Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: On devient légionnaire et on reste jusqu'au la mort. Jusqu'au la mort.
[00:00:04] Speaker B: Jusqu'au.
[00:00:22] Speaker A: Avant le conseil municipal, il y a toujours un point de presse où le maire répond à des questions. la Et bien sûr, une bonne partie mort. des questions a porté sur le tramway. Est-ce qu'on arrête les travaux? Est-ce que sa maman l'avait lancé un peu plus tôt dans la journée? Et marchant, nous a bullshuté plein de choses, comme à l'habitude, en gros. Puis ça a commencé comme ça.
[00:00:42] Speaker C: Pour lui, il n'y a jamais eu de consultation de la population sur ce projet-là. Est-ce que vous avez l'intention d'accéder à sa demande?
[00:00:51] Speaker D: L'élection 2021, ça, ça... Ça, ça existe pas. C'est la prochaine qui compte seulement. Alors non, on va continuer de faire le travail pour lequel on s'est engagé. On veut pas que la Ville paye des pénalités. C'est un projet qui a été discuté depuis... On est rendu presque à quoi? Plus que 15 ans à Québec que le projet était discuté. Alors le projet avance, oui.
[00:01:10] Speaker E: C'est pour ça qu'il veut pas revenir à Radio-X, si vous venez de l'entendre, c'est juste ça. C'est juste ça. Parce qu'il y a aucun autre média qui lui demande, ouais, mais en 2021, vous aviez promis de faire le tramway, pas de fils, puis pas de dalles de béton.
[00:01:22] Speaker A: Puis vous aviez promis de pas faire le tramway si les gens étaient à compte.
[00:01:25] Speaker E: Mais les autres médias ne demandent pas ça. Il sait que Radio-X lui demanderait, puis qu'il serait trappé.
[00:01:29] Speaker B: Hein?
[00:01:30] Speaker E: Il serait trappé.
[00:01:31] Speaker B: Oh, oh, oh! Une trappe à ours!
[00:01:34] Speaker A: Ils peuvent revenir ici. Il n'y a personne qui l'a questionné. Il n'y a personne qui a ramené justement ses propos de l'époque. Si réellement, l'élection de 2021, on avait écouté la population, les gens ont voté pour que le tramway soit présentement arrêté.
[00:01:46] Speaker B: On module la couverture en fonction du gagnant qu'on choisit.
Et ça, je vous dirais, c'est dans toutes les juridictions. Voulez-vous qu'on commence? Parfait. Comté de Trois-Rivières, Yves-Lévesque. Pierre-Paul Lievre au National. Pierre-Paul Lievre au Québec. Donald Trump.
Artabasca. Tu sais, je veux dire, Québec. Bon, parfait. Lévis, peut-être moins. Mais Lévis, ça semble être une course un peu acquise pour Blainey. Les gens veulent vivre leur moment Blainey, moi, je pense. OK. Toi, tu votes pour qui?
[00:02:27] Speaker A: Honnêtement, je ne sais même pas encore.
[00:02:29] Speaker B: Sergio ou l'autre, la madame qui… M.
[00:02:32] Speaker A: Bonner va avoir besoin de travailler très fort pour me convaincre, mais les deux autres, je ne sais pas encore. Je ne peux pas dire que ma décision est encore prise.
[00:02:41] Speaker B: Mais c'est ça, les médias orientent leur couverture en fonction de leurs intérêts, de leur idéologie et du gagnant qu'ils ont choisi au préalable. Après ça, ils manufacturent la couverture pour avoir le résultat qu'ils veulent. Faut mal paraître, hein? Grossissent des bonnes nouvelles. 100 millions pour Saint-Roch! C'est juste 15 ans.
C'est des ballounes, c'est du sambon, c'est un p'tit coup de ballet.
[00:03:11] Speaker A: Après avoir rien fait pendant des années.
[00:03:12] Speaker B: Après avoir rien fait.
[00:03:13] Speaker A: Le bilan de Saint-Roch sous Bruno Marchand, c'est Jacky Smith qui est installé dans le Benjo.
