Dans son nouveau système, il y a beaucoup de patients qui ne sont même plus considérés vulnérables. Donc, c'est toute une question de codification. Il y a eu beaucoup de messages que c'était juste pour rentrer dans la tête de la population. Les médecins ne travaillent pas. Les chiffres du HEC montrent qu'il y a 20 % des gens qui ont une pratique plus à temps partiel, 20 % qui travaillent énormément, puis 60 % qui travaillent normalement.
[01:34:42] Speaker A: Donc, ça s'équilibre au final.
[01:34:44] Speaker I: Donc, à la fin, là, si vous vous posez la question... Donc, c'est une.
[01:34:46] Speaker A: Mauvaise perception qu'on vient de suer de cette étude-là dont on a déjà parlé ici.
[01:34:50] Speaker I: Oui, puis je dois vous dire, là, est-ce que vous connaissez un endroit dans la société où tout le monde serait obligé de travailler cinq jours par semaine alors qu'on a des femmes qui ont deux enfants, il y a des gens qui sont malades? C'est un principe de base. Il y a 20 % qui travaillent moins, 20 % qui travaillent beaucoup plus.
[01:35:02] Speaker A: Donc est-ce un faux problème?
[01:35:04] Speaker I: Oui, c'est un faux problème, la façon dont tu l'as apporté.
[01:35:06] Speaker A: Pourquoi il en parle à tout bout de champ alors que c'est un faux problème?
[01:35:08] Speaker I: Parce que lui, sa façon de travailler, c'est qu'il répète trois fois le même message. Les médecins n'ont pas d'accès aux médecins. alors qu'on a créé un système qui était le guichet d'accès de première ligne, qui permettait aux gens qui n'avaient pas de médecine de famille. Moi, je pense que, là, cinq ans, le plus gros problème qu'il y avait au Québec, quelqu'un qui n'avait pas de médecine de famille, qui n'avait aucun accès, avec le guichet, c'était pas parfait. Mais là, en passant, le nouveau système, c'est un gros guichet qui va être mis en place.
[01:35:33] Speaker A: Il y a énormément de gens qui nous écrivent sur les messageries qui n'ont pas de médecin.
[01:35:37] Speaker I: Juste pour répondre à ces gens-là...
[01:35:39] Speaker A: Il y a des centaines de milliers de Québécois qui n'ont pas de médecin. On fait quoi?
[01:35:43] Speaker I: C'est 1,6 million. En passant, ces gens-là, c'est pas parce qu'ils n'avaient pas de médecin qu'ils n'avaient pas accès. Il y a le guichet d'accès première ligne. Tout le monde au Québec, même ceux qui n'étaient pas inscrits à des cliniques, avait accès. Moi, personnellement, j'en faisais et puis je voyais des patients de toutes les cliniques et ces gens-là avaient un accès dans un délai souvent raisonnable et les gens, la plupart, étaient satisfaits, sauf que c'était d'avoir accès à la ligne qui était difficile. Dans le niveau système, de toute façon, ce que je tiens à dire aux gens qui n'ont pas de médecin de famille, vous n'en aurez plus. Ça, c'est réglé. Dans la loi, ce qui est dit, c'est qu'on ne peut plus inscrire des patients à un médecin.
Et puis, toutes les autres vont faire partie non pas avec un médecin, mais avec un milieu de pratique. Donc, ils vont être inspirés. Non, c'est pas compliqué. Ça, on va clarifier parce que c'est le plus gros changement pour la population.
[01:36:29] Speaker A: Si vous avez un médecin de famille... Attendez, là. Vous, là, vous avez été ministre. Vous avez changé quoi?
[01:36:38] Speaker I: Moi, j'ai changé.
[01:36:40] Speaker A: La méthode Toyota, ça n'a pas poigné.
[01:36:41] Speaker I: Oui, par contre, tous les établissements...
[01:36:43] Speaker A: On est encore là-dedans.
[01:36:44] Speaker I: Non, la méthode Toyota, c'est un moyen d'améliorer la performance. En passant, tous les hôpitaux le font. Il n'y a pas un hôpital qui n'est pas construit actuellement sous le principe. Ceux qui vont au Nouveau-Centre du cancer de Québec, c'est tout basé sur la méthode Toyota et les gens sont extrêmement satisfaits. Il ne faut pas mélanger le moyen avec l'objectif.
[01:36:59] Speaker A: Mais ce que je veux soulever, c'est que vous avez été là, puis c'est très difficile à changer d'hésitant.
[01:37:03] Speaker I: Non, il y a eu moyen de la meilleure. En passant, j'ai créé la profession d'infirmière praticienne spécialisée.
[01:37:09] Speaker A: Oui, comment c'est dedans que ça avance? Assez long à former, les infirmières?
[01:37:14] Speaker I: Assez long à former, puis moi, je vais dire, à l'époque, on allait monter en... on est rendu là aujourd'hui. On a revu également la façon de recruter des médecins. Moi, j'ai augmenté beaucoup le nombre de groupes de médecine de famille au Québec. Puis d'ailleurs, la solution, c'est d'avoir des groupes de médecine de famille avec beaucoup de médecins, de façon à être capable d'offrir plus de services.
[01:37:34] Speaker A: Vous faites quoi, là, en octobre 2025? C'est quoi, votre loi? Il y en a-tu une, loi, première des choses? Puis s'il y en a une, ça dit quoi, la loi? La loi Bolduc, elle dit quoi?
[01:37:44] Speaker I: Moi, ce que je pense, c'est d'abord augmenter le nombre de médecins. On s'entend tous. Deuxièmement...
[01:37:50] Speaker A: Il en manque combien?
[01:37:51] Speaker I: Il manque 2000 médecins de famille au Québec.
[01:37:53] Speaker A: Il manque 2000 médecins qui ne sont pas formés?
[01:37:56] Speaker I: Sont pas formés puis...
[01:37:57] Speaker A: Alors, on est en train de décoréger les jeunes qui sont à Laval?
[01:37:59] Speaker I: Non, absolument. D'ailleurs, dans l'enjeu qu'on va avoir actuellement, ceux qui vont se former, puis on va le savoir bientôt, c'est que les médecins, maintenant, appliquent où ils vont aller faire leurs deux dernières années. Et puis on va voir, au Québec, si on est capable de remplir nos postes. Avant ça, le seul endroit où ça se remplissait pas, c'était au Québec. Puis on verra si, dans quelques mois, les médecins reprendent des cibles pour plusieurs d'entre eux d'aller pratiquer, faire finir leur formation ailleurs. Et où est-ce que tu finis ta formation, souvent, tu restes là. Donc ça va être un gros enjeu.
[01:38:26] Speaker A: Donc il en manque 2000.
[01:38:27] Speaker I: Il en manque 2000.
[01:38:27] Speaker A: OK.
Puis pourquoi? Parce que les cohortes n'étaient pas assez ouvertes. Les bassins n'étaient pas assez ouverts des universités. C'était trop rigide. C'était un collège de médecins qui voulait restreindre le nombre de médecins?
[01:38:38] Speaker I: Non, le collège de médecins n'a jamais voulu le restreindre. Je ne pense pas que les ministres non plus. C'est qu'il y a toujours des calculs qui sont faits sur les besoins de la population. Moi, quand j'étais ministre, je peux vous dire qu'aujourd'hui, on devrait être en surplus. Mais il y a eu une période, je ne sais pas exactement, où il y a eu des coupures dans le nombre de postes qui ont été octroyés.
[01:38:53] Speaker A: On n'aurait pas dû faire ça.
[01:38:54] Speaker I: On n'aurait jamais dû faire ça. La France l'a fait et le regrette aujourd'hui. Je pense qu'au Québec, ça n'aurait C'est.
[01:38:58] Speaker A: Ça le coeur du problème? Il manque de médecins, c'est ça?
[01:39:02] Speaker I: Le premier problème pour l'accès, c'est qu'il manque des médecins, il manque des infirmières, puis il manque à peu près tous les autres professionnels, y compris les psychologues. Donc ça, c'est le premier problème. Puis là, ceux qui sont en place, il faut qu'ils compensent parce que les besoins de population sont toujours présents et ils sont en augmentation. On a augmenté le nombre de personnes. C'est plus qu'un million de personnes qui a augmenté depuis les dernières années au Québec.
[01:39:22] Speaker A: Et les personnes ne sont plus âgées, ne veulent pas le vieillissement?
[01:39:25] Speaker I: À chaque année, le vieillissement de la population, ça ajoute 1 % des ressources qu'il faudrait remettre de plus pour être capable de répondre aux besoins. Donc, le premier diagnostic à faire, manque de ressources. Maintenant, une fois qu'on a dit ça, il n'y aura pas 2000 médecins de plus demain matin. Il faut réorganiser le réseau. La façon de réorganiser le réseau, c'est qu'il faut qu'il donne un médecin de famille. Moi, ça aurait été ça ma solution à chaque patient. Et la façon de le faire, c'est de s'entendre avec les fédérations qui en passant étaient d'accord avec ça. C'est dans les modalités que dans les négociations ça a pas fait parce que le gouvernement, lui, a décidé de procéder autrement. Parce que son modèle, c'est pas d'avoir un médecin de famille. C'est d'avoir un patient qui est capable de téléphoner à quelque part pour avoir accès à un professionnel ou à un médecin de famille.
[01:40:07] Speaker A: Il faut changer la phrase.
[01:40:09] Speaker I: Mais c'est important parce que le gros.
[01:40:11] Speaker A: Gros changement... Ça c'est Dubé qui a changé ça il y a un an. On vous promet dorénavant que vous aurez accès à un spécialiste de la santé. C'est-à-dire un pharmacien d'uniprix. C'est pas un médecin ça là.
[01:40:21] Speaker I: Non, non, puis d'ailleurs, l'autre affaire...
[01:40:23] Speaker A: On l'aime le pharmacien, mais il a changé le phrase les politiciens.
[01:40:26] Speaker I: La base, c'est ça que professionnel est important, il joue un rôle important.
[01:40:29] Speaker A: Oui, oui. Ils ont juste changé la phrase.
[01:40:31] Speaker I: La différence, c'est que lui, il dit, à l'avenir, le pharmacien va régler beaucoup de vos problèmes. La réalité, c'est que quand vous allez chez le pharmacien, il va régler les problèmes qui le concernent. Maintenant, son discours actuellement, le médecin, puis je l'entendais, tout le monde en parle, après moi, les deux bras m'ont tombé, il dit, regardez, à l'avenir, autant il disait qu'il faut que les docteurs travaillent cinq jours par semaine, là, il disait, non, non, les docteurs peuvent travailler trois jours par semaine.
[01:40:52] Speaker A: Là, il dit le contraire de ce qui avance.
[01:40:55] Speaker I: Mais pour ça, il faut juste qu'il transfère tout son travail aux autres professionnels. Savez-vous ce qui se passe dans notre clinique? On est tous en pénurie de personnel. Ils n'ont pas assez d'infirmières au Québec. Ça, c'est le problème.
[01:41:05] Speaker A: Il manque combien d'infirmières au Québec?
[01:41:07] Speaker I: Ça, je ne peux pas vous le dire parce que c'est moins mon domaine, mais il doit manquer quelques milliers. Pas mal plusieurs milliers.
[01:41:13] Speaker A: On a tout fait pour aller en engager en Afrique et tout.
[01:41:16] Speaker I: Vous savez, les missions d'embauche et tout. Mais ça, ça a apporté certaines bonnes personnes, mais ça a des limites, parce que les formations sont différentes, puis une fois qu'elles sont rendues aussi, il faut les reformer pour le système de santé du Québec. Mais juste, j'aimerais ça finir le point, parce que pour le patient, là, c'est quoi la différence aujourd'hui, puis qu'il va avoir dans le futur? C'est que la notion du médecin de famille va disparaître à long terme. Puis là, pratique aux pratiques. Il faut vraiment dire, ce matin, ceux qui nous écoutent, Si vous n'avez pas de médecin de famille, vous n'en aurez pas. Ça, c'est clair. La loi dit...
[01:41:47] Speaker A: On est des bonnes nouvelles le matin.
[01:41:48] Speaker I: Non, mais en passant...
[01:41:50] Speaker A: Merci, docteur.
[01:41:51] Speaker I: Non, mais les gens discutent de grands principes théoriques. Ça veut dire quoi, sur le terrain? La loi est très claire. Vous ne pouvez plus inscrire un patient au nom d'un médecin. Fait que si demain matin, votre médecin prend sa retraite. Si moi, demain matin, Yves Bolduc, je m'en vais... Et un jour, ça va arriver? Un jour, ça va arriver, c'est certain.
[01:42:10] Speaker A: Vous avez combien de patients?
[01:42:12] Speaker I: C'est un grand chiffre, un gros chiffre. Moi, j'ai 5 000 patients.
[01:42:14] Speaker A: Vous allez les appeler, puis vous allez dire fait ou date? Non.
[01:42:17] Speaker I: Moi, premièrement, je pense que je voudrais rester médecin de famille de mes patients. Ça, je tiens à le dire, là, pour ne pas créer... Non, non, je comprends. Mais la façon dont ça va faire...
[01:42:25] Speaker D: Ils font dire merci aux patients.
[01:42:26] Speaker I: Non, mais si demain matin, moi, je prends ma retraite, mes 5 000 patients vont tomber dans ce système de plus de médecin de famille, mais ils vont demeurer dans la clinique. Donc, les gens vont procéder de la façon que ça va procéder à l'avenir. Puis ça, il faut que les gens comprennent parce que ça va être ça. C'est que si vous avez besoin d'avoir un rendez-vous avec un médecin, vous allez devoir commencer par aller sur Internet, puis aller sur le logiciel qui s'appelle Navig, qui actuellement fonctionne. Puis ça, c'est une obligation que les établissements, les CGML vont avoir à faire.
[01:42:55] Speaker A: Navig.
[01:42:55] Speaker I: Navig. N-A-V-I-G. Puis ça, présentement, en passant, tous ceux qui sont allés sur le GAAP, vous le remplissez. Plutôt que de parler à une infirmière, ils ont changé ça en quelques mois. Vous allez sur Navig, puis là, vous allez donner toutes vos infos C'est l'intelligence artificielle. En passant, c'est peut-être artificiel, mais ce n'est pas très intelligent. Je peux vous le dire parce que dans notre bureau, ça ne donne pas beaucoup d'informations. Comme triage, c'est bien ordinaire. Je tiens à le dire parce que tous les médecins vont vous le confirmer. Tu regardes ça, tu vois les cinq premières lignes, tu te dis où est-ce qu'on s'en va avec ça. Le patient va remplir ça.
qu'il va remplir, on va lui dire, est-ce que tu peux voir un médecin de famille ou pas? C'est la réponse. Il dit non, non, tu devrais aller voir ton pharmacien.
[01:43:31] Speaker A: Non, il dit j'ai une infection urinaire, par exemple.
[01:43:33] Speaker I: C'est ça.
[01:43:34] Speaker A: J'ai 24 ans, infection urinaire.
[01:43:36] Speaker I: C'est ça. Ça, ça veut dire que... Là, le robot va dire... Va aller voir ton pharmacien.
[01:43:41] Speaker A: C'est rendu là, le système de santé?
[01:43:43] Speaker I: Ça va être ça.
[01:43:45] Speaker A: Avec les bidoux qu'on donne aux doucements, on paie pour un cèdre de même?
[01:43:49] Speaker I: Premièrement, laissez-moi finir la procédure.
[01:43:53] Speaker A: Non, mais c'est amusant.
[01:43:54] Speaker I: Non, c'est pas amusant. C'est comme ça que le patient qui téléphone un matin au GAP, Il faut qu'ils se disent, à l'avenir, ça va toujours être comme ça. Mais à long terme, c'est tous les patients du Québec, là. Vous allez pas avoir un médecin de famille aujourd'hui. La journée que votre médecin de famille va s'en aller, à ce moment-là, ça veut tout simplement dire que vous vous retombez dans le système de pas de médecin de famille. En passant, juste pour un aparté qui est très important, dans la loi... Vous.
[01:44:17] Speaker A: Apprenez ça au NAVIG, là?
[01:44:18] Speaker I: Non, c'est ça. Puis je vais vous apprendre beaucoup de choses ce matin.
[01:44:20] Speaker A: Juste pour vous dire... Est-ce que c'est vous le ménis?
[01:44:22] Speaker I: Je vous explique la loi parce que je l'ai lue au complet. Le deuxième élément, juste un aparté, les médecins vont devoir prendre des décisions. La première décision, comme dans notre clinique, c'est que la loi permet aux médecins de dire qu'à l'avenir, plutôt qu'ils soient médecins de famille, ils peuvent libérer toute sa clientèle et faire partie du milieu de soins dans lequel je pratique. C'est-à-dire Yves Bolduc demain matin pourrait dire, je prends mes 5000 patients, je leur envoie une lettre, puis je dis à l'avenir, je ne suis plus votre médecin de famille.
[01:44:54] Speaker A: Navigue.ai.
[01:44:56] Speaker I: C'est ça, c'est ça.
[01:44:57] Speaker A: C'est ça que vous allez leur dire?
[01:44:59] Speaker I: Non, ce n'est pas ça que je vais leur dire.
[01:45:00] Speaker A: Présumément.
[01:45:01] Speaker I: Non, ce que je vais leur dire, je vais dire à l'avenir, vous êtes dans un milieu de... vous restez dans notre milieu de pratique, mais je ne suis plus votre médecin de famille.
[01:45:09] Speaker A: Je comprends.
[01:45:09] Speaker I: Et puis quand vous allez vouloir avoir un rendez-vous, vous allez aller sur Navigue, Vous allez prendre votre rendez-vous, puis juste pour terminer, navigue. Navigue, après ça, il va pas voir le médecin, là. Là, il tombe, il va parler avec la secrétaire de la clinique, qui, elle, va lui trouver un professionnel dans la clinique pour s'occuper de son point, de son affaire. Là, le ministre qui dit... Ou pas.
[01:45:30] Speaker A: Nécessairement dans la clinique. Je suis en train de le tester au moment où vous me parlez. Le robot me dit, allez voir un pharmacien dans les 24 heures, un omni en 24 à 72 heures. Ça se peut que ce soit le docteur Gérard et non le docteur Yves.
[01:45:45] Speaker I: Absolument, mais théoriquement, ils devraient essayer de nous envoyer à la clinique. Mais souvent, lorsqu'on va dans le guichet d'accès, à peu près 30 % des patients du guichet d'accès sont inscrits dans d'autres cliniques. Donc, le patient se promène d'un bord puis de l'autre. Et puis là, il n'y a pas de prise en charge. Fait que là, le patient, là il va parler avec la secrétaire, puis là la secrétaire va dire, il faut trouver un professionnel. S'il n'y a pas de médecin disponible, un autre professionnel. Là, le ministre Dubé, ce qu'il dit, il n'y a pas de problème, il prendra l'infirmière, il prendra un psychologue. Un psychologue, ça fait combien de temps avoir un psychologue au Québec?
[01:46:15] Speaker A: Quelques années, j'imagine.
[01:46:17] Speaker I: Au public, je parle. Moi, j'ai des patients actuellement, quand ils m'arrivent et que j'ai besoin d'un psychologue, d'abord, il n'y en a plus qui ne travaillent pas. Ils travaillent peut-être à temps plein. Ils sont tous pris par toutes sortes de systèmes dans lesquels ils sont. Puis leurs patients, eux autres, ce que vous voulez, il faut qu'ils souvent leur parlent aux deux semaines ou aux trois semaines ou aux quatre semaines. Avoir un psychologue actuellement, vous avez une passe à quelque part, là, vous n'en aurez jamais. OK? Pourquoi? Parce que ça prend trois ans.
[01:46:37] Speaker A: Une autre bonne nouvelle.
[01:46:38] Speaker I: Non, je ne vous dis pas des bonnes nouvelles.
[01:46:40] Speaker A: Non, mais moi, j'aime ça d'un docteur.
[01:46:41] Speaker I: Qui me dit pratico-pratique, là, c'est ça.
[01:46:43] Speaker A: J'ai un cancer. Vous comprenez, là, on aime la dureté du diagnostic. Vous nous donnez le diagnostic ce matin.
[01:46:50] Speaker I: Merci. Puis là, savez-vous qu'est-ce que nos infirmières se sont fait dire? Elles se sont fait dire, vous savez, à l'avenir, il va falloir que vous voyez plus de patients et que vous soyez moins de temps avec les patients. Mais là, mes infirmières, elles traitent des diabetes, elles traitent des troubles neurocognitifs. Ça prend du temps. Là, elles se sont fait dire que pour répondre aux besoins du système, qu'il faudrait qu'elles coupent dans le temps de passer avec les patients. Puis nos infirmières sont déjà très surchargés. Honnêtement, ils sont très surchargés. Fait que là, on va se retrouver avec un système dans lequel, à la fin, on n'aura pas le choix. Juste pour vous donner un exemple, le ministre, quand il a mis en place le guichet d'accès première ligne, il a dit, vous savez, il y a 30 à 40 % des consultations qui vont aller ailleurs que chez le médecin. En pratique, présentement, elles viennent toutes dans nos bureaux. Pourquoi? Parce que les autres n'ont pas d'accès. Et quand tu vas chez le pharmacien, si votre infection urinaire, vous allez là, puis il ne peut pas vous donner... Si vous n'avez pas eu une prescription au dossier auparavant, il ne peut pas vous dépanner, puis au moment, il ne peut pas vous dépanner en répétition. Ça, l'infection urinaire, c'est de la pratique facile. Mais toutes les autres pathologies, si vous avez de l'essoufflement, si vous avez ci, vous avez ça, à la fin, le pharmacien, il peut pas... Vous avez un problème au pied. Vous déjà vu un pharmacien faire enlever les bas à un patient? Non, jamais. Pourquoi? Parce que pour traiter un patient, il faut le questionner, mais il faut l'examiner aussi, puis il faut faire des tests. On a des limites dans ce système. Donc, pour le patient de demain, quand la loi est passée, puis en passant, on la changera pas, je veux pas dire qu'il faut la changer, parce qu'elle est passée, donc elle va être comme ça, Après les fêtes, il y a des médecins, puis je peux vous dire que déjà, nous autres, on voit qu'il y a des médecins dans les cliniques qui vont tout simplement dire, regardez, le système est rendu compliqué, pourquoi est-ce que je m'embêterais avoir une clientèle que je suis obligé de satisfaire alors que je peux les mettre dans le grand système, puis je les verrai, comme tout le monde. Je passerai dans le système, puis quand un patient arrive dans mon bureau...
