WILLIAM TRUDEL: L'élection de novembre est décisive pour les 100 PROCHAINES ANNÉES À QUÉBEC!

October 14, 2025 00:13:23
WILLIAM TRUDEL: L'élection de novembre est décisive pour les 100 PROCHAINES ANNÉES À QUÉBEC!
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WILLIAM TRUDEL: L'élection de novembre est décisive pour les 100 PROCHAINES ANNÉES À QUÉBEC!

Oct 14 2025 | 00:13:23

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[00:00:00] Speaker A: Il fait la tournée des médias ce matin avec sa lettre publiée dans le soleil. William Trudel. Oui, oui, les grands développeurs Trudel. La tour que vous voyez, la grue, quand vous descendez Laurentienne, quand vous montez Laurentienne aussi, vous la voyez popper. [00:00:16] Speaker B: Comment ça va? Ça va bien, vous autres? [00:00:18] Speaker A: Très bien. Pis, s'achèves-tu, Fleur de Lys? [00:00:21] Speaker B: La première phase de Fleur de Lys est complétée, maintenant habitée. Reste quelques unités à louer, mais à peine. [00:00:27] Speaker A: Il y a des barbecues sur ses balcons. [00:00:28] Speaker B: Absolument, puis les gens sont très satisfaits. Je les croise à tous les jours. Les gens sont vraiment contents de leur nouveau milieu de vie. La deuxième phase de Fleur de Lys va très bon train. La location va commencer dans quelques semaines, livraison en juillet. Et les prochaines phases de Fleur de Lys sont dans les cartons actuellement. Donc Fleur de Lys, son air d'envol est bel et bien pris. C'est un projet qui fonctionne bien, ça. [00:00:47] Speaker A: Tu cherchais des restaurateurs. Les as-tu trouvés, finalement? [00:00:50] Speaker B: L'opération Pitch Ton Resto qu'on a faite, quand j'étais venu vous voir, ça l'a donné 53 personnes restaurateurs de toute la province de Québec, dont beaucoup de la région de Québec, qui nous ont contactés. Ça a fonctionné extraordinaire, puis on est en négociation dans plus d'une quinzaine de dossiers présentement, des affaires vraiment le fun. [00:01:09] Speaker A: Ben y'en a un d'ailleurs qui s'en va, comment qu'il s'appelle notre chum de barbecue là, qui fait des smash burgers à pépé là, comment qu'il s'appelle? [00:01:15] Speaker B: Tony! [00:01:15] Speaker A: Tony s'en va là d'ailleurs, et nul l'a dit, tellement fier. Tony, sa première succursale, Tony Barbecue sera à fleurs de lys. Ça a rien à voir avec ton texte. Mais quand je t'ai vu, j'ai pensé à ça. T'es content? [00:01:27] Speaker B: T'as venu la fin de semaine sur Messenger. Sur mon Messenger, ils m'envoient des photos de rib steak, de boulettes barbecue, pis ça va être malade. [00:01:36] Speaker A: C'est un show, là. [00:01:37] Speaker B: C'est quelque chose. [00:01:38] Speaker A: Là, tu t'impliques-tu dans la campagne avec cette lettre-là qui s'appelle l'opportunité décisive? Vous avez eu un genre de lac à l'épaule, Nous sommes tous peut-être arrosés. J'y étais pas, j'étais pas invité. T'as ta quête de Trudel où vous avez réimaginé le monde et la ville de Québec. Vous avez accouché de quoi, là? Vous voulez du bonheur, vous voulez des projets, mais moins de taxes. [00:02:04] Speaker B: Oui, des calinours partout, des arcs-en-ciel, des étoiles, de la poudre d'étoiles vendue gratuitement dans le centre communautaire. C'est ça qu'on veut. [00:02:14] Speaker A: Mais qu'est-ce que vous voulez? Parce que vous prenez pas parti pour un ou l'autre. Vous dites pas voter la chance ou Hamad. C'est pas ça votre message. Mais quel est l'essentiel de votre message? [00:02:24] Speaker B: Moi, Dominique, la lettre ouverte que j'ai faite en fin de semaine