[00:03:20] Speaker B: Ben oui.
[00:03:21] Speaker A: Parce que le Benjo est fermé.
C'est ça le bilan, en fait, des dernières années de Saint-Roch sous Bruno Marchand. Olivier Lemieux a essayé de faire diversion à un moment donné. On essaie de revirer ça parce que Hamal, c'est lui le méchant.
[00:03:34] Speaker B: Sa sortie d'aujourd'hui va un petit peu à l'encontre de ce que son entourage véhicule en coulisse depuis des mois, à savoir que pour Leadership Québec, l'élection qui vient ne sera pas une élection en référendaire. On nous le répète en disant que la plateforme va adresser une variété d'enjeux. Le tramway, c'est un enjeu parmi d'autres. Or, aujourd'hui, Il sort avec ça à l'avant-plan en disant qu'il faut arrêter les travaux. Est-ce que vous pensez que M. Hamad, à ce stade-ci, veut donner un électrochoc à une campagne qui ne va pas à son goût?
[00:04:05] Speaker D: Je pense qu'il parle aux électeurs de Stéphane Lachance. Je pense que sa concurrence, elle est entre lui et Stéphane Lachance.
[00:04:11] Speaker B: Bien, il n'est pas faux encore, Mimosa. Je te dis, lui, il n'a pas de sang d'invain, il a du Mimoja. Il est vitaminé, il est cranqué.
Et je vous le dis, je ne suis pas un marchand. Marchand, il focus. Ce qu'il vient de dire là, il a tout à fait raison.
[00:04:29] Speaker A: Moi, c'est Olivier Lemieux qui essaie de twister ça au lieu de challenger marchand.
[00:04:35] Speaker B: — Ils le challengeront pas, marchands.
[00:04:37] Speaker A: — Commence donc à me blasser, s'il vous plaît, Ahmad, là, pour que ça me fasse des cotes, pour qu'on blasse Ahmad. C'est vraiment ça, là.
[00:04:42] Speaker B: — Ils le challengeront pas, marchands.
[00:04:43] Speaker A: — Bien heureusement, il y en avait qui faisaient quand même un peu leur job, là.
[00:04:45] Speaker B: — Ouais.
[00:04:45] Speaker A: — Moi, 20 hier, de nouveau.
[00:04:46] Speaker B: — Bon. Bravo.
[00:04:47] Speaker F: — C'est quand même M. Ahmad qui gagne la journée, parce que c'est de sa proposition qu'on parle, faire de la prochaine élection une élection référendaire sur le tramway. Et là, ce que je vous entends dire, c'est qu'on peut pas faire ça sans pénalité. On a entendu M. Villeneuve dire qu'elle a déjà réglé cette question-là. Pourquoi, au contraire, vous ne dites pas.
[00:05:01] Speaker A: « bring it on », « je.
[00:05:02] Speaker F: Vais te battre les fesses ». Pensez-vous gagner une élection référendaire ou avez-vous peur de la perdre?
[00:05:06] Speaker D: Je travaille pour gagner cette élection.
[00:05:08] Speaker F: Mais si c'est l'enjeu du tramway, avez-vous peur de la perdre?
[00:05:10] Speaker D: Moi, j'ai envie de faire l'élection sur un autre enjeu. J'ai envie de faire l'élection sur d'autres enjeux, puis je pense que le deux tiers des citoyens de Québec, au moins, sont tannés que ce soit ça l'enjeu, parce qu'on a tout à fait discuté dans les précédentes élections.
[00:05:21] Speaker A: Deux tiers de la région de Québec, en effet, sont tannés que ce soit ça l'enjeu parce qu'ils ne veulent plus de ce projet-là.
[00:05:26] Speaker B: Bois vin bon.
[00:05:27] Speaker A: Oui, la question est bonne, puis ils ramènent même après... Je l'ai coupée en deux, parce qu'après ça, ils ramènent même le sondage d'hier du Soleil.
