NEIL OBERMAN: Montréal a une police POLITIQUE ET PASSIVE!

October 14, 2025 00:17:00
NEIL OBERMAN: Montréal a une police POLITIQUE ET PASSIVE!
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NEIL OBERMAN: Montréal a une police POLITIQUE ET PASSIVE!

Oct 14 2025 | 00:17:00

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[00:00:00] Speaker A: Nous sommes profondément désolés. Radio X C'est historique, et même les haters sont confondus. Mais qu'en sera-t-il pour la suite? Savourons moins notre moment, la libération des otages, et on s'en va tout de suite. en Israël, parler avec Neil Oberman que vous avez peut-être connu pour les gens qui sont férus de politique à Montréal. C'est un proche de Pierre Poilievre, c'est présenté conservateur, mais c'est surtout quelqu'un très actif pour défendre la communauté juive contre les excès, on va le dire, entre autres universitaires et les excès des extrémistes gauchistes de Montréal. Ils sont de plus en plus nombreux. Il est avocat chez Spiegel Ryan, il est là à Tel Aviv ce matin. Bonjour M. O'Byrman, bienvenue dans Montréal Live. [00:00:49] Speaker B: Oui, bonjour, merci à tout le monde. [00:00:51] Speaker A: M. O'Byrman, décrivez-nous, prenez le temps de nous décrire le week-end que vous avez vécu. [00:00:59] Speaker B: OK, premièrement, je suis ici en Israël pour être témoin à quelque chose d'historique. Pas pour les peuples en Israël, mais pour tout le monde. Parce que tout ce qui arrive ici, mon ami, va arriver chez nous au Québec. Et vous savez très bien que depuis deux ans, les rues à Montréal, partout dans le Canada, sont jumelées avec des gens qui ont beaucoup d'aime. Je suis ici pour être le témoin, pour avoir une connaissance de cet historique, pour qu'on apprend de parfaitement au Canada et au Québec ce qui est arrivé ici dans le Moyen-Orient. [00:01:36] Speaker A: Qu'est-ce que vous constatez, puis on reviendra avec ce que vous avez vécu en fin de semaine, bien évidemment, mais quand vous parlez de Montréal et des dérives et vous craignez que cela arrive au Québec, c'est ce que vous venez de dire, prenez le temps de nous décrire ce qu'on vit au Québec. Moi, ce qui m'a navré au cours des dernières heures, c'est que y'a des gens qui se disaient pour la paix, qui ont pas dit un traître mot. Ruba Gazal, zéro. Les gens de la CSN qui étaient dans les rues, pour les Palestiniens, zéro. Ce sont des gens qui n'étaient pas pour la paix. Mais prenez le temps de décrire ce qu'on vit à Montréal depuis quelques mois, déjà. [00:02:16] Speaker B: Maintenant, je parle comme un citoyen de Québec, un citoyen canadien, mais en perspective personnelle, pas comme un avocat. Et je vous dis, depuis deux ans, vous voyez la haine sur les rues. Québec était toujours une place de tolérance, de respect, d'égalité, mais depuis deux ans, la haine a pris pouvoir dans toutes les rues à Montréal. Et vous savez, et c'est très important que tout le monde qui écoute cette émission, qu'est-ce qui arrive chez nous arriver chez vous? C'est une question de temps. Et vous savez, il y a des gens partout au Québec qui ne respectent pas l'optimauté de droit, la culture québécoise, la langue française. Et qu'est-ce qu'il veut faire? Il veut amener les problèmes de Moyen-Orient sur nos routes. Il y a une distinction entre quelque chose qui dit la liberté d'expression, la liberté d'assemblage. C'est pas le cas. Quand vous masquez et vous dites meurtre à des gens et vous parlez d'intifada, c'est quoi ça? Ce n'est pas des valeurs québécoises. Ce n'est pas beau au Québec. [00:03:16] Speaker A: Qui permet ça au Québec? [00:03:19] Speaker B: Qui permet ça? Les gens qui sont éleus, qui ont une obligation morale, légale, spirituelle de nous protéger comme des citoyens. Il prend nos taxes, mais est-ce qu'il prend notre sécurité, notre sûreté, nos vies, nos enfants? Non. Et vous savez, depuis trop longtemps, deux ans, les rues de Montréal sont inacceptables. On ne peut pas aller au centre-ville de Montréal sans avoir des centaines de gens qui sont marqués, qui causent des problèmes, qui veulent infiltrer dans notre société québécoise, qui veulent changer la matrix de notre vie personnelle. Moi, je rejette ça. Et en passant, je me souviens qu'on était capable d'aller au centre-ville. Je me souviens qu'on était capable de prendre bien avec nos amis au centre-ville. C'est où ça, là? C'est perdu. Et pourquoi? Parce que Mme Laplante, maire