DEEP DAN: Suce pour adulte dans les bureaux de La Presse!

October 03, 2025 00:42:04
DEEP DAN: Suce pour adulte dans les bureaux de La Presse!
Maurais Live
DEEP DAN: Suce pour adulte dans les bureaux de La Presse!

Oct 03 2025 | 00:42:04

/

Show Notes

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Il y avait du monde au centre Vidéotron hier. [00:00:03] Speaker B: Je suis allé. J'ai trippé. [00:00:05] Speaker A: Il y avait du monde. [00:00:06] Speaker B: J'ai trippé comme un enfant. [00:00:08] Speaker A: Puis il y a beaucoup d'enfants qui ont eu congé d'école. [00:00:10] Speaker B: Mais oui. Ils ont suivi le conseil de Moray Live. J'ai vu beaucoup de papas. Là, Moray. Moray, je t'ai écouté. Le petit gars avec lui. Donc on remarque les retards scolaires, c'est sûr. Non, non, c'était trippant. Je vous raconte. En gros, comment ça marche, c'est que tu rentres. T'as pas de billet, t'as pas besoin de billet, tu rentres, t'es là. Ils ferment la moitié du centre Vidéotron. Donc, vous avez toute la section derrière les bancs de joueurs, là, c'est bien plein. C'est bien, bien plein. Youppi! est là. Tu sais, au plein marketing, c'est le fun. Les kids font des câlins à Youppi! C'est le fun. On retombe en enfance. J'ai pris une photo de Youppi! Je me suis dit dans ma tête, je prends-tu un selfie avec Youppi! Là, je me suis dit, ouais, c'est peut-être un peu too much. Mais j'ai pris une photo avec Youppi! J'ai vu de proche, on descend en bas. Tu sais, vous allez dire, c'est une pratique. Non, non, attends un peu. Demidov qui fait des passes à Hudson, passe par en arrière, Cole Caulfield est là, Suzuki. Les gars, c'est magique, là. C'est frippant de voir une pratique du Canadien. C'est pas vrai, là. [00:01:16] Speaker A: Savez-vous ce que le Canadien a fait cette semaine à Québec? Parce que souvenez-vous, la dernière fois que le Canadien avait organisé des parties hors concours à Québec, c'était en 2018, c'était pas plein, il était jamais revenu depuis. Il avait pas réussi à vendre toute l'étiquette. Cette semaine, le Canadien est venu à Québec et ils ont enterré L'âge de guerre. Non. [00:01:34] Speaker C: Les Nordiques. [00:01:35] Speaker A: Les Nordiques. [00:01:36] Speaker B: Oui. [00:01:37] Speaker A: Ils ont enterré les Nordiques. [00:01:39] Speaker B: T'as lu que c'était un bon titre d'extrait, ça? À date, on a juste 10 minutes de fête. [00:01:43] Speaker A: Cette semaine, le Canadien est venu... Ils sont arrivés, ils ont mis de l'engrais sur le terrain, ils ont planté du gazon, ça apparaîtra plus qu'il y a une piscine ici, ok? [00:01:53] Speaker C: Ils ont organisé un party dans le courbe, au-dessus de là, c'est une piscine. [00:01:58] Speaker A: Exactement. Cette semaine, le Canadien est venu fouler l'aréna des sénateurs d'Ottawa, prendre sa photo d'équipe sur la terrasse du frein en face du château de Fontenay, remplir le centre Vidéotron d'enfants pour deux pratiques gratuites. Ils ont fait le tour. [00:02:18] Speaker C: C'est facial. [00:02:19] Speaker A: Exactement. Ils ont, cette semaine, le Canadien... [00:02:22] Speaker B: Ils ont carrément entarté. C'est un entartage. [00:02:26] Speaker A: Le Canadien est arrivé à Québec avec l'attitude «Who's your daddy?». [00:02:30] Speaker B: Carrément ça. Hey, la photo, à côté du château. Bien joué. [00:02:34] Speaker A: Ils ont même posé la question à Martin Saint-Louis. Toi, Nordic, Martin, t'en penses quoi? Martin, il a dit quelque chose du genre... [00:02:41] Speaker B: On les haït ça. On les haït ça. Tu sais, la grosse... Vendredi 5, c'est en quelle année? C'est 84? Oui, 84. Tu sais, j'avais 9 ans. Tu sais, puis... C'est spécial, tu sais, c'est sûr. Tu sais, dans... J'avais tout le temps un ou deux joueurs dans mon équipe qui prenaient pour les Nordiques. On s'estinait beaucoup. [00:03:07] Speaker A: Donc cette semaine, c'est la semaine où l'entraîneur du Canadien est venu ici dire aux journalistes de Québec que JIC est nordique et que tout le monde trouvait ça drôle. Donc on a définitivement enterré les Nordiques. La Ligue peut même bande le nom. [00:03:21] Speaker B: Des géraniums ont été plantés au salon funéraire. [00:03:25] Speaker A: C'est clair. [00:03:27] Speaker B: Comment ça s'appelle le gros salon funéraire? L'épine-cloutier. Oui, c'est l'épine-cloutier. [00:03:33] Speaker A: Mais oublier ça là... De l'épine dans. [00:03:35] Speaker B: Le pied à l'épine cloutier. Mais toi, qui a fait un cri du coeur quand même cette semaine en onde, tu te sens bien par rapport à ça? [00:03:42] Speaker A: Ben je me sens bien par rapport à ça parce que j'ai jamais cru réellement au retour des Nordiques. J'ai toujours été quand même... T'as jamais. [00:03:48] Speaker B: Eu une pelle bleue? [00:03:49] Speaker A: J'ai jamais eu de pelle bleue. Je n'étais pas là il y a 15 ans à la Marche bleue. Remarque que je serais allé, c'était une belle occasion de prendre une bière, mais j'avais autre chose. Mais... [00:03:59] Speaker B: Prendre une bière avec Marianne. [00:04:03] Speaker A: Mais tu sais, j'ai jamais vraiment cru au retour des Nordiques parce que je suis quand même assez conscient de la grosseur des marchés que la Ligue nationale vise. Je trouve que les sénateurs d'Ottawa et les jets de Winnipeg sont très très chanceux. d'avoir récupéré un club, parce qu'un seul tour, on ne peut pas avoir des villes qui sont raccords à la Ligue Nationale d'Hockey. Non. Exact. Et au sport professionnel. Qu'est-ce que tu veux que je te dise? C'est le même, fait que... [00:04:28] Speaker B: C'est comme ça. Moi, j'écoute les conversations, là. Vous me voyez arriver dans un restaurant, parler plus bas, puis je vous écoute. J'écoute. Je veux savoir de quoi les gens parlent. Et c'était beaucoup père-fils hier. J'ai adoré ça. Les kids... tripe sur le Canadien. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? Il tripe sur le Canadien. [00:04:49] Speaker C: Y'a rien connu d'autre, c'est normal. [00:04:50] Speaker B: Y'a Gallagher, Papa Gard, Suzuki. Et là, à un moment donné, Carrier. Y'a des mains, Carrier. Y'est pas beaucoup dans notre conversation, d'habitude. Mais Carrier a fait une couple de trucs pas pires. Là, t'entendais, dans le centre Vidéotron. Oh! C'est le fun. Je vous le dis, Les papas, les mamans, aujourd'hui, si vous voulez faire plaisir à votre kid, c'est gratis. [00:05:14] Speaker C: Dernière journée. [00:05:15] Speaker B: C'est la dernière journée. Arrivez vers 10 heures. Si vous voulez avoir une belle place, c'est gratis, tu t'assoies où tu veux, tu te fais pas écoeurer, le kiosque à poutine est ouvert, ou sinon, tu vas au grand marché te siffler une bonne pointe de pizza New York style. [00:05:31] Speaker C: À partir de demain, si vous voulez voir les joueurs du Canadien avec vos enfants, ils vont prendre une hypothèque. [00:05:37] Speaker B: C'est ça. Exact. On ne s'en prend pas nécessairement une carte d'écrasie. [00:05:40] Speaker C: Oui, c'est ça. [00:05:40] Speaker A: Ou la pratique Yum Yum. Vous allez me dire que ça ne s'appelle plus la pratique Yum Yum. Non, mais je le sais. [00:05:47] Speaker B: L'Indien et le Chinois. [00:05:49] Speaker A: Je suis comme nostalgique ce matin. Quand t'achetais ton sac de chips et que t'avais l'espèce de carte de plastique un peu comme la carte du roi dans la galette, dans ton sac de chips Yum Yum, qui disait que tabarnouche, tu vas y aller voir la pratique. C'est la mission de convaincre ton père de t'y amener. [00:06:06] Speaker B: C'est vraiment trippant. Donc voilà, suggestion. Pour passer un début de week-end agréable, c'est votre petite fille, votre petit gars. Let's go. C'est vraiment le fun. Youppi! est là. C'est sûr que si vous avez un enfant de 44 ans, peut-être que c'est un autre ballgame. Quand je parle d'enfant, c'est votre enfant au primaire et les ados du secondaire aussi. Il y avait des joueurs des remparts hier. D'ailleurs, ils en ont parlé dans un média. Il y a des joueurs des remparts qui se sont fait prendre en selfie avec Suzuki, Demi Dove, c'est des superstars. [00:06:39] Speaker A: C'est normal, c'est des kids de 16 ans. [00:06:42] Speaker C: Ben, sais-tu quoi? [00:06:43] Speaker A: Pour réellement, dans les bowls nationaux aux États-Unis, les joueurs des NCAA qui vont être pêchés en premier rond se font poser avec Peyton Manning. [00:06:51] Speaker C: Mais tu me fais réaliser que c'est une occasion manquée, j'ai l'impression. Si le Canadien avait voulu encore plus Conquérir Québec. [00:06:59] Speaker A: Mais tu peux pas plus que ça. [00:07:00] Speaker C: Non, tu fais une pratique conjointe remparts canadiens. [00:07:05] Speaker B: T'en parles à Simon Gagné. Non, pis je vais t'expliquer pourquoi. Dans son point de presse hier, il a dit « Ok, on s'est amusé. Les gars ont fait du karaoké. Peut-être au voûte. Je sais pas trop. [00:07:16] Speaker C: » Mais c'est une vraie pratique. [00:07:17] Speaker B: Les gars, ils ont viré un peu. Non, mais moi j'ai vu hier. C'est ce qui m'a impressionné le plus. Oui, Demidov, les feintes. [00:07:23] Speaker C: T'étais passionné dans Tank. [00:07:25] Speaker B: Oui. le respect qu'ils ont pour Saint-Louis. Saint-Louis, c'est un général, là. Moi, à un moment donné, je vais pogner le fixe sur Saint-Louis. Un coup de sifflette, bing, les drills, ça embarque, bing, bing. Deux coups de sifflette. 100 rondelles, 3-4 tours de patinoire, toute la gang. Alors, il est respecté, là. Moi, il m'a impressionné, Saint-Louis. Pour vrai, là, dans sa structure, à un moment donné, il te lâchait un cri, il écriait quelque chose après Kirby Dac. Il rentrait au poste. Le respect, non. Tu sais, oui, je te comprends, Doug, ça aurait été amusant, mais les gars s'amusaient pas. Il y avait des kids qui s'amusaient, mais c'est la glace. Je pense qu'ils se préparent pour battre Toronto. Eux autres, ils ont un focus. Ils sont à guerre, les Canadiens, pour vrai. Avant, c'était de l'amusement et du bric-à-brac. Mais là, je pense que... That's for real. [00:08:18] Speaker C: Donc les joueurs des rapports, même si tu laissais Martin Saint-Louis gérer la pratique, il serait une distraction. [00:08:24] Speaker B: Oui, nécessairement. C'est ça. Ils sont à guerre. Les Canadiens sont à guerre. Parlant de guerre, vous, ça claque sa gueule hier encore. Ça a dégénéré, le lightning. Il claque sa gueule, là, hier, allègrement. [00:08:37] Speaker A: Les games en concours, il y a encore du monde qui pense que la meilleure façon de faire le club, c'est peut-être de montrer que je suis capable de donner des claques sa gueule. [00:08:44] Speaker C: Est-ce qu'ils ont tort? [00:08:45] Speaker B: Je sais pas combien de bagarres il y a eu, mais... D'ailleurs, je pense. [00:08:49] Speaker A: Qu'Il faut tous qu'on prenne un pas de recul, les trois, ce matin, et qu'on donne une bonne main d'applaudissement à Isabelle Charrette pour son commentaire à son débatteur hier. Félicitations, Isabelle. [00:08:58] Speaker B: Bravo, ministre du sport. [00:08:59] Speaker C: Pas du tout déconnectée. [00:09:00] Speaker A: Juste aller parler de votre mécontentement. Voyons, de quoi tu parles? Tout le monde se lève. [00:09:05] Speaker C: Ah oui, c'est ça! C'est quand la dernière fois que tu allais voir une game de hockey, toi? [00:09:09] Speaker B: Elle est dans quel parti? [00:09:11] Speaker A: La CAQ. [00:09:11] Speaker B: Ben voilà. [00:09:12] Speaker C: Il n'y a pas si longtemps, un des chandails les plus vendus chez le Canadien, c'était Jack Eye. Ce n'est pas pour sa qualité d'hockey. [00:09:19] Speaker B: J'ai vu des chandails, pas l'année passée, mais des dernières années, j'ai déjà vu des chandails Roberge. [00:09:26] Speaker C: C'est pas parce que c'est un gars qu'on reunt. [00:09:30] Speaker A: Les gars sur TikTok, il y a un paquet de gars qui se mettent des fausses moustaches avec des gilets des deux frères Jackal et qui se promènent en donnant des claques aïelles à tout le monde. Les deux frères Jackal, si vous les mettez dans l'alignement toutes les deux, c'est comme les frères Hanson. [00:09:44] Speaker B: Pas de lunettes. [00:09:47] Speaker A: Pas de lunettes, non. Pas de lunettes. [00:09:49] Speaker B: On m'écrit ici. Éric Veilleux a l'air d'avoir du gros fun avec Martin Saint-Louis. Ben oui, c'est Éric Veilleux, c'est sûr. Martin Saint-Louis, Hall of Fame! Éric Veilleux, oui, bague de la Coupe Memorial. Mais Martin Saint-Louis, c'est l'Hall of Fame. Martin Saint-Louis, c'est un joueur exceptionnel. Donc, c'est sûr que les gars des remparts, les coachs des remparts, très impressionnés. C'est impressionnant, le Canadiens de Montréal. On va arrêter, là. D'Aubeche, Montembeault aussi. C'est pas qu'elle fixe un joueur, pis tu regardes la technique. Les gars, c'est des athlètes. J'ai adoré ça. Dobson, c'est la première fois que je le voyais live. Dans la Ligue nationale. Un pan de mur. [00:10:29] Speaker A: J'ai vu un vox pop où les jeunes ont un ben ben gros trippé sur la disponibilité de Lane Hudson aussi. Semble-t-il que c'est rendu... Ah oui, autographes? Oui, très disponible pour les autographes. [00:10:40] Speaker B: Très bon. [00:10:40] Speaker C: Les jeunes ils trippent parce qu'ils sont de la même grandeur que lui. [00:10:42] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:10:43] Speaker A: Ils peuvent le regarder dans les yeux. [00:10:44] Speaker B: Nuit, Caulfield, puis mettons Gallagher. [00:10:49] Speaker C: Puis ils pèsent plus lourd. [00:10:50] Speaker B: Ils se sont mis un