Episode Transcript
[00:00:11] Speaker A: On commence la semaine avec un sourire. On commence la semaine avec du sourire, mon Dan.
[00:00:18] Speaker B: Ben oui, le sourire, c'est ce qui fait le jaser à travers le monde entier à l'heure actuelle. C'est Montréal et ses nids de poules. Montréal et ses nids de poules. Montréal et ses nids de poules. De toute ma vie, c'est la première fois que je voyais ça en fin de semaine.
[00:00:34] Speaker C: Ça a-tu été télévisé quand le gars se plante?
[00:00:36] Speaker B: Ben oui! Des reprises!
[00:00:37] Speaker A: J'ai vu la photo.
[00:00:39] Speaker C: Je veux entendre.
[00:00:40] Speaker B: Non, non, le gars se casse la gueule. OK? Pis là, on dit « shit » parce que la caméra est en avant de eux autres. On l'a vu live, là. Et sur la reprise, lui, il y avait une moto juste à côté de lui. Et qu'il filmait. Et on voit très bien la roue du vélo frapper dans le nez de poule. Et le vélo qui rebondit dans les angles, là! Le vélo a fait une pirouette!
[00:01:02] Speaker C: C'est le Québec.
[00:01:03] Speaker B: Le gars abandonné.
[00:01:04] Speaker C: C'est Montréal, beaucoup.
[00:01:05] Speaker B: Le gars est obligé d'abandonner.
[00:01:06] Speaker A: C'est très grave. Moi, je trouve.
[00:01:08] Speaker C: Au-delà de... Ben oui, c'est grave.
[00:01:09] Speaker B: Ben oui.
[00:01:09] Speaker A: De l'aspect... Ouais, ouais, on peut dire... Ah, Montréal, les... Le gars peut se tuer, là.
[00:01:14] Speaker B: Ben oui.
[00:01:14] Speaker C: Oui!
[00:01:15] Speaker A: Le gars peut être paralysé, le gars revole dans les airs, se casse le cou, peut être paralysé.
[00:01:17] Speaker C: Comment c'est possible?
[00:01:19] Speaker A: Nous autres, on a... Imaginez la méga-poursuite.
[00:01:20] Speaker C: On a repavé Grand Allé, ici, quand le pape est venu. Le pape, il était en char, là.
[00:01:25] Speaker A: Ça n'a pas levé le pauvre Charles.
[00:01:27] Speaker C: Non, ça n'a pas levé en plus, mais au-delà de ça, il est en char. Et il n'était pas si pire que ça, grand d'aller.
[00:01:33] Speaker A: Il n'était pas si pire.
[00:01:34] Speaker C: Ça a été correct. Il n'aurait pas fait d'accident.
[00:01:37] Speaker A: Non, non, non.
[00:01:38] Speaker C: On s'entend. Mais là, c'est du vélo. Il ne faut pas qu'il y en ait de nid de poule.
[00:01:42] Speaker A: Montréal, c'est gênant, gênant, du début à la fin. Il y a juste le Canadien.
qui est positif. Je le vois, je suis pas ça. Et le soccer, c'est pathétique, là. Oui.
[00:01:55] Speaker B: Je veux revenir sur une nouvelle de Le Petit Québec. Ça, c'est Le Petit Québec, c'est une Dome News. Tu ne peux pas avoir plus bel exemple de Dome News que cette histoire-là publiée dans la presse. La semaine dernière, je l'ai vue vendredi après-midi. Une famille poursuit la CEPAC.
[00:02:12] Speaker C: Ah oui.
[00:02:13] Speaker A: Je t'ai parlé dans mes manchettes, mais j'ai pas assez vite. Ça mérite vraiment...
[00:02:17] Speaker B: Mais c'est un cas de deep, là.
[00:02:18] Speaker C: Ça n'a pas de sens.
[00:02:18] Speaker A: Absolument, Dan. Ça mérite... Let's get deeper.
[00:02:21] Speaker B: Imaginez, OK? Le couple, OK? Les deux gars. Ils partent avec leurs trois enfants.
[00:02:27] Speaker A: Oui.
[00:02:28] Speaker B: Dans un parc de la CEPAC, OK? Et là, eux autres ont des symptômes invalidants à cause de la fumée.
[00:02:37] Speaker A: C'est ça. Ils sont allés en camp de tram là. De Fulcat.
[00:02:40] Speaker B: Dans Laurentides.
[00:02:40] Speaker A: Dans Laurentides.
[00:02:41] Speaker C: Ça fait un genre de trois ans. Parce que le gars, c'est un cranqué là. C'est lui qui a parti l'espèce d'association. Les familles contre la fumée secondaire.
[00:02:52] Speaker B: C'est de la maladie là.
[00:02:53] Speaker C: Quelque chose de même là.
[00:02:54] Speaker B: La maladie. C'est la maladie. Donc lui...
[00:02:58] Speaker A: À l'automne 2022, ils sont allés d'un terrain de camping trois jours.
[00:03:03] Speaker C: Ça fait quatre ans.
[00:03:03] Speaker A: Ils ont peut-être fait un genre de petit feu avec des guimauves.
puis il est arrivé quelque chose. Mais les allégués dans la poursuite, c'est heavy là, Dan.
[00:03:13] Speaker C: Mais c'était pas son feu, lui c'est ce qu'il dit là. C'est des feux de voisins.
