GARY: Dépenses immorales de Marchand: "JE FAIS RAYONNER QUÉBEC ET NOTRE CULTURE!"

October 03, 2025 00:16:30
GARY: Dépenses immorales de Marchand: "JE FAIS RAYONNER QUÉBEC ET NOTRE CULTURE!"
Maurais Live
GARY: Dépenses immorales de Marchand: "JE FAIS RAYONNER QUÉBEC ET NOTRE CULTURE!"

Oct 03 2025 | 00:16:30

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[00:00:00] Speaker A: S'embrasser hier. Il y a des journalistes qui font le travail, on va le dire. Zoé à TVA, Belan de la presse. Il y en a d'autres qui sont pas clings, qui sont pas propres. Il y en a qui... font semblant. [00:00:13] Speaker B: Que ça existe pas. [00:00:14] Speaker A: ...Pêchent par action ou par omission, donc qui nous dénigrent ou qui font semblant que ça n'existe pas. Salutations. Au gars de nouveau également, Bois-Vin, qui y va extra-sauce. Ça c'est mon style. Quand j'avais le micro de la main sur le terrain, il y a une vingtaine d'années, j'étais un babeu comme ça. Avec entre autres, je me souviens très bien, je raconte ça vite de même, le maire de Gatineau quand j'ai quitté Radio-Canada, Il a fait une vidéo qu'il a jouée lors de mon souper d'adieu à Radio-Canada et il m'a dit bon débarras, Yves Ducharme, le maire de Gatineau, que j'écoeurais. J'aimais ça dans ce temps-là, mais ça se fait longtemps, c'était en 97. Aujourd'hui, c'est la même affaire. Vous avez un boivin qui fait sa job, qui est baveux, mais il y en a d'autres qui s'assoient sur leurs deux mains. Et vous avez le témoin numéro un de toute cette scène qui s'appelle Gary, qui est avec nous autres ce matin. Comment ça va, Gary? [00:01:10] Speaker C: Salut des Swifties, comment ça va ce matin? [00:01:12] Speaker A: Ouais, ben là, peut-être qu'il y a des Swifties qui t'entendent, qui te saluent. Tiens, on est le relais. En tant que Swiftie, dis-le donc, sur 10, c'est combien l'album? [00:01:21] Speaker C: Ah, 5. [00:01:23] Speaker A: Hé! OK. [00:01:25] Speaker C: Ah non, non, c'est ça. Il va falloir que je le digère mieux, mais pour l'instant, ça ne me rejoint pas. [00:01:30] Speaker A: Taylor n'est pas de bonne humeur. [00:01:31] Speaker C: Ben non, mais je suis l'homme de deux albums. Le dernier, puis 1989. Moi, je le dis seulement que c'est le meilleur de Taylor. [00:01:38] Speaker B: OK, fait que toi, t'aimes les albums qui ne pognent pas. [00:01:40] Speaker C: Ben, 1989, c'est quand même son trailer, c'est l'album qu'il a le plus vendu. Mais j'accepte la critique, Dom, ça me fait plaisir. [00:01:48] Speaker A: Là, on a des extraits à jouer, puis j'aimerais ça que tu nous guides dans la journée d'hier, et ensuite, on va jaser avec Renaud, qui va remettre les pendules à l'heure. Renaud, qui s'est fait salir et diffamer par le maire de Québec. Mais commençons par le début, raconte-nous cette journée, puis ton intervention va être jalonnée d'extraits savamment saupoudrés par notre légionnaire. [00:02:10] Speaker C: Juste vous dire qu'hier, il y avait un point de presse qui a été présenté dans le secteur de Cap Rouge, sur la rue Provencher, qui serait converti en avenue commerciale, un peu comme l'avenue Racine. [00:02:19] Speaker D: Provencher mal qui écrit? [00:02:19] Speaker A: Est Provencher qui est mal écrit? [00:02:21] Speaker C: Oui. [00:02:22] Speaker A: C'est vrai, pareil, c'est étonnant. Provencher avec un A. [00:02:26] Speaker C: Oui, oui, c'est ça, au niveau de l'orthographe, c'est un peu mélange. Mais c'est une des plus vieilles rues de Cap Rouge. Si vous descendez la cour de Cap Rouge, c'est suite à la lumière, vous tournez à droite. Donc le maire était installé comme ça avec son lutrin et tout. Le sujet du jour, c'était cette annonce-là, une annonce de 3,6 millions pour faire de l'animation sur les rues commerciales. Au deuxième tour de questions, je connais la façon de procéder. Souvent, je vais laisser des collègues poser des questions parce que tout dépendant du sujet, il y a comme une espèce de hiérarchie. Par exemple, si c'est une... une