DEEP DAN: La fille ronde, elle va prendre quel dessert? ON FAIT UN POOL!

September 10, 2025 00:21:39
DEEP DAN: La fille ronde, elle va prendre quel dessert? ON FAIT UN POOL!
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DEEP DAN: La fille ronde, elle va prendre quel dessert? ON FAIT UN POOL!

Sep 10 2025 | 00:21:39

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[00:00:07] Speaker A: Autobus scolaire qui a pris feu à Montréal hier. Autobus Lyon. Ils disent pas Lyon dans le titre, mais c'est un autobus Lyon électrique qui a pris feu. [00:00:20] Speaker B: Tu le reconnais par le pare-choc bleu. [00:00:22] Speaker A: Il y avait quand même des kids dans l'autobus. Donc, le tout électrique qui roule à plein, ça va très très bien. [00:00:28] Speaker C: Je t'ai sorti quatre extraits d'une entrevue d'hier dans Le Retour. En fait, Isabelle Desjardins. [00:00:33] Speaker A: Only done, only fun? [00:00:35] Speaker C: Only dance, only fun. En fait, Isabelle était là pour expliquer tout le cheminement parce qu'elle a beaucoup, beaucoup, beaucoup fait de choses avec elle au courant du dernier mois pour un paquet de raisons. Vous le savez, entre autres, l'histoire où elle est sortie pour parler de son couple. Mais ce qui intéressait The H, évidemment, c'était l'histoire de Only Fun. Elle répond à la première question, c'est pourquoi Only Fun? The H n'a pas perdu de temps. [00:00:59] Speaker A: Oui, il paie rarement du temps dans ces affaires-là. [00:01:02] Speaker B: Il n'y a pas eu de préliminaire. [00:01:03] Speaker C: On écoute ce que ça donne. [00:01:05] Speaker D: Arrivée sur un de les fans. [00:01:06] Speaker E: Bon, on commencerait à dire. [00:01:08] Speaker D: Non, non, mais t'as le choix, là. [00:01:09] Speaker E: Oui, oui. [00:01:10] Speaker D: Le choix, c'est ça, là. [00:01:11] Speaker E: OK. Ça fait jaser. [00:01:13] Speaker D: Quand as-tu pris ta décision? [00:01:16] Speaker E: Quand j'ai vu les comptes rentrer, les factures. C'est la véritable raison. Depuis 2012 que je donne du contenu gratuit sur mes plateformes, que ce soit Instagram ou Facebook, j'ai juste décidé que ça allait être payant. [00:01:34] Speaker C: Tu as déjà fait Salmon aussi? [00:01:35] Speaker F: Oui. [00:01:36] Speaker C: Salmon Magazine. Donc, en gros, ce qu'Isabelle Desjardins fait sur OnlyFans, c'est exactement ce qu'elle faisait sur Instagram et Facebook. C'est juste que maintenant, il faut payer pour interagir avec elle et voir ses photos. Et puis, ça semble quand même assez bien marcher. [00:01:49] Speaker A: D.H., effectivement, ça a été raide. D.H., à 6 ans, à la petite école, c'était «tu fringes-tu?». [00:01:56] Speaker C: Oui, c'était ça. [00:01:57] Speaker A: À 12 ans, «tu couches-tu?». À 17 ans, c'était quoi? [00:02:04] Speaker C: En 6e année, c'était... as-tu commencé tes. [00:02:05] Speaker A: Petites marches... Non, non, c'est ça. Pour moi, c'était un gars de Thetford. [00:02:10] Speaker C: Ah, ça, c'est très, très drôle. [00:02:15] Speaker B: Moi, je suis persuadé que c'était un gars de Thetford. Ah, c'était hier, ça? [00:02:22] Speaker C: Liège qui a aussi demandé le nombre d'abonnés. [00:02:24] Speaker D: T'as combien? [00:02:24] Speaker E: J'suis rendue à 5 000, j'pense. [00:02:25] Speaker D: 5 000 abonnés? [00:02:27] Speaker E: T'sais, ça serait d'un coup les 74 000 d'Instagram pis les 30 000 d'Facebook. [00:02:31] Speaker D: Ils ont comme créé un tableau sur... j'sais pas si t'as vu ça. [00:02:34] Speaker E: Non, non, j'vois rien de ça. Moi, j'vis pas dans Internet. [00:02:36] Speaker D: 5 000 abonnés, Isabelle, 5 000 abonnés... [00:02:40] Speaker E: T'as fait des