GILBERT THIBODEAU: Montréal perd des commerces et des familles!!!

September 17, 2025 00:17:54
GILBERT THIBODEAU: Montréal perd des commerces et des familles!!!
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GILBERT THIBODEAU: Montréal perd des commerces et des familles!!!

Sep 17 2025 | 00:17:54

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[00:00:00] Speaker A: C'est pas facile d'être amoureux à Montréal Le ciel est beau, la terre est grise, le fleuve est sale La ville de Montréal est en train de s'effondrer sous nos yeux. Quelle histoire pathétique que celle du cycliste, pareil. Ça n'a pas de bon sens. Mais ça, c'est une anecdote parmi d'autres. C'est tellement triste à voir. Tellement triste d'entendre les politicos également qui se présentent à la mairie. Hier, il y avait un débat. Mais il me semble que je ne l'ai pas vu, Gilbert Thibodeau, candidat à la mairie de Montréal pour Action Montréal. Il était-il là hier au débat, Gilbert Thibodeau? Allô, comment ça va? [00:00:40] Speaker B: Comment ça va, M. Moret? [00:00:43] Speaker A: C'est M. Moret. Moret Live. Ça va bien? [00:00:46] Speaker B: Oh, Moret Live. Dominique Moret. [00:00:49] Speaker A: Une émission qui existe depuis 15 ans, pareil. [00:00:51] Speaker B: Mais tant mieux. Bien content. Bien content et j'espère que vous allez en faire une autre 15 à 30 ans. [00:00:56] Speaker A: Je suis content de vous parler parce qu'il y a tellement de vidéos qui circulent. Vous avez beaucoup de bonnes idées, mais rassurez-moi en partant, vous étiez là hier au débat, hein? Non? Vous étiez pas là? Il vous boude? Qui vous boude? Qui vous boude? [00:01:11] Speaker B: Je le sais pas. La restriction selon l'INM. Vous parlez du débat d'hier de l'INM. [00:01:18] Speaker A: Oui, bien ce soir exactement avec M. Rabouin, qui semble être aussi pire que la riganeuse. Il y a l'autre également qui allait complètement perdu. Mais vous étiez pas là. Pourtant, vos idées sont bonnes. [00:01:30] Speaker B: En fait, je vais être simple et direct. Ça me fait de la peine, mais c'est la vérité. L'INM avait des restrictions. Je ne comprends pas pourquoi. Et les restrictions se résumaient à... Vous devez avoir plus de la moitié de candidats, ce qu'on remplit amplement. Et l'autre était, vous devez, si je me rappelle bien, avoir 10 % dans un sondage accrédité. [00:01:54] Speaker A: Ah, c'est ça. [00:01:55] Speaker B: Bon, attendez, là. Il n'y a pas eu de sondage. Mon nom n'est jamais sorti dans les sondages. Le seul sondage qui a sorti, c'est... Le résultat, là, je veux pas me tromper, je pense que c'est 19 % pour Suraya. [00:02:09] Speaker A: Je pense que... OK, mais peu importe, vous étiez pas là. Vous étiez pas là. [00:02:12] Speaker B: Non, je n'étais pas là. [00:02:13] Speaker A: En tout cas, on roule. Pourquoi prétendez-vous être le meilleur en lice pour devenir maire de Montréal? [00:02:22] Speaker B: Plusieurs raisons. La première, j'ai aidé plusieurs maires à Montréal et plusieurs candidatures dans le passé. Je suis né à Montréal. Mon père est né à Montréal. Mon grand-père, en 1892, il est né. Il était commerçant à Montréal. Pour ce qui est de connaître Montréal, disons que je le connais, parce que non seulement j'ai été candidat, mais évidemment, j'ai aidé d'autres candidats dans le passé. Par la suite, pourquoi je suis candidat? Parce qu'il y a des gens qui m'ont approché et qui m'ont dit, Gilbert, Gilbert, Arrête d'aider tout le monde, là. T'es capable. On connaît tes idées. Elle est en place. On s'occupe de créer un parti. Et voici ce qu'on a fait en 2021. Maintenant, pourquoi... Là, là, c'est ça. On commence par quoi? La réduction du nombre d'élus. [00:03:07] Speaker A: Ah, ça, j'aime ça! Ça, j'aime ça! Il y a 19 arrondissements avec des maires et des politicos entre chaque. C'est une ville complètement ingérable. On coupe des