OPEN: Charlie Kirk disait: "Quand on arrête de se parler, C'EST LÀ QUE LA VIOLENCE COMMENCE!"

September 11, 2025 00:42:30
OPEN: Charlie Kirk disait: "Quand on arrête de se parler, C'EST LÀ QUE LA VIOLENCE COMMENCE!"
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OPEN: Charlie Kirk disait: "Quand on arrête de se parler, C'EST LÀ QUE LA VIOLENCE COMMENCE!"

Sep 11 2025 | 00:42:30

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[00:00:01] Speaker A: C'est réglé. Tout est réglé. Tout est parfait. Ça va mieux. Vous le sentez. [00:00:06] Speaker B: Quoi? [00:00:06] Speaker A: Vous le sentez pas? Prenez 2-3 respires. Vous allez le sentir. Un nouveau gouvernement. Donc le Québec s'en va dans la bonne direction. [00:00:13] Speaker B: Sinon, prenez 2-3 pilules. [00:00:15] Speaker A: Ça va aller mieux. Prenez 2-3 comprimés avec une marche dans le quartier et vous sentirez qu'on s'en va vraiment ailleurs. On est ailleurs. [00:00:24] Speaker B: Il y a un grand virage, hein? [00:00:25] Speaker A: Oui. Bienvenue à Radio X dans «Mort à live». C'est super jeudi. Et c'est le cas de le dire, un super jeudi pacté. Ça va rentrer, mais ça va rentrer serré, comme on dit. Je regarde ça aller. Ah, je suis rassuré, François Gosselin n'est pas là. Donc, ça devrait être une émission intelligente. [00:00:46] Speaker B: Merci. [00:00:47] Speaker A: Parfait. On a un ex de cube, par contre. Nick Payne. [00:00:50] Speaker B: Oui. [00:00:50] Speaker A: Donc, we're gonna feel some pain. C'est sûr qu'on va le faire commenter. sur les folies de Cube Radio. Mais on a d'autres choses également. Mais on va finir avec Metallica symphonique parce que quand même, c'est une coïncidence, je pense. Puis c'est une heureuse coïncidence. 10e anniversaire du gâteau à vanille et 10e anniversaire nécessairement de l'enterrement du Colisée. [00:01:16] Speaker B: Pepsi, donc les deux Shows de Metallica. [00:01:19] Speaker A: Les deux Shows de Metallica, dont un sera diffusé intégralement dans Légende du rock en fin de semaine par Pee Wee, à qui on va parler demain. Et là, ça donne qu'il y a un show qui se prépare de Metallica symphonique. Je pense que Metallica symphonique, ça se prête très bien. Anyway, eux l'ont fait avec l'Orchestre symphonique de San Francisco. Deux fois plus tôt qu'une, d'ailleurs. [00:01:41] Speaker B: Mais c'est une réédition aussi. Ils l'ont faite, ça, il y a. [00:01:45] Speaker A: Un an ou deux ans? Oui, eux. C'est-à-dire, ça s'appelle Metallica symphonique avec Jonathan Bélanger. Oui, oui. On les avait reçus à nouveau. [00:01:53] Speaker B: Oui, je suis pas fou, là. Je me sens que c'est déjà arrivé. [00:01:56] Speaker A: On les avait reçus, puis là, ça a l'air qu'avec Anesthesia. [00:01:59] Speaker B: Puis vous étiez allé voir les répètes? Non? Oui. [00:02:04] Speaker A: Oui. Oui, c'est bon. C'est du solide. C'est une toune comme One, une toune... Tu sais, il y a des pièces que ça prête vraiment au violon. [00:02:12] Speaker B: Ben moi, il y a beaucoup de versions de Metallica que j'aime mieux écouter aujourd'hui avec l'Orchestre symphonique à San Francisco que l'original. [00:02:21] Speaker A: Oui? [00:02:21] Speaker B: Oui. Ça ajoute la profondeur, veux, veux pas, là. [00:02:24] Speaker A: Laquelle, mettons? [00:02:26] Speaker B: « Hero of the day », entre autres. Écoute, il y en a plusieurs que j'ai trippées sur cet album-là. Moi, c'est un album double que je peux partir puis laisser aller jusqu'à la fin. [00:02:34] Speaker A: C'est le côté dramatique de certaines tounes de Metallica. C'est dramatique, la musique classique. Ça vient te chercher dans les tripes. [00:02:42] Speaker B: Puis t'ajoutes des instruments à cordes avec. C'est solide. [00:02:46] Speaker A: Une toune hyper brûlée, « Nothing else matters ». Après un autre twist. Dans le format symphonique, effectivement, ça prend un autre twist. Dan, comment ça va? [00:02:57] Speaker C: Ça va pas super. [00:02:58] Speaker A: Comment ça? T'as des problèmes d'ordinateur à matin? [00:03:01] Speaker C: Non, pas à tout. Il va très bien mon ordinateur. Je suis vraiment bouleversé. Vraiment, là, je suis... T'sais, j'ai pas la tête à rire ce matin, puis là, je sais, vous parlez du rebaniement, puis toute la patate, puis... Oui, bien. [00:03:15] Speaker A: Là, on commence l'émission, il est 6h15. [00:03:17] Speaker C: Je vous trouve bon. Je vous écoute, là. [00:03:19] Speaker B: Bien, moi, j'ai eu une demi-heure pour ventiler un peu. [00:03:22] Speaker C: Puis je vous trouve bon. [00:03:23] Speaker A: Puis moi, j'ai ventilé avec ma blonde hier. [00:03:25] Speaker C: C'est... Je suis vraiment bouleversé. plus par les réactions, beaucoup plus par les réactions que par l'événement en tant que tel. Je suis carrément sur le cul. Sur le cul. En fait, il y a un paquet de choses que je ne suis pas capable de me chasser. J'ai pensé à ça toute la nuit, c'est pas compliqué. [00:03:43] Speaker A: C'est les mêmes réactions, ou presque. que lors de la tentative d'assassinat de Donald Trump à Butler. On est dans la même gang. Et là, pire, parce qu'effectivement, il est décédé. Donc, il y a des gens qui dandent sur les tombes ce matin. Il y a beaucoup de gens au Québec. [00:04:01] Speaker C: Des gags alors que... Tu sais, des... [00:04:03] Speaker A: On l'a tous bouleversé. [00:04:05] Speaker C: Des manifestations de joie. Oui, je le sais que vous l'avez tous bouleversé. Puis des grandes manifestations de joie. Alors que, tu sais, le corps est. [00:04:13] Speaker A: Même pas froid, là. [00:04:14] Speaker C: Je suis ébahi à quel point cette gauche-là est méchante, violente. Elle est dangereuse. Dangereuse. Beaucoup plus dangereuse que n'importe quel autre mouvement. À l'heure actuelle, je pense que la gang la plus dangereuse pour la société dans laquelle on vit, c'est l'extrême gauche. [00:04:42] Speaker A: Et on le vit. À tous les jours. Et on le vit à tous les niveaux. Et on peut mettre là-dedans... J'ai vu les cyclistes hier. Je pensais à toi. J'ai vu des cyclistes se réchauffer hier sur les plaines. Ils sont arrivés. Ça roule. Et je pensais à toi, à la gauche. Pro-palestinienne, dit-on, entre guillemets. [00:05:05] Speaker B: Pro-amas. [00:05:05] Speaker A: Pro-amas, pro-terroriste, anti-juive, raciste, ça fait partie de ça. Ça, c'est un événement qu'on va vivre dans les prochaines heures. Faut mettre ça là-dedans. Tout ce qui s'appelle « cancel culture », faut mettre ça là-dedans. C'est... La gauche sortons les poubelles aussi. On a connu ça ici à Radio Wix. Éric a connu ça dans Artabasca. Pierre Poilievre a connu ça à certains égards aussi de se réjouir, de diaboliser. Tout ça, ça commence par une diabolisation répétée, carabinée à tous les jours pour craquer le monde et finalement pour annuler le monde. jusqu'à l'ultime annulation, c'est-à-dire la mort. Et là, quand il y a un mort, bien, c'est... Il y a du monde qui l'échappe totalement, qui perd les pédales. Beaucoup de monde ici au Québec, mais beaucoup de monde ailleurs également. Non, c'est... [00:06:05] Speaker B: C'est des gens qui se couvrent avec des termes comme empathie, puis bienveillance, puis qui, après ça... Oui! ...applaudissent des gestes violents comme hier. [00:06:14] Speaker C: C'est... Bien, en fait, je trouve ça complètement malade. Puis tu sais, il y a des réflexions que j'avais... Tu sais, souvent, on nous reçoit des menaces, là, puis... Moi, je suis genre très coquille, là, tu sais, comme cet été, il y a un employé du RTC, je sais pas si c'est un chauffeur ou un membre de l'équipe technique, qui m'a dit « Fais attention si tu marches dans la rue pendant qu'il y a un bus du RTC qui passe, toi, gravelle. [00:06:32] Speaker A: » – C'est ça. [00:06:32] Speaker C: – Puis moi, j'ai répondu ça en donnant l'adresse de la station. Mais je me suis dit « J'arrête. Je vais arrêter de faire ça parce. [00:06:39] Speaker A: Que… » parce qu'il y a – un Oui, fou qui peut venir avec un gun, il y a Julien en avant. [00:06:41] Speaker C: – Visiblement, les gens de gauche sont prêts à se rendre jusque-là. [00:06:45] Speaker A: – Absolument. Absolument. On s'est rémunéré ça hier dans le salon chez nous. Quand ma blonde est enceinte du premier, j'étais à Radio X. Ça fait quand même plus de 21 ans que je suis ici. Elle a eu des menaces de mort. Et moi aussi. Morette, ta blonde est enceinte, on sait où on va aller tuer son fœtus. C'est arrivé. Mais c'est arrivé là. La police de Québec, moi je suis allé. Je connais le chemin, je vais au Taj Mahal. C'est là que je porte plainte. Je peux aller à Victoria, au Taj Mahal. Je me parque, je rentre, je cogne le bureau, il y a une vitre miroir. L'enquêteur est là. On les connaît, ces gens-là. À Québec, on peut même les nommer, les identifier, les tenants de cette gauche-là. Vous les connaissez. On fera pas de concours, mais c'est toujours la même mouvance. On va et on vient. Ça commence par une diabolisation carabinée. Noircir des personnalités pour craquer le monde. Avec des mots aussi très chargés. Fascistes, nazis. Allô les fachos. Mon nom, moi je le vois depuis 20 ans sur des sites à répétition. L'acharnement. L'acharnement est la recette. Tu crains que le monde, ça prend juste un failé avec un gun, un couteau, whatever, et c'est arrivé ce qui est arrivé là. La personne n'a pas été arrêtée. Mais nécessairement qu'on en fasse à quelqu'un qui a planifié son coup. Deux personnes arrêtées, deux recherchées, il y a eu de la pression au FBI. [00:08:19] Speaker C: Puis quelqu'un qui s'est tiré. [00:08:21] Speaker A: Qui s'est tiré? [00:08:22] Speaker C: Ben, qui s'est tiré, je veux dire... T'sais, personne, mais... [00:08:26] Speaker A: On le sait pas si elle s'est tirée, là. La personne, elle est partie, là. Elle s'est sauvée, là. [00:08:30] Speaker C: Non, non, mais moi, je le sais qu'elle s'est tirée, j'ai vu la balle rentrer. Il l'a pas manqué, là, c'est ça mon point. [00:08:35] Speaker B: OK, qui a tiré, mais pas qui s'est tirée elle-même. [00:08:38] Speaker C: Non, non, pas qui s'est tirée, qui s'est S-A-I-T, là. Savoir, du verbe savoir. [00:08:42] Speaker A: OK, OK, oui, c'est un tireur. [00:08:44] Speaker B: C'est beau. [00:08:44] Speaker A: C'est quelqu'un de préparé. Quelqu'un avec de l'équipement aussi. [00:08:48] Speaker C: Avec un viseur, quelqu'un qui est sûr. [00:08:50] Speaker A: À 200 pieds, c'est quelqu'un qui sait viser. [00:08:52] Speaker C: Puis tirer sur un être humain, il y a des palpitations, c'est quelqu'un qui est entraîné. [00:08:57] Speaker A: Quelqu'un qui connaissait le chemin, comment s'installer, comment viser. Quelqu'un qui connaissait l'horaire. de Kirk, parce que c'est comme un horaire de tournée. Lui, aller sur son site, c'est une tournée. C'est une tournée de college, ce qu'il fait. C'est ça, c'est sa job. Il y a un show de télé aussi, je t'en parlais hier avec DH. Donc c'est quelqu'un... Charlie Kirk, moi, en tout cas, peut-être que vous autres, vous le regardez aussi. Charlie Kirk, moi, je... Ça fait des. [00:09:25] Speaker B: Années que je voyais des vidéos. [00:09:26] Speaker A: Ça fait des années qu'on le voit. C'est un gars qui est super smooth. Mais c'est un gars qui aime la rhétorique. Moi, je pensais à ça ce matin, puis je me disais, ce gars-là fait ce que les universités ne font plus, c'est-à-dire développer le sens critique. Bien me challenger. T'es woke, t'es radical, t'es un islamiste, t'es un pro-gaza, whatever. Viens, prove me wrong. Moi, je pense ça. Viens t'installer au micro, on jase. Pas de violence, pas d'insultes. [00:09:55] Speaker B: C'est quelqu'un qui aimait débattre tout court. Puis des fois, peut-être même, comment dire, de manière... Comment je dirais ça? Quasiment malhonnête. Dans ça, hier, j'ai vu un débat à un moment donné qui a passé avec une fille, c'était juste pour rire. Puisque les gens peuvent se présenter au micro et y poser des questions. Puis là, il a demandé, es-tu gaufre ou pancakes? puis ils se sont mis à débattre. C'est juste drôle, mais il amenait des arguments. La joute de débattre avec quelqu'un, il aimait ça, lui. [00:10:24] Speaker A: Il y en a au moins un dans la gang, c'est pas mon préféré, mais je pense que ça va être le candidat démocrate aux prochaines. Gavin Newsom, il va falloir commencer à s'intéresser au gars. Il est ouac, c'est un politico. Regarde, c'est un point d'État top, la Californie. Dieu