calculs? [00:02:41] Speaker D: T'es allée à Harvard? [00:02:43] Speaker G: Eux! [00:02:43] Speaker D: Eux ont fait des calculs. À 2 500 abonnés, en US, c'est quelque chose entre 12 et 25 000. U.S. dans une semaine? À 5 000, c'est le double de ça? Ça serait le double de ça? On parle d'à peu près 25 000 U.S. à 50 000 U.S. en une semaine? Ça se peut-tu? [00:03:02] Speaker C: Donc, c'est bien. [00:03:06] Speaker A: 5 000 personnes, dont 3 400 Alain qui se touchent en guerre-guerre d'Indie. [00:03:09] Speaker C: C'est ça qu'elle disait. Beaucoup d'Alain. Beaucoup d'Alain. Beaucoup de gens. Les gens ne prennent pas le vrai nom. Fait qu'il s'appelle Alain, le premier, j'imagine. [00:03:17] Speaker A: Ça c'est cruel anti-péché. Donc les Alain s'appellent comment alors? [00:03:22] Speaker C: André. Ouais c'est ça. [00:03:24] Speaker A: Et les André s'appellent? [00:03:26] Speaker C: Alain. [00:03:27] Speaker A: C'est comme un rond. En tout cas, on va vous expliquer ça tantôt. [00:03:30] Speaker C: C'est ça. Puis, c'est pas un mythe, là. Les gens aiment vraiment les pieds. [00:03:34] Speaker H: Alain, d'Alain. [00:03:34] Speaker E: Alain, 27 ans, qui aime les pieds, là. [00:03:36] Speaker C: C'est ça. OK! [00:03:37] Speaker A: Oui, n'a-tu beaucoup que... Oui! [00:03:39] Speaker G: Oui! [00:03:39] Speaker C: Les pieds! Ça revient souvent, cette affaire-là. [00:03:41] Speaker A: Ça me fascine. [00:03:42] Speaker C: C'est le fétiche le plus répandu, hein? [00:03:43] Speaker E: Quand même. [00:03:44] Speaker D: C'est ça, oui? C'est le fétiche? [00:03:45] Speaker E: Disons que je vais plus souvent me faire faire des pédicures qu'avant. Hé, moi, j'aime être espagnol, hein? [00:03:52] Speaker B: D'avoir des beaux pieds. [00:03:53] Speaker E: Oui, oui. Puis moi, j'ai toujours haï mes pieds, puis c'est vraiment... Ça pourrait être ça. [00:03:57] Speaker C: Le concept de mon Only Dance. [00:03:59] Speaker A: Tes pieds? [00:03:59] Speaker C: Non, je vais me faire faire une pédicure avec quelqu'un, genre c'est un podcast filmé où on voit des pieds. [00:04:04] Speaker A: C'est des chinoises qui font les pieds ici. [00:04:05] Speaker C: Ben oui. [00:04:06] Speaker A: Ça sent fort quand tu passes devant, ça sent le chimique. Les produits chimiques, ben c'est les ongles. C'est carrément toxique cette affaire-là en passant... C'est vrai pareil. Ça c'est un grand mystère. [00:04:19] Speaker B: Je ne comprendrai jamais. [00:04:20] Speaker A: Pourquoi les Chinois font des ongles? Et deuxième des choses, il y a des chinoises qui sont ici depuis 20 ans, qui parlent juste mandarin. Ils ne parlent pas anglais ou très peu. Très peu. Ils parlent un peu français aussi. L'autre pied, autre pied. That's it. Pied dans l'eau, autre pied. [00:04:44] Speaker C: Je ne me suis jamais fait faire une pédicure de ma vie. [00:04:47] Speaker A: T'es arrivé une fois au chalet. [00:04:49] Speaker C: Non, c'est ça. Je suis pas sûr que ça va arriver, sauf si jamais je suis filmé, je suis toujours prêt. Donc, ça ressemble à ça. Hier, Isabelle Desjardins, avec The H, elle a aussi parlé... Donc, c'est payant. Oui, c'est payant. [00:05:01] Speaker A: Elle va aussi donner une pension à David. [00:05:03] Speaker C: Et puis, tu sais, en parlant entre autres, il y a beaucoup de gens qui vont demander... de voir, ne serait-ce que l'ombre d'un mamelon, par exemple, puis elle, elle refuse, c'est toujours... C'est exactement le même contenu qu'elle avait déjà sur Instagram. [00:05:17] Speaker A: C'est ça. Elle qui chante et... [00:05:20] Speaker C: Voilà. [00:05:20] Speaker A: Belle femme. [00:05:21] Speaker C: Elle va prendre des