uniforme du collège François-de-Laval, puis ils sont allés à l'école hier, puis ils ont passé inaperçus. [00:10:55] Speaker A: Ça crie Galagher au centre. Pour vrai, c'est comme les Romains. Comme les Romains, à l'époque de l'Empire, ils ont pavé Québec de pavés bleu, blanc, rouge. [00:11:07] Speaker B: Carrément. Carrément. Oubliez. Tout le monde est de bon humeur, Dan, pour vrai. [00:11:11] Speaker A: Non, je sais. [00:11:11] Speaker B: Tout le monde est de bon humeur. [00:11:13] Speaker A: C'est le fun. Je ne suis pas en mode enterrement. [00:11:16] Speaker B: Il n'y a pas sour grapes par rapport à... Oui, oui, regarde là. [00:11:19] Speaker A: Je suis en mode festif. [00:11:20] Speaker B: Oui, c'est à l'un côté que je veux voir tout ça. C'est fini cette période-là, en tout respect. Les gens sont vraiment rendus en 2025. [00:11:26] Speaker A: Exactement. Ce que je dis, c'est que cette semaine, le Canadien s'est aperçu que Québec, c'était comme Sherbrooke, c'était comme Gatineau, c'était maintenant un territoire canadien. [00:11:37] Speaker B: Les journalistes ont trippé aussi. Je regardais le reportage de Luc Gélinas. Je pense que les gars ont trippé. Grande Allée. C'est une belle ville, Québec. C'est une ville sécuritaire, c'est une ville... C'est une ville de fun. Tu vas faire le party, tout est là. C'est une belle ville. Si tu regardes Montréal et Québec, ce n'est pas pareil. Juste qu'il y a un maire qui est problématique. Elle enlève le maire, la ville est belle. Elle pourrait être plus propre, mais elle est belle. [00:12:07] Speaker A: À Montréal, il faut dire qu'on est habitué à un maire problématique. [00:12:10] Speaker B: Ouais c'est ça au Montréal. Ça les énerve pas ben ben. [00:12:13] Speaker C: Non c'est ça. [00:12:15] Speaker B: Monty, de loin le plus généreux, nous dit Nicolas, ben peut-être. C'est ça, je suis resté quand même 40 minutes. Je suis resté dans l'interstice. [00:12:23] Speaker A: C'est quand même pas mal, 40 minutes pour une pratique. [00:12:26] Speaker B: 40 minutes pour une pratique, j'ai changé de place 4 fois. Je suis un peu TDAH. [00:12:30] Speaker A: On peut dire que tu l'as vu. [00:12:31] Speaker B: Je voulais me positionner pour les voir. Oui, c'est parce que t'avais split-squad. Fait que si tu voulais des mid-off, t'étais de l'autre bord, mais moi je voulais Hudson aussi, donc j'étais de mon bord. Fait que c'est pour ça que je changeais de place, tout simplement. C'est le fun, regarde, on est de bonne humeur. On va voir un nouveau homère en plus. Not. [00:12:54] Speaker C: Not. J'ai pas réussi, je voulais à mon pool me donner de l'intérêt pour le Canadien, puis j'ai réussi quand même un peu. J'étais allé chercher Hudson, puis j'ai même pris de l'aîné à toute fin. Mais je voulais, ma née, prendre de suite Hudson puis Demidov. Mais Demidov, c'est comme au retour de mon choix. Il y a quelqu'un qui l'a pris avant. [00:13:13] Speaker B: On est rendu dans le deep, mesdames, messieurs. [00:13:14] Speaker A: Le deep d'Henri, présenté par Couvre-Plancher Orléans, qui fête ses 50 ans d'érabais sur les flottants, vinyle, céramique, tapis, la peinture Benjamin Moore et plus... Il y a trop de features dans le premier bloc aujourd'hui. [00:13:33] Speaker B: C'est le deep down, les nouvelles de sport. [00:13:37] Speaker A: Si vous avez commis l'adultère, c'est ici qu'on va parler de l'affaire. Les débiles du Brésil, les freaks de. [00:13:47] Speaker B: L'Évangile, tout droit sortis de l'asile. C'est le deep down, c'est le deep down. Le frère d'André Bercoff qui chante cette toune. [00:13:58] Speaker C: Oui, c'est ça. [00:13:59] Speaker A: Oui, exactement, c'est lui. Ce qui fait énormément jaser cette semaine, un peu partout, c'est ces histoires de... de bouffe. Ça coûte cher, la bouffe. Puis t'sais, on a vu les restaurants, il y a eu Sylvain Charlebois, entre autres, qui a écrit un article disant, les restaurateurs, il y a moins de monde qui y vont la semaine, puis il y a beaucoup de gens qui y vont en solo. [00:14:20] Speaker B: Je me suis fait sauter d'en face à cause d'un jus d'étoile. Je disais juste que ça coûtait cher. Et c'est pas des procès qu'on fait pis des accusations. [00:14:28] Speaker A: C'est pas contre les restaurants. [00:14:30] Speaker B: C'est ça, on soulève les enjeux. [00:14:32] Speaker A: C'est même que les concessionnaires qui réagissent. C'est pas de la merde les chars électriques, on n'a jamais dit ça. On dit que la réglementation... T'en plains ça. On s'attaque au gouvernement, pas à vous autres. [00:14:43] Speaker B: Tout le monde est trop fragile. [00:14:44] Speaker A: C'est ça. Mais actuellement, même Pierre Poiliev est revenu avec ses bons vieux décors de sachets de sucre. [00:14:50] Speaker B: Oui. [00:14:50] Speaker A: Pis ses bons vieux discours sur le prix de l'épicerie. [00:14:54] Speaker B: Très bon. Faut que je focus là-dessus. Ça coûte cher. [00:14:56] Speaker A: Ça coûte un bras pis il y a de plus en plus de monde. Alors, le réflexe c'est souvent d'acheter en gros chez Costco. Tu vois, chez Costco, tu te dis on va avoir de la pêche, on va en acheter, on va en avoir pour... On va en avoir vraiment pour notre argent, pis écoute, c'est le même que ça va passer, mais là, même le Costco, y'a de plus en plus de gens qui sortent du Costco en disant... Elle est plus là, là! Les prix, ça pue de bon sang. Je vous fais entendre un vidéo qui a fait le tour du Québec. J'en ai deux vidéos pour vous faire entendre là-dessus. Le premier, c'est un gars qui est allé s'acheter 2-3 patentes chez Costco. [00:15:28] Speaker D: Là, je suis à Costco, et tu vas économiser à long terme. Regarde ça. Tu penses que tout ça là, combien ça m'a coûté? Salade, des quinoa, une crevette, yogourt, je te montrerai le poulet, 49$ pour ça. [00:15:49] Speaker A: Le poulet c'est rendu incroyable chez Costco, moi aussi j'ai fait le saut. [00:15:52] Speaker D: Tout ça guys, littéralement j'ai presque rien acheté. Je te montre la facture. 150$. 