20 MINUTES: Claude Villeneuve répond à vos questions.

September 29, 2025 00:21:10
20 MINUTES: Claude Villeneuve répond à vos questions.
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20 MINUTES: Claude Villeneuve répond à vos questions.

Sep 29 2025 | 00:21:10

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[00:00:00] Speaker A: Le 20 minutes du peuple. [00:00:01] Speaker B: Le dernier sondage, c'est 42% qui était pour. On est vulnérables, on est très vulnérables. Moi, je viens d'une bille industrialisée. Actuellement, on est sur un projet actuellement de 5 milliards. Moi, je visais sincèrement la mêlée. Il y a un travail à faire. [00:00:10] Speaker A: Dans les finances de la ville. [00:00:10] Speaker B: Le 20 minutes du peuple. [00:00:13] Speaker A: Grosso modo, jusqu'à 8 heures pile. Claude Villeneuve, comment ça va? [00:00:17] Speaker B: Ça va bien et toi? [00:00:18] Speaker A: Très bien. Les lignes sont pleines. En fait, on va passer aux auditeurs dans quelques secondes, juste pour savoir, avoir leur juste, puis je vous posais la question durant la pause, les débats, on a out, on a out qu'il y a justement des débats. pour qu'il y ait des échanges, pour justement qu'il y ait de l'information, essayer de déstabiliser l'autre et tout ça. Les débats, qu'est-ce qu'il y a sur la table de conclus? [00:00:43] Speaker B: Là, évidemment, il y a la Chambre de commerce qui en fait un la semaine prochaine, le 7. C'est à Saint-Charles-Garnier. Radio-Canada, il y en a un, Radio-Canada, mais là, de même, moi, j'ai de la misère à dire la date. [00:00:52] Speaker A: Mais il y en aura un. [00:00:52] Speaker B: Oui, oui, il y en a un, c'est certain. [00:00:53] Speaker A: Avec Bruno Savard, j'imagine. [00:00:54] Speaker B: Avec Bruno Savard. [00:00:55] Speaker A: Est-ce qu'il y en a un avec Julie Couture? [00:00:58] Speaker B: Vite, je crois... Thierry-Anne, je sais... Oui. [00:01:00] Speaker A: Ah... Votre attache de presse dit oui, c'est ça, c'est bon, très bon. [00:01:03] Speaker B: Donc on va les faire. On va être là. [00:01:05] Speaker A: Ben oui, oui, il faut, il faut. Faut que ça lève, là. On prend l'impression que ça lève beaucoup la campagne, humblement. [00:01:09] Speaker B: Ben oui, pis qui a les moyens de se priver de tribunes pour parler avec le monde? Ça marche pas. Ben c'est ça. [00:01:14] Speaker A: Ça marche pas. OK, parfait. Je laisse la place au monde. Moi, je suis en retrait, puis ça déborde, vous le savez, les liveurs, des questions intelligentes posées, puis comme d'habitude, finalement, ça a bien été avec Anne, ça va bien aller avec Claude. Et la semaine prochaine, rappelons-le, débordée du Sud, et on reprend le 20 minutes du Peuple après, avec la chance et avec Ahmad. Jacques de Côte-de-Beaupré. Bonjour. [00:01:37] Speaker C: Oui, bonjour. [00:01:38] Speaker A: Vous parlez directement avec Claude Villeneuve. Allez-y. C'est votre truc. [00:01:41] Speaker C: M. Villeneuve, êtes-vous conscient Quand vous unifiez en pas, vous ne ferez même plus partie du conseil de la ville de Québec. Puis là, vous allez être avec un individu qui va briser la ville qu'on a connue pendant des années. Puis là, ça va être une ville scrappée. Tout ça, tout ça, parce que vous vous êtes pas entendus ensemble. Parce que le marchand va passer là comme une balle. [00:02:14] Speaker B: Ben moi, comme je vous dis, j'ai très confiance dans mon district de Maiserelle-Héret et au-delà, pis moi je vise de gagner cette course à la mairie-là. On va l'avoir, le débat, pis ça va se passer. Bruno Marchand, moi je vois justement tout ce qui est en termes de pistes cyclables, tout ce qui a été aménagé partout en ville. les lubies, l'idéologie