comme ça et qui est publiée dans le Soleil ce matin, c'est que je ressentais un profond malaise présentement dans la région de Québec. Puis les gens m'en parlent beaucoup dans mon entourage, dans nos employés. Le malaise que je ressens, c'est que je trouve ça dommage. C'est une démarche apolitique. Quand on lit bien la lettre dans le soleil, on voit très bien que ça condamne aucunement un candidat ni n'en appuie un autre. Mais c'est dommage que la région de Québec est divisée. Qu'est-ce que je veux dire par là? La Rive-Nord travaille contre la Rive-Sud. Les gens du 3e lien, eux autres, travaillent contre le tramway. Le tramway travaille contre le SRB. L'SRB travaille contre le tramway. Le logement social travaille contre le logement privé. Le logement privé ne s'occupe pas du logement social. Je trouve que c'est dommage. C'est un message d'union. Pis pendant qu'on est divisé comme ça, pendant que tout le monde s'affronte comme ça, ben, on fait du surplace. Si on est chanceux, parce que sinon on recule... [00:03:22] Speaker A: Les autres villes avancent. [00:03:23] Speaker B: Ben, c'est en plein ça, Dominique, c'est que les autres régions vont prendre les devants pis y agrandent pas. Pis on est en train de vivre quelque chose d'incroyable dans la ville de Québec. Selon l'Institut de la statistique, on vit un essor de populations incroyables pour toutes sortes de raisons. on est à un moment décisif. L'élection qu'il va y avoir au mois de novembre, un, ce que je dis aux gens, allez voter s'il vous plaît, puis pour qui vous voulez, puis deux, l'élection qui va y avoir le prochain mandat de quatre ans du locataire de l'hôtel de ville, parce que je le dis dans ma lettre, c'est un privilège temporaire d'aller à l'hôtel de ville. L'hôtel de ville, puis la ville n'est pas à vous autres, OK? c'est aux citoyens. Les prochains quatre ans vont déterminer la ville de Québec pour les cent années à venir. Les trois ici en studio, puis les gens qui nous écoutent dans les voitures par la maison seront tous plus là, puis les décisions des quatre prochaines années, elles autres vont être encore là. [00:04:13] Speaker A: On va passer un peu à The Rock qui arrive à la garderie, tu sais, dans un film. Toi tu dis, toi t'es The Rock, tu dis « Hey, c'est assez les folies ». C'est assez le niaisage, je travaille ensemble, attendez-vous. Accordez-vous, c'est si beau l'accordéon. Est-ce que ça prend maintenant un SRB comme développeur? Le tramway ne passera pas à Fleur-de-Lys. Ça gringue, cette affaire-là. Quand j'entends un marchand dire « Si il n'y a pas de tramway, ça ne développera pas. » Sacrifice. Vous développez une rameur trudelle. Il n'y a pas de tramway, dernière nouvelle, qui va à Fleur-de-Lys. Corrigez-moi avec le tracé. Qu'est-ce que ça prend maintenant comme projet? Le projet mobilisateur. Avez-vous une vision de ça quand même? [00:04:55] Speaker B: Gardons bien ça, on prend les différents grands enjeux de la région. Prenons un pas de recul. Moi ce que je propose aujourd'hui aux gens et dans la lettre, aux quatre candidats, prenons un pas de recul et arrêtons de mettre les intérêts politiques en premier. Je sais que c'est difficile ce que je dis parce que souvent l'ajout de politique n'est pas fait comme ça. Regardons certains grands dossiers. Prenons par exemple la connexion entre les deux rives que les gens appellent le troisième lien. Prenons un petit pas de recul. Tout l'est de la province de Québec, à partir de Trois-Rivières, jusqu'en Gaspésie, puis jusqu'à Côte-Nord, puis jusqu'au lac