150. Pis on te dit, va chez Costco, tu vas économiser à long terme. [00:16:10] Speaker A: Le vidéo a vraiment fait le tour, pis lui il disait en plus faut que tu payes ton membership. [00:16:15] Speaker B: Quelle belle jasette. [00:16:16] Speaker A: Effectivement le prix de la bouffe il rentre cher pis c'est le poulet le plus cher chez Costco. [00:16:20] Speaker C: Il est plus cher ailleurs aussi. [00:16:21] Speaker A: Il est plus cher ailleurs aussi, c'est pas Costco qui a augmenté ses prix. Mais c'est juste qu'on avait le réflexe, moi je me souviens pas T'sais, j'me souviens de l'époque où on allait chez Costco pis les poitrines de poulet là. [00:16:32] Speaker B: Oui! [00:16:33] Speaker A: T'sais, y'est gros l'paquet, sont tassés là. Ouais, ils sont tassés. L'expression « tassés comme des sardines » chez Costco, c'est « tassés comme des blancs de poulet » là. [00:16:41] Speaker B: Pis on n'est pas sûr que les poulets concernés ont tous mangé égal. [00:16:47] Speaker A: Non, c'est ça. [00:16:48] Speaker B: La bonne nourriture. [00:16:49] Speaker A: Pis on n'est pas sûr qu'ils ont tous consenti non plus à être aussi proches l'un de l'autre. [00:16:52] Speaker B: C'est ça. Mais t'y manges pareil pis c'est bon. [00:16:55] Speaker A: Je me souviens quand j'allais au Costco au début là je payais ça 14 piastres le gros paquet là. Pis à un moment donné c'est arrivé à 20 en fait. Tabarnouche on dépense le 20 piastres. Là ça date là. Là depuis 7, 8, 9 ans c'est autour de entre 27 pis 32 piastres qu'on payait pour ce gros paquet là. Mais là à 50 piastres... 50 piastres, ça commence à faire du poulet. 50 piastres là, c'est assez cher pour que le monde se dise, ben je préfère le payer un peu plus cher du kilo, n'achetez moins, pis ça va me coûter 22. [00:17:23] Speaker C: C'est ça. [00:17:24] Speaker B: C'est sûr qu'il y a des deals au Costco. Pis je m'en allais justement là, pis y'a un auditeur qui nous l'écrit. Le pain sans méthode, y'a 5 piastres l'unité, Costco t'en a 3 pour 8. Ça c'est bon. Sauf que l'histoire est la suivante. [00:17:38] Speaker C: Au magasin pareil là? [00:17:39] Speaker B: Oui. Mais tout est dans le display. Moi, je suis dangereux quand je rentre au Costco. Je vous le dis, il faut gravement qu'ils mettent ma photo à l'entrée, il m'a bloqué. [00:17:49] Speaker C: C'est comme au casino pour certains. [00:17:51] Speaker B: Je suis très tenté. Mais j'achète des affaires utiles à cette heure-là. Avant, j'achetais des cossins. Mais j'achète des affaires utiles, sauf qu'on a plus de place. T'sais, des affaires... T'es déjà sorti de. [00:18:01] Speaker C: Là avec un longboard. [00:18:01] Speaker B: Du quinoa, on va en manger, mais du quinoa, ça se peut qu'on en mange dans trois ans, tu me suis? Ça se mange, là. J'achète des affaires qui se mangent. Mais on le mangera pas dans la semaine, fait qu'à un moment donné, on a quasiment besoin d'un entrepôt à maison. Mais toi, t'es dans le display. Tu rentres, à gauche, t'es sûr que t'as besoin de ce qu'ils mettent. Là. Thermos, ils le savent. La psychologie, le plancher est géré en fonction de la psychologie des gens. Là, faut que tu te rendes au crucifix de pain, là! Le pain, il... t'es à l'autre bout! [00:18:30] Speaker C: Le pain, le laisse à la fin. [00:18:31] Speaker B: Les amis, l'idée, l'incroyable, ils sont à l'autre bout! Faut que tu fasses ton chemin de croix! Mais la tentation! [00:18:39] Speaker A: Ben oui. Les culottes de jogging à 10$ à 19,99$. [00:18:42] Speaker C: Oui! [00:18:43] Speaker B: Tu te dis, c'est écrit Nike dessus, que tu les achètes aux Sports Experts sur 69,95$. [00:18:48] Speaker A: Mais moi je suis chanceux, ma blonde, ma blonde de Jacosco est très très bonne. Pour vrai, elle rentre là avec une lisse, pis tu vas regarder après pis y'a rien de plus sur sa lisse. Pis là j'ai dit, hé, tu vois, y'a des pantalons de jogging à 10$ à 19,99$. [00:19:01] Speaker B: Ouais mais ça c'est une épicerie plate. Ça c'est l'épicerie de ma blonde. [00:19:04] Speaker A: Ben c'est ça. C'est ça. Fait que c'est elle qui gère Costco. [00:19:06] Speaker B: On aime pas ça, nous autres. [00:19:07] Speaker A: Quand on a renouvelé notre carte, j'y ai même pas été pour faire ma photo. Tu vois, c'est elle qui gère ça. Parce que moi aussi, je suis dangereux au Costco. [00:19:19] Speaker B: Mais c'est la quantité. Le Costco, c'est ça qui est le fun. C'est la quantité. Je suis allé à Burlington, il y a peut-être un mois et demi. Il y a des protéines qu'ils ont pas ici. Il y a des affaires. C'est plus avancé, peut-être, un peu. Ça s'appelle créatine, tout ça. Il y en a, au Costco, c'est débile, il y a deux rangées si immenses, il y en a jusqu'au plafond. Si je me retenais pas, ça m'aurait coûté juste 500 pièces de protéines. Les créatines de protéines, les barles ici, les ça. Là, ce que je fais maintenant, au Costco, c'est que je fais mon épicerie à l'envers. J'ai un Christie de panier de malade. Et là, je me dis, OK. Je refais le trajet à l'envers et là je me pose la question, en a-t-on vraiment besoin? [00:20:04] Speaker A: Ouais. [00:20:05] Speaker B: Je les remets à la bonne place, les items. Là, je ne mets pas du stain caché à côté de la sauce à spag, là. Je le refais à l'envers, j'ai du temps. Anyway, je suis comme un boomer, de par notre horaire, on a du temps. À 10h30, j'ai du temps. Mais c'est ça que je fais. Je suis sous surveillance. Je suis sous surveillance. Il devrait y avoir des lumières rouges qui allument quand je scanne ma carte. [00:20:27] Speaker A: Je pense la même chose. Pis t'sais, c'est pratique pour mettre les affaires, là. T'sais, les savons. [00:20:32] Speaker B: Ben oui. [00:20:32] Speaker A: Les savons en pain, là. Des doves. [00:20:35] Speaker B: Ouais, mais sauf que c'est quatre boîtes. Une boîte de quatre, c'est-à-dire une boîte de quatre. [00:20:41] Speaker A: C'est ça. [00:20:41] Speaker B: C'est toujours les boîtes de quatre, les boîtes de six. Les muffins, une boîte de soixante muffins. [00:20:47] Speaker A: On parle de muffins. [00:20:49] Speaker B: Parlons muffins de Montréal. [00:20:51] Speaker C: Des muffins à quoi? [00:20:52] Speaker A: Non, non, parce que... Non, non, c'est. [00:20:53] Speaker B: Pas des muffins de parties de sondage. [00:20:55] Speaker A: C'est des muffins pour enfants. Les muffins Costco, tout le monde les connaît. Sont gros, sont immenses, mais ils n'existent plus. [00:21:03] Speaker E: Je viens d'apprendre qu'ils ont changé leurs fameux muffins. Avant, c'était des paquets de 6. 