sait qu'il a commis des gaffes, puis Dieu sait que c'est mal géré, puis Dieu sait qu'il a perdu du monde aussi. Plus d'un million de personnes ont quitté la Californie, c'est quand même pas banal. Mais Gavin Newsom, il a un podcast. Et ça a été... Je ne sais pas si ça a été son premier invité, mais ça a été l'un de ses premiers invités, Gavin Newsom. À débattre! Il l'a invité. [00:11:03] Speaker B: Avec Charlie Kirk. [00:11:04] Speaker A: Avec Charlie Kirk, exactement, pour débattre. [00:11:07] Speaker B: Ma barre est rendue très basse, mais au moins, lui, il a pas fêté l'assassinat de Charlie Kirk hier. [00:11:12] Speaker A: Non. [00:11:12] Speaker B: Au contraire. [00:11:12] Speaker A: C'est quelqu'un qui aime débattre, puis c'est quelqu'un qui... Bien, c'est ça. Donc, t'as eu les excès des violents, mais t'as eu aussi le discours très réducteur de certains. Ah, ces combats... OK, donc, on relance le débat sur le contrôle des armes à feu. On peut toujours débattre sur les armes à feu, mais là, je pense que... Ici au Canada, on enregistre des armes à feu, supposément qu'on est pur, quasiment pur. On n'est pas comme les États-Unis, nous autres. Allez voir des banlieues de Toronto, et même au centre-ville de Toronto, ça se tire du gun en étoile. C'est l'histoire de la pureté. On va contrôler ça, ça va disparaître comme par magie. Nous, on le sait qu'il y a une culture des guns aux États-Unis. [00:11:50] Speaker B: Je suppose que mathématiquement, c'est en cause. [00:11:52] Speaker A: C'est différent que l'Angleterre ou que l'Australie. [00:11:55] Speaker B: Ou que le Canada. [00:11:56] Speaker C: Il y a effectivement un paquet de questions à se poser. Mais je pense qu'on peut... [00:11:59] Speaker A: Mais là c'est le problème, c'est la rhétorique violente de la gauche, comme tu as souligné, d'entrée de jeu, qui est problématique. [00:12:05] Speaker C: Mais tu sais, il faut respecter la victime et sa famille pendant un certain temps. Après ça, c'est sûr qu'il y a des questions à se poser. [00:12:13] Speaker A: C'est tout zoom, là. [00:12:15] Speaker C: Voilà, c'est juste ça. Puis le concept de l'assassinat politique aux États-Unis, c'est ça que je vous disais tantôt, c'est un réel problème. C'est des pays dans lesquels on voit des assassinats politiques depuis 70 ans comme on en voit aux États-Unis. Puis là, j'esquive tout le bout à Abraham Lincoln où le monde mangeait de la viande en direct sur la vache. C'est une autre période. Mais depuis 70 ans, disons depuis Kennedy, C'est quelque chose qu'on voit de plus en plus... ben pas de plus en plus souvent, mais qu'on voit quand même assez fréquemment. [00:12:43] Speaker A: Scalise d'une game de baseball, y'a commenté hier le monsieur. [00:12:45] Speaker C: C'est ça, exactement. Robert Kennedy, Martin Luther King, Donald Trump, Ronald Reagan, en voulez-vous en voilà, la fille au Minnesota l'année passée. [00:12:54] Speaker A: Shapiro, qui est un démocrate, qui s'est fait attaquer, mais en même temps c'est un juif. qui s'est fait attaquer chez eux, rappelons-le, avec un incendie. Josh Shapiro, qui est le gouverneur de la Pennsylvanie, si je ne m'abuse, donc... [00:13:10] Speaker C: T'sais, les seuls pays dans lesquels on voit autant de tentatives d'assassinats politiques ou des assassinats politiques de même, c'est des shitholes, là. Ce problème-là, les États-Unis doivent s'y attaquer. Doivent s'y attaquer pour vrai, là. Il y a aucun pays occidentaux dans lequel il y a autant de tentatives d'assassinats politiques. Ça existe pas. [00:13:31] Speaker A: C'est pas arrivé. À part Pauline Marois. [00:13:34] Speaker C: On peut pas le négliger. [00:13:35] Speaker A: C'est un malade anglais fucké. [00:13:38] Speaker C: Pis il y a eu Pierre Laporte. [00:13:40] Speaker A: Et il y a eu Pierre Laporte. [00:13:41] Speaker B: Lorsqu'il a eu l'ortie, que t'as un. [00:13:44] Speaker A: Cas de maladie mentale profonde, c'est arrivé. Il y a eu des morts. [00:13:51] Speaker C: Donc, c'est... Tu sais, ça existe, là. Eux autres, c'est un réel problème. Mais là, pour l'instant, il y a du monde qui pleure la mort d'un homme. D'un jeune homme, en plus. [00:14:05] Speaker B: Super, je me pose juste la question parce qu'est-ce qu'on est dans une vague présentement. Super vague parce que tu sais, beaucoup qu'on a nommés là. Kennedy, Luther King, Bob Kennedy, Malcolm X. C'est tout un peu dans la même gamme d'années, dans un même bloc. Et là on est dans une autre. Tu sais, l'attentat contre Trump. [00:14:25] Speaker A: Trump c'est un miracle. Tu sais, on prend ça pour réagir, Donald Trump, il a parlé hier. Mais on n'a pas passé vite là-dessus, mais tu sais, l'actualité va tellement vite, ça fait pas huit ans là, Trump, ça vient d'arriver là. Mais Trump, il s'est tassé un peu la tête. Mais on aurait pu voir, live, la tête d'y exploser comme un melon, là. [00:14:47] Speaker B: Oui. [00:14:48] Speaker A: Moi, j'ai commencé... C'est arrivé à ça, là. À ça, là. [00:14:52] Speaker C: Moi, tu vois, j'ai eu 20 ans, à peu près, au début du siècle, au début des années 2000, puis j'ai... C'est là que j'ai commencé à voyager aux États-Unis tout seul, sans mes parents, et à aller jusqu'à environ... 2010... Non, même pas. En allant jusqu'à la fin de la pandémie, je n'ai jamais connu les États-Unis dans ce mouvement-là. Il y a une division. Les États-Unis que j'ai vécus de 2000 à 2020, ce n'était pas le même. On ne parlait jamais de violence, on n'avait jamais peur nulle part. On était, tu sais, s'il y a actuellement... [00:15:26] Speaker A: Il y avait beaucoup dans notre temps, dans ton temps, dans les années 80-90, dans mon temps. Moi, c'était très allo police, mafia italienne, puis ce qui m'a marqué, moi, c'est Jacques Mesrine, ou Mérine. Tu sais, un gars en cavale avec un gun, Jacques Mesrine, c'est un voleur. Jacques Mesrine ne rentrait pas d'une école pour tuer des enfants, bégrailler en malade. C'était ça, moi, dans mon temps, la criminalité. Elle était très campée dans... [00:15:53] Speaker B: Les milieux criminels. [00:15:54] Speaker A: C'est ça, les Hells, le début des Hells, en tout cas, dans ma mémoire. Et la mafia italienne et