[00:05:33] Speaker F: 60 % des gens dans le sondage du Soleil de ce matin qui n'en veulent pas du tramway. Ces gens n'ont peut-être pas l'impression que la question est réglée. Mais si vous pensez pouvoir les rallier, pourquoi vous acceptez pas tout simplement la proposition de dire « bring it on », le référendum?
[00:05:47] Speaker D: Parce qu'on peut pas faire un référendum sur une course avec cinq parties non plus, là. C'est deux contextes complètement différents.
[00:05:53] Speaker F: Non, c'est vrai qu'il y a un référendum formidable, vous contre M. Hamal.
[00:05:55] Speaker D: Ah oui, puis on dit aux autres candidats C'est.
[00:06:19] Speaker A: Pour ça qu'il aurait fallu faire un référendum, ce qu'il a toujours refusé.
[00:06:22] Speaker B: Mais je le répète, je le répète, je le répète. Si les anti-tramways, et je suis un anti-tramway, il y en a beaucoup à l'antenne qui le sont, veulent un référendum, une élection référendaire, c'est un candidat anti-tramway, pas 16! Sacrifice! Ah mais je vais pas lui parler, pis il m'a parlé au restaurant, pis il me boude, pis il m'a bitché sur Yoto, pis il a pas été fin, pis j'y parle plus, pis là, j'ai appelé, il s'est pas présenté au rendez-vous, pis du maudit niaisage de bébé Lala. Ben c'est ça! Je vous le dis un matin, je suis marchand. Je vote pas pour lui! Ce que je dis, c'est qu'il a l'avantage.
[00:07:04] Speaker A: Ben oui.
[00:07:05] Speaker B: Il a le momentum, il a le pizzazz, il a de bonne humeur, et il a encore une fois tout à fait raison!
Moi, je vote contre le tramway, mais crucifie, je pourrais.
J'aime la chance, j'aime Amad. J'pars à France, j'parle pas de moi là, j'parle d'un citoyen, ok? J'aime la chance, y'est bien implanté dans le coin de Val-Belaire pis tout ça, y'a des bons candidats.
[00:07:29] Speaker E: Pis y'a Guérette aussi!
[00:07:30] Speaker B: Pis y'a Guérette! Y'a Guérette aussi, qui a de la couenne.
[00:07:34] Speaker E: Mettons qu'elle va chercher 100 votes, j'vous rappelle la dernière, ça s'est décidé par quoi, à Caragne?
[00:07:38] Speaker B: Ça s'est décidé par Michel-Bélet-Colomb. Ça s'est décidé par 700 cucs.
[00:07:41] Speaker E: C'est ça.
[00:07:41] Speaker B: C'est ça. Donc!
C'est ça l'histoire, c'est qu'on s'est pas organisé. Fait qu'on a beau blâmer Pierre-Jean-Jacques et son frère, et les médias... Oui, on peut critiquer les médias. Oui, aucun doute là-dessus. À un moment donné, il faut s'acheter des miroirs, les amis. On score dans nos goals. Pis après, on regarde le canard indicateur pis on dit « Colin, on perd la game ». Ben c'est ça. On score dans nos goals, on s'est pas arrangé. Si on a vu une élection référendaire qu'on s'organise pour avoir un candidat du non, on en a pas. À cause des égogogogos. Il m'a pas parlé, il m'a fait de la peine. J'ai été un ancien ministre, il me respecte pas. Pis l'autre qui dit « il me respecte pas » parce que J'ai pas été élu avant. Vous voyez là, le genre de blabla pis de bébelle là. Ben c'est ça qui me fâche ce matin. Peut-être que j'ai une réaction un peu en retard, à retardement. Dan a eu cette réaction-là il y a six mois. Ben là moi je vois ça qu'il est minuit moins cinq là. Pis ça m'attriste. Je suis triste de ça.
[00:08:44] Speaker A: Tout au long de la conférence de presse, Bruno Marchand disait non c'est impossible d'arrêter les travaux, on a des contrats, il y aurait des pénalités, pis on se ferait poursuivre, etc. Il y a une journée où ça m'allait qu'il catche quand même quelque chose.
