OLIVIER PRIMEAU: La CAQ, c'est FIASCO APRÈS FIASCO!

September 12, 2025 00:15:01
OLIVIER PRIMEAU: La CAQ, c'est FIASCO APRÈS FIASCO!
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OLIVIER PRIMEAU: La CAQ, c'est FIASCO APRÈS FIASCO!

Sep 12 2025 | 00:15:01

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[00:00:00] Speaker A: On était en train de se parler de poutine justement, j'ai dit il faut que t'ailles à cuisine d'été. Hein Dan, tu t'en souviens, on avait fait les, comment on appelait ça, les séries mondiales de la poutine. Dans le cas, ça avait été malade. Avec la sauce au poivre, elle avait gagné. [00:00:12] Speaker B: La sauce au poivre. [00:00:15] Speaker A: Non? [00:00:16] Speaker B: Ben oui. [00:00:17] Speaker C: Olivier goûte la vraie sauce à poutine. [00:00:18] Speaker B: En fait, c'est pas mauvais. Ça se note pas, là. [00:00:21] Speaker A: Bon, ça se note pas. [00:00:23] Speaker C: Mais il y en a un paquet à Québec. Mais avoue que des poutines de shop à poutine, de shop à patates, c'est meilleur. [00:00:29] Speaker B: C'est meilleur. [00:00:30] Speaker A: Le Vieux-Moulin à Pont-Rouge. [00:00:32] Speaker B: Oui. Je pense que je suis allé en plus là-bas. [00:00:35] Speaker A: Le Vieux-Moulin. [00:00:36] Speaker B: Tu t'en souviendrais. [00:00:38] Speaker A: Le Vieux-Moulin, Marcotte et compagnie. Olivier Primo, comment ça va? [00:00:42] Speaker B: Ça va super bien, je suis super content d'être ici, guys. [00:00:44] Speaker A: Tripeu de cycliste, c'est sûr que l'entrevue ne portera pas là-dessus, mais t'es accroché sur le T-shirt de Dan Pogacar. [00:00:52] Speaker B: C'est ça, j'arrive à m'attacher. J'ai un supporter de Pogacar. [00:00:56] Speaker C: Qui aurait cru, à Radio X, que t'aurais vu le seul Gillette Taddei Pogacar qu'il y a à Québec aujourd'hui? [00:01:01] Speaker B: Pas moi. Mais j'ai été jamé dans la rue. parce que tout est fermé à cause de ça. [00:01:06] Speaker A: T'es-tu descendu pour ça ou pas vraiment? [00:01:09] Speaker B: Pour deux, trois affaires. Donc, pour aller manger, hier, une belle tablée chez Tonino. On était une vingtaine, c'était le fun. Très bon restaurant. J'adore. [00:01:16] Speaker A: C'est donc bien particulier, ça, parce que hier, Phil Lefebvre, le boss, il me parle de Tonino. Faut que t'ailles là. [00:01:20] Speaker B: C'est incroyable. Pour moi, c'est le meilleur restaurant italien au Québec. [00:01:24] Speaker A: Voyons donc, t'es-tu arrangé avec le boss pour me dire ça? [00:01:27] Speaker B: En tout, en fait, je t'arrive trois ans pour la première fois. Je fais pas de review de restaurant comme ça, pis j'ai fait un story à E9.net, il s'est fait défoncer pendant des mois, pis là on est devenus amis depuis ce temps-là. Qu'est-ce qu'il faut manger, là? Tout. C'est incroyable, c'est incroyable là-bas. Fait que ouais, une belle tableau, on était à une vingtaine hier. J'adore Québec. Vous le savez, je pense. [00:01:48] Speaker A: Je vais commencer par les courriels qu'on a, nous autres, puis je vais y aller avec ton fil, toi aussi, ce qui te fait le plus réagir, finalement. Pas d'écart le matin, because autobus Lyon. Qu'est-ce qui se passe? On a forcé les compagnies de transport à acheter du Lyon. Il y a un Lyon qui est passé au feu. Finalement, la CAQ décide de tout laisser dans le garage et résultats liquides n'ont pas d'écart le matin. Ça fait du remodi. [00:02:10] Speaker B: En fait, on leur dit