photos, elle va envoyer ça là. Tu sais, elle chante, c'est une chanteuse. Elle a un band, elle sort un album, des tours en français, elle veut jouer à la radio avec... Good job! [00:05:31] Speaker B: Elle disait un moment donné qu'elle avait mis ses vidéos et clips. [00:05:34] Speaker C: Ouais, elle a mis ses vidéos et clips là. [00:05:36] Speaker B: Sur l'en-défense, puis elle dit il y a quand même une couple de milliers d'écoutes là. [00:05:38] Speaker A: Good job. [00:05:39] Speaker C: Je vous fais entendre Isa Desjardins qui comprend les hommes. [00:05:42] Speaker E: Mais les hommes ont besoin de chaleur, de bonne humeur, de sourire, d'écoute. Ils ont besoin de parler. Ils ont besoin de dialoguer. Ils ont besoin de ne pas trop se faire juger. Ils ont besoin de décrocher un peu du quotidien et d'avoir une écoute, une oreille. Donc j'offre ça aussi sur mon e-fan beaucoup. J'ai découvert que j'étais capable de replacer quelques messieurs qui étaient un peu moins polis que les autres, disant « Hey, vas-tu faire du nu ? [00:06:09] Speaker A: » C'est comme première question, c'est ça. [00:06:12] Speaker E: C'est ce que je suis payée pour répondre. Je peux prendre le temps de dire non, je ne te proposerai pas du nu, surtout pas si tu m'adresses la parole comme ça. Excuse-moi Isa, je vais prendre le temps. Comment ça va? Tu passes une belle journée? Puis là, notre discussion, on part. [00:06:26] Speaker C: Donc voilà, ça ressemble pas mal à ça. Si vous voulez parler avec Isabelle Desjardins, vous pouvez dire tout ce que vous voulez. Elle prête à ça, puis ça se passe sur une plateforme, sur la plateforme OnlyFans. Elle racontait hier qu'il y avait tout près de 900 personnes qui étaient en attente. Elles sont dans le bullpen, en attente de se faire répondre. Parce qu'à pas le temps... À pas le temps, ça rentre trop. [00:06:51] Speaker A: Ça n'a rien à voir avec Isa, ce que je veux dire, mais en général, On est une société malade pareil. Tu racontes ta journée à quelqu'un que tu ne connais pas, puis tu payes cette personne-là pour qu'elle t'écoute. Sérieux. Il était peut-être temps finalement qu'on enlève les cellulaires aux kids. Tu disais ça hier, Dan, il y a des profs qui disaient qu'ils avaient entendu des conversations pour la première fois dans les corridors depuis qu'on a enlevé... [00:07:16] Speaker B: Il y a un murmure dans les corridors. [00:07:17] Speaker C: Il y a une rumeur dans les corridors, il n'y avait pas ça avant dans les écoles. [00:07:21] Speaker A: Ça fait pitié. Ils n'ont absolument rien contre ça. C'est un commerce, ça existe, ça ne le fait pas. D'autres le font, d'autres le font. Ils le faisaient avant elles, c'est correct. Il y a beaucoup de gens seuls. C'est ça, c'est la solitude. Exactement. Daniel Bélanger disait, tout seul, ensemble, tout seul, ensemble. Daniel Bélanger a quand même une belle plume. On dira ce qu'on voudra. Et leur tasseur, leur masseur, ils écrivent d'autres choses. Tout ça, l'ensemble, c'est ça, pareil. On est des gens... 6 milliards de solitude. 6 milliards de solitude. [00:07:54] Speaker B: Oui, c'est vrai. [00:07:54] Speaker C: Quand ça commence à mal aller, tu rentres souvent dans une spirale où ça va mal. [00:07:58] Speaker A: Tu t'isoles. [00:07:59] Speaker C: Exactement. [00:08:00] Speaker A: Puis t'as besoin de parler. C'est sûr qu'elle fait beaucoup de bien, Isa. Là, on n'a pas le point. Le point, c'est qu'on est une société un peu détraqué, un peu beaucoup détraqué. T'es obligé de montrer aux kids comment lire l'heure des horloges, là. Ça, c'est un prof de Lévis qui raconte ça ce matin, Sylvain Duclos. T'es obligé