Episode Transcript
[00:00:05] À 7h12. Qu'est-ce que j'aime à ce thème-là. Oui, il court, il est punchy. Comme nous autres, on est punchy. Mais on n'est pas si courts que ça. On s'endort d'infos cinéma. Moi c'est devant la télé, Chicago. Moi là, je me mets le cerveau à off, Chicago PD. C'est off, je pense plus à rien. C'est des polices, des bandits.
[00:00:28] puis ça brasse. C'est ça. Ma routine du vendredi soir, c'est de me réveiller à une heure et demie du matin avec une couverte que c'est pas moi qui ai mis là, toutes les lumières fermées. Et là, nous autres, moi je me couche des fois, puis je m'abrille. Puis là, minuit, il vient se coucher sur moi. C'est ça. Forget about it. Ma blonde, elle me réveille, elle dit t'as manqué l'épisode, tu l'écouteras demain pendant que je fais du toilet-travail. C'est plate pour les conjointes. J'ai fait la même chose. Ben oui, c'est plate pour les conjointes. On n'est pas...
[00:00:54] On n'est pas très très viril. On n'est pas présent, on n'est pas le sur le poste, mettons. C'est beaucoup l'inverse, par exemple. Toi, c'est parce que tu dors beaucoup. Moi, je me reprends le matin. Dan et moi, on a de la misère avec le sommeil d'après-midi, en tout cas, pour moi particulièrement, pour parler pour moi. Ben toi, tu te couches... Toi, t'as une routine... Moi, je me couche, je dors. Peu importe l'heure. Pas moi. J'essaie de me coucher mercredi, mais là, j'ai dans la tête, il faut que je parle à D.H., il faut que je parle à D.H., il faut que je parle à D.H. Finalement, À deux heures et demie, je me suis levé, je dis « Christy de la marde, m'as aller brancher le Comrex. » En fait, c'est pareil. Je me reprends. Je me couche à n'importe quelle heure, je dors, excepté les heures où je suis le plus éveillé, pis allumé, c'est environ entre 8h et 11h le soir. Hé, sacré fils, à 11h le soir. Je suis plus là, moi. Toi non plus, Dan. Non, non, moi, à 11h le soir... Forget about it, là, on est zombies. Je me suis couché à 11h lundi soir... On s'en recèle. À cause du Monday Night Football, pis je l'ai regretté, là. Moi, d'ailleurs, j'ai peur. Jeudi, je vais voir Brian Adams. Regarde, c'était une idole d'adolescent, là. On a troupé la chute, le Rod 2U pis ça. Mais le jeudi, c'est moins pire. Ouais, mais je vais le manger dans le poteau, ça roule. Je chante 35 tonnes. Mais le jeudi, c'est moins pire parce que d'abord, le vendredi, on est un peu plus festif. Ouais, ça, c'est... C'est la dernière journée. Tu donnes tout ce que t'as, 4 heures, après ça, c'est fini. Ouais, c'est ça. Exact. Fait qu'on verra. On verra ce que ça donne. Hé! Je vais vous faire entendre ça. Ratkan, en une minute, il vous résume très bien. Les rues partagées. Les rues partagées c'est quoi? Ben c'est l'agenda de Marchand. C'est, tu peux faire n'importe quoi dans la rue. C'est ça. Mais les autos sont pas interdites, donc on est pas anti-voiture. Mais tu peux te picher le ballon de football. Tu peux jouer à pétanque aux poches. Tu peux te promener en roulis roulant, let's go. Mais le camion de lait, il essaye de passer. Oui. Pis bonne chance. Je vous fais entendre ça, ça dure une minute. Mais écoutez ça, c'est ça que Marchand veut à Québec. Je me trouve en ce moment dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, à Québec, sur une rue partagée. Une rue partagée? C'est quoi ça? Une rue partagée, c'est un type de rue conviviale, en fait, où on demande à tous les usagers de partager de manière équitable l'espace en mettant notre énergie et en protégeant l'usager le plus vulnérable, le piéton. Ça nous permet, en fait, de réaliser plusieurs objectifs dans un espace qui est très restreint. On va parler d'apaisement de la circulation, on va parler de conserver un cheminement continu, sans obstacles, convivial, quatre saisons, d'ajouter du verdissement dans des espaces où c'est très difficile. Ici, c'est priorité piéton. Les automobilistes, les cyclistes, comment ils doivent se comporter? Selon le Code de la sécurité routière, la rue Partager est une voie publique. où le piéton peut se déplacer sur la chaussée et ce, dans toutes les directions. Les automobilistes et les cyclistes, eux, doivent céder le passage au piéton et la limite de vitesse est fixée à 20 km heure. Le gars qui livre le lait de Nadrel, il arrive au bout de la rue, lui, il veut juste se livrer. Quand il va être rendu à l'épicerie, ça va être rendu du yogourt.