[00:08:56] Speaker C: Le projet de tramway a quand même été interrompu pendant plusieurs mois, le temps que CDPQ Infra procède à son analyse, tout ça, dans tout ce branle-bas de combat. Donc, ça ferait quoi concrètement d'arrêter un mois et demi de plus le temps d'arriver au 2 novembre?
[00:09:08] Speaker D: C'est parce que c'est plus qu'un mois et demi plus. C'est que vous perdez une partie de saison de construction. Il y a des choses que vous ne pouvez pas faire en hiver.
Fait que c'est pas juste un mois et demi parce que le 2 novembre est dans 48 jours, ou autour de. Alors il y a un délai qui est différent, mais on est dans un contexte totalement différent aussi.
[00:09:25] Speaker A: 8 novembre 2023 jusqu'à octobre 2024, le projet a été arrêté. Ah mais ça se fait pas arrêter le projet! C'est pas pareil, ça se fait plus, etc. Yann. L'autre chose, là, ça faisait longtemps que j'avais pas entendu ça. On commence... Lui, son but, c'est de pas parler de tramway, là. Puis même quand il parle de tramway, c'est de pas trop en parler. Fait que là, on est rendu à ressortir des vieux arguments de la bombe. Le tramway, c'est bon, mais pas pour le tramway, c'est bon pour autre chose.
[00:09:54] Speaker D: De toute façon, la ville y gagne. Rappelons-nous qu'à travers ça, on aménage beaucoup des infrastructures souterraines. Donc, on bonifie nos infrastructures, on les met... on les retape et on les met au goût du jour.
Quand on améliore les réseaux techniques urbains, les égouts, entre autres, on bonifie la ville. C'est des travaux qu'on doit faire. Sans tramway, on fait pareil, ces travaux-là. C'est juste qu'on n'a pas le financement pour les faire.
[00:10:17] Speaker A: Quasiment le deuxième de la population est contre le tramway. Fait que là, on va essayer de leur vendre en disant « Ouais, mais on refait les aqueducs pis c'est pas nous autres qui payent ». C'était ça les arguments de la bombe dans le temps, même quand ils voulaient faire le SRB avec la dalle de béton.
[00:10:29] Speaker B: Il l'avoue candidement.
[00:10:30] Speaker A: Il avait une drôle de coupe de.
[00:10:32] Speaker B: Cheveux, il en avait parlé.
[00:10:35] Speaker A: Il nous paye pour refaire nos accuses. D'habitude, ça serait la ville, oui. La cloche est du haut.
[00:10:41] Speaker B: Même lui rit de lui, là. Un matin, dans la presse. C'était drôle, ça. L'espèce de faux dialogue. C'est poche, là. Faux dialogue avec l'ancien maire de Victor. Mais au moins, il avoue, breaking news, qu'il avait l'air cave. Avec sa coupe de cheveux, avec un bol de céréales sur la tête.
[00:11:02] Speaker A: C'est la coupe de cheveux de Jim Carrey dans La Cloche et l'idiot. C'est vraiment ça. À un moment donné, ils ont parlé aussi du troisième lien. On revient avec l'histoire de peur.
[00:11:12] Speaker D: Il y a beaucoup de gens de Sillery inquiets. Dans leur cas, à eux, on passe sous le terrain. Les gens ont besoin de réponses. Les gens dans les quartiers les premiers concernés. Les gens de Sillery nous posent énormément de questions pour lesquelles on n'a pas de réponse.
[00:11:26] Speaker A: Ça vaut aussi pour un autre tunnel. Je sais pas s'il a été mal cité. Je l'ai pas entendu, sa maman, d'hier, le point de presse qu'il a fait. Mais il y a une journaliste quand même qui essaie de faire la comparaison. Troisième lien, tramway.