[01:48:30] Speaker A: On les envoie en orbite dans l'univers de Navig, Absolument. Ou il y a un robot qui va venir faire un triage. C'est un robot triage.
[01:48:41] Speaker I: En plein sort. L'ennemi, je ne mettrais pas trop d'importance là-dessus.
[01:48:46] Speaker A: C'est vous qui me l'avez dit.
[01:48:47] Speaker I: Oui, mais je vous l'ai dit parce que c'est la première étape. Puis la deuxième étape, c'est la secrétaire. Donc c'est notre secrétaire qui va déterminer à la fin, tu as-tu besoin de voir le médecin ou pas? Bien là, ça va être compliqué un petit peu. Puis s'il n'y a pas de médecin disponible, on va à l'urgence parce qu'on n'aura pas le choix.
L'autre étape qu'il faut voir, c'est la déresponsabilisation du professionnel. Quand vous faites du sans rendez-vous, vous n'êtes pas pris en charge, vous ne prenez pas en charge le patient, vous réglez le problème aigu du patient. Mais si vous avez une maladie le moindrement importante, Le docteur, il va vous dire, écoutez, moi, vous êtes pas mon patient. Vous allez retéléphoner dans la vieille pour avoir un suivi. Ou je peux faire un suivi quelques fois, puis après ça, vous retournez dans la vieille. Ça, c'est ça en passant. La plupart des gens qui nous écoutent, ils disent, bien, moi, je suis en bonne santé. J'ai jamais eu besoin de problèmes de santé. La journée où vous allez avoir votre cancer, votre diabète ou votre mère va avoir un trouble neurocognitif, là, vous allez voir que de voir le même docteur tout le temps, là, ça a une importance.
[01:49:38] Speaker A: Docteur Bolduc, qu'est-ce que vous pensez du privé en santé?
[01:49:42] Speaker I: Le privé, il est complémentaire.
[01:49:44] Speaker A: Est-ce que le ministre fait bien de diaboliser ça?
[01:49:47] Speaker I: Il va le diaboliser parce qu'il veut ramener des gens dans le réseau.
[01:49:51] Speaker A: Est-ce un faux problème?
[01:49:52] Speaker I: À la limite, c'est un faux problème. Le problème, il devient plus grand parce qu'avec ce qu'il est en train de mettre en place, il y a une très grande insatisfaction des professionnels. On va se le dire. La colère. Moi, ça fait 40 ans et plus que je pratique. Je ne dirai pas le nombre exact. 40 ans et plus que je pratique.
La colère, je ne l'ai jamais connue. Moi, comme ministre, je n'ai jamais vu la colère des médecins comme on la voit actuellement.
[01:50:13] Speaker A: Elle est justifiée?
[01:50:14] Speaker I: Elle est très justifiée parce que ce qu'ils sont en train de changer, c'est un système dans lequel on déresponsabilise... Moi, je dois vous avouer, je vais pas selon la rémunération, j'y vais selon la responsabilité. Le petit système dans lequel on s'en va, puis ça, ça a été très bien décrit par le Collège des médecins, c'est tout simplement un petit système fast-food. Mais là, c'est pas du McDonald's que vous allez avoir, c'est du Popeye et compagnie qu'on a aux États-Unis.
[01:50:38] Speaker A: Goofy, votre ancien resto?
[01:50:39] Speaker I: Ben ça, ça serait bon parce qu'il y avait une grande, très grande, grande satisfaction. Si c'était des Goofy, ça vous dirait que je serais un... Non, non, je vous... Non, mais je vais juste compléter, vous me direz qu'on était un restaurant de famille avec des gens qui venaient manger régulièrement, puis les gens étaient satisfaits. Avec l'aide d'oeil, je fais avec l'aide d'oeil.
[01:50:54] Speaker A: J'attendais que la porte s'ouvre pour parler de Goofy.
[01:50:57] Speaker I: Puis moi, je vais vous rendre honneur à mon père et à ma mère qui s'en sont occupés pendant 40 ans. C'était des restaurateurs de famille parce que c'est les familles qui allaient manger.
[01:51:04] Speaker A: Aucun problème. Donc, des cliniques vont fermer à cause de la loi, il va arriver quoi?
[01:51:09] Speaker I: D'abord, avant de fermer des cliniques, on a plusieurs médecins qui vont prendre leur retraite parce que le système actuellement est vraiment difficile à gérer pour eux autres.
[01:51:18] Speaker A: Ben, Odubé a dit qu'il va punir les retraites anticipées.
[01:51:21] Speaker I: Non, ce qui n'est pas ça qu'il a dit. Il a dit que si vous êtes trois médecins et plus, c'est en passant, là, c'est... Je pense que la gestapo, c'est à peu près ça qu'on avait dans la loi, là. Guillaume Arrêt a très bien dit que je pense qu'il y a comme 18-19 pages. C'est juste, juste des affaires de punition, là. Juste pour vous dire... Non, mais juste.
[01:51:38] Speaker A: Pour terminer votre phrase. Si vous êtes trois et vous vous réunissez...
[01:51:42] Speaker I: Puis on dit qu'on va prendre notre retraite ensemble, mais là... Donc, est-ce à.
[01:51:46] Speaker A: Dire que c'est un complotiste?
[01:51:48] Speaker I: Selon lui, c'est des complots.
[01:51:50] Speaker A: Donc, présentement... Donc, il voit des complots partout?
[01:51:52] Speaker I: Il voit des complots, puis j'ai même eu un avis en disant, faites attention à ce que vous dites à la radio, parce que des fois, il pourrait aussi bien dire qu'il se fait contre le gouvernement. À un moment donné, il faut... Vous.
[01:52:01] Speaker A: Êtes conscient qu'il vous écoute?
[01:52:02] Speaker I: Ben oui, puis à un moment donné, ça devient ridicule. À un moment donné, c'est ridicule.
[01:52:05] Speaker A: Il va même punir, si on l'a entendu en chambre, il va punir quelqu'un, même un animateur de radio, un chroniqueur, il pourrait dire, go, allez-y en Alberta, en Ontario, il y a de la job.
[01:52:19] Speaker I: Mais ça, vous savez que c'est écrit, ça, cette affaire-là? Non, je le savais pas, mais c'est grave, ce que vous dites là. Écoutez, ils sont dans une bulle, là. Ils sont dans une autre planète. Moi, je vais vous le dire, j'ai été ministre, là. Je les regarde aller, là, puis ils sont comme sur la planète...
[01:52:33] Speaker A: Planète Poutine?
[01:52:33] Speaker I: Le planète Poutine, bien moi, je répéterais pas le commentaire, mais j'ai dit un petit peu du Poutine et du Trump. Tu sais, c'est un moment là, quand vous regardez ça, il y a le discours de la rhétorique, toujours les 3-4 mêmes messages, répétés, répétés, de façon qu'enfin les gens disent, bien c'est vrai que les docteurs sont paresseux.
[01:52:48] Speaker A: C'est un gars qui a donné des hot dogs pour des piqûres.
[01:52:51] Speaker I: Je pense que le changement qu'il va faire, ça va être un changement fluctuant.
[01:52:54] Speaker A: C'est le même gars là, je tiens juste à réitérer ça.
[01:52:56] Speaker I: Mais c'est ça l'affaire, c'est que c'est l'approche, je ne suis pas certain qu'il connaisse ses systèmes de santé si bien que ça pour remarquer là-dedans, parce qu'il va avoir des conséquences, mais juste pour terminer sur notre idée de temps. Mais juste pour vous dire que présentement, la façon dont la loi est faite, c'est que si vous êtes toi et plus et que vous vous dites ensemble qu'on va prendre notre retraite, théoriquement vous allez avoir une punition et il y a même de la délation. Et plus que ça, il y a de la délation. Il y a quelqu'un qui est nommé que s'il entend parler de quelque chose. Là vous allez me dire, on est-tu en Russie? La réponse c'est non, mais c'est au Québec. Si vous entendez des gens qui ne font pas ça comme il faut, Vous avez l'obligation d'y dénoncer.
[01:53:33] Speaker A: Ben voyons donc! C'est écrit dans la loi.
[01:53:36] Speaker I: L'obligation, il faut que vous le dénonciez.
[01:53:39] Speaker A: Hé, ça va loin. Ça va se ramasser devant le tribunal, ça, cette affaire-là.
[01:53:43] Speaker I: Je pense que les avocats ont dû leur dire, regardez, il y a une faiblesse-là. Ils sont allés de l'avant.
[01:53:48] Speaker A: Il y a une faiblesse-là, j'espère.
[01:53:50] Speaker I: Mais je pense que tout le monde est d'accord qu'au niveau constitutionnel, juste pour vous dire, au Canada, théoriquement, tu serais pas capable d'aller travailler n'importe où. Ben non. Ils disent, t'as plus le droit d'aller travailler à l'extérieur, sinon on va te donner une pénalité. Bon, pour vous dire, la retraite, on peut prendre la retraite, mais il faut pas comploter avec les autres.
[01:54:05] Speaker A: Donc, si tu... Comploter avec les autres?
[01:54:06] Speaker I: C'est-tu niaiseux, ça? Non, non, mais je suis d'accord.
[01:54:08] Speaker A: T'sais, t'es au gym, tu jases avec un autre médecin. Ah, moi, je pars l'an prochain. Ah, moi, je vais partir dans deux ans. Ben, complot!
[01:54:14] Speaker I: Si vous êtes trois qui jasez ensemble... Ah, c'est trois? C'est trois. Fait que l'important, là, c'est de comprendre. Ça devient ridicule. De toute façon, les médecins, quand ils décident d'arrêter...
[01:54:24] Speaker A: C'est communiste, ça?
[01:54:25] Speaker I: Quand les médecins décident d'arrêter, ils annoncent.
[01:54:28] Speaker A: Ça n'a pas d'allure.
[01:54:30] Speaker I: On va juste terminer le point.
[01:54:33] Speaker A: J'en reviens pas à ce que vous me dites à matin.
[01:54:34] Speaker I: M. Morin, juste pour bien informer la population, la conséquence, c'est quoi pour la population? D'abord, on avait plusieurs médecins. C'est 20-25 % des médecins qui ont plus de 60 ans. Ces médecins-là, ils donnaient un coup de main au réseau, travaillaient à temps partiel. Et puis souvent, ils pouvaient nous dépanner, comme exemple, au sans rendez-vous. Il y avait des clientèles qui suivaient. Le message qu'on a, c'est qu'il y en a plusieurs qui vont tout simplement repartir. Là, vous allez me dire, oui, mais ils travaillent trois jours par semaine. Mais les trois jours par semaine, c'est des médecins de moins qui ne seront pas remplacés demain matin. En même temps, ce qu'on entend parler, c'est qu'il y a beaucoup de médecins qui sortent sur le marché puis en passant, nos médecins parlent anglais, puis ils sont capables d'aller travailler n'importe où. C'est des gens de talent, comme tous les autres professionnels de la santé puis les autres professionnels, par exemple, de l'éducation.
[01:55:14] Speaker A: Organisez-vous des médecins qui vont soit démissionner, partir, prendre leur retraite, aller pratiquer ailleurs?
[01:55:19] Speaker I: J'en ai déjà deux, moi, qui m'ont dit que probablement que première ville, ils resteront pas. Fait que ça, on donnera pas de nom.
[01:55:24] Speaker A: Dans votre clinique?
[01:55:26] Speaker I: C'est qu'on m'a dit, moi, j'en ai deux qui m'ont dit que... Deux plus.
[01:55:29] Speaker A: Vous, ça fait trois, vous êtes dans la merde, là?
[01:55:30] Speaker I: Bien, moi, ils me l'ont dit, mais je n'ai pas complété parce que moi, je reste encore là.
[01:55:35] Speaker A: OK, ça s'annule. Ça fait que c'est juste deux, on est correct.
[01:55:37] Speaker I: Mais si demain matin, je décidais de ralentir, là, la règle, c'est que là, il faut que je fournisse la même quantité de travail. Mais moi, ça me cause un problème parce que je travaille à peu près six jours semaine. Ça, je pense que les gens le savent souvent au bureau, les fins de semaine aussi. Ça voudrait dire qu'il faudrait que je continue ce rythme de vie-là probablement jusqu'à mes 80 ans ou encore m'organiser pour diminuer progressivement sans que ça paraisse. Fait que vous savez, il va y avoir des enjeux. Le ministre a mis une loi en place. Je ne pense pas sûr qu'il mesurerait toute la portée.
[01:56:04] Speaker A: Mais l'impact le plus important, c'est qu'on.
[01:56:08] Speaker I: Va perdre des médecins.
[01:56:10] Speaker A: L'autre affaire, ceux qui ont des cliniques... Attendez, attendez. Vous m'avez mentionné qu'il y a deux médecins qui vous ont confié que depuis le dépôt de cette loi-là, ils songeaient à partir. Dans quelles provinces?
[01:56:22] Speaker I: Ah bien, ils partiront pas, ils vont prendre leur retraite.
[01:56:24] Speaker A: Ah, ils vont s'en voir.
[01:56:25] Speaker I: Non, non, non. Les autres, c'est pas...
[01:56:26] Speaker A: Les autres, ils disent que ça suffit.
[01:56:27] Speaker I: En passant, le phénomène qu'on va voir le plus, c'est avec la majorité des gens, ils iront pas dans d'autres provinces.
[01:56:32] Speaker A: Pré-retraite.
[01:56:33] Speaker I: Pas pré-retraite.
[01:56:34] Speaker A: Retraite tout court.
[01:56:35] Speaker I: Retraite tout court, bon.
[01:56:36] Speaker A: Ils vont envoyer un beau courriel au patient, aller voir le robot, Navig.
[01:56:40] Speaker I: Et puis ils n'auront pas parlé à deux autres docteurs, donc ils n'auront pas complété, donc ils peuvent partir sans aucun problème.
[01:56:45] Speaker A: Ça va dire ça, l'alerte d'aller sur Navig?
[01:56:47] Speaker I: Ça, ça veut dire que les médecins qui pratiquent dans ces cliniques-là, ils vont tomber dans le système du GAAP. Parce que s'il y avait une clientèle, automatiquement, la clientèle ne peut plus avoir de nouveaux médecins de famille. Ils vont tomber dans le système du guichet d'accès. C'est-à-dire que vous allez téléphoner ou aller sur Internet pour avoir un rendez-vous par téléphone avec la clinique. En passant, l'utilisation de Navig est une obligation, selon le ministre actuellement. Le ministre a dit que toutes les cliniques allaient être obligées, les patients allaient être obligés de passer par Navig.
[01:57:14] Speaker A: Le robot.
[01:57:15] Speaker I: Le robot. Donc, si vous êtes une personne...
[01:57:17] Speaker A: Un robot triage.
[01:57:17] Speaker I: Donc, si vous êtes une personne Peu habile dans Internet, vous avez avantage à connaître quelqu'un qui va le faire pour vous parce que c'est pas évident de passer par Navig. Probablement qu'il va y avoir une façon de le faire, c'est-à-dire qu'il va prendre le téléphone. Je crois qu'ils n'offriront pas le téléphone aux personnes qui ont des difficultés.
[01:57:32] Speaker A: C'est ça que je voulais vous dire. Vous connaissez tellement votre sujet, vous parlez vite et tout, c'est complexe. Je vais juste revenir là-dessus. Le robot, vous allez me trouver fatigant, mais c'est Navig, c'est vous qui l'avez amené. La grand-maman de 82 ans, Dame Cui, Elle, là, le NAVIG, elle le connaît pas, là. Mais elle, elle n'a pas, mettons, de médecins, puis elle n'en veut un. On va lui dire, grand-maman, va-t'en sur l'intelligence artificielle. Elle va être mêlée à Saint-Michel en temps. Elle va pas écouter LCN, ils parlent pas de ça. Le NAVIG.AI, il va arriver quoi? Ça se peut qu'il y en ait qui aient des problèmes de santé suite à ça.
[01:58:05] Speaker I: Il y a des gens qui vont y montrer. Ça va prendre des gens pour vous aider à le faire.
[01:58:11] Speaker A: Vous savez que ça n'existe pas ces personnes-là. Il y a des gens qui vont y montrer.
[01:58:15] Speaker I: Voyons donc.
[01:58:16] Speaker A: Ça n'existe pas. Il manque tellement de monde dans le système de santé.
[01:58:19] Speaker I: Ce matin, ce qu'on veut... M. Bolduc, c'est inquiétant. Ce matin, ce qu'on veut donner, c'est l'information aux gens, pratiques et pratiques, de façon calme, donc on est calme quand on parle, puis de donner la bonne information. Là, j'écoutais le ministre qui a dit, je vais aller expliquer mon projet de loi. Mais c'est pas ça qu'il explique dans le projet de loi. Il dit juste, les docteurs vont travailler plus, on va transférer ça à des infirmières. Moi, écoutez, dans tout le monde en parle, ce qui m'a frappé, là, c'est quand tu dis à l'animatrice, elle dit, vous savez, le docteur qui veut travailler trois jours semaine, elle va pouvoir travailler trois jours semaine.
il faut qu'elle donne la phrase à d'autres professionnels de la santé. Mais ça, je le répète, parce que ça, c'est choquant, parce qu'il y a été des années à dire que les médecins ne devraient plus travailler trois jours semaine, ils devraient travailler cinq jours semaine. Fait que là, le discours est quand même incohérent. Bon, la conséquence pour les gens, OK, il y a toute la question du médecin de famille, puis également la façon dont les médecins... On a été professionnels, on veut bien voir nos patients, on veut s'en occuper, on va faire les suivis. Sauf qu'à la réalité, c'est une déresponsabilisation des professionnels parce que quand c'est ton patient, tu as une attention particulière et tu finis par le connaître tout à fait, vous n'avez pas besoin de répéter l'histoire. Présentement, si vous regardez le guichet d'accès première ligne, vous allez Et puis il y a des médecins qui disent, moi je te vois une première fois pour ton accident de travail, mais il faut que tu re-téléphone pour avoir un deuxième rendez-vous, que tu re-téléphone pour un troisième rendez-vous. Vous savez, ce patient-là, moi je les ai vus, il est arrivé dans mon bureau, ça fait quatre docteurs qu'il voit, il n'y en a même pas un qui a envisagé le retour au travail. Puis ce patient-là traîne dans le système, puis en plus de ça, le patient, il fait à toutes les fois qu'il faut qu'il re-téléphone dans le système pour avoir un rendez-vous.
L'autre élément qu'il va y avoir pour les patients qui ont des médecins de famille actuellement, c'est qu'ils vont être obligés à ce que 30 % de nos plages soient réservées aux urgences ou à des patients qui vont venir du système ailleurs. Donc, ceux que le médecin de famille offrait, mettons, 5 000 visites par année, à l'avenir, ils vont en avoir 3 000. Parce que le système va faire en sorte que tu vas être obligé d'offrir ça à d'autres. Toi, de la clientèle, tu n'auras pas le choix, il va falloir que tu la négliges. Ce qui va arriver, et c'est ce que je vois actuellement, c'est qu'il y a des cliniques qui vont prendre la décision s'il n'y aura plus de médecin de famille. Tous les patients vont être dans le guichet. Donc, moi, dans ma clinique, si demain matin, on dit à l'ensemble des médecins, à l'avenir, vous allez être dans le guichet, bien, moi aussi, mes patients vont aller dans le guichet, puis moi aussi, je vais perdre ma clientèle, puis moi aussi, je vais faire en sorte que mes patients, je ne les verrai plus parce que je ne serai plus leur médecin de famille. Ça, c'est une conséquence directe de la loi sur les gens. Ça là, M. Dubé, je ne suis pas sûr qu'il va vous expliquer ça. Ça va être 100 % au début de l'année prochaine et ça va être pour toujours. Présentement, les gens ne prennent plus de nouveaux patients. Pourquoi? Parce que le nouveau système se met en place. Nous, il y a des médecins qu'on pense qu'ils devaient s'en venir, puis il y a une clinique, entre autres, il y a quelqu'un qui me dit, leur clinique, c'est une nouvelle clinique qui va ouvrir. Mais là, les médecins, il y en a peut-être qui ne signeront plus leur contrat, tout simplement parce que ce système-là, Ils n'y croient pas, puis ils vont les pratiquer dans d'autres provinces. Ils vont aller faire d'autres choses dans le système. Mais ça, on n'est pas... On n'est pas... Oui, pour aller au privé. Mais c'est le privé, là. C'est 5 %, 4 % du système. Ça va dépanner, puis la personne qui paye va avoir son rendez-vous plus rapidement. Mais le privé, là, ça va faire en sorte aussi qu'eux autres aussi vont être amenés en surcharge. En passant, le privé, avant ça, vous aviez votre rendez-vous dans les 24 heures. Maintenant, c'est plus ça. Ils ont des listes d'attente, eux autres aussi. Le privé, il est complémentaire. Puis je pense qu'il y a un privé qui est intéressant. Privé, mettons, des blocs opératoires, où si votre... comme la Croix ou encore vous avez les systèmes comme ici à la Bourneuf où le gouvernement a une entente avec la clinique puis il y a des patients qui vont se faire opérer. Moi j'ai une patiente la semaine passée qui m'a dit qu'elle va être opérée dans un bloc opératoire privé payé par le gouvernement et sa hanche va être remplacée. La patiente rentre le matin prise en charge puis elle va sortir puis le système de public va la reprendre en charge. Ça c'est des choses intéressantes parce que ça augmente le volume. Juste pour vous parler des spécialistes, c'est pas mon domaine, mais je vais vous donner un lien là-dessus. Les spécialistes, c'est pas qu'ils ne veulent pas opérer. Quand j'entendais M. Legault dire qu'ils sont paresseux, ils ne veulent pas opérer.