souvent, je pense plus que c'est la gestion de l'argent. De l'argent mal investi ou investi trop vite, c'est ça que ça fait. C'est pas compliqué. C'est pas la première fois qu'on parle de Lyon. Quand je parle de Lyon, et sûrement vous autres aussi, il y a tout le temps des mécanos à l'interne qui m'écrivent. Tu savais comment... pas qu'on monte ça vite, mais qu'on n'est pas guéris pour monter ça comme du monde. Premièrement, c'est le fun que ça soit au moins préventif avant que ça n'arrive encore. Mais c'est ça. On dirait que c'est fiasco après fiasco. En même temps, c'est un gouvernement qui nous avait promis qu'il allait risquer de l'argent et qu'il allait essayer. Ils l'ont essayé. On fait pas tout le temps la moyenne au bâton. [00:02:57] Speaker A: Mais hier, le gars a dit, on va être rigoureux. Là, on a compris la bureaucratie. Ouais, mais dans son livre qu'il a publié avant sa première élection en 2018, il racontait son plan de match. Et là, hier, il a dit, ouais, c'est vrai, finalement, ce plan de match-là a peut-être du bon sens. Il faut se développer de manière responsable, intelligente, etc. Qu'est-ce qu'ils ont fait des dernières années, la CAQ? C'est quoi ton bilan? [00:03:19] Speaker B: En fait, là, je pense que le... Premièrement, si on revient en arrière, je pense que personne ne voulait sa job pendant la COVID, M. Legault. Moi, en tout cas, je ne la voulais vraiment pas. Ça ne devait pas être facile. Fait que déjà là, il y a un 2 à 4 ans qui est comme... qui n'est pas effacé, mais qui est compliqué, mettons. Fait que c'est sûr que là, puis il y a des bulles qui se créent dans des crises comme ça. Là, je parle en économie. Fait que là, toutes les idées sont bonnes, parce que bon, la bulle électrique explose, puis l'autre affaire, comme la bulle Internet, t'sais, des années 2000. [00:03:49] Speaker A: Oui, les dot-coms. [00:03:50] Speaker B: Bon, exactement. [00:03:51] Speaker A: T'as-tu perdu de l'argent là-dedans, les dot-coms? [00:03:53] Speaker B: Non, pour prendre tout, j'étais trop jeune. J'avais pas encore d'argent pour m'amuser là-dessus. [00:03:56] Speaker A: Moi, j'avais un peu d'argent, j'ai tout perdu. [00:03:58] Speaker B: Bon, voilà. Fait que là, est-ce que, mais est-ce que le dot-com, est mort, non. Est-ce que la bulle était trop grosse? Oui. Est-ce que c'est ça qu'on vit en ce moment? Moi, je pense que oui. Toutes les bulles redescendent puis s'ajustent au marché. Là, je pense que c'est ça qui est en train d'arriver. Est-ce que l'électrique, c'est l'avenir? On va le savoir dans une couple d'années. Est-ce que tous ces investissements-là étaient pas bons? Peut-être en montant d'argent, oui. Peut-être. Peut-être que le risque était trop gros. Mais là, on le voit que... toutes ces affaires-là, les filières, batterie, puis tout ça, ça va... Le truc, là, avec tout ce qui est électrique, c'est justement... On se bat, puis tu sais, dans la vie, il faut savoir sa place aussi. À un moment donné, il faut prendre la mesure de ses capacités. Se battre contre des pays comme la Chine, qui développe des batteries, pis ci, pis ça, tu sais, je veux dire, on gagnera jamais. On peut-tu avoir la meilleure chaîne d'assemblage de... Peut-être, oui, mais de là à les technologies, pis investir là-dedans, on va se battre contre qui? Tu sais, je veux dire, on se bat contre... C'est pas contre David, contre Doliath, là, c'est ça. [00:05:00] Speaker A: Ici, on