Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: On va s'en va aux États-Unis parler avec M. l'auto-amigo lui-même, Carl Sanson. Salut Carl!
[00:00:09] Speaker B: Salut Dom!
[00:00:09] Speaker A: Merci de m'avoir avisé hier. Tu m'as bousculé dans une routine abrutissante que celle de regarder RDI. On n'a pas le choix, mais là d'autant plus que c'était un new government. Wow! Tout du recyclage pour la CAQ. Tu m'as ramené dans la réalité. C'est toi qui me l'as appris. ce qui est devenu finalement l'assassinat de Charlie Kirk. Puis j'aimerais que tu me parles... J'aimerais que tu me parles de cet événement-là. Qu'est-ce qui s'est passé hier?
[00:00:40] Speaker B: Pour commencer, je dois te remercier, Dom. Tu m'as appris un mot. Tu devrais avoir un trademark dessus, le DOM. OK? Le DOM, c'est toi qui as inventé ça.
[00:00:51] Speaker A: Oui, oui.
[00:00:51] Speaker B: Oui. Bon. Et quand tu regardes à Québec, tu parles que tu voulais... Ça fait du bien de te sortir, je t'arrive avec une nouvelle épouvantable. Quand tu regardes la première page journal de Québec ce matin que j'ai vérifiée, je regarde mes billets de l'automigo, j'ai un paquet de gagnants encore à matin pour créditer les gens, je regarde ma page journal de Québec, il y a deux choses. Il n'y a aucune mention de l'assassinat de Charlie Kirk. Et deuxièmement, quelle date sommes-nous aujourd'hui?
[00:01:20] Speaker A: 11 septembre.
[00:01:21] Speaker B: On est le 11 septembre, il n'y a aucune mention dans le journal.
[00:01:24] Speaker A: Petite mention New York Post. Mais il n'y a aucune mention front page du 11 septembre pour ce qui est du Québec. Puis tous les médias québécois à Carl en passant, toute la gang, la presse, le Devoir, le Soleil, il n'y a rien, rien, rien.
[00:01:43] Speaker B: C'est épouvantable. Oui, c'est épouvantable. Par bout, je suis très sérieux, j'ai quasiment pitié pour vous autres d'avoir Les gens qui sont unilingues au Québec, d'avoir seulement ces sources d'informations-là, se faire brainwasher comme ça, c'est épouvantable. Puis à les entendre parler, c'est la plus belle place au monde. On est les meilleurs au monde. On est les premiers au monde. Qu'est-ce qui est arrivé hier, c'est épouvantable. C'est un attaque directement politique. C'est un assassinat politique.
100% c'est fait par un pro. On parle d'un tir de 590 pieds. Il y a des gens, parce qu'il y avait tellement d'étudiants. On s'entend à cette université au Utah, Dom, à peu près 5 000 étudiants qui sont dehors. Moi, j'ai été souvent à Salt Lake City, tout ça. J'avais des clients, mes filles et moi, on jouait là-bas, dans le coin de Provo. Tout ça, c'est... Le Utah est un état extraordinaire, OK? Et beaucoup de jeunes qui habitent au Utah, On s'entend, ils aiment faire beaucoup d'enfants à ce coin-là, c'est la raison pourquoi. Et écoute, une famille normale, c'est 5-6 enfants d'amour en 300. OK? Puis c'est beau, c'est en plein air, c'est une super belle ville, puis tout ça. Puis là, il y a un rassemblement de Charlie Kirk. Et pour les gens, ceux qui ne connaissent pas Charlie Kirk, Charlie Kirk est un gars qui se promène dans les collèges et universités américaines depuis longtemps pour essayer de changer le mood de l'indoctrination. Je sais pas si je prends le bon mot, dame.
[00:03:28] Speaker A: Indoctrinement, oui, oui. Ici, on dit c'est ma gars, ma gars. Il était sur les campus et Donald Trump, il était dans l'immobilier, il était même pas en politique.
[00:03:37] Speaker B: Il a commencé à 18 ans avec son brand Turning Point.
[00:03:43] Speaker A: C'est ça.