[00:03:16] Speaker B: Oui, c'est des feux de voisins. Puis lui il dit que depuis, parce qu'ils ont déclenché, son médecin lui mentionne qu'il y a une langine qui a été déclenchée à la suite de son exposition à la fumée des feux de camp. Donc lui il dit que depuis son séjour là, dans le bois, c'était dans le bois, puis lui il n'a pas fait de feux de camp là, c'est le feu de camp des autres. Daniel présente des symptômes sévères, persistants et invalidants, dont des douleurs thoraciques, des essoufflements, une fatigue extrême, une perte d'équilibre, des troubles cognitifs, des symptômes dépressifs. Tout ça parce qu'il fait de l'angine. Puis lui, il dit que c'est à cause des feux de camp. 3,8 millions pour lui.
La poursuite signale également que les trois enfants ont connu une aggravation marquée de leurs symptômes d'asthme. J'ai jamais entendu parler d'enfants qui avaient des aggravations de symptômes d'asthme à cause des feux de qualité. Lui, les trois en ont eu.
[00:04:16] Speaker A: Je fais de l'asthme.
Tu te souviens des problèmes qu'on a eu avec la boucane cet été? Il y a eu un épisode quand même où il y avait de la boucane. On n'ira pas là. On avait de la misère à voir la ville quand tu descendais Laurentienne. Il y en a eu. Je n'ai jamais pris mes pompes d'asthme. Je suis asthmatique. Je peux témoigner. Vous, vous ne l'êtes pas autour de la table? Moi, je le suis. Je n'ai jamais pris mes pompes d'asthme. Ça ne s'est jamais arrivé. Mais il y avait de la boucane à Québec. À cause de l'Ouest. entre autres. Puis quoi, il y avait pas de feu au Québec cette nuit. Bien peut-être, mais je veux dire, c'était pas ça la problématique. J'ai jamais pris mes pommes d'as.
[00:04:53] Speaker C: Puis je vais aller plus loin que ça. Lui, il dit qu'il y a eu une crise d'angina à cause de ça.
[00:04:57] Speaker B: Oui.
[00:04:58] Speaker C: Bernard Quentin m'avait écrit la première fois qu'on avait parlé de ce gars-là. Puis il m'avait dit une nouvelle condition cardiaque suite à un épisode de camping. J'ai jamais vu ça. J'ai dû manquer le cours là-dessus aussi.
[00:05:08] Speaker A: Ah non, gars, c'est ça aussi, là. Quant aux conjoints Pierre, Perrault, Bélanger, ils réclament 150 000.
Parce qu'il doit dorénavant assumer seul la majorité des responsabilités parentales et ménagères. Ben voyons! En plus de souffrir d'un épuisement moral prolongé. Voyons donc! C'est donc ben farfelu! Mais là, elle est où la poursuite contre la Colombie-Britannique? Et contre les feux c'était où cette année?
[00:05:39] Speaker B: Manitoba.
[00:05:40] Speaker A: Manitoba?
Elle est où la poursuite contre le gouvernement du Manitoba, qui a pas fait sa job parce que ça a brûlé en haut? Voyons donc! Mais c'est n'importe quoi cette affaire-là. Et là, y'a un juge qui devra se lever pour...
[00:05:55] Speaker B: Pour donner des coups de pied au cul.
[00:05:56] Speaker A: Pour dire non, on se prend en main, guys. On se prend en main.
[00:06:01] Speaker C: Ça peut être rejetée, cette poursuite-là?
[00:06:03] Speaker A: Ça peut être rejetée, absolument.
[00:06:04] Speaker C: Ok, s'il vous plaît, faites ça.
[00:06:05] Speaker A: Oui, ça peut être rejetée.
[00:06:06] Speaker C: Ça va être parfait.
[00:06:06] Speaker A: C'est parce que ce qui est grave.
[00:06:08] Speaker B: Aussi là-dedans... Moi, je crains.
[00:06:10] Speaker C: Ah, je pensais que t'allais dire moi j'aimerais ça qu'ils l'entendent juste pour l'humilier.
[00:06:13] Speaker A: Non, mais ce qui est grave les amis aussi là, la CEPAC c'est le gouvernement.
[00:06:17] Speaker C: Oui, c'est nous autres.
[00:06:18] Speaker A: Ça nous coûte de quoi payer l'avocat là?
[00:06:20] Speaker C: Oui!
[00:06:20] Speaker A: Il y a un avocat qu'on va payer, qui travaille là-dessus sur cette niaiserie-là là.
[00:06:26] Speaker C: Pis le but je pense aussi c'est que la CEPAC commence à dire « OK, y'a plus de feu de cale.
[00:06:30] Speaker A: Là dans… » Ben c'est ça l'autre histoire!
[00:06:32] Speaker C: Oui.
[00:06:33] Speaker A: Ils sont tellement fragiles en haut au gouvernement, fragiles à propos de la perception que ça crée, Là, les grands penseurs de relations publiques en haut, ils vont dire oui, mais là, ça a des répercussions au niveau de l'image. L'image de la CEPAC, les amis. L'image de la CEPAC.
[00:06:50] Speaker C: Arrêtez ça. Déjà, ce gars-là... Arrêtez.
[00:06:52] Speaker B: Ils demandent est-ce que la CEPAC bête des affiches comme quoi. Les feux de casse, c'est dangereux.
[00:06:56] Speaker A: Oui, c'est ça. Déjà, ce gars-là, qu'ils interdisent carrément.