[02:02:28] Speaker A: Il n'y a pas personne sur les plateaux techniques.
[02:02:31] Speaker I: Un chirurgien, moi je me souviens, j'étais directeur du service professionnel, j'avais des plages le vendredi après-midi, ils voulaient tous les avoir. Si j'avais pu ouvrir le samedi, ils seraient tous venus opérer le samedi. Un chirurgien...
[02:02:41] Speaker A: Il manque de perfusionnistes et d'infirmières.
[02:02:43] Speaker I: Il manque de perfusionnistes et d'infirmières. Puis les blocs opératoires, des fois, ils ont fermé pour toutes sortes de raisons. Mais la réalité, c'est pas parce qu'ils veulent plus opérer. Sans penser à demain matin, ça, c'est l'autre affaire qu'ils font souvent. Ils disent, ah, on va tout vous donner. Mais quand ils arrivent pour le donner, pourquoi il les a pas donnés dans les cinq dernières années s'ils avaient les ressources? Il y a une raison, parce qu'ils n'en avaient pas et ils n'en auront pas plus dans cinq ans.
[02:03:03] Speaker A: Est-ce que vous étiez meilleur que lui, ministre?
[02:03:06] Speaker I: On était différents. Chaque ministre a apporté ses forces. En passant, un ministre qui croise beaucoup...
[02:03:11] Speaker A: C'était pas tout à fait ça, ma question, mais c'est pas grave.
[02:03:12] Speaker I: Non, mais ma réponse, c'est celle-là, parce que Réjean Hébert a fait de belles choses, Gaëtan Barrette a fait de belles choses, Philippe Colliot a fait de belles choses. Les gens, ce qu'ils voient pas, c'est que ce qu'on fait bien, là, ils s'en souviennent pas. Je vais vous donner un exemple. Moi, j'étais de celui qui a fait les belles têtes de terre du Chum, du Kuzum, de Sainte-Justine. À Montréal, actuellement, quand j'étais ministre, le plus gros problème qu'il y avait, c'était la construction des hôpitaux universitaires à Montréal. Une fois qu'ils ont été construits, il n'y a plus personne qui en parle. Puis aller au CHUM, les patients qui vont au CHUM, toute beauté. Le centre ici qu'on a du cancer, le centre du cancer, c'est Mme Marois et Réjean Hébert qui ont changé la décision. Puis c'est une des plus belles réalisations qu'on a eues, c'est ce qui a été fait ici à Québec. Vous savez, chaque ministre a apporté. L'affaire, il faut que vous le disiez, le ministre qui brasse tout le temps, c'est-tu lui qui a été le meilleur? Le meilleur docteur, c'est-tu celui qui vous traite parce que vous avez des complications, parce que lui les a créées, ou encore c'est le médecin qui a fait la prévention? Fait que souvent, on n'entend pas beaucoup parler de ce qu'on a fait, parce qu'on n'était pas toujours dans le média à crier, on travaillait sur le terrain. Mais chaque ministre a travaillé, puis je reconnais M. Dubé aussi, qui fait des offrandes, puis tout le monde veut que ça fonctionne bien. Puis ce sont toutes des bonnes personnes qui veulent fonctionner. La notion de meilleur, là, c'est pas toujours celui qui en a crié le plus, parce que souvent, il a créé ses propres problèmes. Puis ils avaient posé une bonne question tantôt. Est-ce que le traitement est pire que la maladie? Si ton traitement te rend plus malade, là, tu devrais changer ton traitement. Je pense que dans le système actuellement, il y a beaucoup d'améliorations à apporter parce que la loi, oui, elle va apporter une certaine accessibilité, mais le problème que les gens vont avoir, ils pensent qu'ils vont avoir une accessibilité, mais quand vous allez téléphoner et que tout le monde est en surcharge et que vous ne serez pas capable d'avoir un rendez-vous avant tant de temps, ça va être un autre problème qu'on va avoir.
[02:04:51] Speaker A: Donc NAVIG, c'est notre nouvel ami.
[02:04:54] Speaker I: Là, il ne faudrait pas te penser que l'entrevue, c'est juste du NAVIG.
[02:04:58] Speaker A: Non, non, mais c'est ce que vous m'avez appris et c'est ce qui n'est pas discuté actuellement.
[02:05:05] Speaker I: Ce qui n'est pas discuté actuellement, c'est...
[02:05:06] Speaker A: Parce que vous avez mentionné que c'était ça la voie d'avenir désormais. On n'aurait pas de médecins de... Vous avez carrément dit les gens qui n'ont pas de médecin de famille.
[02:05:15] Speaker I: Ils n'en auront pas.
[02:05:16] Speaker A: Vous n'en aurez pas. C'est toujours bien vous qui l'avez dit, ce n'est pas moi.
[02:05:19] Speaker I: En passant, ça, c'est vrai.
[02:05:21] Speaker A: On va assumer vos propos.
[02:05:23] Speaker I: Non, ça n'a jamais dit le contraire. Mais l'autre affaire qui est complémentaire, c'est que quand il dit qu'on va régler l'accessibilité, bien là, vous allez voir que quand avec le nouveau système qu'on met en place, que votre médecin de famille, il va peut-être partir, qu'il y a des médecins qui vont cesser de pratiquer, qu'en plus de ça, les autres vont ramasser le travail, puis que quand on va téléphoner parce que les places vont être pleines, ça, l'autre principe qu'il faut comprendre, moi, je peux juste voir un patient à la fois.
Ça, c'est clair. On ne peut pas en mettre quatre dans le bureau.
[02:05:50] Speaker A: Et d'ailleurs, il y en a beaucoup qui vous attendent, des patients. On va vous laisser aller.
[02:05:53] Speaker I: Vous êtes très gentil.
[02:05:53] Speaker A: On va vous laisser travailler au bout de la rue, dans le fond, c'est un peu ça.
[02:05:56] Speaker I: Oui, dans quelques minutes, je m'en vais aller là.
[02:05:58] Speaker A: C'est apprécié. Merci beaucoup, Docteur.
[02:06:00] Speaker I: C'est un grand plaisir.
[02:06:01] Speaker A: Anytime, vous venez faire le diagnostic de la situation.
[02:06:04] Speaker I: Avec une belle question qu'on m'a eue ce matin, pour bien expliquer, je suis très, très content de mon entrée.
[02:06:08] Speaker A: Ça m'a renversé, pour vrai, l'histoire de Navig. Parce qu'il y a des gens qui sont plus habiles que d'autres avec la technologie. Il y a des gens qui n'ont pas encore de cellulaire, croyez-le ou non, encore aujourd'hui. Parce que là, on leur dit, passez dans Navig et à ce moment-là, on va vous faire quasiment un diagnostic à... à distance, en disant, oh non, c'est le pharmacien dans 24 heures, et tout, et tout, et tout. On s'en va là. C'est ça, la nouvelle réalité.
[02:06:34] Speaker I: Oui, absolument. Par contre, il faut dire que tous les professionnels de la santé, c'est des professionnels.
[02:06:40] Speaker A: Absolument. Il y a personne qui a une miessure.
[02:06:42] Speaker I: Par contre, on veut bien prendre en charge nos clientèles, bien les soigner. La seule chose, c'est qu'il faut avoir les moyens de le faire, puis avoir des bonnes orientations.
[02:06:49] Speaker A: C'est pas ça coûte cher.
[02:06:50] Speaker I: Je vais faire un autre message. Ça prend de la collaboration.
[02:06:54] Speaker A: Ça, c'est un message que vous lancez à M. Dubé, et non à nous.
[02:06:58] Speaker I: Oui, ça prend de la collaboration. Puis je pense que M. Dubé, tout le monde en parle, a reconnu quelque chose. C'est que les gros mots qu'ils ont dit au début, entre autres que M. Legault disait qu'on était des paresseux, ça n'aurait peut-être pas dû être dit.
[02:07:10] Speaker A: C'est ça, vous avez entièrement raison. Absolument. Vous travaillez fort. Six jours? Six jours semaine?
[02:07:15] Speaker I: Peut-être un peu plus.
[02:07:17] Speaker A: Ouais? OK, parfait. Merci beaucoup.
[02:07:18] Speaker D: Pour vrai, c'est incroyable. Nous autres, je vais le dire, je suis fasciné à quel point cet homme-là travaille.
[02:07:25] Speaker A: Toi, tu le connais.
[02:07:26] Speaker D: Il peut travailler à 8h le matin avec un patient, puis le téléphone sonne à 11h moins quart le soir, c'est lui. Pour vrai, je trouve ça hallucinant à quel point...
[02:07:35] Speaker A: Si vous avez du temps, vous revenez.
[02:07:37] Speaker I: Puis il y a toujours des belles discussions comme ça. Il faut toujours être présent.
[02:07:40] Speaker A: C'est le fun. Merci beaucoup.
[02:07:41] Speaker I: Ça me fait plaisir.
[02:07:42] Speaker A: Merci. Au revoir. À 8h07, est-ce qu'on termine avec une belle chanson, peut-être?
[02:07:48] Speaker D: Oui, bien oui, un serait dû.
[02:07:50] Speaker C: Parfait.
[02:07:50] Speaker A: Excellent. Merci beaucoup. Merci, Docteur. Voilà.
[02:07:54] Speaker D: Bye-bye. Bien oui.
[02:07:59] Speaker A: Mister Roboto, Mister Logo. Eh oui, on y va.
Souviens-tu au sein de Navig, mon cher? On est parti. On va à la pause et vous êtes à Radio X.
[02:08:29] Speaker B: Petite pause. De retour dans un instant. Radio X.
[02:08:33] Speaker A: Cette semaine, écoute le retour. Tu pourrais gagner l'un des 5 forfaits familiaux pour 4 personnes chez Ice Out Québec. Pas juste une heure, là. Pour une journée entière. Ice Out, c'est bien plus que des trampolines. C'est le fun assuré, différent et stimulant. Un monde d'aventure pour bouger, rire et sauter en famille ou entre amis. Pour plus d'infos, iceout.ca Solde dans tout le magasin de l'Équipeur. Du 30 octobre au 2 novembre, obtenez un rabais de 25 % dans tout le magasin. En plus, économisez jusqu'à 60 % sur les aubaines à tout casser. Visitez l'Équipeur ou à l'équipeur.com. Prix des aubaines à tout casser tels qu'indiqués.
[02:09:11] Speaker B: Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière.
[02:09:25] Speaker A: Postule à davierecrute.ca Transformez votre journée en jour de casino. Jouez au jackpot, jeux de table en direct et plus. Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance. Ou jouez à la roulette, au blackjack et bien d'autres à Casino Days. Ouvert à tous les joueurs 18 ans et plus, ça vous permet de vous amuser gratuitement.
[02:09:41] Speaker D: Veuillez jouer de manière responsable.
[02:09:43] Speaker A: Automode. Qu'est-ce que j'aime chez Automode? Je suis un client d'Automode. J'en parle pas souvent. Je pourrais me faire un chandail si vous voulez. Je suis client d'Automode très fier. Famille de Québec.
de père en fils, puis les cousins sont là-dedans en plus. C'est une maudite belle shop. Mais moi, ma shop, c'est à Vanier, mais ils sont partout au Québec. Automode, donc, avec bien sûr les pneus d'hiver, avec bien sûr les racks à vélo pour ce qui est de l'été, mais là, on s'en va vers l'hiver. Et on s'en va vers l'hiver dans un contexte où les hôtes sont pas très belles. Oh, OK, pare-brise. Je reviens avec ça, mais c'est la base à un moment donné. Pare-brise, ton pare-brise est brisé. On va te le réparer rapido presto et on va te le remplacer au besoin avec, bien sûr, les gens de la place qui connaissent ça avec toutes les technologies. On va bien le calibrer. Because, c'est pas un F-150 de 1975, ce que t'as là. C'est un F-150 de l'année. C'est arrivé, donc on va tout rééquilibrer, tout ça. Et on va le faire de la bonne manière. Viens nous voir pour avoir un service personnalisé avec du monde de Québec et du monde qui sont de la place pour les gens de Québec. C'est automode.qc.ca.
[02:10:56] Speaker E: Je.
[02:11:08] Speaker D: Vous parle de multi-confort FP. Multi-confort FP, vous le savez, on veut être bien dans la maison l'été, on veut être bien dans la maison l'hiver, on veut être bien dans la maison en tout temps. Puis on a souvent la fausse perception que ça va nous coûter un bras. Ça coûte pas un bras! Va voir Fred, toute sa gang chez Multiconfort FP, on t'attend. On est là pour t'offrir la thermopompe à laquelle tu rêves depuis tant de mois. Tout augmente, la facture d'électricité aussi, mais avec une thermopompe, tu peux réduire tes coûts d'électricité de moitié, c'est malade ça. Passe voir une compagnie qui est recommandée, CAA Québec, et gâte-toi. Garde-toi selon tes budgets, selon tes moyens grâce à Fred et toute son équipe qui t'offre la thermopompe, l'énox, ça te permet évidemment de confort inégalé, la chaleur en hiver, la fraîcheur en été. Tu parles de ça Multiconfort FP, ils l'ont pour toi au meilleur prix du marché, c'est de même qu'on marche nous autres. On est recommandé CA, Québec, Multiconfort FP. On est juste en face de l'aéroport également à Victoriaville.
[02:12:12] Speaker A: En commandant votre premier latté à la citrouille de la saison, vous regardez la nouvelle barista verser du cumin au lieu de la cannelle dans votre café.
[02:12:20] Speaker D: Ouf!
[02:12:20] Speaker E: Ça inspire pas confiance.
[02:12:22] Speaker B: Chez Synfo-Toyota, notre équipe confiance connaît les ingrédients d'une recette gagnante. Pendant l'événement reparté en Toyota, louer le BZ4X LE2 roue motrice 2025 à partir de 89 $ par semaine, location 52 mois, 14 769 km par année, à compte de 4700 $, incluant un incitatif de 12 000 $. Synfo-Toyota, une affaire de confiance.
[02:12:42] Speaker D: L'école de conduite Pointe-Lévis, c'est 15 formateurs et 250 heures de cours par semaine, jour, soir et week-end. Les cours débutent tous les mois. Inscris-toi, nomme Radio X et épargne 50 % sur ton manuel. L'école de conduite Pointe-Lévis à Saint-Charles-de-Bellechasse et Lévis.
[02:12:57] Speaker A: C'est pas tout le monde qui se sent à la maison dans une cuisine en réno, dans une salle de bain en construction, dans un salon en chantier. Mais nos entrepreneurs APCHQ, oui. Pour eux, un chantier, c'est la maison. Outils, formations, soutien, on est la référence. APCHQ, bâtir nous habite.
Allez voter, quelle que soit votre opinion, c'est le temps de se prononcer. Vous avez tout le pouvoir, là. Ça revient une fois au 4F. Si tout le monde allait voter, ça.
[02:13:20] Speaker E: Se répercuterait dans le résultat. Voter, c'est pas juste un droit, c'est ton devoir de citoyen.
[02:13:25] Speaker A: Et d'ailleurs, on croit que les gens allaient voter.
[02:13:27] Speaker B: Si vous voulez faire comme moi, puis.
[02:13:28] Speaker E: Chialer... Allez voter, Joual Vert.
[02:13:31] Speaker B: Allez voter!
[02:13:32] Speaker A: Tu prends ta décision et tu l'exprimes en toute liberté.
[02:13:36] Speaker B: Si jamais tu me cherches le 2 novembre, là, bien, je vais être en train de voter.
[02:13:42] Speaker A: Radio X.
C'est la liquidation totale. Mais pour moi, c'est la satisfaction totale.
[02:14:02] Speaker D: Chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[02:14:05] Speaker A: Nissan n°1 pour la qualité des véhicules.
[02:14:07] Speaker D: Neufs parmi les marques grands publics, selon l'étude 2025 sur la qualité initiale JD Powers aux États-Unis. Et les offres sont incroyables.
[02:14:14] Speaker A: Loin sur 60 mois, une 2025 comme.
[02:14:16] Speaker D: Le Kicks Play S ou la Sentra S+, à partir de 75 $ par semaine, zéro comptant.
[02:14:20] Speaker A: Aussi, financement à 0 % sur certains.
[02:14:22] Speaker D: Modèles et bonnie de 500 $ sur tous les modèles. Détails chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[02:14:29] Speaker A: Salut, c'est Boucher. Salut, c'est Lortie. Hé, Lortie, je pense à ça, là. Ça fait cinq ans qu'on s'est pas jasé à la radio. On avait presque peur qu'ils pensent qu'on avait raccroché nos outils. Impossible! Quand t'as thermopompe pis ton chauffe-eau marche comme du monde. C'est qu'on est passé par là. Exact. Boucher-Lortie, c'est bien plus que des tuyaux pis des fils. C'est une équipe tissée serrée qui règle tout ce qui garde ta maison confortable. Pis aussi ton commerce. Plomberie, électricité, chauffage, thermopompe et énergie. C'est notre affaire. Appelez-nous au 4 ou faites une demande de service en ligne. Boucher l'ortie, c'est réglé!
[02:14:59] Speaker B: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[02:15:14] Speaker A: Choua.
[02:15:15] Speaker B: Choua.
[02:15:16] Speaker A: Oh yeah! 98.
[02:15:18] Speaker B: 98.
[02:15:19] Speaker A: 1.
[02:15:19] Speaker B: La fameuse Blue Regional.
[02:15:21] Speaker A: Choua.
[02:15:22] Speaker B: Choua.
[02:15:23] Speaker A: Choua. Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. Faites-vous.
[02:15:30] Speaker B: Faites drôle.
[02:15:31] Speaker A: Votre propre opinion. Moray. C'est une bonne idée. C'est une bonne idée.
[02:15:36] Speaker B: Avec Dominique Moray.
[02:15:37] Speaker D: Ça m'inspire. Ça m'inspire.
[02:15:40] Speaker A: Moray. Live.
[02:15:42] Speaker B: Radio X.
[02:15:45] Speaker E: Le café de Sam Grenier.
[02:15:50] Speaker J: De lait et de sucre.
[02:15:52] Speaker E: Le café chaud de Sam Grenier.
[02:15:55] Speaker A: Deux crèmes, deux sucres, let's go. Salut Sam, ça va? Sam Grenier, comment ça va?
[02:16:04] Speaker G: Ça va super bien, vous autres?
[02:16:05] Speaker A: Super, Sam. La campagne électorale. À Québec surtout. T'en penses quoi et tu penses quoi de la couverture?
[02:16:16] Speaker G: Écoute, je l'enseignerais dans les médias, dans les écoles, je l'enseignerais dans les écoles de médias, je l'enseignerais la couverture à laquelle on a le droit, à laquelle on est capable de faire varier l'opinion publique rapidement et de changer la perception du monde sur des candidats. Juste la façon dont on tourne, dont on couvre cette élection-là, c'est un très, très mauvais exemple.
Et c'est plate, c'est plate pour les citoyens, parce que ce sont les citoyens, c'est les électeurs qui perdent. On se plaint souvent qu'il y a un manque d'intérêt pour la politique municipale. Les médias, en général, ne nous donnent pas le goût de s'y intéresser quand on voit les attaques personnelles.
[02:17:00] Speaker A: C'est ça. Qu'est-ce qu'on a fait dans les médias? Qu'est-ce qu'ils ont fait qu'ils n'auraient pas dû faire? Qu'est-ce qu'ils n'ont pas fait?
qu'ils auraient dû faire, qu'est-ce qu'ils ont fait de trop et de pas assez.
[02:17:14] Speaker G: Bon, est-ce qu'on s'entend que la question de l'urne, c'était un tramway? Oui ou non, t'sais. Je veux dire, est-ce qu'on souhaite un tramway? Est-ce qu'on n'en veut pas? C'était la question de l'urne. Il y avait une grille d'analyse à présenter aux gens. Il y avait trois options qui étaient présentées. Une par Bruno Marchand, qui était le maire sortant, et puis on avait une autre qui était à l'autre extrémité avec Stéphane Lachance. Puis entre les deux, on a une qui coûte également de l'argent aux électeurs, aux citoyens, aux payeurs de taxes. Moi, j'aurais aimé ça une grille d'analyse, des reportages, ce qui se faisait ailleurs, quel exemple qu'on pouvait donner, c'est quoi les coûts d'opération. C'est des réponses qu'on n'a pas. On ne sait pas combien va coûter en opération le SRB. On peut le trouver si on cherche vraiment. Mais qu'est-ce qu'on a fait plutôt? C'est qu'on s'est dit, on parlera pas du bilan de marchands, alors que normalement, dans une campagne, on devrait questionner le bilan du maire sortant. Et on devrait aussi mettre en étalage le programme des candidats qui s'en viennent. Pas de parler de leur contravention, leur ticket de stationnement, puis s'ils ont payé leur pension alimentaire. Là, je veux dire, là, on tombe dans un... dans un... dans un... un...
[02:18:26] Speaker A: Dans un... dans un... dans un... un... dans un... dans dans un... dans dans un... dans un... dans dans un... dans un... dans un... dans dans un... dans un... un... dans un... un... dans un... dans un... dans un... dans un du client qui achète des chips ou c'est la faute du magasin de chips? C'est bonne la question.