Jacques Masserine. [00:16:00] Speaker C: À l'époque où les criminels considéraient que c'était une job. Aujourd'hui, beaucoup d'assassinats, c'est du monde qui cherche de l'attention. Ils vont parler de moi. [00:16:11] Speaker A: Cube Radio, on le sait, c'est dégueulasse, ça fait le tour, gardez. L'atelier El Grebli, de Québecois, a l'as de ça, là. Donc ça, c'est le summum. Pour vrai, là, c'est... [00:16:25] Speaker B: J'ai jamais reçu une vidéo aussi souvent d'autant de personnes différentes. À un moment donné, j'ai arrêté de. [00:16:30] Speaker A: Répondre parce qu'à chaque fois, c'est comme... [00:16:31] Speaker B: « Oh oui, c'est beau, ça fait 12 fois qu'on me l'envoie, là. [00:16:33] Speaker A: » Bien, sur X, allez sur X, vous allez vous enfermer là-dedans. [00:16:36] Speaker B: C'est ça. [00:16:37] Speaker A: Si votre algorithme était un peu axé sur l'actualité en général, Moi, ce matin, je l'ai vu 20, 20, 20, 30, 35, 40 fois, le vidéo de Gosselin avec les autres en arrière qui rient. [00:16:49] Speaker C: Moi, ce matin, je l'ai repartagé sur mon wall en interpellant directement Richard et en lui demandant « Richard, sais-tu qu'il fera plus de chroniques à radio? [00:16:57] Speaker A: » Ouais, parce que leur gag peut-être l'a dit, les gens qui l'ont pas vu, c'est lui, Gosselin, il dit « il fera plus de chroniques, il fera plus de conférences. [00:17:03] Speaker C: » « Richard, sais-tu c'est qui qui fera plus de conférences? » Méchandise. Qui? [00:17:08] Speaker A: Charlie Kirk! Tout le monde est rentré en arrière. Alors que ça venait d'arriver. Sa mort est... On s'est parlé au téléphone et on s'est dit « Oh boy, as-tu vu le vidéo? Depuis moi, il survivra pas. » On venait juste d'annoncer sa mort quand ça a été fait à Cube Radio. Ils s'organiseront avec le shit, là. Moi, je m'organise avec Morelive, Radio Wix. Ils s'organiseront avec le patent. Sauf que, PQP, il y a peut-être un dossier à régler ce matin. Peut-être des rencontres, des meetings, je sais pas comment se gérer. Honnêtement, c'est pas de mes affaires. Ils s'organiseront avec l'antenne qui est rediffuse aussi, là. Peut-être que l'audio des petits biscuits va s'en mêler. J'en ai aucune espèce d'idée. Ils s'arrangeront. Sauf que c'est effectivement la vidéo la plus partagée à date. Je vous le dirais, depuis le 1er janvier, depuis le début de l'année, c'est la vidéo médiatique la plus partagée. Erreur, erreur, erreur, repartagée. [00:18:05] Speaker C: Moi, je trouve ça... Je trouve que c'est dans la même catégorie que deux vols vos funérailles. [00:18:13] Speaker B: Ben là, ben pire. [00:18:15] Speaker A: Oui, non, non, c'est beaucoup pire, Dan. Parce que ça, c'est comme... [00:18:18] Speaker C: C'est pire d'un sens, mais c'est moins pire de l'autre dans le sens qu'il l'a pas texté à l'individu en mail. En effet. [00:18:24] Speaker A: Le gars qui a dit « J'suis pas sûr qu'on a marché sur la lune », suspendu, envoyé en rééducation. Et lui, on verra ce qui arrivera. [00:18:37] Speaker B: Moi, j'pense à rien. [00:18:38] Speaker A: Il arrivera, peut-être, il y a une petite absédoire. [00:18:42] Speaker B: Je pense que Martineau probablement va s'excuser aujourd'hui. Pis, c'est pas que je veux excuser Martineau, mais du peu que j'ai connu de lui, c'est un mou. Ce que tu le vois sur les vidéos, il rit jaune, il est comme « ouais ». Mais je dirai pas rien, je l'obstinerai pas. [00:19:00] Speaker A: Je parlerai pas de lui spécifiquement, mais je vais parler de l'atmosphère des médias montréalais. Parce que c'est de ça dont on doit parler. C'est bord ouvert sur Donald Trump. Et tout ce qui a rapport même avec les États-Unis. C'est bord ouvert. [00:19:16] Speaker B: Ça c'est pas nouveau par exemple? Ça a toujours été un peu le même? Parce qu'on se dit, ils parlent anglais, ils comprennent pas. Fait qu'on peut dire tout ce qu'on veut. [00:19:22] Speaker A: T'as raison. [00:19:23] Speaker B: On est le 11 septembre aujourd'hui, le 12 septembre. Je sais pas où je peux le dire ici. Les gens se souviennent de ce qui avait été écrit dans Le Soleil le lendemain? [00:19:31] Speaker A: Le Soleil, Claudette Samson. Ils ont été les artisans de leur propre malheur. Je l'ai encore le saisie d'écran. C'est disponible. Le Soleil, quand c'était imprimé, c'était ça qui a été écrit. [00:19:42] Speaker B: Quand Trump s'est fait tirer, c'est ça qu'ils ont dit. Il est l'artisan de son propre malheur. Et Charlie Kirk, c'est ça qu'ils disent aujourd'hui aussi. [00:19:49] Speaker A: C'est ça. [00:19:49] Speaker B: En fait, c'est ça qu'ils disaient hier. [00:19:51] Speaker A: Donc c'est bord ouvert, OK? Et c'est exactement pour ça que j'ai dit hier à 4h15 dans le show de D.H., méfiez-vous des médias d'aumien. Y'était rien arrivé encore. On savait même pas qu'il était mort, hier, quand j'ai parlé à Daniel. Mais c'est ça, méfiez-vous, verriez vos sources, promenez-vous. MSNBC hier l'a échappé, j'ai réécouté MSNBC ce matin. Le show en reprise de John Sackey, là. La Rougette, qui était porte-parole de Biden au début, quand il était moins fucké, elle essaie de modérer, oui, mais encore, il faudrait-il que peut-être que... Le mal était fait. Il y a un chroniqueur qui l'a échappé. Il est mis dehors. Il a été mis dehors. Il y a un chroniqueur qui dit, il a couru. Après, son propre sort. [00:20:42] Speaker B: Quand tu dis des choses comme ça, ça peut juste finir de même. [00:20:46] Speaker A: C'est ça. Exact. Kirk, c'était la rhétorique. Et c'est exactement ce qu'on évite de faire. Entre autres au Québec. Je n'irai pas à Radio X. Je ne veux pas être contredit. Ça ne me tente pas de débattre de mes idées. Je les cancelle, je les annule, je les boycotte. Mais Charlie Kirk, c'était un anti, ça. Un anti-boycott. C'était quelqu'un qui arrivait avec sa tante. T'es-tu woke? T'es-tu de gauche? T'es-tu ci? T'es-tu ça? Peu importe. Non chrétien, athée. Beaucoup de débats sur la religion. Ça nous rejoint peut-être moins ici, mais un athée, lui, est très chrétien, donc des débats sur la Bible. Peut-être que ça va vous intéresser moins quand vous allez vous enferger d'une reprise. Mais il faut réaliser quand même que c'est très important. [00:21:37] Speaker C: Non, il était pas rouge, le petit chaperon. [00:21:39] Speaker A: Non, mais tu sais, c'est important. Ça, ça fait gagner Trump quand même. C'est quand même non négligeable. C'est ça qui a fait gagner Trump. Trump l'a reconnu, ça. Au lendemain de sa campagne, il a dit merci à Charlie Kirk. Trump a gagné à 37 % chez les jeunes. 