[00:06:59] Speaker C: Parce que déjà, ce gars-là, qui est tout seul dans son association, il y a personne d'autre que lui. Il appelle ça les familles, je sais pas trop, mais il est tout seul dans son association. Il a eu tellement d'entrevues à la TV qu'il a réussi à faire faire un genre de projet pilote à SEPAC. Des endroits, pas de feu, versus des zones de non-fumeurs. C'est quasiment ça.
[00:07:19] Speaker A: Comme des shows de feu d'artifice avec des drones. Alors que des feux d'artifice, d'après moi, allaient à Orlando.
[00:07:24] Speaker C: Ah oui.
[00:07:25] Speaker A: SeaWorld, Disney, puis Universal.
Y'a de la boucane. On peut jouer bing bing bauf, bing bauf, bing bauf. Ben ici on fait ça avec des drones.
[00:07:35] Speaker B: Tu sors si t'as plus le droit de fumer dans les barres.
[00:07:38] Speaker A: Ah, c'est complètement... C'est la Domino's, je pense, de l'année.
[00:07:42] Speaker B: Ah oui, c'est la Domino's suprême.
[00:07:44] Speaker A: C'est la Domino's suprême.
[00:07:45] Speaker B: C'est comme la Reine des fourmis. C'est vraiment très, très difficile à battre. Je te fais entendre les Français. Il y a beaucoup de Français qui viennent ici. Bon, ils chialent sur un paquet d'affaires, comme par exemple les formats du lait et pourquoi est-ce qu'on met ça au frigidaire. Ça, je m'entorche un peu. Mais... Le fromage, on paye ça cher ici.
[00:08:05] Speaker A: Oui.
[00:08:06] Speaker B: Le fromage, on paye ça très très cher.
[00:08:08] Speaker A: Ça c'est vrai.
[00:08:09] Speaker B: On écoute ce qu'avait ce français-là à dire.
[00:08:11] Speaker D: Est-ce que payer 6$ ça, c'est un bon prix ou non? Parce que moi, perso, depuis la France, quand je vois des prix comme ça très chers sur du fromage, j'ai envie de me foutre une balle parce que, bon, franchement, en France c'est beaucoup moins cher. Et même ça, non mais regarde-moi ça!
6 dollars, tu as 300 grammes. 300 grammes, 6 dollars. Ça fait du 4 euros, je pense, surtout qu'il n'y a pas les taxes. 4 euros, tu as un kilo de grillage chez nous.
[00:08:40] Speaker E: Mais c'est sûr.
[00:08:40] Speaker F: Regarde-là.
[00:08:41] Speaker D: 4 fromages, 16 dollars.
Ça, ça fait quoi ? Ça fait un kilo, je pense. C'est très perturbant. Du coup, j'aimerais l'explication. Pourquoi ça coûte si cher ? Qu'est-ce qui fait que tout ce qui est fromage, fromagerie, tout ça, même les yaourts, c'est extrêmement cher ?
[00:08:59] Speaker F: Pourquoi ?
[00:09:00] Speaker D: Pourquoi on se retrouve avec du cheddar, qui est le fromage le moins cher du monde, puisque c'est de l'eau, à 10 dollars ? Voilà, c'est la question que je vous pose.
[00:09:09] Speaker A: Extraordinaire.
[00:09:09] Speaker C: Lui, il dit un kilo de gruyère, c'est 6 euros.
[00:09:12] Speaker B: 4 euros.
[00:09:13] Speaker C: 4 euros ?
Et si un kilo de mozzarella, c'est même pas du gruyère, c'est le moins cher, je pense, là? Il est à 12, 13, 14 piastres?
[00:09:22] Speaker A: C'est l'enfer.
[00:09:23] Speaker C: Dépendamment où, dépendamment quand, puis quelle marque?
[00:09:25] Speaker A: Je demandais à Chad de me donner des comparatifs. Brie pour brie, là. Brie comme en beurre, brie pour brie, là. Un morceau de brie, je veux pas le lait. Mais c'est des équivalents, OK? Quatre euros, un morceau de brie. Aux États-Unis, entre 6 et 8, U.S.
Et ici, 12. C'est vrai. Honnêtement, allez. Oui, j'ai hâte. Une fois par mois, nous autres, on se claque un genre de trip. Fromage. Bah oui. Baguette. En tout cas, ça ne tourne pas cuisiné. Un vendredi, j'arrive avec ça. Ça coûte une cristine beurrée, moi, dire une affaire. Au début, je pensais... Là, j'ai perdu une tradition, moi, là. Moi, j'ai le bras pogné dans la machine. M'aurai perdu la tradition. Mais ça coûte... Moi j'ai dit on va se sauver de l'argent au lieu de se coller de la pizza on fait ça. Mais ça me coûte plus cher Jésus-Christ! M'acheter des terrines, qui sont très chères aussi, des viandes froides, et les fromages et les baguettes comme coller de la dominose. Mais moi j'ai le bras dans la machine! Ils s'attendent à ce que moi, Alco-Clone, j'achète ça une fois par mois! J'aime bien ça!
[00:10:34] Speaker C: Mais ça me coûte!
[00:10:37] Speaker A: Hublement, pis les kids c'est des adultes à cette heure. On vit quatre adultes dans la maison. 150 piastres.
[00:10:43] Speaker B: Ben j'ai pas besoin de croire.