[02:18:45] Speaker G: Je pense que c'est un ensemble. Je pense qu'il faut se lever puis le dire quand on est insatisfait. Je pense que c'est un ensemble. Stéphane, la chance avec Esté citoyen, a décidé de... moment donné, dans la semaine passée, d'interdire l'accès à un point de presse, à deux médias, en guise de représailles, pour lancer le message à l'effet que la couverture était malhonnête à son endroit. Alors, il a voulu marquer le fer. Évidemment que c'était pas quelque chose qui était pour... pour le reste par la suite. Il était pour... C'était pour marquer le fer, pour dire non, non, non, attendez, il se passe quelque chose. Je pense que nous, comme lecteurs, on doit se plaindre également. On doit le noter, ça. Et puis les commentateurs, les chroniqueurs, etc., bien, on a un devoir de critiquer. On a un devoir de... de lancer cette alerte-là pour dire que ce n'est pas normal qu'une télévision, qu'une radio d'État, questionne sa charme sur un candidat à ce point-là. Je veux dire, si vous avez assisté à la sortie du débat auquel Stéphane Lachance participait et qu'on a entendu les questions qui étaient toutes, qui concernaient tout un élément de Stéphane Lachance et on n'allait pas sur son programme, on n'allait pas sur ses idées, mais ce n'était que sur son éligibilité avec le fait que, selon eux, ben c'est un résident d'Ivy, ce n'est pas un résident de Québec et puis on devrait mettre ça en avant, ben c'est là qu'on voit que non, non, non, là il se passe quelque chose, on veut décrédibiliser volontairement un candidat et ça c'est malhonnête, faut le noter et après ça faut le dénoncer parce qu'on peut pas se permettre avec les petits écarts. L'élection peut se gagner avec un très petit écart. On ne peut pas se permettre de jouer dans la tête du monde comme ça et de ne pas présenter le programme d'un candidat parce qu'on voudrait tout simplement occuper la place médiatique avec des sottises, avec des niaiseries qui se sont passées des fois il y a 20 ans et qui ne sont même pas... Ça concerne même pas la gestion. d'une ville. Je veux dire, le gars n'a pas été pris en défaut avec un contrat avec la ville, le gars n'est pas en conflit d'intérêts, le gars respecte... C'est là qu'on voit la malhonnêteté de tout ça. Et je trouve ça dommage parce que moi, en tant qu'électeur, ce que je veux savoir, c'est quoi ton programme? Et pour le maire sortant, quelle analyse est-ce qu'on peut en faire et comment est-ce qu'on est capable de le fronter par rapport à ça? Je ne suis pas plus intéressé à connaître les entailles de la vie personnelle de Bruno Marchand. Mais par contre, il y avait des trucs sur lesquels on pouvait le questionner. C'est bizarre, mais on n'a pas entendu parler vraiment de ses comptes de dépenses. On n'est pas revenu sur les gaz avec des toilettes à 250 000 $. On n'a pas vu non plus, on n'a pas été analyser son bilan. C'est genre, on dirait que c'était comme volontairement mis de côté. pour qu'on puisse avoir plus de temps pour attaquer justement les gens et changer la perception des gens dans l'opinion publique. Ça a commencé, j'ai révélé des articles, même en mars 2025, on titrait un ancien candidat du PCQ, T'sais, déjà, on allait... déjà, on voulait attaquer... Déjà, on voulait l'attaquer sur un truc qui pouvait venir jouer dans cette perception-là. Et puis, j'ai resté un peu sur ma faim par rapport à l'analyse du bilan de Bruno Marchand parce que ça en est passé des choses et il y en a eu des décisions qui ont été prises en quatre ans à Québec. et qui ont changé la vie des citoyens de Québec et qui ont joué sur leur compte de taxes municipales. Pourtant, je ne retrouve pas ces analyses-là dans les médias présentement. Donc, volontairement, c'est un choix historial, ça, quand même. C'est un axe au niveau de l'information et c'est la qualité qui perd. Donc, heureusement que...
En chronique, on est capable de rattraper et en chronique, on est capable de critiquer parce que c'est notre rôle. C'est notre rôle de révéler, nous, on est là pour prendre la nouvelle, la critiquer, la brasser et c'est là qu'on est capable de dire aux gens, attention, vous êtes mal informés et on tente de vous manipuler en décrédibilisant quelqu'un à outrance. Et là, ils sont allés au plus loin qu'ils pouvaient aller. Je pense qu'ils ne pourront rien trouver d'autre, mais c'est grave quand même.
[02:23:36] Speaker A: Quand on dit l'ancien du PCQ, je reviens sur ce que tu nous racontais précédemment, la marchade de Mars. Tu sais, dans le fond, PCQ égal, du M égal, dans leur tête, douteux égal, le gars qui n'a pas payé taxes égal, controverse égal. Tu comprends? Il y a des code words comme ça qu'on utilise. des expressions chargées ou des tournures de phrases pour nous rentrer dans la tête que la personne n'est pas crédible et ne mérite pas ton vote. C'est ça, pareil, hein? Campagne de salissage larvée.
[02:24:09] Speaker G: Ah bien, évidemment. Je veux dire, c'est... Comme toi, tu.
[02:24:13] Speaker A: Le subis, Sam, à longueur de journée.
[02:24:16] Speaker G: Oui, et puis je veux dire, mais je ne me présente pas, je n'ai pas besoin que quelqu'un vote pour moi. Donc le résultat est moins pire. Mais je veux dire, quand on parle de Sam Hammad ou de Stéphane Lachance, on pourrait parler de Villeneuve. Ils ont des projets. Il y a un coût à leurs projets. Il y a un délai. Comment ça qu'on n'est pas capable de retrouver facilement l'information? Mettez-moi les cinq promesses les plus importantes de chacun des programmes avec un espace-temps et un budget et faites-moi l'analyse des cinq plus grandes décisions que Bruno Marchand a prises dans les quatre dernières... On veut ces faits-là. Et en chronique par la suite, nous pourrons commenter, on pourra brasser ça, on pourra faire des lignes ouvertes, on pourra justement y aller d'opinion. Mais là, ce qu'on a vu, ce sont des médias, et je vais le dire, mais des médias d'information, même hautement subventionnés, je pense à la radio de Radio-Canada, se sont transformés en partisans. C'est inacceptable.
[02:25:22] Speaker A: C'est inacceptable. Eux autres, ils reviennent de bord puis ils disent non, non, c'est le candidat de Radio-X, c'est Radio-X encore, le maire est complètement obsédé dans ses choix, le parti choix. Aïe, aïe, aïe.
[02:25:32] Speaker F: S'il vous plaît.
[02:25:33] Speaker G: Ça.
[02:25:41] Speaker A: Je joue à la radio.
[02:25:42] Speaker G: Les faits.
ce qui ne correspond pas à un programme sérieux. Dites-moi ce qui est douteux dans son programme. Dites-moi sur lequel on pourrait l'attaquer avec ça. Et challengez-le par rapport à ses coûts, par rapport à... Et je me ferai.
[02:26:03] Speaker A: Mon opinion par la suite.
[02:26:05] Speaker G: Et une opinion éclairée, évidemment, parce qu'on voit très bien et ça va changer le tramway. On peut comprendre qu'il y a beaucoup de force derrière le tramway. Il y a beaucoup de groupes qui ont un intérêt financier à ce que le tramway ait sa place à Québec. Et malheureusement, quand on cherche cette information-là dans les médias, je l'ai préparée, on ne la trouve pas. Donc si on n'écoute pas certaines chroniques, si on n'est pas à l'aise avec l'information, et de la trouver par soi-même. Malheureusement, on manque ce train. En terminant, je veux juste dire que l'électeur moyen passe peut-être six minutes par jour à s'informer sur la politique. S'il vous plaît, à tous les médias, faites votre job.
[02:27:02] Speaker B: Restez là. On revient dans pas longtemps.
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[02:31:47] Speaker A: C'est pas tout le monde qui se sent à la maison dans une cuisine en réno, dans une salle de bain en construction, dans un salon en chantier. Mais nos entrepreneurs APCHQ, oui. Pour eux, un chantier, c'est la maison. Outils, formations, soutien, on est la référence. APCHQ, bâtir nous habite.
[02:32:03] Speaker D: Le plus grand chantier naval au Canada, savez-vous c'est lequel? C'est celui qui est au bord du fleuve juste ici, le chantier naval de la Dévie. Il recrute à l'heure actuelle. On a besoin de monde, on a besoin de bras, on a besoin de cerveau, on a besoin de nez, on a besoin de poumon, on a besoin de monde! ont besoin de gens qui viennent remplir un poste parce que tabarnouche qu'on a de l'ouvrage avec de super conditions à vous offrir, peinte, assembleur mécanique, électricien, contre-maître, peu importe, employé de bureau, policier, pompier, peu importe si tu Si tu cherches un autre job, postule à devirecruite.ca. Le carnet de commandes est bien plein rempli jusqu'en 2040. On manque de papiers pour mettre les nouveaux contrats. Les conditions de travail ont s'est arrangées pour que ça soit du solide parce qu'on veut garder notre monde. Ose le grandiose pour ton carrière. Postule à devirecruite.ca. Le chantier naval de la Davie, qui est le plus grand chantier naval au Canada. Viens-donc travailler avec nous autres.
[02:32:57] Speaker A: Le Massey Ferguson 1GC, c'est le tracteur compact qu'il vous faut. Robuste, hyper confortable, il fait tout. Chargé, creusé, déneigé à partir de 53$ par semaine. Zéro comptant et 10 ans de garantie. Venez l'essayer chez SA Service Agricole.
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[02:33:36] Speaker A: Et beaucoup plus.
[02:33:37] Speaker B: Sans tabou.
[02:33:38] Speaker A: La Sexploratrice.
[02:33:40] Speaker B: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h.
[02:33:44] Speaker A: La Sexploratrice.
Radio X. Présenté par Planète X. À la recherche de nouvelles sensations? Avec Planète X, explore et découvre tous les plaisirs. Planète X. C'est succursale et sur monplanètex.com.
[02:34:00] Speaker J: La chronique Rédo Sports! Hé, c'est moi, ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée!
[02:34:22] Speaker B: Avec Dominique Moret, Dan Gravel et Tom Dumas.
[02:34:48] Speaker A: Salut Ray!
[02:34:50] Speaker J: Bon matin, est-ce que tu finis la game?
[02:34:51] Speaker A: Oui, je l'ai vu live.
[02:34:55] Speaker J: Tu te lèves de bonheur pareil. Même si le match a fini tard.
[02:34:58] Speaker D: Je suis obligé de te dire que.
[02:34:58] Speaker J: Tu te lèves de bonheur.
[02:34:59] Speaker A: Deux heures et vingt, je suis allé pisser. Je regarde mon sel, je me dis bon, le Magic d'Orlando a-tu perdu? Bon, ils ont perdu. Les Jays ont-ils eu... Ah! Live, 17e manche. Je m'habille, je descends en bas avec le chien. C'était raide un peu, j'avais les yeux cross-eyed. Tu me conviendras qu'à deux heures et demie, c'est bonheur. Et j'ai tout vu. J'ai eu un très mauvais feeling quand j'ai vu... J'étais à côté de la cafetière, j'ai vu Freeman, j'ai dit lui, il est clutch, il est dangereux. Puis comme de fait, il l'a mis l'autre basse, ça a fini de même.
[02:35:32] Speaker J: Mais les Jays ont manqué des chances dans les manches supplémentaires.
[02:35:36] Speaker G: Ils ont rappelé les buts.
[02:35:36] Speaker A: Ils ont laissé combien de coureurs?
[02:35:38] Speaker J: Au total, c'est 7-8 dans les manches supplémentaires parce que juste en 12e, ils en ont laissé 3 quand les Dodgers ont amené le vétéran Kershaw. Il n'y avait pas de retrait. Les buts étaient pleins et Kershaw est venu faire le dernier retrait. En 10e, ils se sont fait retirer un coureur au marbre, un jeu parfait des Dodgers. En 18e, avant que les Dodgers mettent fin au match. Il y avait deux coureurs sur les buts. Et ça, il s'est fait striker, donc les Jays ont eu des chances, là. Mais moi, j'ai joué à Balmol longtemps, Doom, là. Puis quand on jouait contre un joueur, l'autre bord, qui était trop fort, puis il assacrait tout le temps l'autre bord, on lui donnait un but sur balle intentionnel.
[02:36:18] Speaker I: Mais ça...
[02:36:18] Speaker A: Mais ils ont fait ça avec Ohtani, mais ils peuvent pas baller l'équipe au complet, là.
[02:36:21] Speaker J: Mais ça, c'était dans la ligue de Balmol de Lyonnais, là. Mais au baseball majeur, là, j'avais jamais vu ça. Quatre fois, ils l'ont... Ils l'ont donné un but sur balle intentionnel à Shoei Ohtani.
[02:36:30] Speaker A: Quatre fois.
[02:36:30] Speaker J: C'est incroyable, là.
[02:36:31] Speaker A: De suite! Phénoménal. Oui, c'est phénoménal. 609 lancés, 19 lanceurs utilisés, 153 apparitions au bâton, 6h39, c'est le record.
[02:36:44] Speaker J: Ça vous l'a pu finir. Ça vous l'a pu finir.
[02:36:46] Speaker A: Ça vous l'a pu finir.
[02:36:46] Speaker J: Mais maintenant, ça va laisser des traces, c'est sûr. Perdre un match comme ça, c'est tough. C'est dur en joie de verre. Retourner au stade aujourd'hui pour les joueurs des Jays, c'est difficile.
[02:36:57] Speaker A: Mais c'est dur. En même temps, c'est dur, hein? Oui.
[02:37:00] Speaker J: Je sais bien, c'est vrai, c'est sûr. Mais ce soir, d'abord les lanceurs. Les lanceurs ont tous été utilisés. Je comprends qu'un releveur c'est fait pour relever, donc c'est sa job de lancer assez souvent. Mais il va y avoir des joueurs éclopés. George Springer est blessé pour les Blue Jays.
[02:37:21] Speaker A: Et quand tu dis Freeman et Clutch.
[02:37:23] Speaker J: Bichette, il revient dessus. Il joue sur une patte, Bichette, ça paraît.
[02:37:26] Speaker A: Je le sais, je le sais.
[02:37:27] Speaker J: Tu vois bien qu'il n'est pas en parfaite santé. Kirk a eu l'air à s'étirer quelque chose également, le recevoir des Blue Jays. Ce n'est pas un club en grande santé, les Blue Jays, mais hier, on a eu un match Un match d'anthologie. Puis les Dodgers, ils en ont des joueurs pour faire la différence. Freeman l'a fait, Ohtani l'a fait. Mookibeth, c'est tranquille jusqu'à date. Ce soir, ça se peut qu'il frappe quatre coups sûrs. Muncie, le troisième but. Ils ont rien que ça, des joueurs pour faire la différence. Les Dodgers, c'est dur à affronter. Et puis, dans l'enclos, parce que là, on avait fait le tour des relevants, dans l'enclos, c'était notre bras de caoutchouc qui avait commencé à lancer. Yamamoto, même s'il a lancé un match complet 7-7, Il a dit au coach, je regarde ça aller, d'après moi, tu vas manquer de bras. Je peux peut-être m'essayer de la gauche. Je vais essayer de la gauche, moi, chef. Je peux peut-être être capable de te donner quelques manches de la gauche, moi.
[02:38:16] Speaker A: Je l'ai vu.
[02:38:16] Speaker J: Incroyable.
[02:38:17] Speaker A: Oh, c'est incroyable. OK, puis donc pour le reste, ce soir, rappelons-le, c'est Bieber contre qui de l'autre bord, déjà?
[02:38:26] Speaker J: C'est Ohtani qui lance ce soir.
[02:38:27] Speaker A: Ohtani, ouais.
[02:38:28] Speaker E: Wow.
[02:38:29] Speaker A: C'est pas le fun, hein? C'est comme... Hein, Rué, ton rendez-vous, traitement de canal, 10h30. Oui, c'est ça, je l'avais oublié. Tu peux pas annuler, là. Je l'avais oublié, je l'avais oublié.
[02:38:40] Speaker J: Mais Ohtani, c'est un athlète particulier, là.
[02:38:47] Speaker A: Ben là, Ohtani... Once in a lifetime. On n'a jamais vu ça, toi puis moi, là. Oui, once in a lifetime.
[02:38:51] Speaker J: C'est ça, on est en train de faire la preuve de ça.
[02:38:54] Speaker A: T'sais, moi, là, qu'on l'aimait, mais c'était pas ça.
[02:38:57] Speaker J: C'est une autre sorte un peu. C'est pas dans le même tiroir que ta tête.
[02:39:00] Speaker A: T'es plus rigide. Ouais, t'es plus rigide.
[02:39:03] Speaker J: Effectivement.
[02:39:05] Speaker A: Ouais. Un Canadien ce soir. As-tu le goût de parler du Canadien un peu? Oui, oui, ça va bien. C'est des bonnes nouvelles. Ça va bien.
[02:39:12] Speaker J: Qui sera devant le filet, René?
[02:39:15] Speaker A: Dobech, René, est meilleur que Wayne Thomas.
[02:39:20] Speaker J: Pour l'instant, on n'aura pas le choix d'envoyer Jacob Dobech devant le filet.
[02:39:23] Speaker A: Meilleur, c'est la deuxième meilleure moyenne de but accordée et la meilleure moyenne d'arrêt.
[02:39:30] Speaker I: Oui.
[02:39:31] Speaker A: Tu peux pas. Il est dans l'élite. On se comprend que c'est pas 25 games qu'il a été joué. On comprend tout ça. Mais il y a de moins pour moins que le gars est dans l'élite puis il gaule. Il faut que tu le fasses gauler.
[02:39:39] Speaker J: C'est la beauté de l'affaire qu'on est au mois d'octobre. Et à un moment donné, le Canadien va avoir besoin de Samuel Montembeault, meilleur que ce qu'il fait présentement. Mais c'est une ligue de compétition. Martin Saint-Louis veut gagner des matchs, alors il regarde son alignement puis il dit... Celui qui me donne le plus de chance de gagner une partie présentement, c'est Jacob Dobesh. C'est déjà un très bon voyage pour le Canadien. Deux victoires, une défaite. On avait parlé de 500 la semaine dernière pour un voyage... un bon voyage.
[02:40:06] Speaker A: Alors ce soir, c'est... sur la patinoire, les gars rient comme si c'était un show de Sugar Sammy. Les gars sont crampés, ils rient, ils arrêtent pas de rire, l'autre fait rire l'autre. Demidov, exceptionnel. Qui t'étonne le plus à date? Qui t'étonne le plus? Je suis peut-être un héros obscur, tiens.
[02:40:26] Speaker J: C'est Suzuki le meilleur joueur du Canadien, moi je pense, jusqu'à date. Si tu me demandes le meilleur joueur du Canadien depuis le début de la saison, c'est Nick Suzuki. Même s'il a seulement deux buts, Suzuki, il joue vraiment bien. Puis tu vois qu'il a pris sa place comme capitaine de l'équipe. Du côté spectaculaire, c'est sûr qu'à chaque fois que Demidov est sur la patinoire et à chaque fois qu'il a la rondelle, on s'avance un petit peu sur le bout de notre siège parce qu'on pense qu'il va se passer quelque chose. Mais je t'avoue que le jeu de Michael Matheson me surprend un peu. C'est un gars qui veut aller chercher un contrat. Ça demeure une situation pas complexe, mais c'est un dossier. C'est un dossier sur le bureau de Kent Hughes pour Michael Matheson, lui début de la trentaine. probablement qu'il veut signer son dernier gros contrat dans la Ligue nationale de hockey. Je pense qu'il aime son rôle avec le Canadien, mais c'est combien d'argent on va vouloir lui donner et sur combien de temps. Ça, c'est plus complexe un petit peu pour Michael Matheson, mais présentement, Matheson, il est très, très important dans la brigade défensive du Canadien. Il est essentiel, même. Puis il joue encore beaucoup de minutes, ce qu'on voulait faire quand ils sont allés chercher Dobson. Puis avec Hudson qui arrive dans l'alignement, puis le Canadien voulait réduire les minutes de Michael Matheson. Jusqu'à date, ils n'ont pas réussi ça. C'est encore le défenseur le plus utilisé à 24-25 minutes par match. C'est dur de se passer d'un gars comme ça présentement pour le Canadien. Honnêtement, Ils n'ont quasiment pas le choix de leur signer, mais il faut s'entendre sur les termes. C'est ça qui est plus complexe. Combien tu donnes à Madison? C'est dur, ça.
[02:42:05] Speaker A: C'est difficile. Qu'est-ce que tu penses de la sortie des défenseurs américains qui ont dit, « Hey, oh, Hudson, d'après moi, il a sa place aux Olympiques. » T'as-tu vu ça, cette sortie-là? Entre autres, de... Comment est-ce qu'il s'appelle? De Worldsky, je pense qu'il est sorti.
[02:42:19] Speaker D: Quelman Carp et Quinn Hughes.
[02:42:22] Speaker A: Oui.
C'est le Macar, on va le dire.
[02:42:24] Speaker J: Avec nous autres, le Guignol.
[02:42:26] Speaker A: Non, non, non, mais t'sais, eux autres...
[02:42:28] Speaker J: Oui, mais eux autres ont fait des commentaires.
[02:42:30] Speaker A: Ils ont fait des commentaires en voulant dire qu'il fait partie de l'élite. En voulant dire «Eh oh, ce gars-là mérite d'être avec nous autres à l'hôtel en Italie, mettons.» Certainement. Ben oui. T'en penses quoi?
[02:42:44] Speaker J: T'sais, ils l'ont ajouté sur la liste, là, en début de saison, l'équipe américaine. Donc moi, je pense que oui, il peut faire partie de l'équipe américaine. Puis là, j'ai juste pas en tête la liste des défenseurs américains.
[02:42:57] Speaker A: Mais Bill Guérin, il l'aime pas ben ben, paraît-il, Bill Guérin.
[02:43:00] Speaker J: Il a pas l'air être son plus grand partisan. Je suis d'accord avec toi.
[02:43:05] Speaker A: Il est complot de plus qu'on pense, Hudson. Oui, il est capable de... En regardant la défensive, là, oui, il est tannant.