telle qu'elle a été implantée. Puis moi, je l'ai vue au premier horloge en étant chef de l'opposition. Maintenant, en nous unifiant pas, t'sais, c'est... Est-ce qu'il n'y a pas... À mon avis, il n'y a pas eu de discussion vraiment sérieuse pour créer un front uni. Puis de toute façon, t'sais, je vois la personne qui a essayé de nous unifier présentement, le genre de... de campagne qu'elle mène, je suis pas sûr que c'était l'homme de la situation. En fait, je sais que c'était pas l'homme de la situation, alors moi, je propose mon offre, je vais voir le monde, pis l'accueil est super bon, pis mes candidats, ils sont sur leur terrain, ils sont dans les portes, pis les gens, ils ont envie d'entendre parler d'autre chose que marchands à mad. Ils ont envie, ils veulent plus de Bruno Marchand, ils trouvent que ça va mad, c'est pas sérieux, ils cherchent autre chose. Fait que moi, c'est ce que je propose. [00:03:07] Speaker A: Il y a eu des bonnes questions aussi sur le texto. Je sais qu'on est en 2025, il y a des appels. 88-670-9098. Mais il y a beaucoup de bons trucs sur le texto, puis Dan va faire ça tantôt. [00:03:20] Speaker B: On va attendre ça. [00:03:21] Speaker A: Oui, parfait. Bernard de Charlebois, c'est à votre tour. [00:03:23] Speaker B: Bonjour. [00:03:24] Speaker C: Oui, bonjour. Moi, je voulais parler du délit de démocratie qui existe à la Ville de Québec. C'est-à-dire que lorsqu'un citoyen va poser une question, souvent, malheureusement, on répond pas à sa question, On voit des fois, on se moque de lui. C'est comme ça curieux que personne n'intervienne, comme vous faites souvent, vous dire à M. Périvélage qu'il faudrait de la main. Pourquoi ça ne s'applique pas dans le cas d'un citoyen? C'est une question de déni de démocratie. Vous en faites partie totalement. Vous êtes pour un projet que le monde ne veut pas. Expliquez-moi ça. [00:03:58] Speaker B: Écoutez, sur les questions à l'hôtel de ville, je suis parfaitement d'accord avec vous. Je trouve souvent que le maire se fait poser des questions, puis il swinge ça à un de ses conseillers. Il ne répond pas pantoute. Et nous, on n'a pas vraiment de possibilité à ce stade-ci. Parce que quand tu vois qu'il y a une question de règlement, une question de privilège, il faut que ce soit toi qui sois affecté. Tu ne peux pas le faire pour n'importe qui. Des fois, c'est quand Bruno Marchand quitte les longues parties du conseil. Je le trouve vraiment arrogant. Je trouve qu'il n'y a pas d'écoute. C'est un peu agressif, voire un peu violent à l'égard du monde, de balayer du revers de la main leurs questions comme ça. Par ailleurs, je propose de créer une assemblée. Les élus et les conseils municipaux ont la possibilité de faire une assemblée citoyenne dans notre district une fois par année, répondre aux questions du monde. Moi, je veux que le maire fasse ça. Je veux que le maire, une fois par année, il organise une activité dans les arrondissements, puis qu'il soit obligé de répondre à toutes les questions durant toute la soirée, au moins une fois par année. [00:04:49] Speaker A: — Et il le fait pas. [00:04:50] Speaker B: — Il le fait pas. Moi, je prône ça. Moi, je pense qu'on devrait faire ça. Maintenant, sur le tramway, bien là, c'est parce que là, les gens ont l'occasion de s'exprimer. C'est maintenant. Vous savez, moi, vous savez où je suis là. — Vous, vous êtes pour. — Moi, je suis en faveur du tramway. Puis il faut pas hésiter, là. Je veux dire, si c'est pas... T'sais, les gens votant pour moi, ils savent pourquoi ils votent. Donc c'est là que je vais chercher ma légitimité. Après ça, de défendre mes idées. Moi, j'ai été élu comme conseiller municipal en 2021 