[00:10:44] Speaker A: Oui. Non pis ça mange là.
[00:10:46] Speaker C: Oh oui, juste c'est tous les gars.
[00:10:47] Speaker A: Les adultes là, ils s'entraînent 16 fois par semaine.
[00:10:50] Speaker C: Oui. On en peut un des deux, c'est tout.
[00:10:52] Speaker A: Ouais pis ça c'est le plus petit là. L'autre, c'est une pièce d'homme là. Ça coûte cher Dan?
[00:10:57] Speaker B: Je te l'ai acheté du jambon blanc en fin de semaine.
[00:11:00] Speaker A: Jambon blanc. Tu veux-tu maigrir comme Bock Côté?
[00:11:04] Speaker B: Ben non. Pourquoi maigrir? Il maigrit au jambon blanc à Bock?
[00:11:07] Speaker A: Oui, c'est ça sa recette. Il s'est tiré le portrait. Il a perdu 80 livres en mangeant du jambon blanc et du melon d'eau.
[00:11:15] Speaker B: Parce que pour déjeuner, je trouve ça bon le jambon blanc.
[00:11:17] Speaker A: Je trouve que ça a un goût... Ouais pis y'a du fromage blanc qu'a mangé Bock. Jambon blanc ça c'est du jambon qui est pas cuit. C'est pas le jambon cuit comme on l'appelle.
[00:11:27] Speaker B: Ben oui il est cuit, c'est juste qu'il est cuit d'une différente façon. Mais peu importe.
[00:11:32] Speaker A: C'est bon hein?
[00:11:33] Speaker B: J'ai dit je vais te prendre 12 tranches quand même assez épaisse.
[00:11:37] Speaker A: À quelle place?
[00:11:39] Speaker B: Au lac. J'suis allé au lac.
[00:11:42] Speaker A: Au lac à l'épaule?
[00:11:43] Speaker B: Oui. Donc je prends 12 tranches, ça m'a coûté 13 piastres.
[00:11:48] Speaker A: Une pièce... Tu manges le gras, là.
[00:11:50] Speaker C: Plus qu'une pièce de terre.
[00:11:51] Speaker A: Plus qu'une pièce de terre.
[00:11:52] Speaker C: Ah oui, tu manges le gras.
[00:11:53] Speaker A: Tu manges le gras, là.
[00:11:55] Speaker C: C'est le sucre.
[00:11:56] Speaker A: Même si ça a laissé la couche de papier, là. Avec le label d'Olimel, tu manges le label.
[00:12:02] Speaker B: Puis quand tu fais couper tes charcuteries, là, c'est le même partout.
[00:12:07] Speaker C: Ah oui.
[00:12:09] Speaker B: C'est pas parce que c'est IGA que c'est plus cher?
[00:12:11] Speaker C: Non, la seule différence avec IGA, c'est que t'as le boucher qui est là.
[00:12:14] Speaker A: Je reviens au fromage. En Italie, 14 euros le kilo pour du parmigiano reggiano. Aux États-Unis, 20 US le kilo. Ici, combien le kilo? 16 euros le kilo en Italie. 20 U.S. dollars le kilo au States.
[00:12:36] Speaker C: On pose une parmigiano?
[00:12:38] Speaker A: Oui.
[00:12:38] Speaker C: 50?
[00:12:40] Speaker A: Un petit peu plus.
[00:12:41] Speaker C: 60?
[00:12:42] Speaker A: 55. T'es dans le ballpark.
[00:12:46] Speaker C: Je savais que j'étais dans le ballpark.
[00:12:47] Speaker A: Cheddar vieillit. C'est-tu bon? D'après moi, c'est comme le fromage national d'Angleterre. Les Anglais font d'excellents cheddar. Moi, c'est mon fromage préféré.
[00:12:57] Speaker C: Selon le français, ça coûte rien, c'est de l'eau.
[00:13:00] Speaker A: Oui, mais tu sais, il y a quand même les... Les Anglais, ils en font du cursus fort.
[00:13:03] Speaker C: Je sais, je sais.
[00:13:04] Speaker A: 10 livres sterling le kilo. Livre sterling, grosso modo, c'est x2.
[00:13:09] Speaker C: Oui, c'est x2 pas mal.
[00:13:11] Speaker A: États-Unis, 15 U.S. le kilo. Ici, combien?
le kilo de cheddar artisanal.
[00:13:20] Speaker C: 35.
[00:13:21] Speaker A: T'es carrément dedans. 35 piastres. Alors voilà, Dan, t'as des bons exemples.
[00:13:28] Speaker B: Ouais, donc c'est... effectivement, le fromage coûte très cher ici.
[00:13:32] Speaker A: Gestion de l'offre, les amis.
[00:13:33] Speaker C: Ça aussi, c'est la gestion de l'offre. Entre nous autres qu'on se crosse, là.
[00:13:37] Speaker A: Commission canadienne du lait, c'est fédéral, c'est la gestion de l'offre. Ça garantit un revenu stable, moi, je comprends.
[00:13:41] Speaker C: Ça nous empêche de l'exporter, puis ça nous coûte cher entre nous autres.
[00:13:46] Speaker B: Paul Watson.
[00:13:49] Speaker A: Lui, c'est le fondateur de Greenpeace.
[00:13:50] Speaker B: Exactement. Le gars de Greenpeace, Paul Watson...