[02:43:11] Speaker J: Ce qu'on appelle des batailles à 1 contre 1, des 50-50 en termes de hockey, il en gagne plus qu'il en perd. Il est solide sur ses deux lames pour un bonhomme qui n'a pas une grosse charpente physiquement. Ce n'est pas un gars physiquement imposant, mais il gagne beaucoup de batailles. Mais oui, Lane Hudson joue assez bien, je pense, pour faire l'équipe américaine. Quinn Hughes est un peu dans le même genre de joueur. Est-ce que tu peux avoir plusieurs joueurs comme ça. Oui, parce que les deux sont capables de bien défendre. Hudson, même, défend peut-être un petit peu plus que Quinios, donc... Ben oui, c'est... Je pense qu'il a sa place avec l'équipe américaine. Maintenant, il est jeune. Il va avoir d'autres occasions si jamais ça se passe pas cette année. Puis, mais ça en vient à ça pareil, Dom. T'sais, des joueurs qui se ressemblent, rendus à choisir comme ça, ça va être la même chose pour l'équipe canadienne. T'as peut-être cinq, six joueurs pour deux postes. Il y a des joueurs que t'aimes plus que d'autres. C'est des êtres humains, c'est pas des robots. Donc, les décideurs, un peu comme dans n'importe quelle organisation, des décideurs, des fois, on essaye de comprendre.
[02:44:14] Speaker A: Oui, mais les décideurs, il faut qu'ils prennent chose-là.
[02:44:18] Speaker J: Il faut qu'il prenne Sousi. Il joue assez bien pour ça, pour l'instant.
[02:44:20] Speaker D: C'est sûr. Je suis entièrement d'accord. Je les ai, les défenseurs américains, ici. Il y a Wierenski, Faber, Jones, Sanderson, Fox, Slavin, Hughes, puis McAvoy.
[02:44:34] Speaker J: Il y en a des bons, là. Je comprends qu'Alain Hudson, on l'aime beaucoup, mais il n'est pas 1-2 dans la liste des défenseurs que Dan vient de nommer. Il est à quelque part 4-5 présentement, compte tenu de son expérience. Un gars comme Slavin, t'as pas le choix. Slavin, il va jouer contre les meilleurs trios adverses. Adam Fox a gagné le trophée Norris, il n'est pas pire lui aussi. Après ça, Quinn Hughes. Wierenski est bon avec la rondelle. Sanderson, je l'adore avec Ottawa. Tu vois? Moi, je te dis que Sanderson, je l'adore. Il y a certainement des dirigeants qui l'aiment beaucoup, Sanderson.
[02:45:06] Speaker A: Il est un petit peu plus gros.
[02:45:07] Speaker J: Physiquement que Leigh Nutson. Ça joue entre ça. Il est 8 et 7-8 présentement dans la liste que Dan vient de nommer Leigh Nutson. Tu me dis, il fait l'équipe et je ne monterai pas au barricade pour te dire que tu ne connais pas ça. Mais ça en vient à la fin à qui tu préfères à un autre. Puis ça te prend un mix aussi dans ta brigade défensive. Tu ne peux pas avoir 5-6 défenseurs trop pareils. Intéressant, intéressant, mais au moins... Dans la dernière année, Lane Hudson, avec son jeu, il a forcé les dirigeants à l'inclure dans la gang qui pourrait faire l'équipe, ce qui n'était pas le cas v'là un an, mettons. Parce qu'il a prouvé qu'il était capable de jouer dans le show. Il a gagné le trophée Calder. Puis c'est un joueur super important pour une équipe dynamique comme le Canadien. Donc tout ça fait que dans son CV, Lane Hudson, il a gagné des points dans la dernière année. Bill Guérin a beau dire qu'il l'aime moins un peu, il y a quand même d'autres personnes qui vont prendre des décisions avec l'équipe américaine, qui vont dire, « Hey Bill, prends-toi un café, il faut que je te jase. » Hudson, là, il me semble qu'il est bon.
[02:46:10] Speaker I: C'est ça.
[02:46:11] Speaker A: Demidov...
Il va être là jusqu'à la fin. Ça va être une belle course anti-pêcher pour le recul de l'année. Avec Schaefer. Sénèque ou Sénéquie, tu vas avoir étonnamment Kapanen, étonnamment Schaefer absolument. Kapanen et Schaefer, ils ont le même nombre de points capotés. Schaefer, le futur défenseur étoile des Highlanders. Mais Kapanen... Oui.
[02:46:39] Speaker J: Je m'attends à ce que ça ralentisse, Capanen. Je veux pas casser votre fun, là. Je m'attends pas à ce qu'il fasse 85 points.
[02:46:44] Speaker A: Je m'achète pas le chandail, Ray?
[02:46:45] Speaker J: Tu peux t'acheter un chandail, tu peux te l'acheter, mais d'après moi, il va être encore moins cher au mois de mars.
[02:46:50] Speaker A: Mais le numéro avec du velcro, hein? Oui. Oui, oui, oui. Ça fait bien, ça.
[02:46:56] Speaker J: Et d'ailleurs, de plus en plus, les.
[02:46:57] Speaker A: Numéros avec velcro... Ça fait bien, ça.
[02:46:59] Speaker J: Ça change beaucoup, hein? C'est rare!
[02:47:01] Speaker A: C'est rare des joueurs qui passent difficilement.
[02:47:04] Speaker J: Avez-vous ça avec un velcro, monsieur, s'il vous plaît?
[02:47:07] Speaker A: Je vais prendre le velcro. Il est à 7 et 19 piastres, mais ça se passe très bien.
[02:47:12] Speaker J: Et Dan a nommé Dobech. Dobech, il n'était pas dans le mix au début, s'il continuait à gagner des matchs comme ça. Il est recru, lui. C'est une recrue de Bèche, là.
[02:47:20] Speaker A: On disait non, mais effectivement, des auditeurs nous ont corrigé, en effet. Il est dans le mix, lui-ci.
[02:47:26] Speaker J: Oui, bien, on est au mois d'octobre. Je suis convaincu qu'on peut s'en porter parce qu'on se fie à ce qu'on a vu jusqu'à date. C'est long, une saison de hockey, puis il reste encore cinq gros mois de hockey. Souvent, pour les jeunes joueurs, ça devient plus difficile à mesure qu'on avance. Mais il y en a deux, à mon avis, qui ne ralentiront pas beaucoup, c'est Domidov puis Schaefer, le défenseur des insulins.
[02:47:46] Speaker A: Très bon. Salut mon Ray. Bonne semaine.
[02:47:48] Speaker J: Bonne journée les amis.
[02:47:49] Speaker D: Salut Ray. Bye-bye.
[02:47:50] Speaker A: 8H47. On s'en va en revenant. Latina America. Un petit peu d'Amérique latine, ça va nous faire du bien. JBG va venir nous raconter. C'est possiblement la plus grosse histoire sur la boule si on exclut Huawei, Gaza et la guerre en Ukraine.
la Chine qui fait du gagagougou avec Taïwan, mais la Chine demeure en tant que telle problématique en tant que pays. Mais si on regarde les situations conflictuelles, la situation opposant les États-Unis au Venezuela, C'est quelque chose, là. C'est quelque chose, là. C'est... c'est plus profond qu'on pense, même. L'IGBG connaît très, très bien le dossier.
[02:48:33] Speaker D: Ils se lancent des petits pets, là.
[02:48:34] Speaker A: Oui, Maduro, qui est proche des cartels. Et vous avez Trump, dont le rêve est pas mal de faire sauter Maduro et d'aller exploiter et explorer l'huile, comme on dit. au Venezuela, mais il a creusé. Vraiment libre-média et sur-la-poc en la matière. Et JBG s'en vient nous en entretenir au retour.
[02:48:56] Speaker E: Moray, nous sommes live.
[02:48:59] Speaker B: On revient dans pas long.
[02:49:01] Speaker A: Désolé.
[02:49:02] Speaker B: Radio X.
[02:49:03] Speaker J: La chronique Raiders Sports. Hey, c'est moi ça. Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée.
[02:49:15] Speaker A: Ouellet, en direct. T'sais, au Québec, là, depuis 7 ans, 25 % de plus de fonctionnaires.
[02:49:22] Speaker B: Oui, mais t'as plus de... ton service est meilleur.
[02:49:24] Speaker D: Tout va mieux, là.
[02:49:25] Speaker E: Vous l'avez vu, c'est palpable.
[02:49:27] Speaker A: On le sent, hein?
[02:49:28] Speaker B: Oui, c'est fou. J'ai jamais eu autant de bons services.
[02:49:30] Speaker D: Mais sentez-vous, les médecins le sentent.
[02:49:31] Speaker A: Ils se disent «Ah oui, c'est vrai.
[02:49:33] Speaker D: Que ça a bien fait.» Quand je.
[02:49:34] Speaker B: Vais à l'hôpital, là, ça roule.
[02:49:37] Speaker A: Ça roule, j'arrive, j'attends pas du tout.
[02:49:38] Speaker B: Dans la salle d'attente.
[02:49:39] Speaker A: Ouellet, en direct.
[02:49:41] Speaker B: Lundi au vendredi, midi.
[02:49:44] Speaker A: Radio X.
[02:49:45] Speaker B: Présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Pour vos Rénault meilleurs prix, on vous attend maintenant au 9030 rue John Simons, coin Henri IV et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôtdelarenault.com.
[02:49:56] Speaker A: Le groupe Nano qui est extraordinaire. Pourquoi? Bien, ils vont rendre votre maison plus belle et surtout, ils vont faire en sorte que votre maison va garder sa valeur. Avec la promotion sur tous ces temps-ci, puis vous avez les explications sur le site web, t'économies jusqu'à 1050$ en acceptant votre soumission rapidement. Tu profites de notre offre exclusive pour un temps limité. Rabais entre 250 et 1050$ sur ton projet de toiture. Embargo, lorsque vous acceptez votre soumission dans un délai de 10 jours.
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[02:50:46] Speaker E: Les circulations de Québec ont facilité la fluidité.
[02:50:53] Speaker D: C'est encore passablement compliqué pour les gens qui arrivent de Lévis-Centreville et de La Beauce. Pour le reste, ça va somme toute assez bien, l'accès aux pompiers à la Porte Capitale, jamais dans les deux directions, ce qu'on surveille à cette heure-ci. C'est l'accès à la colline parlementaire, c'est vraiment du compliqué Charest-Laurentienne et également du Fremont-Maurinci. On surveille également ce qui se passe sur Henri IV, juste à la hauteur de Charest. Il y a un incident à cette hauteur-là, ça a créé... Ça crée pas mal de ralentissement, les choses qui sont en train de redevenir à la normale. Donc, enfin, des bonnes nouvelles. Il faut dire que si ton Internet joue encore sur le quatrième trio, change pour l'Internet fibre de e-box 500 Mbps à 50 $ par mois. Abonne-toi donc. e-box.ca.
[02:51:35] Speaker E: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent sa promo 2 repas pour 26 $ au comptoir à emporter ou 2 repas pour 30 $ en livraison parmi 5 claves d'êtes.
[02:51:47] Speaker B: Cet automne, chez Volvo Ville de Québec, redécouvrez la route avec le XC90 2026. Cette place, luxe scandinave, sécurité maximale. À partir de 94 681 $, en location à 549 $ aux deux semaines, louez dès maintenant le XC90 Plus hybride branchable 2026 à 3,99 % d'intérêt, avec un à-compte de 2500 $. Location 24 mois sur modèle sélectionné. Passez en mode ma vie, ma Volvo. Détail chez Volvo Ville de Québec, des conditions s'appliquent. ISALT, c'est plus que des trampolines. C'est le fun, différent et stimulant. Les enfants quittent les écrans et bougent. Les nouvelles attractions Parc lunaire et Turbulence vous attendent. Devenez membre avec accès illimité pour 39,99 $ par mois.
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[02:53:24] Speaker A: Passerais-tu la scie, mon grand? Question de lancher ton téléphone. Mais est-ce pas un métier, couper des branches aussi proches des fils? Franchement, je suis capable!
[02:53:31] Speaker B: Tailler des branches près des fils électriques pourrait couper court à votre vie. Restez à plus de 3 mètres. Ceci est un message d'Hydro-Québec.
[02:53:39] Speaker A: Alice, c'est l'heure d'aller à l'école.
[02:53:43] Speaker I: J'ai mis une bouteille d'eau dans ta.
[02:53:44] Speaker A: Boîte à lunch avec des petits légumes.
[02:53:46] Speaker I: Et une pomme pour la collation. J'ai aussi mis des vêtements de rechange dans ton sac. Et n'oublie pas de mettre ton chapeau.
[02:53:51] Speaker A: Fleuri pour te protéger du soleil à la récréation.
[02:53:54] Speaker E: Passe une belle journée!
[02:53:56] Speaker D: La santé de votre enfant vous tient à cœur. Mais avez-vous pensé à faire examiner sa vision?
[02:54:02] Speaker B: Avant d'entrer à l'école, un examen de la vue, c'est plus que bien vu.
[02:54:08] Speaker A: Je peux pas te répéter la même affaire à chaque mois. Je serais damné de me faire niaiser à ta place.
[02:54:13] Speaker B: Je mets ça comme dans une télé-réalité. Qui va me raconter le plus de flaflas pour que je tombe sous son charme? Je veux juste du sérieux, quelque chose de clair, sans cachette. Est-ce que ça existe encore?
[02:54:24] Speaker A: Oui, Saint-Fondé. Ce mois-ci, ils t'offrent l'élan 30 en location 40 du mois à partir de.
[02:54:28] Speaker E: 80 $ par semaine.
[02:54:30] Speaker A: Aucun comptant pendant l'événement, le plus bel arrêt. Ça, c'est la réalité!
[02:54:34] Speaker B: Saint-Fondé!
[02:54:35] Speaker A: J'ai hâte de rencontrer Ici Stéphane Slogar.
[02:54:39] Speaker D: Propriétaire et fondateur de Slogar Jury-Conseil.
[02:54:41] Speaker A: Depuis 20 ans, l'équipe Slogar a récupéré plus de 71 millions de dollars à plus de 3 500 clients en indemnisation.
[02:54:48] Speaker D: CNESST, SAAQ et Assurance Invalidité.
[02:54:52] Speaker A: Une maladie longue durée, ça bouleverse une vie.
[02:54:55] Speaker D: Exigez les pros de l'indemnisation, l'équipe Slogar.
[02:54:58] Speaker A: On est là pour vous.
[02:54:59] Speaker D: On protège vos intérêts pour obtenir les meilleures indemnités et vous permettre de bien traverser cette épreuve.
[02:55:05] Speaker A: Slogart.Ca.
[02:55:06] Speaker D: Première rencontre sans frais.
[02:55:08] Speaker A: Salut! C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce.
[02:55:11] Speaker J: Que mes camarades de Dormivouz et moi, on a remarqué quelque chose.
[02:55:13] Speaker A: Quand tu vas au restaurant, tu commandes.
[02:55:15] Speaker D: Pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal.
[02:55:18] Speaker A: Sûr que tu mets pas le même.
[02:55:19] Speaker J: Linge que ton chum.
[02:55:20] Speaker A: Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les.
[02:55:21] Speaker J: Mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme.
[02:55:25] Speaker A: Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
[02:55:30] Speaker B: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 30 % de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous.
[02:55:37] Speaker A: Qui veut retourner à la maison avec sa nouvelle voiture en disant, « Chéri, regarde ma nouvelle pas pire auto. J'ai fait une pas pire affaire.
[02:55:44] Speaker E: » Personne.
[02:55:45] Speaker A: Ce que tout le monde veut, c'est faire un hit. Avoir du succès. Option Subaru, on vend pas d'auto.
[02:55:49] Speaker E: On loue pas de voiture. Non.
[02:55:51] Speaker A: On livre du succès. Ce mois-ci, c'est en offrant l'IMPREZA 2025. À partir de 99$ par semaine en location. Pas de comptant. Répète après moi. J'ai du succès. J'en veux.
[02:56:02] Speaker C: Je le mérite.
[02:56:03] Speaker A: Ta meilleure option, c'est Option Subaru.
Tu connais-tu les boutiques Animalie?
[02:56:09] Speaker I: Non.
[02:56:09] Speaker A: C'est des boutiques pour animaux.
[02:56:11] Speaker I: Faut que t'ailles faire un tour.
[02:56:12] Speaker E: Qui ont tellement d'inventaires, c'est clair que.
[02:56:14] Speaker A: Tu trouves de tout pour ton chien.
[02:56:15] Speaker E: Ton chat, ton lapin et même!
[02:56:16] Speaker A: Pis le personnel est vraiment bien formé pour te conseiller. Dis-moi ça, pas plus! J'suis déjà rendu. Les boutiques Animalie. C'est un monde de produits de qualité au meilleur prix.
[02:56:25] Speaker E: Un énorme inventaire et des conseillers humains.
[02:56:27] Speaker A: Prêts à vous aider. Les boutiques Animalie, à Val-Bélair, Beauport, L'Ancienne-Lorette, Saint-Nicolas et au boutiqueanimalie.com.
[02:56:34] Speaker B: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[02:56:50] Speaker A: Vous avez peut-être vu passer ça la semaine dernière. Skims, la marque de sous-vêtements de Kim Kardashian, a dévoilé une culotte de faux poils pubiens.
[02:56:59] Speaker B: Le faux air micro string thong.
[02:57:03] Speaker A: 12 teintes différentes pour que le tapis de poils soit de la couleur qui.
[02:57:07] Speaker D: Vous scie le plus.
[02:57:10] Speaker A: Montre-moi ton poil, Carole Amoureux, fou comme un petit roulet comme un fou! Je sais, vous qui êtes à l'écoute, auditeurs, auditrices, je ne vous vois pas, mais je vous imagine...
[02:57:21] Speaker B: Tout petit, petit, petit string, là...
[02:57:23] Speaker A: Exactement, c'est une vraie culotte, avec de faux poils pubiens. Exactement, c'est une vraie culotte, avec de faux poils pubiens. Montre-moi ton poil, Carole Amoureux, fou comme un petit roulet comme un fou!
[02:57:42] Speaker B: Avec Dominique Morin.
[02:57:45] Speaker A: Nous sommes profondément désolés.
[02:57:49] Speaker E: Radio X. This is Radio X.
[02:57:59] Speaker A: Jérôme Blanchet-Gravel.
Comment ça va?
[02:58:06] Speaker F: Bonjour messieurs.
[02:58:07] Speaker A: Libre Média, Libre Média, Libre Média.
[02:58:10] Speaker F: Je suis Monsieur Libre Média, des fois on m'appelle comme ça. Oui! On m'a déjà appelé comme ça à l'épicerie et bon, j'en suis fier. J'accepte le titre.
[02:58:19] Speaker A: J'espère. Et vent contraire aussi, hein? Vent contraire, j'aime ça le terme.
[02:58:23] Speaker F: Oui, c'est bon le titre.
[02:58:25] Speaker A: Une chanson de Brassens, quelque chose... Il y a quelque chose de poétique là-dedans.
[02:58:29] Speaker F: Oui, puis c'est aussi l'aspect contre l'adversité, évidemment. À Radio-X, vous êtes aussi là-dedans, donc... Oui.
[02:58:35] Speaker A: Oui, on a le vent d'en face.
[02:58:36] Speaker F: À contre-courant.
[02:58:37] Speaker A: Vous autres, on le dit vent d'en face.
[02:58:38] Speaker F: Oui, d'en face, oui, c'est plus québécois. Nous, on a un volet plus français international.
[02:58:43] Speaker A: Très bon danse, quoi. Comment tu dis ça? Soldat de Londres. Soldat de Londres.
[02:58:49] Speaker D: Soldat de Londres, c'est parfait.
[02:58:51] Speaker A: Très bon. Deux sujets ce matin. D'abord... Deux gros. Oui, absolument. L'Argentine, la vieille milaire qui a été diabolisée en arrivant au lycée. Puis il y a eu quelqu'un sur Twitter qui a sorti tout ce qu'on a dit sur lui à LCN. C'est sûr que là, on a pris l'extrême, là. C'était un CAF, c'était un CSA, c'était un Trump, blablabla. Il n'y a rien qu'on n'a pas dit sur cet individu-là qui a ramené son pays dans le droit chemin au cours des derniers jours, t'a fouillé. Justement, le plébiscite de Ravieil qui, lui, n'était pas en cause. Je pense que c'était la Chambre qui était soumise au vote.
[02:59:27] Speaker F: Oui, c'est ça. Donc, un peu comme...
[02:59:28] Speaker A: Une élection législative, un peu, hein?
[02:59:30] Speaker F: Deux tiers, je pense, des députés devaient être réélus.
[02:59:35] Speaker A: Les Argentins en redemandent?
[02:59:37] Speaker F: En redemande, c'est quand même une surprise pour les observateurs de gauche comme de droite parce qu'il faut l'avouer, Milley est impliqué ou supposément impliqué dans des scandales de corruption déjà.
[02:59:51] Speaker A: Tu y crois-tu?
[02:59:52] Speaker F: Je sais pas. Il y a quand même le scandale de la Libra. C'est une crypto-monnaie dont Milley avait fait la promotion très rapidement et apparemment, il y a des proches de Milley qui sont enrichis. Ça lui a valu quand même de perdre beaucoup d'appui à droite. Donc en Amérique latine, actuellement, il y a un schisme, il y a vraiment une guerre civile, si on peut dire, interne dans la droite. Donc on reproche, étrangement si on ne le dira jamais dans nos médias à nous, mais on reproche à Millet de ne pas être assez à droite. chez une droite plus dure que la sienne, qui est la droite, effectivement, économique, finalement. C'est une droite essentiellement économique, celle de Milleille, avant d'être morale. Bon, questions liées à l'avortement, parce que c'est des questions dont on parle encore en Amérique latine.
[03:00:37] Speaker A: Écoute, la nuit, son score économique, si je regarde ça, sous Milleille, l'inflation mensuelle est passée de 20 % en décembre 2023 à 4 %.
C'était ça le défi de contrôler cette inflation-là, complètement ridicule. On changeait le prix du pain à demi-heure quasiment.