en prônant un tramway. J'ai été fidèle à cet engagement-là tout au long du mandat. [00:05:15] Speaker A: Mais vous êtes un marchand light. Moi, je dis que vous êtes un marchand light, comme un Bud Light. C'est un peu ça? [00:05:20] Speaker B: Moi, je pense marchand être très idéologique. Moi, je me vois comme un pragmatique. Moi, les boleurs l'hiver, pour les pisciclaves, ça sert à rien, OK? Ça ralentit le déneigement dans une ville qui est déjà compliquée à déneiger, puis ils se font tout arracher, puis tout ça. Mais Marchand, lui, c'est important. Il faut que tu le voyes, le boleur, il faut que tu vois la pisciclave, il faut que tu vois qu'elle soit là l'hiver, même s'il y a personne dessus. Moi, c'est une façon complètement différente de comprendre à quoi la politique doit servir. Merci beaucoup! [00:05:43] Speaker A: On s'en va à Éric, de Duberger, puis par la suite, on ira aux questions. [00:05:48] Speaker B: Parfait. [00:05:49] Speaker A: Salut Éric! [00:05:50] Speaker C: Bonjour, ça va bien? [00:05:51] Speaker A: Très bien, vous parlez avec Claude. [00:05:53] Speaker C: C'est peut-être pas les choses nécessairement que tu vas entendre, mais bref. Je pense, comme le vieux monsieur, je pense que vos chiffres ne sont pas là. Puis qu'on doit débarquer le marchand au PC. Puis je pense que vous faites, malgré que vous avez un petit sondage, avec tout respect, vous devriez vous affilier. Peu importe, vos chicanes, réglez-les. Parce que là, l'important, c'est le but. Vous vous présentez pas juste pour vous. Je pense que vous vous présentez pour la ville, pour le mieux de la ville. Le mieux de la ville en ce moment, c'est de se débarrasser du marchand. Puis je pense que le monde va peut-être vous en vouloir pas nécessairement. Je veux dire, vous comprenez ce que je voulais dire? Je pense que le monde va vous en vouloir un peu si vous n'entendez pas avec Saint-Maman. Oui, il y a une mauvaise campagne en ce moment, mais je pense que les sondages sont là. Il faut battre Marchand, point final. [00:06:38] Speaker A: Très bonne question. [00:06:40] Speaker B: Moi, je pense qu'être maire, ça se mérite. Moi, je pense qu'être maire, ça ne devrait pas tomber dans la main de personne. Il n'y a personne qui devrait dire, qui a le droit de dire, c'est moi qui devrais être maire, on ne veut plus Marchand. Est-ce que Sam Ahmad, jusqu'ici, a mérité de devenir maire de Québec? Est-ce qu'il a prouvé qu'il était prêt? Est-ce qu'il a prouvé qu'il avait la maîtrise des dossiers? Qu'il était assez allumé, assez au courant de comment être capable de suivre la POQ? Parce qu'être maire, c'est tough. Être maire, c'est exigeant. Si M. Ahmad n'est pas capable de démontrer aux gens qu'il est capable d'être maire, à la fin, c'est pas moi de faire semblant à sa place. Moi, je propose quelque chose. Si les gens de Sam Ahmad veulent se rallier à moi, ils ont beau, mais Sam Ahmad ne m'a pas donné de raison jusqu'à maintenant de penser ça serait mieux avec lui comme mère qu'avec Marchand. [00:07:20] Speaker D: Puis selon vous, je peux-tu faire du pouce? [00:07:21] Speaker A: Let's go! [00:07:22] Speaker D: Selon vous, là, avec la lecture que vous avez, est-ce que vous divisez réellement le vote anti-Marchand? En gros, si vous étiez pas là, est-ce que le monde voterait... le monde qui vote pour vous, est-ce qu'il voterait plus pour Aman ou pour Marchand? [00:07:34] Speaker B: Ben, t'sais, moi, c'est ça qui me met un petit peu en dissonance cognitive. Je passe mon temps à me faire dire que je suis un marchand light. C'est pas clair que si je m'étassais, mon vote irait sur sa maman. [00:07:43] Speaker D: Ben, c'est ce que je pense aussi. La lecture que