Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Let's go live now from the Tower of Doom. This is Moray Live. On devient un légionnaire et on reste jusqu'à la mort. From the Radio X World Headquarters, here.
[00:00:13] Speaker B: Is your legendary Legion of Doom.
Très hâte à la Légion. Je porte un nouvel uniforme d'ailleurs ce matin. Un peu plus petit, mais je l'ai acheté chez Tip Top.
[00:00:34] Speaker A: T'en as parlé, Bruno?
[00:00:36] Speaker C: C'est ça qu'arrive, tu vois là.
[00:00:39] Speaker B: C'est ça, faut pas le mettre dans la laveuse non plus nécessairement.
[00:00:42] Speaker A: Je suis en train de penser à ce qu'on jasait juste avant de rentrer en Onde. J'ai pas eu le temps de te le sortir, mais Bruno Marchand, t'as été passé à Jardy. J'ai un extrait pour toi.
[00:00:49] Speaker B: Ça, ça m'intéresse.
[00:00:49] Speaker A: Mais j'ai un autre extrait que j'aurais pu sortir. Où on jase, ouais, vous êtes dans l'élection bientôt. Vous avez quand même un gros compétiteur. Bon, il arrive des choses un petit peu bizarres. Tu sais, il y a le show à La Manchion. Tu l'apprends-tu, l'extrait? Non, ça, je l'ai pas.
[00:01:02] Speaker B: De ce que tu me racontes, là?
[00:01:03] Speaker A: Non, ça, je l'ai pas sorti. J'aurais pu y penser.
[00:01:05] Speaker C: En même temps, il arrive effectivement des choses un peu bizarres.
[00:01:09] Speaker A: C'est ça. Mais tu sais, le mot d'à Montréal, c'est on veut rire de sa mamade.
[00:01:14] Speaker B: Le mot d'à Montréal, avec ce qu'on va entendre et marchant qu'il y a rien à dire mais qu'on lui donne une tribune, c'est qu'on lui donne la bascule. Il sort avec quelqu'un des nôtres. Il aime beaucoup Montréal. Il aimait Montréal déjà d'avance.
[00:01:30] Speaker A: Oui, le maire en télétravail.
[00:01:31] Speaker B: Il aimait le petit maire de Laval. Il l'aimait tellement qu'il écrit le prologue de son livre, Les quartiers sans voiture. Mais c'est pas un maire qui est anti-voiture du tout, voyons donc, gang de malhonnête de Radio X. C'est pas du tout un maire anti-voiture. Il a juste co-écrit un livre, Quartiers sans voiture. Voyons donc, par rapport Et il donne la bascule gros comme un boche. Je vais vous dire une chose, c'est que Radio-Canada va être mis sous surveillance et pas à peu près durant la campagne. Nous aussi, on l'est sous surveillance durant la campagne, en passant. Oui. Nous autres, on est regardés, scrutés par les autres médias, mais on a un boss aussi. Il y a une loi. Il y a la loi, bon, la loi du CRTC, puis il y a la loi des élections. C'est sûr que si on fait 16 entrevues avec Stéphane Lachance, une entrevue avec un marde, on est dans la marde. Tout le monde sera invité d'ailleurs, de manière égale et équitable. Y'en a pas moins que Radkan, aime beaucoup y flatter le poêle dans le bon sens.
[00:02:26] Speaker C: Le problème là, ce sera pas long Dom, le problème c'est qu'il y en a trop.
À sept candidats, si t'es invité de toutes, ça fait trop de temps, fait qu'on n'invitera pas un.
[00:02:36] Speaker B: Ben moi, je vais inviter les gens à parler au jeu d'histoire. Un 20 minutes. Un maire, elle écoute.
[00:02:41] Speaker A: Ils viendront pas tous, anyway.
[00:02:42] Speaker B: Ils viendront pas tous, anyway. Il y en a deux qui viennent pas, en partant d'Anne. Jackie et Bruni, ils viennent pas. Donc deux de moins.
[00:02:52] Speaker A: Donc, on lui a demandé de commenter la rumeur que Geneviève Guilbault allait devenir quand même ministre des Affaires municipales. Donc, voici.
[00:03:01] Speaker D: Et ça n'a pas toujours été facile entre vous deux. Comment vous voyez son arrivée à ce ministère-là?
[00:03:06] Speaker E: Effectivement, ça n'a pas toujours été facile. On a eu nos hauts et nos bas, comme un vieux couple. Les Québécois le réalisent de plus en plus. On ne peut pas faire, on ne peut pas transformer, on ne peut pas faire avancer le Québec face à ces immenses défis sans les municipalités. Il n'y a pas de changement qui peut se faire sans que ce soit proche des citoyens. Alors on va avoir besoin de collaborer, on va avoir besoin de trouver des solutions, on va avoir besoin de présenter une vision et ne pas être en opposition les uns les autres. C'est ce qu'on va s'attendre de Mme Guilbeault. Le plus grand défi que nous avons présentement partout au Québec, c'est le logement. On a réussi dans les dernières années, notamment avec Mme Duranceau en habitation à Québec, à avoir plus de 2300 logements sociaux et abordables, ce qu'on n'avait jamais eu depuis 20-30 ans à Québec. Il faut continuer sur cet élan-là. On va avoir besoin, est-ce que ce sera Mme Guilbeault? On entend des rumeurs que ça pourrait être Mme Bélanger. On va avoir besoin d'un gouvernement proactif qui s'engage pour créer du logement social et abordable pour pouvoir loger notre monde.
[00:03:52] Speaker A: Je le réécoute et je me rends compte qu'il y a quelque chose là. Un, il vante l'ancienne ministre.
