Dan raconte son VOYAGE À CHICAGO/GREEN-BAY.

October 14, 2025 00:48:42
Dan raconte son VOYAGE À CHICAGO/GREEN-BAY.
Maurais Live
Dan raconte son VOYAGE À CHICAGO/GREEN-BAY.

Oct 14 2025 | 00:48:42

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[00:00:00] Speaker A: Dominique Moret. Moret. [00:00:06] Speaker B: Live. [00:00:12] Speaker A: Avec Dominique Moret, Dan Gravel et Tom Dumas. [00:00:20] Speaker B: Radio X. C'est lundi. Bienvenue. Non, mais c'est mardi. Mais c'est lundi. Mais c'est mardi. Mais c'est le début de semaine. Mais on est mêlés. Mais c'est une semaine de péquiste. C'est comme ça. Et on aura, bien entendu, tous nos invités qui sont concentrés, en quelque sorte, dans cette belle journée qui est le mardi lendemain de l'Action de grâce canadienne qui coïncidait avec Columbus Day. Résultat, on avait du sport mur à mur hier. incluant les Remparts, incluant les Jays. Et vous aviez également du foot et beaucoup de hockey hier. Et on a un voyageur avec nous qui arrive justement de nos lycées américaines. Dan Gravel, comment ça va? [00:01:06] Speaker A: Bien. [00:01:07] Speaker B: Je débarque de l'autobus. [00:01:08] Speaker A: 4H15, on débarquait de l'autobus ce matin. [00:01:10] Speaker B: Vous débarquiez dans le parking du Boston Pizza. [00:01:14] Speaker A: À Saint-Nicolas, oui. [00:01:15] Speaker B: À Saint-Nicolas? OK. [00:01:17] Speaker A: J'ai été assez pressé, je te dirais. [00:01:18] Speaker B: Voyant? [00:01:19] Speaker A: Ouais. À un moment donné, j'ai comme... Tu sais, hier, à quelque part, vers Toronto, là, j'ai comme commencé à paniquer un peu. Pis là, j'ai mis une petite pression. [00:01:29] Speaker C: Tu calculais un peu, tu es comme « ouais ». [00:01:30] Speaker A: Ouais. C'est vrai, moi, je me disais « si j'arrive en retard à la job, il n'y a pas de pépéto ». Si j'arrive en retard, s'il y a de quoi qui ne va pas bien, si je ne suis pas capable d'être à l'heure pour l'ouverture du show, c'est la dernière fois que je fais ça. C'est sûr, sûr, sûr, sûr, sûr. [00:01:45] Speaker B: Ça c'est étendu. [00:01:46] Speaker A: Je suis arrivé à temps. C'est parfait. [00:01:48] Speaker C: On est prêts. [00:01:48] Speaker B: Si tu ne te chauffes pas et tu ne prends pas deux heures pour manger, tu ne peux pas prendre les péchés sur tes épaules. [00:01:55] Speaker A: Que ce soit de ma faute ou moi, ma décision ça a été d'y aller. Si je ne suis pas capable de faire ça et de revenir à temps pour mes responsabilités qui sont de travailler, je n'irai pas. Mais je suis arrivé à l'heure, on va y retourner. [00:02:06] Speaker B: Tout le monde est de bonne humeur. [00:02:07] Speaker C: Est-tu le lundi du Pépé Tour seul? [00:02:10] Speaker B: Non, moi je suis un handicapé. Je ne suis pas capable d'opéra à console, je ne suis pas capable de peser. Je peux peser ses pitons, mais ça va être une jolie symphonie. Non, non, arrêtez de faire de la projection, ça va bien aller. [00:02:23] Speaker A: Le Pépé Thor va arriver beaucoup plus tôt. [00:02:26] Speaker B: Ça va bien aller, puis en plus on va avoir un nouveau maire. On va être vraiment dans une effervescence à Québec. [00:02:33] Speaker C: Ça va être passe à ce moment-là. [00:02:35] Speaker B: On va être mur à mur, c'est ça. On va être content. [00:02:38] Speaker A: On va être à 24 heures de la première séance de conseil municipal avec le nouveau maire. [00:02:43] Speaker B: Oui. Et avec Stéphane Lachance, le bar, qui va se mettre à crier, non? À quoi ça va ressembler ce conseil-là? On y reviendra plus tard. [00:02:54] Speaker A: Les premiers conseils, c'est toujours du lichage de tignots. [00:02:58] Speaker B: Oui, oui, oui. On verra. On verra. Exactement. 6h03, Dume du Monté-Salué. [00:03:03] Speaker C: Yes. [00:03:04] Speaker B: Gros week-end, Dume, ramassage de feuilles. [00:03:06] Speaker A: Oui. [00:03:07] Speaker C: Oui. On a fait ça avec ta famille. On n'a pas eu si gros terrain que ça, mais on avait des choses à remiser et tout pour l'hiver. On est prêt. [00:03:13] Speaker B: As-tu forcé tes filles à travailler? [00:03:15] Speaker C: Oui. [00:03:16] Speaker B: As-tu donné une allocation? [00:03:17] Speaker C: Non. [00:03:18] Speaker B: C'est de l'esclavage. Très bon. [00:03:20] Speaker C: Même dans la famille. [00:03:20] Speaker B: Très bon. Très, très bon. Toutes des bonnes réponses ce matin. Sacrifice, ça va être un show exceptionnel. [00:03:25] Speaker A: Faux con, en fait, cette semaine. [00:03:27] Speaker B: Faucon. [00:03:28] Speaker A: Faut qu'on ramasse les feuilles. Faut qu'on abrite les arbres. [00:03:31] Speaker B: Faut qu'on fasse l'amour. [00:03:32] Speaker A: Oui, oh oui. [00:03:33] Speaker B: Depuis les fêtes, t'es pas arrivé souvent? [00:03:36] Speaker C: J'étais dans la faucon. [00:03:37] Speaker A: Ok. [00:03:40] Speaker B: Les faucons, t'as perdu tant qu'à ça? Non? [00:03:42] Speaker C: Non, ils ont gagné. [00:03:43] Speaker B: Ah ok, bien regarde. [00:03:44] Speaker C: J'suis upset d'ailleurs. [00:03:45] Speaker A: C'est malade ça, c'est malade. C'est malade. [00:03:51] Speaker B: C'est malade. Toi t'es malade? [00:03:52] Speaker A: Oui. [00:03:52] Speaker B: J'ai le goût de tomber tout de suite dans le deep, Dan. Fais-nous voyager parce que moi, mon voyage américain, vous le savez, a foiré. Je suis resté ici. Je suis pas allé à Baltimore. Très bonne décision. C'est sûr que j'ai perdu du cash, mais en même temps... 7-3. Oui, je le sais. La mort va revenir dans deux semaines après la semaine de bail, mais c'est de la merde, mur à mur. Et en plus, les musées étaient fermés à Washington, donc on a décidé de rester ici. Ma sortie du week-end, ça a été au Tim Hortons. Mais je me suis reposé, puis je me plains pas. C'était un très beau week-end, mais toi t'as eu un week-end vraiment... [00:04:38] Speaker C: Hors de l'ordinaire. [00:04:39] Speaker B: Hors de l'ordinaire, très très loin, avec beaucoup de fans de foot et de sport en général. [00:04:44] Speaker A: Oui oui, puis c'était une super belle gang de voyage, mais t'sais c'est une gang qui réalisait un rêve. C'était d'aller voir dans le tombe du football, aller à Green Bay, voir les Packers de Green Bay. J'ai vu des messieurs qui prenaient pour des Packers qui n'avaient jamais été là de leur vie, qui sont devenus émotifs. [00:05:02] Speaker B: Du monde qui trippait sur Aaron Rodgers recru. [00:05:04] Speaker A: Du monde qui a quand même trippé sur Brett Favre. Brett Favre avait... Phil avait des gens qui jasaient. Il y avait beaucoup de fans des Packers. En fait, il y avait deux fans des Bengals sur 52 personnes dans l'autobus. Avant d'aller à Green Bay, je vais commencer par Chicago parce que c'est là qu'on est arrivé. J'arrive à Chicago. Chicago, je vous le dis, c'est une christie de belle ville. Chicago, là, c'est... [00:05:31] Speaker B: C'est plus beau que New York. [00:05:32] Speaker A: Oui. Ben, je vais te dire, c'est deux vibes différentes. New York, c'est le genre de ville où t'amènes ta maîtresse pis tu la menottes à la tête de lit le soir. [00:05:41] Speaker B: Ça, c'est dans quelle ville que je prends des notes? [00:05:42] Speaker A: Ça, c'est New York. [00:05:43] Speaker B: OK. [00:05:44] Speaker A: Pis à Chicago, tu y vas avec ta blonde pis ta famille. [00:05:46] Speaker B: Oui. [00:05:47] Speaker A: C'est ça, la différence entre les deux. [00:05:49] Speaker B: Peux-tu faire ça back-to-back? [00:05:51] Speaker A: Oui, deux fêtes de semaine, c'est même conseillé. [00:05:54] Speaker B: Je suis en train de planifier. [00:05:55] Speaker A: C'est même conseillé parce que ça élimine les doutes. Tu comprends? Mais non, mais je veux dire, c'est. [00:06:01] Speaker B: Tellement... Ça redonne bien en plus parce que Domitalic, c'est une femme et ses enfants. [00:06:05] Speaker C: Dan et Target, New York, j'y habiterais... [00:06:07] Speaker B: Dan et Target, très bon. [00:06:09] Speaker C: New York, j'y habiterais seul. [00:06:11] Speaker B: Est-ce que Dan et Target, la réponse est oui. Pour ce qui est de la maîtresse, on en reparle. [00:06:17] Speaker C: New York, j'y habiterais seul. Chicago, j'y habiterais avec ma famille. C'est le Chicago. [00:06:22] Speaker B: Dernière nouvelle, Trump va envoyer la garde nationale. [00:06:25] Speaker C: Ouais, mais ça c'est dans le sud de la