[00:13:53] Speaker A: Il a déjà fait un entrevue ici une fois, M. Watson. Il est sur la coche.
[00:13:58] Speaker B: Paul Watson s'en va. Il est invité à l'UMA en fête de semaine, la fête de l'humanité, qui est présentée à chaque année en France. Et puis Paul Watson, écoute, ça fait pas toujours le bonheur des gauchistes. Je vous fais entendre une fille qui est complètement au bout de sa chaîne parce qu'on a décidé d'inviter Paul Watson à l'UMA.
[00:14:17] Speaker F: Il est à la fête d'Ulima. et c'est une honte ce qui se passe, je suis dégoûtée, moi je vais à la fête de l'Humain depuis des années, je trouve que c'est un moment qui est immense, parce que c'est un moment de gauche, ça permet aussi de penser d'autres possibles pour le monde, et notamment sur l'écrissement écolo. Et en fait là ils ont invité Paul Watson, Paul Watson je rappelle que c'est un militant qui effectivement sauve des baleines, mais qui est également proche de plein de personnalités d'extrême droite. Je vous mettrais plein de recommandations en commentaire, mais voilà c'est quelqu'un qui fréquente Brigitte Bardot, qui a été condamnée à multiple reprise pour incitation à l'haine raciale mais qui voilà vu qu'elle sauve des animaux franchement ça peut être une camarade il suit énormément de penseurs écolos qui disent qu'il faut réguler la population et notamment la population de migrants il dit aussi qu'il faut réguler le fait qu'il y ait des naissances et que les naissances et le fait d'être enceintes pour les femmes soient réservées qu'aux femmes qui soient en capacité financière et psychologique d'élever un enfant bref ce mec est profondément dangereux et je crois qu'on est beaucoup avoir apprécié ce personnage parce qu'il a sauvé des baleines et que c'est quelqu'un qui est assez charismatique. Mais c'est important aussi de rappeler que notre écologie, elle est antifasciste. Et du coup, c'est pour ça qu'on s'est mobilisés. Et je remonte beaucoup à la Fête de l'Humain à essayer de transmettre des traces, à montrer que ce n'est pas acceptable d'inviter quelqu'un. Ou à minima, ce n'est pas acceptable que le juge lui pose des questions sur les baleines. Il faut le confronter sur ses idées.
[00:15:44] Speaker B: Donc voilà, à pleurer là, elle est en crise d'hystérie majeure. Majeure.
[00:15:48] Speaker A: Comme beaucoup de personnes qui, lors de visites de Kirk sur certains campus, pleuraient. Ça n'a pas de bon sens de.
[00:15:58] Speaker B: Le faire venir lui.
[00:16:00] Speaker A: Parce que... Parce qu'il n'est pas d'accord avec moi. Parce que je ne suis pas réconforté dans mes lubies. Je ne suis pas réconforté dans mon idéologie.
Quelle bande de délirants. En fin de semaine, beaucoup de reportages sur ce qui s'est passé en Angleterre. Manif 100 000. Il y avait plusieurs centaines de milliers. Mais les médias veulent rabaisser ça. Avez-vous lu la couverture en fin de semaine?
[00:16:23] Speaker B: Oui.
[00:16:24] Speaker A: Extrême droite! Là, tu lis ça. Puis tu dis, « Extrême-droite, Ezra Levent était présent, Rebel News, la chaîne d'extrême-droite était présente », c'est là où j'arrête.
[00:16:37] Speaker C: Tout le monde est d'extrême-droite.
[00:16:38] Speaker A: Tout le monde est d'extrême-droite. Si vous n'êtes pas Antifa, si vous n'êtes pas un radical écolo, Si vous n'êtes pas un socialiste, si vous n'êtes pas un communiste, vous êtes d'extrême-droite, vous êtes disqualifiés et disqualifiables.
[00:16:53] Speaker C: C'est la SPEN solidaire. Tout le monde au Québec, selon Québec solidaire, tous les partis sont de droite ou d'extrême-droite.
[00:17:00] Speaker A: Et c'est pour ça que Rubo Gasol, Jackie et Marsha ne viennent pas à Radio X. Dans leur tête à eux autres, on est des infréquentables. Parce qu'on ne pense pas comme eux. Parce qu'on pose des questions. Parce qu'on ose les déstabiliser. Parce qu'on ose faire vessier leur socle idéologique. Eux veulent être réconfortés par des amis. Des amis de la gang. Des amis qui vont venir renforcer des idées préconçues. C'est toujours le même maudit affaire.
Elle, c'est ça. Les autres, ça va être la même chose. Regarde, on est enfermés dans des silos, man. On peut pas... C'était ça qui était particulier avec Charlie Kirk. Il y a pas beaucoup de gens raisonnables du côté des démocrates qui l'ont souligné, mais c'était ça pareil. Il bâtissait des liens.
[00:17:47] Speaker B: Bernie Sanders a pas été mauvais.
[00:17:49] Speaker C: Il a pas été...
[00:17:49] Speaker A: Exact. Je suis content que tu le mentionnes. Effectivement.
[00:17:53] Speaker B: Bernie, ça a juste été trop long.
C'est long avant que les gens réagissent souvent, mais des fois c'est mieux de prendre son temps et de ne pas être trop émotif comme a fait Bernie Sanders.
[00:18:02] Speaker A: Fetterman aussi, le démocrate qui s'habille en coton weté.
[00:18:06] Speaker C: Combien il s'appelle le Californie?