Pis d'eux ils disent « Ouais y'a une rumeur que ça pourrait être Joliviev-Guilbeau, mais y'a une rumeur que ça pourrait être une autre là aussi là. » Y'a un message d'envoyer là-dedans à Joliviev-Guilbeau pareil. Ils l'aiment pas. Ils sont ici là.
[00:04:09] Speaker B: Ils l'ont invité pour qu'il vende son bilan. À vérifier les chiffres d'habitation en passant. Ça allait pas bien pis on recevait Trudel aussi qui était en sacrifice. Il s'est fait même qualifier d'incompétent par Poitliev. Du jour au lendemain, c'est Captain House, Doctor House.
[00:04:26] Speaker A: C'est comme si on savait rien.
[00:04:27] Speaker B: « Construis des maisons, des maisons, des maisons. Tu veux-tu une maison, on va te la bâtir. » C'est devenu quasiment miraculeux.
[00:04:32] Speaker A: On dirait que Montréal, c'est un peu la même chose. Ils ont rien fait pendant trois ans. Ils ont accumulé dossiers. « Il y a du retard, du retard. Pas d'approbation. » La quatrième année de l'année de l'élection, « Woups, ok, tout est approuvé.
[00:04:43] Speaker B: » C'est ça, la twist du politico 101. Tu laisses traîner les affaires. Et t'arrives à la fin, t'arrives avec des solutions.
[00:04:51] Speaker A: Comme un sauveur.
[00:04:52] Speaker B: Du genre, y'a un feu de poubelle sur un terrain de foot, on va te l'éteindre, pouf! Hein, regardez les enfants! Je vous ai permis de jouer à une game de foot! Alors que dans le fond, ça c'est une histoire qui traîne depuis un an, ça. L'histoire de l'arsenal. On en a parlé la saison passée. Il était assis sous ses deux mains.
[00:05:09] Speaker A: Bien faite.
[00:05:10] Speaker B: Et là, dans 48 heures, il va nous sortir un projet de règlement pour... On est contents, puis c'est positif. C'est juste que ça, ça existait. Il y a rien de nouveau dans l'histoire.
[00:05:19] Speaker A: Ça a fait perdre beaucoup de temps aux gens de l'Académie Saint-Louis. Beaucoup de stress.
[00:05:24] Speaker B: Beaucoup d'énergie dépensée pour rien.
[00:05:26] Speaker A: Exact. Moi, je parlais à Adam.
[00:05:27] Speaker C: Il y a quand même quelque chose d'important là-dedans. Le référendum, il était... Je m'excuse. Le référendum était abruti. C'était abrutissant qu'on se rende jusqu'au référendum, mais on l'a fait.
Moi, je regarde ça et je suis d'accord avec Steph Lachance là-dessus. Il n'a eu un référendum. Les gens ont dit non. Ils se sont rendus jusqu'au référendum. En gros, ça veut dire quoi? Ça veut dire que si, par exemple, on réussit à avoir un référendum pour un tramway et que la réponse est non, ils vont faire une loi spéciale pour le contredire.
[00:05:55] Speaker B: Ils le vont faire pareil.
[00:05:56] Speaker C: Ils n'ont fait un référendum. Ils se sont rendus. La réponse est non.
[00:06:00] Speaker A: Le problème, par exemple, c'est que c'est comme si on faisait un référendum pour le tramway, mais juste dans l'Imolu.
[00:06:04] Speaker C: Je comprends, mais ça reste la base de la démocratie. La réponse, c'est non.
[00:06:10] Speaker B: Le problème... C'est un bout partiel de rue. Pour vrai, c'est même pas toute la rue. C'est vraiment, Dan... C'est un micro voisinage pour paralyser... Qui.
[00:06:21] Speaker C: Vole un oeuf vole un bœuf.
[00:06:22] Speaker B: C'est la tyrannie de la minorité. Tu peux pas, dans une juridiction donnée, donner un pouvoir exagéré à une petite minorité pour paralyser la ville au complet, ou paralyser, dans ce cas-là, le cas échéant...
[00:06:35] Speaker C: Tu sais, ça commençait, tout le monde était d'accord, on peut canceller un animateur radio parce qu'il a insulté une fille qui fait la météo, puis ça finit par un prof d'université qui se fait sacrer dehors parce qu'il a dit le titre d'un livre. Quand tu ouvres une porte, tu l'ouvres. Tu l'ouvres, épicellez la porte, elle est ouverte.
[00:06:53] Speaker B: Je veux un référendum, moi, sur le tramway. Je le veux dans une ville au complet.
[00:06:57] Speaker C: Ben oui, je suis d'accord, mais tu te dis que le maire va dire «je m'en sac du résultat du référendum», il le fait là. Il le fait là. Il s'en sac du résultat du référendum.
[00:07:07] Speaker B: Il y avait une grande solidarité derrière l'école.
[00:07:08] Speaker A: Même principe de bord. Tu lui ouvres la porte en marchant, il est toujours demandé «OK, si tu fais un référendum, tu demandes à qui?» Fait qu'il va faire un référendum avec juste le monde qui sait qu'il va être posé au tramway.
[00:07:18] Speaker B: T'sais, c'est... c'est... toute élergie... Faut qu'on.