37 %. [00:21:53] Speaker B: C'est plus que les républicains avant. [00:21:56] Speaker A: C'est plus que les républicains avant. Et c'est Charlie Kirk beaucoup. Charlie Kirk. [00:22:01] Speaker B: Il y a une vidéo qui se promène depuis hier où il y a une madame qui vient de voir, je pense qu'elle est peut-être british par l'accent, en tout cas, peu importe, puis qui demande, pourquoi vous faites ça? Puis il dit, parce que c'est important de se parler, puis c'est important de confronter les idées, parce que le jour où on se parle plus, c'est là que commence la violence. [00:22:16] Speaker A: C'est ça. Et il a incité les jeunes, que ce soit de gauche ou de droite, à s'impliquer dans la politique. Hé, hier, avez-vous vu les images? On aurait cru un band. Un band majeur, là. Un show... Un show rock, là. D'une superstar. Ben non. C'était un gars tout seul, avec des fucking calottes et une fucking tante cheap. Style tante du... Tailgate du Rouge et Or. [00:22:49] Speaker B: C'est ça l'accompagnation que j'allais faire, c'était exactement ça. [00:22:52] Speaker A: Un tailgate politique avec un gars. Y'avait des milliers de personnes. Ça prend dessus du talent puis du charisme. Il a redonné le goût aux jeunes de s'intéresser à la politique et à la chose politique en faisant, sur le gazon, ce que les universités ne font plus, c'est-à-dire simuler le débat rhétorique, l'ajoute verbale. Et c'est ça que les universités ne font plus à cause de la « cancel culture ». « T'es de droite, t'es un nazi, t'es extrémiste, on te cancelle. » Lui a ouvert le jeu. « Viens, on va débattre sans s'insulter. » Puis à un moment donné, Il y a un gardien de sécurité qui arrive, c'est parce qu'à un moment donné, ça fait 20 minutes qu'il débat avec la fille. Bon, là, on se tase parce qu'il y a des autres. Il y a un line-up, là. Il y a un line-up de personnes qui veulent débattre avec lui. C'est un honneur. Les jeunes prennent ça comme un honneur. Ça s'est toujours bien déroulé. Il n'y a pas d'insultes, il n'y a pas de violence. Et c'est ça qui marque. C'est la joute oratoire qui était promotée par Kirk dans l'univers de la cancel culture des universités américaines. C'est ça qu'on a assassiné hier. Au-delà de la personne, c'est ça qu'on a tué hier. On a tué la communication, on a tué le débat, on a tué l'ouverture à l'autre. C'est ça qui est dramatique. C'est sûr que ça va survivre, tout ça, mais ça veut dire que ça va survivre dans un autre univers, dans d'autres circonstances. Il était jeune. 31 ans. Il avait commencé à 18 ans. [00:24:23] Speaker B: C'est ça, c'est que ça faisait longtemps qu'il était dans le monde médiatique, même s'il était pas vraiment dans les médias. Mais j'étais sûr qu'il était rendu à 35, 36, 37. 31. Deux enfants. [00:24:37] Speaker A: Il forçait l'autre. à vendre ses idées puis à débattre. Exactement ce que la gauche du Québec est incapable de faire. Entre autres... Entre autres en bannissant Radio X. Je le dis ça parce que c'est important. Avec le débat rhétorique de venir s'asseoir pour débattre des idées, en omettant de faire ça, on perpétue justement la réflexion en silo puis le dialogue de sourd. Ce qui nuit à tout le monde en passant. C'est ça sa contribution. C'est sur Salem que vous pouvez trouver Turning Point USA sur YouTube. C'est gratuit, évidemment. Vous avez des extraits. Mais moi, quand j'ai animé de la Floride, c'est en février dernier, c'est là que j'ai découvert son canal. C'est Salem. C'est écoeurant. C'est gratuit, en passant. Oui, si tu veux, l'abonnement, t'es abonné au film pour le documentaire, oui, mais le canal comme tel, où lui diffuse, puis il diffusait live, il y avait un show. Un show, comme un talk show. C'est Salem. Je vous le dis comme ça pour les gens qui veulent pousser l'expérience plus loin. C'est gratis. S-A-L-E-M. Je sais, hier, il y avait beaucoup d'achalandage. J'avais de la misère à rentrer sur l'application. Je pense qu'il y avait beaucoup de monde qui voulait fréquenter ça. Alors, voilà. [00:25:55] Speaker B: Je me fais souvent dire pour La Légion, t'es courageux d'écouter tout ça, lire tout ça. C'est important. Pis je le fais aussi, je vais faire des tours du côté de Blue Sky, voir ce qui s'écrit pis hier c'était pas beau. Mais, c'est important. Parce que, pis, afin tu développes ton argumentaire de cette manière-là, à avoir le discours de l'autre côté, de gens qui pensent pas comme toi. C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? [00:26:26] Speaker A: C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est qu'on bat ici? C'est comme ça qu'on bat ici? C'est comme trop souvent ça qu'on se faire dire non. Marchand, gazal, avant c'était bat ici? C'est grand monde. Puis Alexandre Chose, le gars du tramway. [00:26:46] Speaker B: Vous êtes pas Amir. [00:26:47] Speaker A: Comme Amir, c'était le dernier à venir. Amir aime ça, l'ajoute pourtant. [00:26:51] Speaker B: Oui, il aime ça. [00:26:52] Speaker A: Vous êtes contre le tramway. Vous êtes contre l'environnement. Quelle bêtise de dire ça. Vous êtes contre l'environnement. Oui, moi, je suis contre l'oxygène. Ah, c'est sûr. Moi, j'ai mis deux enfants au monde. D'après moi, j'aimerais ça qu'ils vivent sur une belle planète puis qu'ils vivent longtemps. Mais c'est ça, c'est de diaboliser l'autre, diaboliser les antennes, diaboliser les canaux, diaboliser, ennemiser l'adversaire politique. Peut-être qu'on pense pas pareil, mais viens débattre. PSPP, je le fais mal paraître sur le chiffre de la dette, il reviendra plus. Ah, je le fais mal paraître, mon écrisse. Tu dois juste être solide quand tu te présentes. Tu veux être premier ministre. Mets des flèches dans ton carquois, puis viens. [00:27:28] Speaker C: C'est pété, hein, parce que... Je vais plus dire ça, je ne sais pas si je peux dire ce que j'allais dire. Mais as-tu vu