RAY: Lebron ou Jordan?

October 07, 2025 00:16:03
RAY: Lebron ou Jordan?
Maurais Live
RAY: Lebron ou Jordan?

Oct 07 2025 | 00:16:03

/

Show Notes

View Full Transcript

Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: La chronique RÉTA Sports! Hé, c'est moi, ça! Une présentation du Charbon Steakhouse. Avant le match, passez chercher vos côtes levées, burgers, steaks ou plats cuisinés. Le charbon pour apporter, c'est une bonne idée! [00:00:37] Speaker B: Salut Ray, comment ça va? [00:00:39] Speaker A: Très bien, merci, vous autres? [00:00:40] Speaker B: Yes! Tu vas te faire un petit dodo d'après-midi et regarder du hockey d'après-midi? Ou tu vas faire dodo durant le match d'après-midi? [00:00:49] Speaker A: Non, je vais aller jouer au golf cet après-midi parce qu'il reste quelques belles journées encore avant que tout ça s'arrête. Bon, oui, ils vont voir du hockey en fin de journée. Ça recommence, c'est plaisant, la saison de la Ligue nationale. C'est long, mais c'est plaisant. [00:01:03] Speaker B: 17H, c'est WAC 17h. Chicago contre la Floride à 17h. C'est ça. [00:01:08] Speaker A: C'est la TV, c'est la TV qui mène. C'est ça, parce qu'ESPN voulait avoir un triple header, donc ils vont avoir trois matchs à présenter aujourd'hui, 5h, 8h et 10h30. D'avoir ESPN dans le portrait télévisuel pour la Ligue nationale de hockey, moi je trouve ça excellent, parce qu'ESPN, évidemment avec toutes leurs plateformes, font des reportages. L'enrobage autour de la présentation d'un match de hockey, ESPN, qu'on aime ou on n'aime pas. Il y a peut-être des animateurs que vous aimez moins ou quoi que ce soit, mais c'est la référence dans le sport. [00:01:43] Speaker B: J'aimerais ça que Piqué revienne. Quand il y avait un tandem, à un moment donné, Piqué va être là. Ok, Piqué, puis Marc Messier. Les deux ensemble, je ne sais pas, il y a comme une chimie le fun, je trouve. [00:01:53] Speaker A: Oui, oui, oui. C'est très bon. Écoute, c'est le feu pis l'eau. C'est le ying pis le yang. C'est deux gars quand même assez différents. Mais leader à leur façon, personnalité. Piqué sous banne qui fasse des médias, honnêtement, il n'y a personne qui est surpris. Si vous êtes surpris, vous n'avez pas suivi ça bien, bien. C'est dans sa personnalité. C'est sûr que quand tu présentes un sport comme le hockey avec de l'émotion, piqué sous banne, tu le veux tous les jours de la semaine et deux fois le dimanche. [00:02:19] Speaker B: Tout fourru, avec des bottes de kiss. [00:02:21] Speaker A: Il n'y a pas peur de ses opinions. Il n'y a pas peur de ses opinions. De temps en temps, il écorche quelques personnes avec qui il était. Mais ça prend ça. Je donne l'exemple de Tom Brady. Tom Brady prend un peu plus d'aise à décrire. Mais Tom Brady, c'est comme s'il ne veut pas trop déplaire. [00:02:41] Speaker B: Il est politique. Il était impliqué dans l'NFL en partant. [00:02:44] Speaker A: C'est ça. [00:02:45] Speaker B: Exactement. [00:02:47] Speaker A: Parce que si tu veux être analyste et en même temps donner de l'opinion, de temps en temps, tu vas peut-être déplaire à des gens qui t'aiment. Mais voilà. [00:02:54] Speaker B: Exact, exact. Mick David, c'est-tu le dernier contrat à Edmonton? [00:03:02] Speaker A: C'est possible. Il y a plusieurs façons de voir ça. Il y a plusieurs pattes à cette nouvelle-là hier. Premièrement, surprise pour moi énorme de le voir signé à rabais comme ça. Ensuite, je comprends sa mentalité, son thinking. Il est dans une organisation à laquelle il croit. Mais il croit, mais il faudrait que ça se passe. Il a donné comme un ultimatum. C'est comme si... Tu sais le timer, le timer il vient de partir à Endmonton. Il nous reste trois ans. [00:03:30] Speaker B: Qu'est-ce qu'il a dit qu'il n'a pas dit? Hein? [00:03:31] Speaker A: Qu'est-ce qu'il a dit qu'il n'a pas dit? [00:03:33] Speaker B: Genre, allez chercher un goaleur. Genre, donnez-moi des défenseurs. Qu'est-ce