ville. [00:06:27] Speaker A: C'est ça. [00:06:28] Speaker C: Si t'habites au nord-est... Donc dans certains. [00:06:30] Speaker B: Quartiers du Chicago, c'est extraordinaire. [00:06:31] Speaker A: Faut que tu restes Cobbs. [00:06:34] Speaker C: C'est ça. [00:06:34] Speaker A: Faut pas que t'ailles White Sox. [00:06:35] Speaker C: Moi j'étais dans le coin du Wrigley Field, pis j'habiterais là anytime. [00:06:39] Speaker B: Ah oui? [00:06:39] Speaker A: Si t'es dans le centre-ville, vraiment downtown, y'a aucun problème. À côté de la Bine, à côté de Soldier Field, La bine en métal? Oui, que j'ai vu aussi. [00:06:49] Speaker B: Qui a fait tripper la bombe quand elle était allée? [00:06:51] Speaker A: Je comprends pas, mais je comprends, mais je comprends pas. J'm'attendais à ce que ce soit beaucoup plus majestueux que ça, mais peut-être pas. [00:06:56] Speaker C: Non, ça l'est pas tant que ça. Tu prends des photos, là. [00:06:58] Speaker A: Si tu restes dans ce coin-là, c'est tout le temps le fun, tout le temps agréable, tout le temps. Pis, ils ont pas le même problème qu'à New York, c'est-à-dire qu'ils ont convaincu le monde de fumer ailleurs que dans la rue, t'sais. [00:07:07] Speaker B: C'est-tu l'endroit qu'on appelle le Magnificent Mile? C'est-tu ça? [00:07:12] Speaker C: Non, ça c'est genre la cinquième avenue de Chicago. Le Magnificent Mile. C'est là que t'as le... [00:07:18] Speaker B: J'y suis jamais allé. [00:07:19] Speaker C: T'as le magasin d'Harry Potter pis une couple d'affaires de même. [00:07:21] Speaker B: OK. [00:07:22] Speaker A: C'est vraiment une belle ville. L'architecture est... Pis c'est ça, j'ai regardé, il y a des poteaux de lumière qui sont faits par des artistes. C'est des artistes qui ont sculpté. Ça date, ça date, ça date. Pis je me disais ça là, le monde suivait vraiment pas ce qu'ils faisaient avec leur argent dans le temps qu'ils ont bâti ces affaires-là. Parce que ça doit valoir une fortune, ça reste des christies de lampadaire, tu comprends. Il y a quand même un budget municipal à un moment donné qui a voté pour ça. [00:07:50] Speaker C: Moi je te rappellerais que les lampadaires à Longueuil coûtent un million de dollars. [00:07:53] Speaker A: Oui, je le sais. Je me disais, ceux-là, ça doit être l'enfer. [00:07:56] Speaker B: Mais peu importe. Dans ce temps-là, il y avait des drôles de messieurs avec des chapeaux melons ou des mitraillettes qui se promenaient dans des vieux Chrysler. [00:08:03] Speaker A: Aussi. [00:08:04] Speaker B: La ville d'Alcapone. [00:08:06] Speaker A: Une des grosses différences aussi avec New York, c'est qu'ils ont donné l'accès à l'eau. Oui, au monde. Pis ça, tu peux aller te promener. [00:08:13] Speaker B: Sur le bord de l'eau. Les canaux, il y a une plage. [00:08:15] Speaker A: Il y a une plage au centre-ville. Tu peux vraiment... Quand il fait chaud, tu peux aller te promener sur le bord de l'océan. C'est pas l'océan, c'est le lac, là. [00:08:24] Speaker B: Mais c'est tellement gros. [00:08:25] Speaker A: Pis t'as l'espèce de petite brise qui est le fun, qui est tripante. Donc, tu sais, c'est vraiment une belle ville. Je m'attendais à ce que... Je trouve ça beau, Chicago. [00:08:35] Speaker C: Toi, il rentait ça avec Corneilleux-Beu quand t'es allé là? [00:08:37] Speaker A: Non. [00:08:38] Speaker C: Moi non plus! J't'ai revenu là en disant... Ou une. [00:08:41] Speaker B: DCT, j't'en ai manqué. [00:08:42] Speaker C: C'est où ça, la ville? Non, mais ma blonde est déjà allée, par exemple, en novembre, je crois. Pis là, c'était l'enfer. Pis Phil m'a juste dit qu'il est déjà allé lui aussi. La grand roue, sur le pier, il l'aurait pas faite, cette journée-là. Il aurait pas eu de fun, là. Fait qu'il y a des journées où ils vendent beaucoup, mais il y a des temps où c'est... Il se passe rien, là. [00:08:58] Speaker A: Samedi, j'étais en t-shirt tout le long, toute la journée. Pis si j'avais eu une paire de Bermuda, si je m'étais amené une paire de Bermuda, j'l'aurais porté. Ça, il faisait très beau. [00:09:05] Speaker B: J'ai hâte que tu fasses le entre l'amphithéâtre des Hawks et l'amphithéâtre du Canadien. [00:09:12] Speaker C: Oui, parce qu'on est dans la même grosseur. [00:09:13] Speaker A: Je rentre dans la... Je suis rentré par la boutique souvenir. Je rentre dans l'amphithéâtre des Hawks. [00:09:20] Speaker B: T'as-tu acheté quelque chose? Un chandail de Denis Sabard. [00:09:25] Speaker A: Non, je me suis acheté une casquette des Bears. J'ai rien acheté à la boutique souvenir des Hawks. Il y avait ben trop de monde. Les boutiques souvenir, j'ai les jours de match. [00:09:33] Speaker B: Sur toi, ben ouais, c'est ça. Sur toi, ben les matchs. [00:09:35] Speaker C: 94, le United Center. [00:09:37] Speaker B: Même année. Même année, 95, Montréal. [00:09:42] Speaker A: C'est une aréna extraordinaire. [00:09:46] Speaker B: Pourquoi? [00:09:47] Speaker A: La pente, l'ambiance, le bruit, la visibilité. J'étais quand même assez haut, j'avais pas l'impression de l'être. [00:09:55] Speaker B: Étais-tu là où t'as pris la photo de dos? [00:09:57] Speaker A: Oui. [00:09:59] Speaker B: C'est très bien situé. [00:10:00] Speaker A: C'est pas moi qui l'ai prise. [00:10:01] Speaker B: On avait compris ça. Non, non, mais c'était dessus ta section. [00:10:05] Speaker A: Ça je veux dire. Oui, j'étais dans ma porte. [00:10:08] Speaker B: Tu vois très bien de partout, on dirait. [00:10:10] Speaker A: Le groupe était à ma gauche, moi j'étais... C'était bon biais, mes ans. On était bien placés. [00:10:16] Speaker B: Pour voir les bagarres. [00:10:18] Speaker A: Le Canadien comptait de notre bord deux fois. [00:10:20] Speaker B: C'était une belle game, il y a eu des claques sur la gueule. [00:10:22] Speaker A: Il y a eu des claques sur la gueule, le monde se sont défendus. [00:10:26] Speaker B: Quand il y a eu des claques sur la gueule, Tout le monde s'est caché les yeux. Oui. [00:10:31] Speaker A: C'était le moment où il était à l'avouer. [00:10:32] Speaker C: Plus Non, mais les Etats-Unis sont violents, eux autres là-bas. [00:10:34] Speaker B: Ah non, c'est vrai, il en redemandait. Ici, c'est le contraire. [00:10:37] Speaker A: J'ai entendu la Christy de Thun des Fretelis quand les Blackhawks comptent. Je l'ai chantée. Tu sais, j'étais un peu bipolar dans le sens que je prenais pour les deux équipes. [00:10:46] Speaker B: C'est quoi la Thun, Thun connue? [00:10:49] Speaker A: Il a fait The Joe au Rapport. [00:10:53] Speaker B: Dans les dernières années. [00:10:54] Speaker A: Donc, j'ai vraiment trompé. C'était bon. Le match, l'aréna. L'aréna est vraiment quelque chose. C'est vraiment cool. On mange mal, pendant. United Center, c'est pas... [00:11:09] Speaker B: C'est le centre belge. Tu manges très mal. [00:11:11] Speaker A: Moi, je sais. [00:11:12] Speaker B: Mais t'as des restaurants sélects, maintenant, où tu peux manger. [00:11:14] Speaker A: Sauf qu'à Chicago, il y a vraiment des belles places. Chicago, c'est comme New York. Si t'aimes la bouffe, tu vas aimer. [00:11:21] Speaker B: Dans le building, c'est de la merde. [00:11:22] Speaker A: Dans le building, c'est ça. [00:11:23] Speaker B: Des pretzels, des hot dogs. [00:11:24] Speaker A: C'est ça. C'est de la friture qu'on réchauffe. C'est pas top, top, top. Pas grave, la bière goûte la même chose, pis c'est assez trippant. J'ai vraiment aimé le United Center, et en plus... [00:11:36] Speaker B: C'est les bannières, les bannières des Bulls. [00:11:38] Speaker A: Ouais, j'ai envoyé des photos. Les bannières des Bulls, les bannières des Hawks. [00:11:42] Speaker B: T'as-tu vu la statue de Jordan? [00:11:44] Speaker A: J'ai fait un selfie avec la statue de Jordan. Hein? [00:11:47] Speaker B: Ben ça, t'as pas mis ça sur tes médias sociaux? [00:11:49] Speaker A: Non, j'avais pas mis ça sur mes médias sociaux. [00:11:50] Speaker B: Ben allez, c'est vraiment relève. [00:11:52] Speaker A: J'ai fait, j'ai vraiment... [00:11:53] Speaker B: Si tu t'aimes la face là, parce que tu sors de l'autobus quand même, des fois on est coquet. T'as-tu vu la... je sais pas, c'est Stan Mikita qui est en avant? [00:12:03] Speaker A: Oui! [00:12:04] Speaker B: Avec Jordan. [00:12:07] Speaker A: Quand je l'ai vue, j'avais pas le choix. [00:12:08] Speaker B: Non, non, mais me laisse sur mon relax. [00:12:10] Speaker A: Ouais, je vais en mettre tantôt. Bon amour dit. [00:12:12] Speaker B: Wow! [00:12:13] Speaker A: C'est vraiment une belle place. [00:12:14] Speaker B: Ah, j'aime ça. [00:12:14] Speaker A: Pis c'est au centre-ville. C'est au centre-ville. [00:12:18] Speaker B: C'est vraiment cool. Pleins d'hôtels, autos, tout se fait à pied. [00:12:21] Speaker A: Tout, tout, tout se fait à pied. C'était une grosse fin de semaine cependant à Chicago. Il y avait 56 000 personnes qui étaient là pour le marathon de Chicago, qui est quand même le deuxième plus gros des États-Unis. [00:12:31] Speaker B: T'as-tu couché à Chicago? [00:12:32] Speaker A: On a couché à O'Hare, à l'aéroport. [00:12:34] Speaker B: Habituellement, c'est les hôtels les moins chers, c'est les hôtels d'aéroport. [00:12:40] Speaker A: Pas juste ça, c'est parce que comme c'était le marathon, c'est à peu près tout ce qui reste disponible. Et comme c'était le marathon, il fallait qu'on soit sortis de la ville avant de partir le dimanche matin. Couché au centre-ville, on n'allait pas au Packers. Le centre-ville était complètement bouché. Puis quand je me suis levé pour aller au Packers le dimanche matin, il était à peu près 6h30, je suis dans ma chambre d'hôtel, j'ouvre la TV sur un réseau local à Chicago et je vois que le centre-ville est bondé de monde à pied, 6h30 le matin. C'est le marathon où c'est tout le monde avec des shorts trop courtes. Puis le 13 décembre... Des shorts trop. [00:13:11] Speaker B: Courtes et qui pèsent 120 livres de moins que nous autres. [00:13:13] Speaker A: Exactement, exactement. Donc j'ai fait tabarnouche une chance qu'on couchait pas direct au centre-ville, on serait vraiment mal pris. Et là on part. On s'en va à Green Bay. [00:13:23] Speaker B: Quatre heures de route à peu près? [00:13:25] Speaker A: Trois heures et demie à peu près. On part. On arrête manger, déjeuner pis on continue. Là, Phil, Phil Magnan que je salue. [00:13:35] Speaker B: Il anime-tu? [00:13:36] Speaker A: Oui. [00:13:37] Speaker B: Il prend le micro? [00:13:38] Speaker A: Il a pris le micro pour aller arriver. [00:13:40] Speaker B: Il crie comme il crie en onde ici? [00:13:42] Speaker A: Mais il expliquait ses affaires. Il expliquait ses affaires, il expliquait toute l'histoire de Lambeau Field, de Goulbet, il a tout raconté. Il a tout raconté ses histoires. Moi j'étais assis et je me disais, j'ai une chronique de Phil. J'ai l'impression un peu de travailler un dimanche matin. Non, pour vrai, c'était parfait. Puis les gens ont tripé sur Phil, c'est sûr. Tu ne peux pas avoir un meilleur guide que Phil à Goulbet. [00:14:08] Speaker C: Non, c'est ça à Goulbet, c'est impossible. [00:14:09] Speaker A: Il connaît tout. Il était dans l'autobus, il nous disait toutes les rues. Si vous passez par là, vous tournez à gauche, allez voir, ça fait comme un S. Il connaissait tout dans l'autobus. [00:14:18] Speaker B: Quasiment comme Québec. [00:14:19] Speaker A: C'était impossible d'avoir un meilleur guide que Phil Magnan pour aller à Green Bay. Impossible, impossible, impossible. Puis Phil, ça faisait 6 ans qu'il avait pas fait ça, animer une bus. Puis ça paraissait que ça y tentait. Toute la fin de semaine. Il a vraiment été dedans tout le long. Je ne pouvais pas avoir un meilleur formateur que Phil Magnan pour faire ça. Écoute, ça va être correct mon chum, c'est toi le boss. Vous le connaissez Phil là? C'était ça tout le long. Il a mis tout le monde dans sa poche. Les 50 passagers, les deux chauffeurs de bus. Phil Magnan était extraordinaire en fin de semaine. Ceci étant dit... Green Bay. On arrive à Green Bay. [00:14:58] Speaker C: C'est-tu une ville ou c'est un village? [00:15:00] Speaker A: C'est une très petite ville. [00:15:02] Speaker C: Ok. [00:15:03] Speaker B: Pas de comparatif. [00:15:05] Speaker A: Rimouski? [00:15:06] Speaker B: Laurier-Station? Rimouski. [00:15:08] Speaker A: Rimouski. [00:15:08] Speaker B: Ok. [00:15:09] Speaker A: Rimouski. C'est une petite ville, mais qui est quand même à deux heures de route d'une... De Milwaukee. D'une quasi-métropole qui est Milwaukee, donc... Et de Madison aussi, qui est l'autre grosse ville du Wisconsin. Donc, t'sais, c'est une petite ville, mais y'a pas de... À part Lambeauville, y'a rien. C'est le même. [00:15:31] Speaker B: T'as pas de microbrasserie, t'as pas de... Y'en a deux. [00:15:34] Speaker A: Ce qui s'appelle la bière, ça, inquiète-toi pas, Doom. [00:15:37] Speaker B: Y'en ont. [00:15:38] Speaker A: Y'en ont. Y'ont de la bière pis du fromage. Y'ont de la bière pis y'ont du fromage. Beaucoup, beaucoup, beaucoup. C'est même la première fois que j'allais voir un match de la NFL, on achetait de la bière après à mi-temps. C'était... ça, pour ça, c'était hallucinant. On arrive là, j'ai fait des burgers, des saucisses pis des hot dogs pour tout le monde pour l'Hotel Gate. Les gens trippent. Pis là, moi, je suis dans un coin où y'a plein d'autobus pis de VR parqués pis le monde se font des barbecues. Pis les gens, là, je vois un paquet de monde de notre groupe partir. Moi, je peux pas partir, là. Faut que je fasse à manger. [00:16:08] Speaker C: Oui. [00:16:09] Speaker A: Et là, je vois un paquet de monde partir pis revenir avec de la merch, des Cheez-It, de la patente. Pis là, je me dis, OK, le tailgate a de l'air vraiment, vraiment festif. Je vire d'abord. Le plus gros tailgate que j'ai vu dans ma vie, moi, c'était les Bills de Buffalo. [00:16:23] Speaker C: Oui. [00:16:24] Speaker B: Non. [00:16:25] Speaker A: C'est pu, les bills de Boflo. Green Bay, la ville devient football. Il y a du monde partout, partout, partout. Des vendeurs ambulants qui prennent la carte de crédit, tu vois ce que je veux dire? [00:16:38] Speaker B: Oui, des faux t-shirts du piratage. Tu sais, il y a du monde qui vend des t-shirts à 10$, mais le même t-shirt à 90$ dans la boutique. [00:16:46] Speaker A: Le monde qui vend des t-shirts, ouais c'est ça, c'était rempli, rempli. Il est tolère. [00:16:52] Speaker B: Tu peux pas contrôler ça. [00:16:53] Speaker A: Non, non. C'est des gros casques. Ils sont installés, ils ont l'électricité et internet, donc non seulement il est tolère, mais il a des facilités. Il y a un paquet de bars, de tailgates, il y a des bands qui jouent, il y a du monde. Partout, partout, partout. Il y a des tailgates ouverts au public, donc si jamais t'as pas amené tes affaires, tes barbecues, c'est facile de bien manger et de bien boire pendant le tailgate. C'était vraiment trippant. Il y a quelqu'un qui crie « on a passé à TV », visiblement c'est quelqu'un qui est avec nous autres, l'équipe de CBS 5. [00:17:21] Speaker B: Ouais, vous avez passé la TV locale là-bas? [00:17:23] Speaker A: Ouais, j'ai dit à Phil, c'est toi le big fan là. [00:17:28] Speaker B: Il a parlé? Il a parlé en anglais? [00:17:31] Speaker A: Ouais, il accroche le gars en disant « We are French Canadiens ». Il danse tout le monde, il s'en vient le voir pis là j'ai dit à Phil, gâte-toi mon homme. [00:17:42] Speaker B: Ça a pas d'allure. Il faut essayer de retracer ça ce segment-là. [00:17:45] Speaker A: Attends un peu, on a essayé hier pis on l'a pas retrouvé. Phil pis moi on a travaillé très fort dans l'autobus pour essayer de le retrouver. On l'a pas fait, on l'a pas revu. Mais je vais passer par l'intelligence artificielle aujourd'hui pour essayer de me trouver ça. Mais quand même, c'était hallucinant. Tu sais Phil, il y avait un t-shirt des Packers de Green Bay gris, des manches coupées en camisoles, avec des bermudas pour faire à manger, du barbecue avec le gars qui nous envole sur nous autres, puis des longs bras! Parce qu'il met tout le temps son sou avec ses pantalons. [00:18:15] Speaker B: Oui! C'était pas élégant. [00:18:16] Speaker A: Je me disais « Ah Phil, t'es vraiment, t'es habillé pour passer à TV, ça va être parfait. » Là, il fait l'entrevue avec le gars de CBS. Le gars de CBS, il dit « Je te laisse pas, c'est tant que tu me parles pas en français. » Fait que là, Phil a fini l'entrevue en français. Non, non, non! Ben oui! [00:18:29] Speaker B: Ben voyons donc, toi! C'est donc béhâne! [00:18:32] Speaker A: En chansant en français, Phil là « Oh, ici pour les Packers, go