annonce sur les pistes cyclables, ça se peut que ce soit moi qui le pose, la première question. Si c'est une annonce un peu plus économique, ça va être peut-être un journaliste qui est plus orienté vers ça. Mais hier, tous mes collègues des autres médias, pour le deuxième tour de questions, avaient très envie de m'entendre parce que je suis arrivé dans mon carquois avec des flèches qui avaient été affûtées par nul autre que notre collègue Renaud Labrecq. Donc moi, la première question que j'ai posée, en fait, c'est sur les dépassements de son compte de dépense parce que le maire, pour qu'on comprenne bien, le maire marchand a une allocation par année de 19 422 $ qui est déjà inscrite sur son salaire, qui lui est versé comme ça. C'est ça. Il n'y a pas de justification à faire. Il s'achète un lunch à l'hôtel, une paire d'espadrilles, un veston. Tout ça, ça fait partie de son allocation. Par contre, ce que Renaud Labrecq nous a fait découvrir, c'est que M. Marchand a dépassé son compte de dépense ou plutôt son allocation de 5600 $ dans les trois années et demie qui viennent de passer. trois années et demie qu'il était au pouvoir et pour un total de 23 000 $. Et ça, moi, je me disais, ça mérite une bonne question, ça mérite un éclaircissement. J'ai posé la question au maire d'une façon très neutre. Vous avez dépassé votre allocation. Est-ce que vous êtes à l'aise avec ça? [00:04:27] Speaker A: On va l'entendre ça d'ailleurs. Je pense qu'on peut l'entendre. [00:04:29] Speaker B: Et juste avant, il y a un extrait que je veux jouer avant tout. Je veux rappeler ça, parce que ça met à la table pour tout le reste. C'est ce que JC et Renaud ont fait jouer plusieurs fois. La vieille citation de marchand qui dit que ses frais de déplacement en province, au Québec, pas juste à Québec, au Québec, il les charge pas. [00:04:48] Speaker D: Je limite, avant même qu'on limite, je limitais ce que je réclamais à la Ville. Moi, j'ai pas de frais de déplacement quand je suis au Québec. [00:04:54] Speaker B: J'ai pas de frais de déplacement quand je suis au Québec. À Québec. Au Québec. [00:05:00] Speaker A: C'est ce qu'il dit, là. [00:05:02] Speaker B: Donc là, oui, on embarque dans tes histoires. Attends-moi deux secondes. Ok, parfait. Donc, voici. [00:05:09] Speaker D: François, qui a été désigné. À l'attaque! [00:05:12] Speaker C: Peut-être à vous rapporter concernant une chronique que Renaud Labrecq a faite hier. [00:05:17] Speaker D: Quelqu'un de crédible? [00:05:19] Speaker C: Si vous doutez de sa crédibilité... Non. [00:05:21] Speaker D: J'En doute pas, j'en suis certain. [00:05:24] Speaker B: En partant, il s'est mis à insulter Renaud. [00:05:25] Speaker A: Oui, il discrédite, il l'insulte, puis il a de la diffamation dans une certaine mesure. Mais la diffamation, on s'en fout. On s'entend qu'il ne traite pas de pédophile, mais il discrédite en partant. [00:05:36] Speaker B: Il n'est pas crédible, c'est ça. [00:05:37] Speaker A: Donc, il discrédite son message. Il ne dit pas comme moi, il n'est pas crédible. C'est ça. Exact. [00:05:44] Speaker C: Et la plupart du temps quand je l'aude une question avec Renaud Labrecq en prémisse, bon tel que Renaud Labrecq nous l'a annoncé sur les zones de Radio X, tel que vu sur le Facebook de Renaud Labrecq, c'est toujours une question que je deviens un peu tout seul dans mon coin. Je pose une question, soit qu'on me dit sujet du jour, François sujet du jour, ou encore on me dit, ben là, Renaud Labrecq c'est une petite ville, c'est quelqu'un de pas crédible, mais pour la première fois en fait, Hier, dans le secteur des Cap-Rouge, d'autres journalistes ont renchéri comme ça suite à ma question. Donc les autres sont arrivés en sous-question. Je vais faire du pouce sur la question de M. Radio-X, mettons, ou de François. Et là, j'ai senti comme une espèce de désir de la fratrie, en fait, ou plutôt de la communauté ou de la meute des journalistes de Québec de répondre, ou plutôt