Saint-Jean, c'est gros ce que je vous dis, c'est plus que la moitié de la province de Québec. Tout ça est divisé par un des plus grands fleuves au monde, puis le lien présentement pour traverser ce fleuve-là, c'est deux ponts, un à côté de l'autre, dont un qui a 100 ans puis qui est rouillé. Est-ce que quelqu'un pense que ça, c'est une bonne idée? Oubliez la chicane d'être à moi, là. Y a-tu quelqu'un qui pense que la moitié de la province, est divisé par l'un des plus grands fleuves au monde, a deux liens à côté de l'autre, dont un qui est rouillé, qui a 100 ans. Y'a-tu quelqu'un qui pense que c'est une bonne idée? [00:05:56] Speaker A: – Illogique. [00:05:56] Speaker B: – Bon. Fait que ça, c'est un enjeu. Après ça, il se règle comment? Il se règle-tu avec un pont? Il se règle-tu un tunnel? Y'est-tu au centre? Y'est-tu à l'est? J'ai aucune idée. Moi, j'ai pas la compétence pour déterminer ça. Prenons le dossier de transport structurant. Grande région métropolitaine de Québec, on est 800 000, là. Pis dans pas si longtemps que ça, nous, on va voir ça de notre vivant. Bientôt, là, on va être un million, pis un million et quart, OK? Il y a-tu quelqu'un qui pense qu'on va passer d'une ville, il y a quelques années à peine, à 6-700 000 personnes, à 1, 1.1, 1.2, sans réseau de transport structurant? Ben non, ça se peut pas. Ça prend quelque chose. Ça va en prendre un, c'est sûr. [00:06:31] Speaker A: Et il y a-tu quelqu'un qui va pouvoir penser que ça peut durer encore comme ça pendant des années, d'avoir de la capitale jamais à deux heures de l'après-midi un samedi? Alors que sur la capitale, il y a quelqu'un qui part, mettons, Je te parle de direction ouest. Qui s'en va à Saint-Émile, l'autre s'en va à Bécomo, l'autre va voir sa m'attende Suzanne qui est à Malbaie, l'autre qui s'en va à Sainte-Brigitte, l'autre qui s'en va à Beauport. On passe tous par là! Ça aussi, ça a pris en jeu, William. Évidemment, t'es pas impliqué dans le dossier pour refaire des autoroutes, mais on se parle de région, parce que c'est ça l'essence même de ton texte. Mais ça, c'est une dysfonction dégueulasse. Ça, c'est ça qui paralyse la Ville de Québec, et c'est ça qui me crève le coeur, c'est que personne parle de ça. Que la Ville de Québec, à tous les week-ends, est plusieurs fois en semaine est paralysée sur de la capitale. [00:07:27] Speaker B: Un maintenant paralysé, là, en fin de semaine, t'as raison, là, je suis parti de chez nous, je suis allé chez mes parents à Beauport, puis effectivement, j'ai eu de la misère. OK? [00:07:35] Speaker A: D'autoroute de transit vers d'autres régions. [00:07:38] Speaker B: En plein milieu de l'après-midi. [00:07:39] Speaker A: Oui. [00:07:39] Speaker B: Mais si on parle de maintenant, maintenant, prenons un pas de recul, puis oublions qu'on a été prenant le trafic en fin de semaine, là, dans le futur, là, pendant les 20, 40, 60 prochaines années, on la développe comment, la région? Certainement pas en chicanant, puis en mettant tous les dossiers en opposition les uns contre les autres. [00:07:55] Speaker A: T'as raison. Absolument. [00:07:57] Speaker B: C'est ça l'essence de ma lettre. L'essence de ma lettre, c'est les amis. C'est les intérêts supérieurs de la région qui comptent. [00:08:03] Speaker A: Arrêtez de niaiser. [00:08:05] Speaker B: Soyons unis, soyons cohérents, soyons innovants. L'innovation, tout le monde dit qu'on veut faire de l'innovation, puis à chaque fois que t'arrives avec une nouvelle bonne idée, il y a un des trois paliers du gouvernement qui veut pas que ça