[00:03:56] Arrête, pars, je roule à deux kilomètres. Oh le roulier roulant. Oh la petite fille qui se promène avec un susson. Oh le grand papa avec la marchette. Voilà. Il baratte le beurre directement dans le truc. Ah carrément. Livrez juste du beurre, ça va bien aller. Naturel. Le lait est passé de mode. Mais c'est compréhensible. Mais c'est le projet. C'est le projet de marchands les amis. Si vous votez marchands, vous votez pour ça. Maintenant, les quotas au sujet. CRTC, les grosses audiences. Je suis contre les quotas, les obligations, les surveillances. On va le voir avec la CAQ qui va nous sortir les règlements sur Spotify. Regardez bien la réplique légale de Spotify d'ailleurs. La madame de Spotify est venue témoigner. Ça, ça n'a pas été très couvert. La madame de Spotify, la bosse, a dit qu'on ne veut pas de règlements.
[00:04:48] Parce que c'est ça que la CAQ va faire, la découvrabilité. Mettons pas le pichet en haut d'Oasis. Et là, les Autochtones s'en sont mêlés. Ils ont dit, OK, nous autres, on est tannés. Vous avez les francs-cocos des quotas, mais nous autres, on en veut.
[00:05:04] On veut du cash tin, obligé. 5%. Je vous fais entendre ça. C'est oui ou c'est non, les livers? On est dans le rap, on est dans le soul, dans tous les styles, dans le country, dans le rock, on est partout. Comment convaincre? Il y a des radios qui trouvent que le 65% de musique francophone, c'est trop. Comment les convaincre qu'ils voudraient descendre ça à 40% pour la musique francophone? Comment les convaincre d'avoir un quota de 5% pour les musiques autochtones? C'est facile à convaincre. On est nulle part. On a des langues millénaires. On est venus ici depuis longtemps. Tu sais, t'as un quota francophone, t'as un quota anglophone autochtone. Elle est où là-dedans? Oui ou non.
[00:05:49] J'aime pas les règles, les obligations, les carcans, les camisoles de force. Moi je cherchais fortement hier soir comment rendre ça, rendre la vie encore plus difficile aux radios musicales qui restent. En même temps, sais-tu quoi? Come on! C'est vrai qu'il y a de la musique autochtone meilleure que de la musique francophone qu'on fait jouer à l'heure actuelle. Ben oui, ça se peut, en effet. Il y a beaucoup de... Allez-y avec le choix du diffuseur. Enlève le 65, ça se peut qu'il va en jouer un peu. C'est ça, libérer... Puis c'est ça que les grands diffuseurs veulent au final, c'est de se libérer des comptes-là. Ils ne sont plus capables de vivre les radios musicales because of Spotify. La meilleure chose qui pourrait arriver, ok, je vous le dis là, la meilleure chose qui pourrait arriver à la culture musicale au Québec, ce serait que les directions de stations de radio redonnent la programmation à des gens de radio plutôt qu'à des comptables. Ça, ça pourrait être bon. Ça pourrait être très très bon. Parce que moi j'ai connu l'époque où les directeurs musicals écoutaient la toune Puis c'est lui avec son pif qui jugeait si oui ou non il allait la mettre en onde. Mais j'ai aussi connu l'époque où, ah si Énergie joue à la toune, on va la jouer. Tu sais, il y a deux... Il y avait deux façons de faire, on a changé de façon de faire. Sur le multiculturalisme, tout mon respect aux Premières Nations, ils étaient ici avant.