élus, j'adore, il y en a trop. [00:03:19] Speaker B: Oui. En fait, honnêtement, il y en a 103. Ça n'existe pas nulle part en Amérique du Nord. Il y a 19 maires et 84 conseillers. Oui, c'est ça. Et je vais faire un comparatif avec Québec. Je pense que vous avez un maire 21 conseillers. [00:03:35] Speaker A: Oui, exactement ça. [00:03:37] Speaker B: Bon, puis je ne veux pas me tromper. À Toronto, il y a un maire 25 conseillers, puis ils ne sont pas loin de 3,8 millions. OK, on se contracte. Ça, c'est seulement qu'un point. Il y en a tellement. Reprendre le contrôle des finances, là, c'est. [00:03:53] Speaker A: Une des choses... Bien, votre plan... Allons-y avec votre plan, mettons, des 100 premiers jours. Tu sais, on dit ça souvent, les 100 premiers jours d'hôtels politiciens qui arrivent en poste. Votre 100 premiers jours, ça ressemblerait à quoi, Gilbert, qui arrive à l'hôtel de ville? [00:04:06] Speaker B: En trois points ou en cinq points? [00:04:08] Speaker A: Trois points. [00:04:10] Speaker B: Évidemment, la propreté. À Montréal, là, actuellement, il y a différents arrondissements qui sont... On appelle ça pilote. Pilote. L'évidence se ramasse seulement qu'une fois aux deux semaines. Donc, on augmente la malpropreté un peu partout à Montréal. La deuxième chose, si j'avais une grande chose, évidemment, les logements. On parle souvent des logements. Puis là, le mot qui revient, c'est « ah, ça prend les logements abordables ». Je n'ai pas d'objection avec le mot « abordables ». Mon problème est que Les candidats qui se présentent, puis là, on peut revenir à Denis Coderre, là. Il parlait de 10 000, 20 000 logements, puis on va améliorer, puis ça va être mieux. Non, non, non, non. C'est pas 10 000, 20 000, là. Ça rentre à tour de bras aux douanes canadiennes, puis ils cherchent toutes des grandes villes. Ils appellent ça des réfugiés. Appelez-les comme vous voulez, là. On peut les appeler illégaux, peu importe. C'est 150 000 logements qu'on a besoin de Montréal. Et pour le faire, on va arrêter de ralentir les promoteurs qui veulent développer Montréal avec des restrictions extrêmes. C'est extrême, là, comment est-ce qu'il y a... C'est pas moi qui l'invente, là. L'Institut... Comment ça s'appelle? L'Institut... de développement urbain. Oui, oui, économique de Montréal. Bon, l'on dit que l'administration actuelle a bloqué 3800 logements à Montréal. Les raisons sont simples. Les délais sont longs. Il n'y a pas grand promoteur qui va attendre un an, un an et demi pour avoir un permis. Et deux, se font dire non. Vous ne devez pas mettre de stationnement pour les automobilistes qui vont être des locataires parce qu'on n'aime pas les autos. Il y a tellement de restrictions. C'est incroyable. Donc on va non seulement l'améliorer, disons qu'on va changer pas mal. Et le troisième point très important, l'itinérance. La façon qu'on attaque l'itinérance à Montréal, c'est une vraie farce. Ça fait 30 ans, 40 ans, ça doit être pareil à Québec. Ça doit être pareil dans les grandes villes. Tout le monde tape sur le clou de la même façon. Ça coûte... J'invente pas les chiffres, c'est Radio-Canada qui a sorti ça en novembre 2024, si je me trompe pas. Ça coûte 400 millions par année, l'itinérance à Montréal. Il y en a, selon les chiffres, entre 5 000 et 6 000. Et la seule solution qu'on a depuis 30-40 ans, c'est que si jamais ça dérange un quartier, on leur dit de s'en aller de là. Puis deux, trois semaines après, on recommence. Là, c'est hallucinant, là. Là, c'est le quartier chinois à Montréal qui commence à en avoir. C'est la rue Notre-Dame. Il y a des tentes, il y a des campements. Il y en a de plus en plus un peu partout. [00:06:46] Speaker A: — Vous allez faire quoi? [00:06:47] Speaker B: — Bien, comment... OK. Comment se fait-il que moi... qu'à Montréal, on a des lieux de culte? Et le principe