[00:03:43] Speaker B: Le gars, il est extraordinaire. Premièrement, Charlie Kirk, c'est pas un gars qui faisait de la controverse. C'est pas un gars qui était polarisant, c'est un patriotique. C'est un patriot, Charlie Kirk. Charlie Kirk parlait toujours... Il essayait de... Tu sais, tu dis, quand t'as un mouvement, t'as de l'agression, de l'escalade, une police doit toujours désamorcer une tension qu'ils ont. Mais Charlie Kirk allait à l'université calmement avec un micro, en dessous d'un haut vent, idiot, puis il allait confronter, mettre un micro en avant, puis il allait voir les étudiants, puis il allait parler de leurs problèmes. Puis toujours, surtout, qu'est-ce que les professeurs... Parce qu'il y a un gros mouvement, là, dans les universités puis les collèges américains. De l'indoctrination, du socialiste, puis de l'anti-américanisme. C'est ça qui fait, qui fait mal, qui faisait mal au cœur de Charlie Kirk. Et il a décidé, lui, puis on se le cachera pas, là, il a tellement passé la bonne parole, Il a tellement ré-enligné « America First » qu'il est une des... une des très grosses raisons que Donald Trump a été réélu au mois de novembre passé.
[00:05:03] Speaker A: Il l'a dit lui-même, Trump. Il est passé entre autres par 37 % chez la jeune génération. Mettons, il est 18-34, il est 18-25. Trump a donné le décompte à un moment donné, pas longtemps après sa réélection. Charlie Kirk a largement contribué. à son élection, y'a aucun doute là-dessus.
[00:05:21] Speaker B: Pis t'sais Dom, c'est... quelqu'un qui a écouté Charlie Kirk, moi j'suis un gars qui suis Charlie Kirk depuis au moins 5 ans. Pas plus que ça, mais à peu près 4-5 ans. Et j'peux vous garantir que tous les speeches qu'il fait, les confrontations qu'avec des étudiants, c'était pour dé-escaler carrément.
[00:05:43] Speaker A: Donnons des exemples. Moi aussi ça fait une couple d'années, puis toi sûrement que tu le suis plus que nous autres depuis plus longtemps. Mais donnons des exemples. Lui, il y a un line-up d'étudiants, OK? Il y a un line-up de woke. Et venez débattre. Hier, on a réécouté ensemble en famille des extraits. Entre autres sur l'avortement. Bon, il était très chrétien. Ça, c'est un fait. Il débattait avec des athées sur la Bible. Peut-être que ça ne rejoint moins au Québec. Je tasse ça. Restons-en à la politique et aux enjeux du wokisme. Il y avait des trans, il y avait des lesbiennes, il y avait des gays qui, avec le sourire, venaient débattre. Et lui, il répliquait avec le sourire. C'est une joute verbale. Mais Carl, il faisait ce que les universités ne font plus sacrifice, c'est-à-dire débattre dans la liberté et le respect.
[00:06:37] Speaker B: C'est exactement ça. Et si on voit la tendance qu'il avait, quand j'ai commencé à l'écouter, il avait 5-6 ans, Oui, beaucoup de trans. Oui, beaucoup de cheveux verts. Oui, beaucoup de cheveux mauves. Oui, beaucoup de femmes ou d'hommes super agressifs envers lui. Mais je peux te dire que dans les deux dernières années, le mood avait changé.
[00:07:00] Speaker A: C'est très intéressant ce que tu viens de dire. Très intéressant.