de montrer aux enfants la petite aiguille, la grosse aiguille, ça sert à quoi. [00:08:24] Speaker B: Les enfants du secondaire, là. [00:08:26] Speaker A: Capoté, là. [00:08:27] Speaker B: Pas du primaire. [00:08:27] Speaker A: On est là, là. Donc, on est... On a formé des 8 heures au fil du temps, là. [00:08:33] Speaker C: Faut ramener ça. Moi, c'est à l'école que j'ai appris à lire sur une taille grise, mais c'était au primaire. Parce que moi, j'étais déjà dans la. [00:08:41] Speaker A: Génération... Moi, j'avais une montre à 5 ans, une montre cardinale. [00:08:44] Speaker C: C'était un petit peu plus vieux que nous autres. [00:08:46] Speaker B: Les kids n'ont plus de montre aujourd'hui, puis toutes les heures qui sont écrites dans la maison, c'est tout digital. [00:08:51] Speaker C: Moi, quand j'étais petit cul, je regardais l'heure sur le micro-ondes ou sur le four. C'était déjà... [00:08:56] Speaker A: L'arrivée des montres japonaises, c'était ça, les 82. [00:08:58] Speaker C: J'avais une montre Timex Indigo. Indiglo. Indiglo, puis Indiglo, pas pareil partout. Puis je me couchais le soir, puis quand on fermait la lumière, je faisais ça avec ma montre. [00:09:08] Speaker B: Au début, c'était la petite couleur jaune, puis là, ça a été la révolution à un moment donné, la couleur bleue. [00:09:12] Speaker C: Oui, le bleu, c'était complètement fou, c'était complètement malade. Ça, ça éclairait. [00:09:16] Speaker A: Rouge aussi, ça saisit, là. Rouge... [00:09:19] Speaker C: Puis c'est à l'école que j'ai appris à lire sur des aiguilles, la petite puis la grande. Puis encore, c'était compliqué. Jusqu'à temps que je m'achète une vraie montre, là, 4 parts, secondaire 3, 4. [00:09:30] Speaker A: Une vraie horloge. [00:09:31] Speaker C: Une vraie horloge avec une montre, puis là, ça a dû me prendre à peu près deux semaines où tu la regardes, tu vois l'heure directe. [00:09:36] Speaker B: Un coup d'œil, tu vois l'heure. [00:09:38] Speaker C: Mais moi, c'est à l'école que j'ai appris ça. Déjà, je fais partie de cette génération où chez nous, l'heure est écrite sur le vidéo en numérique, sur le micro-onde en numérique, puis sur le four en numérique. [00:09:51] Speaker B: Donc, je ne suis pas surpris, là. C'est de la même manière que t'écoutes la radio traditionnelle, mettons, avec les kids dans le char. Ils entendent une toune, puis ils l'aiment, puis ils demandent de la rejouer. Non, non, c'est la radio, je peux pas. Ça marche pas de même. C'est pas moi qui décide les tounes. [00:10:05] Speaker A: Tu peux la chasser à main, puis... [00:10:06] Speaker B: Ça, ils comprennent comme pas ce concept-là. [00:10:09] Speaker A: C'est vrai. Les montres sont interdites à l'école, nous écrivait Lavero. Les montres intelligentes sont interdites, mais les montres avec des... Les montres McMorris avec les mitaines, ça, c'est encore valide. [00:10:19] Speaker C: Voilà, comme Dan Brown. Je vous fais entendre maintenant Gilbert Delorme. C'est un extrait qui fait pas mal le tour du web. Assez controversé, cet extrait-là. Puis je comprends pas pourquoi. À un moment donné, là, à un moment donné, je vous fais entendre Gilbert. [00:10:35] Speaker I: À la fin de ma carrière, là, à Musky Higgins, là, on allait tous les lundis soirs, on allait chez Cheez Cheez, restaurant mexicain. On avait un joueur qui jouait avec nous. Sablon était un petit peu grossette. On s'entend, mon Renaud. Pis là, les gars avaient un pool, ils gageaient à chaque semaine c'était quoi le dessert qu'il était pour se commander. C'est fou, je te le dis là, on avait du fun. [00:11:02] Speaker A: Ah ben, c'est donc ben