Laplante, elle ne fait pas son job. OK? Il faut arrêter ça. Il faut retourner à une vie quotidienne, normale, avec le respect de dignité pour tout le monde au Québec. [00:04:18] Speaker A: Ce qui est particulier, et plus tard on aura comme chroniqueur notre régulier qui s'appelle Frank, François Fournier. Je vous ferai une parenthèse comme ça, mais lui était au Maroc. Donc un pays musulman, un pays arabe. Mais il y a très peu de personnes ou pas de personnes là-bas qui manifestent et qui haranguent et qui menacent. On dirait que cette réalité-là de menace, d'agressivité, d'intimidation, Elle est importée par une minorité de radicaux dans des rues comme Toronto aussi, il faut quand même le dire, et Montréal. Donc il y a vraiment un phénomène qui est importé dans nos rues pour intimider les pouvoirs en place. [00:05:03] Speaker B: C'est parce qu'il y a deux raisons. Premièrement, pour être très clair, qu'est-ce qui est arrivé aux gens qui allaient au synagogue, va arriver aux gens qui allaient à l'église. C'est une question de temps. Et vous savez, une manque d'exécution de droit, une manque d'une politique d'immigration qui regarde la qualité des migrants, avec une mesure pour avoir la vie d'urgence de la culture religieuse ne s'applique pas. Et qu'est-ce que vous voyez ici n'arrive pas dans leur propre pays parce qu'il y a une primauté des droits dans certains pays qui montent maintenant au Québec, qui montent à Montréal. Quand vous avez une disposition de la Cour criminelle qui dit d'aller devant une église ou devant un synagogue pour avoir une manifestation agressive, C'est quoi ça? C'est dans le code final. Qu'est-ce que les policiers font? Ils sont liés par la Ville de Montréal. Et moi, là, comme citoyen qui paie le taxe, qui a des enfants, moi, je rejette ce comportement. Tout Québécois devra rejeter ce comportement. [00:06:09] Speaker A: Racontez-moi maintenant quand même ce que vous avez vécu en fin de semaine, parce que vous étiez aux premières loges. Et vous êtes, en passant, merci et félicitations pour votre français, vous avez fait votre droit à l'Université Laval, ce qui est quand même, ce qui est, j'ai chapeau, chapeau pour la qualité de votre français, je tenais à vous le dire. Puis vous nous parlez en français ce matin, je l'apprécie. [00:06:28] Speaker B: L'accent est dangereux, mais déjà, la pédie c'est cute, mais c'est une autre chose, ok. [00:06:34] Speaker A: Parlez-nous de votre week-end, je veux, partagez-nous votre week-end, faites-nous vivre votre week-end. [00:06:45] Speaker B: Je vais vous mettre en contexte. Les gens en Israël, c'est comme les Québécois. Ils veulent le paix, ils veulent la tranquillité, ils veulent le respect. Et aujourd'hui, le week-end était comme un peu la fête nationale, comme on l'a au Québec, avec une petite différence. La différence que la fête nationale est un jour, et chaque jour au Québec devrait être une bonne journée. Ici, depuis deux ans, il y a la violence, l'agression partout. Mais ce week-end était merveilleux. C'était excellent. Les gens étaient contents, gentils, respectueux, comme ils sont toujours. Et c'était une bonne chose, parce que, vous savez, la paix est importante pour tout le monde. Une place avec la tranquillité, le respect, va nous aider partout dans le monde. Et ce week-end était un excellent exemple. Quand vous avez du leadership aux États-Unis, avec un esprit ouvert, Et vous avez mentionné Mark Carney. Qu'est-ce que Mark Carney a fait pour le Canada? Rien. Il est venu en Égypte pour faire quoi? M. le Président a dit au M. le Président, pourquoi vous êtes là? Il a reconnu un État palestinien pour donner pouvoir, pas aux Palestiniens, mais pouvoir au Hamas pour une guerre qui a commencé, pour la violence qui patale devant tout le monde. Ça, là, c'est pas une bonne chose. Mais ici, à Tel Aviv maintenant, il y a le soleil, le soleil est là. Les gens sont contents et je suis très fier d'être ici durant cet afflux historique dans le vide de monde. C'est ça. Écoutez, moi je suis Canadien, je suis Québécois, OK? Je ne suis pas Américain. Mais il faut donner du respect à un leader qui a un point de vue, qui est capable d'exécuter sur une stratégie, qui est capable de dire non aux gens qui n'ont pas une stratégie. Au Canada, les taxes libérales ne font absolument rien pour les Canadiens et en plus les Québécois. Ils prennent nos taxes, il n'y a pas de stratégie, on