de poser des questions. Et surtout d'entendre les réponses du maire. Parce qu'on le sait, ce n'est pas illégal, mais il y a matière à questionnement. Il y a quand même une super allocation. Si elle défonce, on peut se demander pourquoi, dans quel contexte, pour quelle raison. C'est tout simplement ça qu'on a voulu éclaircir hier dans ce point de presse-là. [00:06:51] Speaker D: En quoi c'est pertinent que le maire de Québec soit là? C'est quoi la justification? Alors, le maire d'une capitale, par rapport à la culture québécoise, on a jugé que sur quatre années d'être allé une fois, alors qu'on était invité à chaque année, c'était un minimum pour aller encourager nos artistes, parler de culture et représenter la Ville de Québec. Mais qu'est-ce que ça apporte à la Ville de Québec, aux contribuables? Qu'est-ce que ça l'apporte? Vous êtes sérieux, ça? De représenter la ville, qu'est-ce que ça l'apporte? D'être capable... D'aller, d'être présent au Gala de la 10, cette dépense-là rapporte quoi au contraire de la ville? Tout le contraire d'être absent. Dans un milieu culturel en effervescence, où on veut que les gens créent à partir de Québec, où on veut souligner la vitalité culturelle, où on veut faire en sorte de mettre en lumière ce qui se passe ici, parce que dorénavant, les artistes restent ici, parce qu'ils se créent à partir de Québec. La musique, du théâtre, les acteurs restent ici. Bien, c'est d'encourager une culture par le rôle de maire, et d'être capable de dire dans ce cas-là, dans le cas de la fête de la musique, de venir souligner l'engagement des gens d'ici, de parler de Québec, de faire rayonner Québec, et de ramener à Québec des intérêts. [00:07:52] Speaker B: Donc moi, je vais te traduire ça, là. Qu'est-ce que ça rapporte? Rien. [00:07:56] Speaker A: S'il va pas tout se foire. Voyons donc! [00:08:01] Speaker B: Il y a plus de culture à Québec s'il va pas. [00:08:02] Speaker A: Il est donc bien prétentieux, lui. Mais ça a continué, ça a dégénéré avec Bois-Vin. [00:08:07] Speaker B: Minute, je vais dire comme j'ai dit hier par exemple, on a appris il y a deux jours qu'il était allé à ce gala-là. Ça a eu de l'impact solide. [00:08:16] Speaker A: Oui, c'est ça, il y a eu vraiment des répercussions. Ça a vendu des disques, c'était effrayant. Je veux que tu nous parles de Bois-Vin de nouveau. [00:08:25] Speaker C: C'est anecdotique, un maire qui est présent à la 10, on peut en jaser, mais il y a eu un point de rupture hier dans le point de presse, là où le maire a snappé, c'est quand collègue Boivin de Nouveau qui a comparé les habitudes du maire à celles de Marie-Antoinette. Marie-Antoinette, on lui a quand même coupé la tête parce que le peuple français crevait de faim pendant qu'elle mangeait des homards. [00:08:49] Speaker A: Il donne un show, il laissait le faire le gars de Nouveau. [00:08:53] Speaker C: – Bien Mathieu, il est comme allé au bout de la traile, au bout de l'argumentaire. Je vous rappelle que c'est lui qui avait un peu relevé la pierre de l'affaire Lise Thibault, qui avait été reconnue coupable de fraude, parce que rien de moins qu'une madame qui s'en remplissait les poches. Et là, quand le maire, en fait, lorsqu'on a comparé ses habitudes à Marie-Antoinette, mais surtout à Lise Thibault, c'est là que le maire a vraiment snappé. [00:09:18] Speaker A: – Bien c'est sûr. [00:09:19] Speaker D: Non, là, Mathieu Boivin. Mathieu Boivin, vous êtes sérieux, là. Ça fait Marie-Antoinette. Mathieu, vous êtes sérieux. Non, mais... Non, je suis pas d'accord avec vous. Je suis pas d'accord du tout avec vous. Il y a une apparence fâcheuse. Pourquoi? Parce qu'on va représenter, on donne une conférence au Saguenay pour parler de Québec, pour faire rayonner Québec. Il y a une apparence fâcheuse à payer des frais d'hôtel à quelqu'un qui va nous représenter. Les sous dans la loi sont prévus pour toutes les représentations qui se font. dans la région où le maire est, avec un périmètre en