j'ai, c'est... [00:07:47] Speaker B: Marchand aussi trouve que j'ai suivi son vote. [00:07:48] Speaker D: Moi, je veux que vous restiez. [00:07:50] Speaker A: Dan, plonge avec les questions, puis continuez d'appeler 418-670-9098. Soyez un peu patient. Il y a quand même d'excellentes questions sur le texto. [00:07:58] Speaker D: Est-ce que vous vous engagez, vous et les membres de votre équipe, mais vous ne pouvez pas parler pour les membres de votre équipe parce que ça devient une conversation personnelle, à ne pas transférer vers Marchand pour lui donner une majorité si jamais Advana le cas que vous êtes assis à la salle du conseil municipal. [00:08:14] Speaker A: Excellente question. [00:08:15] Speaker B: Moi, non, effectivement, j'ai eu quatre ans pour le faire, aller me coller sur Marchand, puis je ne l'ai pas fait. Je suis content de ne pas l'avoir fait. Il y avait Véronique Dallaire dans notre équipe qui se faisait offrir un poste sur l'exécutif, puis qui a refusé de changer de parti pour être sur l'exécutif. Marchand, il a enlevé la responsabilité qu'il avait donnée sur l'accessibilité universelle, il l'a mis de côté. Véronique, c'est une femme d'une loyauté extraordinaire, toujours à nos côtés. C'est une excellente conseillère municipale. qui est candidate dans les Sceaux-de-l'Ile-des-Méandres. Puis nous autres, c'est un peu ça l'approche. Puis les gens qui sont au sein de mon équipe, Marchand, c'est pas leur préféré, c'est pas leur meilleur non plus. Puis ça fait partie des conversations que j'ai avec les candidats au moment de les choisir. Il y a une loyauté qu'il faut qu'on garde. Puis si on avait voulu être candidat avec Bourdeaux-Marchand, on le serait déjà. [00:09:01] Speaker D: Steve est là. [00:09:02] Speaker A: Oui, Steve de Sainte-Catherine, dans le 20 minutes du peuple. Comment ça va, Steve? [00:09:07] Speaker C: Ça va très bien. C'est ça, j'ai habité, les trois dernières années, j'étais à Sainte-Catherine, mais j'ai habité à Beauport toute mon enfance, donc c'est pour ça que je me questionnais. [00:09:15] Speaker B: C'est notre ami Pierre Delbecq. Oui, excusez-moi. [00:09:18] Speaker A: Oui, le maire Pierre. [00:09:19] Speaker B: J'aime bien votre mère, excusez-moi. [00:09:21] Speaker C: OK, OK, merci, merci beaucoup, désolé. Oui, bien bonjour, puis félicitations pour la campagne, pour toutes les personnes qui se présentent. J'avais une question à prioritaire au niveau du... du transport, moi, effectuant, vu que j'ai été longtemps à Beauport, puis qu'on parle souvent du troisième lien, je sais que ça a été mis pas mal de côté avec le marchand, puis que la priorité était beaucoup le tramway, mais j'aimerais beaucoup qu'on parle, vu que le tramway, tout le monde semble vouloir se diriger vers cette direction-là. J'aimerais savoir quel pont va s'y rattacher pour pouvoir avoir un meilleur flux d'ici au niveau de la ville de Québec, parce qu'on sait qu'on s'en vient pas mal avec du trafic, puis ça s'améliorerait pas avec les années, alors j'aimerais ça savoir, est-ce que vous, un troisième lien, commencerait à être une priorité au niveau de la ville de Québec? [00:10:10] Speaker B: Moi je pense que s'il y a un troisième lien, il faut qu'il soit à l'est. Moi je pense que le troisième lien tel qu'avancer par la CAQ présentement, l'espèce de corridor central qui va passer par Valero puis aller se tirer dans la falaise, c'est ridicule. Je pense qu'il n'y a personne à Québec qui pense qu'il va avoir ça de son vivant. Puis moi je pense que Ça prend un troisième lien à l'est qui va être cohérent avec les autres aménagements qu'on va faire dans ce coin-là. C'est une occasion manquée qu'on soit déjà en train