marche parce que c'était pas prévu, c'était pas dans le cahier, c'était pas dans le règlement, c'était pas dans le truc. Ça fait que ça finit que nous autres, les entrepreneurs, on se fatigue d'être innovants, de se battre contre des moulins avant. [00:08:24] Speaker A: Tu parles des entrepreneurs. Parfait. Je vais te poser la question, tu en es un entrepreneur, l'un des plus gros dans la région de Québec. Il y a-tu encore des terrains à Québec, oui ou non, et qu'est-ce qu'on fait? Qu'est-ce qu'on fait à matin? [00:08:35] Speaker B: Si on veut augmenter le nombre d'habitations dans la ville, prenons la ville de Québec, OK? Il y a deux solutions. On agrandit le périmètre urbain. ce qui va nécessairement faire de la déforestation, les terres agricoles, etc. où on redéveloppe la ville sur elle-même. Pour redévelopper la ville sur elle-même, ça prend quoi? [00:08:52] Speaker A: C'est ce qu'on appelle la densification. [00:08:53] Speaker B: La densification, en redéveloppant la ville sur elle-même. On en fait un très bon exemple, mais il y en a d'autres qui font ça dans la région de Québec. Place Fleur-de-Lys, Galerie Charlebois, Place Desquêtes-Beauchois, îlot d'Hochester. [00:09:01] Speaker A: MAC, eux autres, sont partis là-dessus, à grimper des buildings sur des parkings. C'est ça, comme dans mon coin. Mais Plaza de la Mauricie, chez Woonigan, j'arrive là, il y a un building dans le parking. C'est ça la nouvelle mode de Woonigan. [00:09:13] Speaker B: C'est que quand tu redéveloppes la ville sur elle-même, tu vas prendre des grands terrains dont l'usage marchait dans les années 60-70, puis l'usage marche moins aujourd'hui, puis tu vas redévelopper ça. Mais pour faire ça, le cadre réglementaire ne prévoit pas ça. Les comités ne prévoient pas ça, les règles d'urbanisme, il n'y a rien qui est prévu pour faire ça. Ça a été prévu que ce soit un centre d'achat en 1960 et c'est le même que c'est zoné. [00:09:36] Speaker A: Donc la politique manque d'agilité et la bureaucratie manque d'agilité. [00:09:40] Speaker B: C'est qu'il y a un cadre réglementaire, puis ça je l'ai dit des millions de fois. Ce midi, Dominique, je fais la conférence économique de la Chambre de commerce de Québec à l'Hôtel-Plaza. C'est complet, ça affiche complet, sold out, 350 places vendues, il ne reste plus un siège, OK? Et une des préoccupations numéro un, le prioritaire pour les entrepreneurs, selon les sondages de la Chambre de commerce, de tous les types d'industrie, c'est la réglementation excessive. Ça préoccupe tous les entrepreneurs. Imaginez-vous dans un dossier du logement, tu es réglementé par la Ville, tu es réglementé par la Provinciale, tu es réglementé par la Fédérale, tu es réglementé par la Banque, tu es réglementé par la SCHL, tu as la Régie du bâtiment, tu as la Régie des alcools, Carisol. [00:10:20] Speaker A: De force multiple, pas juste les municipales. [00:10:23] Speaker B: Et à chaque fois qu'on ajoute des règlements à des taxes, il y a une seule solution possible, ça s'en va direct dans le coût du logement, il n'y a aucune magie, rien ne s'opère, rien ne se crée. [00:10:32] Speaker A: Donne un exemple pour tes logements. C'est combien de taxes que vous proposez concrètement? [00:10:36] Speaker B: La SCHL. C'est majeur présentement au Canada le rôle que la SCHL joue avec l'incertitude économique et l'augmentation des taux d'intérêt. Quand on fait des grands projets structurants, ça nous prend la SCHL comme partenaire. Mais la SCHL, au mois de juillet, dans une lettre, un vendredi après-midi, a informé