ce que Dave Portman a dit hier, le gars de Power Steam? Il a dit hier, en fait en parlant d'hier, aujourd'hui c'est la journée, une des journées les plus noires dans l'histoire des récentes des États-Unis. Puis si vous n'êtes pas capable de vous en rendre compte, c'est parce que vous faites partie du problème. C'est exactement ça. Il y a plusieurs personnes hier qui ont réagi à cette nouvelle-là, qui font partie du problème. Puis le problème, il est majeur. Il y a deux camps qui ont arrêté de se parler. Quand ils se confrontent, tu sais, on est un peu... C'est comme Roméo et Juliette. Il n'y a plus aucune conversation possible. On est comme deux camps. Si on se voit, on se tire. [00:28:12] Speaker A: Il y en a un. qui incarne beaucoup ce qu'on vit, je pense, qui incarne ça, cet espèce de déchirement-là, Stéphane Bureau. Stéphane Bureau se fait salir. [00:28:24] Speaker C: Hein, tu dis? [00:28:25] Speaker A: Parce qu'il parle aux autres. Il est pour Poutine. Parce qu'il parle aux autres. [00:28:30] Speaker B: On se fait dire ça la même affaire. [00:28:32] Speaker A: Moi, je l'ai expliqué, l'histoire de... «Vous avez parlé à Xavier Moreau. Je veux entendre l'autre. Je veux essayer de comprendre la mécanique Mais là, c'est pas beau avec ce qui se passe en Pologne et les drones et tout. Mais il y a... C'est un narratif qui est complètement, à mon sens, complètement hallucinant. Les néo-nazis, tout ça. Je veux dire, c'est... [00:28:53] Speaker B: La dénazification de l'Ukraine. [00:28:55] Speaker A: Ouais, c'est ça. C'est comme... C'est une vision vraiment psychédélique de l'histoire, si vous voulez mon avis. [00:28:59] Speaker B: Il y a de la corruption en Ukraine, oui, puis chez vous. [00:29:01] Speaker A: Mais je comprends, c'est ça. J'essaie de comprendre comment eux réfléchissent. [00:29:04] Speaker B: C'est ça. [00:29:05] Speaker A: Je devrais pas y parler, il m'aurait écrasé! Très rapide de même. Tu devrais pas qu'elle ferme sa gueule. Récemment, on a reçu... Je voulais savoir tellement vite. On a reçu un invité récemment. Je me suis fait dire ça. Pourquoi tu le reçois? Ben! Le monsieur, pas plus tard que cette semaine, le monsieur qui est pro, quasiment pro Hamas. Ou avant-guerre. Ou avant-guerre, les amis. Qu'est-ce que j'ai dit? J'ai dit, vous avez le droit de penser ça, mais je suis pas d'accord avec vous, mais vous avez le droit de le dire. Par contre, laisser respirer les athlètes, c'était ça mon discours. Je l'ai pas censuré, le gars. J'ai pas coupé la ligne. [00:29:43] Speaker C: Non. [00:29:43] Speaker A: Mais si vous voyez... [00:29:45] Speaker B: C'est lui qui voulait mettre fin à l'entrevue, maintenant. [00:29:46] Speaker A: Oui, alors je l'ai juste exprimé. Et si vous aviez vu les commentaires, les commentaires «Morin, fermez la ligne, je veux pas entendre ça, je veux pas entendre ça», non, je veux l'entendre. C'est un individu, peut-être, qui représente la minorité. Très certainement qu'en Israël, c'est un juif qui est pas majoritaire. [00:30:03] Speaker B: On aura compris ça. [00:30:05] Speaker A: C'est un anti-sioniste. Bon, bien, bref. Il a le droit! Il a le droit! Il faut ouvrir les canaux, challenger, et ultimement, c'est à vous de vous faire votre propre opinion. Il faut stimuler cette conversation-là. Dans le cas de Stéphane Bureau, malheureusement, il a parlé, comme on le fait ici, en passant amplement durant la pandémie, Christian Perron, entre autres. Il a parlé à Raoul. Non, il a parlé une fois à Raoul. Il a peut-être parlé deux, trois fois. [00:30:30] Speaker B: Et puis, t'sais, comment il s'appelle? Charles-Philippe David ne veut plus débattre avec Stéphane Bureau. [00:30:35] Speaker A: Ben voilà! [00:30:36] Speaker B: Parce qu'il est pas dans la même haine de Trump que lui. [00:30:38] Speaker A: Ah, c'est carrément fou. Moi, j'ai écouté la dernière chronique. C'est ça, au final? [00:30:41] Speaker B: Oui. [00:30:41] Speaker A: Tu t'en souviens, l'an passé? [00:30:42] Speaker B: Charles-Philippe David l'a échappé comme ça avait pas de chance. [00:30:44] Speaker A: Il l'a échappé, remplacé depuis par Yves Boisvert. Je sais pas trop comment ça va virer. [00:30:49] Speaker B: Jusqu'à maintenant, c'est correct. Bois Vert est plus modéré, si je peux dire. [00:30:53] Speaker A: T'es plus respectueux de bureau comme tel. [00:30:57] Speaker B: Oui. [00:30:57] Speaker A: Week-end dernier, j'ai fait une petite jasette avec Berkoff. J'en ai pas parlé, j'ai même pas passé d'extrait. Vous irez le revoir. C'est partagé, entre autres, par Sam Grenier. Puis Jeff Fillon a parlé avant moi. Jeff, il était plus axé, justement, sur les États-Unis et Donald Trump. Moi, j'étais plus axé sur mon expérience. On s'est fait saler, c'est l'enfer. Gang de conspi, gang de coco, gang de coucou, Bercoff va parler à Raoul, parle à Moret, Fillon, la pandémie. Gang de malade. Ces gens-là ne veulent pas qu'on échange. Ces gens-là veulent la censure. Ces gens-là veulent l'annihilation. Ils veulent la cancellation. [00:31:41] Speaker B: C'est des gens qui vivent beaucoup dans la haine jour après jour. [00:31:45] Speaker A: Persuadés d'avoir raison. [00:31:47] Speaker B: Oui. Et quand un Stéphane Bureau ne recrache pas la même haine, mettons, par rapport à Trump, bien là, il devient un pro-Trump. Alors qu'il n'est même pas en doute. [00:31:56] Speaker A: Pas en doute. Pas en doute. [00:31:58] Speaker B: Mais il donne l'autre côté de la médaille. [00:31:59] Speaker A: Il risque beaucoup le code Einstein, Bureau. [00:32:01] Speaker B: Entre autres. C'était pas la première fois. Mais il amène l'autre côté de la médaille. [00:32:07] Speaker A: C'est ça. C'est le temps de comprendre le personnage à travers les décisions qu'il a à prendre dans son univers à lui. [00:32:13] Speaker B: Et ne résume pas simplement les millions et millions d'Américains qui votent pour Trump en disant « tu nous défous ». [00:32:19] Speaker A: C'est ça. On aime ça dire ça. [00:32:21] Speaker B: Oui. [00:32:21] Speaker A: Toutes des malades. Oui, il y a plus de la moitié des Américains, une majorité d'Américains au-delà du collège électoral qui ont voté pour Donald Trump. Toutes des malades, toutes des fuckés. 