de refaire le pont de l'île alors qu'on aurait pu l'inscrire dans quelque chose de plus large parce que techniquement, c'est pas simple de faire un pont à cet endroit-là. Il y a des contraintes, puis bon, c'est du frémont réciproque. On voudrait que ça aille sur le Capitale. Aussi, il faut s'assurer que si on fait un troisième lien à l'Est, ça va pas empirer le trafic qui est déjà sur le Capitale-Ouest, en amenant plus de voitures en provenance de l'Est. Mais moi, mes yeux, s'il y a un troisième lien, c'est par l'Est que ça doit passer. [00:10:56] Speaker A: On s'en va jaser avec Michel de Beauport. Salut, Michel. [00:10:59] Speaker C: Oui, bonjour. [00:10:59] Speaker B: Bonjour. [00:11:00] Speaker A: Allez-y. [00:11:01] Speaker C: Oui, moi, ce que j'aurais aimé avec le Colisée, au lieu de le démolir puis de faire des appartements, ça aurait dû être un musée du sport, de tous les sports au Québec. Ça, ça aurait été un bon projet. [00:11:10] Speaker B: Moi, je pense que oui. À chaque fois qu'on parle du Colisée, j'en reçois plein de courriels de gens qui disent musée des sports, musée des transports. Il y a plein d'idées qui sortent. On n'a jamais fait d'appel à projet. Moi, comme élu, jamais je me suis fait dire, alors voici, Colisée, on aurait telle option qui coûterait 20, 30, je ne sais pas, 40 millions à faire, versus la démolition, combien ça coûterait le démolir, on n'a même pas le prix. Moi, si je deviens maire, je vais lancer un appel à projet. Pas une affaire qui va durer des années. Si tu soumettais-moi un projet pour le Colisée, combien ça coûterait de le démolir? Puis quand on aura un projet, ça pourrait être un musée des sports. C'est important dans l'histoire du Québec, le Colisée, il y a une grosse partie de notre histoire sportive qui se passe là. Quand on aura un projet et qu'on pourra comparer à combien ça coûterait de le mettre à terre, là, on va être capable de prendre une décision éclairée. Mais moi, j'aimerais bien mieux qu'on soit capable de faire de quoi avec le Colisée. Puis le musée des sports, je trouve que c'est une super bonne idée. [00:11:59] Speaker D: J'ai des questions sur le texto. [00:12:00] Speaker A: Oui. [00:12:01] Speaker D: Il y a M. Trudel qui dit, allez-vous continuer de subventionner les activités du 870 de Salaberry? [00:12:07] Speaker B: Oui, bien, ils ont énormément d'activités. [00:12:10] Speaker A: Et il y a énormément de subventions. [00:12:12] Speaker B: Oui, c'est ça. C'est Accès Transports Viables. [00:12:14] Speaker A: Il y a-tu un problème là? [00:12:15] Speaker B: Vivre en ville. [00:12:16] Speaker A: Depuis la bombe? [00:12:18] Speaker B: De la bombe qui est partie sur le bal? Il une y concentration a d'organismes qui se sont installés là. Moi écoutez, c'est pas de cibler un plus qu'un autre, lui il n'y aura plus d'argent ou quoi que ce soit. [00:12:27] Speaker A: Il y en a quasiment une dizaine, dont les principaux, Vivre en ville, parce qu'on finance avec nos taxes des lobbies de bougonneux et des colos. Moi je n'ai pas choisi de financer ça. Pas de référendum là-dessus. [00:12:42] Speaker B: Souvent ils vont avec différents projets, c'est l'accès de la retraite. [00:12:45] Speaker A: On fait vivre du monde. [00:12:46] Speaker B: Il faut faire des meilleurs choix. Moi je ne veux pas cibler une gang, dire ok toi on va te punir, tu ne seras plus là. Mais c'est que Bruno Marchand, plus ça coûte cher, mieux c'est. Moi je pense qu'il faut faire des meilleurs choix et des fois on subventionne des affaires. C'est stretchy. On fait un effort de plus pour être capable de leur donner de l'argent. Moi, je pense qu'il faut être beaucoup plus critique et rigoureux que