beau! [00:11:04] Speaker C: C'est donc ben drôle! [00:11:04] Speaker B: C'est encore la station, c'est le pool quand moi je mange le dessert. [00:11:10] Speaker A: Ah oui, on te taquine avec ton couic le matin, pour vrai, la grosse cruche de couic dans le juice. Mais on n'a pas de poule encore, mais effectivement, c'est une christine bonne idée. [00:11:21] Speaker C: Donc, anecdotes. C'est pour ça qu'on l'aime Gilbert, c'est à cause de ses anecdotes. [00:11:25] Speaker A: Ben oui, c'est quoi les controversées là-dedans? [00:11:27] Speaker C: Ben oui, Tabarnouche, écoute, la fille était heureuse, elle mangeait du dessert. [00:11:30] Speaker B: Ben oui. [00:11:31] Speaker A: J'ai mis 20 piastres moi sur la table, qu'elle mangeait un gâteau fromage. [00:11:35] Speaker C: Et le pire, c'est que j'ai perdu parce que le gars à côté de moi, il aurait prédit le bon coulis. [00:11:40] Speaker A: Tarte au citron. C'est quoi votre dessert cochon là, terre? Tant qu'à parler de ça en matin. [00:11:47] Speaker C: Moi, j'aime beaucoup le chocolat. [00:11:50] Speaker B: Oui. [00:11:51] Speaker A: Forêt noire, à ce moment-là? [00:11:52] Speaker C: Le gâteau au... Non, non. Forêt noire avec de la crème fouettée, des cerises, ça va être correct, là. [00:11:56] Speaker A: OK. Moi, j'aime bien ça. [00:11:58] Speaker C: Moi, j'aime ça au chocolat. Tu sais, un genre de triple chocolat. [00:12:00] Speaker B: Oui. [00:12:01] Speaker C: Quatreuple chocolat avec un grand verre de lait. [00:12:04] Speaker A: Yes! [00:12:04] Speaker B: Limousse. [00:12:05] Speaker C: J'aime bien ça. Puis les cristi de tarte aux fruits. Tu sais, les tartes avec plein de fruits, puis une espèce de gelée par-dessus pour donner un peu de sens. Ah, c'est pas bon, ça. Ah, que j'aime ça, moi. [00:12:13] Speaker A: J'aime mieux manger un croissant aux fraises tant qu'à ça. [00:12:14] Speaker C: Moi, j'aime les desserts aux fruits. Tu sais, j'aime beaucoup ça. Un shortcake aux fraises. [00:12:19] Speaker A: Sauf le gâteau aux fruits. [00:12:20] Speaker C: Un short que... S'il y a des jujubes dedans, non, mais s'il est fait avec des vrais fruits... Gâteaux-fruits, c'est dégueulasse! Y'en a qui sont dégueulasses, y'en a qui sont pas mangeables, j'suis d'accord, là. Faut pas... [00:12:31] Speaker A: J'ai jamais mangé un vrai gâteau-fruits. Y'a de l'allure. [00:12:34] Speaker C: Faut pas mettre de jujubes dedans. Celui qu'on avait goûté du pied de cochon était bon. [00:12:38] Speaker A: Oui! [00:12:39] Speaker C: Oui, t'as raison. Il était très très bon. [00:12:40] Speaker A: Dans une canne, là. [00:12:40] Speaker B: Oui, en canne. [00:12:41] Speaker A: J'ai vu leur vire de bord. [00:12:42] Speaker C: Il y avait pas de bonbons dedans. [00:12:43] Speaker A: Gâteau framboisie, nous écrit Unliver. Moi, c'est la tarte au citron, mais des cupcakes. Cupcake, vanille, glaçage vanille, Dominique Grandmarché. Ça, là, je ferais des kilomètres à pied pour manger ça. Idéalement, après l'avoir mangé, il a l'impression de le brûler. [00:13:02] Speaker B: Écoute, moi, tu nous as parlé. [00:13:04] Speaker A: On est allé ensemble, chez Dominique, d'ailleurs. [00:13:06] Speaker B: Oui, ça, oui. Mais la dernière fois où... Quand j'étais allé à Philadelphie, il y a deux ans, j'ai arrêté par New York. Il y avait deux raisons. La première, je m'étais dit, je vais peut-être aller voir un show à Broadway. Finalement, ça s'est pas arrivé. Donc, la seule chose pourquoi j'ai arrêté à New York, c'est que j'ai conduit dans New York pour la première fois. Puis l'autre chose, j'étais allé m'asseoir chez Ferrara's, manger un gâteau au fromage. [00:13:27] Speaker A: Wow! [00:13:29] Speaker B: Il était excellent. C'est le meilleur. [00:13:30] Speaker A: Ça valait la peine. [00:13:31] Speaker B: C'est le meilleur au monde. [00:13:32] Speaker A: Ça t'a coûté 35$ de parking? [00:13:34] Speaker B: Non, je me suis parké dans la rue, dans le haut de Manhattan. [00:13:37] Speaker A: Ah ok, parfait. [00:13:38] Speaker C: As-tu déjà ramassé la tarte à lime chez Publix? [00:13:42] Speaker A: Il a une paille. [00:13:43] Speaker C: Il a qu'il a une paille. [00:13:44] Speaker A: Non, non, c'était à se rouler à terre. Rouler à terre. [00:13:46] Speaker C: C'est impossible à manger juste une pointe. [00:13:49] Speaker A: Oui, rouler à terre. [00:13:49] Speaker C: Puis moi, j'ai pas une dent très très sucrée. C'est impossible à manger juste une pointe. C'est vraiment bon. Vraiment. [00:13:54] Speaker A: Peut-être un peu trop sucré, mais non, non. C'est Key Lime, t'achètes ça en floride. [00:13:59] Speaker C: Wow! Très bon! [00:14:03] Speaker A: Là, les gens sont partis. Moi, c'est le millefeuille de Saint-Hubert. [00:14:06] Speaker C: Le millefeuille de Saint-Hubert, il est bon. [00:14:08] Speaker A: Le millefeuille de Saint-Hubert, c'est dangereux. C'est dur de se limiter à un. [00:14:11] Speaker C: Un bon millefeuille... pis je veux pas dénigrer les gâteaux vachons là, on arrête pas de le dire à quel point ça a bercé notre jeunesse, les gâteaux vachons, mais un bon millefeuille faite maison, là. [00:14:21] Speaker A: Comme Saint-Hubert. Il est pas fait maison, Saint-Hubert, mais la crème foie-tôt au milieu est bonne un petit peu. [00:14:24] Speaker C: Ouais, ouais, non, c'est pas loin d'être faite maison, le dessert Martin, c'est une belle coche, ils mettent beaucoup d'amour là-dedans. [00:14:30] Speaker A: Exact. [00:14:30] Speaker C: J'ai... J'aime vraiment les... Pis je dis ça, là, mais je mange jamais de dessert au restaurant, j'ai pas une dent sucrée, j'ai pas ça, j'ai... Hier, j'ai mangé un plat de crème glacée. [00:14:42] Speaker B: Un plat? [00:14:43] Speaker C: Ben un plat, je veux dire. [00:14:44] Speaker A: Ah non, un plat, un bol. [00:14:46] Speaker C: Un bol avec deux boules dedans, là. Plus jeune, chez nous, à mal à la gorge, à manger de la crème à glace, ça m'a donné le goût. Tu sais, des fois, ça prend pas grand-chose pour... [00:14:54] Speaker A: La découverte des boys qui ont une dent sucrée à maison, c'est le nouveau Blizzard d'automne. de Dairy Queen. [00:15:01] Speaker B: J'ai pas goûté. De Pumpkin Pie? [00:15:03] Speaker A: Oui. Il paraît que c'est à se rouler à terre. [00:15:05] Speaker B: Ils ont un bizarre Pumpkin Pie. Oui, il y a un bizarre Pumpkin Pie. [00:15:08] Speaker A: Il paraît que c'est à se rouler à terre, même que... [00:15:11] Speaker B: Je suis pas fan, ça. [00:15:12] Speaker A: Ils ont regardé le foot. C'est une orgie chez nous, le foot, pour vrai. C'est du matin au soir. Les gars sont effoirés. Nous autres, on ramasse. On ramasse des sacs, on ramasse des fourchettes, des assiettes. Les gars se ramassent pas, en tout cas. C'est une autre affaire, là. Mais ils sont collés, Uber Eats, du Dairy Queen. Ils sont commandés. des bizarres sur Uber Eats. Il recommandait ça justement. Il paraît que ça a été un hit incroyable. [00:15:36] Speaker C: J'ai vu un meme d'une fille qui filme son chum sur Dimanche en Californie. Le gars a un gilet des 49ers de San Francisco, une calotte des 49ers de San Francisco et une couverte. Des 49ers de San Francisco, ça blâme, le Marc, 10 heures le matin, il est couché sur le divan, il regarde le football. Parce qu'eux autres, en Californie, ça commence à 10 heures le