[03:00:57] Speaker F: Puis le chaos ici, c'est-à-dire la paralysie de Buenos Aires, constante. Il y avait toujours des mouvements de protestation, des blocages de l'extrême gauche.
[03:01:06] Speaker A: Causés par qui? Les syndicats? Le gouvernement?
[03:01:08] Speaker F: Oui, effectivement. Syndicats, associations à gauche, étudiants. Et juste pour ça, c'est-à-dire d'avoir libéré Buenos Aires de cette... de cette contestation perpétuelle. Ça lui a valu des appuis un peu inespérés. Donc, écoute, c'est quand même une grande victoire pour Milei. Lui-même, je sais pas s'il s'attendait à un score aussi fort. Je ne pense pas. Donc, c'est une sorte de plébiscite. Donc, manifestement, les Argentins veulent continuer sur la voie du redressement économique. Je pense que Milleille, sur le plan économique, est très compétent. Après, ça reste un personnage très coloré. On sait, bon, quelqu'un qui appuie Israël de manière, bien, inconditionnelle, mais à un niveau que, bon, vraiment inégalé, surtout en Amérique latine. Donc, c'est sûr qu'il n'est pas très patriotant, comme me disait Mme Claudia Perro hier à Libremedia, une journaliste à Buenos Aires. C'est-à-dire que c'est quelqu'un qui... Je joue beaucoup sur les symboles israéliens, américains. L'Argentine, on ne sait pas s'il l'aime vraiment, parce que l'Argentine, c'est un peu comme le Québec, d'une certaine façon, c'est un modèle étatique, obèse, d'une taille absolument éléphantesque.
Donc, c'est un personnage vraiment extrêmement fascinant. Mais bref, très grande victoire pour lui hier. Les Argentins vont pouvoir terminer... Milet va pouvoir terminer son mandat, aller jusqu'au bout justement de ses promesses économiques. Je pense que ce redressement-là était plus que nécessaire.
Après, ça va rester un pays quand même avec une gauche très enracinée sur le plan historique. Ça veut pas dire que tous les problèmes d'Argentine sont réglés du jour au lendemain. Mais pour une première fois depuis presque un siècle...
[03:02:52] Speaker A: Un homme de son temps, puis peut-être que le pays méritait cet homme-là à ce moment-là. Dans 20 ans, il sera peut-être plus là. Mais à ce moment-là bien précis, peut-être que l'Argentine avait besoin d'un homme comme ça. C'est un peu ce que tu dis.
[03:03:04] Speaker F: Oui, absolument. C'était nécessaire. Et on en sait peut-être si sa vice-présidente, avec qui justement il s'est pogné, pour parler en québécois, c'est quelqu'un qui s'est mis à dos quand même pas mal de monde, dont sa vice-présidente, Victoria Villarroel, qui est plus conservatrice que lui. Lui, vraiment, c'est un libertarien. C'est quelqu'un qui... Vous le savez, donc, c'est un volet très libéral. Elle, Victoria Villarroel, c'est quelqu'un vraiment plus conservatrice, un peu, bon, très opposé à l'avortement, plus nationaliste, plus, tu sais, des valeurs plus traditionnelles. C'est plus la même...
[03:03:34] Speaker A: Morale.
[03:03:34] Speaker F: Morale, oui, c'est ça. Donc, encore une fois, il y a cette ambivalence.
[03:03:38] Speaker A: OK.
[03:03:39] Speaker F: C'est pour ça que quand on dit que les grands médias disent «Millet est extrême droite», on continue de le répéter. Écoutez, Millet n'est pas d'extrême droite, mais c'est vraiment ridicule, à tel point que la droite en Amérique latine nous reproche de ne pas être assez à droite. Il faut arrêter de dire n'importe quoi aux médias, et on continue. Millet est le président d'extrême droite.
[03:04:01] Speaker A: L'histoire de la drogue, de les États-Unis avec Trump, il y a l'armée américaine et il y a Maduro de l'autre bord, et on voit des images. Puis là, j'ai besoin d'explications. On voit des images d'attaques des États-Unis sur des bateaux remplis de drogue qui s'en viennent chez nous. Est-ce qu'on est sur le bord de quelque chose de plus musclé? Commençons par le début, dans la tête de Donald Trump, qui est Maduro. Est-ce que c'est un homme de cartel? Est-ce que c'est un mafieux? Est-ce que c'est quelqu'un qui mérite d'être éliminé? Raconte-nous un peu cette dynamique-là et comment ça risque d'aboutir.
[03:04:41] Speaker F: Ben, Nicolas Maduro... Est-ce que tu l'as.
[03:04:42] Speaker A: Fouillé beaucoup, ce dossier-là aussi?
[03:04:44] Speaker F: Oui, beaucoup, à Libremedia. On a interrogé beaucoup de gens. Des véritables experts. On a même éclaté une au Venezuela, etc. Des dissidents aussi. Je me suis entraîné avec des dissidents vénézuéliens.
[03:04:53] Speaker A: Ben, parfait. Explique-nous où j'ai besoin.
[03:04:55] Speaker F: Maduro, essentiellement, c'est un dictateur.
Oui. D'extrême-gauche. D'extrême-gauche, soutenu par Cuba. Et c'est un régime tellement criminel que même une grande partie de la gauche en Amérique latine s'est désolidarisée de lui. C'est-à-dire que même au Chili, le président de gauche...
[03:05:15] Speaker A: Était fréquentable, devient fréquentable.
[03:05:17] Speaker F: Même le Mexique avait hésité. En fait, plusieurs pays n'ont pas reconnu les résultats électoraux. La dernière élection, c'était une fraude électorale monumentale. Même la gauche latino-américaine l'a dit. Donc, il n'a pas voulu reconnaître les résultats des dernières élections. Donc, c'est vraiment...
[03:05:31] Speaker A: Il devient un paria.
[03:05:32] Speaker F: Complètement, là.
[03:05:33] Speaker A: OK.
[03:05:33] Speaker F: Donc, il reste Cuba. Le Venezuela sans Cuba, ça ne me tient pas. C'est pas un régime très respectable non plus, très exemplaire. Donc, le Venezuela, actuellement, c'est une dictature d'extrême gauche en faillite économique totale. Et au Venezuela, actuellement, t'as un opposant politique qui est emprisonné chaque 15 heures. C'est-à-dire, chaque 15 heures, la police secrète de Maduro débarque dans le domicile de quelqu'un pour l'emprisonner. Il y en a plein. Ces gens-là se retrouvent souvent à la fameuse prison de Helicoïdé, la grande prison à Caracas. Donc c'est un régime criminel qui doit tomber. Moi, je pense que ce régime-là doit tomber. Les Vénézuéliens attendent ça depuis longtemps. Donc Donald Trump, ce qu'il fait, c'est qu'il met la pression sur le régime dans les Caraïbes de manière assez musclée.
Cela dit, bon, son discours sur le narco-terrorisme, qu'est-ce que ça veut dire? Moi, je pense qu'il en met pas mal. C'est ce qu'on appelle un peu un alibi stratégique. Est-ce que le Venezuela est devenu un narco-État? Pas plus que la Colombie, pas plus que le Mexique. Donc, disons qu'il... Comme vous dites ici, c'est saucé. Trump, disons, a un discours saucé sur le Venezuela en termes de...
[03:06:44] Speaker A: Puis il y a du pétrole comme enjeu.
[03:06:46] Speaker I: Il y a du pétrole.
[03:06:47] Speaker F: Bon, ça, c'est très récurrent dans l'histoire des États-Unis.
Mais c'est pas parce que les États-Unis ont des intérêts que les Vénézuéliens ne veulent pas s'affranchir de ce régime-là. Je pense que les Vénézuéliens seraient quand même beaucoup plus heureux sous influence américaine, entre guillemets, que sous l'influence cubaine. C'est parce qu'à un moment donné, on choisit en Amérique latine, c'est soit la Chine, soit les États-Unis.
Et il y a un danger que.
[03:07:11] Speaker A: La Chine prenne de plus en plus de place. En fait, la Chine prend de plus en plus de place en Amérique latine. Donc la nature horreur du vide, les Américains ont avantage à prendre plus de place dans une diplomatie de cour arrière. C'est la diplomatie de la cour arrière. Reprenons-en à la doctrine Monroe. Exact.
[03:07:28] Speaker F: Oui, c'est une bonne référence. Donc oui, les États-Unis ont compris de Trump, ont compris que Il fallait qu'ils gardent leur territoire quand même. Il y a un aspect territorial. Les Caraïbes, le golfe du Mexique qui a été rebaptisé, ça s'inscrit dans cette stratégie géopolitique de garder sa place finalement dans sa zone naturelle d'influence géographique. Moi, je pense que les États-Unis ont été très cow-boys dans l'histoire. Ils n'ont pas toujours été corrects. Ils ont fait tomber toutes sortes de régimes au Chili.
Il y a plein, plein, plein d'histoires. La CIA a fait de très mauvais coups, etc. Mais moi, je préfère encore quand même l'influence américaine et américaine que l'influence chinoise.
[03:08:12] Speaker A: Est-ce que Maduro sera en Noël? Pourquoi pas?
[03:08:17] Speaker F: Je ne sais pas.
[03:08:17] Speaker A: Navidad.
[03:08:19] Speaker F: Pas une question. D'ailleurs, l'année passée, il avait devancé Noël.
[03:08:22] Speaker A: Il a devancé Noël pour être sûr d'arriver à Noël. Très bon.
[03:08:25] Speaker F: Non, mais écoutez, pour faire oublier aux gens... Benadouro, c'est un éducateur à ce point-là. Il devance Noël, il devance les fêtes de Noël pour faire oublier à son pauvre peuple que finalement, il vit dans la misère, etc. Ça va très loin. Et on a vu toutes sortes de scènes en passant, donc Maduro qui a un peu conscrit les Vénézuéliens, on a vu toutes sortes de scènes sur les réseaux sociaux, donc des Vénézuéliens un peu obèses en bobettes avec des mitraillettes en styromousse, se pratiquer contre l'invasion américaine.
[03:08:52] Speaker A: Mais est-ce possible une invasion américaine?
[03:08:54] Speaker F: Je sais, non je pense pas, je pense pas qu'on va se rendre… Un.
[03:08:56] Speaker A: Coup à la Reagan en grenade, tu sais, qui était un des plus petits pays, on se comprend là.
[03:09:01] Speaker F: Remarque, les Vénézuéliens l'espèrent, de certaine façon. Je pense qu'ils accueilleraient bien, assez bien, une invasion.
[03:09:07] Speaker A: Les G.I. qui marchent dans les rues de Caracas, les Vénézuéliennes et les Vénézuéliens lancent des cadeaux, lancent des banderoles.
[03:09:14] Speaker F: Honnêtement, oui.
[03:09:15] Speaker A: Des confettis.
[03:09:17] Speaker F: Honnêtement, oui, et c'est ça qu'est... Quand on lit notre presse à nous...
[03:09:20] Speaker A: Évidemment, c'est pas Yves Boisvert qui va le dire.
[03:09:22] Speaker F: Où Monsieur est-tu hier dans la presse, qui...
[03:09:25] Speaker A: On a nos meilleurs.
[03:09:26] Speaker F: Relativisait un peu le bon... On parle d'un néo-impérialisme américain, etc. Oui, je veux bien, mais comprenez-vous, c'est une dictature. Le Venezuela, il y a un million, je pense, de Vénézuéliens en exil. J'en ai rencontré plein, moi, Mexico, des Vénézuéliens. C'est-à-dire qu'ils m'ont raconté toutes sortes d'histoires de fêtes, des gens qui avaient des grandes maisons sur le bord de la plage, qui sont maintenant squattés par 20 familles.
[03:09:46] Speaker A: C'est des nationalisations sauvages.
[03:09:48] Speaker F: Ça va très, très mal. Les Vénézuéliens, c'est une détresse forte. Donc je pense qu'ils attendent que ça, un changement de régime. Puis peu importe ce que les chroniqueurs vont vous dire ici, l'impérialisme, les Vénézuéliens veulent un changement de régime rapide, c'est clair.
Et donc, bon, j'y reviens. La légitimation à partir de la drogue, je pense que c'est un discours qui est en partie mensonger de la part de Trump.
[03:10:13] Speaker A: Mais comme ça, on me dit Boulot Canada, là. Je veux dire, je comprends qu'il y en a du fait, mais ça n'a rien à voir. C'est des opérations de communication. C'est ça. C'est une opération de communication. Absolument. En terminant, conclusion JBG là-dessus, Maduro est fragilisé. Mais c'est sûr que le rêve de Trump, c'est qu'il y ait un changement de régime à Cuba aussi. Dans un monde idéal pour les États-Unis, Cuba et le Venezuela changent de régime. Est-ce qu'ils sont soutenus de manière clandestine par la Chine, peut-être?
[03:10:39] Speaker F: La Chine, je sais pas. Non, je pense que la Chine n'a pas...
Elle opère de manière plus économique, plus sournoise. Au Chili, t'y as un grand port. Elle ouvre des ports, des mégaports. Elle n'a pas besoin non plus, la Chine, je pense, de faire ça. Elle ouvre des canaux carrément, t'sais, pour concurrencier le canal de Panama, etc. Ça, on n'en parle pas. Donc, pour te répondre, je pense qu'une invasion militaire aux États-Unis est moins probable, d'où aussi depuis quand même la nomination de Maria Corina Machado comme prix Nobel de la paix, parce que c'est une manière de dire qu'il y a une opposition encore interne, et c'est ça qui a été reproché. même finalement, en tout cas, au prix Nobel, c'est-à-dire de favoriser plus l'opposition interne qu'une intervention militaire. C'est-à-dire qu'il y a une droite encore là, très dure en Amérique latine, qui a dit, bien là, si vous nommez cette femme-là prix Nobel, ça veut dire que les Américains débarqueront pas, ça veut dire qu'on croit encore à une opposition interne. En tout cas, il y a une droite très dure en Amérique latine. Radio Wix, c'est encore l'extrême gauche, c'est encore à côté de bien des gars en Amérique latine. Je peux vous le dire. Mais en conclusion, c'est un régime criminel qui doit tomber, puis d'après moi, les Vénézuéliens n'attendent que ça.
[03:11:44] Speaker A: Très bon. Merci beaucoup, JBG, ton prochain voyage en terminant. Un retour en France? Non, tu viens d'arriver.
[03:11:51] Speaker F: Oui, Mexico, Buenos Aires.
[03:11:52] Speaker A: Ah, peut-être, peut-être. Très bon.
[03:11:54] Speaker D: Merci beaucoup.
[03:11:54] Speaker F: Fait plaisir.
[03:11:55] Speaker D: L'hiver, c'est le fun d'aller au Mexique.
[03:11:58] Speaker A: Il n'y a pas de masque là-bas, hein?
[03:12:00] Speaker F: Non.
[03:12:01] Speaker A: On revient.
[03:12:02] Speaker B: Vous êtes à Radio X.
[03:12:12] Speaker A: C'est pas un problème l'argent.
[03:12:14] Speaker B: Pierre Couture.
[03:12:15] Speaker A: Ça roule.
[03:12:16] Speaker B: Suivez les chroniques de Pierre Couture.
[03:12:18] Speaker A: Ça roule.
[03:12:19] Speaker B: À Radio X.
[03:12:20] Speaker A: Radio X.
[03:12:22] Speaker B: La chronique de Pierre Couture présentée par Noréa Foyer-Napert. Les poêles et foyers Osborne fabriqués à Saint-Augustin sont arabais et vous économisez des milliers de dollars. Noréa Foyer-Napert à Sainte-Marie et à Québec.
[03:12:36] Speaker A: Ils sont partout. Ils sont même à Saint-Georges. Ils sont même à Sainte-Marie. Warwick, Mont-Joli, Quaticoque, Pont-Rouge. Et là, je vous parle de rouge. Allez dans le parking, vous allez voir rouge. Je vois rouge, je vois du Massive Ferguson à perte de vue. Il y en a-tu? Il y en a-tu? Il y en a un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf. Yes, il voit la vie. Le 1GC, c'est le modèle. J'oserais pas dire miniature, mais c'est le petit tracteur. Très sympathique.
Maniable, compact, pas cher, pour remblayer, ramblayer, tasser, déneiger, tout ce que vous voulez. C'est un tracteur qui est tellement polyvalent, c'est fou! 53 piastres par semaine, zéro comptant, garantie 10 ans. La plus longue garantie offerte sur le marché. Au financement, 0% sur 60 mois. C'est-tu pas croyable? C'est-tu pas croyable? Ils l'ont fait. Je pensais jamais qu'ils étaient pu se rendre là. Mais oui, ils l'ont fait. saservicesagricoles.ca.
[03:13:40] Speaker D: Ça roule! On va faire des bonnes nouvelles. Ça roule un peu partout, là. La congestion matinale, qui est chose du passé en ce 28 octobre de l'an de grâce 2025. Jusqu'à mercredi prochain, chez Jean Coutu, les assortiments de friandises Nestlé Mini en emballage de sang sont à seulement 17,99$. Détails? JeanCoutu.com.
[03:14:00] Speaker A: Nissan est numéro 1 pour la qualité.
[03:14:02] Speaker D: Des véhicules neufs parmi les marques grand.
[03:14:04] Speaker A: Public selon l'étude 2025 sur la qualité initiale J.D.
[03:14:08] Speaker D: Powers aux États-Unis.
[03:14:09] Speaker A: Mais même au sommet, on peut toujours aller plus loin.
[03:14:11] Speaker F: La preuve?
[03:14:12] Speaker D: Le Rogue 2026 de Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[03:14:15] Speaker A: Prenez le volant d'un véhicule d'une grande qualité. En loi sur 36 mois, le nouveau Rogue au taux de 1,9 %. Équipé de la transmission intégrale et de technologies avancées, le Rogue 2026 se surpasse.
[03:14:27] Speaker D: Détails chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[03:14:31] Speaker E: Vos rôtisseries Saint-Hubert de la région de Québec vous offrent sa promo 2 repas pour 26 $ au comptoir à emporter ou 2 repas pour 30 $ en livraison parmi 5 plats vedettes.
[03:14:40] Speaker B: Je bouge pour être bien dans mon corps et dans ma tête. Pour conserver mon autonomie. Pour rester chez moi longtemps. Et pour continuer à jouer avec mes petits-enfants. Et bouger à mon âge, ça peut être simple. Je sors marcher dehors, je choisis parfois l'escalier plutôt que l'ascenseur, ou je fais une activité qui me plaît, comme le vélo, la danse ou le tai-chi. Je l'intègre à mon quotidien, pour moi et pour ceux que j'aime.
Bouger plus, vieillir mieux. Un message du gouvernement du Québec.
[03:15:10] Speaker D: Si vous manquez de temps pour faire des repas ou que vous avez envie que quelqu'un d'autre prenne soin de vos besoins gastronomiques, parce qu'on va se le dire, c'est pas juste une question de je suis pas capable de faire à manger, c'est une question de on a un peu moins d'argent, On est un peu plus productif, donc on a moins de temps de s'occuper de nos besoins gastronomiques. Équilibre Traiteur peut vous faire ça sans vous ruiner. C'est surtout cette phrase-là qui est importante. Sans vous ruiner. La destination simple pour vous offrir des repas. d'une qualité extraordinaire. C'est tellement simple de faire affaire avec Équilibre Traiteur, que ce soit pour des rencontres d'équipe, des lacs à l'épaule, des colocs, des rencontres d'affaires, pour vos partys de Noël qui s'en viennent bientôt. Si vous n'avez pas encore planifié vos partys de Noël, ce serait peut-être le temps de penser à la bouffe Équilibre Traiteur. est une excellente référence, c'est sûr que vous allez être content. C'est aussi beaucoup plus qu'un traiteur pour vos grands événements. C'est sûr qu'on est présents, puis qu'on est capables, puis on en fait beaucoup, du 50, du 100, du 200 personnes, mais on peut s'occuper de vous dans le doux confort de votre domicile, que ce soit pour des déjeuners ou des dîners individuels, ou pour un souper rapido presto. Passez voir le site web, vous allez triper sur le menu. équilibre-traiteur.ca équilibre-traiteur.ca Commandé en ligne, sans nombre minimum de repas ou encore au téléphone au 88 929 72 99.
[03:16:28] Speaker A: Vos dettes vous étouffent? alexandewallet.com Moi avant, chaque mois je payais.
[03:16:32] Speaker B: 2000$ d'hypothèque, 800$ de carte de crédit, 900$ de prêt personnel et 700$ pour mon auto. Ça me déprimait puis toute ma paie passait en paiement. J'ai appelé alexandewallet.com et maintenant j'ai un seul paiement qui comprend tout et j'économise 1600$ par mois. Enfin, je respire.
[03:16:50] Speaker E: Pour diminuer vos paiements, Alexandre Ouellet, c'est LE spécialiste.
[03:16:57] Speaker A: La course aux promotions, les cadeaux, les.
[03:16:59] Speaker E: Paiements pas clairs, c'est bon pour les autres.
[03:17:01] Speaker A: Mais quand on est le classique de l'automobile à Québec, on n'en a pas besoin.
[03:17:05] Speaker E: Laurier-Mazda offre tout simplement le CX90 PHEV.
[03:17:08] Speaker A: 2025, 4000 $ de rabais Mazda, 1500 du gouvernement, location 36 mois, 132 $ par semaine avant taxe, zéro comptant.
[03:17:17] Speaker E: Laissez les autres faire des fausses notes.
[03:17:19] Speaker A: Venez voir le classique de Québec. Laurier-Mazda, à Sainte-Foy, Saint-Carthen!
Salut! C'est moi, ton sommeil. Je te prends une petite minute parce.
[03:17:29] Speaker J: Que mes camarades de Dormez-vous et moi.
[03:17:30] Speaker A: On a remarqué quelque chose. Quand tu vas au restaurant, tu commandes pas nécessairement la même chose que ta blonde. Puis le matin, je suis pas mal.