d'un lieu de culte, ça, il paye pas de taxes. En partant, il y a un bel avantage. Et les lieux de culte sont là pour aider. Par principe, une religion, t'aides ton prochain. Pourquoi on n'a jamais approché les lieux de culte et dit, regarde, regarde, aidez-nous, à court terme, héberger l'ensemble ou une grande majorité, parce qu'il y a des organismes qui font un bon travail, qui aident l'itinérance. Pourquoi on ne demande pas aux églises? Pendant six mois ou un an, on leur dit pas, regarde, aidez-nous, on va vous porter, on va trouver des travailleurs sociaux, on va les sortir de là. Pendant ce temps-là, à Montréal, il y a plus de 80 bâtiments vides, et la ville paye tout, là. [00:07:39] Speaker A: Avec le télétravail, il y en a de plus en plus, là. [00:07:43] Speaker B: Oui, puis en plus, on paye l'eau, le chauffage, l'électricité dans ces bâtiments-là, totalement vides, qui sont en train de dépérir, Pourquoi est-ce que la Ville ne commence pas à penser à en utiliser 2, 3 ou 4? [00:07:56] Speaker A: Aimeriez-vous ramener une bonne police au lieu d'une police qui joue au basketball? [00:08:03] Speaker B: Bien, c'est ça. Là, vous touchez un quatrième point, oui. La police reçoit des ordres. Ça provient de la haute direction de la Ville de Montréal. Pour ne pas le dire, c'est le maire ou la mairesse qui donne la direction. Comment est-ce qu'on va gérer la Ville parce que les policiers sont là pour la sécurité et servir la population? Comment se fait-il qu'actuellement, les policiers ferment les yeux sur plusieurs éléments qui se passent actuellement à Montréal? Je pense que vous m'avez demandé, au cours des 101er jours, je vais rencontrer le directeur de la police et je vais lui demander quelles sont les directions que vous avez eues ou que vous avez actuellement... Et au pire, on le. [00:08:41] Speaker A: Mettra à la porte. [00:08:43] Speaker B: Ben, disons que... Fadi Daguerre. Wow! Ben, je vais être... Je vais être... Vous n'avez pas un. [00:08:49] Speaker A: Bon, là, Montréal, je vais vous dire. Vous n'avez pas un bon. [00:08:52] Speaker B: Bon, en tout cas, ceci dit, peut-être, peut-être que vous avez raison, mais je pense que l'important, c'est que... [00:08:57] Speaker A: Je suis d'accord avec moi-même. Ça donne quand même. [00:09:00] Speaker B: Ah, c'est bon. Il n'y a rien de mieux que d'être d'accord avec soi-même. [00:09:04] Speaker A: Je pense qu'une bonne... Non, mais vraiment, il est un peu particulier. Parlez-moi des vélos. Les vélos, ça fait jaser partout au Québec maintenant. Les maudites pistes cyclables de fous et la guerre à l'auto. Le Mont-Royal et tout ça. Parlez-moi d'un peu de ce que vous vivez à Montréal, ce bordel. [00:09:21] Speaker B: Bien, en fait, c'est le bordel. C'est qu'à un moment donné, j'aime pas utiliser ça, mais je vais le faire, là, vous semblez dire que je vais l'être. Ils appellent ça la pensée unique. Et ça, c'est pas un secret, là. C'est clair. Même... comment est-ce que ça s'appelle? Soraya a déclaré, lorsqu'elle était au fédéral à Ottawa, elle restait pas à Montréal, et elle a déclaré carrément qu'il manque de pistes cyclables, on doit ajouter des pistes cyclables dans Hochelaga. Elle était députée d'Hochelaga. Là, elle vient de changer d'idée. Elle vient de s'apercevoir que je pense que le monde n'aime pas trop ça. Mais sa pensée, c'est toujours la même, c'est réduire l'automobile au maximum. Et le projet Montréal, lui, c'est une autre façon de dire ça, c'est on va tellement incœurer les automobilistes qu'ils vont lâcher l'automobile. Ça, là, j'appelle ça une pensée unique. C'est carrément ça. Pour ce qui est des pistes cyclables, c'en est pathétique. Là, on fait mal aux petits commerçants. Et j'insiste sur le fait que j'étais, je suis un petit commerçant, suite à toute ma famille également, à Montréal. Et c'est pathétique, ce qui est