qu'il a dit qu'il n'a pas dit? [00:03:40] Speaker A: Est-ce qu'il faut lire entre les lignes que je vais faire ma part, je sais que je vaux plus que ça, mais je vous donne mes services. Je vous offre mes services à ce prix-là. Maintenant, l'argent qui est de côté, utilisez-le comme il faut. Je sais que Mac David, le message qu'il envoie également, il sait très bien qu'il ne peut pas gagner tout seul. Parce que si un match de hockey se gagnait tout seul, on s'entend que Mac David gagnerait tout. C'est le meilleur. [00:04:07] Speaker B: Mais je te pose la question, Ray, je te pose la question. Ils ont fait la finale deux fois, ils ont perdu deux fois. Qu'est-ce qui a manqué aux Oilers pour battre les Panthers? Est-ce que c'est le cœur? Oui, Katchuk a été un facteur, surtout dans la première coupe. Ils ont perdu en sept, hein? [00:04:24] Speaker A: Le deuxième, ils ont perdu en sept. Je vais te dire une chose. Oui, je le sais, mais ils t'en manquent pas beaucoup. Ils manquent quoi, Ray? [00:04:30] Speaker B: Ils manquent quoi? [00:04:31] Speaker A: Je ne serai pas original ben ben, mais je vais me tourner vers le gardien de but. La régularité devant le filet peut-être un peu plus. C'est peut-être ça qui manque aux Oilers. Est-ce que lui, McDavid, fait tout ce qu'il faut pour gagner? J'ai comme l'impression que oui. Il y a quand même Bryce Eitel avec lui. C'est un bon pilier à ses côtés. Tu vois, hier, la même journée où McDavid laisse sur la table quelque chose comme 7 millions par saison. Les Oilers signent un défenseur qui est très bon, que j'aime bien, Jake Wallman, à combien? 7 millions par saison. Ça fait qu'en même temps, dans la même journée, on a le message, puis on a le complément du message. Mick David doit être content de ça. Wallman, c'est une belle acquisition l'an passé pour les Oilers. Pas un gars flamboyant tant que ça, mais ça te prend des gars comme ça, des défenseurs fiables, un défenseur top 4. Puis hier, tu vois, on lui donne 7 millions par saison. C'est exactement le montant que Mick David laisse sur la table pendant deux saisons pour permettre à son équipe d'aspirer aux grands honneurs. Mais écoute, ça m'a surpris hier. Ça m'a surpris agréablement parce que c'est un geste d'équipe. Il y a plusieurs façons de le faire. [00:05:42] Speaker B: C'est un cas à la Crosby qui s'était privé quand même, voyant. [00:05:47] Speaker A: Crosby a fait 8,7 millions de dollars par saison. Ça fait plusieurs années qu'il fait ça. Parce que c'est son numéro, c'est sa date de naissance. Puis en même temps, il comprend. Ça fait longtemps qu'il a compris ça. C'est le nid que ça se gagnait pas tout seul. C'est un bon meneur. À sa façon, il a aidé pour qu'on puisse bâtir l'équipe. Dans le sport, c'est pas arrivé souvent, mais c'est arrivé, ce genre de choses-là. Brady l'a fait au football de la NFL. Brady, plusieurs saisons, n'a pas gagné autant qu'il aurait dû pour permettre à son DG d'aller chercher des joueurs et de bien l'entourer pour gagner en équipe. Alors, c'est ça qu'il faut retenir de la journée d'hier. McDavid a prouvé que c'était un gars d'équipe et qu'il comprend la réalité de la Ligue nationale, mais les Hallers ne saisissent pas le message que dans deux ans, trois ans maintenant, si on n'a pas réussi à gagner, probablement qu'il va falloir faire son deuil de Connor McDavid. [00:06:39] Speaker B: Samuel Blais, j'trouve ça de valeur. J'aurais aimé ça le voir à Montréal, j'trouve ça de valeur. J'trouve que c'est une, t'sais, on commencera pas à exagérer, c'est une grosse perte. En fait, y'avait jamais Job les Canadiens, mais quand même, y'a fait le camp avec les Canadiens réclamés par les livres. Samuel Blais, j'trouve ça plate. [00:06:54] Speaker A: Oui. D'abord, ils ne l'ont pas fait jouer quand ils sont venus jouer la semaine passée. Le Canadien s'est trompé. Ils ont fait une erreur parce qu'il y a des centaines de personnes