n'a pas de budget, on n'a pas de pouvoir sur le monde international. Qu'est-ce qu'on a? On a des gens qui font ce qu'ils veulent, quand ils veulent, mais ça ne nous aide pas. Vous n'êtes pas ici au Canada, vous n'êtes pas sur le monde et vous savez, Il peut pas contrôler la haine au Canada. Il va créer des droits, des lois supplémentaires à faire quoi? Les gens sont tannés avec les lois, le taxe. Il veut un pays tranquille, il veut un pays avec le succès. Et vous savez, là, M. Carney n'a pas fait une bonne chose. Mais Pierre Poliev va nous aider, ça, c'est certain. Et je suis fier de supporter M. Pierre Poliev, M. Pierre Paulus dans votre région. Et vous savez... C'est ça la concerne. [00:09:36] Speaker A: On a eu l'occasion de voter pour Pierre Poilievre. Et du jour au lendemain, ça a explosé les appuis envers Carney. Les Québécois, entre autres, qui dorment au gaz, ont pensé vraiment que ce gars-là était pour remettre Trump à sa place. C'était ça, dans la tête des Québécois. Mais les médias ont un gros rôle à jouer également. Les médias qui ont démoli Poilievre, et puis ils l'ont comparé avec Trump jour après jour après jour. Et les Québécois, beaucoup de Canadiens également, ont bu le Kool-Aid. Résultat, on a adhéré un Trudeau 2.0, un Trudeau qui a des diplômes. [00:10:13] Speaker B: Oui, vous avez raison. Écoutez, pour nous, quand vous voyez les médias de gauche, Radio-Canada, c'est un premier exemple, ils ne sont pas capables de rapporter la vérité. C'est des imbéciles comme vous qui disent la vérité aux gens. Mais vous savez, c'est OK, on a fait des fautes maintenant pour élever quelqu'un qui est Trudeau 2.0. Mais vous savez, il va y avoir une élection prochainement parce que vous savez, le budget ne va pas être bien reçu par tout le monde. Et on va avoir l'opportunité de reprendre notre pays, reprendre notre province et reprendre une chose, d'être raisonnable, d'être fier d'être Canadien-Québécois et d'avoir une vie pour nos enfants. avec la paix et la tranquillité. Et moi, c'est mon gros espoir que tout le monde puisse vivre ensemble, n'importe quelle langue, n'importe quelle religion. Et vous savez, au Québec, on a la loi sur la licité, et vous savez, c'est pour une raison. [00:11:07] Speaker A: Comment on fait pour gérer la prière? Parce que c'est ça, ça fait partie des menaces que vous voyez. Les menaces autour des synagogues, puis vous avez également les prières de rue qui sont là pour intimider. Ça n'a rien à voir avec la religion, ça n'a rien à voir avec la politique. C'est les frères musulmans qui mènent cet agenda-là de séparatisme. Ça c'est l'expression consacrée maintenant. Ils veulent se séparer de la société d'accueil. C'est quoi les moyens? Parce que c'est ça que la CAQ va faire. Et on se comprend que la majorité des Québécois sont en faveur de ça. Enlevez ça des rues, puis tassez-vous de la voie publique. Mais les moyens, vous comme Montréalais, puis vous êtes avocat aussi, vous avez un background légal, on peut pas faire n'importe quoi dans la vie. Comment on fait pour se débarrasser de ça, de ces rapaces-là qui viennent nous écœurer dans nos rues, carrément? Est-ce que la police les regarde faire, là? [00:12:00] Speaker B: Il faut faire, à mon avis, une distinction avec la religion et les extrémistes, OK? [00:12:06] Speaker A: C'est ça. [00:12:06] Speaker B: C'est la même chose, OK? Toute chose qui est extrémiste n'est pas bonne, OK? [00:12:10] Speaker A: C'est ça. [00:12:11] Speaker B: Vous voyez sur les rues les extrémistes qui sont une petite minorité, qui causent un problème pour tout le monde. Vous savez, quand 500 personnes sont capables de mettre en otage 3 millions de personnes à Montréal durant la manifestation illégale, c'est incroyable! C'est quoi le mot opérationnel dans le mot police? La politique, mes amis, la politique. Et quand les politiciens s'intégrent dans la police pour ne pas faire des choses, qu'est-ce qui arrive? Les pauvres citoyens souffrent. Et vous savez, il faut être certain que Québec soit toujours la même chose, une place d'égalité, de respect et d'inclusion. Mais on ne peut pas laisser nos rues soient utilisées par des extrémistes qui impliquent une minorité pour changer nos vies, nos vies culturelles, linguistiques, historiques. C'est impossible. Moi, je rejette ce comportement. Et tout bon Québécois devrait rejeter ça, pas seulement chaque jour, mais à la prochaine