en train de se passer sur les rues commerciales. Oubliez pas qu'un commerçant signe un bail, lui, il ne signe pas un an. Il signe 10 ans, 5 ans, des fois 15 ans, puis là, renouvellement, 5 ans ou pas. Donc on ne le voit pas, là, pour le moment. Il y en a qui disent, bien, je vais tocher un an de plus, un an de plus. Ce qui va arriver, là, ça va quitter Montréal, ça va aller à Laval, ce qu'on appelle le centropolis, où ça arrive sud de Montréal, qui est de plus en plus connu, le 10-30. Puis c'est ça que... c'est là qu'on a un gros problème. Si Montréal veut garder le titre de métropole, il va falloir qu'elle soit et qu'elle agisse. [00:11:06] Speaker A: En fait, je crois pas... [00:11:17] Speaker B: On va passer sur la note. Qu'est-ce qu'elle a fait? À mon avis, on recule. À mon avis, on recule à Montréal. On est en train de perdre des familles. Pourquoi on passe sur la note? [00:11:31] Speaker A: J'en reviens là-dessus. Moi, je suis noté. Je vois des sondages de radio. Je note les jeunes notes. On note les joies des Canadiens. Le meilleur, le pire. Pourquoi Canoë ne donnerait pas de notes? [00:11:42] Speaker B: OK, OK, OK. Elle n'a pas 5 sur 10. Elle est en bas de la liste. [00:11:45] Speaker A: Un échec, bing! Ça ne résulte pas de ça de la liste. [00:11:49] Speaker B: Bien, en fait, c'est ça. Mais en plus, moi, ce qui me fatigue le plus dans l'ensemble de ça, c'est le coût. Le coût depuis Ensemble Montréal, je répète, et Projet Montréal. Je le résume, vous allez voir. Gérer Montréal sur le budget de 2017, que ce soit Coderre ou elle, celle qui les remplace, peu importe, c'était à peu près 4,1, 4,2 % du budget global pour ce qu'on appelle l'administration générale. Ça représentait 295 millions. Depuis ça, Aujourd'hui, je vous donne le chiffre, là, du budget 2025. Tenez-vous bien, là. C'est pas 295 millions. Là, il y a eu des ajouts, des comités, appelez-les comme vous voulez, des services, des n'importe quoi. Aujourd'hui, Gérir Montréal, l'administration générale, est rendue à 805 millions. [00:12:44] Speaker A: Trop de fonctionnaires? [00:12:46] Speaker B: Ben, trop de... Moi, j'apprête ça à des hauts fonctionnaires. Je fais attention parce que j'ai un. [00:12:49] Speaker A: Niveau... Oui, non, je comprends. Pas de trop de colle bleue. Trop de chemise blanche en haut, c'est ça? [00:12:55] Speaker B: Bien, c'est ça. Ce qu'on appelle des hauts fonctionnaires, plusieurs vont dire des petits amis, des nouvelles nominations... [00:13:02] Speaker A: Le vice-directeur, la vice-directrice de... Oui, c'est ça pareil? [00:13:09] Speaker B: Oui. Bien, c'est ça. C'est ça. Là, ça, c'est hallucinant. Et là, je ne sais pas si vous avez des vignettes à Québec. À Montréal, dans un arrondissement, avoir un premier véhicule, c'est à l'entour de 300. Le deuxième, 660, je pense. Là, là, ça devient pathétique. Là, là, ils cherchent de l'argent partout. Je me dis, bon, c'est peut-être une bonne idée. Si tu appliques les revenus supplémentaires sur la dette, la dette... Le budget de Montréal, c'est 7,2 milliards de dollars. La dette de Montréal, là, si j'inclue la STM, on s'en va vers 14 milliards. C'est 13,5 millions à peu près, là. C'est hallucinant, là. [00:13:51] Speaker A: Est-ce que Montréal peut s'en sortir? [00:13:53] Speaker B: Ah, bien oui. Bien oui. On peut non seulement s'en sortir, améliorer le service, faire en sorte que Montréal fasse un virage à 180 et redevienne positive, que les citoyens réalisent qu'on sert les citoyens. Là, actuellement, on ne sert pas les citoyens. Ceux qui sont élus sont en train de se servir. C'est complètement différent. Bien oui, ça se fait. Oui, moi, je suis positif. Puis moi, je dis, ça fait plusieurs années que je vous l'ai dit, il va falloir que quelqu'un fasse quelque chose, là. [00:14:26] Speaker A: Pourquoi vous n'avez pas eu des gros sondages, votre