de la Rive-Sud qui avaient acheté des billets. Samuel Blais, quand il a gagné la Coupe Stanley avec les blues, il a fait une parade dans les rues à Montmagny. Il est aimé en joie de vin. Samuel Blais, il a beaucoup de mérite d'homme parce que, d'abord, quand il était Dans le hockey mineur, tu vas t'en souvenir, on parlait de lui, il était à tombe, Samuel Blais. Il était tellement bon qu'on parlait de lui à tombe. Il a fait parler de lui au tournoi, puis oui. Mais c'est un joueur dominant au niveau des habiletés sur la patinoire. Mais il a compris à un moment donné dans sa carrière professionnelle que pour jouer dans la ligne nationale de hockey, il fallait qu'il se trouve un rôle. Il fallait qu'il se trouve une niche. Il s'est mis à jouer un petit peu plus physique. C'était pas dans son jeu tellement. Puis celui qui l'a convaincu de jouer physique, il s'appelle comment? [00:07:41] Speaker B: Craig Berube qui retrouve à Toronto. [00:07:43] Speaker A: Qui coache les Leafs de Toronto, c'est Craig Berube. Alors là, Sam Blais, il va se retrouver dans un environnement parfait pour lui. Maintenant, il faut être honnête aussi, je l'ai regardé patiner la semaine dernière, Samuel Blais, je pense qu'il a perdu un petit peu de vitesse d'homme. Puis dans le hockey de 2025, ça te prend des pieds. Il faut que tu patines. Puis il a été blessé, il a été blessé sérieusement à un genou. L'an passé, il a été super bon, il a gagné la Coupe Calder dans la Ligue américaine. Je l'aurais gardé avec le Canadien. Moi, je l'aime mieux que, mettons, Joe Velleno, sans rien enlever à l'autre. [00:08:15] Speaker B: Il fallait qu'il se mette au balatage, selon la règle. Il n'y avait pas le choix. [00:08:18] Speaker A: Même chose pour Sam Blais. Ils ont pris une décision, les Canadiens. Moi, j'aime mieux avoir un gars comme Blais, qui a beaucoup de millage, qui a gagné la Coupe Stanley, que Joe Velleno. [00:08:29] Speaker B: Velleno, c'est le dernier arrêt d'autobus. Après, l'autobus s'en va au garage. [00:08:33] Speaker A: Oui, pis pour moi, c'est un verre d'eau avec un biscuit soda, pas de sel, là. Joe Velleno, c'est... Ouais, mais quand t'étais. [00:08:37] Speaker B: Malade, tu l'as vu, quand tu relèves de bras, c'est pas si pire. Oui! [00:08:40] Speaker A: Ça, c'est vrai. Ça, ça fait le travail. Ça a toujours une utilité. Ça, c'est vrai. [00:08:43] Speaker B: Non, mais c'est vrai, je l'ai dit tantôt. Velleno, c'est... T'sais, t'es tout seul dans le bus. Le chauffeur, il te regarde. Il espère que tu débarques parce que sinon, t'es louche. Mais c'est le dernier arrêt, là. Parce que l'autobus s'en va au RTC après, là. [00:08:56] Speaker A: Oui, oui. [00:08:57] Speaker B: Montréal, c'est le dernier. Monsieur, monsieur, c'est fini. C'est ça. Monsieur, on débarque ici. C'est ça Montréal pour Véleno, pour vrai j'exagère pas. [00:09:06] Speaker A: Non, c'est en plein ça. Lui, Joe Véleno, malheureusement, quand il était dans le hockey junior, on lui a posé le statut de joueur exceptionnel parce que la LHJMQ craignait qu'il s'en aille aux États-Unis. Mais c'est pas un joueur exceptionnel. Alors, on lui a fait un cadeau de grec à Joe Véleno parce qu'il est avec cette étiquette-là depuis le début. C'est un bon joueur de hockey, c'est même un très bon joueur de hockey, mais c'est pas une exceptionnelle. Sauf qu'il y a cette étiquette-là. Alors chaque soir qu'il fait pas deux buts, trois passes, on dit « Ben voyons donc, c'est pas une exceptionnelle tant que ça. [00:09:37] Speaker B: » C'est-tu un genre d'Esposito? Angelo, Angelo, Angelo, on l'a craqué, on l'a gonflé. C'est-tu un genre d'Esposito? [00:09:46] Speaker A: C'est une bonne comparaison, Doom. Je déteste pas ta comparaison. Oui, non, ça va bien. Angelo, ça va très bien. Quelle bonne personne Angelo Esposito soit-il, c'est en passant. Les blessures, on ralentit pas mal Angelo. Il a été blessé aux jambes également. Ce n'est pas