[00:07:04] Speaker B: Et c'était... Oui, on avait une couple d'enragés qui prenaient le micro, qui discutaient avec eux autres, soit que ce soit sur l'avortement ou soit... Regardez un homme, là. Beaucoup de jeunes sont perdus, là. À l'université, tu vas à l'université, mais tu sais pas trop ce que tu vas faire encore dans la vie. T'étudies quelque chose, tu penses que les professeurs ont la vérité, tu penses qu'ils te disent les bonnes choses, ça fait partie de ton éducation, et à partir de là, les jeunes sont perdus. Charlie Kirk les aidait à leur donner du courage, puis leur donner de l'assurance. Les jeunes ont besoin d'assurance, OK? Les jeunes sont perdus. Ils ne savent plus où ils s'en vont dans la vie. Je ne sais pas où je vais travailler. Je n'ai pas trop d'argent. Je suis parti de la maison. Je suis à l'université. Je mange du ramen. Lui me dit ça. Puis là, les professeurs, je ne dis pas tous les professeurs, mais 80 % des professeurs, ça, c'est Karl qui le dit, de tout ce que j'écoute. 80 % des professeurs, c'est des socialistes communistes. Et moi, j'ai des parents d'hommes. Sur le C, là, ça fait 21 ans que je suis aux États-Unis. J'ai des parents, comme c'est à toi, mettons, ou Jeff, ou n'importe qui, des gens qui ont de l'argent. Ils ont envoyé leurs enfants dans les plus grandes universités américaines. Des 50 000, 100 000, 150 000 par année, c'est à leur coûte, OK? Au bout de 3 ans, 4 ans.
[00:08:33] Speaker A: Ils se font scrapper la tête.
[00:08:36] Speaker B: Ils arrivent à un souper de famille, Mais pourtant, ils ont éduqué, ils ont fait du baseball, du football, ils ont fait le sport, ils ont été dans l'argent, ils ont déjà voyagé, tout ça. Ils me disent, Karl, après une coupe de drink avec moi, bonjour, je reconnais plus mes enfants. Depuis qu'ils vont à l'université, je ne les comprends plus. Leur thinking a complètement changé. On dirait qu'ils sont rendus anti-américains. Puis regarde, j'aime mes enfants, j'aime ma fille, j'aime mon gars.
Mais au stade que je suis rendu aujourd'hui, il dit, j'essaie de ne plus avoir quasiment de souper de famille parce que ça tombe à des confrontations qui laissent des séquelles.
[00:09:18] Speaker A: Mais t'as vu, c'est la perversion des colleges américains, puis Pete Exet, avant qu'il soit nommé ministre, il a écrit un bon livre là-dessus sur la perversion du système américain, qui est un scam carré, là. C'est un scam, les universités américaines. À grand coup de 100 000, honnêtement, c'est des... Ça n'a pas de sens, là. Mais prends l'exemple de Columbia. avec les manifs anti-israéliennes et tout ça, c'est devenu excessivement violent. C'est le règne du bullying et de l'intimidation. On est rendu beyond la cancel culture. C'est rendu de la violence et de l'intimidation. C'est rendu grave.
[00:09:54] Speaker B: La gauche est un côté très violent et qui accepte les meurtres, sont prêts à accepter, à célébrer un meurtre. Et ça, ça en dit beaucoup, c'est une personne. d'hommes, ça en dit beaucoup. Quand une personne décède, regardez sa réaction.
[00:10:12] Speaker A: Lui-même l'a dit, ça, Kirk, il y a plusieurs années, dans un tweet. On juge une personne à la manière avec laquelle il se comporte devant un décès.
[00:10:21] Speaker B: Exact. Puis, mon Dieu, il y a-tu des célébrations... Autant aux États-Unis, il y a un gars, il y a un collaborateur, un dénommé Dow, MSNBC, qu'il s'est fait... il a perdu sa job avant minuit hier, là, OK? Puis il va en avoir d'autres qui vont perdre leur job. Il y a déjà des personnes haut placées dans les universités américaines qui ont célébré, sur X, la mort de Charlie Kirk. Il y en a qui ont déjà perdu leur job, là, OK? Ça commence, parce que, mon ami, tu peux plus tolérer ça dans la société qu'on est aujourd'hui, là. Ça n'a pas de bon sens. Charlie Kirk, c'est un homme parfait. Un, il est marié à une femme. Un, il a 31 ans. Il a une super belle femme, il a deux beaux enfants à 25 ans, un petit gars, une petite fille. Le gars, il se promène l'université. Moi, je l'ai dit d'homme, là. Je l'ai dit. Tu connais ma femme Valérie? Dans l'élection, la pré-élection, les nouvelles élections américaines que Trump a gagnées, quand je le voyais dans les universités, j'ai dit à Valérie, j'ai dit, si il y a quelqu'un, on sait tous que Trump, il y a eu un attentat. Il y a beaucoup de gens de la gauche qui disent, oh, il a faké ça.