ça. Marchand, c'est quand il se fait demander une subvention par des gens de ces lobbies-là, il faudrait que tu lui expliques pourquoi il ne serait pas obligé de donner. C'est pas pourquoi il faudrait qu'il donne une subvention, c'est pourquoi il ne donnerait pas qu'il faut que tu lui expliques. Quand ton réflexe, c'est de sortir le chéquier, c'est sûr que ça finit par coûter cher. [00:13:24] Speaker D: Un autre question, puis je la trouve super bonne, cette question-là, parce qu'elle est d'actualité. Hier, le feu dans le Vieux-Québec versus la rue Saint-Jean. La question est la suivante. Est-ce que vous allez redonner la ville aux citoyens? [00:13:38] Speaker B: Mais ça, là, c'est écœurant, ça. Quand ils ont installé les barrières anti-camions-belliers, on l'a posé la question. Les pompiers vont-ils pouvoir travailler avec ça? Ils vont-ils s'organiser? [00:13:49] Speaker A: Ça a été quoi, la réponse, le marchand? [00:13:51] Speaker B: On s'est fait dire oui. On s'est dit qu'on s'était assuré de toutes ces affaires-là. [00:13:54] Speaker A: Il aurait pu y arriver une tragédie, là. [00:13:55] Speaker B: Puis ça, à chaque fois... Puis moi, ça m'inquiète parce qu'à chaque fois qu'un projet, que ce soit le tramway, que ce soit n'importe quelle autre affaire, que ce soit une rue piétonne, on la pose toujours la question, est-ce que les services d'urgence pourront travailler? Ils nous disent toujours oui. [00:14:06] Speaker A: Le constat que vous faites, c'est quoi, de cette affaire-là? [00:14:08] Speaker B: Ben là, c'est que ça me fait remettre en doute toute l'implication des services d'urgence dans tous les aménagements de la ville. On prend-tu vraiment le temps de leur demander? T'es supposé avoir un outil pompier, pouf, arrivé, pis ben c'est ça. Hé, il aurait pu y avoir mort d'homme, là. Oui. T'sais, c'est vraiment grave, ce qui est arrivé hier. [00:14:22] Speaker A: Vous exigez quoi de marchands ce matin? [00:14:23] Speaker B: Je veux qu'ils se mettent à la table, je veux qu'ils rendent des comptes, je veux savoir qu'est-ce qui s'est passé, pourquoi les pompiers n'étaient pas au courant, et est-ce qu'on s'assure que les autres dispositifs sont sécuritaires. La rue Piétonne dans le lieu de Québec, ça existait dans le temps de la bombe. Ce n'est pas une servence seule en jeu, mais les camions béliers, ça fait longtemps, ça fait une dizaine d'années qu'on a des événements comme ceux-là. Ça a pris trois ans juste de planifier ces barrières-là. pis ça marche pas. Voyons, c'est quel scandale, pis ça coûtait cher, cette barrière-là. [00:14:52] Speaker A: Je vois des images d'ici Marc Desrivières qui est venu dire ça. Il dit « Ça se lève très rapidement et ça se baisse rapidement, donnant la possibilité aux camions de livraison de circuler la nuit, entre autres. Cet aspect vaut également pour les véhicules d'urgence qui doivent pouvoir circuler librement sans délai supplémentaire. » Ça a coûté 25 000. Et le projet pilote représente un investissement de 95 000 $. Ils ont menti, là. [00:15:17] Speaker B: Ça aurait pu tuer du monde. Littéralement, il y a du monde qui aurait pu mourir à cause de ça hier. Puis c'est quelque chose qui est supposé nous protéger. À ce moment donné, ces pompiers peuvent pas. C'est scandaleux, là. Sérieusement, là-dessus, il y a des comptes à demander. [00:15:28] Speaker A: C'est-tu Mac Desrivières qui a le problème ou c'est le maire qui a le problème? [00:15:31] Speaker B: Ben t'sais, à la fin, on peut bien toujours blâmer les fonctionnaires, mais c'est nous autres qui sommes imputables. [00:15:35] Speaker A: Ben c'est des humains qui ont fait des déclarations. [00:15:37] Speaker B: C'est