une mauvaise comparaison. Des joueurs qui étaient supérieurs à la moyenne dans leur groupe d'âge, mais pas des exceptionnels. Exceptionnel, c'est réservé à des exceptionnels. [00:10:12] Speaker B: Tabaret, ça l'était là quand même. [00:10:14] Speaker A: Prosby, pis ça c'est des exceptionnels, mais y'en a pas beaucoup. Exceptionnel, ça le dit dans la définition. Allez faire un tour dans le Larousse, là. Exceptionnel, là, c'est... [00:10:22] Speaker B: En tout cas, j'ai pas vu la photo des Yankees dans le Larousse anti-pêcher, je peux te le dire. Très déçu, ma gang. [00:10:26] Speaker A: Pas présentement. Oh là là. [00:10:29] Speaker B: Qu'est-ce qui se passe? Y'a trop de fun à Toronto. Y'a trop de fun. [00:10:32] Speaker A: Y'a pas de pitchers, y'a pas de lanceurs, y'a pas trop de fun à Toronto. [00:10:35] Speaker B: Non, non, mais y'en a trop pour moi. Ils ont trop de plaisir. Mais là, il va peut-être avoir du plaisir dans le Bronx, mais honnêtement, mon niveau de confiance est très bas en tant que fan des Yankees. Qu'est-ce qui se passe? [00:10:45] Speaker A: Mais il va falloir que les lanceurs lancent mieux probablement, parce que quand tu donnes 10 et 13 points, Dom, tu ne gagneras pas beaucoup de matchs de plate. [00:10:53] Speaker B: Non, je le sais. [00:10:54] Speaker A: À un moment donné, t'as beau en frapper la pelote. Mais c'est le fun. C'est le fun d'avoir les Blue Jays gagner comme ça. À Toronto, ça trippe en joie de verre. C'est quelque chose. Avec Vladimir Guerrero Junior, un Montréalais, soit dit en passant, né à Montréal. [00:11:11] Speaker B: C'était un Québécois. [00:11:12] Speaker A: Un Québécois. Un Québécois qui fait gagner les Blue Jays. Moi, la photo de la fin de semaine, c'est Vlad qui a frappé l'autre bord à 400, je sais plus combien de pieds. Il reste au marbre une seconde ou deux. Il apprécie le moment. Un petit bad flip. [00:11:27] Speaker B: À la bonne distance. [00:11:29] Speaker A: Mais ce soir, le lanceur des Yankees, après avoir vu tout ça, tu peux lui en envoyer une proche du menton. T'as le droit de faire ça. T'as le droit de répliquer un peu. Oui, oui, oui. C'est série. [00:11:39] Speaker B: C'est série, mais en même temps, t'es pas obligé de lancer ça à la tête. [00:11:42] Speaker A: Je vais te dire une chose, si c'était Pedro Martinez sur la butte de. [00:11:45] Speaker B: L'Autre bord, Rodon, c'est pas son style. [00:11:48] Speaker A: Il ferait la barbe, pas de rosoir. Deux, trois de suite. [00:11:51] Speaker B: Non, non, c'est clair. Il était cochon. Ah oui. [00:11:54] Speaker A: Pis Pedro, il était juste assez bon, juste assez précis pour te l'envoyer qu'elle touchera pas le menton, mais tu vas avoir peur un petit peu là. Il a cru que t'envoyais une balle courte. [00:12:03] Speaker B: Au pire du pays, il y aura une bagarre générale, pis tu sacreras Don Zemmer à terre. T'en souviens-tu de ça? Oui, oui, oui. Alcoco à terre, tu vas rameter dans le thé. [00:12:13] Speaker A: C'était drôle, il était pas très fier de ça. Mais écoute, il s'est emmené avec son pas d'accéléré, il s'est emmené. [00:12:21] Speaker B: Un gros jug. La grosse décision, ça se jouera pas à Saint-Terrain toutefois, puis on peut se laisser là-dessus. Je sais pas si t'es un très peu de NBA, je le suis. C'est LeBron, de Decision. C'est du blabla, c'est du flafla. Mais regardons-là, on joue à 41 en décembre, c'est sûr qu'il ressignera pas un contrat de 10 ans avec les Cavaliers l'année prochaine. Moi, je pense que la saison, c'est sa dernière. Je pense que le camp d'entraînement, ça a été un camp d'entraînement style militaire chez les Lakers. Regardez Doncic, il a perdu énormément de poids. Eux autres, ils visent le championnat. Ce ne sera pas facile. Il y a O'Casey, puis il y a les Rockets aussi. Il y a des bons clubs. Mais je pense que c'est sa dernière saison. C'est ce qu'il va annoncer au cours des prochaines heures. T'en dis