6h33. Dan, as-tu découvert d'autres beaux génies sur le web? [00:32:35] Speaker C: Non, j'ai pas découvert d'autres beaux génies, mais il y a Catherine Brunel. [00:32:38] Speaker A: Qui est-elle? Le monde de Charlotte. Je suis pas très showbiz québécois. [00:32:43] Speaker B: Moi, je résume toujours à ça. C'est le monde de Charlotte. [00:32:44] Speaker A: Catherine Brunet. Je suis pas très showbiz. [00:32:46] Speaker C: C'est Vrac-TV, Catherine Brunet. [00:32:49] Speaker A: Ah oui, OK. Elle. [00:32:51] Speaker C: Elle a fait à peu près tous les shows de Vrac TV. [00:32:53] Speaker A: Diversité sexuelle. Elle est là-dedans. Elle a démystifié la diversité sexuelle. Ok. [00:32:59] Speaker C: Elle, ce qu'elle a partagé, c'est la mort. Charlie Kirk est mort à 31 ans, puis elle a écrit « Oh my God, yes! Let's go girls! [00:33:13] Speaker A: » Ouais, différent. Et là, comme t'as dit, Joan, elle se victimise. [00:33:20] Speaker B: Oui, plus tard, elle a essayé de jouer à la victime, elle a enlevé ça aussi, parce qu'elle a enlevé la capture d'écran que tu viens de dire. Puis plus tard, elle a comme fait un montage de tous les gens qui disaient « t'es rendu se fermer ta gueule » pis qui l'envoyaient chier. Puis là, elle essayait d'être la victime, là. Puis ça aussi, elle l'a enlevé. [00:33:39] Speaker C: Tu sais, c'est toujours les grands discours, les grandes défenses, là. C'est pas grave si des milliers d'enfants meurent chaque année dans les écoles. Tant qu'on a le droit de porter des guns, c'est ça qui importe. Les guns passent avant la vie des gens, avant la vie des enfants. C'était littéralement ce que pensait et disait Charlie Kirk aux quatre coins des États-Unis depuis des années. [00:33:58] Speaker A: Les amalgames. [00:33:59] Speaker C: C'est ça. Mais il faudrait toujours pleurer sa mort à lui. On vous demande pas de la pleurer si elle meurt, on vous demande de pas danser si ça tombe. C'est deux choses complètement différentes. [00:34:13] Speaker A: Le respect quand quelqu'un est mort, le respect. C'est ce que je disais aussi quand... Guy est mort. Le livre de condoléances que j'ai mis sur le Facebook de Montréal Live. « Soyez honorables. » « Hey, tu es vacciné, gars. [00:34:27] Speaker B: Allez, je le sais, oui ! [00:34:29] Speaker A: » « Calmez-vous les nerfs. » C'est ça, le message que j'ai passé. Juste garder le sens de la mesure, du respect. Et vous pouvez aussi juste rien faire. Ça, là-dessus, tu te mets pas dans la merde. T'écris rien, tu gardes ça pour toi. Si t'as de la haine, tu peux... Tu peux fabriquer ton propre cancer aussi en ruminant de la haine. Ça, d'après moi, c'est quasiment scientifiquement démontré. Rumine ta haine tranquille. T'es-tu obligé de l'exprimer partout puis de te déshonorer? T'es-tu obligé d'exprimer tes frustrations? qui sont emmagasinés depuis des années, des années, et que ça sort comme ça, il y a un... Je veux dire, ça tire partout. Il y a un médecin qui... Il y a un... [00:35:11] Speaker B: Tu m'as envoyé un vidéo de... [00:35:12] Speaker A: Il y a un nurse, un infirmier, très connu aux États-Unis, habillé un infirmier qui s'est réjoui de la mort de Chuck. Il y a du monde qui l'échappe. Il y a du monde qui peut perdre leur job. Les profs d'université. Oui, il y a du monde qui va perdre leur job. Ça, c'est clair, c'est clair. Ce matin, il y a des congédiements qui vont arriver. [00:35:28] Speaker B: Tu m'as envoyé un vidéo ce matin d'un français sur Messenger. Je sais pas pourquoi, j'ai fait le lien dans ma tête. Puis ça fitte en plus à cause du nom. Je suis sûr qu'il y a plein de gens qui ont dit il y a ça quelques années « Je suis Charlie ». Pas ce Charlie-là. Non, lui ça fait pas. Alors que « Je suis Charlie » à la base c'était liberté d'expression. C'était des gens qui se sont fait gonner à cause de caricatures, à cause d'articles dans le Charlie Hebdo. Mais c'est la même chose hier. [00:35:55] Speaker A: « Je suis Charlie » les pastilles. Même Monde qui mettait des pastilles COVID, des pastilles ukraines aussi. Il y a un univers de pastilles. [00:36:06] Speaker B: Même si Charlie Hebdo, il y a des choses que j'ai vues que... Charlie. [00:36:10] Speaker A: Hebdo, ça se vend pas bien, bien. Ça s'est vendu pendant une couple de mois au Québec, ça se vendait quasiment autant que les covedettes. [00:36:16] Speaker B: Oui, il y a des gens qui essaient de te faire croire qu'il y avait des abonnements depuis des années. [00:36:21] Speaker A: Quand ils ont ouvert le Charlie Hebdo, ils se sont rendu compte que des pénis et des fesses, il y en avait une trollée. « Hein, qu'est-ce que c'est ça? C'est trop bien vulgaire! » Oui, mais c'est ça le Charlie Hebdo. Charlie Hebdo, c'est pas le croc, là. Je sais pas, là, vous vous en alliez. Mais c'était très... C'était très LCN, hein? Faut être... C'est des modes, hein? Faut être Charlie, Charlie... Oui, mais Charlie, aujourd'hui, ça se vend encore dans les tabagis, ici, à Québec. [00:36:45] Speaker C: C'était de l'humour noir, drôle. [00:36:47] Speaker A: Ça existe encore, Charlie, qui est encore très, très drôle, très caustique. C'est juste qu'ils ont déménagé, puis maintenant, c'est tout à fait anonyme. Mais le Charlie Hebdo, ça se vend pas. Les gens qui étaient Charlie, Ils sont où? Ça se pose à se vendre encore, Dan, le Charlie Hebdo. Si t'es Charlie, il faut que tu lises de temps en temps le Charlie Hebdo, qui est unique au monde. Aux États-Unis, ça existe pas, le Charlie Hebdo. [00:37:11] Speaker B: Un équivalent? [00:37:12] Speaker A: T'as le MAD, mais MAD sourd aussi. MAD, c'est comme gros. MAD, c'est ça fait rire. Je cherche, pis y'en a pas. Y'a pas d'exemple de ça. Pis il touche à toutes les religions passantes. Le pape bandé dans Southane. Ça y va, ça revole les juifs. [00:37:28] Speaker B: Le plus proche de Charlie Hebdo qui existe aux États-Unis sans que ça soit inimprimé, Salt Park. [00:37:34] Speaker A: Oui. C'est bon. T'as raison. [00:37:36] Speaker B: C'est le plus proche. [00:37:37] Speaker A: Pas de tabou. C'est sans tabou, dans le fond. [00:37:40] Speaker B: On peut frapper sur tout le monde. Les woke qui tripent aujourd'hui parce qu'ils