[00:07:22] Speaker C: Ramène avant le référendum. La seule bonne analyse, c'est que le maire s'est mis les deux mains dans les poches avant le référendum pour nuire à l'opposition, pour nuire à Véronique Dallaire, parce que la motion, elle, elle l'a déposée au mois d'août. Il y avait juste à l'approuver là. Il n'y avait pas de référendum. Puis tout était beau. Là, il fait un référendum. Le résultat, il convient pas. Il dit, on va faire une loi. C'est correct. Ça fait notre bonheur parce que nous autres, on veut que les enfants jouent. Ma maman m'a donné.
il va faire une loi sur un dossier qui fait pas votre bonheur.
[00:07:55] Speaker B: Ben le BAP était contre le tramway pis il fait pareil. On l'a vu, on a joué dans ce film-là.
[00:08:00] Speaker C: Le BAP, c'est pas la démocratie.
[00:08:01] Speaker B: Non, c'est toujours bien un organisme gouvernemental qui juge la viabilité d'un projet. C'est le gouvernement qui a créé un genre de tribunal pour évaluer. C'est le gouvernement qui est supposé se fonder. C'est ça, c'est ça exactement. Le gouvernement a créé ça pour fonder son jugement et sa décision politique sur le jugement du BAPE. Le BAPE avait dit non, donc on.
[00:08:24] Speaker A: A d'écouter le BAPE, mais pour le.
[00:08:26] Speaker B: Tramway, là, on s'en fout.
[00:08:28] Speaker C: Ça reste dangereux qu'on ouvre cette porte-là.
[00:08:32] Speaker B: Ce qui est particulier avec ce dernier référendum-là, C'est que c'est une portion de la rue, c'est pas tous les voisins qui ont voté.
[00:08:40] Speaker A: Ça avait été tout le quartier au moins.
[00:08:41] Speaker B: C'est tripoté, c'est ça, c'est tripoté. L'échantillonnage de ce référendum-là, c'est tripoté.
[00:08:48] Speaker C: Mais les gars, je suis d'accord avec vous autres.
[00:08:50] Speaker A: Il y avait 140 personnes, s'il y avait eu 1000, ça c'est environ ça, puis c'était 1200 personnes qui étaient autour.
[00:08:55] Speaker C: Le point c'est qu'il y avait 8 mois avant le référendum pour pas.
Il a poussé le référendum. Ça démontre à quel point cet homme-là...
Il n'y a pas de règle. Il n'y a pas de règle.
[00:09:11] Speaker B: Il y a une idéologie, c'est la sienne, c'est ça.
[00:09:13] Speaker C: Exactement.
[00:09:14] Speaker B: Et là, il va se faire réélire. Donc c'est ceux qui se mettent du bord de la majorité.
[00:09:17] Speaker C: Imaginez Donald Trump qui passe par-dessus les résultats d'un référendum pour imposer une loi spéciale. Imaginez de quoi ça a l'air dans les médias. Peu importe c'est quoi le sujet de la loi.
peu importe le sujet de la loi. Moi, je veux absolument que les jeunes crient. J'étais prêt à aller partout, partout, partout pour que les jeunes de l'Académie Saint-Louis peuvent crier, mais je trouve ça dangereux de donner ces clés-là à cet individu-là. Je m'excuse, c'est tout.
[00:09:42] Speaker B: Je comprends ton point, mais il y avait une anomalie en ville. Les autres écoles avaient le droit aussi.
Il n'y avait pas le choix, Dan, de faire ça pour unifier la ville au contraire.
[00:09:55] Speaker C: Oui, il y avait le choix, donc.
[00:09:56] Speaker B: Saint-Jean-Eude, l'on. Moi, je veux que l'Académie Saint-Louis, il l'aille.
[00:09:59] Speaker C: Oui, il avait le choix.
[00:10:00] Speaker B: C'est une infirmité qui est corrigée.
[00:10:03] Speaker C: Il fallait qu'il fasse ça.
[00:10:03] Speaker B: Mais il aurait dû le faire avant.
[00:10:04] Speaker C: Avant le 7 septembre, c'est ça.
[00:10:05] Speaker B: Mais oui, il aurait dû faire ça, c'est ça mon point.
[00:10:07] Speaker C: Depuis qu'il sortait avec l'instincteur, là, pour.
[00:10:09] Speaker A: Éteindre une petite poubelle.
[00:10:10] Speaker C: Moi, je pense que le 7 septembre, c'était la date de non-retour. Mais lui, il s'en sacre. C'est juste ça le point. Il ne fallait pas se rendre jusqu'au 7 septembre. Il s'est rendu jusqu'au 7 septem Il y a eu un référendum, les gens ont dit non. Lui, il passe par-dessus. Moi, je trouve ça dangereux comme comportement de politicose, c'est tout. Je le sais que le référendum était tout croche, que c'était une poignée de citoyens qui étaient ici. Mais la démocratie, bâtard! La démocratie!
[00:10:34] Speaker B: C'est pas une vraie démocratie dans ce cas-là. C'est-à-dire que si tu y vas avec le jugement les voisins de l'école, Les voisins de l'école d'Anne n'ont pas voté. Ils n'ont pas voté parce que c'est pas...
[00:10:45] Speaker A: Il n'y avait pas le droit de vote.
[00:10:46] Speaker B: C'est ça! Il n'y avait pas le droit de vote!
[00:10:48] Speaker C: Je sais.
[00:10:48] Speaker B: Voici avec un vrai référendum sur les voisins, les vrais voisins de l'école qui entendent le bruit.
[00:10:55] Speaker C: Je suis d'accord.
[00:10:55] Speaker B: Le référendum... les jeunes gangs.
[00:10:58] Speaker C: Je suis d'accord avec tout ça, Dom, mais ça, c'est une loi provinciale. Les référendums sur le changement de zonage, c'est déjà préétabli qui est-ce qui a le droit de voter. Ça n'a rien à voir avec la Ville de Québec. C'est une loi sur la loi des municipalités du gouvernement du Québec.