[00:11:37] Speaker C: Tantôt, M. Hamad a prétendu que le tunnel du tramway, c'était l'équivalent de la tranchée dans Vanier pour le Troisième lien. Est-ce qu'il y a une confusion? Est-ce que le tunnel du tramway sera en tranchée? Est-ce qu'il va charcuter autant que le Troisième lien, selon vous?
[00:11:56] Speaker D: Non, mais ici, sur Honneur et Mercier, c'est un tunnel. Ça va être souterrain. Une des propositions que fait le gouvernement du Québec, c'est d'avoir Autoroute en tranchée, donc ouverte, à la manière de Descaries. C'est pas pareil du tout. Alors qu'ici, sur Honoré-Mercier, c'est un tunnel qu'on ne verra même plus lorsqu'on sera en surface.
[00:12:16] Speaker A: La bonne comparaison, ça serait tunnel pour tunnel. Tu sais, il disait juste l'extrait d'avant, les gens de Silvery ont peur, ça va passer en dessous d'eux autres. Bien, les gens à la Haute-Ville, ou là où le tramway doit passer dans le tunnel, ils ont un chien aussi, vous voulez dynamiter.
[00:12:31] Speaker B: Lisez le rapport du BAP. Il y a un chapitre là-dessus. Puis c'est drôle, Donald, il vient, il peut vous en parler, lui aussi il l'a lu. On a fait des reportages là-dessus, on a fait des analyses là-dessus. Dynamitage massif et répétitif sous un quartier protégé par l'UNESCO. Ça, les journalistes, il faudrait qu'ils piquent un peu plus, là. Page 242 du rapport! Ça dit que... Puis là, ils ont toute la séquence de dynamitage. Et le tonnage de transport de guernotes.
Ça va être un triste spectacle, je dois vous dire. Ça, c'est documenté dans le rapport du BAP, mais le BAP, c'est pas le peuple après tout.
[00:13:12] Speaker A: Je te mets totalement vers autre chose. Hier, JD Vance, en fait, qui a carrément appelé la population américaine à snitcher si jamais quelqu'un fait ou peu importe ou manque de respect à Charlie Kirk après qu'il est décédé. Je te fais juste une parenthèse qu'il y a un bon texte ce matin dans le New York Post, c'est leur éditorial. L'éditorial du New York Post ce matin dit « N'utilisez pas la mort de Charlie Kirk pour piétiner les libertés qu'il défendait. » Il s'adresse au gouvernement de Trump, à ce sujet-là. Je devais entendre Vince. Ouais, c'est pas bon. Mais là, je te fais entendre... Et.
[00:13:55] Speaker B: Ça, c'est différent, on le répète, de quelqu'un qui, en onde, célèbre, ou en onde, crache sur ça. C'est une autre chose. Si tu t'exposes, toi, publiquement, dans la sphère publique, tu fais des choix. Lui, c'est autre chose. Lui, il dit... S'il y a quelqu'un qui, sur un patio, sur une terrasse.
[00:14:11] Speaker A: De restaurant, est parti à rire... Ou un tweet, même.
[00:14:14] Speaker B: Mais prend son nom, ben appelle. À un moment donné, là, c'est fini.
[00:14:18] Speaker A: Tu sais, c'est parce que...
[00:14:19] Speaker B: Là, tu viens d'envenimer le climat, là.
[00:14:21] Speaker A: Je peux comprendre, admettons, un employeur qui tombe sur un message Facebook d'un de ses employés où il est en train de fêter la mort de JD Vance. Fait que là, je veux vraiment voir ce gars-là à mon emploi. Ça, c'est une chose. Mais de commencer à voir, OK, lui, je l'ai vu, il a fait un message, je le sais qu'il travaille, OK, je vais écrire à son employeur, je vais essayer de mettre de la pression pour qu'il sac d'or.
[00:14:40] Speaker B: Très mauvais, Gestapo.
[00:14:42] Speaker E: C'est de la débilité covidienne.
[00:14:44] Speaker A: Oui, c'est Gestapo, mais c'est Snitch et.