[03:17:36] Speaker J: Sûr que tu mets pas le même linge que ton chum.
[03:17:38] Speaker A: Alors pourquoi tu serais obligé d'avoir les.
[03:17:40] Speaker J: Mêmes goûts en matière de sommeil? Tu veux du moelleux, elle demande du ferme.
[03:17:43] Speaker A: Tu rêves de fluffy, lui de soutien. Ben go, go, let's go! On a ce qu'il vous faut.
[03:17:48] Speaker B: Pendant l'événement Milli Mello, obtenez 30% de rabais sur presque tout, en ce moment, seulement chez Dormez-vous.
Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière. Postule à davierecrute.ca. Voter aux élections municipales, c'est voter pour ce qui me touche au quotidien. Dans mes déplacements, dans mon quartier, dans mes loisirs. C'est voter pour ce qui compte pour moi. Le 2 novembre, aux élections municipales de la Ville de Québec. Je vote, ça compte. Vous rêvez de passer à l'électrique, mais vous attendez le bon moment? Avec Polestar Ville de Québec, le bon moment est arrivé. Le VUS électrique Polestar 3 est désormais plus accessible que jamais. À partir de 655 $ par mois sur 12 mois et 0 $ d'accompte, vivez la performance pure et le design scandinave. C'est l'occasion de conduire la puissance électrique sans compromis. Ne manquez pas cette offre exclusive d'une durée limitée et concentrez-vous sur le plaisir de conduire. Polestar Ville de Québec, votre destination 100 % électrique.
Choua.
[03:18:57] Speaker A: Oh yeah! 98. 98. Un.
[03:19:01] Speaker B: Le fameux.
[03:19:01] Speaker A: L'original. Choua.
[03:19:03] Speaker B: Choua.
[03:19:04] Speaker A: Choua. Radio X. À Québec, c'est Radio X. Choua.
[03:19:08] Speaker D: Choua.
[03:19:08] Speaker B: Radio X.
[03:19:10] Speaker A: C'est vous.
[03:19:11] Speaker B: Fait drôle.
[03:19:12] Speaker A: Votre propre opinion. Moray. Moray. J'en viens à l'œil. Live. Toujours, toujours, toujours.
[03:19:19] Speaker B: Avec Dominique Moray.
[03:19:20] Speaker A: Ouais. J'en viens à l'œil. Live.
[03:19:24] Speaker B: Radio X.
[03:19:29] Speaker I: Jean-François.
[03:19:45] Speaker A: Caron, l'universitaire. Comment ça va?
[03:19:48] Speaker D: Ça va bien et toi?
[03:19:49] Speaker A: Très bien. Le prof d'université ce matin va nous parler de nos belles universités.
[03:19:57] Speaker H: Ouais, pis j'ai pas des bonnes nouvelles pour vous autres. Parce qu'à chaque année, vous avez un organisme qui s'appelle le Times Higher Education, qui établit un classement international des universités dans le monde.
entre 20 et 25 000 universités dans le monde, mais ils vont faire un classement des 2000 meilleurs. C'est super intéressant pour savoir si ça vaut la peine de payer 10 000 $ par année de frais de scolarité, parce que c'est un classement qui est très détaillé, ça vous donne la qualité de l'enseignement, la qualité de l'environnement de recherche, de la qualité des recherches qui sont faites par les professeurs, du lien entre l'université et le monde industriel, donc les connexions avec le monde des compagnies privées, puis les compagnies publiques. Puis surtout, et ça c'est très important, ce qu'on appelle en anglais le International Outlook. Ça c'est la réputation globale de l'université sur la scène internationale.
Ce qui doit être dit, c'est qu'au cours des dernières années, il y a vraiment une tendance à la baisse des universités canadiennes. Elles ont baissé dans le classement du Times Higher Education.
[03:21:07] Speaker A: Est-ce qu'elles ont toutes baissé, les universités canadiennes? Par exemple...
[03:21:11] Speaker H: C'est global.
[03:21:12] Speaker A: C'est global, OK. Prenons l'Université de Toronto, les grandes universités. L'Université de BC. UBC, donc, t'as McGill, t'as l'Université de Toronto. En partant, l'élite a baissé.
[03:21:23] Speaker H: Ça se maintient. McGill, Toronto, ça se maintient, mais je vais vous donner d'autres exemples. L'Université d'Ottawa, où j'ai fait mon bac, mais ma maîtrise, depuis 2022, l'Université d'Ottawa a baissé de 100 positions dans le classement. l'Université de Montréal. Donc l'année dernière, l'Université de Montréal était classée 28e meilleure université dans le monde, ce qui est excellent. Mais cette année, 55e. Donc c'est quand même une baisse assez significative. L'université Queen's...
[03:21:52] Speaker A: C'est le tramway qu'on entend en arrière.
[03:21:54] Speaker H: Ouais, excuse-moi.
[03:21:55] Speaker D: Je vais fermer ma fenêtre parce que c'est...
[03:21:58] Speaker A: J'en veux pas de tramway.
[03:21:59] Speaker H: Il y a de la circulation.
[03:22:01] Speaker A: Je reconfirme, je ne veux pas de tramway. C'est re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re L'Université Queen's, qui est une.
[03:22:10] Speaker H: Très bonne université, elle a baissé depuis 2024, elle a baissé de 100 positions dans le classement. Simon Fraser en Colombie-Britannique, elle a baissé de 100 positions depuis 2024. L'Université York, depuis 2024, elle a baissé de 100 positions. Concordia, elle a baissé de 200 positions. Et quand on est à Québec, parlons de l'Université Laval. L'Université Laval, l'année dernière, était classée entre la 251e et 300e position. Ça, c'était l'année dernière. Dans le classement de cette année, l'Université Laval a droppé entre la 401e position et la 500e position.
[03:22:55] Speaker A: Ça, c'est... Quel est, Laurent, le classement très exact de l'Université Laval?
[03:23:00] Speaker H: L'année dernière, en matière de qualité d'enseignement, sur 100, c'était 40,5. En 2026, cette année, 31,8. Donc une drop d'à peu près 10 %.
[03:23:12] Speaker A: OK, mais le classement, 508e, 517e... C'est quoi?
[03:23:17] Speaker H: Parce que lorsqu'on augmente comme ça dans les classements, passé la 250e position, on est dans un range entre 251 et 300. Donc l'université est peut-être 251e, puis elle est peut-être 299e. L'année dernière, mais maintenant, c'est entre la 401e et la 500e. Donc c'est potentiellement une drop de 250 positions. Ça, là, c'est catastrophique, là. Honnêtement, si ça arrivait dans mon université au Kazakhstan, le président de l'université, en 48 heures, il se ferait sacrer dehors, là. Parce que c'est inacceptable qu'une université droppe autant dans les classements. Puis on peut se poser la question. Pourquoi est-ce que c'est le cas? Puis d'ailleurs, bien, je vous invite à peut-être que vous devriez inviter en entrevue la rectrice de l'université de Montréal.
[03:24:01] Speaker A: — Elle va venir en courant. C'est sûr. — Elle va venir en courant.
[03:24:04] Speaker H: Mais tu sais, c'est...
[03:24:05] Speaker I: Mais c'est une bonne...
[03:24:05] Speaker A: C'est une bonne...
[03:24:06] Speaker H: Mais c'est une bonne personne, c'est une bonne WOW qui aime ça la diversité puis l'inclusion. C'est sûr que les grands médias de la région de Québec n'ont pas parlé de la drop de l'Université Laval dans les classements, parce que ça la ferait mal paraître. Je pense que c'est important que les gens sachent, surtout si des parents envoient leurs enfants à cette université-là, puis ils paient 600 000$ par année en frais de scolarité, je pense qu'ils doivent savoir que la qualité du diplôme, en l'espace d'un an, elle a drôlement perdu de sa valeur. Puis on peut se poser la question, puis c'est pas juste pour l'Université Laval, pourquoi les autres universités canadiennes, globalement, elles sont dans une tendance vers la baisse. Puis, t'sais, je veux dire, quand vous avez une université comme l'Université Laval, qui congédie des professeurs, parce que les professeurs disent des choses qui plaisent pas aux gens, ça contribue pas à lui donner une très bonne réputation, hein. Les gens après ça se disent, y'a pas vraiment de liberté académique à l'Université Laval. Ça, c'est simplement de vous parler à des étudiants qui sont là en ce moment, des gens, après les entrevues que je vous donne, des gens m'envoient des messages sur Messenger. Des fois, j'ai des étudiants de l'Université Laval qui me disent « T'as raison, parce que moi dans mes cours, qui est enseigné par tel prof, qui est extrêmement woke, je ne peux pas écrire réellement ce que je pense dans mes travaux parce que je sais très bien que ma note va être moins bonne. que si j'écris quelque chose qu'elle veut entendre. Mais tu sais, il y a une espèce de prise en otage du savoir, puis de la liberté académique. Puis je pense que dans le contexte canadien, honnêtement, l'Université Laval, c'est probablement une des pires universités à cet égard-là. Donc pour moi, c'est ça qui explique ce qui est potentiellement une drop jusqu'à 250 positions de l'Université Laval. Ça fait que si ça continue comme ça, l'Université Laval va se faire sortir des classements.
[03:25:52] Speaker A: Parle-moi donc des universités américaines, Woke, les ultra-Woke à la Harvard, par exemple, Columbia. Est-ce qu'on m'en jeune de barque?
[03:26:01] Speaker H: Faut que je vérifie, j'ai pas pris le temps de vérifier les universités américaines, mais c'est sûr que, tu sais, Harvard, une personne qui est pas au courant de ce qui se passe à Harvard, le virage Woke des dernières années, c'est quand tu demandes à n'importe quelle personne dans la rue qu'est-ce que tu penses d'Harvard, les gens, ils savent pas ce qui se passe là-bas, mais ils vont se dire, ah, mais tu sais, c'est Harvard, donc ça ne peut être... Ben oui, c'est ça. Donc la réputation comme ça vient contribuer à ce que ces universités-là puissent se maintenir dans les classements internationaux. Mais les gens aux États-Unis, tu sais, si vous êtes un père et que vous envoyez votre fille qui vous dit « Papa, je vais étudier à Harvard en anthropologie », Tu sais, ta fille, qui est toute jolie, qui est blonde, des cheveux longs, quatre ans plus tard, elle va graduer, puis elle va avoir des cheveux mauves avec des pics-pics dans le nez, puis son nom, maintenant, ça va devenir Jean-Pierre. Tu sais, puis tu paies 60 000 $ par année, US, en frais de scolarité. C'est sûr que les gens commencent à être un petit peu réfractaires, puis ils commencent à se poser la question si ça vaut réellement la peine. Puis ça, ça veut dire qu'en quelque sorte, Trump a aussi raison de vouloir définancer ces universités-là. Parce que là, tu sais, Harvard, Columbia... Depuis 2023, elles ont vraiment atteint un point de non-retour. Tu sais, quand t'as des gestes, des actions antisémites sur ces campus-là, là, c'est le point de non-retour. Tu peux pas tolérer ça, pis tu peux pas accepter que le gouvernement fédéral américain contribue, pour le moindre dollar, au financement de ces universités-là. Parce que c'est plus des universités, c'est devenu des usines à fabrication de militants. Puis c'est pas pour ça que les gens paient des taxes puis des impôts. Les gens paient des taxes et des impôts pour que les universités forment des gens, des bons ingénieurs qui vont être capables de fabriquer des fusées puis de construire des ponts qui vont pas s'effondrer. Puis dans le monde des humanités puis des sciences sociales, de former des individus qui vont avoir un esprit scientifique puis qui seront pas des militants avec les cheveux oranges qui vont être trop à masse.
[03:28:01] Speaker A: Est-ce que c'est pire en France?
[03:28:03] Speaker H: Ben écoute, ce qui s'est passé au cours des derniers jours à l'université Paris VIII, qui se trouve en banlieue de Paris. D'ailleurs, je suis allé il y a environ un an et demi pour une conférence. Pis t'sais, quand tu débarques de la station de métro, tu traverses la rue pis t'arrives sur le campus, t'as des poseurs de la Ligue communiste révolutionnaire un peu partout, c'est émouvant, non? Donc tu sais très bien dans quel environnement t'es en train de mettre les pieds. Ben, il y a une professeure dans un amphithéâtre devant 200 étudiants. Elle a glorifié le Hamas. Elle a tenu des propos antisémites, puis elle a glorifié le Hamas. Elle a dit mort à Israël, mort aux Juifs, dans une université à Paris.
[03:28:40] Speaker A: Qu'est-ce qui s'est passé?
[03:28:42] Speaker H: Bien là, je sais pas ce qui s'est passé, puis la direction de l'université a ouvert une enquête, puis on va voir ça va être quoi la suite des choses.
[03:28:49] Speaker A: Il y en a plein qui ont dit ça à Concordia. Il y en a plein à Concordia qui ont dit ça. Tu me diras, ils ont payé le prix, ils ont pris une débarque de 200 rangs, là. Les étudiants ne se font pas mettre.
[03:29:00] Speaker H: Dehors et les profs ne se font pas mettre dehors non plus. Parce que c'est comme ça. De toute façon, les données le montrent également. On a fait des sondages auprès des professeurs d'histoire, de sociologie, de philosophie, de sciences politiques, de toutes les disciplines, pour leur demander s'ils étaient plus à gauche ou à droite. Dans le domaine des sciences sociales et des humanités, c'est plus de 75% à gauche. Donc on s'entend, lorsqu'un professeur de gauche tient des propos comme ça, il va être backé par ses collègues. Alors que quand vous avez un individu comme Gadsad, à Concordia justement, qui tient des propos qui déplaisent à sa gang woke, ben ils vont lui créer toutes les misères du monde. Dans son cas à lui, c'est vraiment chiant ce qu'ils ont fait. Ils ont délibérément ouvert des cours, puis lorsque les étudiants se sont inscrits, les étudiants ont à peu près 10 jours pour se désinscrire d'un cours. Donc ce qu'ils ont fait en sorte, c'est qu'ils ont ouvert des cours, ils ont dit aux étudiants, inscrivez-vous dans ces cours, puis à la dernière minute, abandonnez le cours. Ils sont désinscrits. Fait que lui, Gad Sad, il se ramasse avec un cours où il y a plus d'étudiants inscrits. Fait que qu'est-ce que l'université fait? Bien, il est obligé de dire à Gad...
[03:30:08] Speaker A: Il slack.
[03:30:08] Speaker H: Il va être obligé de fermer ton cours.
[03:30:11] Speaker I: Il est slacké.
[03:30:12] Speaker H: Puis t'as charge d'enseignement de l'automne qui devait être de deux cours. Comme tes deux cours sont annulés, tu vas devoir enseigner à l'été.
[03:30:19] Speaker A: Son revenu est attaqué.
[03:30:21] Speaker H: Fait que, bien, c'est ça. Fait que lui, il s'est dit, bien, moi, je sache mon camp. Puis il s'est trouvé une job dans une université américaine. Puis c'est ça qui va arriver.
[03:30:28] Speaker A: Il est rendu où?
[03:30:30] Speaker H: Il est rendu dans une université du Midwest américain, c'est une nouvelle université, c'est au Wisconsin Minnesota, dans l'un de ces états-là, une nouvelle université. Ils lui ont ouvert les portes, ils veulent avoir un type comme ça parce que Gad Saad c'est un intellectuel de talent. C'est ça le problème. À Concordia, c'est pas un critère qui prédomine. Le critère qui prédomine, c'est t'es-tu à gauche ou à droite? T'es-tu une bonne personne ou une mauvaise personne? T'es une mauvaise personne, on va faire toutes les misères du monde pour faire en sorte que tu vas démissionner ou on va te sacrer dehors. Mais en réalité, c'est les autres universités qui finissent par bénéficier du talent de gens comme ça. Jordan Peterson, quand il a cassé les couilles avec l'Ordre des psychologues de l'Ontario, bien lui a décidé... l'Université de Toronto! Il a décidé de démissionner, puis de créer sa propre université populaire, qui est hyper populaire, parce que les gens veulent apprendre. Ils ne veulent pas devenir des militants, puis ils savent très bien que Jordan Peterson, c'est un intellectuel de talent. L'Université de Toronto s'est privée d'un type extrêmement brillant. sur la base de considérations purement idéologiques. Fait qu'il faut pas chercher le media 14 heures pour comprendre pourquoi les universités canadiennes graduellement commencent à dropper dans les classements internationaux. Ils font tout en leur pouvoir pour que leur réputation soit atteinte en posant des gestes stupides qui sont idéologiques, qui sont des gestes de militants. Donc on appelle encore ça des universités, mais en réalité c'est plus des universités, c'est en train de devenir des usines à fabrication de militants.
[03:32:05] Speaker A: Pour le reste, envoie donc ton CV, moi. Comment ça va rebondir?
[03:32:09] Speaker H: Écoute, c'est hors de question parce que je sais très bien que c'est une perte de temps. Voyons.
[03:32:16] Speaker A: Écoute, j'ai déjà postulé... Et tu le sais très bien.
[03:32:18] Speaker H: Ben oui, écoute, j'ai déjà postulé il y a plusieurs années dans une université. Je ne dirai pas exactement laquelle parce que la personne pourrait être trop facilement identifiée. Une université au Canada. Je fitais parfaitement dans les critères de sélection. Puis j'ai jamais eu de nouvelles. Puis un moment donné, une conférence, je rencontre la personne en question, puis je lui demande, écoute, qu'est-ce qui est arrivé avec le concours d'embauche? Il me regarde un peu désespéré, puis il me dit, écoute, je sais ce que tu vas me dire. Tu vas me dire que tu étais qualifié pour le poste. Écoute, je sais très bien, mais on devait embaucher une femme.
[03:32:49] Speaker A: Parce qu'on a un déséquilibre.
[03:32:52] Speaker H: On a un déséquilibre, puis on devait le compenser. Écoute, on devait embaucher une femme. Donc les deux candidats qui ont été retenus pour l'entrevue, moi j'avais déjà dix ans d'expérience en enseignement, j'avais publié je sais pas combien de textes puis combien de livres. Ils ont sélectionné en entrevue deux candidats qui n'avaient même pas encore terminé leur doctorat et qui avaient zéro expérience en enseignement. Fait que quand tu te fais raconter des choses comme ça, tu te dis, pourquoi je perdrais mon temps? Pourquoi je perdrais mon temps pour étudier dans des universités où on veut pas d'hommes, on veut pas de moi, parce que je suis trop blanc, je suis trop masculin, je suis pas en fauteuil roulant, pis j'ai pas ma carte d'autochtone.
[03:33:31] Speaker A: Ta carte d'Indien, en passant, parce que c'est ça qui est écrit sur la carte d'élection Québec. Ta carte de statut d'Indien, c'est écrit tel quel. Mon cher, je te laisse là-dessus. Merci encore, prof.
[03:33:44] Speaker H: Bonne journée.
[03:33:45] Speaker A: Salut, bye. 9h33, un autre prof en revanche.
Le retour de Radio X. Longe prise, là. Cède ta place. Va-t'en. T'as fait ton temps, là, t'sais, M. Legault. Ça fait en 2018, là, vous avez dit à nos auditeurs, ils viendraient nous.
[03:34:08] Speaker D: Voir, puis vous avez jamais respecté les.
[03:34:10] Speaker A: Auditeurs, même que vous les avez ridiculisés, les auditeurs de Radio X. M. Radio X et compagnie, arrêtez d'acheter de la pub ici en espérant qu'on crève. C'est ça, c'est ça, Legault. Ton purin, tu le mérites. Le retour de Radio X.
[03:34:22] Speaker B: Lundi au vendredi, 15h.
[03:34:25] Speaker E: Présenté par Donnacona Ford. Tu veux un F-150? Donnacona Ford. Tu veux du 0%? Donnacona Ford. Tu veux 2-3 000$ de plus pour ton échange? Où ça? Bien, chez Donnacona Ford.
[03:34:39] Speaker A: Entrez dans l'expérience V-Golf, le plus grand centre de golf intérieur avec 20 simulateurs. Ligue, party, événements corporatifs ou la classique hivernale. L'hiver, le golf continue au V-Golf Québec, 7 jours sur 7. Préservez dès maintenant sur vgolfqc.com.
[03:34:55] Speaker B: Salut! T'as besoin d'une auto pis tu t'es fait dire que c'était impossible à cause de ton crédit? Quatre mots à retenir. Groupe! groupe, saillant, auto, crédit. Simple de même. Groupe, saillant, auto, crédit.
[03:35:09] Speaker A: Bonne journée.
[03:35:10] Speaker B: Salut! Tu sais que ton crédit est vraiment moyen, mais t'as vraiment besoin d'une auto puis tu sais plus vers qui te tourner? Quatre mots à retenir. Groupe, saillant, auto, crédit.
[03:35:21] Speaker F: Simple de même.
[03:35:22] Speaker B: Groupe, saillant, auto, crédit.
[03:35:24] Speaker A: Bonne journée. C'est Halloween et ça vous rappelle que gérer le bloc dont vous êtes propriétaire, c'est l'horreur et ça fait peur.
Arrêtez de creuser votre tombe! Rfortin.com peut l'acheter n'importe où au Québec.
[03:35:36] Speaker J: Sans conditions ni garanties légales.
[03:35:38] Speaker A: En 48 heures, Rfortin vous revêt une.
[03:35:40] Speaker J: Offre d'achat aussi sérieuse qu'avantageuse, sans bonbons.
[03:35:43] Speaker A: À donner, ni commission à payer.
[03:35:45] Speaker J: Fini le mal de bloc! Profitez enfin de la vie!
[03:35:48] Speaker A: Allez sur Rfortin.com!
[03:35:50] Speaker B: Lui, il va l'acheter ton bloc! Rfortin.com! Yes!