[00:11:10] Speaker B: Et la ministre Laforêt aurait dû faire sa job aussi.
[00:11:13] Speaker C: Ben voilà!
[00:11:14] Speaker B: C'est ça aussi dont on ne parle pas.
[00:11:16] Speaker A: Puis ça, il fallait que le maire fasse preuve de leadership à ce moment-là, puis sorte il y a un an pour demander à la ministre de changer ça.
[00:11:22] Speaker B: Parlez à Laforêt d'achanger.
[00:11:24] Speaker A: Oui! Il y a un an, on avait.
[00:11:26] Speaker B: Une infirmité sur le territoire, mais ça a été corrigé.
[00:11:28] Speaker C: Puis je veux juste vous dire que cette motion-là, qui va être déposée la semaine prochaine au conseil municipal...
[00:11:32] Speaker B: Ils vont toutes l'appuyer.
[00:11:33] Speaker C: Véronique Dallaire l'a déposée deux fois et elle n'a pas été appuyée par l'équipe du maire.
[00:11:37] Speaker B: C'est sûr que c'est salaud. Il y a beaucoup de monde là-dedans qui sont traînés les pieds. Mais ça ne devrait pas arriver, ça, ce genre de choses-là. Dans un quartier de données...
[00:11:47] Speaker A: Mais là, c'est important, ce qu'elle a dit. Ça a été présenté deux fois?
[00:11:50] Speaker C: Bien oui, ça a été présenté deux fois.
[00:11:53] Speaker B: Oui, ça, c'est documenté, ça.
[00:11:55] Speaker A: Pour changer la règle pour toutes les écoles.
[00:11:58] Speaker B: Elle peut nous le dire. C'est pour ça qu'elle était en sacrifice quand Gosselin a dit à un oncle qu'elle s'est poigné le cul par rien fait. C'est ça que... C'est ça.
[00:12:10] Speaker A: Là, ça fait notre affaire. La gueule est marchande, son croche à ce moment-là.
[00:12:14] Speaker B: Mais il avait bafoué sur le tramway, il l'avait fait avant. Ils font toujours à leur tête. Anyway, ils font toujours à leur tête. Regarde, des logos sur son livre, il a fait le contraire. Ils font toujours le contraire selon la conjoncture. Ils sont pas fiables.
Quel que soit le politicien passant, Amad, es-tu bien différent? Lachance, es-tu bien différent?
[00:12:35] Speaker C: Ben non, je sais.
[00:12:36] Speaker B: Ils jugent en fonction de leurs intérêts, ils sont pas fiables. Ils disent une affaire, puis ils font le contraire.
[00:12:41] Speaker A: Les amis de Bruno Marchand, d'ailleurs, ont résumé un petit peu ce dossier-là. Je parle de la gang de la journée à Montréal, voici. Ça, c'est la fin, là.
[00:12:48] Speaker F: Mais c'est vrai qu'en société, il faut être tolérant envers les autres. Dominique Morin est d'accord.
[00:12:53] Speaker B: C'est une histoire qui malheureusement est une histoire d'égoïsme, à mon avis. Les gens et leur petit confort.
[00:13:00] Speaker F: Je pense que c'est ça qui me fait le plus rire là-dedans. Les apôtres des libertés individuelles, du jouet le doigt, qui se demandent comment ça se fait qu'on vit dans une société d'égoïste comme ça. Je trouve ça bien ironique. Alors voilà, c'était le récit de...
[00:13:12] Speaker B: La guerre au plaisir.
[00:13:13] Speaker F: Merci.
[00:13:14] Speaker B: Vous êtes formidable Olivier.
[00:13:16] Speaker A: Ça c'est le genre de pseudo-intello à Montréal. Si t'es pour les libertés individuelles, c'est que t'es égoïste. Lui, c'est l'équation qu'il lui fait. Il a jamais besoin de s'expliquer lui, c'est pas grave. Autour de lui, ils sont d'accord.
[00:13:29] Speaker B: Mais c'est quoi son raisonnement? Je comprends pas son raisonnement. Tout le monde s'entend, partout au Québec, lisez les chroniques encore. Y'a même Philippe Léger ce matin qui vient jamais à Québec, qui dit c'est la victoire des pantoufles contre les jeunes. Tout le monde est d'accord. Tout le monde a appuyé jeunes. Tout le monde dit que ce sont des égoïstes ceux qui ont voté contre l'école.
[00:13:47] Speaker A: Et justement, c'était pour les libertins individuels. T'as pas des lois comme ça d'arrondissement qui viennent empêcher de faire du bruit. Regarde, essaie pas de comprendre. Eux, ils se comprennent entre eux autres, pis dès qu'ils sortent de leur petit milieu, leur chambre d'écho, y'a personne qui comprend. Mais dans leur tête, ça marche. Parlant de chambre d'écho, Marie-Louise, Ce matin, on va nommer Bernard Dreyville à l'environnement. Quand il était à l'éducation, il n'allait pas voir Marie-Louise. Et cet été, à un moment donné, c'est un lien extrême, elle ne l'avait pas joué encore. Cet été, elle s'en plaignait que Bernard Dreyville, ils disent toujours non, en se trompant plein de fois.
[00:14:25] Speaker D: Et ce sont des gens qui ont des horaires très chargés, qui travaillent très fort, on ne le dit pas assez. Ils ont d'énormes responsabilités. Alors moi, je comprends très bien qu'un samedi, ils n'ont peut-être pas envie de faire le voyage de Québec ou d'Ottawa pour venir nous voir. Cela dit, dans la continuité d'une saison, c'est le fun qu'à un moment donné, ils fassent l'effort. Il y en a plein qui le font.