kilomètres. Fait que tout ce que je fais ici, que ce soit mes restaurants, que ce soit n'importe quoi, il n'y a rien qui est chargé. La plupart de mes dépenses à l'extérieur ne sont pas chargées non plus. Certains frais sont chargés, comme vous le voyez. Vous ne pouvez pas dire que ça fait maire Antoinette, vous n'êtes pas sérieux là. Ah non, Mathieu, Mathieu, Mathieu, sincèrement. Mathieu, vous poussez là. [00:10:06] Speaker A: Si ça ne fait pas maire Antoinette. [00:10:10] Speaker C: Elle au moins fournissait ses factures. [00:10:12] Speaker A: Ouais, elle écrivait ça sur un vieux bois de nylon. Pis, va le donner, on s'amuse là, mais c'est sûr que Lise Thibault, l'histoire c'est qu'elle mangeait à deux plats en même temps. [00:10:23] Speaker B: Oui. [00:10:23] Speaker A: Ce qu'elle n'a pas fait quand même marchand. On va quand même être honnête là. C'est correct. Mais rayonner, c'est pas grave. C'est pas grave, si la sauce déborde, vous avez juste à prendre un escorte-towel. [00:10:33] Speaker B: Faire rayonner Québec dans une réunion de centraide à Saguenay, là. [00:10:38] Speaker A: C'est la marde, là. Ça va être beau, là. Même au gala de la disque, là. [00:10:40] Speaker B: Même au gala de la disque. [00:10:42] Speaker A: Notons en terminant que Sam Ahmad, bien que sa performance fut-elle honorable, étant soit peu, a soigneusement évité de parler du compte de dépenses de marchands alors que Nouveau en parle, évidemment Radio X en parle, TVA en a parlé, La Presse en a parlé, lui est en débat face-à-face avec lui, il est dans les rings, il en parle pas. [00:11:05] Speaker B: Radcan fait que ça existait pas. [00:11:08] Speaker A: Ouais tes amis de Radcan, Loulou et compagnie, t'en dis quoi? [00:11:13] Speaker C: Ben Louis était pas là, je peux pas lui rien dire sur son travail dans ce dossier-là. Mais non, il n'y a pas eu de couverture. Non plus, il était absent. C'était un autre journaliste que je ne connais pas. Mais il y a eu vraiment, je pense, pour une des premières fois, je peux témoigner du fait qu'il y avait un désir de faire du pouce sur ma question. Puis je vous rappelle que c'est une histoire qui a été diguée, qui a été découverte ici, sur nos ondes, avec Renaud Labrecq. Donc je pense qu'à ce niveau-là, on peut quand même célébrer peut-être une semi-victoire, c'est-à-dire que Renaud Labrecq, oui, s'est fait insulter, puis pas à peu près par le maire, mais par la suite, on sent qu'il y a comme de plus en plus d'écoute par rapport à ce que Renaud Labrecq va sortir. [00:11:55] Speaker A: Belan, écline de la presse, Belan, c'est Villeneuve qu'on avait dans Morelive en réaction à ça. Il va au complet, Belan de la presse, on va quand même le saluer. Radcade a quand même envoyé quelqu'un sur. [00:12:07] Speaker C: L'Équipe de pratique, là. [00:12:08] Speaker A: Il a envoyé quelqu'un de la Ligue américaine. Oui, on va envoyer le recrut. Il n'y a pas de patte à la face. [00:12:17] Speaker C: Par la suite, il y a eu d'autres questions. La question revenait tout le jour. Est-ce que vous contestez les chiffres qui ont été présentés? Est-ce que les chiffres qui ont été présentés par Renaud Labrecq sont véritables ou pas? C'est sûr que le maire a dû avouer qu'il n'y a pas eu de modification des fichiers. Il n'y a pas eu de désir d'altérer la vérité. [00:12:39] Speaker A: Tout ce qu'a dit Renaud depuis qu'il est en onde à Radio X est vérifiable. Et si le maire allègue d'une manière ou d'une autre qu'il a tronqué des informations et tout, il aurait dû le dire avant parce que c'est grave, mais ça n'est pas arrivé. Ce sont des documents de la Ville, bien souvent, publics, sur le Open Web, c'est disponible donc pour ma tante Suzanne, ou obtenus par la loi d'accès à l'information. [00:13:04] Speaker B: Mais tu sais, je vais plus avec mes découpages, je te fais entendre ce qu'il disait sur Renault. [00:13:08] Speaker D: Mais dans ce cas-ci, M. Murph, les informations qui ont été données sont les bonnes. J'ai