[00:11:30] Speaker A: Ben, tu te souviens, le lendemain, c'est un gars dans le FBI, avant que Cash Patel arrive, puis avant qu'il fasse un nettoyage, là, qui a dit, c'est une écartelle de bois qui... Le lutrin a explosé. Tu t'en souviens-tu de ça? C'était pas la balle qui avait touché l'oreille. C'est une écartelle de bois sur le lutrin qui a touché l'oreille. C'est pour ça qu'elle a saigné.
[00:11:53] Speaker B: Dom, il y a une enquête là-dessus en ce moment. Cash Patel est là-dessus. Faut pas oublier. qu'il y avait un sniper sur le toit qui voyait le gars. Dans son oreille, il y a une communication. Il demande de tirer le gars parce qu'il y a des gens qui étaient en bas, qui l'ont vu monter dans l'échelle avec son arme. On s'entend accrocher après l'épaule. Ils ont dit, il y a un gars avec un arme, il monte sur le toit, il monte sur le toit, ça criait partout. Le gars l'a vu, il a demandé, OK, à sa communication, Est-ce que j'ai l'autorisation de le tirer? Il s'est fait dire non. Cache Patel veut savoir c'est qui qui a dit non. Puis il va enquêter là-dessus, parce que c'est plus loin que ça. Ça, c'est un lone wolf, un petit gars de 20 ans.
[00:12:39] Speaker A: Un lone wolf avec des communications cryptées sur son téléphone? Ça, on n'est pas tout dessus, là?
[00:12:44] Speaker B: Oui, mais on va-tu retourner à l'assassinat de John F. Kennedy? Je veux dire, les documents ont été déclassifiés au gouvernement. Et le film d'Oliver Stone de 1991, qui a refait un documentaire le 3 ans, parce que ça allait évoluer depuis ce temps-là, il est 98% sur le bullseye dans son documentaire de 1991 et dans son film. Et son documentaire, il a rajouté une couple d'affaires parce qu'il n'y avait pas les informations. Mais tout confirme que dans le film, c'est vrai. OK? C'est le CIA qui l'a assassiné. Bon. Maintenant, C'est qui qui a essayé d'assassiner Donald Trump? C'est qui qui a essayé d'assassiner Charlie Kirk? Charlie Kirk, c'est fait par un pro. Un tir de 590 pieds. On a des vidéos du gars, on le voit courir sur le toit après, parce qu'il y avait 5000 étudiants qui étaient avant le pro.
[00:13:35] Speaker A: Non, non, il y a une planif. Le gars est venu, dans les jours précédents, faire, sans dire une pratique, il est venu faire du repérage, on s'entend, Carl? Il a fait du repérage. Il savait l'emplacement de l'attente. Il dit je me mets là, je vais m'assurer aussi.
[00:13:52] Speaker B: Faut que t'aies un angle à 590 pieds. Faut que t'aies un angle que tu y vois le visage, le cou, de loin, que lui il est direct sur le toit à la bonne position, à 5 du pied du bord, qu'il y ait juste la bonne angle et tout ça. Attends un peu là, c'est une shot que... Une shot pis t'as vu... Deux balles, une shot. Oui. Pis t'as vu le vidéo que je t'ai envoyé tout de suite.
Le vidéo le plus troublant, c'est qu'il y avait quelqu'un qui filmait, qui était à la gauche de Charlie Kirk, donc à son 9h ou à son 9h à lui. Il était directement là, il filmait, puis tu vois directement la balle frapper, puis tu le vois tomber de côté. Moi, les gens disent, « Aye, la réaction qu'on a eue dans notre groupe, aye, je suis pas sûr qu'il est mort. » Non, non. Il n'y a rien à faire. Le champ sortait à la pression que vous ouvrez votre lavabo dans la cuisine le plus fort.