[00:14:46] Speaker B: Covid Show, c'est un 800 Snitch, c'est tout ça, j'en ai combattu ça. On commencera pas à prouver ça parce que ça vient de la droite, supposément. C'est sûr que j'aime pas de cette droite-là, un peu whack. C'est pas ma droite à moi, là. Ça, c'est la droite américaine, heavy, hardcore. J'ai hâte de voir comment ça va virer aussi Candace Owen. T'es en train de virer conspi, là. Ouais, es-tu vraiment le tueur?
[00:15:10] Speaker A: T'es en train de virer.
[00:15:11] Speaker B: Il était dessus. Ouais, mais dans ce dossier-là. Ok.
[00:15:14] Speaker E: Es-tu tanné de ramasser tout ce qui se fait à droite pis de le prendre sur nous autres?
[00:15:19] Speaker B: Ben, je suis tanné pis c'est pas nous autres. Je le sais! Tucker, c'est pas nous autres. Candace, c'est pas nous autres. Ben Shapiro, c'est pas nous autres. Glenn Beck, c'est pas nous autres.
[00:15:27] Speaker E: Même demander le renvoi de Francis Gosselin, c'est pas nous autres. Mais c'est nous autres qui est accusé de ça.
[00:15:32] Speaker B: Non! Jamais! J'ai écrit le contraire.
J'ai écrit le contraire, mon message Facebook, toujours là, avec la date dès le lendemain. Il s'est excusé, un peu comme Yann Sénéchal l'a fait. Il s'est excusé, on tourne la page, on regarde en avant, mais il faut surveiller la couverture médiatique avec les dérapages à l'extrême droite. C'est ça que j'ai écrit. Gosselin, moi, regarde, il s'en est pris à moi, il s'en est pris à Jeff tout l'été. T'sais, l'histoire du narratif, mon corps, mon choix, c'est une agression envers les femmes, parce que c'est mon corps, mon choix, mon char, mon choix. C'est lui, ça.
Donc, c'est sûr, il est nono, mais il a le droit de l'être. C'est ça. La liberté, c'est ça. La liberté, c'est de laisser les autres.
[00:16:14] Speaker A: Être nono et de savoir les endurer.
[00:16:17] Speaker E: On a même traité les gens de Québécois de l'être nono de l'avoir suspendu. En tout cas, moi, je l'ai fait.
[00:16:24] Speaker B: Sur Québec Or, gérons le shit, je te dirais qu'il y en a un shitload de trucs à gérer. Quand on lit le journal, il y a beaucoup d'enjeux.
[00:16:32] Speaker A: En réaction.
[00:16:33] Speaker B: C'est pas à moi de gérer le shit, c'est étendu. Le gars s'est excusé. Ça a été très long les excuses. Quand tu t'excuses, tu t'excuses. Ça a duré une demi-heure. On est rendu ailleurs depuis le temps.
[00:16:43] Speaker A: Mais on passe souvent trop loin, là. En réaction à l'extrait de Vens que je t'ai fait entendre, Max Bourrière recevait Émilie Nicolas, en fait. C'est une coniqueuse. Il le recevait pas sur ce sujet-là.
[00:16:52] Speaker B: Coniqueur ultra woke.
[00:16:53] Speaker A: Mais elle, c'était son sujet hier et voici.
[00:16:56] Speaker C: Ce que le vice-président vient de faire, d'appeler les gens à dénoncer leurs voisins, moi ça me rappelle ce que j'entends les aînés, mes oncles, mes tantes, ma famille, me raconter de comment ça se passait sous papadoc et sous babydoc en Haïti. Il y a beaucoup de personnes qui sont venues à Montréal, essentiellement comme des exilés politiques, parce que la prise de parole critique des personnes au pouvoir dans leur pays, entraînaient des menaces ou entraînent encore des menaces contre eux et contre leur famille. Et je nous incite à lever les drapeaux rouges très rapidement et de ne pas utiliser des euphémismes de meurtre d'un conservateur, machin, lorsqu'il est question vraiment d'une attaque à la liberté d'expression et d'une attaque à la liberté de presse qui vient directement de la Maison-Blanche.