matin. [00:15:57] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:15:57] Speaker A: Oui, oui. [00:15:58] Speaker C: Il regarde le football, puis là, tu le vois tout au long de la journée, une heure, il mange des chips. [00:16:03] Speaker A: Ah non, non, c'est... Jusqu'à 9 heures le soir. Exact, mais c'est ça chez nous. [00:16:07] Speaker C: Il est resté couché sur le divan jusqu'à 9 heures le soir. [00:16:08] Speaker A: Ah oui, c'est ça. [00:16:09] Speaker C: En Californie, donc minuit en-dessous. [00:16:11] Speaker A: Y'a un laveur qui écriait « J'espère m'aurais tes clients de la Maison du Pain » Maison. La Maison du Pain, beaucoup. Je pense qu'ils ont rénové deux fois depuis que j'y vais. Ils ont rénové même récemment. Maison du Pain, c'était 40. Maison du Pain, c'est les gâteaux, mais quand t'arrives au cash, les pains et y'ont un genre de Joe Louis maison, je me souviens pas du nom. Y'ont un Joe Louis faite maison. Ça se roule à terre. Y'est enveloppé dans un saran wrap. C'est dur à résister. Comment ça s'appelle le Joe-Louis Maison? La Maison du Pain, Charlebourg, 88-670-9098. Ben pendant l'élection d'Artabasca... Non, ça s'appelle pas House of Pain en anglais. Il nous écrit un liver. [00:16:57] Speaker B: Pendant l'élection d'Artabasca, je sais qu'Éric avait souvent parlé... C'était-tu les gros Louis? C'était un Joe-Louis Maison d'un resto à Victaux. Vous savez plus c'était où exactement? Les auditeurs vont s'en souvenir. [00:17:09] Speaker C: C'est le fun. [00:17:10] Speaker A: On se torture un matin. [00:17:11] Speaker C: C'est le fun. C'est tout. Demain on parle des meilleurs burgers. La police de Toronto a finalement arrêté quelqu'un pendant une manifestation pro-palestinienne. Hey! [00:17:19] Speaker G: Fuck Palestine! Fuck you! This guy touched me! This guy touched me! This guy touched me! Look! This guy touched me! This guy touched me! C'est vachement malade. Ils l'ont. [00:17:48] Speaker A: Arrêté? [00:17:50] Speaker C: Donc, il y a un gars qui est rentré, qui rentre dans la manifestation en disant « Fuck Palestine ». C'est lui qui a été arrêté. [00:17:58] Speaker A: Tous les autres troublemakers, ils ont la sainte paix, mais il y en a. [00:18:02] Speaker B: Un... Moi, je ne crie rien pour la sécurité du gars, là. Moi, la police que j'ai vue dans. [00:18:09] Speaker A: Une vidéo... Moi, je pense qu'un, il s'est magasiné une claque sur la gueule, moi, je pense. Oui. Pour qu'il passe aux nouvelles, pour montrer que c'est des écœurants, là. Finalement, la police... [00:18:15] Speaker B: Mais tu vois que la tension monte, puis le danger est là, là. Eux autres, on doit dire, tu sais, tous les juifs, il n'y a pas de problème, là. [00:18:21] Speaker A: C'est ça. [00:18:21] Speaker B: Mais fuck Palestine, ta vie est en danger. [00:18:25] Speaker C: Ouais. C'est possiblement pour le protéger qu'ils l'ont sorti de là, la police, parce qu'ils l'ont quand même pas menotté. J'ai dit arrestation parce que je voulais faire... [00:18:34] Speaker A: Ils l'ont raisonné. [00:18:35] Speaker B: La police ont fait un mur autour de lui. Il fallait. [00:18:39] Speaker A: 7H17. [00:18:40] Speaker C: 7H17. Écoute, je veux terminer mon deep down aujourd'hui. Écoute, il y a 45 ans, mais pas plus que ça, 65 ans, jour pour jour. Les gars se réunissaient dans le coin de Shawinigan, dans le coin de Grand-Mère. Les gars se réunissaient un peu partout parce qu'ils prenaient un dernier lunch, disaient salut aux madames, parce qu'ils partaient pour de longs, longs mois, faire des draveurs, faire la drave. T'sais, c'était au mois de septembre que les gars partaient, pis ils s'en allaient. [00:19:12] Speaker