est à Radio X, on reçoit sa gueule, les textos, on se fait souvent gueuler, mais... Ah ouais, le Dizzy, il m'aurait été pas game. Là, il y en a un qui a envoyé des émoticons. Ah, Olivier, le tattoo de subvention, qu'est-ce que t'as à lui répondre? Au 418-569-... [00:05:15] Speaker B: En fait, j'ai jamais eu de subvention de ma vie. [00:05:17] Speaker A: Bon, ben voilà! [00:05:18] Speaker B: There you go! En fait, non, c'est pas vrai, j'ai eu 1250 $ de Touristes Québec pour Métro-Métro à Montréal. L'année que j'ai reçu Drake, 1250 $. [00:05:30] Speaker A: Ça a pas payé Drake. [00:05:31] Speaker B: Ça a même pas payé sa chambre d'hôtel. [00:05:32] Speaker A: Non, même pas. [00:05:33] Speaker B: Pis même pas son souper, d'après moi. [00:05:35] Speaker A: Dossier réglé. [00:05:36] Speaker B: Exactement. Pis ici, dit têteux de subvention, c'est sûrement sur le cas de l'eau. Je sais pas si on va en parler tantôt. En ce moment, je rencontre le gouvernement pour ça depuis des mois. [00:05:44] Speaker A: T'es ici pour ça, d'ailleurs? [00:05:45] Speaker B: Ouais, je suis ici pour ça. Hier, j'étais au ministère. [00:05:47] Speaker A: Qu'est-ce que ça a donné, ta rencontre? [00:05:49] Speaker B: En fait, toutes les rencontres vont mieux, mais c'est tellement nouveau ce que je propose que c'est pas de la réticence, vraiment pas, mais il faut que le dossier soit bien fait, justement. On parle d'aller trop vite des fois. [00:06:03] Speaker A: Qu'est-ce que tu demandes exactement? [00:06:04] Speaker B: De faire le projet avec le gouvernement. Fait qu'il faut savoir qu'à la base, je ne demande pas d'argent, concrètement. En fait, le deal que je veux faire avec le gouvernement, c'est si mon plan fonctionne, je vais en faire de l'argent. Parce que si j'en fais, bien, le Québec va en faire parce que c'est avec vous autres. Si j'en fais pas, si le gouvernement fait pas d'argent, les Québécois, bien, j'en fais pas. Qu'est-ce que tu veux faire exactement? Ça, c'est ça. En temps et lieu, je le dirai, mais je veux juste dire que c'est ça que je propose. Et au gouvernement, Puis là, je me mets dans leur place. Jamais personne ne va les voir sans leur demander d'argent ou d'énergie ou peu importe. Fait que tu sais, c'est quand même un... Ils comprennent pas. [00:06:42] Speaker A: Tu veux embouteiller, là? [00:06:44] Speaker B: Non, du tout. De toute façon, tu peux... [00:06:45] Speaker A: Ce ne sera pas « fresh water everyday ». [00:06:47] Speaker B: Tu peux me le demander 200 fois, je ne te le dirai pas, mais ça ne changera pas le fait que je ne demande pas d'argent. Parce qu'il y a eu tellement, puis je pense que les gens le voient sur toutes mes plateformes, Je ne suis pas obligé de dénoncer toutes les injustices économiques du Québec parce que je les vis, mais peut-être moins aussi que beaucoup de gens. Mais c'est tellement important pour moi parce que quand je vois mes amis et des gens qui m'écrivent et qui ont de la misère à arriver, puis on est à l'hôpital et on attend et ça ne fonctionne pas, ça me fait tellement chier. que je trouve ça important d'en parler. Puis là, on a vu des deals économiques dans les dernières années très compliqués. Si j'ai pas le goût de refaire ça, puis le monde me dit « Ah, Primo, t'as des subventions. » Le but est que le Québec fasse beaucoup d'argent. S'ils en font, je pense que tout le monde va être bien content que j'en fasse aussi. [00:07:30] Speaker