[00:18:09] Speaker A: Gavin Newsom également.
[00:18:11] Speaker C: Lui, as-tu réagi? Parce qu'il avait fait un podcast avec lui il n'y a pas si longtemps.
[00:18:14] Speaker B: Je ne sais pas s'il a réagi.
[00:18:14] Speaker A: Je n'ai pas regardé. Je n'ai pas vu.
Gavin Newsom, ça serait le genre de gars qui pourrait donner du crédit.
[00:18:25] Speaker B: Y se fait traîner dans la merde.
[00:18:27] Speaker C: Oui.
[00:18:27] Speaker A: Pourquoi?
[00:18:28] Speaker B: À cause d'une caricature qu'il a faite sur laquelle on voit des pierres tombales. C'est marqué Martin Luther King, c'est marqué JFK, puis c'est marqué Charlie Kirk.
[00:18:36] Speaker A: Ah oui, il se fait traîner dans la merde. Il se fait traîner dans la merde.
[00:18:38] Speaker C: Alors que le lien est simple, c'est trois personnes qui se sont faites descendre à cause de leurs idées.
[00:18:45] Speaker A: Je ne vois rien de Gavin Newsom.
[00:18:47] Speaker B: Il faudrait peut-être juste aussi rappeler à Richard que c'est Québec Heart qui a décidé de suspendre Francis Gosselin. Ce n'est pas les autres. Il n'y a personne d'autre que Québec Heart qui a pris cette décision-là.
[00:19:00] Speaker A: Et Nathalie El-Ghirabli, deux fois plutôt qu'une, membre de LAO, direction de TVA. Elle est sur le board renouvelée en 2024. Très proche de Mme Sylvie Lalande, Présidente du board, c'est elle qui a été la plus «musculaire» entre guillemets.
[00:19:21] Speaker C: Gênée de son média.
[00:19:22] Speaker A: Très gênée de son média. Est-ce qu'il y a eu des messages pour dénoncer Nathalie El Grebli? Ah non, Jeff Fillion! Jeff Fillion, hein, Fillion, t'écoutes pas? Mais c'est Nathalie El Grebli, là, qui a pris le bat de baseball puis qui l'a sortie du stade, là. Madame Lalande, très importante auprès de Pécopé, c'est elle qui remplace Molroné. Quand Molroné est mort, Pécopé a nommé quelqu'un de sa garde rapprochée, Sylvie Lalande. Donc c'est sûr qu'il y a du monde qui a peur pour le job, c'est sûr. Elle est présente, Nathalie est au... Elle suit le board! Quelqu'un du board... Prends-moi comme exemple, mettons. Je suis l'animateur du show, je l'échappe.
Je prendrais pas Pierre Brossois, parce que M. Brossois, c'est le propriétaire, mais prend quelqu'un du board. Je pense qu'il est encore sur le board. Mettons Rénal Brière, pour qui j'ai énormément de respect. Rénal fait partie du Panthéon de la radio. Rénal Brière deux fois tweet pour dénoncer le fait que je l'ai échappé. Je rentre pas à ma tête.
[00:20:22] Speaker B: Bien non, c'est sûr que non.
[00:20:24] Speaker A: Je rentre pas même peut-être par ma propre décision. Je suis peut-être suspendu, mais au-delà de ça, moi, Je suis gêné de revenir en studio. C'est l'humiliation ultime. C'est humiliant. Ça fait mal. Quand ta propre gang te critique.
[00:20:42] Speaker B: Mais ils sont beaucoup aussi. C'est toujours l'extrême droite. L'étiquette extrême droite, on la donne beaucoup plus à Québécois qu'ailleurs. Le gars est mort.
Je crois même que vous voudriez le qualifier d'extrême droite encore un matin.
[00:20:58] Speaker A: Il est mort. Et on sait pas pourquoi Robinson a fait ça. Moi, on comprend les slogans sur les balles de fusil. Il va être accusé formellement demain, mais y'a-tu des complices? Qu'est-ce qui l'a mené à ça? À date, on sait rien. En tout cas, corrigez-moi, on sait pas grand-chose.
[00:21:14] Speaker C: Ben non, il y a plein de théories là, pis il y a plein d'histoires pas trop vérifiées. Non mais tu sais, t'as Fox et New York Post qui disent qu'il y avait soit un conjoint, soit un colloque trans, ce qui rend pas la personne trans la moindrement coupable de ce qui s'est passé, by the way. Mais ça a du rapport, on le sait même pas.
[00:21:32] Speaker A: Ça trans, pas trans, si t'es freak, t'es freak.
[00:21:37] Speaker C: C'est pas une personne trans qui a tiré.
[00:21:39] Speaker A: Non, c'est ça.
[00:21:40] Speaker B: Exact.
[00:21:41] Speaker C: Même s'il y a un colloque.
[00:21:43] Speaker A: Tu sais, il y a des prises de décision qui se sont faites. Il y a quelqu'un qui a livré un gun dans une cache. Il n'est pas allé dans une place où ils vendent des fusils. Mais il en vendent des fusils, je te dirais, même au Walmart aux États-Unis. Il n'est pas allé là.
Mais c'est pratiqué, donc c'est qui les complices? Moi, il me manque vraiment l'histoire de ça.
[00:22:05] Speaker C: On va le savoir au procès.