2 pour 7,99$, si je ne me trompe pas. Maintenant, ils chargent de 1$ par paquet, 7,99$. Puis le format des muffins, il y a changé. Donc, c'est 8 muffins au lieu de 6 et ils sont faits différents. Là, aujourd'hui, je goûte avec vous. Ça a l'air que la recette a changé. De un, le prix a quasiment doublé. J'ai bien hâte de voir si ça vaut le changement. J'ai pris des muffins au chocolat, ça c'est mes préférés, puis les préférés à mes filles. [00:21:29] Speaker B: J'ai pris des muffins au bluet. [00:21:30] Speaker E: J'aime pas tant les muffins au bluet, mais je déteste pas ça, donc je vais goûter aussi. Ça c'est celui-là ma femme. On teste ça, voir si ça vaut l'augmentation. Costco man, j'ai travaillé là-bas, j'ai plein d'amis qui ont travaillé là-bas. Les muffins existent depuis tellement longtemps, ça fait que là j'en reviens pas que vous avez changé. Fait que regardez, le muffin maintenant, ça ressemble un peu au muffin qu'il y a chez Couchard pis dans les autres affaires. On va voir si vraiment ils sont meilleurs. [00:21:54] Speaker B: Mais voyons donc! Goûte à ça notre parking. [00:21:57] Speaker E: Avant c'était comme plus sur pain. Je suis sceptique, on va goûter à ça. [00:22:02] Speaker B: Il fait un primo. [00:22:04] Speaker C: Oui! [00:22:06] Speaker B: C'est muffin style. [00:22:07] Speaker E: C'est bon. [00:22:08] Speaker A: Goûte la même affaire. C'est rendu des bonfaits de la grosseur qu'on retrouve un peu partout. [00:22:16] Speaker B: Bonfait normal. [00:22:17] Speaker A: Il y en a huit dans la boîte au lieu de six et le prêt doublé. [00:22:19] Speaker B: Je n'ai pas d'intérêt. [00:22:20] Speaker A: Moi non plus. Ce n'est pas contre Costco. Parce que c'est facile vu que c'est ça qui était sur TikTok, puis c'est ça que les actualités parlent. Mais effectivement, la bouffe, c'est de plus en plus cher. Puis c'est une réalité. C'est une réalité. Rien de plus à ajouter, c'est ça. [00:22:41] Speaker B: Oui, c'est une réalité. [00:22:42] Speaker A: Est-ce que vous vous souvenez du premier Deep Dan de la saison le 11 août de l'An de grâce 2025? [00:22:48] Speaker B: Non. [00:22:48] Speaker A: On a parlé. de ce nouveau concept mondial des gens, des adultes qui prennent une sus parce qu'ils sont stressés. [00:23:01] Speaker B: J'avais un tweet repartagé par JBG entre autres. [00:23:05] Speaker A: Ben y'a un journaliste de la presse qui l'a testé. [00:23:07] Speaker C: Non! [00:23:08] Speaker B: Non, arrête ça. Oui, oui, c'est ça qui est repéré. [00:23:09] Speaker F: Bizarre. Depuis quelques mois, il y a des utilisateurs qui se filment sur TikTok avec une suce en bouche. Pas une suce pour bébé, mais bien une suce de taille adulte comme celle-ci. Ils inventent les soi-disant bienfaits anti-stress de l'utiliser, même à l'âge adulte. L'idée derrière ça, ce serait de calmer le stress et l'anxiété en retrouvant un peu le réconfort de l'enfance. Est-ce que la tendance s'est rendue jusqu'ici? C'est assez difficile à dire, mais sur Amazon Canada, on trouve plusieurs modèles pour adultes. Les prix varient entre 10 et 20 dollars. Je m'en suis procuré une pour la modique somme de 10 dollars. Je vais l'essayer en avant-midi au bureau, voir si ça choque mes collègues ici et surtout si ça me détend vraiment. [00:23:51] Speaker B: Éclagassé pis Isabelle lâché. L'agacé n'embarquera pas là-dedans. [00:23:56] Speaker A: On peut pas croire. [00:23:57] Speaker B: Mais haché, elle est d'utahuse. [00:23:59] Speaker C: Moi, je veux voir l'agacé qu'une suce. [00:24:00] Speaker B: Ouais, mais ça marchera pas. [00:24:02] Speaker A: Il a mis sa suce. [00:24:02] Speaker B: Il a approché bien les affaires, mais d'après moi, il n'embarquera pas là-dedans. C'est complètement débile mental, cette affaire-là. Mais ça, voilà. Après, demandez-vous pourquoi un peat excède ça existe. Un peat excède, ça existe pour remettre les pendules à l'heure. Quand on va trop d'un bord, avec les talons hauts, les jupettes, les bonnes nylons dans l'armée, Les momonneries, les cutex et compagnie, rouge à lèvres dans les tranchées. C'est le gars qu'on veut entendre. « Donne-moi donc mon rouge à lèvres, là. » Ouais, voyons donc. Ben voilà. Là, on se pose des questions. « Hein? Comment ça que ça s'appelle, Secretary of War? » Ben c'est ça. C'est le retour des choses. Donc vous avez un gars qui se mène sus d'une salle des nouvelles. Ben oui, mais après ça, demandez-vous pas pourquoi. Il y a un retour du balancier qui s'opère à un moment donné dans notre société. [00:24:52] Speaker A: Il est allé chercher un verre d'eau, il l'a mis et il est passé à côté d'une groupe de filles qui travaillaient à la presse, de journalistes. [00:24:58] Speaker B: Il y avait la suce dans la bouche. [00:24:59] Speaker A: Il y avait la suce dans la bouche. Il a fait comme si rien n'était pis après ça il est allé les voir pour leur dire ce qu'ils ont pensé quand ils l'ont vu avec la suce. [00:25:06] Speaker G: Alors pour tout te dire, quand t'es passé là-bas près de la porte vitrée de La Réunion, les gens ont arrêté de parler et quelqu'un a dit « Je ne juge pas, je ne juge. [00:25:15] Speaker A: Pas, je ne juge pas, je ne juge pas ». [00:25:17] Speaker F: Sur l'emballage de ma sush pour adulte, de ma tétine pour adulte, on promet que ça réduit le ronflement ou que ça l'élimine en fait complètement puis que ça permet d'entrer dans un sommeil profond et paisible. Le dit-on, justement la présidente de l'Ordre des dentistes du Québec lève un gros drapeau rouge. par rapport à l'utilisation de la suce pendant qu'on dort. [00:25:40] Speaker A: En fait, la suce, parce que là, c'est plus long que ça, puis le gars, il dit, c'est un peu de la merde, là. Il ne commencera pas à travailler avec une suce d'embauche. Au final, son test n'est pas concluant. Je vous rassure. Le journal de la presse, l'artiste, c'est vraiment pour qu'on clique pour aller voir un vidéo pour nous dire que finalement. [00:25:57] Speaker B: C'Est de la merde. Il conclut que c'est de la merde. [00:25:58] Speaker C: Y'a pas une de ses collègues qui a dit « j'te trouvais chelou ». [00:26:00] Speaker A: Non c'est ça, c'est pas arrivé. Par contre, le seul avantage c'est que c'est vrai que ça empêche de ronfler. Mais... t'sais, rendu là... Ben voyons donc. Je... je... je... je... Je mettrais pas du sucre pour cette raison-là. [00:26:11] Speaker C: Tu vas te ramasser que les palettes crochent, là, mais tu ronfleras plus. [00:26:14] Speaker B: Ouais, c'est ça. [00:26:15] Speaker A: Vous voulez voir un scooter ? [00:26:16] Speaker B: Non. [00:26:17] Speaker C: Non. J'ai jamais eu. [00:26:18] Speaker B: J'ai jamais eu un scooter. [00:26:19] Speaker A: Moi j'en voulais un quand j'avais 14 ans. Je pense que j'aurais eu plus d'ouverture si j'avais demandé à mes parents un AK-47 qu'un scooter. Mais à Montréal, ben on pense peut-être, ben en fait c'est du monde là, c'est pas du politique. Mais il y a beaucoup de gnagnas qui pensent que ce serait peut-être une. [00:26:44] Speaker G: Bonne idée de... Pourquoi qu'en Asie, en Corée, au Japon, à Hong Kong, dans les pays où il y a tellement de gens, tout le monde est en scooter, parce que c'est moins de trafic, moins de pollution. Une voiture est égale à quatre motos, mettons en grosseur. Puis c'est tellement... Tout est plus rapide, c'est tellement mieux. Je pense que c'est vraiment une question de culture. Encore une fois, comme je dis, en Corée, à Hong Kong ou dans les pays où c'est normal pour eux de faire du scooter, ou tu vas en Thaïlande, tout le monde est en scooter. Je pense que si ici, à Montréal, dans le centre-ville, ils exigeraient que 80% de la population soit en scooter l'été, il y