Packers, go! [00:18:37] Speaker B: » C'est dommage, malade! [00:18:38] Speaker A: À CBS! Ouais, de Québec! Rêve sportif! À CBS! Tout était là pour passer une belle journée. [00:18:46] Speaker B: C'était donc bien capoté. [00:18:48] Speaker A: Je rentre dans l'autobus, je me change, on s'en va au stade. [00:18:50] Speaker B: Oui. Tu me parles des voisins après. [00:18:54] Speaker A: Les voisins? Oui, les voisins. Les voisins ont toute la rétripée sauf un, là. Et lui, il invite les gens qui prennent pour des autres équipes à se stationner chez eux. [00:19:04] Speaker B: Lui, il bougonne parce qu'il s'est acheté une maison à côté du stade. [00:19:08] Speaker A: Ben, je pense plus que... [00:19:10] Speaker C: Le stade est là, pas mal avant, là. [00:19:11] Speaker B: Quand lui, il est prêt à décision, il a acheté la maison. [00:19:13] Speaker A: Je pense plus que c'est tout ce qu'il y a autour, là. Parce que tout ce qu'ils ont bâti autour... Ils ont bâti des microbrasseries, des patentes, des rénovations. C'est le plus gros monument du où il se concerne, le stade. Donc, c'est dans une petite ville où les maisons n'ont même pas deux étages. Rimouski, mais des bungalows. C'est des pleins pieds. Donc, t'es vraiment à côté. Il y a du monde. [00:19:35] Speaker B: C'est capoté. [00:19:36] Speaker A: Faut que tu le vois. Tu sais, je suis souvent allé sur... [00:19:38] Speaker B: Toi, t'imaginais-tu ça? [00:19:39] Speaker A: Ben, j'imaginais les images que j'avais sur Google Maps parce que j'étais souvent allé me promener de façon virtuelle aux abords du Lambeau Field. Pis ces images-là ne correspondent pas à ce que tu vis quand t'es là. C'est clair. Quand t'es là, c'est... pis y'a du monde là, y'a des photos que j'ai vu passer, là, le monde, quand ils montaient les grandes escaliers pour arriver au stade, s'enverraient de bord pour photographier le tailgate. C'est incroyable à quel point y'a du monde. C'est hallucinant, c'est un beau tailgate. Et là, on rentre dans un stade qui est vieux, mais ça paraît pas parce qu'ils le rénovent. [00:20:14] Speaker B: Un peu comme Fenway, quand même, qui est très vieux, mais qui est renové. Mais toi, t'as vu Wrigley, qui est meilleur. Oui, c'est mieux entretenu. [00:20:21] Speaker A: Fenway, c'est pas... Fenway, ça manque un peu d'amour. Surtout quand tu rentres dans le stade. [00:20:27] Speaker C: Tu le sens un peu plus lâche au Fenway qu'au Wrigley. [00:20:29] Speaker B: Grand moment à besoin d'un peu de Botox. [00:20:32] Speaker C: Et les Packers ont mis beaucoup... Puis à la NFL, le Ronald Fornini a eu une partie. Mais les Packers ont mis beaucoup d'argent sur le Lembo. [00:20:38] Speaker A: La meilleure... façon de financer quelque chose, pis là j'en suis maintenant convaincu depuis que j'ai été à Lambeau, c'est l'OBNL. L'OBNL là, t'es certain, certain, certain que t'as pas une rapace qui te parle qui va venir te fourrer. Puis l'argent est toujours réinvesti. [00:20:53] Speaker B: Ça veut dire que tu contribues, tu as reçu d'impôts à ce moment-là? [00:20:56] Speaker A: C'est abus non lucratif. C'est un peu ça. Tous les revenus qu'ils font, c'est patenté. Donc ils mettent tout l'argent. C'est un peu comme les hôpitaux aux États-Unis. Donc tous les revenus finalement vont dans l'infrastructure, dans l'équipement. La brique a de l'air neuve. Tout a de l'air neuf partout. Mais c'est un vieux stade, là. Mais ils l'entretiennent, ils mettent tout l'argent qu'ils font dessus pour le rénover. [00:21:20] Speaker B: Constamment, ils mettent de l'argent dedans. [00:21:21] Speaker A: À tous les ans. [00:21:22] Speaker B: C'est ça, la clé comme une maison. [00:21:23] Speaker A: À tous les ans, ils mettent de l'argent sur le stade, pis ça apparaît. C'est sûr qu'il y a 2-3 trucs qu'ils gardent pour le show, comme les sièges en métal. Les bandes métal, ça, évidemment, je pense qu'il y a bien du monde qui aimerait ça échanger, mais ça reste pour le show, ce genre de patente-là. [00:21:35] Speaker C: 1957. [00:21:37] Speaker A: Et c'est des fans de football. [00:21:39] Speaker B: Je pensais qu'il était plus vieux que ça, par exemple. [00:21:41] Speaker C: Ouais, je pensais qu'il était un petit peu plus vieux que ça. [00:21:42] Speaker A: C'est des fans de football, OK? Il y a un gars dans l'autobus qui est fan des Bengals de Cincinnati. Les fans, les gens de Green Bay, là-bas, ils payaient de la bière. Et il lui disait, «Merci, on aime ce jeu-là. Merci d'être venu jouer avec nous autres.» Classique. Je n'ai jamais vu ça. [00:22:00] Speaker B: Dans d'autres stades, ça serait versé de la bière sur la tête. [00:22:03] Speaker A: Je n'ai jamais vu ça. [00:22:04] Speaker B: Le pire stade à l'opposé, ça serait quoi? Philadelphia ou Buffalo? [00:22:07] Speaker A: Philadelphia ou Buffalo. [00:22:08] Speaker C: Oui. [00:22:08] Speaker A: C'est les deux pires places. [00:22:09] Speaker B: Des stades de sauvage. [00:22:10] Speaker A: Mais là, à Green Bay, les fans, les hardcore fans des Packers, quand ils te voient arriver avec le gilet de. [00:22:15] Speaker B: L'Équipe adverse... Des vrais connaisseurs. [00:22:17] Speaker A: Ils te disent « Hey, ce jeu-là, on l'aime. Ça prend quelqu'un pour jouer contre. [00:22:20] Speaker B: » Des vrais connaisseurs. [00:22:21] Speaker A: « Tu viens applaudir ton équipe, merci. Je veux une bière. » Donc, tu sais, c'est... Il y a une fille au Black Oskar qui a renversé ma bière. elle a renversé ma bière, dont la moitié sur moi. Les spectateurs dans des estrades, pis c'était pas des Québécois, c'était tout du monde de Chicago, s'ostinaient pour savoir c'est qui qui allait payer ma bière parce qu'elle, elle s'est sauvée. Pis ils disaient « ça a pas de bon sens, toi tu viens ici, tu peux pas parler canadien, t'es d'un... » « Hein? [00:22:48] Speaker B: Voyons donc, donc ben bon! [00:22:49] Speaker A: » Pis finalement c'est des spectateurs qui m'ont payé ma bière parce que la fille elle s'est sauvée, pis y'a même un gars qui courait après pour lui dire « faut que tu les payes ta bière. » T'sais le monde ça vive vraiment, vraiment, vraiment. Puis à Green Bay, c'est ça. À Green Bay, les fans de football sont contents de voir l'équipe adverse arriver parce qu'ils disent « Ce jeu-là, ça se joue à deux. Puis si on n'a personne pour jouer. [00:23:07] Speaker C: Contre nous autres, on n'a pas de plaisir. [00:23:08] Speaker A: » une saine C'est compétition. Exactement. Exactement. Puis ça, ça m'a fait… J'ai fait… Ça, c'est un beau respect pour le sport. C'est vraiment un beau respect pour le sport. Je vous le dis, peu importe pour quel club vous prenez, vous pouvez en toute quiétude aller applaudir votre équipe à Lambeau Field. Les gens vont s'amuser avec vous autres. [00:23:25] Speaker B: Comme moi, gars, je suis un fan des Yankees. J'ai applaudi les Jays, mais ça n'a pas duré longtemps. Mais regarde, je voulais vraiment applaudir les Jays. Je voulais vraiment applaudir les Jays. Je vais prendre les Jays. Sauf qu'ils ne me donnent pas l'occasion de parler pour eux-mêmes. [00:23:38] Speaker C: C'est ça qui arrive. [00:23:39] Speaker B: Ça, c'est pas de ma faute à moi. On en reparle. [00:23:41] Speaker A: L'ambiance pendant le match. Ils ont regardé des vieilles traditions, les vieux jingles qu'ils mettaient en 1953. Go Pax Go, les patins. [00:23:50] Speaker B: Que quelqu'un connaît mur à mur. [00:23:51] Speaker A: Ils les ont fait jouer tout le long dans l'autobus en s'emmenant. [00:23:54] Speaker C: Ils les ont préparés. [00:23:55] Speaker A: Il a vraiment animé la foule. Tout le monde criait Go Pax Go dans l'autobus tout le long. Le fait que ce soit fermé, la moitié du stade qui est comme... C'est inexplicable. T'es comme dans un... T'as-tu bien assis? [00:24:11] Speaker B: Très bien assis. Ils t'ont mis de l'argent dedans, comme tu dis. [00:24:14] Speaker A: J'étais très bien assis. J'étais le premier à ranger en plus. J'étais très très bien assis. Et quand les Packers gantent, ce qui est arrivé en fin de semaine, quand même assez facilement, on va se le dire, contre Joe Flacco. J'aime beaucoup les pancartes qu'il y avait par exemple, qui disaient Go Flaco. Go Flaco! Je trouvais que c'était parfait. Mais... ils ont gagné. Je sors dans le stationnement, il fait noir, le soirée est débutée avec tous les