[00:22:06] Speaker A: Peut-être. J'aimerais ça qu'on en sache un peu plus avant. Les parents n'ont rien vu. OK, je comprends. Ils ne restaient plus là.
[00:22:14] Speaker C: C'était une des nouvelles, je crois, c'est en fin de semaine, qui ne collaboraient pas bien jusqu'à maintenant dans les ordres régatoires.
[00:22:20] Speaker A: Il ne va pas répondre.
[00:22:23] Speaker B: OK, donc voilà pour Charlie Kirk. Je te fais entendre maintenant le podcast. On jase le business, OK? Tout coûte cher. Puis, est-ce qu'on peut économiser sur le mariage? Donc, il invite une fille qui... Elle organise des mariages. C'est ce qu'elle fait dans la vie.
[00:22:39] Speaker A: Wedding planner.
[00:22:40] Speaker B: Et il pose la question. On demande combien en cadeaux pour les mariages? Combien on demande?
[00:22:46] Speaker A: 150... 100 piastres chaque.
[00:22:49] Speaker B: Voici sa réponse. Réponse qui fait jaser beaucoup de monde.
[00:22:54] Speaker G: Je ne sais pas si je vais cruiser ma tombe en disant ça. Je suis plus ou moins d'accord personnellement, en tant qu'Andréa, pas en tant que senior. Je vais toujours respecter mes clients si c'est le choix qu'ils prennent. Si je t'invite à souper chez nous, pis que je fais l'épicerie pis que je te fais un beau souper, je vais pas te dire «Hey, ça a coûté 300$ l'épicerie, tu peux-tu me donner ta moitié, le prix possible?» Je comprends que c'est vraiment dispendieux des mariages pis que c'est un down payment de maison. C'est sûr que quand tu vas avoir ta journée, si tu vas avoir une grosse famille, inviter tout le monde, ça peut être bien, mais moi je me sentirais trop mal de dire aux gens «Paye pour venir à mon mariage que moi j'ai décidé de faire, plus ou.
[00:23:32] Speaker C: Moins.» C'est pas pareil non plus parce que quand tu reçois quelqu'un à souper, Si t'en reçois quelqu'un un peu, généralement c'est quelqu'un d'assez proche quand même. Fait que t'sais, une fois c'est toi qui reçois, l'autre fois ça va être lui, pis tu dis au final ça va être kiff-kiff.
[00:23:48] Speaker B: C'est ça.
[00:23:48] Speaker C: Tu t'inquiètes pas avec ça. Un mariage c'est une autre affaire, parce que c'est once in a lifetime, supposément.
[00:23:53] Speaker B: La cousine de ta blonde, que c'est ta belle-mère, il veut absolument que tu l'invites, pis toi t'as pas l'intention de l'inviter.
[00:23:59] Speaker C: Ouais, elle aussi.
[00:24:00] Speaker A: Ça c'est un autre dossier.
[00:24:02] Speaker B: Tout se critique-patente.
[00:24:03] Speaker C: Ça devient quasiment politique, un mariage. C'est très politique. C'est qu'on invite qui qu'on invite pas.
[00:24:07] Speaker A: C'est très politique.
[00:24:08] Speaker B: Tout ça pour quelque chose qui va possiblement se finir d'ici 15 ans.
[00:24:11] Speaker A: Ben moi je suis marié, à date, ça s'approche 15 ans Dan, mais je te remercie. Je sais.
[00:24:15] Speaker B: À date c'est correct. Il y en a un sur quatre.
[00:24:17] Speaker A: Mais nous autres on s'est mariés en 2011, faut pas que je me trompe.
[00:24:22] Speaker B: Non.
[00:24:22] Speaker A: Ce serait bien balèze.
[00:24:23] Speaker B: Ce serait vraiment crisp.
[00:24:24] Speaker A: Je serais poigné pour aller super au Ashton en soirée. Quoi que l'Ashton c'est bien correct, mais c'est pas ça le sujet. Il y a beaucoup de monde que j'inviterais pas.
Je devrais pas dire ça. Il y a du monde que j'inviterais pas, mais il y a du monde que j'inviterais. C'est sûr que ma vie a changé. Ça fait 11 ans. C'est normal. Ça fait 11 ans. Ça fait 14 ans. En 2011.
[00:24:50] Speaker B: On se connaissait pas.
[00:24:52] Speaker A: La place, c'est ça exactement. Vous viendriez.
[00:24:56] Speaker B: Oui.
[00:24:57] Speaker A: Moi, Patrice Demers m'a donné un cadeau de mariage. Patrice, il est plus dans l'environnement.
[00:25:01] Speaker B: Il a-tu demandé un remboursement?
[00:25:05] Speaker A: Je peux aller en mal encore. Je peux aller aujourd'hui en mal. Je vais aller en mal tantôt. Non, non, je pense pas, là. C'est pas vrai, là. C'est bien correct, là. Mais tu sais, Phil, par exemple. Phil, c'est mon boss aujourd'hui. C'est sûr qu'il viendrait au mariage. Quoique, Phil, étais-tu au mariage? Non, il était pas au mariage, je pense. Mais tu sais, ça change, là. Tu sais, ça change complètement, là. Ceci dit, tu fais ta sélection en fonction des gens les plus proches. Du côté de ma blonde, c'était quasiment la boss au complet, là.
C'était quasiment un voyage en autobus organisé.
[00:25:36] Speaker C: Faut inviter telle-tente, sinon ça va faire de la malle.