discours à l'allure? Vous voulez sauver Montréal. [00:14:32] Speaker B: Il n'y en a pas eu. Il n'y en a pas eu. Je répète, le dernier sondage qu'il y a eu, le dernier sondage qu'il y a eu, je vous le dis, je le répète, 18 %, l'autre a eu 14-15, l'autre a eu 7, et en bas, c'est marqué 61 % de la population. Je veux changer de parti. Pourquoi vous ne mettez pas Gilbert Thibodeau à l'équipe Montréal? Mais ça, vous allez me reposer la question. Pourquoi? Je ne le sais pas. Est-ce que c'est parce qu'on est en train de dire... Qu'en est-il du travail des médias? [00:15:03] Speaker A: Dernière question à Montréal. [00:15:05] Speaker B: Comment vous dites? [00:15:06] Speaker A: Qu'en est-il du travail des médias? dans la couverture municipale. Un gars comme l'automobiliste de Montréal, il nous envoie des vidéos à longueur de journée sur X, il nous met des extraits. Jamais TVA ou Radio-Canada n'y passe ça, ces extraits-là. Des extraits complètement capotés. de politicos dans des quartiers qui en voient ils promenent le monde, ils veulent avoir une piste cyclable là, pis cassez-vous pas la tête, arrêtez de chialer, pis on enlève des parkings, pis ça nous dérange pas. Mais comment ça que les médias ne reflètent pas ça? Cette hostilité-là envers les citoyens, il y a un problème là! [00:15:40] Speaker B: C'est délicat de ce que vous dites, parce que... Quand on dit un média, on dit un média traditionnel. Et un média traditionnel, actuellement, a énormément de difficultés. Je ne veux pas en nommer. Et ceux qui n'ont pas de difficultés sont subventionnés à l'extrême par ceux qui... Je favorise le fait que j'aime pas utiliser le mot mondialiste. Je veux pas utiliser le mot... -"Diversity woke mondialiste", etc. Bon, c'est ça. Je me dis, OK, donc c'est difficile de percer. Par contre, on a... Je veux remercier certains animateurs qui vont se reconnaître à la radio, tout comme vous, qui sont de Montréal, qui m'ont invité une fois ou deux. [00:16:21] Speaker A: Je sais que vous êtes ici, au Vegas, là. C'est quand même trippant, là. Avec Riri. Riri vous a invité au Vegas, c'est le fun. [00:16:28] Speaker B: Ah, ça c'est... ça fait déjà un bout de temps. C'est Riri-Poulin, c'est ma mémoire. Oui, c'est ça. Non, non, il y a des gens. [00:16:35] Speaker A: Regarde, on va brosser à ça. Aïe, regardez, on se laisse là-dessus, M. Thibodeau, mais assurément qu'on va se reparler. La campagne ne fait que commencer. Et étonnamment... [00:16:43] Speaker B: J'ai garanti de l'appel. [00:16:44] Speaker A: À cette antenne, vous êtes le bienvenu. Et étonnamment, vous allez avoir plus de temps en antenne ici qu'au 98.5. Ce qui en dit plus sur le 98.5 que sur nous, en passant. Tristement. [00:16:55] Speaker B: Vous êtes bien gentil. Ça a été un plaisir de vous parler. On va brosser la sauce. Merci encore une fois. [00:17:01] Speaker A: On va brosser la sauce. Gardez-vous près du téléphone, on vous rappelle. Salut, bye. [00:17:06] Speaker B: Merci. Bonjour. [00:17:07] Speaker A: J'aime ça. Il brasse la sauce. Ça vient du cœur. Il est critique. Tu lis la presse, Valérie Plante, que vous êtes bonne, que vous êtes belle, que vous avez un beau sourire, c'est extraordinaire. Montréal s'écroule, mais on y va avec des anecdotes dans la presse. Il y a un trou, il y a un cycliste qui est tombé, il y a ci, il y a ça. Elle est au cœur de la matière. C'est un régime qui ne tient pas la route du début à la fin. C'est une dérive idéologique, il n'y a pas de mondie bon sens. Demain, on a Gilles Proulx, hein, Dom, demain? C'est clair que j'appelle Gilles tantôt, mais c'est sûr qu'on va parler de ça, là. Gilberti Bodeau, puis là, Gilles va nous parler de Verdun, puis du boulevard Wellington et tout ça. C'est sûr qu'on va s'intéresser un peu quand même à ce qui se passe à Montréal.

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