ça. [00:15:38] Speaker A: On est imputables, oui ou non? [00:15:40] Speaker B: À la fin, moi je croyais que quelque chose s'appelle, bon c'est ça, porte-panneau municipal, mais c'est la responsabilité ministérielle. C'est comme Bruno Marchand, il était content de flasher que son service venait de sortir des barrières anti-camions-belliers. Ben là, il faut qu'il assume, c'est lui qui est imputable pour ça. C'est en responsable des transports, Pierre-Luc Lachance. [00:15:52] Speaker A: Il dit ça en vérité aussi, Marchand, concernant l'embauche de policiers dans les services d'urgence. Quand il dit qu'on a tant de policiers qui ont été embauchés et finalement, c'est un nombre beaucoup moindre tel qu'a révélé dans l'émission du Midi par Renaud Labrecq. Il n'y a pas les bons chiffres. Il n'est pas crédible. [00:16:09] Speaker B: Marchand, dès qu'il parle de chiffres, c'est qu'il faut que tu te mettes à te poser la question. À la campagne électorale, il sort des gros chiffrons. [00:16:15] Speaker A: Quand il sort des chiffres, qu'est-ce qu'on doit se poser comme question? [00:16:18] Speaker B: Ben c'est quoi, c'est quoi la twist? C'est quoi la... pour ne pas employer un autre mot. [00:16:23] Speaker A: C'est un manipulateur? Un menteur? Un maniganceux? [00:16:26] Speaker B: Ben sur les chiffres, quand Bruno Marchand sort des chiffres, souvent il meurt. C'est... j'ai oublié de le dire. [00:16:31] Speaker A: C'est une maladie ou c'est intentionnel? [00:16:33] Speaker B: Quand il parle, il dit on a construit deux... ben je pense que c'est intentionnel, je pense qu'il est assez intelligent pour savoir ce qu'il fait. Quand il dit on a construit 2300 logements sociaux... ou abordables. Logement social, ça coûte 300-400$ par mois. Logement abordable, ça coûte 1200$ par mois. Lui, il met tout ça dans la même catégorie. Il va toujours essayer de coller dans une catégorie des affaires qui ne vont pas nécessairement ensemble. Puis, sur les policiers, c'est la même affaire. Il va essayer de nous mettre ça au bout. Ça va être ça durant toute la campagne électorale et au-delà. Il va toujours prendre un autre élément, une autre information qu'il va coller là-dedans pour faire en sorte que ça fitte. [00:17:03] Speaker A: Là, je me retasse. [00:17:04] Speaker D: Daniel de Québec. [00:17:06] Speaker B: Salut, Daniel. [00:17:08] Speaker D: Non, c'est fini, Daniel. [00:17:09] Speaker B: Pierrot! [00:17:10] Speaker C: Salut, Pierrot. [00:17:10] Speaker B: Bonjour. Pierrot? [00:17:13] Speaker D: Oui? [00:17:14] Speaker C: Ah oui, c'est Daniel. [00:17:17] Speaker B: Bonjour. [00:17:17] Speaker D: Là, finalement, Daniel. [00:17:20] Speaker C: Oui. Oui. Le troisième lien, qu'est-ce qui est le plus important pour vous? Le troisième lien ou le tramway? Tu ne veux pas des réponses de politiciens. C'est quoi qui passe en premier dans vos priorités? [00:17:41] Speaker B: Je vais être intègre avec vous, je ne l'ai jamais caché. Moi, c'est sûr que le tramway, ça m'a amené en politique. Ça fait partie de ces raisons-là. Je ne vous fais pas semblant parce que je suis à Radio X. C'est sûr que moi, je suis venu... Puis c'est un projet municipal. Le troisième lien, c'est un projet du provincial. Je suis très intègre avec vous. Moi, c'est le tramway qui m'a amené en politique. Donc, je ne pourrais pas avoir votre question sur le tramway. [00:17:59] Speaker D: J'ai une autre question ici sur le texto. On fait quoi avec le 90$ de taxe pour nos matriculations? [00:18:04] Speaker B: Bon, le marchand l'a augmenté de 60$, c'était 30$, il a amené ça à 90$. Moi, je coupe la poire en deux, je le baisse à 60$. Plutôt que 60$ demandé par la Ville, ça va être 30$. Pourquoi? C'est