[00:25:39] Speaker A: Non, non, non, ma blonde, c'est beaucoup les cousins, les filles, les soeurs, c'était partit beauceron, mais à beau port.
[00:25:43] Speaker B: C'est-tu bord ouvert?
[00:25:45] Speaker A: C'était bord ouvert. Ouais, ça a coûté cher. J'ai payé encore.
[00:25:49] Speaker B: T'as-tu fini de payer?
[00:25:51] Speaker A: C'est pour ça que je fais des lives dans Véro Confort.
[00:25:53] Speaker C: D'ici 2032, je devrais finir de payer.
[00:25:56] Speaker B: Je termine, on parle d'argent, je termine avec une fille. Elle, ça là, c'est malade. Moi, quand je devais de l'argent à quelqu'un, ça fait longtemps que ça m'est pas arrivé, mais tu sais, quand tu dois de l'argent à quelqu'un, tu...
C'est gênant. Mettons, il te voit, t'as pas l'argent pour lui donner, pis t'as un café dans les mains. Tu comprends? Tu viens de t'acheter un café, mais t'as une dette. Écoute ce qu'elle a à dire. Je suis rempli d'empathie. Je sais que l'empathie, ça ralentit le monde. Mais je suis rempli d'empathie pour cette dame-là.
[00:26:29] Speaker E: Quand t'es au Tim Hortons, pis qu'il y a juste derrière toi, Il y a l'auto de ta locataire qui habite en haut de chez vous qui te paye pas. Pis que t'es comme, ah ben, pas capable de me payer, mais capable de t'acheter du Tim Hortons, hein? Hé, c'est vraiment frustrant. Pis le pire, c'est que je les vois tout le temps au Tim Hortons. Je passe devant, je les vois. Ah, c'est vraiment frustrant. Il y a comme pas de mots pour savoir quel point c'est frustrant de la voir venir au Tim Hortons, de genre fumer 14 fois sur son balcon de la Maréjuana, Vraiment insultant.
[00:27:23] Speaker C: Ouais.
[00:27:24] Speaker B: C'est ça.
[00:27:24] Speaker A: Pas de médical.
[00:27:26] Speaker C: Oui, c'est ça.
[00:27:26] Speaker A: Pas de médical au début, là. C'était large, j'ai anticipé.
[00:27:28] Speaker C: Oui, c'était large.
[00:27:29] Speaker A: J'ai mal dans le dos.
[00:27:31] Speaker B: Il n'y a pas de médecin qui me l'a prescrit, mais je vais mieux.
[00:27:33] Speaker C: C'est ça.
[00:27:34] Speaker A: Ouais, c'est ça. C'est-tu tout, là?
[00:27:37] Speaker B: C'est tout. 7h20, je pense que oui.
[00:27:38] Speaker A: C'était bien parti, Christie. C'est plate que ça finisse. Il y a quelqu'un qui s'est marié grec. Hélénique, merci. Grec, autrement dit. 15 ans de mariage en nous.
[00:27:50] Speaker C: C'est la chef!
[00:27:51] Speaker A: Donc, Greek Wedding. Greek Wedding, c'est drôle. C'est drôle, ce film-là.
[00:27:55] Speaker B: Le film, oui.
[00:27:56] Speaker A: Le premier était drôle. Le deuxième était pas pire aussi.
[00:27:59] Speaker C: Y'a pas eu trois, genre?
[00:28:00] Speaker A: Le troisième, j'l'ai pas vu. Mais il paraît qu'il était pas pire.
[00:28:03] Speaker B: Moi, j'me suis allé pour le premier.
[00:28:05] Speaker A: Le premier, c'était cœur.
[00:28:06] Speaker B: Premier produit par Tom Hanks. L'histoire, c'est une pièce de théâtre d'été. C'est du vaudeville, ça. Pis la femme à Tom Hanks était à quatre parts aux États-Unis, j'me souviens plus où, pis elle est allée voir cette pièce-là sans Tom Hanks. Puis elle a ri, elle a trouvé ça drôle, puis elle, dans sa tête, ça faisait un bon film. Ça fait qu'elle disait à son chum, il faut absolument que tu viennes voir cette pièce de théâtre-là, tu vas pogner de quoi. Ça fait qu'elle est partie, avec son chum, voir la pièce une deuxième fois, puis Tom Hanks s'est dit, « Ah, ma blonde a tellement de l'air à aimer ça, je vais en faire un film.
[00:28:38] Speaker A: » Ça a fait un gros succès. Ça a beaucoup de char à faire.
[00:28:40] Speaker B: Ils ont fait un film qui a été un véritable succès.
[00:28:43] Speaker C: Un gros succès.
[00:28:44] Speaker A: Au box-office, puis en streaming.
[00:28:45] Speaker C: Ils ont imprimé du trajet avec ça.
[00:28:47] Speaker B: C'était un bon feel-good movie.
[00:28:48] Speaker A: C'est vraiment, vraiment bon. Ça se réécoute encore très bien.
[00:28:50] Speaker B: Parce que c'est un film qui se passe jamais rien de croche. Tout va bien tout le temps.
[00:28:54] Speaker A: C'est un good movie. La fille est l'aide au début. Reject. Protégée par sa famille. Son frère, Fandant, un grec typique. C'est très stéréotypé. La musique. Tombe en amour. Change son allure. Les personnages sont très typés. C'est vraiment, vraiment bon.