élection, ici au Québec et au Canada, de dire non aux extrémistes, non à la haine, non à des problèmes comme ça. Il faut changer nos optiques. [00:13:19] Speaker A: Et dernière question, puis on va se tourner vers l'avenir. Là, on comprend que les otages ont été libérés, mais le Hamas continue d'être armé. Là, il y a la Turquie, il y a le Qatar, il y a l'Égypte qui se sont mis ensemble lorsqu'on parle de pays musulmans. Comment on fait pour aller désarmer le Hamas? Il faut qu'il y ait des soldats de ces forces unies-là pour aller sur le terrain. Sinon, de leur propre chef, ils ne seront pas désarmés. Il demeure une force terroriste aux abords d'Israël. Comment vous entrevoyez ça, vous, votre regard? C'est quoi? [00:13:50] Speaker B: Je crois qu'il est important d'avoir des relations avec les pays musulmans. [00:13:55] Speaker A: Oui. [00:13:55] Speaker B: Par exemple, quand il n'y a pas d'argent, pas de support, pas d'orientation, il n'y aura pas d'Islamat. Parce que sans argent, ils n'achètent pas les fusils, ils ne paient pas le tunnel, ils n'achètent pas des choses. Pas d'argent, pas de problème. [00:14:09] Speaker A: C'est ça l'Iran, ça. Oui, ça venait de l'Iran, entre autres. [00:14:12] Speaker B: L'Union des Nations Unies a déjà donné un gros message à l'Iran. Comportez-vous comme des êtres humains civilisés, et ça c'est le gouvernement, pas le bon peuple d'Iran, et tu vas rejoindre la famille des pays. Et vous savez, sans la capacité d'Iran d'utiliser leurs pouvoirs pour créer des problèmes partout au monde, incluant les 700 membres de l'IRGC qui sont au Canada, depuis que M. Trudeau et ses amis étaient là, qui fait des menaces partout dans le Canada. On va changer, Hamas va être détruit. Et les personnes au Gaza peuvent commencer à rebâtir leur vie avec le respect. Ils ont le droit d'avoir le respect là-bas, mais ils ne peuvent pas utiliser la violence contre eux. ni contre des personnes. Et vous savez, il faut arrêter de donner la capacité de financer ce type de gouvernements qui ne sont pas des gouvernements légitimes, mais qui sont des gouvernements. Iran a un problème, mais il va être rectifié avec les États-Unis. Ça, c'est certain. [00:15:17] Speaker A: Mais le Hamas désarmé, ça n'existe pas encore ce matin. Espérons que ça va arriver, mais moi je pense que c'est ça qui est très, très périlleux. On va suivre ça assurément au cours des prochains jours, des prochaines semaines. Maître Oberman, merci beaucoup et bon retour au Québec. [00:15:33] Speaker B: Merci à tout le monde. Bonne journée. [00:15:35] Speaker A: Merci, ciao. Neil Oberman qui est avocat Montréal chez Spiegel. Ryan qui est là en direct de Tel Aviv. Tu as vu des images, j'imagine? [00:15:43] Speaker C: Oui, j'en ai vu un peu. [00:15:44] Speaker A: C'est renversant. [00:15:45] Speaker C: Oui, c'est renversant. C'est renversant à bien des niveaux. Puis je ne suis pas si encouragé que ça pour l'avenir. Tu sais, je regardais les images en se sachant que, regarde, je vais vieillir d'un année cette semaine, en sachant que... [00:16:02] Speaker A: C'est quand ta fête? [00:16:02] Speaker C: C'est vendredi. [00:16:03] Speaker A: Ok. Mais prends ça en note, Dom, moi les fêtes, je suis pas bon là. [00:16:05] Speaker C: C'est pas grave, ça change rien quand même. [00:16:07] Speaker A: Dan a passé le message. [00:16:08] Speaker C: Non, non, je voulais pas passer le message, mais c'est juste que je suis en train de dire, à chaque fois que je vais vieillir d'un an, j'ai l'impression que je vais encore entendre parler du conflit israélo-palestinien. [00:16:17] Speaker A: Ça fait des milliers d'années, des milliers d'années. [00:16:19] Speaker B: C'est ça. [00:16:19] Speaker C: C'est vraiment quelque chose qu'on peut pas régler. On peut pas régler, c'est comme essayer d'éteindre un feu éternel, je veux dire, y'a rien à faire. [00:16:28] Speaker A: Mais, au vide d'espoir, regarde, t'as quand même Donald Trump qui a réussi à amener l'Égypte à en faire plus. Le Qatar et la Turquie, qui est un grand leader musulman, dans le monde musulman, la Turquie, c'est majeur là, c'est une pièce centrale de l'Empire Ottoman, membre de l'OTAN. ensemble, mais occupez-vous-en. Là, la pression va monter sur les États-Unis pour envoyer des troupes, il faut absolument éviter ça. Imaginez, il y a des soldats américains sur place, tu veux pas ça.

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