fans des Packers qui sortent. [00:24:49] Speaker B: Le chauffeur est prêt pour la ride vers Québec. [00:24:51] Speaker A: Les fans des Packers? Ils arrivent dans l'autobus, ouvrent le tailgate, on ressort le barbecue. [00:24:57] Speaker B: Mais voyons donc! [00:24:57] Speaker A: On ressort la bière. [00:24:58] Speaker B: Mais voyons donc! [00:24:59] Speaker A: Après la game, on a gagné! On a gagné! On va manger ici toute la gang ensemble? [00:25:05] Speaker B: Là, il est quelle heure? Là, il est 4h30. Non, mais la game est à 4h30. [00:25:09] Speaker A: Il est 6h30-7h, parce qu'il y a une heure de décalage, la game est à 3h30. [00:25:13] Speaker B: Donc, le chauffeur, il n'est pas prêt à partir. [00:25:15] Speaker A: Le chauffeur n'est pas prêt à partir. [00:25:16] Speaker B: Il veut manger de la saucisse, puis il veut manger des burgers. [00:25:18] Speaker A: Le chauffeur, non, nous autres, on n'a pas... [00:25:19] Speaker B: Le fil, il est prêt à s'en siffler une ou deux. [00:25:22] Speaker A: Nous autres, on n'a pas refait de bouffe. Après, on a juste entendu que tout le monde revienne à l'autobus, puis on est partis. [00:25:28] Speaker C: Le monde sort du stade, puis les. [00:25:29] Speaker A: Gens sortent du stade, puis ils se refont un tailgate. C'était la fête là, on trip avec les caméras de TV qui en reviennent pis qui se promènent partout pis qui font des box pop. [00:25:38] Speaker B: C'est malade, malade. [00:25:40] Speaker A: C'est complètement hallucinant. On est arrivé dans un moment où t'sais les Cubs jouaient contre les Brewers. [00:25:45] Speaker B: Ouais. [00:25:46] Speaker A: C'est une heure et quart de différence entre les deux. [00:25:49] Speaker B: Sont-tu allé? Les gens, t'as pas tu le goût d'y aller? [00:25:52] Speaker A: Ben, j'avais pas... Non, j'ai même pas pensé y aller. Là où j'aurais pu aller, c'était à... [00:25:59] Speaker B: De toute façon, il jouait à... [00:26:00] Speaker A: Il jouait à Milwaukee. [00:26:01] Speaker C: C'est ça. [00:26:01] Speaker A: Là où j'aurais pu aller, c'était à l'événement fan à Wrigley. Mais j'avais les biens pour aller aux Canadiens. Pis je suis vraiment pas déçu d'être allé aux Canadiens. [00:26:09] Speaker B: Ah non, vraiment là, t'étais chanceux en mots, disons. [00:26:11] Speaker C: Les Cubs ont été éliminés. [00:26:12] Speaker A: Les Cubs ont été éliminés. [00:26:13] Speaker B: Ça a été assez serré, Canadiens-Chicago, quand même. Chicago s'est amélioré. [00:26:16] Speaker C: Oui. [00:26:17] Speaker B: Chicago s'est amélioré. Chicago, ça serait pas une victoire gratis, là. [00:26:20] Speaker C: Non, hier aussi, je pense qu'ils ont gagné. [00:26:22] Speaker B: Ils ont compté nasty à cette équipe-là. Ils sont in your face plus qu'avant. [00:26:26] Speaker C: Ils donnent moins de points. [00:26:27] Speaker B: Oui, oui, oui. [00:26:28] Speaker C: C'est surtout ça. Ils ont fermé le jeu beaucoup. [00:26:31] Speaker A: Puis, c'est ça, donc... Voyage rêve sportif, ça faisait longtemps que je n'avais fait un. C'est toujours la même qualité de voyage. C'est vraiment, vraiment nice. Les gens de Belhorizon font un super travail. Ils sont vraiment cool. [00:26:48] Speaker B: Toute l'organisation... Personne ne s'est fait tuer? Parce qu'on le dit à TVA, les Américains, c'est malade, c'est dangereux. [00:26:54] Speaker A: Personne est mort. [00:26:56] Speaker B: Personne ne s'est fait saisir son cellulaire? L'électrice de l'Université Laval dit quand même que ça prend des burners phone. [00:27:01] Speaker A: Elle dit quoi? On a rentré 52 personnes pis y'a pas un Christy de cellulaire qui a été même sorti des poches du monde. Ben non, c'est clair. [00:27:10] Speaker C: Y'a vraiment un double discours. Ben non, c'est clair. T'écoutes la gauche là, y'a un double discours là. Les États-Unis c'est dangereux, ça n'a pas de sens, elle est pas là. Mais Trump envoie l'armée à Chicago, voyons. Comment ça il envoie l'armée? [00:27:22] Speaker B: Oh ouais, ça c'est très très bon. [00:27:23] Speaker C: Tu trouves que ça passe très bien, Chicago, voyons. [00:27:25] Speaker A: Moi depuis deux ans. [00:27:28] Speaker B: Paradoxe. [00:27:30] Speaker A: Depuis deux ans, quand je passe aux douanes, je ne vois plus le même douanier qu'avant. Je ne vois plus les mêmes douaniers. Je vous ai conté la madame qui est allée flatter un chien. Le douanier que j'ai pogné, en fait, c'est même celui de ma rangée, je peux pas... Tu sais aux États-Unis, ça roule dessus. On rentre, l'autobus, on est en plein milieu de la nuit, quatre douaniers, quatre fils, bing bing bing bing, c'est pour. [00:27:52] Speaker B: Marquer l'autobus, c'est parti. [00:27:54] Speaker A: Canada, c'était autre chose. Les toilettes fermées parce que c'est les jours fériés. Une personne, des fois deux, une, des fois deux, une, des fois deux. Canada, c'est... [00:28:02] Speaker B: C'est des Christies de Domien, là. [00:28:03] Speaker A: Voilà. Vraiment, vraiment... T'as vu, ils m'ont amené des cigarettes. Pis t'sais, j'écoutais le chauffeur pis Phil se jaser un peu avant parce que des fois, j'écoutais en hypocrite ce qu'ils se disaient. J'vais apprendre. J'étais là pour apprendre, t'sais. Pis les deux se sont dit, là, on commence pas à parler en français aux Domiens en Ontario. Ils pourraient nous mettre... Ouais. Ils pourraient te dire « Ah, il parle français, restez là! » C'est sûr que si tu te. [00:28:22] Speaker B: La joues de bas de côté là, tu seras encore là à matin. [00:28:24] Speaker A: Ah ouais, on sera encore là. Pour vrai, c'est clairement ce qu'il a expliqué. Ils peuvent nous niaiser facilement si tu demandes à quelqu'un qui parle français. [00:28:29] Speaker B: J'exige des services dans ma langue. [00:28:31] Speaker A: Fait qu'on l'a pas fait. [00:28:32] Speaker C: Ça m'a jamais traversé l'esprit, mais c'est vrai. Théoriquement, tu peux faire ça. [00:28:36] Speaker B: Le gars est en tarte. [00:28:38] Speaker A: Ben oui, le gars était en tarte. [00:28:39] Speaker B: Surtout que c'est un fan des livres, c'est avec le début de saison extraordinaire. [00:28:43] Speaker A: Ils n'auraient pas entendu longtemps, parce que moi, la fille que j'ai pogné pour... J'étais arrivé, j'ai dit bonjour à elle. Puis la fille m'a répondu bonjour, puis elle a tout fait en français. Donc ça, on n'aurait pas entendu très très longtemps, mais c'était pour le prévoir. Aux États-Unis, ça roulait. Moi, j'avais ma casquette de Rodgers à la tête. Le douanier, il dit « C'est que t'es allé faire là ». [00:29:03] Speaker B: Ouais c'est bon, c'était mon icebreaker. [00:29:04] Speaker A: Fait que là, j'y explique, j'y explique que je connais New York parce que j'étais un fan des Jets, pis j'me disais ok c'est beau, va-t'en. Ouais c'est bon. J'ai plus de voix. [00:29:13] Speaker C: Pis en même temps, mes condoléances. [00:29:14] Speaker B: Ouais c'est ça. [00:29:15] Speaker A: Fait que t'sais, c'est plus nécessairement les mêmes relations. [00:29:19] Speaker B: Go get your first win. [00:29:20] Speaker A: Aux États-Unis, j'ai regardé l'autobus, j'ai toujours regardé l'autobus pendant qu'on passait, ils sont même pas montés. Ils sont même pas montés dans l'autobus. [00:29:28] Speaker B: Une gang, comment tu la qualifierais, ta gang, dans le bus? [00:29:31] Speaker A: Passionnés. Toutes des fans des Packers, comme je disais, il y avait deux, pis t'sais, c'est des gens, c'est... T'sais, il y. [00:29:37] Speaker B: A des voyages... Des érudits, des maniaques. [00:29:39] Speaker A: En fait, semaine rêve sportif, c'était des voyages pour des passionnés, parce que c'était seulement que des voyages à Doubleheader. Il y avait juste, juste, juste des voyages où il y avait deux événements. Il y allait à Nouvelle-Orléans, il y allait à Penn State, il y allait à Baltimore, pis à Washington hier. Et nous autres, Green Bay et le Canadien, c'était la première. [00:30:00] Speaker B: Vous aviez le meilleur voyage de la collection, je pense. [00:30:02] Speaker A: C'était juste des bons voyages. D'aller voir Notre-Dame et Indianapolis en fin de semaine, ça aurait été quand même assez cool. Il y avait juste des bons voyages. C'était vraiment, pis dans mon voyage, c'était des passionnés, c'est des gens qui réalisaient un rêve, c'est-à-dire celui d'aller à Lembo, parce que les