[00:07:05] Ok, ça c'est clair, puis je vais mettre ça clair, c'est ce que je pense. Maintenant, je suis contre les quotas. Mais ce que je crains, ce que je crains, dans la mentalité diversitaire actuelle, qui est devenue presque une religion, le multiculturalisme, vous avez la communauté Punjab, du Punjab, donc des Indiens de l'Inde, en Ontario, qui ont mis beaucoup de pression sur la CBC pour avoir Hockey Night in Canada, en Punjabi. Ils l'ont depuis des années. Donc, c'est what's next, moi, là. C'est le 1%. Là, vous allez avoir l'association de la communauté chinoise, l'association des Arabes du nord de Toronto. Nous, on veut 1%, on veut 1%, on veut 2%. Nous, on veut un quota en fonction de notre importance démographique.
[00:07:59] Je voudrais pas que ça glisse, là. C'est juste ça que je dis. Mais moi, j'en veux pas de quota. À un moment donné, j'avais déjà entendu dire que le CRTC libéraliserait tout. Mais là, je suis plus rendu à entendre le CRTC vouloir contrôler le web, contrôler ci, contrôler ça. Ça va peut-être pas dans la bonne direction. Mais qu'en sais-je? On va aller parler aux grands prêtres de la CSQ qui nous disent que c'est pas nous les méchants. Monsieur Legault s'est présenté ce week-end comme un boxeur qui est habitué d'encaisser les coups. Est-ce que vous y croyez à Rocky Legault? C'est une bonne question, mais là nous on ne sera pas Drago.
[00:08:39] Et il y a une raison pour ça. Parce que c'est pas nous les super-vilains. C'est pas nous les méchants. Maintenant, est-ce qu'il veut jouer cette carte-là? C'est correct. Est-ce que ça le motive? Peut-être. Mais la réalité, c'est que les collègues syndiqués font au Québec ce travail de contre-pouvoir. Et ça, ils semblent pas aimer ça. Alors, qu'est-ce qui se passe? C'est des lois sous baillon. C'est tasser la réglementation. C'est s'assurer qu'il va vite, vite, vite. Parce que pendant 7 ans, Il a pas pris les bonnes décisions. Alors là, il veut tasser les contre-pouvoirs, tasser les critiques, alors que c'est pas ce que les Québécoises et les Québécois veulent. Ils ont dit non à Poitlièvre. Ils disent non à Donald Trump. Ils disent non à ce virage de droite-là. Eh bien, nous, ce qu'on dit, et ce que les Québécoises et les Québécois disent dans les sondages, c'est non à la coalition Avenir Québec, même sous un nouveau jour de Rocky avec sa cape. Malheureusement, là, on va au travers. Rocky avec sa cape. Drago, les super vilains. De quoi tu parles? Les super vilains, c'est l'expression de DC Comics. Super villains. On mélange tout. Mais la campagne pro-PQ est commencée. Ben oui. La campagne pro-PQ est commencée. Là, ce ne sera pas les super vilains, mais ça va être plutôt les... Comment ça s'appelle?