A: T'as goûté à ça, la polarisation, quand t'as fait l'entrevue avec Poilievre. «Hey, voyons donc, Olivier, c'est extraordinaire, t'es un conservateur, Olivier!» Et de l'autre, «Voyons donc, t'es donc ben... t'es donc ben de la marde, Primo, t'appuies un gars de droite, un Trump, etc.» On a lu les commentaires quand c'est arrivé. T'as goûté à ça, comme on goûte à ça aujourd'hui, et les dérapages sont encore plus excessifs avec l'histoire de l'assassinat de Charlie Kirk. Tu penses quoi de tout ça? T'as commenté d'ailleurs sur ton fil, la dérape entre autres chez Cube. [00:08:03] Speaker B: Oui, oui. Mais en fait, ce que j'ai à dire là-dessus, c'est pour ça que j'ai pas mis sa photo, j'ai pas mentionné son nom, parce que tu prends mon texte avec tout ce qui se passe de mal sur la planète. C'est ça que ça veut dire. Tu le mets dans toutes les situations. Personne devrait se faire tuer. pour avoir dit ce qu'il pense. Que tu sois d'accord avec lui, que tu trouves ça dégueulasse. Parce que, by the way, il y a plein de choses qu'il dit qui me rejoignent pas. En fait, en grande majorité, qu'il me rejoigne pas du tout. Mais de là à se faire exécuter comme ça n'a pas de bon sens. Fait que là, à un moment donné, c'est... Puis, tu sais, le truc, c'est qu'il y a énormément de personnes qui pensent comme lui, puis il y a énormément de personnes qui pensent pas comme lui. Fait que là, est-ce que tout le monde va commencer à se tirer? [00:08:45] Speaker A: Est-ce qu'on peut réparer ça? Reviens sur ton podcast avec... avec... Poitliev. [00:08:51] Speaker B: Il va être tough. Ouais. Non, mais dans le sens, juste prenant là-dessus, tu sais, les extrêmes, c'est drôle parce que je parlais de ça avec ma mère il y a une couple de semaines, les extrêmes sont tellement rendus à l'extrême. Puis l'autre chose aussi, avec les réseaux sociaux, avant, les extrêmes, puis en fait, tout le monde n'avait pas le... [00:09:06] Speaker A: Le crachoir. [00:09:07] Speaker B: Exactement. Tout le monde avait le droit de parole, mais personne n'avait la plateforme pour dire sa parole. Là, tout le monde l'a. Puis là, c'est sûr que quand t'es dans la chambre d'écho de... Peu importe ce que tu regardes, à gauche, à droite, en haut, à l'extrême, peu importe. Si tu restes dans ta chambre d'égo, puis tu penses que ce que tu dis, tout le monde l'approuve. C'est pour ça que quand je publie mes textes, je les publie sur toutes les plateformes, parce que tous les gens le voient. J'ai des mauvais commentaires, des bons commentaires, mais tu peux pas dire que je parle juste à une chambre d'égo. [00:09:35] Speaker A: Mais comment t'as trouvé ça, le gars qui rit? Finalement, je comprends que c'est excusé, mais tu le commentes. Ce gars est tellement condescendant, il rabaisse tout le monde pour se remonter. Quelle triste personne. [00:09:44] Speaker B: Oui, exact. En fait, ce que je disais de M. Gosselin, c'est que justement, puis je l'ai pogné une couple de fois cet été, puis moi, je m'attaque jamais à personne. Puis vous pouvez aller voir sur mes réseaux sociaux, bon, au gouvernement. Mais une personne en particulier, jamais. Puis je trouve ça triste. Moi, je l'ai jamais rencontré. il était condescendant avec moi, il parlait de moi, il riait de moi. Ah oui? [00:10:04] Speaker A: Qu'est-ce qu'il disait? [00:10:05] Speaker B: Le propriétaire du Beach Club qui aime tout le temps commenter. Whatever, peu