gens de rêve sportif vont pas à Lembo à chaque année. On est à peu près 15 de Québec, le reste, c'est tout du monde de Montréal qui sont embarqués dans l'autobus, qui voulaient vraiment vivre le rêve, pis il y a un monsieur qui était dans l'autobus, je le salue. [00:30:32] Speaker B: Il a-tu pleuré? [00:30:33] Speaker A: Non, il a pas pleuré. Mais lui, il a dit « j'ai rien à faire en 20 semaines ». Il a quand même un âge assez avancé, pas loin de 80. J'ai revu ça sur internet, j'm'en vais voir le Canadien à Chicago. [00:30:46] Speaker B: Fin, sais-tu quoi? Ça va peut-être être moi à 80. [00:30:49] Speaker A: Accessoirement, tu t'en vas. [00:30:52] Speaker B: Poudre, poudre, poudre, à New York. Follow all the jets ou who cares. C'est le fun de quitter Québec. Ça fait du bien de quitter Québec. [00:31:01] Speaker A: Ce genre de voyage-là, les gens sont un peu gênés quand on embarque tout dans l'autobus. [00:31:05] Speaker C: Mais tu sais, ça reste... [00:31:08] Speaker A: Tu partages le même environnement. Il y a du monde que je connais pas qui m'ont entendu ronfler. [00:31:13] Speaker B: Ouais, ça là-dessus, qu'est-ce que t'en dis? [00:31:16] Speaker A: Tu sais, tu partages, il y a quand même une certaine... [00:31:18] Speaker B: Ils ont subi le souplice que tu fais subir à ta femme? [00:31:20] Speaker A: Exactement. Ils ont subi ça, j'ai... tu sais quoi? [00:31:24] Speaker C: C'est 16h. [00:31:24] Speaker B: Selon les rumeurs, il paraît que ça ronfle fort un petit péché. [00:31:27] Speaker A: Moi, oui. J'ai beaucoup dormi. De 6h hier soir à aller jusqu'à... T'as la reposée? J'ai dormi là un peu plus. [00:31:33] Speaker B: Hey, la blonde a dit ça, parce qu'on a regardé, t'as pas mis quand même une collection de photos, mais t'en as quand même mis quelques-unes. dont une où on te voit à face. Là, je dis Dan doit être défoncé. Regarde, je montre le goût quand même, j'en reviens pas. Regarde, une ride de bus. Elle dit non, il a l'air super reposé. Là, je dis Dan, d'après moi, il maîtrise très bien les filtres. Mais non, t'étais si peu lulle. T'as dormi. T'as quasiment plus dormi dans l'autobus que tu dors avec le balaire la semaine. Vrai ou faux? [00:32:02] Speaker A: Vrai, mais faux en même temps parce. [00:32:05] Speaker B: Que... T'as dormi par séquence. [00:32:07] Speaker A: J'ai dormi, mais je suis courbaturé quand même. [00:32:09] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:32:10] Speaker A: Pis j'ai dormi avec mes écouteurs... T'étais. [00:32:11] Speaker B: Pas dans Sheraton, non? [00:32:12] Speaker A: C'était pas la même... C'était pas le même sommeil, mais t'sais, j'ai... [00:32:15] Speaker B: C'est sûr que si tu t'étais mis du Megadeth, c'est plus là qu'une bière. [00:32:19] Speaker A: Ouais. [00:32:20] Speaker B: C'était trop le mélange, là. Mais t'as dormi. T'as l'air reposé, quand même. Bravo aux chauffeurs. J'étais pas parti du bus, mais ce genre de voyage, là. Vraiment, c'est des excellents chauffeurs. Ça lui, on l'est, là. [00:32:33] Speaker C: Ça en prend deux, en effet. [00:32:33] Speaker B: Deux chauffeurs, au plan légal et au plan physique. [00:32:36] Speaker A: C'est ça. Une des raisons pour laquelle on est arrivés un peu tard, c'est qu'on est arrivés assez tard de Green Bay. Eux autres, ils ont un logbook, donc on pouvait pas partir après un certain temps, après qu'ils aient fermé la journée. [00:32:45] Speaker B: C'est respecté. [00:32:46] Speaker A: Tout était respecté. [00:32:47] Speaker B: C'est quelle compagnie, donc? [00:32:48] Speaker A: C'est Bell Horizons. [00:32:49] Speaker B: Bravo, une maudite belle compagnie. [00:32:51] Speaker A: C'était vraiment cool comme place, puis comme voyage. [00:32:56] Speaker B: Seriez-vous chauffeur? [00:32:57] Speaker C: Non. [00:32:58] Speaker A: Oui. Oui, j'ai... [00:33:00] Speaker C: J'aime passer la route. [00:33:00] Speaker B: Moi, j'aime beaucoup la route, mais j'ai perdu beaucoup d'endurance. [00:33:04] Speaker A: C'est drôle que tu me poses cette question-là, parce que moi, j'étais assis. Tu sais, la place en arrière du chauffeur, c'est la place pour l'autre chauffeur qui attend. [00:33:11] Speaker B: Oui. Mais l'autre... Est-ce que c'est plus confortable, ce siège-là? Il est plus... [00:33:14] Speaker A: Mais non. [00:33:15] Speaker B: C'est le siège réservé. [00:33:16] Speaker A: Il est en avant, fait que t'as personne en face de toi. Tu as un peu plus de liberté avec tes jambes. Comme l'autre chauffeur, tu étais tout le temps dans couchette, en train de se reposer. Il me disait, prends ma place. J'avais les deux bancs des chauffeurs. J'ai été un peu chanceux pour ça. C'est pour ça que ça m'a aidé à dormir. Mais oui, je me souviendrai qu'il y a une pilule hier après le souper. [00:33:40] Speaker B: Ben, j'espère. J'espère. [00:33:42] Speaker A: J'ai dormi, c'est un moyen. [00:33:44] Speaker B: J'espère. [00:33:44] Speaker A: T'as pas le choix, Monday. Parce que sinon c'est long, pis t'as mal au cul, t'es assis, ça devient étonnant. [00:33:53] Speaker B: Moi je vais demander aux auditeurs, pis je vous le demande autour de la table aussi, ce matin, il est 6h34, vous êtes à Radio X, votre rêve sportif c'est quoi? Nommez-moi-en un. C'est sûr que là, il y a le budget et tout ça. Je pourrais dire « fuck le budget ». En même temps, dans votre gamme de prix, dans vos capacités, ce serait quoi le trip de votre vie? Puis mettons que vous prenez 15 ans pour vous ramasser de l'argent. Ça se peut que ce soit le Super Bowl à 60 ans. Mais ce serait quoi, nommez-moi un rêve sportif. Ce serait quoi votre rêve? Là, il y a Jonathan qui dit Voyage de F1. Sois plus précis, Jonathan. Voyage de F1, c'est-tu à Abu Dhabi ou c'est à Montréal? C'est pas le même prix. Il faut... Soyez précis. [00:34:40] Speaker A: Moi, ce serait un voyage... D'abord, ce serait pas juste une activité. Moi, j'irais au Grand Prix d'Imola. En même temps qu'il y a toujours une course de vélo en Italie. J'essaierais d'aller voir Imola vélo et foot. dans le même voyage, c'est ça que j'aimerais faire. [00:34:59] Speaker B: Le foot, par contre, c'est plus l'automne en Europe, quoi que tu peux t'organiser. Il y a du foot tout le temps. C'est ça, exactement. [00:35:05] Speaker A: Il y a du foot tout le temps. [00:35:07] Speaker B: Donc, un genre d'une semaine intense, une semaine italienne. [00:35:10] Speaker A: Je pense que ce serait ça mon rêve. [00:35:12] Speaker B: Ta blonde y trouve son compte là-dedans ou tu vas tout seul? [00:35:14] Speaker A: Bien, ma blonde y trouve son compte parce que je me suis rendu compte en fait de semaine, puis là, c'est le même. Vous pouvez rire de moi si vous voulez, là. Mais je me suis rendu compte en fin de semaine que j'aime ça, visiter une ville avec ma blonde. [00:35:26] Speaker B: Ben oui, c'est fun. [00:35:27] Speaker A: Le prochain coup que je vais à Chicago, c'est sûr que t'es avec moi. Je pensais tout le temps à elle. Ça, elle aurait aimé ça. Ça, elle aurait aimé ça. Ça, elle aurait aimé ça. [00:35:34] Speaker B: Parce qu'une petite bouffe, un petit restaurant, c'est décontracté. Toi, Dom? [00:35:39] Speaker C: Je vais y aller avec le Super Bowl parce que dans ma bucket list que je m'étais faite il y a longtemps, je m'étais dit il faut jouer au moins un WrestleMania, je n'ai vu deux. Il faut jouer un Super Bowl. Le Super Bowl, c'est toujours pas arrivé. [00:35:52] Speaker B: À l'hôtel? Ou dans le stade? [00:35:54] Speaker C: Ah, dans le stade. Sinon, j'ai déjà fait. Le Super Bowl 40, à Détroit, j'étais dans la ville. Mais j'étais pas dans le stade. [00:36:02] Speaker B: T'es assis où? Mettons Santa Clara. Parce que moi, j'ai regardé parce qu'on pouvait prendre des vacances de chantier. Santa Clara, c'est ça. Ça, on n'est pas un moyen pour vrai. Je ne loterais pas mes quartiers pour une game de foot. [00:36:16] Speaker C: Pour cette raison-là, je veux dire, en autant que je suis dans le stade, je m'en fous quel siège. [00:36:19] Speaker B: En haut, je pense que c'est un mille. Mais minimum, en haut. [00:36:23] Speaker C: L'idéal, il faudrait que les Dolphins soient là. Là, t'ajoutes Orange. Ça ne sera pas de suite. [00:36:31] Speaker B: À cause du plein de réponses, les livers, j'arrive à vous autres. [00:36:33] Speaker C: Ça serait le Super