[00:09:57] Une super-amie? Non, non! Ben ça, t'as Super Friends, c'est une petite boîte à linge jusqu'à coin de tête de cul. Non, mais les... pas les Avengers, mais le pendant de DC, c'est quoi donc? C'est... Ah, les... Ah, mais... Pas la Légion, la... comment tu l'appelles? DC Comics? Non, non, non, non. Non, mais t'sais, la gang qui sont toutes réunies là. Batman, Superman et compagnie là. Quand ils sont ensemble. T'as les Avengers du côté de Marvel. Ah, j'ai un blanc. Mais du côté de DC, c'est quoi? Ils ont refait le film. Ouais, je sais.
[00:10:26] J'ai un plan! Moi aussi, les livers! The Justice League! Oui! Merci! Donc, eux seront la Justice League du PQ. Là, ils tapent sur la CAQ. Mais quand PSPP et les sondages le confirment vont faire campagne, il y aura bien entendu Justice League pour venir l'aider. Je vous dis beaucoup, beaucoup de Montréalais, quand on regarde tout le climat politique, ils sont vraiment écoeurés. Je suis sur la rue Beaubien.
[00:10:55] Je suis un des frères des commerçants ici. Je pense que la ville est devenue complètement ridicule. Pourquoi est-ce que vous avez besoin de 130 pieds pour un autobus qui est juste en arrière d'ici, 130 pieds pour aller jusqu'à l'assassinat? OK? Ça n'a pas de sens. On a perdu trois stationnements devant des commerces. Est-ce que vous êtes ici pour réunir les commerçants? Parce que ça, c'est que ce que vous faites dans la ville. OK? Depuis 60 ans, l'autobus a toujours commencé ici. Toujours commencé ici depuis 60 ans. Pourquoi est-ce que maintenant vous avez besoin d'un autre 50 pieds pour voler des stationnements à des commerçants? C'est complètement ridicule. Puis j'espère que quelqu'un va faire quelque chose. La gauche extrême qui fait son chemin, et qui fait son chemin à Montréal. Il y a vraiment de la grogne. À Québec, il va falloir grogner aussi. Il va falloir se réveiller parce que c'est ce qui s'en vient dans le deuxième mandat marchand. Aimes-tu de dernière, Dan? Peut-être de 2, 3, 4 petites dernières. Moi, je te laisserais un 3 minutes. Fait que tu vas en prendre 4. C'est-tu 3 US? 2-3 US, c'est 3 euros. Ok, on écoute... L'ONU c'est une farce après tout. On va y aller un petit peu plus international. Il y a quand même une certaine hypocrisie mondiale. Moi, vous savez, j'aime bien venir avec mes chiffres. Je vais vous rappeler toutes les condamnations de l'ONU entre 2015 et 2025. Alors Israël, 173 condamnations de l'ONU. Et puis ensuite, on va bien s'accrocher, l'Afghanistan des talibans, 1. Venezuela de Maduro, zéro. Le Hamas, zéro. L'Algérie, zéro. L'Arabie Saoudite, je rappelle quand même pour les téléspectateurs que l'Arabie Saoudite a bombardé massivement le Yémen parce que de l'autre côté la République Islamique finançait les Houthis. C'est 350 000 morts, un enfant qui mourrait toutes les 11 minutes et plus de 30 millions de personnes qui crèvent littéralement de la famine et les Houthis qui bloquent aussi l'aide humanitaire qui doit parvenir au Soudan mais tout ça on s'en fiche parce qu'il n'y a pas de... de juifs dans l'équation. La République islamique d'Iran et tous ses proxys terroristes, 10 condamnations. Donc si vous faites le calcul de tous les pays du monde, de toutes les dictatures et des millions de vies qui ont été perdues à travers le monde dans les guerres, et bien vous n'atteignez même pas un centième des condamnations qui concernent Israël. Donc je pense qu'on voit assez clairement finalement que l'ONU est devenue quand même une farce. L'ONU est une farce monumentale. Quel président français disait que c'était un machin? Le machin.
[00:13:30] Je pense que c'est le général de Gaulle. C'est un machin. C'est une bébelle. C'est une cochonnerie. Et pendant ce temps-là, les pro-palestiniens délirent et intimident la police de New York. Tout va bien, tout va bien. Tout est permis. Devant les policiers. C'est la ville de 9-11.