rient de Trump. C'est très drôle, en effet. Ils riaient jaune il y a quelques années ou ils écoutaient pas quand ils riaient des woke. [00:37:50] Speaker A: Ils ont ri de Biden aussi, qui était mêlé. [00:37:52] Speaker B: Aussi. [00:37:52] Speaker A: Obama. [00:37:53] Speaker C: On peut... Je suis mortier. J'ai le goût de rire de Francis Gosselin à matin. C'est de lui que j'ai le goût de rire. [00:38:01] Speaker A: Ben, ri de lui. [00:38:02] Speaker C: Avec sa petite coupe Mohawk qui était à la mode au début des années 2000. Pis sa petite chemise d'assistant gérant chez Cité. [00:38:10] Speaker A: Cité, man. Tu l'as dit. [00:38:14] Speaker C: T'sais, moi, j'ai vu son... [00:38:15] Speaker A: J'avais pas ça, mon plaisir, chez Oui Cité. C'est un genre de pantouramon, c'est quoi, c'est un genre de... [00:38:20] Speaker C: Chaussures Cité. [00:38:21] Speaker A: OK. [00:38:21] Speaker C: Ouais, chaussures Cité, eux autres, ils vendaient... [00:38:23] Speaker A: Des souliers après l'art? [00:38:24] Speaker C: Ouais, ils vendaient... Ils vendaient des... La même chose que chez Yellow, mais avec des belles boîtes. [00:38:31] Speaker A: Soulier plus de chez, mais que des belles boîtes. [00:38:33] Speaker C: C'est ça? C'est ça. Puis j'en ai moi aussi des préjugés. Parce que hier, quand j'ai vu son commentaire à Francis Gauchelet, je me suis dit, ça doit être un péquiste. J'ai eu ce préjugé-là. Je me suis dit, c'est le genre de personne qui est complètement déconfinée à dire, à faire ce genre de jokes-là. [00:38:54] Speaker A: On est très prétentieux au Québec à regarder les États-Unis de haut. On est très, très... Ça... Ça rapport un peu avec ça aussi. Ah oui. [00:39:02] Speaker C: Les autres... [00:39:02] Speaker A: Très, très américanophobes. [00:39:05] Speaker B: Oui. [00:39:05] Speaker A: Les Américains, ce gang de colons sont gros. Sont gros, ça... Je vais te donner des noms de centres d'achat à midi, t'es offert un tour. Ça fait affilé en avant des Valentines. L'histoire de sont gros, ils ont l'air d'une gang de colons. Appelle-moi, je vais te donner une liste de trucs à vérifier après-midi. Tu me rappelles après. Faut pas jouer dans ce film-là avec des amis, s'il vous plaît. Mais c'est ça, il y a beaucoup de prétention là-dedans. C'est peut-être pas fou, ce que tu dis. Puis il y a un petit peu de péquisterie peut-être, mal assumée. [00:39:35] Speaker C: Puis je trouve que pas... [00:39:36] Speaker B: L'idée, c'est que c'est très canadien, là. L'anti-américanisme, tu sais, je... Ici, il y. [00:39:41] Speaker A: A beaucoup de prétention. [00:39:41] Speaker B: Aïe, les États-Unis, parce que tu veux pas être comme eux autres. [00:39:44] Speaker A: Mais pas ici. Ici, on se pense bon. Devant l'univers. [00:39:48] Speaker B: C'est vrai. [00:39:48] Speaker A: Ah oui, on est toujours meilleurs. On est meilleur. [00:39:50] Speaker C: Puis il y a personne... [00:39:51] Speaker B: On est seul, puis on est meilleur. [00:39:51] Speaker A: Notre culture est meilleure, est bonne. On a tout. Système de santé, gratis. [00:39:55] Speaker B: Oui, le modèle québécois, il est meilleur que partout ailleurs. [00:39:58] Speaker A: Hey, Cégep ailleurs, ils ont-tu ça, hein, Dan Goebel? [00:40:01] Speaker B: Vas-y. Oui. [00:40:02] Speaker C: Pis y'a personne, personne, personne, dans tout l'empire québécois, qui... ben, qui en parle, qui revient là-dessus, qui... Ouais, mais là. [00:40:14] Speaker A: C'Est ça, t'es arrivé hier soir. [00:40:16] Speaker C: J'ai fait le tour des Twitter, là, ils sont tous tagués de partout. [00:40:20] Speaker A: Ouais, je sais. Comme je t'ai dit tantôt, Nathalie El Grably fait un grand détour au lieu de taper dessus, quand même. Nathalie El Grably, qui était jusqu'à tout récemment sur le board de Québécois, la première chroniqueuse engagée par PKP suite au lock-out à Montréal. Elle était à l'Institut économique de Montréal dans le temps, avec Adrien, ça fait longtemps. Elle a toujours été des milieux de droite de Montréal, Nathalie. Mais elle tape sur sa boîte à matin, elle dit « les gars, maintenant, ça va loin, calmez-vous un air ». C'est la première fois que je vois ça, humblement, mais ça fait du bien. Mais t'as raison, mais ça, c'est ce matin qu'il… Est-ce qu'il y aura des meetings, hein? Oh, Luc Lavoie, moi, bien sûr. Moi, j'ai été suspendu pour un gag de carabine. Mais est-ce qu'il sera suspendu, lui? Peut-être. À suivre. OK. On fait-tu la pause, là? C'était quand même un deep run différent. [00:41:19] Speaker B: On va le dire comme ça. [00:41:20] Speaker A: Deep différent. On va en rejaser de ça, assurément. Éric Duhem s'en vient, pis c'est sûr qu'on va parler de ça avec Éric. Évidemment, on va faire le bilan du... Du remaniement, c'est sûr qu'on va en parler énormément. [00:41:33] Speaker B: Le virage à droite. [00:41:34] Speaker A: Le virage à droite, on va parler de tout ça. Donald Charrette s'en vient avec Joe Poulin. On va les rejoindre, Ray DeSports tantôt. Carl Sanson des États-Unis tantôt. Je veux qu'on parle de ça avec Carl qui est un Américain dans l'âme. Je sais pas s'il a de la citoyenneté officiellement, Carl, mais il reste ça depuis des années. Et Carl, c'est lui qui m'a avisé hier, puis j'étais comme dans le dôme à côté. Je suivais ça RDI, le remaniement, c'était décourageant. Puis Carl, il me disait «Hey, Charlie Cooke s'est fait tirer!» C'est lui qui m'a avisé en premier. [00:42:06] Speaker B: Moi, c'est toi qui m'as avisé. [00:42:09] Speaker A: Ouais, en cascade. [00:42:10] Speaker B: Pis tu m'as juste dit... Je pense que c'était Kirk qui s'est fait tirer. J'étais Kirk qui? [00:42:14] Speaker A: Ouais, mais là, ça allait vite, là. [00:42:15] Speaker B: T'sais, y'avait pas le Charlie avec, là. J'étais Kirk qui? [00:42:17] Speaker C: Christian Kirk? [00:42:19] Speaker A: Ouais, Captain Kirk dans l'Enterprise. [00:42:22] Speaker B: Ah ouais, mais t'sais... Ben, ou Kirk prénom, là. [00:42:24] Speaker A: Par Spock. [00:42:24] Speaker B: Fait que t'sais, j'ai juste... Là, j'ai ouvert mon ordi pis j'ai checké. J'ai fait « Oh shit! [00:42:28] Speaker A: » Ouais, ouais. Exact.

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