[00:14:42] Speaker G: Mais qui ne vient pas?
[00:14:45] Speaker D: La liste est longue. François Legault, on en rêve depuis le jour 1. Bernard Drinville, jamais. Jamais, jamais. Il est jamais disponible. Et pourtant, son comté est dans la région de Montréal. La fin de semaine, il est là.
[00:14:59] Speaker A: Son comté est dans la région de Montréal et la fin de semaine, il est là. Il est plus à Montréal depuis des années, Bernd Andréville, sa famille habite...
[00:15:07] Speaker B: Il dire faut que la journée Ridell... Oui! Ça c'est avant... le mandat de Torain.
[00:15:13] Speaker A: Dans le temps du PQ! Oh oui!
[00:15:15] Speaker B: Depuis qu'il est... Avant le 98.5.
[00:15:17] Speaker A: Oui, c'est ça!
[00:15:19] Speaker C: Il y a même le 98.5 d'ici.
[00:15:21] Speaker A: Oui!
[00:15:21] Speaker B: Depuis qu'il a été élu... Depuis qu'il a été élu du PQ.
[00:15:28] Speaker A: Sa famille n'habite plus à Montréal.
[00:15:29] Speaker B: Exactement.
[00:15:30] Speaker A: Elle habite à Québec.
[00:15:32] Speaker C: C'est la rigueur.
[00:15:34] Speaker A: La grande rigueur, c'est ça.
[00:15:35] Speaker C: Moi je pense qu'il a déménagé. Pour vrai, on le sait pas, l'homme y est déménagé. Parce qu'elle ment pas, elle.
[00:15:41] Speaker A: Pis sa circonscription, c'est plus Lévis, c'est juste qu'on est pas au courant.
[00:15:44] Speaker C: C'est ça, c'est ça. On a pas vu le mémo, mais c'est sûr que c'est elle qui a raison.
[00:15:47] Speaker B: D'accord. Nous autres, on est dans le champ. Encore une fois, même les gens de Lévis qui l'auraient peut-être vu aujourd'hui, c'est une vision.
C'est faux, c'est faux.
[00:15:56] Speaker A: Hier dans l'émission, comment ça s'appelle déjà? Ça nous regarde. Ça c'est l'émission comme de fin de journée où on fait le tour de l'actualité. Puis à un moment donné, ils font un segment sur le fait que les géants du web sont en train d'abandonner les normes environnementales qui s'étaient dites avant. Et ça, tout va revenir être la faute un peu de Trump, mais écoute la twist.
[00:16:16] Speaker G: Donc le développement de l'intelligence artificielle permet au président de rallier à la fois les géants des énergies fossiles qui veulent produire plus d'énergie et les géants du web qui ont besoin de cette énergie-là. Parenthèse aussi, parce qu'un autre élément à ne pas négliger, c'est le virage à droite de la Silicon Valley, pour ne pas dire extrême droite. Certains conseillers de M. Trump, qui viennent de la Silicon Valley, ils prônent une approche dite techno-fasciste, où la technologie doit servir à renforcer le contrôle sur la population, à promouvoir certains messages, à en faire taire d'autres. Ça aussi, ça contribue nécessairement à ce rapprochement.
[00:16:50] Speaker B: C'est pas coucou! C'est pas coucou, ce qu'elle raconte, hein?
[00:16:56] Speaker A: Non, non, pas du tout.
[00:16:57] Speaker B: Allô, les coucous?
[00:16:58] Speaker A: C'est la grande crédibilité.
[00:16:59] Speaker B: Les coucous nationalisés, les coucous subventionnés. Ben, t'es un coucou pareil.
[00:17:05] Speaker C: Les... Si Silicon Valley...
[00:17:07] Speaker B: Tout est arrangé par Silicon Valley. Tout passe par là.
[00:17:10] Speaker A: Oui.
[00:17:10] Speaker C: Parce que les gens ne comprennent pas que Silicon Valley, si le Président était à gauche, il serait à gauche.
[00:17:14] Speaker B: Tu sais, eux autres... Ça a toujours été à gauche, d'ailleurs.
[00:17:16] Speaker C: Non, je le sais, je le sais, je le sais. Mais ils léchent le cul de la personne qui décide, là. Ils ont des affaires à vendre, ils ont du cash à aller chercher.
[00:17:23] Speaker B: C'est du lobbying. Ils ont payé une partie de l'inauguration présidentielle pour se coller, pour avoir des contrats. Elon Musk, les contrats de l'État.
pour SpaceX. C'est pas à gauche, c'est pas à droite, là. C'est juste de l'opportunisme. C'est du bon guidounage, de bonne aloie que tu retrouves au Québec, en passant, et au Canada. C'est tout. Il y a une chose... Des mégas coucous.
[00:17:50] Speaker A: Il y a une chose qu'on est en train de manquer dans l'actualité présentement, c'est que les médias francophones n'en parlent pas beaucoup. The Gazette fait un dossier là-dessus cette semaine. La loi 96...
[00:17:59] Speaker B: Comment s'adresser aux anglos.
[00:18:00] Speaker A: Oui, comment s'adresser aux anglos. T'sais, on l'a vu, la loi 96 c'est une loi qui est stupide comme ça n'a pas de sens. Écoute, c'est l'histoire d'affichage, qu'il faut que le français soit plus gros, les patentes à côté de Kenneth Zintheirt...
[00:18:13] Speaker B: On te donne 6 mois pour apprendre le français, sinon on te parle pas français.