[00:14:43] Speaker A: Puis, tu sais, pour revenir sur le tireur, il y avait un getaway. Il y avait... Tu sais, il faut... La clé, là, c'est, pour lui, dans la planif, repérage la veille ou les jours avant, tirer dans le bon angle, la bonne météo, le vent, un sniper, tout est calculé au millimètre près. Mais le getaway aussi, là, il faut que tu te sauves de la bonne manière pour pas être arrêté, pour pas être repéré, c'est ça.
[00:15:09] Speaker B: Il y a une vidéo aussi sur X qu'un gars qui filme le gars qu'il était à la course après, que ça va nécessairement avec un sac noir sur le dos. Les étudiants sont tous encore en dedans. Puis ce gars-là, il sort, puis il est à la course. Sais-tu la bonne personne? On le sait pas. Mais c'est sûr que c'est une job de pro. Il y a une chose, par contre.
[00:15:27] Speaker A: Moi, je suis obligé de le dire.
[00:15:28] Speaker B: Oeil pour oeil, d'un pour d'un, c'est que le gouverneur du Utah a très bien parlé. Il a fait très excellent.
[00:15:35] Speaker A: Il est solide, lui? Le coco, le gars qui est chauve?
[00:15:38] Speaker B: Oui. Oui. Puis c'est quoi qui m'a rassuré, Dan?
La peine de mort est là au Utah.
[00:15:43] Speaker A: Oui, il l'a dit. Il l'a dit.
[00:15:45] Speaker B: En anglais, t'appelles ça « firing squad ».
[00:15:49] Speaker A: Oh, c'est particulier.
[00:15:50] Speaker B: Ça veut dire quoi, « firing squad » ? Ça veut dire qu'ils mettent dix, douze gars en avant. Ils le mettent au milieu en avant d'un mur de béton. Le gars, il est là, il bande les yeux. Ils ont chacun un gun, puis ils tirent. Tu sais pas c'est qui qui l'a tiré.
[00:16:02] Speaker A: Oui, c'est ça. Exact.
[00:16:04] Speaker B: Mais si les douze, ils ont du visu.
[00:16:06] Speaker A: Non, non.
[00:16:07] Speaker B: Ben, les douze, ils le tirent.
[00:16:09] Speaker A: Il manque pas sa shot.
[00:16:10] Speaker B: Fait que le gars, s'il se fait pincer, ça va finir de même.
[00:16:13] Speaker A: Oui, puis il va avoir des accusations fédérales. Fédéral, le death row fonctionne plus vite habituellement que des accusations fédérales. S'il le retrouve vivant, Carl? S'il le retrouve vivant, en passant, là?
[00:16:26] Speaker B: Oui, ben oui.
[00:16:27] Speaker A: On le sait pas comment ça va virer. Cash Patel, as-tu de la pression, matin? Ils n'arrêtaient d'eux, puis ils ont été relâchés, là. Tu peux pas faire ça cinq fois, là, Carl.
[00:16:37] Speaker B: Parce que la nouvelle a sorti il m'a donné, ils l'ont pogné, il y a une vidéo du boomer, d'un boseur...
[00:16:44] Speaker A: Le vieux prof à la Sanders, là?
[00:16:47] Speaker B: Oui.
[00:16:47] Speaker A: Ben c'est ça. Regarde, on va suivre ça, Carl. Merci encore, merci, puis je sais que tu vas jouer avec Jeff plus tard aujourd'hui, assurément. Take care, merci beaucoup.
[00:16:59] Speaker B: Merci, boys!
[00:17:00] Speaker A: Merci, salut, bye!
T'avais l'air exaspéré, stressé. Mérite qu'il t'ait pas arrivé. Je suis zéro stressé, j'ai juste trouvé ça drôle quand il a dit que 98% du film d'Oliver Stone c'est vrai. Ah oui oui, mais ça je sais pas, je l'ai vu. C'est juste ça ma réaction. T'as pas ça le sujet de l'entrevue nécessairement non plus. Je veux pas faire défonctionner l'entrevue. L'entrevue c'est pas mal que le gars y est recherché. Y'a quand même une chasse à l'âme, mais...
Américaine. Une chasse à l'homme, là, actuellement. C'est pas mal ça, le sujet, là. 31 ans, donc, Charlie Kirk assassiné.