quoi? [00:13:05] Speaker A: Ben moi, je pense que oui, ça va être la fin des émissions. Puis écoute, il est plus vieux joueur d'avoir joué dans la NBA LeBron James. Mais moi, ce que j'aime, c'est la discussion qu'on peut avoir, qui a été le meilleur dans sa carrière entre Michael Jordan et LeBron James. Peut-être que ça dépend des époques où tu as vécu ça. Moi, j'ai de la misère à tasser Jordan du meilleur de l'histoire. Mais LeBron James, c'est tout un phénomène. C'est tout un phénomène. [00:13:32] Speaker B: Il s'est amélioré avec la terre. [00:13:34] Speaker A: Oui, quand même, mais je vais quand même choisir Michael Jordan. Michael, c'était exceptionnel. [00:13:39] Speaker B: Il y a un brand. Il y a des chou-clac LeBron, j'en ai déjà acheté, mais c'est le brand. Mais au-delà de ça, lorsqu'on regarde l'athlète, Moi j'ai vu LeBron recrue, je l'ai vu avec Miami et c'est pas le même joueur. C'est un joueur qui est plus complet, c'est un joueur qui est excessivement clutch. Oui, physique. Mais surtout, ce que je voulais dire, c'est très clutch sous la pression. Il y en a qui s'effondrent sur la pression. Moi je pense que Josh c'est peut-être un gars qui s'effondre sur la pression. Judge. [00:14:11] Speaker A: Aaron Judge, le capitaine des Yankees, oui. [00:14:14] Speaker B: Tandis que LeBron, il va dire, avant le match, j'en score 36 points et on va gagner. Il livre. [00:14:25] Speaker A: C'est vrai. Il a livré dans sa carrière. [00:14:28] Speaker B: Il est au niveau de Brady. C'est Tiger Woods, c'est la même comparaison. [00:14:31] Speaker A: LeBron ne peut pas paver les routes que Michael Jordan a déjà pavées. C'est pour ça qu'on a de la difficulté. Le basket, c'était un sport pratiquement inconnu au Canada avant Michael Jordan. C'est un bon point. C'est ce qu'il fait. C'est le premier ambassadeur. [00:14:44] Speaker B: Mais quand même, la NBA a vécu. [00:14:46] Speaker A: La NBA vient de vivre quatre décennies exceptionnelles avec Jordan et LeBron n'est arrivé pas trop longtemps après. C'est qui le prochain, je ne le sais pas. Mais la NBA a quand même profité pas mal de ces deux gars-là. [00:14:59] Speaker B: L'encaro à Orlando, tu en as beaucoup quand même. [00:15:02] Speaker A: Mais pour atteindre les deux, Jordan et LeBron, là, Doom, là, c'est… On verra. [00:15:06] Speaker B: Peut-Être plus ça, là. Non, c'est ça. Là, Doom, il dit MJ aurait fait 40-50 points par game. Derrick, d'aujourd'hui, je le sais pas parce qu'il y en a qui sont double-checkés. Il aurait été très, très contrôlé. C'est dur à dire. [00:15:17] Speaker A: Le basket a changé. Le basket a changé pas mal. [00:15:19] Speaker B: C'est plus physique. [00:15:19] Speaker A: Les gros bonhommes qui tirent de trois points. [00:15:21] Speaker B: C'est plus physique. [00:15:23] Speaker A: Oui. Mais il essaie jamais de faire trois pas dans le temps de Jordan. Ils te prennent des ailens, quasiment de la moitié du terrain. Ils cachent le ballon dans son chandail et ils le ressortent tout de suite après. [00:15:37] Speaker B: D'autres, on aimait ça avoir 5 pas. [00:15:39] Speaker A: Oui, ça nous prenait ça. C'est comme au golf, les gars faut qu'ils te donnent des coups, c'était pareil. À 5 pas, on va jouer ensemble, c'est bon ça. [00:15:49] Speaker B: On se reparle jeudi assurément, puis on va parler des remports un peu plus et le prochain match qui aura lieu local ce vendredi, mais ça on va en reparler ce jeudi. Merci beaucoup Ray, puis bonne game de golf. [00:16:01] Speaker A: Salut, bonne semaine.

Other Episodes

Episode

October 07, 2025 00:11:43
Episode Cover

DÉBAT LÉVIS: Plusieurs auditeurs ont CHANGÉ LEUR VOTE!

Listen

Episode 0

September 30, 2025 00:16:30
Episode Cover

ALEXA: "Les médias encouragent la violence contre nous." Les antifascistes SONT DES FASCISTES!

Listen

Episode

October 03, 2025 00:42:04
Episode Cover

DEEP DAN: Suce pour adulte dans les bureaux de La Presse!

Listen