[00:18:16] Speaker A: En effet.
[00:18:17] Speaker B: Ça c'est dit ça là.
[00:18:17] Speaker A: Oh oui!
[00:18:18] Speaker B: Comment tu fais pour vérifier si je suis arrivé il y a 6 mois? Ça fait combien de temps que vous êtes arrivé 6 mois?
[00:18:23] Speaker C: Ah!
[00:18:23] Speaker B: Je te parle pas anglais, je te parle juste français.
[00:18:25] Speaker A: 64, ça fait combien de temps?
[00:18:26] Speaker B: Ouais. C'est ça que ça dit.
[00:18:28] Speaker A: Voici ce que ça dit en gros.
[00:18:30] Speaker H: Vous êtes un employé municipal, il y a un citoyen qui arrive et qui vous parle en anglais. Étape 1, vous essayez de répondre en français. On donne un exemple, on pourrait dire bonjour, nous sommes ravis de vous servir en français, me comprenez-vous si je continue dans cette langue? Si le citoyen comprend rien ou demande carrément un service en anglais, les employés sont invités à l'informer, lorsque le contexte le permet, des restrictions légales instaurées par le gouvernement Legault. Et là, il y a des dépliants qui ont été créés pour ça, un dépliant en français seulement, un dépliant bilingue, et il y a une affiche au mur à laquelle on peut se référer pour dire, voyez, c'est pas moi qui invente ça, c'est la loi du gouvernement provincial.
[00:19:15] Speaker C: C'est incroyable, c'est incroyable.
[00:19:16] Speaker A: Ça, il faut tout se dire ça à la personne avant de peut-être la servir en anglais.
[00:19:20] Speaker C: On dirait un CD-ROM de formation en secondaire 3. On s'en va dans la classe d'informatique, on port un CD-ROM, on suit, puis après ça, il y a une question. Quelle couleur était la chemise du monsieur? C'est des enfantillages. Il nous parle comme si on était des enfants tout le temps. Ça me rappelle, je voulais pas revenir là-dessus, mais ça me rappelle la grand-messe de 13h.
[00:19:44] Speaker A: Oui.
Mais ça, c'est le genre de choses.
[00:19:48] Speaker B: Qu'Ils font pour... Ça, c'est des réunions, un encadrement pour justifier des jobs de fonctionnaires.
[00:19:52] Speaker A: Et je vous rappelle aussi que la loi 96 fait en sorte qu'en hypocrite, vos enfants, surtout si vous avez des enfants jeunes présentement, rendez-vous au cégep, ils n'auront plus le droit d'aller au cégep en anglais.
[00:20:01] Speaker B: Oui, ils resserrent.
[00:20:02] Speaker A: Il n'y en aura plus de place.
[00:20:03] Speaker B: Il n'y a pas de place là.
[00:20:04] Speaker A: Là, il reste encore un peu, puis plus tu vas avancer dans le temps, moins il va y en avoir.
C'était le PQ de mai matin, puis ça va être le PQ peut-être dans un an. Eux autres, ils l'empêchent, c'est clair. C'est-à-dire les quilles, vous n'avez plus le droit d'aller au cégep en anglais, à part les anglophones de souche, ça va être les seuls.
[00:20:21] Speaker B: Beaucoup de gens qui ont de l'argent font leur valise actuellement. J'en sais avec Yann Senéchal en fin de semaine.
que je rencontre pas souvent, Yann, mais ça a donné que les occasions se sont présentées. Lui, il gère quand même des portefeuilles importants. Il gère quand même plusieurs dizaines de millions. C'est un courtier. Beaucoup de gens qui ont de l'argent actuellement préparent leur valise.
[00:20:45] Speaker C: C'est drôle que tu dis ça parce que... Tu sais, en France, on en parle beaucoup de la France, parce que ça brasse à moyen temps, mais des gens qui ont de l'argent en France à l'heure actuelle, qui s'en vont à Jersey, puis qui s'en vont à Chypre.
[00:20:57] Speaker B: Ils s'en vont. As-tu des informations là-dessus?
[00:20:59] Speaker C: Oui, ils s'en vont, puis il y en a même qui disent, un demi-pourcentage d'impôts de plus, je suis parti. On est rendu au point où l'impôt va tuer l'impôt. S'il augmente l'impôt des plus riches en France, ça va diminuer les rentrées de l'État parce qu'ils vont s'en aller.
Sont rendus là, sont au point de non-retour.
[00:21:16] Speaker B: Ah non non, la France, c'est pas beau. On regarde le Québec, c'est pas beau, mais la France, ils sont vraiment, vraiment dans la merde, là. C'est ça, lui, Bayrou, qui a démissionné, lui suggérait un plan d'austérité où ils n'ont pas le choix, ils sont poignés à la gorge. Là, les Français sont dans la rue. Honnêtement, là, c'est... Faut pas couper nulle part. Faut pas couper nulle part, c'est ça.
[00:21:35] Speaker A: La suite pour les services en anglais à Montréal?
[00:21:37] Speaker H: Pour la suite, il y a une certaine discrétion de l'employé municipal qui peut être exercée pour assurer une bonne communication. Donc là, la personne peut continuer en disant « No problem, I can offer you the service in English today ». Mais il faut ajouter, normalement, on devrait vous offrir les services en français, à moins d'exceptions, si vous êtes un anglophone historique, un autochtone ou un immigrant qui est ici depuis moins de six mois, comme le prévoit la loi. ou s'il y a un problème de sécurité ou de santé qui se pose immédiatement.