importe, on s'en fout. Et j'ai pas répondu. Mais quand ça s'est arrivé, j'étais comme... [00:10:13] Speaker C: Ouais, tu t'en souvenais. [00:10:14] Speaker B: Je m'en souvenais, puis tout le monde... [00:10:16] Speaker A: Il t'a regardé de haut. [00:10:18] Speaker B: Moi, les gens qui regardent les gens de haut, faut que tu me regardes drette dans les yeux. Je te regarde dans les yeux. Puis qu'on soit d'accord sur plein de choses, qu'on soit en désaccord sur plein de choses, aucun problème. Mais quand t'es condescendant, Argumente-moi, aucun problème. Mais, t'sais, ici, on n'a pas besoin de ça. Puis Sadio qui était de très mauvais goût. [00:10:36] Speaker A: Exact. Comment on fait pour réparer le Québec, faire mieux les choses? On va essayer d'être positif un matin, on regarde la situation, les nouveaux ministres, ça change rien, on le sait, la santé, l'éducation, tout ça. Comment mieux changer les choses? Est-ce qu'on a des options sur la table? Est-ce qu'un duem, par exemple, tu pourrais faire confiance? Au fédéral, même chose? Où t'es situé politiquement ce matin? [00:11:01] Speaker B: En fait, là, je suis content que tu dises que c'est pas tout qui va mal non plus. Tu sais, je veux dire, on vit dans un pays, puis ici, dans une province où on est bien. [00:11:10] Speaker A: Une terre bénie des dieux, je le répète en anglais. [00:11:12] Speaker B: 100 %, on marche dans la rue. Puis c'est drôle, hier, j'étais avec une de mes amies françaises, puis elle était comme, «Hey, je marche dans la rue ici, je pense pas que je vais me faire attaquer.» Tu sais, fait qu'on est chanceux, fait que c'est pas tout qui va bien, «Hey, tout qui va mal, là, on va arrêter de parler de ça.» Mais le truc est comme en affaire, mon père, quand j'étais jeune, quand je disais, «Hey, as-tu vu ça? Ça va tellement bien.» Il était comme, «Parle-moi pas de ce qui va bien, parle-moi de ce qui va mal, il faut qu'on l'arrange.» Fait que c'est triste, mais c'est comme ça. Bon, où est-ce que je me situe politiquement en ce moment? [00:11:36] Speaker A: Pour trouver des solutions, tu es en mode solution. [00:11:39] Speaker B: En fait, il faut arrêter... Il faut arrêter... Comment je pourrais dire ça? Là, on gère un pays et une province en décroissance économique. Fait que là, il faut qu'on coupe partout parce que tout va mal dans le sens que nos infrastructures tombent en ruine, tout ça. Fait qu'il faut rentrer de l'argent. C'est pas en taxant et en inventant des impôts, peu importe, qu'on va s'enrichir. Ça va juste appauvrir la population et ça va être de pire en pire. Il faut créer de la richesse, comme Hydro l'ont faite à l'époque. Comme la SAC, à plus petit niveau que l'Hydro l'a faite, il faut qu'on ramène des revenus. à l'État pour qu'on puisse payer ça. [00:12:17] Speaker A: Mais il y en a beaucoup de revenus. [00:12:19] Speaker B: Il y a beaucoup de revenus, mais c'est des revenus... Beaucoup de revenus gaspillés. Oui, oui. [00:12:22] Speaker A: Sous-taxation et tarifs. [00:12:24] Speaker B: La gestion de l'argent, est-ce qu'elle est bien faite? Non. Puis là, on le voit depuis des mois et des mois et des mois et des mois et des mois. Mais ça, c'est une boule de neige. La boule de neige économique, quand elle commence à aller mal, c'est comme dans une entreprise. C'est tellement difficile à arrêter. Est-ce que c'est un changement de gouvernement qui va aider ça? Je le sais pas. Est-ce