Cette semaine chez Métro, les prix tombent comme les feuilles des arbres. C'est le temps d'économiser sur plus de 7500 produits en magasin et en ligne. Le rôti français au format économique est à 6,88 la livre ou 15,17 le kilo. Le sac de 4 livres de pommes est à 3,96 soit 99 sous la livre. Et la pizza croûte mince restauranté est à 3,47. Retrouvez toute la circulaire complète en ligne au Métro.ca. Des conditions s'appliquent. Détail en magasin.
[03:36:25] Speaker D: SMPR Tactical plein air, on ne vend.
[03:36:27] Speaker A: Pas juste du gear, on équipe des gens d'action.
[03:36:30] Speaker D: Des vêtements conçus pour durer, des accessoires pensés pour performer.
[03:36:34] Speaker A: Parce qu'entre confort et efficacité, pourquoi choisir?
[03:36:37] Speaker D: SMPR Tactical plein air, prêt pour la mission. Même si c'est juste la journée de travail. Plein air, chasse, airsoft, tactique ou équipement professionnel, smprtactical.com. Ton magasin, ton terrain de jeu aux 25 maris de l'incarnation à Québec.
[03:36:53] Speaker B: Et voilà, les gars, vos gratteux!
[03:36:54] Speaker A: Hein?
[03:36:55] Speaker E: Des gratteux?
[03:36:56] Speaker D: Tiens, gratte, gratte!
[03:36:57] Speaker A: Des frites? Mais j'ai rien commandé, moi! Un frigo-bud? Désolé, les gars, j'viens de gagner une escapade de hockey puis j'ai été à Montréal! Du 6 octobre au 2 novembre chez Dooley's! En collaboration avec Budweiser, c'est 100% de chance de gratter et 1 chance sur 2 de gagner!
[03:37:14] Speaker D: Ça, c'est l'heureux gratteux, les gars!
[03:37:20] Speaker A: Tant et plus, aucune charoquie. Détails sur dolezquebec.com. Tanné que le ménage de votre environnement de travail soit fait comme le ménage d'une chambre d'ado? Faites affaire avec Janpro. Commerce, clinique, garderie, bureau. Si vous voulez ça tout propre et tout beau, que vos besoins en ménage soient petits ou gros, choisissez les experts de Janpro. J-A-N, trait d'union, P-R-O. Pro-R-C, le spécialiste du téléguidé à Québec est maintenant au 15059 boulevard Henri Bourassa. Découvre les marques légendaires comme Traxxas, Arma, Vanquish et Axial. Rejoins la communauté de passionnés.
[03:37:50] Speaker D: Pro-RC.
[03:37:51] Speaker A: Ta destination téléguidée à Québec. Bienvenue au service à l'auto. Qu'est-ce qu'on peut vous servir? Rien, c'est payé en méthode.
[03:37:56] Speaker E: Je suis juste venu vous montrer mon nouveau Nissan.
[03:37:58] Speaker A: Il est beau, hein? Je vous vois pas, monsieur. Je peux-tu avancer à la première fenêtre?
[03:38:02] Speaker I: Oui, oui.
[03:38:02] Speaker D: Hé hé!
[03:38:03] Speaker B: Youhou!
[03:38:04] Speaker A: Le nouveau Kicks 2026 est arrivé chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. En plus de vouloir le montrer à tout le monde, vous allez pouvoir vous vanter de ne payer que 387 $ par mois en location sur 60 mois avec 0 $ d'accompte.
[03:38:19] Speaker D: On vous attend chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan.
[03:38:23] Speaker A: Dans la PME de Julie, le commerce de Benoît ou une grande entreprise, tout le monde a un rôle à jouer en matière de santé et de sécurité au travail. Depuis le 1er octobre 2025, la Loi sur la santé et la sécurité du travail a été modifiée. Et les plus grands, comme les plus.
[03:38:37] Speaker H: Petits milieux de travail, ont de nouvelles.
[03:38:39] Speaker A: Obligations concernant les mécanismes de prévention et de participation. Pour connaître les changements qui vous concernent, visitez le cnesst.gouv.qc.ca baroblique nouveautés SST. Un message de la CNESST.
Allez voter, quelle que soit votre opinion, c'est le temps de se prononcer. Vous avez tout le pouvoir, là. Ça revient une fois au 4F. Si tout le monde allait voter, ça.
[03:39:00] Speaker E: Se répercuterait dans le résultat. Voter, c'est pas juste un droit, c'est ton devoir de citoyen.
[03:39:05] Speaker A: Et d'ailleurs, on encourage les gens à aller voter.
[03:39:07] Speaker B: Si vous voulez faire comme moi, du.
[03:39:08] Speaker E: Chialer... Allez voter, Joël Vert.
[03:39:11] Speaker B: Allez voter.
[03:39:12] Speaker A: Tu prends ta décision et tu l'exprimes en toute liberté.
[03:39:16] Speaker B: Si jamais tu me cherches le 2 novembre, là, bien, je vais être en train de voter.
Radio X. Moray Live, présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[03:39:38] Speaker A: Moray Live.
[03:39:41] Speaker B: Avec Dominique Moray.
[03:39:43] Speaker A: Pourquoi pas? Dan Gravel.
[03:39:44] Speaker B: Et Dom Dumas. Radio X.
[03:39:50] Speaker A: ♪ La planète ♪ ♪ Mais son savant est proche et ça la rend folle ♪ ♪ Ça la rend folle.
[03:39:57] Speaker B: ♪ ♪ Dites-leur, dites-leur, dites-leur qu'ils s'en.
[03:39:59] Speaker A: Foutent ♪ ♪ Pourquoi tu pleures? Ils s'en foutent ♪ ♪ Cette terre, on n'aura pas eu comme nous ♪ ♪ Elle pleure, elle pleure, elle pleure, ma planète ♪ Rénald Duberger, salut.
[03:40:11] Speaker C: Bonjour, Dominique.
[03:40:12] Speaker A: On va parler un petit peu de gauche et de censure. Pourquoi pas?
[03:40:15] Speaker C: Oui. Tu sais, Dominique, on est habitués, toi et moi, et avec les auditeurs, que je parle de science, de climat. Ce matin, on va diverger un peu. On va parler de religion. Puis de censure. Présentement, en France, il y a un film qui cartonne qui s'appelle Sacré-Cœur. C'est un film d'un couple de cinéastes, Sabrina puis Stephen Gounel, qui est sorti le 1er octobre en salles. Présentement, il y a à peu près 250 salles en France qui le programment. Ça cote, pour vous donner une idée de la valeur cinématographique du film, sur Allo Ciné, c'est 4,3 sur 5. Puis sur I Am Debbie, que je consulte régulièrement, c'est 7,6 sur 10, ce qui est excellent. Qu'est-ce que ça raconte, ce film-là? En fait, c'est un épisode d'une religieuse qui s'appelle Marguerite Marie Alacoque. Alacoque, c'est son nom de famille, qui a vécu à peu près 350 ans dans un petit village français, dans le centre de la France. Elle a vécu des apparitions du Sacré-Coeur. Donc, ça raconte ses apparitions-là, sa vie, son héritage spirituel. En fait, ce n'est qu'une page de l'histoire de la France, comme on pourrait raconter un épisode de la vie de Jeanne d'Arc.
[03:41:30] Speaker I: Pas plus que ça.
[03:41:31] Speaker A: Au Québec, l'histoire du frère André.
[03:41:33] Speaker C: Oui, à peu près ça. Et c'est pas le premier film religieux de cet ordre-là qui sort, on se rappelle, en 86, un film que j'ai beaucoup aimé, sur la vie de Thérèse Martin, qui est devenue Thérèse d'Oligieux, Sainte-Thérèse, qui est sortie en 86, qui avait une excellente cote aussi. Le problème que pose ce film-là, tu l'as mentionné, c'est la gauche qui n'a pas aimé ça. C'est toujours la gauche. D'abord, interdiction d'affichage de ce film-là dans les gares de chemin de fer de la SNCF, en France, et dans toutes les stations de métro du RER, qui est contrôlé par le RETP, sous prétexte que c'est un film prosélyte. Le prosélytisme, c'est le zèle qu'on déploie pour recruter des adeptes, des fidèles dans une religion. Alors, c'est... ça, c'est la partie affichage. Il y a eu, la semaine dernière, à Marseille, un incident encore causé par la gauche à propos de ce film-là. Le film était programmé dans un château qui s'appelle le château de Buzine, qui est le fameux château de ma mère, de Marcel Pagnol, qui était en ruine puis qui a été restauré puis converti en centre culturel. Donc, ce film-là était programmé dans cette salle-là et la gestion de ce château-là était confiée au petit-fils de Marcel Pagnol, Nicolas Pagnol.
[03:42:57] Speaker A: C'est un grand... Dan, je sais que t'es cinéphile. Pagnol, c'est quelque chose, là.
[03:43:02] Speaker C: Ben, c'est quand même... c'est un monument.
[03:43:03] Speaker A: Un monument.
[03:43:05] Speaker C: En 2020, le gouvernement, en fait, la mairie de Marseille a viré Nicolas Pagnol comme un vulgaire malpropre et a pris en charge la gestion de cette salle-là. Une heure avant la projection prévue du film, le maire a déprogrammé le film. sous prétexte d'atteinte à la laïcité.
[03:43:28] Speaker A: C'est une oeuvre, il l'appelle docu-fiction. Quelqu'un qui n'est pas croyant dit que ça peut arriver.
OK, là on tombe dans le débat, si tu es arrivé, si tu n'es pas arrivé, de telle manière, ici et ça. Mais restons-en à l'œuvre comme telle cinématographique, qui s'inscrit dans l'histoire de la France. On peut juste s'en tenir à ça, on n'est pas toujours obligé de tomber dans la croyance.
[03:43:53] Speaker C: C'est simplement un épisode de l'histoire de la France. que le maire a qualifié d'atteinte à la laïcité. Pourtant, en 2023, dans la même salle, dans le même château, le film Kundun de Scorsese, qui raconte la vie du Dalai Lama, qui est un maître spirituel tibétain, a passé. Le maire a dit, ah, on parle pas du chef spirituel, mais on parle du prix Nobel de la paix. C'est la raison qui... qui a utilisé pour défendre la ville pour projeter ce film-là.
[03:44:26] Speaker A: Alors qu'il est un chef spirituel. Parce que ça, il est un successeur sur la terre à quelque part.
[03:44:33] Speaker I: Ben oui, voyons donc.
[03:44:33] Speaker C: Voilà. Enfin, il y a eu finalement un recours juridique, heureusement, par un sénateur des Bouches-du-Rhône qui s'appelle Stéphane Ravier. Et puis le juge n'a même pas pris deux heures pour statuer, pour reprogrammer le film. Puis le film a été reprogrammé. en fin de semaine dernière. Moi, ce qui me fait réfléchir, ce qui devrait nous faire réfléchir suite à cet événement-là, c'est la déchristianisation de l'Occident à laquelle on assiste présentement. Éric Zemmour, qui est le chef du Parti Reconquête en France, vient de sortir un livre apparemment extraordinaire qui s'appelle « La messe n'est pas dite ». On se rappelle en latin « Ite missa est », ce qui veut dire « La messe est dite ». Les allemands ont dit « Non, la messe n'est pas dite ». Et ils plaident pour un sursaut judéo-chrétien dans le rituel en France. Les deux seuls que moi je connais qui prétendent que le christianisme a fait la France, c'est Philippe de Villiers et c'est Éric Zemmour. Puis Zemmour dit, attention, il y a danger mortel, il y a déchristianisation. En France, ça a commencé, à mon avis, par la loi Comte de 1905, la séparation de l'Église et de l'État, qui a été faite de façon assez brutale, beaucoup plus brutale qu'au Québec. L'État a pris possession de tous les biens de l'Église et de l'Église cathédrale, Ils ont interdit aux religieux pour religieuses de soigner les malades puis d'enseigner. Et le résultat de ça, Dominique, ça a été bénéfique pour le Québec. Pourquoi? Parce que plusieurs de ces religieux et religieuses-là ont fui la France parce qu'ils se sentaient bannis, sont venus fonder des communautés religieuses au Québec. Ils ont écrit tous les manuels scolaires que moi, j'ai utilisés dans mon enfance, autant en français, en histoire, en géographie qu'en mathématiques. C'est grâce à ces gens-là que j'ai été Et aussi, dans les hôpitaux, il y a eu les religieuses qui ont administré de façon admirable. Puis à mon avis, le seul politicien indominique qui a rendu hommage à ces religies religieuses-là, c'est Bernard Landry, en Assemblée nationale, qui a reconnu leur mérite. Et ça, c'est important de le réaliser. Au Québec, cette déchristianisation-là s'est faite de façon beaucoup plus douce qu'on l'a faite en France. On a sorti la religion de l'école et des hôpitaux de façon beaucoup plus, je dirais, tranquille. C'était la Révolution tranquille. On n'a pas été aussi brutaux que les Français, mais ça a quand même eu les résultats qu'on connaît.
[03:47:22] Speaker A: Alors... Mais cette affaire-là, quand même, de déchristianisation, c'est la gauche islamofasciste aussi. Les islamistes sont derrière aussi. La gauche déboulonne avec les woke.
[03:47:33] Speaker D: Mais ça a quand même été brutal aussi. Il y a le film La Passion d'Augustine qui a été faite ici. Justement, quand on parle de la vie des religieuses... Tu sais, la religieuse avait quoi, 28-29 ans? C'est fini, t'enseignes plus. C'est beau, je fais quoi? Tu fais rien.
[03:47:49] Speaker C: Tu t'en viens au Québec parce qu'on a de la place pour vous autres. En fait, il y a trois religions qui se sont installées à la place de la chrétienté en Occident présentement. La première, c'est le laïcisme. Ce n'est pas la laïcité. Le laïcisme, c'est l'obsession de la laïcité. En fait, le laïcisme, ça veut éradiquer tout ce qui reste de chrétien. On a eu un bel exemple la semaine dernière à Marseille. La deuxième religion, c'est l'islamisme qui s'installe avec sa civilisation, qui débouche éventuellement sur le djihad, la halalisation. Et la troisième, c'est le waukis. Le waukis, c'est une religion qui a été développée par la gauche, répandue partout en Occident dans le rituel. S'il y en a qui connaissent Tocqueville, qui a écrit dans son ouvrage « De la démocratie en Amérique », Tocqueville identifie la tyrannie de la majorité comme un risque majeur sur les démocraties. Il y avait tort parce qu'à l'orexuel, on assiste à la légémonie des minorités sur la majorité. Mais Zemmour, dans son ouvrage, dans son dernier livre, lance quand même un cri d'espoir en disant qu'il y a une nouvelle jeunesse qui retourne à la tradition orexuelle. Il y a de plus en plus de baptêmes d'adultes en France. Les jeunes ont un contact avec... Ils se comparent avec l'islam, Moi, si j'étais un jeune Français incroyant, je serais gêné de me faire dire par un jeune musulman, toi, t'es un incroyant, t'es un infidèle, t'es rien.
[03:49:20] Speaker A: Il y a un ressac culturel. Il y a quelque chose qui s'opère.
[03:49:24] Speaker C: Il y a un retour à l'actuel, je pense, puis c'est une très, très, très bonne chose. En terminant, moi, je me... changement de sujet, je me réjouis de la victoire de Mélihi d'Argentine. Les gauchistes doivent manger leur bot à l'heure actuelle. Les gauchistes sont en train de manger leur bot parce qu'ils avaient prédit le contraire. Mais là, je suis en train de manquer de charité chrétienne, Dominique.
[03:49:59] Speaker A: Et va aussi mettre des fleurs aux pieds de la nouvelle Jeanne d'Arc, c'est-à-dire la petite Greta qui est plus si petite que ça. On revient.
En ce moment, chez vos concessionnaires Hyundai, obtenez du financement à partir de 0 % et jusqu'à 11 000 $ de.
[03:50:24] Speaker J: Rabais sur toutes les Yonix 6 2025.
[03:50:26] Speaker A: Incluant le rabais Hyundai et le rabais du gouvernement du Québec. En plus, jusqu'au 31 octobre, durant l'événement Rabais Monstre, profitez d'un bonnet additionnel de.
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[03:50:37] Speaker A: C'est le moment ou jamais de choisir votre Hyundai parmi la gamme de véhicules électriques la plus primée au Canada. Des conditions s'appliquent. Détails chez votre concessionnaire ou sur HyundaiCanada.com.
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[03:51:02] Speaker B: Vous êtes parent d'ado et vous vous sentez dépassé? En fait, vous vous sentez comme la majorité des parents qui nous contactent. À tels jeunes parents, l'adolescence, on connaît ça et on vous accompagne pour que vous vous sentiez mieux outillé. Service gratuit, confidentiel et sans jugement pour parents d'adolescents.
[03:51:20] Speaker A: Entendu à la Fromagerie Victoria, un restaurant qui offre du fromage en grain frais du jour, tous les jours.
[03:51:31] Speaker J: Fromagerie Victoria.
[03:51:32] Speaker A: Notre fromage, en main large. Arrêtez goûter. Entendu à la Fromagerie Victoria. Un restaurant qui offre du fromage en grain frais du jour, tous les jours. Wow! Est-ce qu'il y a une montagne de fromage?
[03:51:43] Speaker B: Hey, check ça, man!
[03:51:44] Speaker A: C'est ma poutine en dessous!
[03:51:45] Speaker J: Fromagerie Victoria.
[03:51:47] Speaker A: Notre fromage, en main large. Arrêtez goûter! Ici Stéphane Slagard, propriétaire et fondateur de Slagard Jury Conseil. Depuis 20 ans, l'équipe Slagard a récupéré plus de 71 millions de dollars à.
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Vous avez peut-être vu passer ça la semaine dernière.
[03:54:33] Speaker B: Skims, la marque de sous-vêtements de Kim.
[03:54:35] Speaker A: Kardashian, a dévoilé une culotte de faux poils pubiens.
[03:54:39] Speaker B: Oui, le faux air micro string thong.
[03:54:42] Speaker A: 12 teintes différentes pour que le tapis de poils soit de la couleur qui vous scie le plus. Ma pelote, ton taticulat, mon drap, ton poil carotte, l'amoureux fou comme le petit roux. Je sais, vous qui êtes à l'écoute, auditeurs, auditrices, je ne vous vois pas, mais je vous imagine.
[03:55:01] Speaker B: Tout petit, petit, petit string, là.
[03:55:02] Speaker A: Exactement, c'est une vraie culotte, avec de faux poils pubiens. Exactement, c'est une vraie culotte, avec de faux poils pubiens. Ma pelote, ma petite culotte, montre-moi ton poil, caronne, amoureux, fou, comme un petit roux. Les contre-fous!
[03:55:24] Speaker D: Passez une super journée. Pierre Couture s'installe, puis nous autres, on se reparle demain. Bye bye!
[03:55:32] Speaker H: Il y avait une femme avec un.
[03:55:34] Speaker E: Shador burqa total avec les gants jusqu'ici.
[03:55:38] Speaker H: Son conjoint était en gougoune, en t-shirt et en short.
Ma femme m'a retenu pour pas que.
[03:55:45] Speaker A: J'Aille lui arracher la tête. En lui disant «Hey, il est du.
[03:55:48] Speaker H: Con!».
[03:55:59] Speaker B: Morelive, présentée par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Linox. Confort en hiver, fraîcheur en été. Et des économies toute l'année. Multiconfort FP, à Québec et Victoriaville.
[03:56:17] Speaker D: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport.
[03:56:20] Speaker A: BPM Sport, la radio des sports au Québec.
[03:56:22] Speaker E: Hey, c'est Jordan. La game a été très longue hier, ou devrais-je dire très tôt ce matin, entre les Blue Jays et les Dodgers. Ça en a été une bonne, en tout cas. Toronto qui tirait de l'arrière 0-2 et qui revient pour prendre les devants avec un circuit de trois points d'Alejandro Kirk. 5-4 pour Toronto en fin de match, mais encore un autre circuit de show à Otani. Il y en a eu deux hier. Bref, c'était 5-5 après neuf manches. Et on aura eu besoin de... 9 manches supplémentaires. Un circuit de Freddy Freeman a donné la victoire aux Dodgers 6-5 en 18e manche.
[03:56:56] Speaker A: Aïe, aïe, aïe!
[03:56:57] Speaker E: Il s'agit même du plus long match de l'histoire des Blue Jays. Un grand total de 6 heures 39 minutes de jeu. Pas le temps de niaiser, ça se poursuit ce soir. Sur la butte, Shane Bieber pour Toronto et pour les riches boostés, nul autre que le meilleur, Showea Taney. Ça débutera encore une fois à 20 h et Los Angeles mène la série 2-1. Ligue nationale de hockey, l'action reprend pour le Canadien. Dernier petit stop du voyage dans l'Ouest. Direction Claremont Pledge Arena, à Seattle, pour affronter le plus jeune club de la ligue, le Kraken. Ça va se jouer très tard, 22h30. Faites un petit power nap avant parce qu'encore une fois, vous allez passer de minuit. Bon match!
[03:57:39] Speaker D: Pour plus de sport, ici BPM Sport.
[03:57:42] Speaker B: BPM Sport.
[03:57:43] Speaker A: 100.9. Les manchettes sportives présentées par Eboudreau VR.
[03:57:47] Speaker E: On fait de la place pour les modèles 2026. Eboudreau VR sera à la Foire du VR neuf et d'occasion du 30 octobre au 2 novembre au Centre de foire Expo Cité. Énorme rabais sur place.
[03:57:57] Speaker A: Nissan est numéro 1 pour la qualité.
[03:58:01] Speaker D: Des véhicules neufs parmi les marques grand.
[03:58:03] Speaker A: Public selon l'étude 2025 sur la qualité.
[03:58:05] Speaker D: Initiale JD Powers aux États-Unis.
[03:58:07] Speaker A: Mais même au sommet, on peut toujours aller plus loin.
[03:58:10] Speaker F: La preuve?
[03:58:11] Speaker D: Le Rove 2026 de Saint-Nicolas-Nissan et paquette Nissan.
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[03:58:26] Speaker D: Détails chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
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