[00:22:08] Speaker A: Ça arrivera pas tout ça, là.
[00:22:10] Speaker B: I'm gonna die! Au téléphone.
je vous comprends pas. OK.
[00:22:17] Speaker A: Je dois vous servir en français. Est-ce que vous me comprenez?
[00:22:20] Speaker B: I understand you, but normally... I should hang up. I'm gonna die now! I'm gonna die! I'm burning! OK. It's gonna be an exception, but...
Je vais appeler les pompiers maintenant, mais c'est la dernière fois.
[00:22:40] Speaker A: La prochaine fois en français.
[00:22:42] Speaker B: La prochaine fois en français, s'il vous plaît. Il n'y aura pas d'autre fois, parce que je vais être au ciel.
Une histoire complètement folle. Non, mais c'est vrai pareil, tu peux avoir des appels d'urgence comme ça, c'est complètement fou.
[00:22:55] Speaker A: Rapidement, je veux te faire jouer ça.
[00:22:56] Speaker B: Ça, c'est la CAQ. Le PQ, ça va être encore un petit peu plus aussi modérable.
[00:23:00] Speaker A: Puis le PQ, c'est la guerre au privé aussi. La guerre au privé en éducation, la guerre au privé en santé.
[00:23:05] Speaker B: C'est écrit aussi, le définancement progressif des écoles. privée du Québec.
[00:23:10] Speaker A: Mais parlons de la santé. Tasha Carradine est allée se faire soigner, oui, jusqu'à un certain point. Du moins, elle a passé des tests au Vietnam. Puis elle est allée raconter ça à RDL. Elle a raconté ça, je pense que c'était dans la presse aussi, il y avait un texte hier.
[00:23:23] Speaker I: Avant que je sois partie en vacances, mon médecin m'a dit il faut savoir si ce n'est pas un cancer et il faut un IRM pour ce faire. On m'avait dit au Canada que je n'aurais pas cet IRM urgent avant au moins 30 jours. Ça prendrait peut-être plus. C'était assez stressant. Tout d'un coup, j'ai pensé je pourrais peut-être me procurer cet IRM là-bas. Et c'est ce que j'ai fait sur une application sur mon portable en dehors de deux jours.
[00:23:49] Speaker C: Ah oui, au Vietnam. Donc, avant de partir, vous avez pris rendez-vous au Vietnam pour avoir votre IRM.
[00:23:55] Speaker A: Là, je vais vous expliquer, elle s'en allait au Vietnam anyway. Elle avait un voyage de privé au Vietnam, puis là, elle n'avait pas son IRM en Ontario. Au Québec, il y en a du privé qui le donne. Elle aurait pu le faire ici, ça aurait coûté un petit peu plus cher qu'au Vietnam, mais il n'y a pas le voyage à payer. Il y a ça. Mais vu qu'elle s'en allait au Vietnam, elle a fait comme « je pourrais peut-être checker la busse, ça serait possible ». De même, claquement de doigts, « let's go », pas de problème. Combien ça a coûté?
[00:24:18] Speaker I: J'ai trouvé cette application pour une chaîne d'hôpital réputée. J'ai débarqué le jeudi soir. Le vendredi matin, j'étais à l'hôpital pour voir le médecin. Vendredi après-midi, j'ai fait le IRM. Samedi matin, retour à l'hôpital avec le docteur pour les résultats.
[00:24:36] Speaker C: Ça vous a coûté combien, ça, faire ça?
[00:24:38] Speaker I: 300 $, 50 $ pour le médecin, 250 $ pour l'IRM.
[00:24:43] Speaker A: On me dit qu'ici, c'est environ 600 $.
[00:24:46] Speaker C: Elle raconte ça aux plus grands défenseurs du modèle. Lui, il devait avaler le travers.
[00:24:51] Speaker B: Oui.
[00:24:52] Speaker A: Bien, puis, ce qui avance... Oui.
[00:24:55] Speaker B: Gérald.
[00:24:56] Speaker A: Elle n'a jamais été spécifique exactement c'était quoi son problème de santé, mais il y a quand même eu de quoi. Il y a eu une chirurgie à voir par la suite. Elle dit que ça lui a peut-être sauvé la vie d'avoir l'IRM. Si elle avait eu un cancer, assurément que ça lui aurait sauvé la vie.
[00:25:08] Speaker C: Ce tourisme médical que vous avez vécu, vous a sauvé la vie?
[00:25:13] Speaker I: Peut-être oui. Si c'était un cancer, certainement. Si c'était un cancer, ce type-là, ça peut doubler en grosseur dans un mois. C'est très agressif. Alors attendre et ne pas savoir, c'était très stressant. Et ça aurait été un mauvais résultat si j'aurais attendu un même un mois peut-être. Le Vietnam, pays communiste, Gérald, pays communiste, peut avoir un système à deux vitesses. Je dis pourquoi pas pour la classe moyenne se procurer ça par les assurances, c'est faisable au Canada aussi. C'est des options qui existent dont on se prive parce qu'on ne veut pas être, on dit, inégal, mais à la fin de la journée, les inégalités persistent si tu peux te procurer un voyage et le faire ailleurs.
[00:25:54] Speaker B: Ça c'est le fucking home run.
[00:25:56] Speaker A: Au lieu de garder l'argent ici, le bronzer au gen, ben allez le dépenser ailleurs.
[00:25:59] Speaker C: Home run tu dis?
[00:26:01] Speaker B: Y'a d'où home run? Le fait que t'as dit que pour quoi faire des référendums le maire peut les renverser donc à ce moment là c'est comme des grosses pièces de théâtre. Mais elle, c'est un homerun à maudit, parce qu'elle y met un coup de poing dans le poteau du saumon sur la chaîne d'État. Les communistes m'ont mieux soigné que le El Modelo, défendu par les élites médiatiques et les politicos.