aurait vraiment moins de bouchons. Mettons, tu habites à Montréal, ben t'es obligé d'avoir un scooter pour te déplacer quand il fait beau. C'est quelque chose, une genre d'obligation qui ferait du sens. [00:27:39] Speaker B: Si tu camiennes, si tu camiennes... [00:27:42] Speaker A: Une genre d'obligation qui ferait du sens. [00:27:44] Speaker C: Oui, c'est changer la culture du monde. Parce que oui, c'est une question de culture. En France, les scooters, c'est pas même qu'ici. Ici, un scooter, c'est pour des kids de 14 ans qui sont incurés de faire du vélo. Tandis qu'en Europe, en France... [00:27:58] Speaker B: En Italie. Allez dans le trafic en Italie, vous allez être entouré de 16 scooters. Essayez de passer. [00:28:03] Speaker C: Non seulement dans le trafic, mais c'est parce que tu fais du interurbain en scooter. Parce que les scooters vont assez vite pour ça. [00:28:11] Speaker B: C'est pratique. [00:28:12] Speaker C: Ils sont assez gros. [00:28:13] Speaker B: Restez là, j'en aurais un. [00:28:14] Speaker C: T'es capable de mettre un petit peu de bagage dans ton scooter. [00:28:17] Speaker B: Voilà, t'as une caisse en arrière. Tu vas à la boucherie, tu vas chercher ton pain, tu reviens. C'est pratique. C'est de la culture. [00:28:23] Speaker C: C'est pas des biwizz. [00:28:24] Speaker B: Le point, je pense que Dan voulait amener, c'est sur l'aspect de l'obligation. C'est ça, de l'obligation, de la culture, de la réglementation. [00:28:31] Speaker A: Si tu restes à Montréal, on t'oblige à t'acheter un scooter. [00:28:33] Speaker B: Faut que le gouvernement se mêle de nos vies encore un petit peu plus. [00:28:36] Speaker A: Un vendeur de scooter, lui, il est pauvre. [00:28:38] Speaker C: Stationnement gratis pour les scooters, stationnement faux. [00:28:41] Speaker B: Le cher pour les chars. Liberté. [00:28:43] Speaker C: Ça va être ça, là. [00:28:43] Speaker B: On peut-tu, avec notre argent, le peu qu'il nous reste, faire ce qu'on veut. [00:28:47] Speaker C: Le Crabouin trouve que c'est une très bonne idée. [00:28:49] Speaker B: Elle, elle s'est faite polluer le cerveau par des profs. C'est une jeune ukamienne. [00:28:52] Speaker C: Ben oui. [00:28:53] Speaker B: Elle, elle a pas pris ça d'une boîte de Cracker Jack. Il y a quelqu'un qui a dit ça. Donc, la religion écologiste, les règles. Comme ce matin, d'ailleurs, dans la presse, tu l'as sûrement lu, Dan, parce que tu prêchais en faveur des sauterelles. Ah oui, je l'ai vu ça. Espèce de donnage de leçon de bouffe. Fidouda, humblement. [00:29:15] Speaker C: Comment il appelle ça? [00:29:16] Speaker B: Roulez, roulez là-dessus. Fidouda. Menez-vous de vos affaires. [00:29:20] Speaker A: C'est le même qui va nous les forcer les protéines végétales en augmentant le. [00:29:23] Speaker B: Prix des autres... Oui, mais ça augmente... ça Max l'a bien expliqué toutefois, que c'est le cheptel qui reste fixe. C'est pas une histoire de l'ordre mondial. [00:29:34] Speaker A: Non, non, je sais pas ce qui se passe. [00:29:35] Speaker B: Moi, je sais. Mais l'explosion naturelle des prix qu'on vit et qu'on déplore va nous amener à faire des choix. [00:29:44] Speaker A: C'est ce qui explique que les familles canadiennes n'ont plus le boeuf et les patates à chaque nuit. [00:29:50] Speaker B: C'est ça. [00:29:51] Speaker C: Un régime de santé planétaire. [00:29:52] Speaker B: Ils ont des grillons. [00:29:53] Speaker A: Hein? [00:29:53] Speaker C: Un régime de santé planétaire. [00:29:54] Speaker B: Ben oui. Ça fait du sectaire. [00:29:56] Speaker C: C'est pour la santé de la planète. [00:29:58] Speaker B: C'est ce que Radio-Canada nous présente ce matin. As-tu vu le graphique? La tarte verte qu'il appelle. C'est un graphique, on dirait l'ordre du temps solaire. Si tu te rapproches du centre, tu as la vérité, Dan. Donc une belle tartinade au grillon ce matin. Je vais prendre un grillon sauce fromage. [00:30:15] Speaker A: Oui, c'est le meilleur. [00:30:16] Speaker B: C'est le meilleur, regarde. [00:30:17] Speaker A: C'est le meilleur, ça dépend quel fromage tu prends. [00:30:19] Speaker C: Sauce fromage. Sauce grise. [00:30:21] Speaker A: Mais si tu prends l'Averti, l'Averti c'est parfait. [00:30:24] Speaker B: Comment? L'Averti c'est parfait. Parle-moi d'un fromage qui goûte à rien. On va prendre du plâtre après, à la place. [00:30:30] Speaker A: Est-ce que vos parents vous ont déjà chargé le loyer? [00:30:34] Speaker C: Non, je ne suis pas resté assez longtemps. [00:30:37] Speaker A: Moi, ça m'est arrivé. En fait, quand j'étais à l'école, Mes parents ne me chargeaient pas le loyer. Par contre, on me faisait très bien comprendre que j'habitais dans la maison, donc je devais faire partie des tâches ménagères. [00:30:50] Speaker B: Fais ton lavage. [00:30:52] Speaker A: Mon lavage? Fais la balayeuse. [00:30:55] Speaker B: Ouais, j'aime ça. [00:30:56] Speaker A: Le lave-vaisselle, il fallait pas qu'ils me le disent que c'était à moi de le défaire. [00:31:00] Speaker B: Maudit qu'on a de la misère nous autres avec ça. [00:31:02] Speaker A: C'était... [00:31:03] Speaker B: Maudit qu'on a de la misère avec ça. [00:31:04] Speaker A: C'était... J'avais des conséquences. C'était le même que je ramasse mes affaires. [00:31:09] Speaker B: Ton père était police. Pas par règle. [00:31:10] Speaker A: Là, ce que je vous parle, c'est les bouttes où j'étais chez ma mère, parce que mon père... C'est la fin de mon secondaire. Après ça, quand je suis rentré au Cégep, je suis rapidement parti en appartement. Par contre, je suis retourné chez mon père suite à deux séparations. Je suis retourné deux fois chez mon père. Oui, ça arrive. Parce que quand tu te sépares, une chance sont là, nos parents. Et là, mon père m'a chargé le loyer. Par contre, je travaillais. [00:31:32] Speaker B: T'avais un job à temps plein, c'est normal. [00:31:33] Speaker A: J'avais une job. Il me chargeait le loyer. [00:31:35] Speaker B: Faut que tu payes l'épicerie un peu, là. [00:31:36] Speaker A: Puis il faisait mes lunchs. Tu dis quoi? Ça me faisait plaisir de le payer. [00:31:41] Speaker B: Ben oui. [00:31:42] Speaker A: Mon père s'est occupé de moi pour vrai, mes deux séparations, quand je suis allé. Mais oui, il y a beaucoup de parents qui demandent loyer. [00:31:49] Speaker B: C'est à quoi ça nouelle chez la police? [00:31:50] Speaker A: C'était le pire, c'est que c'était pas des sandwichs, là. [00:31:53] Speaker B: C'était quoi? [00:31:53] Speaker A: Ils me faisaient des poitrines de poulet aux champignons, des... Tu sais, mon père faisait très bien à manger, là. Il me faisait des Christy Lunchs. [00:31:59] Speaker B: T'étais marié, c'était celui qui faisait à manger? [00:32:01] Speaker A: J'arrivais... J'arrivais... À la job, là, tu sais, la dernière fois que j'ai eu un séjour chez mon père, je suis parti du condo, cette fois, je suis arrivé chez mon père, il me faisait des lunchs, là. J'avais des plus beaux lunchs que les gars que c'était leur femme qui les avait faites. [00:32:15] Speaker B: Mais voyons donc! [00:32:16] Speaker A: Mon macaroni avait l'air d'être fait avec plus d'amour. [00:32:20] Speaker B: T'ennuies-tu? [00:32:22] Speaker A: Ben oui, je m'ennuie. Ce bout-là, là, on déroge un peu. [00:32:27] Speaker B: Du... Ben oui, mais c'est une émission de psychologie également à Montréal. [00:32:31] Speaker A: Mais ce bout-là où j'étais quand même, c'est avant ma blonde actuelle, ça date d'il y a 15 ans à peu près. Je me retrouve le cul à l'eau suite à une séparation. Mon père est au Mexique pour tout l'hiver. Fait qu'il a une maison disponible. [00:32:48] Speaker B: Oui. [00:32:49] Speaker A: C'est un naturel. Lui, ça fait son affaire, il va avoir quelqu'un dans la maison. J'y vais, j'arrive là. Ben, à un moment donné, il revient du Mexique, lui. [00:32:56] Speaker B: Oui, oui. [00:32:56] Speaker A: Et ce moment-là, c'est un des plus beaux moments de ma vie. C'est moi là, pis je pense que lui c'est la même chose aussi. C'était le fun. C'était vraiment le fun, tous les deux dans la même maison. On a dit des niaiseries. [00:33:08] Speaker B: Deux garçons. [00:33:09] Speaker A: Ouais, c'était assez drôle. [00:33:10] Speaker B: T'étais garçon, comme on dit. [00:33:11] Speaker A: J'étais garçon, j'étais garçon. [00:33:13] Speaker B: Et lui aussi, visiblement. [00:33:14] Speaker A: Ben non, lui non. [00:33:16] Speaker B: Ah il avait sa blonde, mais sa blonde n'était pas avec vous autres. [00:33:19] Speaker A: C'est ça, on passait des beaux moments père-fils. [00:33:21] Speaker B: On regardait... Beaucoup de TV d'après moi. [00:33:23] Speaker A: On regardait la TV, on bitchait tout le monde, c'était parfait. [00:33:27] Speaker B: Ouais, il y a un coach à bitch, Sylvain. [00:33:28] Speaker A: C'était malade. [00:33:30] Speaker B: C'était le père, c'était le fils. [00:33:31] Speaker A: Mais oui, effectivement, ils me chargeaient un petit loyer, c'est règle, avec raison. [00:33:35] Speaker B: C'est normal, je travaillais à temps plein. [00:33:36] Speaker A: Ce vidéo-là, faites le tour du Québec. [00:33:38] Speaker H: Je voulais savoir, est-ce que pour vous, c'est normal que des parents pompent leur enfant pour rester à la maison? Pour moi, ce n'est pas normal. J'ai la chance d'avoir des parents qui pensent comme ça. Je pense que ça vient du fait qu'on est arabe. Tantôt, j'ai vu une vidéo d'une femme qui s'était trompée par son conjoint. Pour rester chez ses parents, il fallait qu'elle paye. Tout le monde était d'accord avec ça, sachant qu'elle a vécu une situation traumatisante. Son conjoint l'a trompée avec une mineure. [00:34:06] Speaker A: Donc on a créé une espèce de... je sais, l'histoire conjointe l'a trompée. Ça n'a rien à voir. Ça n'a rien à voir. [00:34:13] Speaker B: Rien à voir dans l'histoire. [00:34:13] Speaker A: Mais elle, elle s'est retrouvée toute seule sur son île beaucoup à essayer de défendre ça. Oui, c'est normal, tabarnouche. Tu sais, tu peux pas accueillir un adulte chez vous, qui plus est, avec un enfant dans ce cas-ci, puis penser que t'es capable d'assumer tout ça sans briser ton livre d'avis. [00:34:27] Speaker E: Ben c'est l'épicerie. [00:34:28] Speaker A: Ben c'est ça, c'est l'épicerie. [00:34:29] Speaker B: Nous autres, on fait un compromis parce qu'on a les deux enfants, le deuxième travaille à temps plein. Par contre, Il prend son cash pis il le garde pour une maison. Ça, ça peut être raisonnable à cet effet-là. C'est sûr qu'à un moment donné, rendu à 38 ans, on va avoir une discussion. Mais là, il a 21, il se ramasse de l'argent pour une maison. Donc ça, c'est... Ça, là-dessus, on s'est mis d'accord que c'est une bonne entente. [00:34:55] Speaker C: Ouais, j'ai un de mes chums qui a fait ça. Il a fini son université. Il est resté un an ou deux de plus, je pense, si je ne me trompe pas, chez sa mère. Elle a pillé du cash. [00:35:05] Speaker B: C'est ça. [00:35:05] Speaker C: Elle a pillé son cashdown. [00:35:06] Speaker B: T'en plais ça? [00:35:07] Speaker C: Il est parti en maison direct avec sa blonde. [00:35:09] Speaker B: Voilà. [00:35:10] Speaker A: Est-ce que l'historien Alexandre Dumas, L'historien Alexandre Dumas, c'est le gars qui arrête pas de... Il est très, très, très, très, très à gauche. [00:35:20] Speaker B: Un troll. S'appelle-t-il Alexandre Dumas? [00:35:24] Speaker A: Oui, il s'appelle Alexandre Dumas. Il s'appelle Alexandre Dumas pis il est vraiment... [00:35:28] Speaker B: Il met en arme. [00:35:29] Speaker A: Oui, il met en arme, mais il est vraiment de gauche. De gauche, de gauche, de gauche, de gauche, beaucoup. Pire que Nickette. Oh oui! [00:35:39] Speaker B: Nickette qui trouve le moyen quand même de bitcher Alexa. qui a trouvé un crotté du fédéral qui lance des bombettes dans les églises. Faut le faire. Ça fait partie, ça en a dit beaucoup sur le gars. [00:35:53] Speaker A: Alexandre Dumas, c'est Xavier Camus avec un diplôme d'histoire. Ok. [00:35:57] Speaker B: C'est bon. [00:35:58] Speaker A: Dites-moi si vous trouvez que ça se fait partager ce genre de joke-là. Dernière heure. C'est lui qui l'a partagé. Alexandre Bissonnette. s'intéressait à nouveau à la politique québécoise. Il apprécie le ministre Berge et le premier ministre s'intéresse aussi au narratif de PSPP du PQ. Il aimerait s'impliquer auprès de l'un de ses deux partis dès sa libération conditionnelle. [00:36:23] Speaker B: Une histoire inventée. [00:36:24] Speaker A: Ben oui, c'est une histoire inventée, c'est une joke. [00:36:26] Speaker B: Il sera jamais libéré de manière conditionnelle de par ce qu'il a fait. [00:36:29] Speaker A: Mais c'est pas ça. [00:36:30] Speaker B: Ça on vous le dit d'avance, là, si on veut parler de ce sujet-là. [00:36:34] Speaker A: Des actes terroristes, y'en a pas eu une tonne au Québec. [00:36:37] Speaker B: Non. [00:36:38] Speaker A: Y'en a eu un. [00:36:39] Speaker B: C'était pas légalement terroriste, mais on s'entend. [00:36:43] Speaker C: Juste parce que c'est compliqué. [00:36:44] Speaker B: C'est une tuerie. [00:36:45] Speaker A: Oui, c'est une tuerie. [00:36:47] Speaker B: Je touche pas à ce sujet-là. [00:36:48] Speaker A: Mais c'était sa ligne d'être décrété comme un terroriste. [00:36:52] Speaker B: Oui, tu touches pas à ce sujet. [00:36:53] Speaker A: Il a mis un pied sur sa ligne. [00:36:54] Speaker C: T'as lui pis t'as l'épine. [00:36:56] Speaker A: Puis Lortie, Mario Lortie. Là, tu te retrouves dans une