[00:14:00] Quelle bande de fricots !
[00:14:21] Non, c'est des folles. C'est des fous, c'est des folles, c'est des dangereux, c'est des violents. Pour vous expliquer l'image, la fille est complètement voilée avec une grosse banderole carottée rouge et blanche. Pro-terroriste. Absolument. Et c'est comme lasagne avec le sergent. Il est proche de même de la police. Pis les policiers, c'est comme... Ils font filmer, fait qu'il faut qu'ils se tiennent drettes. Pis c'est comme les gardes anglais, là. Ils ne bougent pas d'un iota. Ils se font crasher d'en face, pas se tienner d'en face. Ils ne bougent pas. Mais à un moment donné, il y en a un, il se revire en arrière, il regarde son collègue, pis il dit « On change de place, j'étais à veille de la tuer. » Tu vois qu'il y a une permutation qui se fait entre les deux policiers. Mais il y a... Puis le policier en question qui se retire, qui a visé au départ, au bout, qui s'appelle Rafid, je pense. Parce que c'est un arabe. C'est un arabe. Je sais pas si c'est un musulman, mais c'est un arabe. Qui se fait accuser d'être un prêtre. Oui, exactement. La ville de 9-11, les amis. Si vous allez à New York, allez voir le musée 9-11. Le musée est incroyable. Je vous parle pas du memorial, je vous parle du musée. C'est incroyable.
[00:15:31] C'est incroyable. Moi, j'avais vu au Newseum, ça n'existe plus, c'était à Washington, les pages du Coran des terroristes qui ont été saisis par le FBI dans les chambres d'hôtels menant à l'attaque du 11 septembre avec l'explication très claire que le fondamentalisme religieux extrême a mené à ça.
[00:15:57] C'est fou, mais faut l'enseigner, ça. On est vraiment en train de délirer, joliment, avec Mamdani, qui risque d'être maire. Je vais vous laisser avec un petit peu d'amusement. Tiens, la mairesse, je vous ai parlé du maire de New York, la mairesse Chow. Faut voir la vidéo. Faut voir la vidéo. Non, mais Chow est délirante. C'est la veuve à Jack. Jack est en haut, il regarde, puis il dit, regarde, je reste ici. Elle fait ça chaque fois que je vois une vidéo. Vous allez écouter sa recette de tacos, ce qu'elle met dans ses tacos.
[00:16:24] Pis imaginez-la en train de danser, pareil comme la sœur à bébé dans Dirty Dancing. C'est... Je peux pas croire que tu m'aimes. C'est une crackpot. Toronto dans le top 5 des villes en Amérique du Nord, ok? Toronto, way up there avec L.A., New York, Chicago et Houston.
[00:16:47] ça a-tu pris la place de Houston dans le classement, là? Regardez, Toronto, s'agit d'y aller pis s'en rendre compte. T'sais, y'a une heure, là, Toronto, mais t'es à Toronto, là. T'sais, tu roules, tu roules, tu roules, t'as plus d'espace, là, c'est des gros... Pis là, tu revois des gros buildings dans le fond. Hein, c'est quoi, ça? Non, c'est Mississauga, là, on est pas arrivé. C'est... C'est gros, là, Toronto. Elle, c'est la mairesse. C'est la mairesse. C'est un coco de pâques, cette femme-là. Coco de pâques. Écoutez ça.
[00:17:13] J'ai eu une fête de tacos, où j'avais 10 ingrédients différents, et ensuite la salsa, le guacamole, les différents légumes, les différents salades, les différents fromages, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, poisson, puis le poisson, poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, puis le poisson, poisson, puis le poisson, poisson, puis le po Et on a également eu la réaction de Jack Layton au ciel qui dit «Christie que j'suis ben!» Et vous êtes dans Montréal.