que ça va être mieux avec le PQ? [00:12:43] Speaker A: Parce que l'État est trop gros. [00:12:45] Speaker B: L'État est gigantesque. J'ai vu M. Legault qui veut couper des postes. Ben, go! [00:12:49] Speaker A: Par attrition. Oui, mais tous les politiciens l'ont dit les dernières années. Couillard, viens t'assez sur ton siège pis mets le 20-10 dans le temps. [00:12:55] Speaker B: Je vais te challenger là-dessus, par contre. L'État québécois est canadien. On a décidé d'avoir un filet social énorme. Et je suis le premier à dire que ça ne me dérange pas de payer de l'impôt. [00:13:05] Speaker A: Si on a les services pour, Olivier. [00:13:07] Speaker B: Si c'est pour aider les gens les plus démunis et qui font moins d'argent et qui aillent à accès aux mêmes services que nous autres, il n'y a aucun problème. [00:13:15] Speaker A: On est à même adresse. Donne-les les services. On essaie d'appeler Revenu Canada, ça répond pas au téléphone. Ça, c'est capoté. [00:13:23] Speaker B: Je veux payer des impôts, mais je veux... [00:13:25] Speaker A: Eux autres, ils trouvent ton numéro à dispêcher, par exemple. C'est qui ton inspiration ces temps-ci? Dernière question. [00:13:31] Speaker B: C'est qui qui t'inspire? [00:13:33] Speaker A: Artistes, politicos, économistes, peu importe qui. [00:13:36] Speaker B: En fait, je pense pas que j'ai une personne en particulier, mais j'ai le mouvement économique de justement ce que je viens de dire, qu'il faut ramener, il faut créer des nouvelles, un nouveau projet de société, il faut ramener des revenus, puis il faut... [00:13:49] Speaker A: Créé de la richesse. Quand tu lui amenais des revenus, de la richesse. [00:13:52] Speaker B: Il Exactement. a créé Je pense que c'est plus ce mouvement-là qui m'inspire parce que pendant des années, on n'avait pas besoin de penser à ça. Parce que v'là 10 ans, pas v'là 20 ans. Moi, je vais avoir quarantaine dans un mois. V'là 10 ans, bon OK, les hôpitaux, les urgences, on attendait. Puis c'est depuis la nuit des temps. Mais par contre, on pouvait aller au restaurant parce qu'au Saint-Hubert, ça coûtait 14,99. Les loyers étaient abordables. Les autos, c'était le fun. Le gaz, ça coûtait pas cher. Ça va mal, pis tout coûte cher, pis on a payé moyen. Fait que là, un moment donné, t'sais, il y a un juste milieu. Fait que t'sais, on était capable de pas trop chialer, pis on était bien chez nous, parce que justement, on avait un pouvoir d'achat économique, tout ça. Là, ce n'est plus le cas, en plus. Fait que c'est ça. Ça prend de la richesse, ça price, pis... pis c'est ça. [00:14:35] Speaker A: Ton 40e anniversaire, il va-tu avoir de l'alcool? [00:14:37] Speaker B: Bien, c'est sûrement de la Midge Dairy, les gars. Justement, hier, on a eu une coupe de bouteille de vin chez Tonino. On a eu une belle carte de vin aussi. [00:14:44] Speaker A: There you go. Merci beaucoup d'être passé. [00:14:46] Speaker B: Merci de l'accueil, guys. Merci beaucoup. [00:14:47] Speaker A: Merci. Et bienvenue à Québec. [00:14:49] Speaker B: Bien, j'adore Québec. [00:14:50] Speaker A: Ta ville préférée. [00:14:51] Speaker B: Ma ville préférée, je le dis souvent, puis je me déplace. On m'avait demandé de le faire au téléphone. Non, non, je viens en studio, moi. [00:14:56] Speaker A: C'est parfait. Merci beaucoup de t'être déplacé en studio. Et vous êtes dans Montréal Live.

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