[00:17:44] Speaker A: Où étiez-vous, Mme Nicolas? Pas besoin de parler d'Haïti.
[00:17:46] Speaker B: COVID!
[00:17:47] Speaker A: Où vous étiez au Québec quand Geneviève Guilbault demandait aux Québécois de dénoncer leurs voisins si jamais ils recevaient quelqu'un?
[00:17:57] Speaker B: 20 000 appels de délation dans le Grand Montréal seulement. 20 000.
Il y a des journalistes, des chroniqueurs qui ont appelé à la délation de manière très claire. Nous ici, on l'a pas fait, on a fait le contraire en fait. C'est « No Snitch Zone ». J'avais un thème « No Snitch Zone ».
[00:18:19] Speaker A: Oui, « Don't Snitch ».
[00:18:21] Speaker B: Ouais, c'est ça. Ça s'appelait de même.
[00:18:23] Speaker A: Bon, bien rapidement, je te fais entendre le plus saucé. C'est Frédéric Perard. Ça n'a pas de sens.
[00:18:27] Speaker B: Encore?
[00:18:27] Speaker A: Oui.
[00:18:28] Speaker G: Kirk, c'est un malade, là. C'est un mini-nazi, là. C'est ça qu'il est, là. Ses idées, pour la plupart, ne méritent pas d'être défendues. Ses idées, pour la plupart encore, sont probablement, en droit canadien, une infraction. 319. Propagande haineuse. Discours haineux. Ce gars-là, c'est un nazi. Un espèce de facho d'extrême-droite. C'est tout ce qu'on déteste. C'est pas parce que je suis contre ce type d'assassinat que je considère que Kirk mérite notre empathie, notre peine. C'est un nazi de moins, là. On peut le voir comme ça. Mais je peux pas cautionner la manière dont ça s'est fait. Et que Trump remette une médaille à mini-nazi, bien, il s'en dit long sur le reste, malheureusement.
[00:19:16] Speaker A: On le traite de raciste, on le traite de suprématiste blanc. Il y a un extrait sur lequel je suis tombé hier, entre autres, où il s'obstine avec un jeune noir en lui disant « les races, ça n'existe pas ».
[00:19:25] Speaker B: Ah non, c'est la race humaine.
[00:19:26] Speaker A: Charlie Kerr! Oui, oui, c'est ça. Le concept de race, ça n'existe pas. C'est une création. Comment ils appellent ça déjà?
[00:19:32] Speaker B: Un concept darwinisme. C'est une forme de darwinisme de voir les noirs, les catégoriser. La race humaine, on est... On est la race sur la terre, la race humaine, avec différentes communautés, dépendant des pays d'où on vient. Il y a des Noirs, il y a des Blancs, il y a des Chinois.
[00:19:50] Speaker A: Mais les woke disent ça sur le sexe. Le sexe est une création de la société. Peu importe. Mais exactement, Kirk reprend ces mots-là puis lui dit, pour la race, c'est ça. Ça, c'est une création de la société.
[00:20:01] Speaker B: C'est une création sociale.
[00:20:02] Speaker A: Ouais, quelque chose de même.
[00:20:03] Speaker B: Ouais, anyway.
Aïe, aïe, aïe.
[00:20:07] Speaker A: C'est un mini-nazi.
[00:20:09] Speaker B: Il y a quelqu'un qui me rappelle un bon souvenir. La police de la fondue chinoise, c'est ça qu'on disait ici dans Montréal Live? La police de la fondue chinoise. «Eille, il fait une fondue avec sa belle-sœur, elle vient de Grembay!» J'ai vu qu'il y a un char qui avait été acheté à Grembay, puis nous autres, on est à Val-Bélair, ils font de la fondue. On va appeler la police.
[00:20:28] Speaker A: Pire que ça, il y a un char que je connais pas dans l'entrée de mon voisin, je vais appeler la police.
[00:20:32] Speaker B: C'est arrivé, c'est arrivé.