[00:26:21] Speaker C: C'est un long homerun, là.
[00:26:22] Speaker B: Elle, elle sort ça du stade. Elle a réglé ça. Ça tombe sur le toit à l'autre bord.
[00:26:28] Speaker C: Ça est tombé sur le stade des White Sox. Elle est partie régler, puis elle s'est rendue jusqu'au stade des White Sox.
[00:26:34] Speaker A: Oui.
[00:26:35] Speaker B: C'est là qu'il s'appelle. Comesquet, anciennement. En tout cas, peu importe. En tout cas, là-bas, ils sont tout mêlés. Ils pensent que c'est White Sox qui ont fait ça. En tout cas, the jury's still out.
[00:26:43] Speaker C: En tout cas, il y a un petit gars qui s'est fait voler sa balle.
[00:26:46] Speaker A: Parce que juste après ta chatte, là, on a des chroniqueurs. Puis là, ils ont un petit peu fourré.
[00:26:51] Speaker B: «The Dome Run» nous écrit un livre.
[00:26:54] Speaker C: Très bon.
[00:26:56] Speaker A: Oui, ça cogne la vitre puis ça revient.
[00:26:57] Speaker B: Ah, j'adore ça! J'adore ça! C'est un pays... Pis, moi je le savais, beaucoup de livers autour de la table, moi je le savais, c'est un pays communiste beaucoup. C'est communiste qu'on gagne la guerre là-bas.
[00:27:09] Speaker A: Il n'y a pas de Vietnames du Nord, mais Vietnames du Sud.
[00:27:11] Speaker B: Elle, elle réitère. Elle lui dit. On dirait qu'il n'était pas au courant. C'est un pays communiste. On dirait qu'il n'était pas au courant.
[00:27:20] Speaker A: Il a dû priver pareil.
[00:27:22] Speaker B: Oui!
[00:27:22] Speaker A: Mais là t'as la chroniqueuse après qui embarque pis elle... Elle, le privé, c'est pas bon, là.
[00:27:28] Speaker C: Mais vous pensez que plus de privés détériorent le public? Pourquoi?
[00:27:32] Speaker J: D'une certaine manière, parce que ça prend des ressources. Les médecins, on va pas les inventer. Si on a une pénurie de médecins et d'infirmières, on le voit en Outaouais. Il y a eu un manque d'investissement en Outaouais dans les hôpitaux et les systèmes de santé. Quand j'étais enceinte, je l'ai vu tout à fait. Tout le monde me suggérait d'aller de l'autre côté de la rivière, à Ottawa, où beaucoup d'infirmières québécoises vont travailler, finalement, parce que les conditions sont meilleures. Ça rend le système en Outaouais moins bon.
[00:27:55] Speaker A: Limite, son exemple, c'est public versus public. C'est Ontario versus Québec. Ça prouve juste en fait que... Elle comprend pas. Elle comprend pas.
[00:28:05] Speaker C: Faut faire comme au primaire, prendre la tarte. Tu dis ça, c'est la tarte, OK? Il y a huit pointes de tarte. Disons que les huit pointes de tarte, c'est huit médecins. Il y en a quatre au privé, il y en a quatre au public. Mais les huit s'occupent du monde!
[00:28:20] Speaker B: Et t'as pas plus de monde dans le restaurant.
[00:28:21] Speaker C: Non, non, il y a pas plus de monde.
[00:28:22] Speaker B: Ça, c'est important de le spécifier.
[00:28:24] Speaker C: Si tu prends les quatre au public, pis que t'les mets au privé eux autres aussi, ben tu vas avoir huit médecins qui vont quand même guérir du monde comme avant.
[00:28:30] Speaker A: Sauf que moi, je t'ajoute même une chose. Si le système de santé devient plus attractif, parce que justement c'est plus le fun de travailler au privé, alors que présentement ce que tu dis aux gens c'est «allez pas en santé, c'est de la merde de travailler en santé», ben la tarte elle va être plus grosse.
T'as grossé la tarte naturellement parce que tu l'as rendue plus attrayante.
[00:28:50] Speaker B: C'est important de réitérer le fait de dire que l'argent suit le patient. Ça, c'est le modèle du Parti conservateur. L'argent suit le patient et selon le modèle préconisé par le Parti conservateur, c'est remboursé par l'État. Soigné ou privé, mais remboursé par l'État. Il faut le dire, parce qu'il y a une discrépancy qui peut arriver. Elle, elle l'a payé de ses poches, mais le système préconisé ici, Ça serait payé par le gouvernement, c'est ça qu'on veut dire.
[00:29:16] Speaker C: Puis on ne le dit pas assez qu'il y a les plus grands hôpitaux privés qu'on a aux États-Unis, par exemple, c'est des OBNL qui gèrent ça.
[00:29:23] Speaker B: Totalement.
[00:29:24] Speaker C: C'est abus non lucratif.
[00:29:25] Speaker A: Et pas juste aux États-Unis, ailleurs dans le monde, en Europe. Super.
[00:29:31] Speaker B: Des gens ont aimé, toi, une analogie de la tarte. Dan est en feu ce matin. Donc, une tarte...
[00:29:37] Speaker C: Une tarte à la fois.
[00:29:39] Speaker B: Une tarte à la fois, tout ira bien.
[00:29:40] Speaker C: Ça éloigne le message pour toujours.
[00:29:42] Speaker B: Voilà. Et...