Bowl. [00:36:35] Speaker A: Là, je suis obligé, j'en ai un autre rêve, je pense, c'est de retourner aux Packers. Mais dans le mode, je couche là. Tu sais, dans le mode où... – Ouais, plus relax. – L'hôtel dans le parking, je couche là. [00:36:46] Speaker C: – T'es pas obligé d'être revenu le lundi ou le mardi. [00:36:48] Speaker A: – C'est ça. Puis je sais que c'est hors de prix, là, de Green Bay, qu'on comprend qu'ils ont pas la capacité hôtelière, même pas de Québec, tu comprends. Donc c'est hors de prix, une chambre d'hôtel, les jours de match à Green Bay, puis c'est minimum deux. [00:37:00] Speaker C: – Mais vois-tu, sans que ça soit mon rêve, mon plus grand rêve, quand je voyais les photos de Dan en fête de semaine, j'étais là avec ma blonde, je disais, un jour, je vais au Lambeau Field. C'est classique. [00:37:09] Speaker A: Vous devez... [00:37:11] Speaker C: Je sais pas quand, mais un jour je vais y aller. [00:37:12] Speaker A: Je vais dire ceci, là, si vous êtes un fan de la NFL... C'est votre mec. [00:37:18] Speaker B: C'est une obligation. C'est « once in a lifetime ». [00:37:21] Speaker A: C'est une obligation. C'est différent de tout ce que vous avez vécu ailleurs. On dirait un stade avec des traditions et une ambiance de NCA dans la NFL. Des gens qui sont là parce qu'ils aiment le jeu, ils aiment le football. [00:37:37] Speaker B: C'est vraiment ton bon amour. [00:37:38] Speaker A: C'est ça qu'ils veulent voir. [00:37:39] Speaker B: Après moi, t'es prêt à laisser ta blonde qui s'appelle Jets. [00:37:43] Speaker A: Non. [00:37:45] Speaker B: Le coach se fait brosser le matin. Il a fait des calls bizarres. [00:37:51] Speaker A: Je ne suis pas sûr qu'il va. [00:37:52] Speaker B: Rester jusqu'à la fin de l'année. Je le sais. Challenger, pareil. Quand t'es en une, tu poses pis que c'est négatif. [00:38:01] Speaker A: Par contre, j'ai assez aimé Chicago. Regardez la calotte que je me suis achetée. [00:38:04] Speaker B: Les Bears vont être bons, éventuellement. [00:38:07] Speaker A: J'ai acheté une calotte en velours cordé des Bears de Chicago. [00:38:10] Speaker C: Ça fait longtemps que je n'avais pas vu ça, une calotte en velours cordé. [00:38:12] Speaker B: Vous écoutez une émission dont l'opérateur de console porte une casquette en corde du roi. On tient sincèrement à s'excuser. Signez la direction. [00:38:23] Speaker C: J'en ai déjà eu, mais j'étais au primaire, je pense. [00:38:25] Speaker B: Je vais lire les livers avant de passer... À quelques pâtés rapidement, parce que c'est un show qui est jazzé, on s'en va en Israël, il y a une région, il y a Frank, William Trudell s'en vient. Il y en a un sur lequel j'ai accroché, puis évidemment on n'a pas tous les noms d'auditeurs qui nous écrivent, mais il y en a un qui me rejoint, c'est Liverpool Enfield, Stade Enfield. Il y a deux stades à Liverpool, il y a deux équipes. Moi j'adore l'équipe de Liverpool, j'ai commencé à développer une passion certaine ou incertaine pour la Champion League, la Ligue des champions. Mais je suis un très peu des Beatles, je suis jamais allé à Liverpool. Pis quand je suis ouvert dans le nez, je regarde Expedia pis je fais de la travel porn, moi je vais atterrir à John Lennon, l'aéroport John Lennon. Moi on dit que c'est à court de char. C'est l'aéroport John Lennon. À moi, ça me tente pas d'atterrir à Londres, puis de prendre un train, puis de bisouner. Je veux être là pendant au moins une semaine. Ça, ça serait un trip que j'aimerais vivre. Mais il y en a beaucoup qui te joindront, Augusto. Je sais pas si ça, c'est réaliste. Je connais pas assez ça. Il y en a qui veulent aller... [00:39:33] Speaker C: Augusto, il est fermé une partie de l'année pour l'entretenir. [00:39:36] Speaker B: Mais le peuple, veux-tu jouer là ou c'est juste l'élite? [00:39:38] Speaker C: Je pense qu'il faut que t'aies des contacts. [00:39:40] Speaker B: Ouais, c'est ça. Ça, c'est comme... Tu sais, je veux faire une pause de toucher... Je veux prendre le ballon des mains de Lamar Jackson. Tu sais, c'est pas réaliste. [00:39:49] Speaker C: Non, pas à ce point-là quand même. Je crois que c'est un peu plus accessible à Augusta, mais c'est pas pour tout le monde. [00:39:54] Speaker B: Tu sais, je veux que ça soit réaliste. Il y en a un qui veut coucher avec Anna Korkunikova. OK, c'est correct. Restons réalistes. Finale Team Canada aux Olympiques, c'est réaliste. [00:40:04] Speaker C: Oui, oui. [00:40:04] Speaker B: Parce que... [00:40:05] Speaker C: Si t'as de l'argent. [00:40:06] Speaker B: La finale est déterminée, la date, l'aréna, Tu sais, je voulais aller animer de Milan. Pour vrai, j'avais un condo à Milan en février. C'est juste qu'au moment où j'anime le show, la game se déroule. What the heck? J'aime mieux être avec vous autres, les boys, en regardant ça à la télé. Je veux dire, c'est quoi le point d'être loin pis de pas être à la game? C'est un peu wacko, là. Mais c'est possible! Ça, c'est réaliste, j'aime ça. Ça, c'est réaliste, en autant que le Canada soit en finale. Tu comprends ça, là-dessus, on n'a pas de contrôle. [00:40:36] Speaker A: Il y a quelqu'un qui a écrit « Regardez la finale du 100 mètres live aux Olympiques. [00:40:40] Speaker B: » C'est possible, c'est pas long et. [00:40:43] Speaker A: J'Aimerais ça moi aussi faire ça. [00:40:45] Speaker B: C'est très possible. [00:40:46] Speaker A: En fait, j'aimerais ça vivre les deux semaines olympiques. [00:40:48] Speaker C: J'ai pas les yeux, tu vois. [00:40:49] Speaker B: Oui, allez aux olympiques, ça c'est un Christy de bon rêve. [00:40:51] Speaker A: J'aimerais ça vivre les deux semaines olympiques et tu sais quoi, la première semaine je la passerais à la piscine. La première semaine aux Olympiques, c'est de la natation. C'est quand même assez court, tu ne pars pas tout ton temps là. [00:41:01] Speaker B: Mais toi, vélo, t'aimerais ça là. [00:41:03] Speaker A: Oui, il y a une course de vélo sur boîte. [00:41:07] Speaker B: C'est maniaque là, c'est dangereux. Tu sais, c'est dangereux carrément. Tu sais, ils sont proches, proches, proches là. C'est les ovales, oui oui. [00:41:13] Speaker C: Chacun ses rêves, il y a une auditrice qui écrit « Mon chum, c'est d'aller à Winnipeg voir les jets. [00:41:18] Speaker B: » Good! [00:41:19] Speaker C: Ok. [00:41:21] Speaker A: Ça c'est difficilement réalisable. [00:41:23] Speaker B: Non mais sérieux, chacun ses passions. [00:41:27] Speaker C: Oh oui ça, c'est vraiment un tripeux des jets. [00:41:29] Speaker B: Chacun ses passions pour vrai. Tu sais l'un des gros tripes de sport que j'ai vécu dans ma vie, j'en ai vécu quelques-uns quoi que je sois jamais allé au Super Bowl, c'est la Coupe Memorial à Sherwood 2012. J'étais dans le VIP en arrière avec Vince Cochon et Corey Perry. J'étais avec Corey Perry dans le VIP et Vince. On était sur la brosse. [00:41:48] Speaker A: Juste le championnat de hockey qu'il y a eu ici en 2008. [00:41:52] Speaker C: Oui. [00:41:53] Speaker A: On est passé la semaine au Colisée. [00:41:55] Speaker B: Ça, regardez, l'un de mes prochains rêves. [00:41:58] Speaker C: Ça, ça va se reproduire. [00:42:00] Speaker B: C'est Junior. [00:42:01] Speaker C: Champion Junior. [00:42:02] Speaker B: Le Junior. Le Junior, oubliez ça, là. Moi, je déteste Noël dans la neige. Ça fucké mon affaire, là, mais j'aime la musique de Noël. J'aime ça passer Noël, regarde, en t-shirt. C'est le seul format de l'année que j'aime la neige. C'est un peu whack, là. Mais je reviens, mais on est dans la neige. Qu'est-ce que tu veux qu'on fasse? Mais là, oubliez ça, là. J'ai averti la famille. J'ai dit, on reste ici, là, aux fêtes. On va au Junior. Les billets sont pas en vente. J'ai hâte que ça soit en vente. J'ai hâte que ça soit en vente, mais c'est dans trois ans. Ça va être débile. Ça, oubliez ça. Les patentes de carnaval. « Québec, c'est gros le carnaval. » Puis le DJ, moi, on s'est fait gelé le 31 décembre. Il y avait un DJ, mais il faisait moins 27. On essaie de se faire croire qu'on a du fun. [00:42:48] Speaker C: Ça va être le tournoi, puis oui, c'est stéroïde. [00:42:50] Speaker B: Mais ça, ah oui. Ça, ça va être du fun pur. [00:42:53] Speaker A: Ah absolument. [00:42:54] Speaker B: Du fun à l'état pur. Sans une vidéo au tronc, qui sera fraîchement rénovée. Parce