que quand la taxe de 30$ était créée en 92, on l'avait indexée à peu près là, à 60$. Ça, je trouve que c'est plus équitable. C'est ça notre position. [00:18:24] Speaker D: Et puis j'ai un autre question économique ici. Est-ce que vous allez faire des annonces concernant les taxes municipales? Gels de taxes, on marche comment pour les taxes? [00:18:34] Speaker B: Les taxes à l'inflation, pas plus. Il faut limiter ça. En fait, puis il ne faut pas faire comme Marchand, en fait, puis passer par des tarifs. Marchand, ils se vantent de ne pas avoir augmenté beaucoup les taxes. C'est qu'ils demandent plein de tarifs à côté. C'est la vignette sous le stationnement, c'est la taxe minou, c'est la taxe sur la matriculation qu'on vient de mentionner. Moi, c'est à l'inflation, pas utiliser les tarifs pour détourner. Aussi, on veut permettre le paiement des taxes en 12 mois sans intérêt, comme on paye toutes nos affaires dans la vie. Et on veut abolir, rembourser les droits de mutation pour un premier achat. Ça, quand tu veux accéder à la propriété. [00:19:06] Speaker A: Quand même. On s'en va sur la 1, Jean-Xavier Pierrot de Québec. [00:19:09] Speaker D: Ça va être le dernier appel. [00:19:10] Speaker A: C'est le dernier avant la fin du 20 minutes. Allez-y. [00:19:13] Speaker C: Oui, bonjour. [00:19:14] Speaker B: Bonjour. [00:19:15] Speaker C: Moi, toute ma vie, j'ai pris le transport en commun. Quand j'ai su que le tramway arrivait, je me suis acheté un char. J'en veux-tu du tramway? J'en veux pas, tu seras moué. Mais la chose que je me pose comme question, c'est comment ça, tous, tous, tous les spécialistes qui viennent nous dire qu'est-ce qui est bon en transport en commun, ils ne prennent jamais l'autobus le matin, à tous les matins, ils ont tous des chars. Comment ça, ces gens qui sont spécialistes-là ne sont pas consommateurs de la propre marde qui essaie de nous infliger? [00:19:45] Speaker A: Merci beaucoup. [00:19:46] Speaker C: Merci. [00:19:47] Speaker B: Ben là-dessus, je sais pas si ça va m'imprédire ça. Moi j'ai remarqué Arbeau à des CDPQ Infra. Quand il est venu annoncer le tramway, je l'ai vu repartir avec son petit sac à dos pis aller prendre l'autobus pis tout ça. Mais pour vrai, ça peut être surprenant là. Pis t'sais, les chants du 870, ça l'a béri eux autres. Comme une auto aussi. Je pense que c'est partagé. Dans une maison, chez moi, je transporte les filles, je prends mon auto. Ma blonde, elle est en transport en commun. J'aime ça le matin, partir avec la poussette et amener les filles en transport en commun. C'est plus difficile à la fin, c'est de donner des choix au monde. Moi, je veux pas forcer tout le monde à prendre l'autobus. Moi, je veux toujours avoir un char. Je veux pas qu'on me force à prendre l'autobus, mais je veux avoir un bon service. [00:20:27] Speaker A: Si tu as un char à gaz. [00:20:28] Speaker B: C'est un électrique, par exemple. C'est quoi? Un Aria? Ouais, un Aria. J'ai oublié de s'acheter un Aria. [00:20:34] Speaker A: C'est bon. Merci beaucoup, Claude Villeneuve. Merci. Puis là, on passe après la semaine prochaine. Débat Rive-Sud. Débat Rive-Sud. Et ça sera un Royal Rumble. Il y en a trois candidats. [00:20:48] Speaker B: Steven, Serge, Isabelle sont tous là. [00:20:49] Speaker C: Oui. [00:20:50] Speaker A: Ensemble. Avec trois thèmes. Donc trois candidats, trois thèmes. et ça va être des échanges de 7-8 minutes chacun entre autres. Développement économique, l'habitation, la vie communautaire avec les arenas et tout, et le transport bien évidemment. Et par la suite, on reprendra notre volet 20 minutes plus tard dans la campagne.

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