A: Ils revenaient quand, Don? [00:19:13] Speaker C: Après les fêtes. Ils revenaient au printemps, là. Les pères de famille n'étaient pas là dans le temps des fêtes. Des fois, de temps en temps, ils pouvaient revenir. Mais souvent, les gars, ils se rendaient, ils coupaient du bois. [00:19:25] Speaker A: Mon marito rapide blague, il y a. [00:19:27] Speaker G: Des hommes de risque. [00:19:27] Speaker C: Exactement. [00:19:29] Speaker A: Les madames, des fois, elles rencontraient des messieurs. Le pharmacien qui passe à la maison avec sa petite valise encuée. [00:19:34] Speaker C: Le curé. [00:19:36] Speaker A: Ah franchement, franchement. [00:19:38] Speaker C: Non, c'est jamais arrivé. C'est jamais, jamais arrivé. Donc les gars partaient. [00:19:43] Speaker A: Il venait jouer au domino le curé. [00:19:45] Speaker C: Les gars partaient pour de longs mois. Les plus braves revenaient en faisant de la drave, les autres faisaient la marche à pied. Puis la journaliste Michèle Tissère, il y a de ça 65 ans, est allée les rencontrer juste avant qu'ils partent. Puis Radio-Canada a partagé cette semaine ce vox pop d'archives que je vous fais jouer. C'est des messieurs, en 1960, qui racontent à Michèle Tissère comment ça se passe dans le bois. [00:20:11] Speaker A: Et on s'en va à la pause tout de suite après. [00:20:12] Speaker C: Parfait. [00:20:13] Speaker A: Vous êtes dans Montréal Live. [00:20:15] Speaker F: Oh non, ça fait huit ans que je monte dans le bois. [00:20:17] Speaker H: Mais à quel âge avez-vous commencé? [00:20:20] Speaker F: J'ai commencé à 14 ans. [00:20:22] Speaker H: Oui? [00:20:23] Speaker F: Oui. [00:20:23] Speaker H: Et puis, qu'est-ce qui vous a donné l'idée de venir dans le bois? [00:20:26] Speaker F: Bien, mon père est tombé malade, ma mère, ça fait qu'elle avait besoin de gagner. [00:20:30] Speaker H: Puis vous venez d'où? [00:20:31] Speaker F: Je viens de Grand-Mère. [00:20:32] Speaker H: Ah bon? [00:20:33] Speaker F: Oui. [00:20:33] Speaker H: Et puis, quand vous n'êtes pas draveur, qu'est-ce que vous faites? [00:20:36] Speaker F: Je travaille... On est sous chômeur pendant un temps de l'ouvrière. [00:20:41] Speaker H: C'est moins drôle, ça. [00:20:42] Speaker F: Oui, c'est pas pareil. [00:20:44] Speaker H: Vous avez quel âge? [00:20:45] Speaker F: 22 ans. [00:20:47] Speaker H: Et puis vous, monsieur, il y a combien de temps, là, que vous travaillez dans le bois? [00:20:51] Speaker F: 48 ans. [00:20:52] Speaker H: 48 ans! Mais écoutez, vous aussi, vous deviez pas être vieux quand vous avez commencé. [00:20:57] Speaker F: 13 ans. J'aurais demandé à l'âge de 14. [00:21:00] Speaker H: J'imagine quand même que ça a beaucoup changé, hein? [00:21:02] Speaker F: Dans notre temps, on voulait traîner nos bagages sur notre dos. On n'avait pas de machine pour nous porter jusqu'au camp, dans ce temps-là. On se portait nous autres-mêmes. [00:21:14] Speaker H: Et puis vous marchez de grande distance? [00:21:16] Speaker F: 18, 15, 18, 20 000. [00:21:18] Speaker H: Est-ce que c'est vrai que vous pouvez vous faire jusqu'à, je ne sais pas moi, 35 $ par jour? 35 $ par jour? [00:21:24] Speaker F: Ça dépend des hommes, mais moi je ne suis pas capable, pas la capacité pour ça. [00:21:27] Speaker H: Non? Mais une moyenne? [00:21:28] Speaker F: Une moyenne d'homme, oui. Une vingtaine de piastres. [00:21:32] Speaker H: Mais vous êtes obligé d'avoir tout votre équipement, votre équipe mécanique et tout ça. [00:21:35] Speaker F: À tout compter, à la fin de la ronde, il ne nous reste plus rien. [00:21:37] Speaker H: Oh!

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