tout le monde dans le Canada qu'on double les primes. Les primes de risques qu'on paye, on les double. Mais la tour que vous voyez qui est en construction sur le long de l'autoroute Laurentienne, que tous les gens m'en parlent et que ça monte vite parce que mon gars et nos filles travaillent bien sur le chantier, c'est plusieurs millions de dollars de primes de plus qu'on va payer à la SCHL qu'on payait pas avant. Ils vont aller où tu penses à ces millions-là? C'est très simple. Tu prends ça, tu sors ta petite calculatrice de ton iPhone. Tu le divises par le nombre de logements. Tu amortis ça sur 50 ans et c'est ça la vie. C'est le même, ça marche, il n'y a pas le choix. Taxe, réglementation, égal, coût du logement qui monte de toujours plus. [00:11:30] Speaker A: Le message est clair? [00:11:31] Speaker B: C'est très clair. Je l'ai dit. J'ai témoigné d'un comité fédéral au Parlement. Je l'ai dit au premier ministre Carney. Je l'ai dit aux différents ministres du provincial. Je l'ai dit aux candidats puis à la mairie. Les gens sont conscients de ça. Maintenant, ça serait pas correct intellectuellement de dire que tout ça dépend du maire. C'est pas vrai. [00:11:52] Speaker A: Par contre, tu écris qu'une ville doit être gérée comme un business, ou presque. Ça, tu l'écris, là. [00:11:57] Speaker B: J'écris qu'une... Je mets une nuance, Dominique. J'écris que je comprends qu'une ville, c'est pas un business privé. Il y a certains grands enjeux, prenons par exemple l'itinérance. [00:12:05] Speaker A: Le caritatif aussi. [00:12:07] Speaker B: Ou que bien entendu, c'est pas juste des critères économiques, OK. Mais... Ce que je trouve, c'est que les entrepreneurs au Québec, on a plein d'entrepreneurs ingénieux à succès dans plein de domaines, OK? Mais on dirait que les administrations municipales puis provinciales, fédérales, comment qu'ils voient ces entrepreneurs-là? Des gens de bébêtes bizarres, qui sont sûrement mal intentionnés, qui sont là pour faire de l'argent. Fait que sais-tu quoi? On prendra pas de chance, on va leur dire non pendant 3-4 ans. Puis eux autres, ils vont nous prouver qu'il faut dire oui. Eux autres, ils partent coupables en partant. Faut qu'ils nous prouvent pendant 4 ans qu'il faut dire oui. Puis là, dans 4 ans, on va finir qu'on va dire oui, qu'on aurait pu dire oui après 4 mois. [00:12:41] Speaker A: Dernière question, on va te laisser aller. Pourquoi tu te présentes pas? [00:12:45] Speaker B: Ben, il est trop tard. La date est passée. C'était pas le 3 octobre la date? [00:12:49] Speaker A: Tu serais pas méchant? [00:12:50] Speaker B: J'ai passé droite. [00:12:51] Speaker A: Tu le regrettes-tu? [00:12:52] Speaker B: Non, je le regrette pas. Mon rôle là, mon rôle c'est le personnage chef de la direction de Trudell Corp. Avec toutes ces entités, on a des super projets pour la région de Québec. J'ai du fun dans ce que je fais. J'ai pas l'impression que je travaille une seule journée, même si je suis tout le temps là tous les jours. [00:13:05] Speaker A: Avec nous autres, tu travailles dessus ce matin? [00:13:07] Speaker B: Ouais, c'est la seule place où je travaille. Là, c'est que je me peigne bien, je m'habille bien, je dors bien. [00:13:11] Speaker A: Comme Dan. [00:13:12] Speaker B: Je m'entraîne le matin pour être en forme, je sais jamais. On a le même casting le matin. [00:13:17] Speaker A: Bon spectacle ce midi. Sold out. [00:13:20] Speaker B: J'ai hâte, ça va bien aller. [00:13:21] Speaker A: Merci beaucoup.

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