situation... Denis Lortie, oui, Mario. Mario, c'est le gars... [00:37:02] Speaker B: C'est la record tech, c'est le Nazareth. Puis Journey, puis Judas Priest. [00:37:06] Speaker A: C'est bien correct. Mais d'utiliser cet événement-là pour faire un. [00:37:13] Speaker B: Gag... Non, c'est un salaud, là. [00:37:14] Speaker A: Pour parler des politiques migratoires... Non, c'est un salaud. [00:37:17] Speaker B: C'est un salaud. C'est un salaud. [00:37:19] Speaker C: C'est parce que les traités de nazis, c'est plus assez. [00:37:22] Speaker B: Ouais, c'est ça. Exact. C'est devenu quasiment banal. C'est un salaud, là. Et d'ailleurs, PSPP... [00:37:28] Speaker C: Il va-tu être encore invité? [00:37:29] Speaker B: Il fait un point de presse au complet pour dire... On a dit que j'étais l'un, masse, le ci, le ça... Si vous voulez que je fasse de la radio et que je prenne toutes les insultes que j'ai reçues depuis que je suis à Radio X, les amis, ça va être très éreintant. [00:37:42] Speaker C: Tombez pas dans la victimisation non plus. [00:37:44] Speaker B: C'est ça. Il y a des débiles, il y a des crétins, il y a des fous. Et je pense qu'au Québec, il y a une forte proportion. Maintenant, je n'ai pas de sondage à l'effet qu'en Bulgarie, il y en a moins qu'au Québec. Ça, c'est le genre de truc qu'on n'a pas sous la main. Mais au Québec, il y a une forte proportion de dos miens. On le sait. Maintenant, faites pas de point de presse comme PSPP ne l'a fait un hier ou avant hier. L'alarme à l'oeil. On m'a traité de Hamas. On m'a traité de Hitler. Ben oui, mais moi aussi. Bienvenue dans le club. Pis tous vous autres, pis moi je passe plus au cash parce que je portais tendeur de show, là. Avant, je travaillais avec Jeff, pis tout ça, mais on a mangé des baffes. [00:38:23] Speaker A: Ben oui. [00:38:25] Speaker B: Mais ça vient avec aussi, malheureusement, pis quand ça dépasse les bornes, Menace de mort, c'est là que tu passes à la deuxième étape. [00:38:32] Speaker A: Celui qui mange le plus de baffe cette semaine, c'est Sugar Sammy parce qu'il a accepté d'aller faire un festival d'humour à Riad. [00:38:39] Speaker B: Il a bien fait d'y aller. [00:38:40] Speaker C: Avec plein de gros noms. [00:38:42] Speaker A: Avec plein de gros noms. [00:38:43] Speaker C: Bill Maher avait dit il y a quelques semaines, parce que c'était déjà annoncé ce festival-là, puis c'était avant même qu'il essaye de... l'histoire de Kimmel, puis etc. Il disait « C'est moins dangereux de faire de l'humour à Riad qu'en Grande-Bretagne présentement. [00:39:00] Speaker B: » Tout à fait ! Tout à fait. Tout à fait! [00:39:04] Speaker A: J'entendais du monde hier dire c'est illégal faire des jokes sur les slams sur ces... [00:39:08] Speaker B: Là, vous connaissez pas Sugar Sammy, là. Pis t'as pas vu. [00:39:11] Speaker A: C'est parce que vous avez jamais regardé le festival de Rialt. Je vous confirme qu'il n'y a pas d'arrestation pis qu'il y en a des jokes, là. [00:39:16] Speaker C: Ben oui. [00:39:17] Speaker B: Sugar Sammy, c'est un fait parfait, là. [00:39:19] Speaker A: Ben oui! [00:39:19] Speaker B: Pis je reviens à Sugar Sammy. Il en fait des jokes saucés, là. Il va pogner quelqu'un qui ressemble à un arabe d'une salle. Les vidéos sont là, les amis. Oui! Il fait des jokes de terroristes. Oui! C'est... C'est le plus saucé, moi, que j'ai entendu. Moi, j'adore ça. J'adore ça, mais au Québec, Sugar Sammy, c'est le plus saucé. [00:39:38] Speaker A: Sugar Sammy, c'est le genre à dire, nous autres aussi, si nos femmes étaient aussi laides que les vôtres, on les couvrait. [00:39:43] Speaker B: Genre. Il a déjà fait quelque chose de. [00:39:46] Speaker A: Même, je suis convaincu. [00:39:47] Speaker B: Absolument. [00:39:48] Speaker A: C'est de l'humour, là. Je voulais pas te dire, Dan, non, c'est de l'humour. [00:39:51] Speaker B: Dan, il distribue toutes les baffes. Il va imiter Legault. Il va rire de Trudeau. Il est pas de gauche ou de droite, tu sais. Il passe tout le monde au cash. Oui, tout le monde est grêlé. J'adore. [00:40:03] Speaker C: Toutes les couleurs, toutes les origines. [00:40:05] Speaker B: C'est pour ça qu'il fait jaser de lui. [00:40:08] Speaker C: C'est le seul au Québec qui est allé. Dave Chappelle est là. La liste de gros noms, il faudrait que je les sorte toutes, mais il y en a une longue, longue liste. C'était déjà annoncé quand même d'avance. Puis, l'arabie saouzite, encore un PQ. Mais je ne sais pas par où il s'enligne exactement, mais il y a une espèce de libéralisation, je le dis avec des gros guillemets. [00:40:30] Speaker B: Les femmes ont le droit de conduire... [00:40:33] Speaker C: C'est récent. [00:40:34] Speaker B: C'est très récent. [00:40:35] Speaker A: Je pense que les riches arabes se rendent compte que ça se pourrait que le pétrole va être un peu moins cher d'ici 50 ans. Fait qu'ils essayent d'acheter ce qui est payant et la culture en fait partie. Le sport et la culture, ils veulent pas de révolution. [00:40:48] Speaker C: L'Arabie Saoudite se dirige plus vers le Qatar puis Dubaï que vers l'obscurantisme. [00:40:54] Speaker B: Trump est allé sur aussi, par contre, à début de semaine. Là, ils ont comme remarqué qu'il prend en compte son style au foot puis il fait des décrets. Ils ont comme allumé en retard, hier, sur la sortie, un décret, je sais pas si vous avez vu ça. « Quiconque attaque le Qatar aura une réplique militaire. » Ça, je pense que le message est passé du côté de Netanyahou. Mais c'est ça que je vous dis. Tu pars d'un bar et tu te rends de l'autre bar. C'est ça Trump. Tu sais pas où il va se garrocher. « I may send the army to Chicago. » Il l'a pas envoyé encore. Il répète ça depuis un mois. Ça joue dans la tête du monde. C'est l'enfer. Les politicos à Chicago. « No, he's not coming. He's not coming. We don't want it. » Il a rien fait encore. Trump, c'est le troll Godzilla. Par excellence. C'est complètement fou. L'histoire du Qatar, c'est ça aussi. Si t'attaques le Qatar, t'attaques les États-Unis. Christy, c'est ça aussi. Excusez-moi, le Qatar, il a charia. Mais lui, il va dire ça. C'est malade. [00:41:58] Speaker A: Ça reste à tester. C'est pas sûr que c'est Israël... Ben. [00:42:00] Speaker B: C'Est ça l'histoire, exactement.

Other Episodes

Episode

September 09, 2025 00:08:39
Episode Cover

ISRAËL PREMIER-TECH: Vous avez le droit de manifester, mais pas de CANCELLER, INTIMIDER ET HARCELER!

Listen

Episode

September 24, 2025 00:14:19
Episode Cover

STÉPHANE LEBLOND: L'opinion de Napoléon Woo rejoint celle de BEAUCOUP DE RÉSIDENTS DE ST-ROCH!

Listen

Episode

September 18, 2025 03:59:56
Episode Cover

Maurais Live - Intégral du 18-09-2025

Maurais Live - Intégral du 18-09-2025

Listen