pas vu les informations qui ont été données, j'ai pas écouté ses reportages. Mais on peut parler de la centrale de police pour laquelle il dit pas y'a bonnes affaires, on peut parler d'un paquet d'autres événements sur nos frais de voyage qui a dénoncé qu'ils sont pas les bonnes. Ce gars-là gère une municipalité de 600 habitants pis il pense qu'il serait capable de gérer une ville. — Mais elle a vu le nez, là. — Elle a vu le nez quoi? — Non, mais elle a vu le nez sur ces dépenses-là. Ça ressemble un peu à... — J'ai pas vu la liste de dépenses, mais je présume que ça a été via l'accès... — Elles sont publiées, elles sont sorties en juillet. — Ben, c'est ça. Hein oui. J'assume... Alors, si elles viennent... — C'est pour ça que vous contestez pas ces chiffres-là. — Mais je conteste les chiffres. — C'est quoi? — Je peux pas dire que M. Labrecq utilise des bons chiffres. Il a l'habitude de pas faire ça. Ce que je vous dis, c'est que les chiffres qui ont été donnés... J'ai confiance aux chiffres qui ont été donnés. Ce qui, lui, utilise les bons, c'est qu'il a fait les bons calculs. [00:13:57] Speaker B: Il a l'habitude de pas prendre les bons chiffres, ok. Mais t'sais, il donne les exemples, mais il rentre pas. [00:14:01] Speaker A: Il dit, c'est un gars qui gère. [00:14:04] Speaker B: Un village pis il pense être capable. [00:14:05] Speaker A: De gérer une ville. Viande. Citronnade de Berlingo. Ce gars-là, je le sais, mais ce gars-là gérait sans traite une entreprise qui vend rien en fucking chaudière à palache. Non, non, c'est un gars qui nous fait vomir. Il nous fait vomir. Il est gênant, il est prétentieux. [00:14:24] Speaker B: Il est gênant, mais lui est pas gêné par exemple. [00:14:42] Speaker D: Je vous le dis là Mathieu, un paquet de choses j'aurais pu charger si j'ai pas chargé. Pourquoi? Parce que j'ai ça assumé. Mais oui, il y a des frais d'hôtel comme ça quand on est allé dans certaines représentations que j'ai chargées. Puis à 6000 $ par année ou à peu près, indépendamment de quand ils commencent, je suis pas gêné du tout. [00:14:57] Speaker B: Si je me fie à ces dernières années, Régis Labeaume qu'à y aller à New York, il chargeait pas l'hôtel. [00:15:00] Speaker A: Non. [00:15:02] Speaker B: Parce que t'as une dépense genre de 20 $ maintenant à New York, mais. [00:15:05] Speaker A: Il y a pas d'hôtel autour. Gary, merci beaucoup. [00:15:08] Speaker C: Juste vous dire en terminant, un complément d'information, Paris-Ville, c'est 513 habitants. Je vous laisse vous le dire. [00:15:14] Speaker D: Merci. [00:15:15] Speaker A: Merci Baye. Salut Baye. [00:15:17] Speaker B: Une bainerie. [00:15:18] Speaker A: Juste vous lire comme ça. Je fais d'autres choses des fois sur le site. Je suis en train de lire une revue psychologique. Des fois ça me détend. Regarde, ça me détend. Moi tu vois, j'ai Tom Sawyer sur le site. Je suis en train de lire ça, c'est complètement par hasard. C'est la définition d'un pervers narcissique ou d'un manipulateur narcissique. Mais c'est par hasard que je vous donne des signes comme ça d'un manipulateur narcissique. Il a un égo démesuré. Il adore régulièrement la posture de victime. Il n'hésite pas à dénigrer son entourage. Il y a un décalage entre ce qu'il dit et ce qu'il est réellement. Y'a toujours besoin d'attention, c'est un fait séducteur, y'a une réputation qui le précède, un flagrant manque d'empathie. Cherche à vous isoler. Zoé! Zoé! Tu crois ça toi? T'embarqueras pas là-dedans Zoé! Il surestime totalement ses capacités. Oh you damn right. Il utilise un langage flagrant de perversion. J'ai jamais fait ça, j'ai jamais dit ça. Il met sa victime en position de faiblesse et c'est un menteur né. [00:16:18] Speaker B: Sais-tu quoi? J'ai allumé là-dessus hier. Beaucoup de choses que la gauche reproche à Trump marchant les mêmes traits. [00:16:25] Speaker A: Oui. [00:16:27] Speaker B: Exactement les mêmes traits.

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