que là, il y a des appels d'offres. En tout cas, Renaud en a parlé. Je sais pas combien ça va finir. Mais ça, ça va être débile, là. Ça va être débile. Je suis déjà allé avec mon père. Ça, j'avais payé le voyage à mon père. qui voulait le vivre et on est allé au championnat mondial de hockey junior à Ottawa. L'édition Piquet-Saubanne. Sur le bord de la banque d'en bas. C'était hot. C'était coeur. [00:43:25] Speaker A: T'as raison, on peut revoir ça ici, c'est malade. [00:43:27] Speaker B: On va filmer ça au bord. avec mon père, en tout cas, peu importe, parce qu'à Canada, faut que tu donnes au moins une heure avant que le stationnement se dégage, parce que là, tu reviens à Ottawa, ton lit, j'ai pas à mode. Ça, c'est le maudit problème avec l'aréna là-bas, mais maudit qu'on a eu du fun. [00:43:41] Speaker A: Ah, écoute, j'ai... Tu sais, juste le temps que j'étais à Green Bay, juste le temps que j'étais à Green Bay, j'ai pas été là longtemps, j'ai même pas été là une journée, y'a annoncé un show de Luke Combs dans le Lambeau Film. [00:43:50] Speaker B: Hé, c'est trippant ça. [00:43:51] Speaker A: Pis le retour de la WWE. [00:43:53] Speaker B: Rock'n'Sports. Oh, Doom y regarde. [00:43:56] Speaker A: Ouais, le Doom va regarder. Mais va pas à Lambeau pour voir de la lutte, va à Lambeau voir du football. [00:44:02] Speaker B: Mais ça, c'est un humble bami, là. [00:44:04] Speaker A: Je sais pas si c'est à Lambeau. [00:44:05] Speaker C: Non, je pense pas que c'est à Lambeau, par exemple. [00:44:06] Speaker B: Dans Lambeau, c'est pas. [00:44:07] Speaker C: Ça doit être peut-être à Madison. [00:44:09] Speaker B: Dans un naturel, évidemment. Mais... Sors-tu bon, là? [00:44:12] Speaker A: Les Packers? [00:44:12] Speaker B: Ouais. [00:44:13] Speaker A: Ah oui, ils sont bons. [00:44:14] Speaker B: Je sais qui ont gagné. [00:44:15] Speaker A: Je vais continuer à dire que Jordan Love prend de drôles de décisions. Moi, en même temps, je prends pour les Jets. [00:44:21] Speaker B: Ouais, ça, t'as pas le droit de parler. [00:44:23] Speaker A: Beau dire ce que tu voudras, je prendrais Jordan Love anytime. Mais il y a quand même encore, il y a 2-3 fois par match, puis il y a encore eu 2-3 fois dans ce game-là où sur la première séquence offensive, il a lancé une interception, il aurait jamais dû lancer ce ballon-là. Une autre fois, un gars tout seul, il a tiré 6 pieds par-dessus. Mais il reste que c'est un bon club. Pis les Bengals aussi nous ont donné un bon show en deuxième demi. C'était vraiment trippant. Pis c'est vraiment ce stade-là qui rend... Le stade et les gens de Green Bay rendent le jeu différent. Ils rendent vraiment le jeu différent. Jamais... OK, là, je vais te dire quelque chose, Tom, là, tu vas tomber sur le cul. Moi, j'ai l'intention de retourner voir les Jets jouer à Alambo, OK? [00:45:06] Speaker B: Ben oui, c'est ton équipe, ça, là-dessus... [00:45:08] Speaker A: Mais jamais je vais me comporter comme je le fais habituellement. Parce que le stade ne prête pas à cette ambiance-là. [00:45:16] Speaker B: Ça t'a changé? [00:45:17] Speaker A: Ben ça m'a changé. [00:45:18] Speaker B: T'es moins waco. [00:45:19] Speaker A: Je vais être encore waco, mais j'irais à MetLife. [00:45:21] Speaker B: Donc y'a deux Dan. [00:45:24] Speaker C: Y'a deux Dan baveux. [00:45:25] Speaker B: Y'a deux Dan, breaking news, on a un titre d'extrait. [00:45:29] Speaker A: Mais je serais pas baveux à Green. [00:45:30] Speaker B: Bay parce que l'ambiance... Parce que les gens sont gentils avec toi. [00:45:33] Speaker A: Ne se prête pas à ça. Écoute, c'est une fête. On aime un jeu, ça s'appelle le football américain. [00:45:39] Speaker B: Tu es inclusif. [00:45:41] Speaker A: On est ici pendant les trois prochaines heures et demie. [00:45:43] Speaker C: Pour partager le fun. [00:45:45] Speaker A: Toi tu prends pour Cincinnati, moi je prends pour Green Bay, main dans la main. Les fans des Packers se faisaient payer de la bière. Les fans des Bengals, voyons, je vais te finir par le dire, se faisaient payer de la bière. [00:45:55] Speaker B: C'est comme ça. Honnêtement, quand on est allé mettre live, moi j'étais déguisé en arbitre. C'était pour le show. Vous étiez déguisés avec vos chandails respectifs. Moi je suis allé pisser. Moi je me suis fait écoeurer. J'étais déguisé en arbitre parce que l'arbitre c'était poche. [00:46:11] Speaker C: Tu t'es plus fait écoeurer que moi, Dolphins. [00:46:13] Speaker B: Je me suis fait intimider. Pour vrai. Pour vrai, c'est une foule un peu débile, New York. Mais c'est New York. [00:46:19] Speaker C: Moi je me suis fait narguer un peu avec mon chandail des Dolphins, mais pas écoeuré comme toi. [00:46:23] Speaker B: Moi je me suis fait écoeurer. Pour vrai. Pis là, je leur expliquais, mais tu sais, je tombais dans les explications. Faut que t'arrêtes de te justifier des fois dans la vie. « Je viens du Québec, mes chums... » À un moment donné, tout le monde était perdu. « More alive, who cares? [00:46:35] Speaker C: » Les seules fois que les gens ont compris, c'est quand ils ont vu les trois ensemble. [00:46:38] Speaker A: Ouais, là, ils ont compris! [00:46:39] Speaker C: Là, ils faisaient comme « Ah, OK! [00:46:40] Speaker B: » Ah oui, ça, le monde riait dans notre section. Ben oui. [00:46:43] Speaker A: Je vais finir en disant ceci sur le trip. [00:46:45] Speaker B: Oui. [00:46:46] Speaker A: Il y a quatre personnes qui étaient dans l'autobus qui seront des nôtres au pépéto. [00:46:50] Speaker C: Yes! [00:46:51] Speaker A: Ils y ont out, ils ont ben ben out d'y aller. [00:46:54] Speaker B: Ils ont des attentes élevées. [00:46:55] Speaker A: Ils ont des attentes élevées. Il y a beaucoup de personnes également qui ont l'intention d'aller rajouter leur nom aujourd'hui sur la liste d'attente. [00:47:03] Speaker B: Parce qu'il y a un bus potentiel qui va s'ajouter. [00:47:07] Speaker A: La décision va se prendre aujourd'hui. C'est vraiment le fun, c'est vraiment agréable. Les quatre autobus vont être guidés. C'est Doune Dumas, c'est Phil Magnat, c'est moi, c'est possiblement Bas-Julien qui va faire l'autre. [00:47:22] Speaker B: Presque Montréal-Ève au complet. [00:47:23] Speaker A: Oui, Presque Montréal-Ève au complet. Les gens de Ravesportifs, les gens de Linox, Firefield aussi qui va être là comme guide. Tu as Max Jandreau également, juste du monde que vous connaissez. [00:47:31] Speaker B: Beaucoup de liquide, beaucoup de protéines. [00:47:33] Speaker A: Beaucoup de liquide, beaucoup de protéines, mais aussi beaucoup de respect. Ce ne sera pas une brosse dans l'autobus en se rendant là-bas. Vous allez être capable de dormir, de vous reposer. [00:47:41] Speaker B: Tout est légal. [00:47:44] Speaker A: Pardon? [00:47:44] Speaker C: Notre chum des burgers, là, qui est sur son pépé, voyons. [00:47:47] Speaker A: Ouais, Tony. [00:47:48] Speaker C: Tony Barbecue? [00:47:49] Speaker A: Ouais, Tony Barbecue. [00:47:50] Speaker C: Il est là! [00:47:50] Speaker A: Oui! [00:47:51] Speaker B: OK! Non, non, regarde. Tout est réglo. [00:47:54] Speaker A: Tu sais, allez-y, allez faire un tour sur Rêvesportifs. Mettez votre nom sur la file d'attente. Ça se pourrait que vous vous retrouviez avec nous. Puis, ce sera vraiment un week-end exceptionnel. On va vous le faire exactement de la même façon. J'ai appris d'un des meilleurs, Phil. J'ai vraiment trouvé que Phil était un guide extraordinaire. Il devrait en faire plus souvent. Il devrait en faire plus souvent. [00:48:12] Speaker B: Daytona 500, NASCAR Talladega. Y'a vraiment du monde qui veut vivre des tripes. Vivez votre vie, bordel. C'est le fun. Faire n'a pas en vélo. Oui, c'est trippant. Let's go. [00:48:28] Speaker C: On parlait de sport, mais c'est pas obligé d'être du sport. [00:48:30] Speaker B: Let's go, let's go. [00:48:31] Speaker A: Ça pourrait en faire aussi. J'aimerais ça chauffer un char de course sur une piste. [00:48:35] Speaker B: Grand Prix du Mexique, ça a l'air cool. Let's go, c'est vraiment le fun.

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September 30, 2025 00:10:54
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RAY: Tkachuk et Marchand, appréciés hors glace, DÉPLAISANTS SUR LA GLACE!

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